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[RP] - Ma vie pour un brushing !

Yolanda_isabel
Une brosse en ivoire qui vole par la fenêtre d’un hotel parisien, une.

-« Aïeuuh ! »
-« Pardon, pardon, pardon ! »

Les boucles blondes rentrent par l’embrasure de la fenêtre d’où elles étaient sorties pour que leur propriétaire s’excuse auprès de la victime de son emportement. La cause ? Si Constance était méchante et préférait s’occuper de son fils que de Yolanda – étonnant, hein – on pouvait au moins lui reconnaître qu’elle était douée pour coiffer la masse dorée de la fillette. Mais elle, toute seule, elle n’y arrive pas du tout. Elle n’est pas mal coiffée, elle n’est pas coiffée du tout, c’est différent.. Les boucles s’étalent sur les épaules, libres de toute entrave textilienne parce que décidemment, non, elle n’arrive pas à les attacher. Et quand Yolanda n’arrive pas à faire quelque chose ? Que fait-elle ? Elle chouine ! Voyez plutôt.

-« Naaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa' ! Y m'faut quelqu'un qui coiffe ! »
-« Fitz ferait un bon coiffeur. »

T’es sérieuse, là ? Sourcil de la Rose à la Prune, l’une perplexe, l’autre en pleine descente.

-« C'est un garçon si t'as pas vu ! »
-« J'ai dis coiffeur, pas coiffeuse »
-« Mais y faut une fille.. C'est les filles qui font ça ! C'était Constance avant.. Et pis, Fitz y prie, y peut pas tout faire.. »

Non, elle ne s’attardera pas sur l’air tout à fait blasé de sa secrétaire préférée, non, enfin, un peu.. Des fois qu’elle voudrait se proposer, non ? Vraiment .. Bon..

-« Si je déguise Fitz en fille ça marcherait pas? -Nan. Mauvaise idée... Et tu comptes trouver une coiffeuse où? »
-« On écrit une annonce. Je dicte, tu écris. »

Oui, parce qu’il y a des choses importantes dans la vie, notamment le fait que son père paye des gages à une branleuse de première catégorie, en échange de quoi ladite branleuse rédige le courrier de l’Infante. Et ladite branleuse² de lâcher sa pipe et d’attraper le nécessaire à écrire.

-« I’m Ridi. »
-« Cule ! Alors .. Moi, Yolanda Isabel de Josselinière et pis la suite hein.. Annonce, que je cherche quelqu'un pour me coiffer, parce que je suis pas très douée pour ça, même si je suis douée d'autres choses. Et donc, si vous êtes d'accord, vous pouvez me rejoindre à l'Hotel Josselinière pour passer un entretien ! Moi. C’est bon ? »

Un coup d’œil par-dessus l’épaule de la Junkie/Secrétaire/Confidente/Pine-co et la plume est attrapée pour gribouiller sa petite signature à la suite de la grande.

Citation:


    Moi, Yolanda Isabel de Josselinière,
    fille cadette d'Erik de Josselinière et Fitzounette de Dénéré-Penthièvre, Pair de France, Ducs de Corbigny, de Chateau-Gonthier et Seigneurs de la Croixille.

    Annonce que si vous êtes arrivé jusque là c'est que vous aurez peut-être le courage de me coiffer, de m'apporter mes macarons et de me faire répeter les leçons de françois apportées par la superbe, splendide, unique et sur-puissante Na'.

    Le Casting se déroulera à l'Hotel Josselinière.
    Tenue correcte exigée ainsi qu'une quantité de macarons Ella Durée minimale.
    Conditions de l'offre à définir.

    Yolanda Isabel de Josselinière ©


-« Et maintenant ? On mange ? »

Une tête de junkie qui opine, et le bras potelé se tend, au prix d’un effort que la flemme n’annihilera pas, pour attraper une clochette signifiant à la valetaille peuplant l’hotel que les fainéasses de l’étage ont faim. Dur d’être une héritière et dur d’être sa secrétaire à plein temps, si, si.
_________________

« Yolanda Isabel de Josselinière : créatrice de la Disney Parade du XVème siècle ! » - Breiz.
Juliette
la ville, paris, la capitale, enfin.
juliette avait marché plusieurs jours pour en arriver là, mais en arriver où exactement? la vie dans la nature allait un temps, l'age, la disette, il lui faudrait bien un jour sortir des bois.
et c'est ce qu'elle fit, pas de parent, pas d'argent, quelques haillons, un bâton...
du haut de ses 14 printemps elle contemplait ce monde nouveau, mais douloureux!! pieds nues les pavés la meurtrissaient, les rues étaient froides, l'aube peu chaleureuse et la pierre s'étendait à perte de vue.
l'estomac vide elle songeait qu'en forêt elle aurait toujours pu trouver quelques chose à glaner, mais là....sans un écu en poche.

le regard las, avançant avec la montée du jour elle rêvait à la chance, au destin à tout ce que la ville peut offrir à une fille comme elle sans en imaginer les dangers.

et le danger vint bien vite, très vite même.


