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[RP] Caillasse, précipice et canard boiteux….

Tord_fer
[Les buissons ça grattent le cul…]

Pffffff, encore a trainé son vieux cul tout râpé sur la route, deux boulets a chaque pied. Un grec et une blonde !
Et bin ils sont pas rendus avec tous ca !
Décidément… encore l’cul dans la boue derrière les buissons avec ces deux là…
Petit regard vers sa droite. La blondasse attend accroupis comme lui.
Il s’marre. On dirait presque qu’elle est camoufler tellement la boue et la crasse la recouvre, a croire que c’est du « fait exprès ».
Petit regard en face. Le Grec… qui se gratte le cul… Il a surement des problèmes très personnelle avec cette partit du corps celui-là, en tous cas il les prend bien a cœur !
Il pense. Oui ca lui arrive, rarement certes, mais quelque fois ca lui prend. Il pense que quand il est seul il tombe sur de sacré pigeon, de bons pigeons bien gras incapables de balbutier deux mots devant son épée… Mais avec ces deux la… Jamais foutus d’ramener quoi que soit ! Surement pas assez discret ? Pourtant il parait que l’union fait la force, et que l’oignon fait la sauce, mais pas quand trois oignons sont réunis on dirait. Il y’a peu être une raison métaphysique, alchimique ou métabolique a tous ca, mais le fait est, qu’a eux trois ils ont la poisse ! Et pas une petite poissounette ! Non ! Une bonne poisse bien grasse qui colle bien et qui vous suit n’importe ou vous vous rendez, même si c’est le territoire ou sont née les pigeons !
Ils attendent…
Comme d’habitude….
Ils font que ca ont dirait !
Ils attendent patiemment qu’un gros pigeon pointe sont nez…
A vrai dire il se contenterait même d’un pigeon maigre tant qu’ils ont quelque chose a se foutre sous la dent.
De nouveau un coup d’œil vers la blondasse… Peu être qu’elle met des pancartes pour signaler leur présence sur la route ? Héhé, toutes les possibilités sont envisageables pour expliquer ce phénomène surnaturel.
Lui; il peut pas, ils ne sait ni lire ni écrire…
Là par contre il s’emmerde….


Bon qu’est c’qu’on fait si personne s’pointe ?!

Il sort de sa bourse quelque écus durement gagner à la sueurs de son front… et au temps passer sur les routes a attendre les pigeons. Il est presque prés à en mettre de sa poche pour ne pas subir de nouveau l’humiliation de revenir bredouille….

(Chaque groupe sa propre couleur en début de RP pour qu'on puisse s'y retrouver....)

_________________
Arthur.c
[Eh, on touche pas à mon cul !]

Encore une fois, il se ramassait dans les buissons avec ces deux personnes ne connaissant rien à l’hygiène. Il ne pouvait plus rien sentir depuis fort longtemps, mais il pouvait facilement deviner que ces deux-là dégageaient la même odeur que l'fumier, voir même p't'être une odeur encore plus forte. C'était p't'être pour ça qu'le Roy les mettaient ensemble... deux personnes habitués à la même odeur, et l'autre ne sentant rien. Ça évitait aux autres de les endurer. Fort bien pensé... mais maintenant, il devait quand même s'les taper... m'enfin, s'les taper, pas dans l'sens que la blondasse l'entendait, avec lui et l'Tord... y penser lui donnait le goût de s'gratter le cul... ce qu'il fit sans s'préoccuper des autres.

La dernière fois qu'les trois avaient été réunis pour faire les poches des voyageurs, ça avait foiré. Une nuit de même pas 10 écus chacun, en plus de devoir se séparer le lendemain à cause de ces putains d'Mainois. Après, en ch'min, il s'était fait racketter à son tour et avait perdu 150 écus et d'quoi se nourrir pendant 10 jours.. Ça l'avait royalement fait chier. Il espérait seulement qu'ça allait mieux s'passer cette fois-là. Au moins, là, c'était mieux organisé, et y avait plus d'populaces.

Mais là, ça commençait à être long, vraiment long. Le soleil s'couchait déjà et ils avaient encore rien comme butin, et encore pire, ils avaient saccager les bagages de personne au nom des canards, et ça, l'Roy aimerait pas ça. Ils étaient dans les buissons, à attendre, et ça l'emmerdait. Puis, l'Borgne bredouilla quelque chose.

