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[RP] L'étang de Mortagne...

*lysamaelle*
Lysamaelle délaissa la contemplation de la surface de l'eau pour reporter son regard vert sur Drizz

- Il est vrai que la vie pourrait être si simple et merveilleuse si on ne la compliquait pas à souhait. De quoi se nourrir à satiété. Une bonne compagnie, boire avec des camarades. mais cela est finalement insuffisant pour les êtres que nous sommes.

Elle sourit

- j'ai entendu la surprise dans votre voix quand je vous ai dit que j'étais gardienne. Je suis une fine et redoutable lame. Oui je suis une femme d'arme et je suis médecin. Cela est étrange n'est ce pas ? A la fin de ce voyage, je vais entrer en faculté de médecine. Je soigne et j'ote aussi la vie s'il le faut pour proteger les gens qui me font confiance.

Elle se détourna de lui et fit quelques pas puis lui fit de nouveau face au loin.

- Il m'a été agréable de vous rencontrer, messire Drizz et j'espère que je vous ai donné une autre image de la noblesse. Je n'oublierais pas le douanier de Mortagne.

Elle sourit.
Drizztus
Drizzt contempla le regarde Emeraude de Lysamaelle et écouta une nouvelle fois Lysamaelle.

-C'est ce que j'appelle une femme complete. Drizzt lui lanca un sourire. Pour ce qui est de oté et sauvé des vies je le comprend aisément. L'échange équivalent dirons nous. Une vie pour une autre. Je suis aussi fine lame. Du moins je le pense. J'ai encore tuer personne et je n'en suis pas mécontent. J'ai fais Sergent de police pour y faire reigner la dissipline et l'ordre et j'ai mis mes talents au service de la Justice.

Drizzt vit la belle Lysamaelle prendre du recule et compris qu'il se fesait tard.

-Oui dame Lysamaelle vous me donné une nouvelle perspective de la noblesse et je suis ravis de voir que des personnes telles que vous n'ont pas perdu certaines valeurs. Je n'oublirais jamais votre passage a Mortagne. Les jolies fleurs sauvages comme vous sont si rares qu'elles ne peuvent pas tomber dans l'oublie... Il se fait tard et je dois avoué que je commence a avoir froid.

Drizzt une fois plus géné de sa betise se frotte la tete puis avance vers Dame Lysamaelle pour la raccompagner.
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*lysamaelle*
- Vous avez froid et moi trop chaud ! Tenez !

Elle lui tendit son mantel en riant

- Vous êtes donc fine lame ? oh si demain je suis là, nous pourrions faire notre entrainement ensemble ? cela serait amusant ! Oui rentrons. J'aimerais embrasser mon fils avant qu'il ne s'endorme pour la nuit puis je repasserais boire une tisane.

Elle prit le mouchoir brodé et lui montra.

- Je le garderais comme un précieux talisman qui me portera bonheur, Drizz.

Elle lui prit le bras.

- Rentrons, voulez-vous ?
Drizztus
Drizzt repris son Mantel et le remis sur ses épaules quand Lysamaelle parla de l'entrainement et d'embrassé son fils il ajouta.

-Je serait honoré de pouvoir me comparer a votre lame. J'espere de tout coeur que vous puissiez me donner lecon pour me montrer que je n'ai nulle crainte a avoir.

Lysamaelle lui montra son mouchoir qu'il lui avait brodé tot le matin mais la il resta sans voix.

-Je...

Lysamaelle tres entreprenante lui prit le bras et tout deux se dirigea vers la ville
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Drizztus
Le lendemain Drizzt revena sur les lieux de sa derniere conversation avec dame Lysamaelle. Celui ci repris la place de la veille et imaginer encore Lysamaelle a ses cotés et la revoyé chanté et lui parler. Ce fut pour lui comme un doux reve qu'il savait ephemere. Il sorti alors son fluto et joua pour dissiper sa peine.

