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baptème de lestat(mende decembre 1460)

Auru fouillait sa poche en pestant , mais où avait-elle pu mettre cette clé..... 

Puis se rappela qu'elle l'avait mise sous l'autel dans une cache de peur que Simplet la trouve 
c'est donc en souriant qu'elle ouvrit la porte du confessionnal et y installa un coussin bien moelleux, en pensant au temps où elle allait rester assise .
 


 

Ne soit pas timide mon fils, je t'attends et je t'écoute 
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 aller se confesser, si on le lui avait prédit cela, il aurait certainement éclaté de rire et craché par terre de mépris. Mais voila.les choses pouvaient changer a tout moment. 

témoin d'un mariage, parrain d'une petite chieuse...et voila le Lestat en route pour se préparer a tout ca. 

Il entra dans l'église et s'approcha du confessionnal, pour une fois il n'y entrait pas pour changer l'eau des patates * ou encore piquer un somme. 

il passa la tête dans l'entrebaillement de la porte
 

Sa mère? t'est la? c'est bien ici qu'j'dois raconter mes exploits? 


*expression empruntée a lj Dea
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L'attente ne fut pas longue et le pénitent arriva : 

Oui oui je suis là, entre... mets toi a genoux sur le petit banc et raconte moi tout 
je suis prête a tout entendre 

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Perplexe, le roux regarde Auru a travers le grillage.Pourquoi se mettre a genoux ? quelle drôle d'idée. Vu la longueur de ses "conneries" être assis était sûrment plus confortable. Mais soit, il se plia à la règle et s'agenouilla sur le banc non sans avoir râler et soupirer. 

Alors, tout raconter. 

Par ou commencer. Il réfléchit un instant et se lancea dans le blabla 

et bien voila, tout a commencer en février 14 43.j'te raconte quand j'était p'tit hein! 

Ca valait certainement mieux pour les chastes oreilles de la curette d'entendre les confessions de Lestat enfant que de Lestat maintenant uhm uhm 

la paresse: C' jour la m'man m'a eu, pis moi j'ai r'fusé d'ouvrir les yeux.P'pa m'a dit après qu'cétait parsqu'j'était une grosse feignasse et qu'j'voulais rien faire comme tout l'monde, pis ouais j'aimais po m'l'ver l'matin 

l'avarice : moi j'voulais po partager mes biscuits avec ma soeur,mais j'lui ai rendu service hein..c'est pour pas qu'elle d'vienne grosse 

la colère : ouaip, quand m'man elle est morte pis qu'mon frère l'est parti,j'me suis fâché très fort, pis j'ai cassé la poupée d'ma soeur 

l'orgueil : on m'dit qu'j'suis orgueilleux parsqu'moi j'sais qu'j'suis l'plus beau..deux comme moi..y peut pas y en avoir 

la luxure : bin une fois j'ai r'gardé la bonne pendant qu'elle s'habillait,elle avait deux paires d'nib's du tonnerre.. 

la gourmandise : bin j'avoue c'est moi qui est tout manger l'gateau aux pruneaux d'tante zyv 

l'envie : moi j'voulais l'même chariot qu'ma soeur , pis elle voulait po m'le préter alors j'l'ai pris en cachette..A c'propos faudrait lui dire d'venir s'confesser aussi, pour avoir r'fuser d'me le preter 

soupir de satisfaction 

V'la sa mère,t'sais tout, j'ai péché et j'suis désolé.. 

Il lâcha un sourire et gratta contre le grillage en faisant de joyeux houhou à Auru. Il débouta sa chemise, transpirant a grosses gouttes dans ce confessionnal pas plus confortable et grand qu'un réduit a balais 

euh..fais soif nan? t'as pas un peu d'vin d'messe qui traine par la?
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Auru écouta avec un léger sourire sur les lèvres, la soi- disante confession de Lestat, 
elle l'imaginait petit garçon a la tignasse couleur carotte, mais plus elle l’écoutait 
plus l'impression qu'il se moquait d'elle se faisait présente a son esprit .. 