PAF !!!!

un objet tombé du ciel, sur son crane! un choc assez violent pour la mettre à genou! juliette ramasse l'objet, ce frotte la tête, verse une larme, peste un coup et regarde son agresseur; c'est blanc c'est beau et.....ça doit bien servir à quelques chose....après plusieurs essaies peu fructueux pour tenter d'en percer le mystère, elle remarqua que le manche était trop cour pour ce gratter le dos.
puis ce le passant sur la tête elle vit que ça tirai un peu les cheveux mais qu'en insistant un peu cela débarrassait ça magnifique chevelure ébène de la vermine.

puis elle finit par ce demander d'où cela pouvait bien venir, elle ouvrit ses grands yeux vert, leva la tête et remarqua une fenêtre ouvert d'où émanait des couinements et des cries.

peu après la porte s'ouvrit et une femme sortie en coup de vent placardant un morceau de papier sur la porte.
hmmm juliette ce dit que l'objet devait être recherché, et que donc elle serai récompensée, ce gratte tête était bien jolie mais il n'allait pas lui remplir le ventre. et au final que pouvait elle bien risquée?

ni une ni deux juliette, peu consciente de son état, le gratte tête dans une main et son bâton dans l'autre frappa tout sourie, à la porte, pensant déjà à une pomme.


TOC TOC

hé oh y a quelqu'un ?
Yolanda_isabel
Du boudin.
Ce n’est pas ce qu’il y a au menu, mais plutôt, ce qu’elle fait. L’Etoile boude, parce que dans l’affaire, elle a quand même perdu sa brosse préférée, alors elle jette un regard mauvais, qui au peigne de nacre sur la petite coiffeuse en bois de cerisier, qui au tranchoir attablé devant elle.


-« Ca a même pas le goût d’agneau.. Et puis, c’est quoi cette manie de mettre que du vin aux épices, je veux du Chablis.. Hein, Na’ que ça a pas le goût de m’agneau !? »

Un coup d’œil à la Wolback qui lui suffit pour comprendre qu’elle n’a rien à attendre de sa secrétaire, celle-ci s’est endormie. Elle pourrait faire un caprice, elle pourrait s’énerver et crier, mais finalement, elle s’y est habituée à cette jeune fille atypique, à son odeur qu’elle chérit, au corps trop maigre pour être vraiment réconfortant quand elle lui laisse l’opportunité de s’y appuyer quand elle est triste ou fatiguée, alors en silence, elle se lève et vient tirer une fourrure sur le corps maigrichon de la Wolback.

-« Fais dodo Na’.. »
-« Votre Gracieuseté ? »
-« Chuut ! Na’ fait dodo.. C’est pourquoi ? »

Et de trottiner jusqu’au valet parisien en surveillant du coin de l’œil la junkie avachie.

-« Une jeune fille en bas qui tient une brosse. Il semblerait qu’elle vienne pour le poste, ce qui est étonnant vu que vous venez juste de la faire accrocher dans le quartier. »
-« Bah, ça prouve que ça marche. Fais la viendre dans la chambre de Maman, on va laisser Na’ faire dodo. »

Et de rejoindre la chambre de sa mère dans l’hotel familial tandis que le majordome redescend pour rejoindre la jeune fille.


-« Si vous venez pour la charge de camériste, suivez-moi, Sa Gracieuseté veut vous voir. »

Il n’attend pas plus le valet, fatigué des caprices de la petite blonde, si quelqu’un peut subir pour lui, ça serait parfait.
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« Yolanda Isabel de Josselinière : créatrice de la Disney Parade du XVème siècle ! » - Breiz.
Juliette
la porte s'ouvre, un homme, quelques mots échangés de loin, on la fait entrer en vitesse, trop vite peut être, que ce passe-t-il ? le gratte tête ? non camériste ha oui ça doit être ça le nom de ce machin.

un mot peut être ? euh m'sieur euh....non trop tard il est partie!

en lieu et place une grande chambre, le luxe la nouveauté les odeurs, les parfums et une gamine? ou une poupée bouffie? un mélange des deux sans doute et comme si on attendait quelques chose de juliette....oui mais quoi? ha ben oui le gratte tête camériste! enfin en théorie....
en maintenant ben ouvrons là voyons.....enfin peut être il aurait mieux fallut ce taire...