-Bon qu’est c’qu’on fait si personne s’pointe ?!

Il le voit sortir quelques écus d'sa bourse... Ah non ! Son cul, il était pas à vendre, et encore moins à un homme ! Du moins... si on pouvait appeler ça un homme. Il a l'allure d'une bête, c'est vrai...


-Rah !! Ranges-moi ces écus ! Mon cul, il est pas à vendre ! T'avais qu'à t'vider à Varennes, sale bête !

Y a quand même une limite à s'emmerder, non?
.finn.
[A tire-d'aile.]

« Intéressons nous aujourd'hui à un animal actuellement très répandu dans notre belle Champagne: le Canard. Et plus précisément, le Canard colvert (Anas platyrhynchos). Il s'agit d'une espèce d'oiseau de l'ordre des ansériformes, de la famille des anatidés et de la sous-famille des anatinés.

Ce canard se complait dans les zones humides d'eau douce, que ce soit dans les marais, les étangs et les lacs ou les rivières calmes. Le nid des colverts est rudimentaire et le choix du lieu sans sophistication... »

-« Ici ce sera parfait. », conclut l'Irlandais en désignant à ses deux comparses un buisson touffu au détour du bosquet.

« Ses mœurs sont essentiellement nocturnes. A la tombée de la nuit, les Canards colverts quittent en bandes le grand plan d'eau où ils ont passé la journée, pour gagner leur zone d'alimentation... »

-« En v'là un, préparez-vous. », siffla-t-il depuis sa branche lui servant à guetter le pigeon.

« Le colvert est le canard le moins farouche. Il s'acclimate facilement à la vie urbaine et craint peu l'homme... »

-« Bonsoir, on se ballade? », entama Finn à l'inconnu.

« Comme les autres canards, le colvert cancane, caquète ou nasille. »

-« Tu vas loin chargé comme un baudet, camarade? »

« Les mâles de cette espèce peuvent parfois se montrer agressifs pour défendre leur femelle, leur nourriture, ou leur territoire... »

-« Ta bourse BÂTARD! »

« On ne peut que recommander une vigilance très accrue... »

-« Et dans la charrette?! »

« Leurs réactions peuvent se révéler très violentes... »


-« Eh ben mon salaud! Tu l'as trouvé où cette crosse épiscopale, hum? »

« Les coups de bec sont douloureux mais sans conséquence... »

-« Tiens tu l'as pas volé celle-ci... Celle-là non plus. Amène-toi que j'te la carre, scélérat...»

« On vous aura prévenu... »

-« On dépouille pas un homme de Dieu. », admonesta le Canard en fixant sévèrement sa victime rampante.

05-04-2011 04:05 : Vous avez lâchement perpétré un acte des plus ignobles sur un promeneur orléannais qui possédait 193,11 écus et un monceau de marchandises. Vous vous sentez affreusement coupable, et comptez bien méditer là-dessus entouré de votre pécule.

_________________
Canard velu d'un tube digestif monarchique.
“Every saint has a past and every sinner has a future.”
--Hommeennoir




Quand l'Cupide et un pigeon se rencontrent sur la route..ça donne quoi ?

La p'tite bande , Accompagnée du Cupide attendait patiemment , L'homme vêtu de noir lui , était adossé a un arbre..L'arbalète chargée , prête a tirer.. "Je sors mon arbalète comme dit la chanson "
Ils attendaient la venue d'un pigeon sur cette belle route..Ahh si , attendez ! Parenthèse..C'est une merveilleuse route , tassée avec des cailloux triés par des Rmistes qui ne font casiment rien de leurs temps..Et donc..Bah ils trient les cailloux ! Je vous prierai de prendre en considération leurs travaux..Bande d'inculte..Hmmm Donc !

Adossé a son arbre..Oui , je me répète et alors ?.. L'homme profitait de la belle soirée qui s'offrait a eux..L'cupide dansait a moitié au milieu de son or..Faut dire qu'avec ce petit butin..Un homme de son genre était aux anges. Et d'ailleurs , Lui non plus n'était pas mécontent de leur prise..En plus d'avoir péter des machoires , et explosés des cervelles..Ils ont récupérés de l'or ..et d'autres marchandises..Dont du poisson , qui reste relativement frais..Enfin , pour le moment..