Quand il eu terminé son monologue, c'est d'un regard courroucé qu'elle l'observa au travers du grillage 
qui les séparaient :
 

Te moquerais-tu de moi Lestat ? ne me dit pas que la réputation qui te précède n'est du 
qu'à des enfantillages de gamin mal dégrossi 

Allez recommence et mieux que ça, prend exemple sur Rostang, qui n'a pas hésité à me raconter 
ses péchés, et traine pas steuplait moi aussi je commence à avoir soif, et mal aux fesses, mon coussin 
n'est pas assez confortable

_________________Ha la vilaine! Elle voulait savoir le vrai du vrai!!! 

Et en plus il devait se dépécher car le seant de sa mère en devenait douloureux. Pis ses genoux a lui alors? C'était du pipeau??? 

Il fit mine de réfléchir intensément et débita d'un trait, le plus rapidement possible esperant que le très-haut fasse un geste de compassion et bouche les oreilles d'Auru 

Ahem jai menti, volé, triché, ralé, frapper, bu comme untrou, bouffer comme un goret, me suis bagarré, j'ai désobei, bouffer mon cheval, oui j'avais tropfaim,voler la femme à plusieurs hommes, envié les attributs de mon frére, foutu de la trogne de mon monde, forniqué, -tromper-voler-a ca j'ai deja dit, manquer de respect a mon vieux-mais ca c'est bien fait pour lui 

Il reprit son souffle, attendant un éventuel roulement de tambour,applaudissement ou pourquoi pas , être foudroyer par un eclair divin. elle a le droit de fouetter Auru? 
elle avait pas parler de boire, la curette?
L' archi sourit , ah ben voila on y est, ce ne fut pas sans mal, 

Elle écouta la bonne confession de Lestat, bon rapide, succincte mais au moins elle voyait 
le gendre de péchés a absoudre ... 

Et puis elle en avait marre d’être mal assise, d'avoir la gorge sèche, du froid qu'il commençait a faire dans l’église 


Lestat au vu de se que tu viens de me dire, je devrai être très sévère mais comme tu as tenu a genoux le temps de ta confession, 
malgré ta blessure, je considère que la douleur est une pénitence suffisante, 
juste un credo a réciter après moi et tu pourras sortir d'ici où j'espère ne pas te voir revenir de si tôt 


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant, 
Créateur du Ciel et de la Terre, 
Des Enfers et du Paradis, 
Juge de notre âme à l'heure de la mort. 

Et en Aristote, son prophète, 
le fils de Nicomaque et de Phaetis, 
envoyé pour enseigner la sagesse 
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés. 

Je crois aussi en Christos, 
Né de Maria et de Giosep. 
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis. 
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce, 
Il est mort dans le martyr pour nous sauver. 
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut. 

Je crois en l'Action Divine; 
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible; 
En la communion des Saints; 
En la rémission des péchés 
En la Vie Éternelle. 
AMEN 



_________________
Il avait fermé les yeux en vue du châtiment qui n'allait pas tarder à lui fendre le crâne. Mais c'est la doux voix de la diaconesse qui lui fit ouvrir les mirettes. 

A sa suite, il récita le fameux crédo 

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant, 
Créateur du Ciel et de la Terre, 
Des Enfers et du Paradis, 
Juge de notre âme à l'heure de la mort. 

Et en Aristote, son prophète, 
le fils de Nicomaque et de Phaetis, 
envoyé pour enseigner la sagesse 
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés. 

Je crois aussi en Christos, 
Né de Maria et de Giosep. 
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis. 
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce, 
Il est mort dans le martyr pour nous sauver. 
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut. 

Je crois en l'Action Divine; 
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible; 
En la communion des Saints; 
En la rémission des péchés 
En la Vie Éternelle. 
AMEN
 



Il sourit satisfait et se releva en grimaceant,se tenant le flanc 

Bon alors' c'vin, on s'le boit?Auru avait du négocier encore avec simplet, pas de cloches, il avait ronchonné, pesté, 
mis Lestat au même rang que Rostang, mais l'archi avait su le calmer en lui offrant 
une bouteille de vin de messe, un jambon et une miche de pain ...
 



=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+++++++++++++++++++++ 



Elle avait presque terminé la décoration sommaire pour le baptème, plus qu'a attendre 
la brebis égarée et la guider dans le droit chemin , si cela fut possible un jour. 