euh ben b'jour s'pour l'camériste là?
elle brandit le gratte tête s'pour vous euh...toi euh vous m'selle?

et puis au passage on sourit ça mange pas de pain!
Yolanda_isabel
Dans la chambre de Maman, il y a les affaires de Maman, du parfum de Maman, les brosses de Maman, alors tandis qu’en bas, le domestique ramène la postulante, Yolanda a réquisitionné une brosse et démêle encore et encore, et la porte s’ouvre sur une .. Gueuse. Les azurs grands ouverts, elle observe les guenilles, la tignasse, l’air sale, on se croirait dans un mauvais rêve, puis soudain, le regard se pose sur la brosse en main de la jeune fille, et alors qu’elle pourrait se rassurer, l’autre parle. Et quand la bouche de la fillette s’ouvre en un « O » de surprise, celle du majordome se pince alors qu’il marmonne.

-« On dit Votre Gracieuseté.. »
-« Laisse.. Regarde, elle a une brosse, elle sait ce qu’elle fait ! Vous êtes viendue pour être camériste ? Ca tombe trop bien ! Parce que j’en ai marre ! J’y arrive pas, moi à me coiffer. Regardez ! »

Oui, regardez ! Ils sont beaux ces cheveux dorés qui auréolent le visage joufflu, mais ils ne sont pas assez longs pour être rassemblés en une longue tresse comme ceux de Clémence ou en un chignon savant comme ceux de Marraine, ils s’arrêtent sous les épaules, encadrant de boucles blondes les joues rondes, brillant d’avoir été brossés encore et encore sans pouvoir en faire quelque chose.

-« J’arrive pas à coiffer ! Enlever les nœuds, je sais faire, mais je peux pas les remonter en joli, ils font que glisser. »

Et elle met ses paroles à exécution pour montrer l’ampleur du problème. Le problème ? Elle est obèse, et donc les bras potelés, trop potelés, l’empêchent de retenir à sa guise la masse dorée, et donc par conséquent, si elle sait les démêler, elle n’arrive pas à les attacher, le drame dans une société où les seules femmes à porter leurs cheveux lâchés sont les prostitués. La brosse de Maman caresse une boucle dorée, comme si par ce simple fait, Maman pouvait la caresser, et de nouveau, le regard se pose sur la jeune fille.

-« Vous allez m’aider ? Moi, c’est Yolanda Isabel..Vous voulez bien essayer ? Si ça marche, je dis à Na’ que c’est bon, et on dira à Papa qu’il faut qu’il vous paye.. Il le fait pour Na’ ! »

L’infante a bien compris comment marchait les choses, une larme de crocodile et Papa et Aimbaud cèdent à ses caprices et engagent qui elle veut. Dis oui, pitié, regarde mes cheveux !
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« Yolanda Isabel de Josselinière : créatrice de la Disney Parade du XVème siècle ! » - Breiz.
Juliette
beaucoup d'informations à la fois, faut faire le trie, et faire simple, juliette résume dans sa tête : alors ce truc c'est pour les cheveux, la gamine veux un coup de main, et je serai payée pour ça.....ok les cheveux, les écus à manger!

là tout était clair un travail en gros....faut coiffer la gamine! et....c'est comme jouer à la poupée, sauf que juliette n'en a jamais eu...et bien voilà une bonne occasion de rattraper le temps perdu!


euh oui oui ta gracieuse j't'aide pas d'soucis!

si tôt dit si tôt fait juliette, en admiration devant la jolie tête blonde commence à brosser tout doucement, la petite sent bon, ses cheveux son propre et brillant, juliette ce prend à rêver à une enfance qu'elle n'a pas eu,

un ruban, un tour, un petit nœud, trop trop craquante, une grosse poupée joufflue! si le repas était à l'origine de sa motivation première, une nouvelle sensation faisait son apparition. elle aimait ça!

bon à y regarder de plus près le nœud n'était pas parfait et le tout pas vraiment centré mais ça ne pouvait être pire qu'avant....

puis juliette pensa enfin à ce présenter, tout en contemplant son œuvre, qui même loin du travail d'un professionnel lui plaisait beaucoup.


ta gracieuse yolande moi c'est juliette! et euh j'pas d'mandé mais t'voulais une ou deux couettes?
Yolanda_isabel
Dans le miroir, il y a une petite blonde obèse et une petite brune un peu mince, mais surtout, il y a ces cheveux indomptables qui se retrouvent domptés par une autre, pour un peu, elle leur dirait que c’est bien fait pour eux ! Elle ne voit pas le nœud derrière, mais quand elle voit le ruban qui joue dans les mains de Juliette, elle sait que ce sera joli.. ou pas. L’art, c’est subjectif. Et quand on lui demande son avis, elle ouvre grand la bouche avant de sourire jusqu’aux oreilles et d’applaudir comme l’enfant qu’elle est. Cela fait si longtemps qu’elle n’a vu ses cheveux attachés, puisqu’il n’y a qu’Attia qui perd son temps à cela quand elle doit porter une de ses robes. Ou comment exprimer sa réussite au test.