Ainsi , une p'tite rousse pointa son nez..Vous vouliez qu'elle pointe quoi ? Hein ? Bon..
Elle approchait de la route , sans trop prêter attention.. rahhh..Cette jeunesse qui ne prête attention a rien..j'vous jure..C'est ainsi que , L'homme vêtu de noir , tapota l'épaule du cupide..Toujours proche du trésor , et de Labuse..Bah oui , Labuse , parlons en .. Qui profitait de sa soirée comme un peu tout l'monde.. Il vint également le prévenir et les trois hommes se rassemblèrent tranquillement pendant que la femme , elle continuait sa route.. Plutot que de s'embêter avec des discours inutile Il passa devant , posant l'arbalète aux creux des reins de la belle..


Tu bouges je t'allume..Envoie ta bourse..Et marche tout droit..Sinon , tu ne marcheras plus jamais de toute ta vie..Comprendo ? Bien ...

Décochant une baffe ..Elle désorienta l'homme vêtu de noir..Grommelant Il commença a se battre...Une vraie furie malgré les coups.. Elle finirait par ouvrir sa bourse !
Il fit signe aux autres de venir l'aider..Parce qu'elle avait la tronche en sang et continuait de se battre..Et puis bon..Enterrer un cadavre c'est chiant..Alors quite a éviter cela..

Allez BOUGEZ VOUS ! ET TOI ! Tu vas MORFLER !
Heikki
[C'est la pause]

C'était pour sûr une belle soirée d'avril. On en avait plein les panses, de l'or et des marchandises à ne presque plus pouvoir marcher. C'était donc une pause syndicale bien méritée, avec au programme larcins et petites mandales à distribuer. Près de la route, le Cupide observait ses compagnons du soir. Un petit comité à vrai dire, mais point d'inquiétude à avoir. Ce soir, c'est nous qui faisons office de péage.


L'hommeennoir fut le premier à la voir, la rousse. Le premier à gueuler aussi, et ça c'est bien gênant quand on profite du silence de la nuit.

Tu bouges je t'allume..Envoie ta bourse..Et marche tout droit..Sinon , tu ne marcheras plus jamais de toute ta vie..Comprendo ? Bien ...

Les coups se mirent à voler. Son acolyte était décidément un excité. Y'avait bien des manières pour soutirer des écus à une demoiselle, et c'était sûrement pas la tactique préférée du Cupide. Il laissa donc faire, jusqu'à ce que ce fanfaron décide d'appeler à l'aide.

Allez BOUGEZ VOUS ! ET TOI ! Tu vas MORFLER !

Allons allons fiston, pas la peine de se mettre dans cet état là, tu as juste réussi à récolter des coups.

N'oublions pas que la parole est d'or, et qu'elle résout bien des litiges. Mademoiselle, ce serait faire déshonneur à votre magnifique petite paire de fesse que de vous faire remarquer que nous sommes bien plus nombreux que vous. En cela, toute résistance superflue serait pour vous, comme pour nous une perte de temps et d'énergie.

Je vous prie donc d'excuser le pauvre hère qui me sert de coéquipier, et de me donner votre bourse sans rechigner. Car, j'oserais bien vous le faire remarquer, contre mauvaise fortune, bon coeur.


Le Monsieur Cupide tendit la main en attendant que la demoiselle veuille bien s'exécuter.



05-04-2011 04:05 : Vous avez brillamment fait la morale avec une petite rousse bien faite qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.
--Hommeennoir




[Une p'tite leçon d'morale ? Avec Ceci ? ]

Allons allons fiston, pas la peine de se mettre dans cet état là, tu as juste réussi à récolter des coups.

N'oublions pas que la parole est d'or, et qu'elle résout bien des litiges. Mademoiselle, ce serait faire déshonneur à votre magnifique petite paire de fesse que de vous faire remarquer que nous sommes bien plus nombreux que vous. En cela, toute résistance superflue serait pour vous, comme pour nous une perte de temps et d'énergie.