C'est en chantonnant des psaumes de noel qu'elle attendit Lestat et son parrain 

_________________
Rostang, tout nouvellement baptisé, avait accepté de bonne grâce de devenir le parrain de Lestat. 
Il savait que le jeune homme n'était pas forcément convaincu par la foi aristotélicienne, mais dès lors qu'il doutait, c'était forcement déjà un pas vers la foi. 
A partir du moment où l'on doute d'une chose c'est qu'on admet qu'elle existe. 
Les réticences avant-gardistes du jeune rouquin, n'étaient pour Rostang que le fruit de l'adolescence, une provocation de plus qui travaillée et voulue perd dès lors tout de son intérêt. 

Rostang donc ferma la mairie, le temps pour lui d'assister à la cérémonie. Il se dirigea d'un pas rapide vers l'église et salua Simplet d'un signe de tête et d'un franc sourire. 
Depuis quelques jours, Rostang avait appris qu'il y avait plus nigaud que lui à Mende. Mais qu'au moins Simplet, s'il était naïf, n'était en rien manipulable. Cela lui valait donc le respect du blond. 

Arrivé devant l'allée centrale, comme de coutume, Rostang posa un genou à terre, inclina la tête avec humilité, et se signa. 
Puis, à peine redressé se dirigea-t-il vers Auru. Une fois à ses cotés, il lui fit un baise-main et à voix basse, il lui décocha son petit salut rituel :
 

- Bonjour, Ma Mère Adorée.[Campement des 3 L et compagnie, matin du grand jour.] 



En pleine forme la Chiasse, tellement en pleine forme qu'elle se ballade partout avec un vieux torchon pour envoyer valser la poussière. La vaisselle est déjà propre, le linge plié et rangé, les jouets ramassés, les papiers triés, les toiles d'araignées ont été envoyées au diable, bref ce matin -nuit ?!-, la Chiasse s'est donné à fond. 

Ray-o-nnante, sûrement un peu trop vu que les gosses et le brun dorment, mais franchement il est moins six heures et ça fait déjà deux heures qu'elle tournait en rond dans sa couche, alors pas d'pitié ! c'est pas faute d'avoir tenté de le réveiller le Brun, parce qu'un câlin de bon matin ça mettait tout le monde en forme, mais Louis roupillait comme un bien-heureux. Et dire qu'il avait raté LE spectacle de l'année... Pour sûr il est pas prêt de la revoir faire le ménage! 

L'heure tourne, et personne ne bouge. Même Hadès ronfle près de la porte. La Chiasse est presque prête, les cheveux uniquement retenus par un peigne doré cascadent en boucles légères sur ses épaules dénudées. La pierre de sa bague sera mise en valeur par son éternelle robe bleue -un peu passée-,qu'elle portera et reportera jusqu'à ce que son Lou se décide à lui en offrir une nouvelle, un jour. Un jour où sa bonté n'aura d'égal que la beauté de cette robe qu'elle lorgne depuis des années - on a le temps hein !-. 
Pour l'heure elle est coiffée et à enfilé un simple corset et la culotte assortie pour ne pas se tâcher avant le départ. 


Et personne ne bouge, BERDOL ! Mais le curé n'attendra pas, et que la bonté de la Belle s'est envolée en même temps que le dernier biscuit au miel. Victoire est gentiment réveillée par une odeur de lait posé sur ses lèvres -machiavélique- et le petit corps hurlant est déposé tout contre son père. Nicolas se retrouve privé de couverture, puisque sa mère la jette un peu plus loin. La belle ouvre la porte, histoire de faire entrer un peu le frais et de réveiller pour de bon tout ce p'tit monde, puis la claque après être sortie. Le visage sourit bêtement alors qu'elle pense au chaos dans la roulotte et à la bonne humeur dont aura hérité Louis après un tel réveil. Légèrement frissonnante elle trtaverse l'espace entre les roulottes een sautillant comme un cabri, un cabri qui n'a même pas de chausses ! 

La Chiasse ne perd pas sa douceur matinale et entre avec perte et fracas dans la roulotte de Lestat et envoi valser la couverture sur le sol. Déjà, ça lui permet de voir que le roux a bien dormi seul, ensuite bah... Bah elle admire la pleine forme du Rouquin. Les mirettes en brillent d'envie... Mais pas le temps de coquiner ce matin, les portes du placard sont ouvertes, la moitié du contenu balancé à droite et à gauche jusqu'à trouver LA chemise, LA paire de braies, LA ceinture. Et bien sûr, le petit cadeau qu'elle cache dans son corset depuis plusieurs jours. 