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Une fois fini celui ci se releva puis decida de retourner a ses occupations
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Laeti89250
Laeti décida d'aller promener Eklyps. Ca leur permettrait de prendre l'air, ils en avaient grandement besoin tous les deux. Laeti ne cessait de tourner en rond ces derniers temps. Elle était fatiguée, elle se demandait ce qu'il lui arrivait, même la compagnie de ses amis ne suffisait pas à lui changer les idées.

Le temps s'était adouci, l'étang avait dégelé, on pouvait de nouveau apercevoir l'eau, celle-ci n'était plus recouverte ni par de la glace ni celle-ci par de la neige.

Laeti regardait Eklyps qui gambadait dans l'herbe, il courait comme un fou après les oiseaux qu'il croisait sur sa route. La scène fit sourire Laeti.
Elle fit le tour de l'étang avec le chiot. Elle décida ensuite de se reposer quelques instants. Elle aperçut un tronc d'arbre au bord de l'eau, elle s'y assit et regarda l'tendue d'eau, tout en surveillant tout de même le chiot du coin de l'oeil. Elle vit apparaitre...




Elle sourit en voyant le manège des canards, ils se promenaient tranquillement sur l'étang, ils plongeaient et revenaient à la surface. Après avoir observé leur manège quelques minutes, Laeti se mit à réfléchir à sa situation, elle ne savait vraiment pas ce qui lui arrivait. Cela la fatiguait, elle ne savait pas quoi faire pour que ça aille mieux. Voyager, aller faire un séjour chez les moines....

Laeti arrêta de penser à cela pour ne pas déprimer encore plus, elle appela donc Eklyps et décida de prendre le chemin du retour.

Demain était un autre jour, ça irait surement mieux.

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Laeti89250 Boulangère - Cultivatrice de blé - Eleveuse de vaches

--Volfoni
Ah ben c’est pas trop tôt maugréa Volfoni en arrivant en vue de Mortagne.

Son fessier, meurtri par les soubresauts de la carriole et des jours de voyage, commençait à crier grâce…

Quand pour quelques écus il avait accepté ce chargement il aurait du demander largement le double…
sur il causerait de ça à Lucille et Chapuce à son retour à Périgueux…

Heureusement sa carrure d’ogre repu, les profondes cicatrices qui zébraient son visage et son épée toujours prompte et vive à sortir de son fourreau lui avait épargné quelques convoitises brigandes…

Ah ça pas simple le métier de livreur en ce moment…mais bon si tous achetaient chez le proche voisin il aurait plus de boulot lui…
Par contre si tous faisait comme ces petites dames de Mortagne…ben ça deviendrais un beau b**** sur les chemins^^...
pis on en sentirait plus trop l’odeur des fleurs des champs couvert par l’odeur du crottin…
Volfoni se marrer tout seul à cette idée…Mais bon en était pas là…

En tout cas par pure conscience professionnelle il avait soi-gneu-se-ment goûté le contenu de tous les futs….bonne marchandise….et avait renouvelé l’opération plusieurs fois afin d’être sur que les dos d’ânes et autres nid de poule n’avaient en rien altérer la qualité du produit…

C’est que c’était un livreur sérieux le Volfoni ! houlà ! là au moins il savait que la petite dame serait pas déçue…
Très important ça…la satisfaction de la clientèle^^

Il n’avait eu en revanche aucune inquiétude pour les nombreux sacs, sachets et autres flacons destinés au dispensaire et qui emplissaient sa carriole….l’habitude du métier sans doute…..

Arrivé proximité de l’étang, un peu perdu il interpella un promeneur


Dites mon brave, le quartier du Lys c’est par où ? j'cherche dame Fraxie....pis le dispensaire aussi....
Latika
Son chemin l'amena à l'étang, juste après l'eglise, enfin la salle qui remplacait temporairement l'eglise.