-« Je veux bien deux couettes ! Ca serait joli ! »


Ce n’est pas un ordre, Yolanda n’ordonne jamais, c’est une suggestion qui ne souffre pas de refus, et là, dans le miroir, elle regard le museau crasseux de la petite coiffeuse, et le nez gigote sous le coup de la réflexion, il faut poser des questions, savoir d’où elle vient, ça serait bien, si elle la prend à son service et doit expliquer à Aimbaud ou Papa pourquoi elle est parfaite.

-« Juliette, tu viens d’où ? Tes parents y vont être d’accord que tu viennes avec nous si je dis qu’on te engage ? On peut dire à Na’ d’écrire une lettre tu sais pour prévenir que c’est pour travailler. Charles, il dit des fois que les gens ont besoin de travailler pour manger. »

Et la révélation !


-« T’as mangé ? T’as faim ? T’as soif ? T’as fini ? »


Oui, n’oublions pas les priorités ! Elle a bon cœur, mais elle aime ses cheveux aussi !
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« Yolanda Isabel de Josselinière : créatrice de la Disney Parade du XVème siècle ! » - Breiz.
Juliette
la petite est mignonne à croquer, une vrai poupée!
deux couettes? pas d'problème! une occasion de plus de jouer, car au final pour juliette tout ceci devient un jeux.....

sauf qu'avec deux couettes plus question de foirer le nœud....juliette s'applique, déjà mettre les deux au même niveau, et ce serai plus simple si la boule ce tenait tranquille....mais c'est forgeant qu'on devient forgerons et le deuxième essaie est bien plus concluant.
on est loin certes du travail d'une vrai professionnelle mais là au moins ça ressemble à quelques chose.

puis la petite lui parle......enfin elle lui fait subir un interrogatoire plutôt!


Citation:
« Juliette, tu viens d’où ? Tes parents y vont être d’accord que tu viennes avec nous si je dis qu’on te engage ? On peut dire à Na’ d’écrire une lettre tu sais pour prévenir que c’est pour travailler. Charles, il dit des fois que les gens ont besoin de travailler pour manger. »


les questions sont bien embarrassantes, et juliette tente d'y répondre comme elle peut...

euh d'où euh chais pas trop en fait, de là où il y a des bois j'crois et des parents j'en aie pas, enfin chais pas qui c'est. et du travail oui mais chais pas faire grand chose moi enfin sauf avec les ch'veux p't'être....

sur ce mots elle finit son ouvrage, elle regarde, sourit, et oui c'est beaucoup mieux que la première fois! faut dire qu'avec de si beaux cheveux c'est pas compliqué!

puis la joufflue ajoute


Citation:
« T’as mangé ? T’as faim ? T’as soif ? T’as fini ? »


voilà une question qui fait tilt! mais juliette oserait elle? demander la charité ainsi....mais quand la faim est là...


oh euh oui euh ta gracieuse mamzelle yolandea euh enfin si j'osait mais euh enfin si vous euh juste un peu d'pain et d'eau ....
cafouillis quand tu nous tiens! et pour retrouver un peu de contenance juliette termine sur un victorieux :

oui oui c'est finis !!!
Yolanda_isabel
Récapitulons, elle vient de nulle part, elle ne connaît pas ses parents et elle est sale, et elle a faim, et surtout, parce qu’il faut en toute occasion, garder le sens des priorités, elle coiffe bien. Avec un plaisir non feint, la fillette écoute les réponses de la future camériste, ancêtre de Franck Provost à n’en pas douter. Comment peut-on ne pas se souvenir de ses parents ? Et puis, finalement, elle sait y faire avec les cheveux, les yeux à demi-fermés parce que quand on est petite et que quelqu’un vous touche les cheveux, inévitablement, la chose est agréable et vous vous laissez faire béatement. C’est quand enfin, Juliette prévient qu’elle a fini et que oui, effectivement, elle a faim, que l’Infante se redresse pour tourner la tête d’un côté puis de l’autre, en agitant les petites couettes.