Le pied encore humide vient caresser la joue du Roux qui a vraiment du mal à émerger. 



Lèves toi. 
Lest.Debout. 
LEST. 
BERDOL TU VAS T'BOUGER L'DERCHE OUI ? 
Tu crois qu'on a toute la vie ? 
RHa pis laves toi, tu pues l'chacal sauvage qui s'rait mort d'puis un d'mi siècle. 



Inutile de dire qu'entre temps il a râlé, grogné et soupiré tout ce qu'il pouvait. Inutile de rajouter qu'il lui a balancé un regard assassin lorsqu'elle s'est servi de l'eau de la veille -qui avait refroidi, forcément- pour lui laver les aisselles. 
Inutile aussi de décrire comment elle a rit quand elle l'a vu rétrécir à vue d'oeil. Inutile d'ajouter qu'il a tenté de riposté en ouvrant la bouche mais que la grimace faite par la Colombe l'a dissuadé de continuer pour l'instant. Faut dire que s'il sentait le chacal, dans sa bouch, c'était bien pire. Pour sûr y a quelque chose de crevé là d'dans ! 

Bizarrement il a enfilé sa tenue sans trop rien dire, en même temps il comptait pas y aller à poils si ? Si ? Berdol, y a plus rien à tirer de cet homme là... Il a rien dit non plus quand elle s'est lêché le pouce pour venir essuyez un peu de bave séchée d'un revers de pouce. Ni quand elle lui a décroté les yeux avec une délicatesse imaginaire. Ni d'ailleurs quand elle lui a arraché et montré, triomphante, un p'tain de poils blancs qui dépassait de son nez. L'homme est imprévisible ! 
Là où ça s'est gâté, c'est quand la Belle a commencé à lui peigner -démêler- les cheveux. Là, l'asticot s'est vraiment réveillé, j'dirais même qu'il est dev'nu hystétique. 



Louisss dedjou!!! viens m'aider,elle m'arrache la tête bouges toi bordel!! ta faute tout ca, j'm'en va retiendre toi et tes idées stupides de mariage!!! ailleuhh m'enfin!!! Déa arretes ou j'te mord les miches!!! 


Là, elle a sourit, et a tiré un peu les fils Roux. Le petit sourire carnassier l'aurait sûrement énervé, mais comme elle est derrière lui hein... 


Primo, si tu pouvais éviter d'meugler commee une vache ça m'arrangerait, pas envie d'perdre mes esgourdes. 
Deuzio, Lou' il est avec les gosses alors tu lui fous la paix 
Troisio, tu m'mords les miches et j'te fais faire trois fois l'tour d'tes braies sans toucher la ceinture. 
Quatro, t'es pas content d'm'avoir pour toi tout seul hein ? 
J'ai un cadeau pour toi. 



Sortant du corset le cadeau , elle lui colle devant les yeux, avec un grand sourire, puisque naïve comme elle est, elle est persuadée de lui faire plaisir... Sauf qu'après avoir pris le fameux cadeau en mains, le Roux se fige en statut Lestatienne, le teint vire au vert pré-vomito alors que l'oeil se permet la fantaisie de larmoyer -mais on ne sait pas de quoi-. Enfin il ouvre la bouche et grommelle 


L'aurait fallu faire comme avec les bread chiens, t'noyer à la naissance. 


Forcément, ça calme. La Chiasse remballe son sourire et prend le catogan dans les mains, histoire de quand même lui coller dans la tignasse, qu'il le veuille ou non. Faut dire que la comparaison avec les " bread chients" passe mal. Ça plus le fait qu'il aurait aimé qu'on la noie à la naissance, la Belle ne sait pas pourquoi, mais elle a l'impression que le Rouquin n'apprécie pas le cadeau. C'est pourtant du beau tissus... 
Sans douceur aucune elle se saisit de la queue de cheval -ses cheveux hein!- de Lestat et se débrouille comme peut pour mettre le fameux noeud -neuneu !- dans les cheveux roux. 
Bin entre nous Lest, l'histoire de tes clébars, t'as bien fait dans parler, parce qu'elle te garde un chien de sa chienne. Même si elle n'est plus si rayonnante, même en l'ayant vexée... Ouai, elle avait dit que rien ne viendrait gâcher cette journée, et rien ne la gâchera. La Belle sourit de nouveau et se plante devant la porte en regardant Lest. Un petit ondulage de bassin alors que sa main effleure son corps -de Déesse, c'est eux qui l'disent !-. 