Elle alla sur le bord de l'eau et s'accroupit devant,
elle plongea le bout de ses doigts dans l'eau et regarda les rides sur l'eau que sa main avait engendré.

Elle ferma les yeux, sentant le vent faire tomber sa capuche et liberer ses longs cheveux noirs, ils volerent au vent,
et elle le sentit s'engouffrer sous sa cape, et elle reprima un frisson.

Se sentant seule, elle se mit à fredonner, sa douce et mélodieuse voix s'élevant dans les airs, les larmes commencant à secher sur sa joue.


Il vit en toi...
Il vit en moi...
Partout ou tu vas, toujours il est là...
Dans ta vérité, dans tes pensées....
Ecoutes sa voix...
Il vit en toi...


Elle ferma les yeux les larmes roulant à nouveau sur ses joues, les images refluaient devant ses yeux.


Pars mon amour...
Change de nom, change de vie....

Non, je partirais pas, pas sans toi, Falgius...

Je meurs amour, pars ou ils t'auront toi aussi...
Cache toi, vis pour moi...
Vis pour nous...


Non...
Je peux pas, j'ai pas la force...
Je les tuerais...


Non, Maria ne fais pas ça...
Regardes moi...
Tu te rappelles ce conte qu'on lisait à notre fils...


Oui...
Mais Falgius...


Non, ecoutes moi...
L'héroine, elle s'appelait Latika...
Prends ce nom et fuis....

Rappelle toi notre fils...
Rappelle toi mon amour...
Lui et moi on te protégera de là-haut...
Adieu mon amo....


NOOOOOOOOOOON....

Elle avait crié, les images trop fortes, avaient fait place à la réalité.
Elle frémit, le froid l'avait enveloppé, elle regarda à nouveau l'eau,
la clarté de la lune naissante se reflétait sur le miroir de l'étang.

_________________

Latika
Après avoir regardé l'étang de longues minutes,
les larmes sur ses joues et dans son coeur s'étant tari pour quelque moment,
elle retourna chez elle,
elle lui avait promis, elle essayerait de vivre ici,
elle allait bientôt ouvrir les thermes,
elle avait vu une école de musique, elle y passerait,
et puis elle avait rencontré tant de gens adorables...
oui elle essayerait de lui obéir.

Elle sortit de son corsage le dessin au fusin qui ne la quittait jamais
et le regarda un instant avant de le glisset à nouveau tout contre con coeur.




Elle se leva, le vent s'engouffrant dans sa cape ouverte, fesant voler sa robe blanche, devoilant ses jambes nues,
ses longs cheveux noirs flottants au vent,
ses yeux or fixaient l'horizon.

Un souffle de la tempête lui fit fermer les yeux,
elle sourit interieurement,
et le sourire se répandit sur ses lèvres,
sa douce voix cristalline ne se fit entendre presque pas entendre,
le vent l'emportant au loin, là-bas :


Car tu vis dans mon coeur...
Oui tu vis dans mon coeur...
Dès le début jusqu'à la nuit des temps...
Tu vis dans mon coeur...
Qu'importe le destin...
Tu vivras dans mon coeur...
Toujours...


Elle ouvrit les yeux, regarda l'étang une dernière fois l'étang,
et se dirigea vers les thermes,
en fesant un crochet par l'école de musique.

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Sov
Ca y est. Il était sur le point de partir. Il avait rendez vous dans quelques heures, sur la route qui menée à Montmirail. Et comme il était deja fin près, il était venu une dernière fois se receuillir dans cet endroit, qu'il était le premier à avoir découvert...Du moins, c'est l'impression qu'il avait.

Depuis la première fois qu'il s'était tenu sur cette berge, beaucoup de choses s'étaient passées.
Trop d'ailleurs. Et en ce moment meme, elle lui emplissaient la tete. Des voix... des visages... des rires...Une chose pourtant revenait souvent... Une sensation. Une sensation de chaleure.
Sans doute, celle qui faisait qu'il aimait tant cette ville.