-« C’est joli comme tout ! »

Reprenons dans l’ordre, donc. Elle a faim, et elle est engagée. Au valet resté dans l’ombre, elle fait signe de venir.

-« Y faut amener à manger, pas du pain et de l’eau, c’est pas bon. Y reste du n’agneau ? Ramène du n’agneau et du vin aux épices, et pis, des macarons.. Y a des macarons, hein ? »
-« Certainement, Votre Gracieuseté. »
-« Amène alors. »

Et maintenant, à nous deux. Elle descend de la chaise et commence à faire le tour de Juliette en silence avant de rire.

-« C’est trop bien, je trouve.. C’est pas grave que t’as pas de parents, comme ça, c’est plus simple. Tu dors à la maison, on te trouvera une chambre bien, à côté de la mienne pour si jamais, je veux des autres couettes. Et pis, on dira à Papa, il faut qu’il te donne des sous comme il fait à Na’, Na’ c’est ma secrétaire ! Ah .. Et pis, y faut pas manger du pain et de l’eau, ça fait pas bien grandir.. »

Bonjour, j’ai trouvé un nouveau jouet et ma vie, c’est trop l’éclate. Echange de bons procédés, je fais tête à coiffer et tu fais Barbie grandeur nature.

-« Et puis, on va trouver des vêtements mieux.. Parce que c’est pas méchant mais.. C’est pas joli. Et un bain aussi.. »

Ça serait pas du luxe, ouais ! Ou comment trouver une camériste et occuper une enfant en une leçon. Welcome Josselinière’s Home Sweety !
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« Yolanda Isabel de Josselinière : créatrice de la Disney Parade du XVème siècle ! » - Breiz.
Juliette
juliette vit la petite grassouillette bondir de son fauteuil! surprenant qu'une enfant si potelet soit capable d'un tel rebond, à moins que ce soit lié....
et la voilà qui enchaine phrases ordres à un rythme bien soutenu pour notre ingénue.


Citation:
-« C’est joli comme tout ! »

juliette sourit
Citation:
-« Y faut amener à manger, pas du pain et de l’eau, c’est pas bon. Y reste du n’agneau ? Ramène du n’agneau et du vin aux épices, et pis, des macarons.. Y a des macarons, hein ? »

petit sursaut, juliette n'avait point vue l'homme dans son dos!
puis gros point d'interrogation! du n'agneau, du vin, des macarons....mais c'est quoi tout ça? certes cela promettait un beau festin mais cela restait bien intriguant. puis la gamine enchaine de nouveau!

Citation:
-« C’est trop bien, je trouve.. C’est pas grave que t’as pas de parents, comme ça, c’est plus simple. Tu dors à la maison, on te trouvera une chambre bien, à côté de la mienne pour si jamais, je veux des autres couettes. Et pis, on dira à Papa, il faut qu’il te donne des sous comme il fait à Na’, Na’ c’est ma secrétaire ! Ah .. Et pis, y faut pas manger du pain et de l’eau, ça fait pas bien grandir.. »
-« Et puis, on va trouver des vêtements mieux.. Parce que c’est pas méchant mais.. C’est pas joli. Et un bain aussi.. »


à mangé, du travail, de l'argent, une chambre, des vêtements.....les yeux de juliette s'illuminent, la ville lui promettait bien des choses mais cela allait au delà des ses rêves les plus fous !
submergée par l'émotion juliette en tomba à genou! les yeux emplie de joie et de bonheur elle fit ce que toute personne de ça condition aurait fait, elle se confondit en remerciement, un geste, qui si pour certains était bien ridicule, était des plus naturel pour juliette.

oh merci merci merci mamzelle merci beaucoup beaucoup, personne n'a jamais fait ça pour moi merci merci merci.....

puis repensant à certain détail elle ajouta

un bain? c'est comme quand on s'baigne dans la rivière? na parce que j'en aie pas vue beaucoup dans l'coin....

de quoi en dégouter plus d'un! puis regardant ça tenu elle pris conscience que oui elle ne ressemblait pas à grand chose à coté de cette petit poupée, ce qui lui procura comme un léger sentiment de honte, bien vite dissipé par sa bonne fortune du jour.
elle était ainsi, à genou devant l'enfant, souriante, essuyant ses larmes, et ne sachant plus quoi dire. tout ce qui lui arrivait était certes formidable mais la dépassait complètement.
Yolanda_isabel
Ah ouais ? Carrément !
A genoux devant elle, la jolie brune qui fait des couettes, et la petite blonde ouvre la bouche en grand, comme aux allégeances, cela veut dire de la loyauté et un serment, c’est .. Impressionnant. Alors, les mains potelées se saisissent de celles plus grandes de Juliette, et elle lui sourit avant d’ajouter enfin, comme on parlerait à une enfant, comme on lui parle à elle.