Et bin tu vois Lest', j'espère que tu as apprécié la dernière fois que tes mains ont touché mon corps, parce que c'était la dernière fois. 
Le petit chien sauvé des eaux te remercie. 



Porte claquée, sourire rangée, campement traversé et robe enfilée. Oui j'suis rayonnante, mais m'faites pas chier ! 



Post bien évidemment écrit à 4 mains avec Jd Lestat, avec qui c'est toujours un énorme plaisir de RPiser.Le souci avec Andréa, c’était que pour le plus grand malheur de ses proches, elle avait un goût inégalé pour la mode vestimentaire. 

S’il avait accepté le tripotage et le léchage en règle, se n’était point par bonne volonté, mais grâce aux bouteilles de rhum et a la pipe de Louis, celle de chanvre hein, joyeusement ingéré durant la nuit 

. Donc en résumé, le rouquin était « of course ». Mais la, le tirage de cheveux lestatiens.ha non que ca passait pas !!! Déa ou pas Déa, ca lui foutait les nerfs en boule. Subitement bien réveillé, il regretta de l’être, quand la belle lui déballa une sorte de bout de tissu affreusement neuneu et moche.comme si son foulard de pirate ne pouvait pas faire l’affaire. 

Non contente de lui avoir fait frôlé la crise d’angoisse, voila que mad’moiselle corps parfait et je le sais se lance dans un déhanché outrageux et un caressage de ses formes en..Uhm bonne et dû forme. 

Et vlan la porte et stching les braies du roux qui devinrent subitement trop étroite. 

Un rien incommodé, v’là le lascar qui débarqua chez les Tracks, ouvrant la porte a la volée. Tableau quasi attendrissant de beau brun roupillant a moitié, torse nu, sa chieuse blottie contre lui. L’idée saugrenue de commettre le péché de la chaire avant son baptême aurait été mise à exécution, si la petite n’accaparait pas son père. Un claquage de fessier gauchien et un léchage intempestif de joue plus tard, il ingéra quelques tasses de tisanes, pas qu’il aimait ca hein, mais après avoir vidangé, il retrouva aisance dans ses braies. 

Sans demander son reste, il gambada jusqu’a l’église, pestant contre le froid et la neige dans laquelle il s’enfonçait jusqu’aux genoux. 

Et la….une fois arrivé à l’ endroit x il se figea…Entrer ou ne pas entrer, telle était THE question !!! 

Il réfléchit a mille excuses pour ficher le camp à toute berzingue et prétextant avoir perdu sa Foy dans un tas de neige…pas prêt, mal aux ch’veux..Et ca c’était vrai, elle lui avait presque arraché le cuir chevelu, la Chiasse. Trop ci trop ca….mais non Lestat, tu n’as pas subi toutes ces tortures pour rien ce matin, ton séant n’a pas supporté le banc dur et inconfortable durant les interminables heures de pastorales.. 

Quelques points positifs vint lui titiller le cerveau : Louis-mariage-temoin-victoire-parrain…mouais, pis de toute façon, il lui fallait retraverser la ville pour retourner au campement, autant entrer, ‘archidiaconesse aurait surement préparé une bouteille de son excellent vin de messe. 

Tout ca, lui avait bien évidemment fait oublier, l’outrage qui nouait sa longue chevelure rousse. 

Il entra, plissa ses yeux et s’habitua peu à peu a la pénombre. 
Son parrain, Rostang se trouvait déjà la en compagnie d’Auru 

On m’attend ? 

Sourire en coin et moue boudeuse, il avait presqu’espéré que le blond eusse oublié la cérémonie, histoire de la repousser à plus tard, très tard…Mais fallait s’y faire, Rostang était homme de parole, pas prêt à oublier un truc pareil. 