Assailli une nouvelle fois par un flot de sentiments trop forts pour lui, il se laissa tomber à genou . Très vite, son regard fut troubler par les larmes qui y jaillissaient. Il les avait trop retenues.

Pourquoi pleurait-il ? Il ne savait pas au juste. La joie de revoir Ali et de repartir avec elle. L'appréhension de se retrouver dans le berry : qu'allait-il y trouver ??
ET surtout, la tristesse. Il abandonnait encore des amis. Encore ? Oui, car il savait que ce n'était pas la première fois...


Puis il finit par se ressaisir...Lui, éternel optimiste...S'il était triste de partir, alors c'est qu'il était heureux ici, non ? Ben alors...Ca ne sert à rien d'etre triste quand on est heureux !! Non mais oh !!


Profitons seulement, et poursuivons notre route...


Il se releva donc, se forca à sourire (se força ? non, pas tant que ça finalement), s'essuya le visage, et partit, avec ses maigres possessions, en direction de la route, où le rejoindrait bientot sa douce...

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"Il n'y a pas de problèmes, mais seulement des questions mal posées..."
"A l'intelligence, parce que la santé on l'a deja !!!"
Comteseelisa
voyant la tranquillité de l'étant elle décida donc de si rendre Elle sa promena au tour du lacs et elle vis un tronc d`arbre elle si assis et panca a tout se changement son amour qui partais pour la guerre...

elisa lui avais promis de ne pas pleurer et de lui écrire des missive tout les jours mais elle aurais préférer le garder au près d'elle
Hamnel
Désirant oublier quelques événements qui la bouleversaient Hamnel enveloppé dans sa cape de laine avait prit le chemin de l'étang. Elle ne l'avait jamais vu. Meme enfant.

Elle en avait oublié l'heure pour ne penser qu'au chemin et à son arrivée la bas.

Tout ce bousculait dans sa tete. Ces deux événements avec Arielle, ces moments intenses qu'elle ne comprenait pas avec Latika, le pacte de suicide de deux amies qu'elle appréciait malgré les jugements porté à leur égard, la douleur de son père, ainsi que les évenements qu'elle omettait involontairement, qu'elle réalisait que c'était beaucoup trop. Elle désira alors se réfugier dans un endroit encore plus secret que la cabane des terres a son papounet pour ne pas etre déranger. (elle ne remarque pas la présence d'une autre personne trop préoccupé par ses soucis.)

Ainsi éviterait elle encore ce désir de partir. De quitter la ville quelques temps. Comment était ce possible, elle qui faisait tout son possible pour ne pas juger, si ce n'était qu'à une exception près, que d'autres ne parvenaient qu'à faire ça sans honte et sans se regarder personnellement. Elle était tellement imparfaite, qu'elle ne se sentait pas le droit de juger les autres. Sauf si les comportements venaient à la blesser. Mais encore. Meme là elle tentait de comprendre.... Et elle était ici pour ça.

En ce qui concernait Judas, elle avait totalement accepté les règles du jeu du libertinage qu'elle ne pouvait se permettre d'etre jalouse et d'etre possessive. Elle savait d'avance ce qu'il en était et s'était idem pour lui. Se faire plaisir, partager quelques bons moments et ensuite ne pas s'iminiser dans la vie de l'autre comme un droit.

Aussi étrange que cela était, elle était bien dans cette relation. Elle eut un sourire mutin. Mais, voilà qu'elle avait une grande décision à prendre. Arrêter de le cotoyer. Pour qu'arrête cette situation qui la blessait vraiment et ce meme si il en était nullement responsable.

Enfin elle y arriva. Et resta muette d"étonnement devant l'étang. A vrai dire elle qui avait vu la mer, trouvait cet endroit un peu décevant. Si petit. Si tranquille. Odeur différente de la mer. Pas d'iode. Pas d'air salin. Juste une odeur plus prononcé de ....l'eau.