-« Oui, on peut se baigner dans la rivière, mais c’est mieux dans un baquet cômmême tu sais. »
-« Votre Gracieuseté ? Le repas pour.. elle est prêt. »
-« Bah pose.. Et fais viendre un baquet avec de l’eau, y faut qu’elle se lave et trouve des vêtements aussi, les siens sont moches. »

Une évidence quand on s’habille chez la Des Juli que de trouver ces frusques répugnantes tout simplement moches. Mais la question ne mérite pas qu’elle s’y appesantisse puisque déjà, elle entraîne à sa suite Juliette devant le petit guéridon où a été placé le tranchoir recouvert de gigot d’agneau et le couteau, ainsi que deux godets et un pichet rempli de vin d’épices, ainsi qu’un drageoir en porcelaine débordant de macarons à la framboise.

-« Allez viens ! On mange ! Et après, au bain ! Et après, on t’habille ! »

Tout un programme dis donc ! Et elle picore allégrement dans les macarons, les agrémentant de temps à autre d’une gorgée de vin, tandis que de l’œil, elle surveille les servantes qui montent le baquet et les seaux pour le remplir, et que l’une d’elle dépose une simple chainse de laine écrue, et une cotte bleue.

-« T’aimes le bleu, j’espère.. »

Oui, tout le monde sait que le rose, c’est mieux.
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« Yolanda Isabel de Josselinière : créatrice de la Disney Parade du XVème siècle ! » - Breiz.
Juliette
juliette regardait cette mini boule avec de grands yeux, elle lui avait pris les mains et ça la rassurait. ensuite elle commença à lui parlé, encore, toujours, un baquet? encore un nouveau mot, juliette aurait pu se concentrer un peu pour y trouver un sens mais le repas avait fait son apparition...
des lors plus rien ne comptait, et on pouvait bien lui raconter n'importe quoi!
au final son cerveau de mouche ne retint qu'une chose.

Citation:
-« Allez viens ! On mange !

le reste.....lui passait bien au dessus, le bain, les vêtements, juliette n'avait qu'une idée manger!!! instinct primaire qui ce passe de bien des manières, et déjà qu'elle n'en avait pas beaucoup....

un morceau d'agneau! goute -t- elle ? non pas vraiment, elle l'empoigne et mord dedans comme un chien enragé! et elle avale direct! mâcher? pourquoi faire?

GNIARK GLOUPS !!!

paf à peine avalé un deuxième qui subit le même sort! pas très élégante et bruyante de surcroit, la scène manquait plutôt de charme mais la faim c'est la faim! et la soif dans tout ça? deux godets un pichet? la bonne blague! comme si une gueuse inculte allait ce servir un verre....

ni une ni deux elle attrape le pichet et


GLOUPS, GLOUPS, GLOUPS, GLOUPS.......

le gout? es ce fort? non la faim la faim la faim!!! du vin plein les lèvres? pas grave un bon revers d'avant bras et le tour est joué, et la voilà qui plonge à pleine main dans les macarons se les envoyant deux par deux! un chien devant ça gamelle aurait eu plus d'élégance...

mais que pouvait on attendre d'autre d'elle finalement? juliette était pauvre, jeune, sans éducation et n'avait pas mangé depuis plusieurs jour....la bouche encore pleine de macarons elle ce renvoie un morceau d'agneau et fait glisser le tout avec plusieurs gorgées de vin.
va-t- elle finir par ce rendre malade? à ce rythme là aucun doute....

macaron agneau, agneau macaron, vin, vin, agneau agneau agneau, macaron macaron macaron, vin vin vin.....le repas de gargantua n'en finit pas!
mais chemin faisant le vin commence à lui monter à la tête, et du coup elle finis par ralentir histoire de reprendre son souffle et commence à percevoir que règne autour d'elle comme un étrange silence....qui soudain est brisé par un magnifique rot