Il s’approcha d’eux, d’un air détendu, mais que l’air hein parsque sa tête, elle était prête à exploser tellement elle lui criait fort..Dégage !!!T’es malade ou quoi ? Tu fous quoi dans une église si t’as pas l’intention de la brûler. ? 
Il salua la curette et se plaça aux côtés de son parrain, tirant sur sa manche et murmurant… 

Ros, j’crois que j’m’en va m’sentir mal, r’garde la… 

Il lui montra la statue clouée à la croix 

M’regarde bizzard lui..ca m’fout lesj’tons la !! On dirait qu’l’est pas content d’moi….Il va la tuer ! Comment qu'elle peut vouloir se lever avant le soleil ? Hein ? Et même avant lui ? C'est toujours lui le premier debout d'habitude. La chiasse le fait suer et il bougonne, se retournant pour continuer sa nuit. C'est vrai quoi ! Pas possible de faire si chiante que sa chiasse. Faut dire qu'elle est plutôt attachiante la gueuse. 


L'entendant s'activer, il se retourne dans l'autre sens, bien entendu, ronflage léger, mais tout de même, histoire de pas montrer qu'il est réveillé, parce que lorsqu'il la sent tourner, il l'observe à la dérobée, tout en continuant son pseudo sommeil. 

La Colombe faisant le ménage... si ! Et il est là ! Héhé, et il savoure de la regarder faire. Bien la première fois qu'il voit ça. Elle le surprendra toujours, même après dix ans à jouer à "Je t'aime, moi non plus", faut croire qu'il ne la connait pas encore sous toutes les facettes. Pas celles de son corps de déesse, ça, il pourrait passer des heures à décrire ses courbes parfaites, son cou fin et gracile, son décolleté qui laisse deviner des monts dodus qui appellent les caresses, son ventre assez plat, malgré les traces des grossesses qui offrent une place de choix pour ses mains lors de leurs ébats, son.... Hey ho ! Debout là d'dans... bah c'est déjà fait hein... rien qu'à l'imaginer, voilà qu'il est au garde à vous. 

Et elle sort. Grommelant il se lève, remet la couverture sur son fils, et lui annonce de se préparer, ils vont à la messe ce matin. 

Et vous me direz à quoi ça sert que son amant hurle quand sa femme le martyrise ? Bah l'avantage d'un campement, outre le fait d'être proches les uns les autres, c'est que les roulottes en bois, ça laisse plutôt bien passer le son. Alors le soir, il n'y a plus de musique dehors : ça caille trop, mais des veillées dans la roulotte de Lest ou dans le petit cabanon que le Gaucher à installer dans les bois de Mende pour en faire une ... garçonnière familiale ? Mouais, à l'usage de lui, Déa, et de Lest. Bref, il entend lorsque Lest hurle, mais ne bronche pas, faut s'occuper des gosses, et puis ces deux-là, ils finiront bien par débarquer. 

La preuve, il est allongé sur le lit, torse nu, en braies, lorsque son cousin débarque. S'essuyant la joue, il lui rend la tape sur la fesse.
 

Ca va Lest ? 

Petit déjeuner avalé, les gosses prêts, les langes de la chieuse, alias Victoire, dehors dans le froid, Le Gaucher termine de se préparer. Un sourire aux lèvres, il regarde son gamin, et lui ébouriffe les cheveux. 

Allez, on se dépêche de finir sa tisane !
 

Ouaip, un réveil de bonne humeur de la part de Louis. Tout change, ils évoluent au fil du temps, mais surtout, avoir aperçu sa Colombe faire le ménage, ça nous l'a mis de bonne humeur, même si du coup, il a du prendre ses braies plus larges, bah oui, pas con, depuis quelques temps, il est souvent à l'étroit, alors il a pris une taille au dessus héhé. En temps normal, il flotte dedans, mais quand sa belle ou son amant s'approche, ça lui permet de laisser libre cours à son imagination, sans risquer l'incident diplomatique. 

Tout ce petit monde bien couvert, mantels enfilés, bottes fourrées pour tout le monde, il s'est ruiné pour les gosses faut croire, il sort pour se rendre à l'église, suivant de près son futur témoin/cousin/amant. (rayez rien, tout est bon). L'église de Mende, celle que Lest avait failli brûler, et qu'il n'avait pas fait par amitié pour Ros... Rentrant à sa suite, il incline la tête pour saluer Auru et Ros.
 

B'jour Sa Mère, S'lut Ros'. 