Je vous prie donc d'excuser le pauvre hère qui me sert de coéquipier, et de me donner votre bourse sans rechigner. Car, j'oserais bien vous le faire remarquer, contre mauvaise fortune, bon coeur.


Mouais...Bah en attendant..
Fit-il en relevant la rousse et la tenant en respect..ça t'apprendra a m'avoir cogné..T'écoutes ce qu'il a dit et tu marches tout droit sans te retourner..T'ouvre ta bouche..Et j'te planque un carreau dans la tronche..Tu finis plantée a l'arbre ? Compris ?..

Elle s'executa et versa son dût a l'homme.. sans demander son reste

Puis , l'envoyant plumer..et faisant mine de la poursuivre..Il rejoint l'Cupide..
Le regardant :


Quoi ? La diplomatie..ça marche pour le Commerce , les Affaires..Pour ce qui est du racket , de l'intimidation..La force prime..Rohh et pis.. Laisse tomber.. Bon..on a remplit les ordres du Roy hein..
On attend encore un peu ? D'façon , faudra se mettre en route.. Alors , j'sais pas ce que t'en penses..


Haussant les épaules , il extirpa un rouleau d'herbes , qu'il alluma et commença a fumer , rien de tel que du haschich pour se calmer les nerfs..
Cistude
[Dans le trou du cul champenois]

Les fouilles comblées grâce à l'inadvertance des indigènes de Varennes sur la protection de leur bien pauvre mairie, le trio de boule puante, je dis bien trois, car sûrement qu'à force de fréquenter les deux Affreux l'Grec a dû adopter leur parfum, s'enfoncèrent dans les terres champenoises. La Cistude, satisfaite de sa récente prise, et surtout de son entré en scène, encore plus d'avoir gagnée en gloire -bon vous aurez compris qu'elle était au summum de son bonheur-, ne trainait pas pour s'affubler du meilleur buisson. Elle avait violemment repoussé l'Grec et l'Borgne d'un coup d'épaule en s'exclamant que, au nom de la galanterie -même si ce mot résonnait étrangement à ses oreilles- les mâles se devaient d'offrir la meilleure place aux charmantes blondes. Hum. Donc, l'opération paralysie de la Champagne allait émerger. Malheureusement, le Roy devait trouver que l'Grec, l'Borgne et la Blonde formaient un ménage de génie. Au grand désespoir de la Tortue des Marais qui s'impatientait de tester les dernières techniques de brigandage à la mode avec un nain.

La blondasse crasseuse lorgna le blondinet qui s'grattait le cul et l'Borgne qui se foutait les doigts dans les narines. Des pensées un peu salaces lui avait traversé l'esprit, ce genre de trucs dégueulasses sur lesquels la Cistude fantasmait. Elle étira un rictus torve lorsque le Vieux leur demanda ce qu'on pouvait bien faire, à trois, derrière des buissons, isolés du reste du monde. La Blonde repoussa une mèche qui lui barrait le front, dévoilant un œil vicelard :


-'pouvez toujours vous encu... 'tain ! r'tires ton bâton du fion Arthur, remplace le par l'outil d'travail d'Jean merde ! C'l'époque du rut 'plus...

La Blondasse balança une poignée de terre au Grec en grommelant puis se leva brusquement. Elle scruta l'horizon d'une main sur le front pour se protéger du soleil pointant le midi, et intima aux couples de se taire. Quelqu'un approchait. Aussitôt la Blonde se planqua derrière le buisson en position accroupi et d'un vague regard circulaire chercha des yeux son legs. Elle s'en saisit tandis qu'elle se penchait vers les Canards, la voix basse :

-La ferme, quelqu'un vient. On lui tombe sur l'coin du museau en gueulant ?
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Lewisca
(RP fait à 4 mains, avec Ecks, je tiens à le préciser même si ça parait évident mais bon )

[ Entre Varennes et Reims… les herbes hautes ]


La nuit était tombée et l’obscurité dissimulait mon corps et ses courbes des regards des imprudents qui oseraient s’aventurer là où nous étions postés, le Roux et moi, les armes au flanc, ou pas loin…
Il se tenait debout tandis qu’un à un je faisais tomber les bretelles de ma tunique, avant de la faire glisser à mes chevilles…


Ce spectacle, je commençais à le connaitre, mais je ne m’en lassais pas. Au contraire. Je voyais ses courbes apparaitre à la lueur des flammes que j’avais fait naitre un peu plus tôt, histoire de passer la nuit confortablement. Mon épée commençait à peser lourd à ma ceinture. Rapidement, je m’en débarrassais pour m’approcher de la belle. Puis, c’est mon mantel qui glissait sur le sol, laissant le champ libre à la douce pour venir explorer d’avantage, si le cœur lui en disait.
Nous avions toute la nuit, nul voyageur ne passerait avant le lever du jour.