BURPS !!!!
du vin du vin du vin du vin? ben voyons! en voilà une vrai bonne grosse mauvaise idée quand on en a jamais bu de sa vie! l'orgie ce voit soudainement stoppée nette par un bien malveillant hoquet....
HIPS! HIPS! HIPS! HIPS! HIPS!
un dernier petit coup de vin pour tender de s'en débarrasser mais il est trop tard ça tête tourne et ses joue son bien rouge.....juliette est repue certes mais elle aussi pompette.
et c'est d'un magnifique revers de manche sur la bouche entrecoupé de hoquet qu'elle conclu son festin......la grande classe!
Yolanda_isabel
OH-MON-DIEU .. C’est plus ou moins ce que veut dire la mine horrifiée/hébétée/hallucinée de Yolanda à l’instant même où elle voit sa future camériste se jeter sur la nourriture servie. Elle est loin la petite mimique adorable où la bouche s’entrouvre de surprise, elle a cédé la place à une bouche grande ouverte, des yeux écarquillés. Et c’est le macaron qui s’échappe de sa main qui la ramène à la réalité. Oh mon dieu, ouais, c’est à peu près ça.. Elle hallucine grave comme dirait l’autre.. Dans la chambre de Maman, il y a un silence qui n’est interrompu que par les borborygmes venant de Juliette, les servantes se sont tues et les seaux déversent leur continu presque silencieusement. Et doucement, les yeux se posent sur le macaron par terre, alors c’est la fin, et la mine si douce auparavant se fait fermer quand le pied vient taper sur le sol et sur le macaron avec colère.

-« Juliette ! ARRETE ! C’est pas comme ça ! »

Oui, arrête sinon, je jure que je vais être fâchée. Parce qu’elle a peur, peur que sa future camériste qui fait de jolies couettes ne soit en fait qu’un monstre et que quand elle présentera la chose à son père, que ledit paternel ne voit que cela, des mauvaises manières, alors elle sera renvoyée et adieu les couettes. Alors qu’elle arrête et vite ! Elle attrape d’autorité les mains de la jeune fille et les essuie avec soin et fermeté sur la nappe, comme chacun se doit de le faire. Car oui, les nappes servent à cela, sinon il faudrait s’essuyer les doigts couverts de graisse sur les vêtements et comme nul n’est assez riche, Marraine mise à part, pour se permettre le luxe de changer de vêtement plusieurs fois dans le jour, les nappes ont une utilité qui n’est plus à prouver, et toute personne possédant de bonnes manières vous le dira. Et c’est pour cela qu’au lieu de manger à pleines mains, on mange du bout des doigts ou à l’aide d’un couteau, la Cour de France n’ayant pas encore jugé de bon aloi d’utiliser plus avant la fourchette à sa table. Alors de lui montrer en attrapant un bout d’agneau, un survivant du carnage perpétré par l’affamée, en l’attrapant entre deux doigts et en le portant à sa bouche, pour le mâcher avec soin.


-« Comme ça.. Bon, c’est pas grave.. On va te mettre au bain, pour tout nettoyer comme ça, ça se verra pas.. »

Que t’as mangé comme une cochonne, qu’à sept ans, Yolanda découvre la honte, les responsabilités mais aussi les différences entre les niveaux sociaux. La vache, c’est dur. Alors, elle l’entraîne à sa suite, en prenant garde de bien la retenir pour ne pas qu’elle titube de trop. Elle commence à avoir l’habitude l’Infante avec son père, mais tout de même, elle pousse un soupir de soulagement quand l’adolescente atterrit entre les mains savantes des servantes.

-« Tu sais, y faut pas boire trop de vin.. Normalement, on met un peu d’eau dedans.. Pas trop, parce que l’eau ça fait des humeurs Papa y dit. »

Oui, les humeurs.. L’eau porteuse de miasmes, l’eau qui traîne son lot de saletés, et qui vous retourne un estomac des plus solides. Cette eau n’est acceptée que bouillie pour le bain et les tisanes, ou qu’avec beaucoup de vin pour le couper. L’eau, c’est le mal ! Mais le bain, ça fait du bien ! Allez, au bain Juliette et que ça frotte !

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« Yolanda Isabel de Josselinière : créatrice de la Disney Parade du XVème siècle ! » - Breiz.
Juliette
en un mot : "fallait pas l'inviter"!
dégoutante? oui c'est sur! consciente de cela? c'est pas gagné! mais au vue des réactions juliette doit ce rendre à l'évidence ce qu'elle vient de faire est mal! oui mais pourquoi? elle ce fait rouspéter par yolanda! cette dernière tente même de lui montrer comment faut manger.....es ce que juliette comprend? entre sa cervelle d'oiseau et le vin qu'elle a bue rien n'est moins sur....elle aurait même pue en rire si sa nouvelle petite maitresse n'avait pas l'air si courroucée.
et c'est d'un air penaud qu'elle ce laisse entrainée par la petite, tentant au passage de s'excuser


HIPS par.. BURPS..don

non vraiment mieux vaut ce taire! le hoquet est toujours un peu là et quand on mange trop vite on avale de l'air....puis yolande ajoute :
Citation:

-« Tu sais, y faut pas boire trop de vin.. Normalement, on met un peu d’eau dedans.. Pas trop, parce que l’eau ça fait des humeurs Papa y dit. »

oui ça elle avait fini par comprendre! le vin ça tourne la tête!
maintenant juliette allait faire face à une nouvelle épreuve, un bain hors de la rivière! et le décor est planté, la voilà confiée aux servantes, un baquet remplie d'eau fumante semble avoir été préparé à son intention...mais voudrait on la faire cuire? en tout cas tout semble indiqué que c'est bien pour elle et qu'un bain hors de la rivière c'est ça.
et voilà notre ingénue qui a peur! avantage numéro 1 la peur ça fait dessaouler! et puis les gens là autour ils vont rester ou pas? des femmes oui mais bon quand même elle les connait pas et en plus elle est particulièrement pudique!
on la regarde, on attend d'elle mais que faire? l'ouvrir? essayons....


euh ....b'jour, euh s'quoi ça là? ça fume hein....vous attendez quoi?


on attend que tu te dessape et que ailles à l'eau gourdasse !!!! oui mais ça c'est pas gagné!
Yolanda_isabel
Chers téléspectateurs, vous avez été nombreux à voter pour choisir qui sera en première place du Top 50 des cruchasses du Royaume de France, et le numéro un est …. Juliette ! On applaudit Juliette ! Le sourcil blond se hausse devant la réaction de la brune, il se hausse d’effarement, de perplexité et surtout, surtout d’étonnement. Mais elle sort d’où cette camériste douée pour les couettes, mais pour rien d’autres ?

La narratrice s’arrête là pour te faire public d’un projet diabolique conçu par ses soins. Revenons un peu en arrière, nous avons comme personnages clés : Yolanda Isabel de Josselinière, infante adorable bien qu’obèse, dyslexique et pire que tout, blonde. Ne ris pas public, cela aurait pu être pire, elle aurait pu être rousse. Dieu ne punit jamais deux fois, mais il faut croire qu’avec la complicité de ta narratrice, Dieu ait décidé d’être mauvais sur ce coup-là. Cette joyeuse enfant n’est pas seule, puisqu’elle est accompagnée de sa fidèle secrétaire, Naeva Lisbeth Hyacinthe Wolback, droguée de son état et atteinte du syndrome de Peter Pan, celle-ci aussi, elle part avec une longueur de retard, car nonobstant le fait que la pucelle – faut faire semblant, ça ajoute un côté dramatique à la chose – soit accro aux substances illicites toutes catégories, elle ajoute à cela une dépendance non négligeable à la présence d’un pigeon freudien, répondant au nom Hizabelle-Albert, au moins aussi vilain que celui du lombric domestique de la naine obèse mentionnée plus haut, et qui s’appelle Prune, le lombric pas la naine. Au pigeon freudien et transsexuel, au lombric neurasthénique, à la secrétaire junkie, et à la gosse obèse, s’ajoute maintenant une gueuse tirée de sa forêt profonde, à la capacité intellectuelle d’une petite cuillère en bois, assez douée psychologiquement pour être incapable de trouver une autre utilité que celle de grattoir à croutes de poux à une brosse en ivoire.

Prends le tout public, n’aie pas peur, tu ne te saliras pas.. Trop. Mets tout ça dans un blender, referme bien, pousse à la vitesse maximum, et tu arrives au résultat affligeant de la vie quotidienne de Yolanda Isabel et de son entourage, un sacré foutoir. Mais tout n’est pas perdu.. Car depuis plusieurs mois, Yolanda fréquente avec assiduité la Cour du Louvre, et parce que Yolanda fréquente souvent Marraine, elle devient calme et patiente. Parce qu’elle fréquente Clémence, elle apprend que certaines fois, de jolies phrases font plus que de simples ordres, et parce qu’elle fréquente Blanche, elle sait que des fois, derrière des jeunes filles, il se cache un enfant. Alors gentiment, elle explique à Juliette.


-« Le bain, il est chaud, c’est pour se laver, tu te déshabilles, tu te mets dedans l’eau, on frotte pour enlever le sale, t’es propre et tu sens bon, ça fait du bien en plus l'eau chaude, et là, ça refroidit, tu sais... Et tu arrêtes de faire l’enfant.. Parce que l’enfant, c’est MOI ! Et chut, Na’ elle dort ! »

Comment ça depuis tout à l’heure, elle crie ? Et alors ? N’est-elle pas l’enfant ici, flûte, hein, à la fin, et puis zut et en plus, voilà !
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« Yolanda Isabel de Josselinière : créatrice de la Disney Parade du XVème siècle ! » - Breiz.
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