Ouaip, pas de chichis, on est entre nous nan ? Ils se connaissent depuis le temps, et là, vu qu'il a été arroser un arbre près de celui de son cousin, et non, ils ont pas joué à qui à la plus longue, ils ont juste zyeuté, et on dira rien du regard échangé, ni de la soudaine chaleur qui a pu prendre le Gaucher, et bien là, il a envie de terminer sa nuit, retourner dans le rêve sur le corps de sa déesse faisant le ménage dans la roulotte, par exemple...
_________________
J'étais ce que j'ai fait, 
Je suis ce que je fais, 
Je serai ce que je ferai.
 
http://www.univers-rr.com/RPartage/index.php?page=perso&idp=Louis%20Trackuelques personnes arrivaient, Lestat et Rostang étant là la cérémonie allait pouvoir commencer 


Bonjour et Bienvenue a tous,dans notre église, 
approchez vous et prenez place, 

nous allons reciter la priere afin de demander pardon pour nos péchés. 
A vous tous réunis, le très-haut va avoir du travail ... 

c'est avec un sourire malicieux qu Auru entama la prière : 


_________________
 
Il est mon Paradis, je suis son Enfer, le Purgatoire est notre nid .Le rouquin regarda autour del ui ne sachant trop quoi et comment faire. 


Il écouta l'archidiaconesse Il avait bien appris cette prière...une phrase sur deux.. il bougea les lèvres a peu pret en meme temps qu'elle, mais quand même un peu décaler pour se souvenir des paroles 

je confesse a Dieu-Tout_puissant 
et a vous aussi mes..amis 
... 
pensées,paroles,actions 
... 
supplie...amis 
.. 
de prier pour pardon 
... 
la mission et pechés
 


Il se lancea dans l'obsveration minutieuse du bout de ses chausses..a savoir pour la prochaine fois..l'ecrire su un parchemin pour s'en rappeler.C'est l'avantage de s'être fait baptiser y a pas longtemps, et de se préparer pour un mariage, on devient incollable (ou presque) en ce qui concerne les crédos. 


La preuve, sitôt la cérémonie commencée, voilà la Chiasse qui déclame, haut et fort la petite prière -et non, elle ne triche pas- 



Je confesse, à Dieu Tout Puissant, 
A tous les saints, 
Et à vous aussi mes Amants, 
Parce que j'ai beaucoup péché, 
En pensées, en paroles et en actions. 
Je prie tous les saints 
Et vous, mes amis 
De supplier le Créateur pour lui. 
Que le très Haut lui accorde le pardon 
L'absolution et la rémission de tous ses péchés. 



Ça vous en bouche un coin hein ? 
La Colombe observe Lest qui a quand même fait l'effort de bouger les lèvres en rythme et en émettant même parfois quelques mots - sisi!, environ une ligne sur deux- 
La Belle se lève et applaudit un peu, si tout va bien, bientôt on pourrait avoir droit au vrai spectacle : Lestat, tout nu en train de recevoir l'eau qui le purifiera et à défaut, le lavera. 
Qui qui qui ? Qui a du savon ?
Récitation en coeur du crédo, version librement adaptée... hahin... Merci la colombe ! Il y s'rait presque arrivé si elle l'avait pas légèrement perturbé... Le début donne donc... 



Je conte fesses à Dieu Tout Puissant, 
A tous les seins, 


Gloups, pas grave hein ! L'son y est !!! 

Et à vous aussi mes Amants, 
Parce que j'ai beaucoup péché, 
En pensées, en paroles et en actions. 
Je prie tous les seins...
 

Berdol ! Et la chiasse qui en rajoute alors qu'il copie sur elle !! 


Et vous, mes amis 
De supplier le Créateur pour moi. 
Que le très Haut nous accorde le pardon 
L'absolution et la rémission de tous nos péchés. 


Et là, regain de ferveur religieuse ! A fond ! Il regarde le plafond et il l'implore dans sa tête : S'tu pouvais pardonner les p'tites fautes et les p'bread écarts là, ça s'rait pas mal ! Et puis hey ! T'es supposé dire amour tout ça tout ça ? Bah on s'aime à trois, y'a pas d'mal à ça hein ! C'est ton truc nan ? Aimer vous les uns les autres ? 

_________________
J'étais ce que j'ai fait, 
Je suis ce que je fais, 
Je serai ce que je ferai.
 
There is no chapter yet, you need to add one we think.



Footnote


Archivist: lestat de lioncourt
Add: 24/12/2012 - 13:08
Change: 24/12/2012 - 13:25

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