Toute la nuit, la seule idée m’exaltait, presque autant que le souffle de mon brigand complice qui éveillait ma peau de la plus suave des manières, affolant mes sens. Mes mains quant à elles se faisaient ailes de papillon, et batifolaient sous sa chemise qui tomba aussi légère qu’une caresse. Mes lèvres suivaient le chemin de mes paumes : elles goutaient à sa peau légèrement musquée ; mes doigts s’articulèrent ensuite pour défaire le cuir de sa ceinture, et faire glisser le tissu de ses braies le long de ses jambes …Je souriais.
Mon dos rejoignit bientôt le sol humide, l’herbe fraiche. En regardant vers le ciel, son visage en plus de la voûte sombre me surplombait, l’instant ne pouvait être plus divin.


Surplombant la belle, je m’étais laissé guider par ses caresses exquises alors qu’elle m'entraînait sur ce terrain dangereux. Je m’agenouillais avant de la rejoindre sur l’herbe, m’allongeant au dessus d’elle. Je sentais la brise nocturne venir elle aussi gratifier nos corps dénudés de ses caresses. Je frissonnais. Mes deux mains approchèrent son visage du mien, et mes lèvres vinrent épouser les siennes avant de laisser nos langues en faire de même. Doucement, mes doigts commencèrent à explorer la surface de ce corps que je dominais, se faisant de plus en plus curieux, ne laissant aucune zone inexplorée. Je sentais le désir monter en moi depuis de longues minutes, et finis par empoigner son bassin. Il était temps pour moi d’honorer la belle et je ne me fis pas prier à son invitation. L’étreinte était intense alors que nos corps s’unissaient, j’en oubliais ce que nous étions venus faire ici. Autour de nous, la plaine, rien que la plaine, ou presque…

Nous. Rien que la plaine… Je ne pensais entendre que nos soupirs mêlés, nos caresses et nos baisers qui se répondaient en harmonie. Mon désir était jumeau au sien, nos corps, sur lesquels s’était formée une mince pellicule de sueur soulignant ainsi mes courbes et le dessin de ses muscles, s’accordaient à ne faire plus qu’un.
Je me grisais de notre étreinte. Bientôt je n’avais plus conscience du temps qui passait, la mission qui nous avait été confiée, le lieu où nous nous trouvions. Oui, en cet instant de plénitude j’oubliai tout, je m’enhardis alors, ivre de délices, et je roulai au dessus de lui. Mes reins, ondoyant, entamèrent une danse langoureuse ce qui offrait un spectacle des plus alléchants à mon amant, désormais le seul devant qui j’abandonnais toute pudeur… Du moins je le croyais ; jusqu'à ce qu’une voix de crécelle vint transpercer la torride nuit que nous deux aurions pu passer.



Ecks : C'est quoi ce bruit ?
Lewisca : Quoi ?! Rien
Ecks : nan nan, y a quelqu'un...

Lewisca : Tu déconnes, là ?!
Ecks : J'ai l'habitude de déconner dans ces moments là?.. y a quelqu'un j'te dis...
Lewisca (sursaute) MERDE ! (puis plus bas) C'est par où ?
Ecks (en pointant du doigt.) : près du chemin, j'crois


Nous nous y dirigeons en silence.
Là se trouvait tapie l'imprudente, les yeux ronds. On se concerte tous les deux en un regard éloquent qui fut suivit d'un théâtral :


On s'la fait ?

C’est ainsi que :

Citation:
*05-04-2011 04:06 : Dans le plus simple appareil, vît en vent et pleine lune apparente, vous avez racketté K**** qui possédait 75,16 écus et des objets.

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