Mais comme elle y était, elle trouva une pierre y grimpa et s'assied.

Elle voulait retrouver le calme de son esprit. Le sacrifice pour y parvenir était Judas. Elle y arriverait. Parce qu'elle ne l'aimait pas d'amour. Juste qu'elle appréciait leurs instants intenses et révélateurs pour elle.

Il lui manquerait. Tant qu'a Arielle ça, elle la laissa derrière elle. Un tel comportement ne méritait pas comme le lui avait dit une personne qu'elle appréciait de plus en plus, qu'on lui porte autant d'intéret. Comme cette personne avait raison.

Après ici, elle retournerait a la maison, pour y rester. Le temps de reprendre le controle de son esprit.

Un sourire naquit alors sur ses lèvres. Enfin déjà le processus commençait. Elle se leva et sans un regard derrière elle, elle fit demi tour. Annaelle serait bien contente de partager quelques moments avec elle.

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Retour à la case départ, bientot l'errance.
Plus rien ne me retient ici Encore moins quelqu'un.
--Freloon


Il arriva en courant, toujours poursuivi par Yama,
il se retourna un instant pour voir à quelle distance celui ci se trouvait,
et il trébucha sur une bosse du terrain, il tomba à la renverse, roulant sur lui même.

Yama le rejoignit et lui sauta dessus, il lui attrappa la gorge et serra ses mains autour, tentant de le déstabiliser.
Il aimait cette prise, il aimait voir le visage de ses adversaires rougir, et voir leurs yeux s'exorbiter, sous la peur de mourrir étouffés.
Il serra ses mains plus fort encore.

Il se demanda alors à comment il allait s'en sortir, il n'avait pas prévenu son maitre, celui ci s'inquiéterait-il de ne pas les voir revenir,
probablement pas, ce n'est pas comme s'il n'était pas important, comme s'il comptait pour quelqu'un.

Il ferma les yeux, et se rappella le temps où il s'était fait engagé, ce sentiment d'appartenir à quelquechose, cet apprentissage poussé, cette quête, retrouvé cette femme qui était un démon... un démon d'ailleurs, il revit son visage, ses yeux avaient certe quelquechose d'étrange, mais quand il l'avait vu sur ses amis, ses amis... un démon pouvait il se faire aimer.... tout se mélangeait dans sa tête...
Yamakun
Il voulait le rattraper à tout prix, il fallait qu'il l'arrête quitte à le tuer cette fois-ci.
Il vit Freloon trébucher et tomber. Il lui sauta dessus.
Mais sans qu'il sache comment, les mains de Freloon lui attrapèrent la gorge et il sentit sa gorge se serrée, il devient rouge...l'air n'arrivait plus jusqu'à ses poumons.
Puis Freloon ferma les yeux, c'été sa chance. Il décocha un violent coup de poing qui atterit dans le nez de Freloon, déjà bien abîmé, se qui lui fit lâché prise.
L'air revenant dans ses poumons, il reprit rapidement des forces.
Freloon avait l'air bien sonné, Yama en profita.


Je te jure que tu vas mourir ici. Je vais venger toutes les personnes que tu as blessé ou tué.


Yama sauta sur Freloon le renversant par terre et l'étrangla de toutes ses forces jusqu'à se que ce dernier ne s'agite plus et ferme les yeux, la vie le quittant.
--Freloon


Il avait failli et l'autre en avait profité :
Je te jure que tu vas mourir ici. Je vais venger toutes les personnes que tu as blessé ou tué.


Atten... attendez... j'aimerais... lui parler... comprendre... pourquoi je ... meurres au moins...

L'autre sembla étonné et s'arreta un instant, le regarda comme perplexe.

On m'a dréssé ...à la tuer...mais... mais la... femme... que j'ai vu.... ça n'est ... pas ce démon... qu'on m'a... décrit...
s'il vous... plait...
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