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[RP] TM – Joutes à tous venants, grandes & plénières

--Ironiedusort
[ Dans les écuries ]

Qui c'est la plus forte évidemment c'est Aquarelle. Elle a de bons amis et la meilleure des maitresses... ( sur l'air d'allez les verts )

C'est ce que chantait Ironie du Sort lorsqu'Aquarelle fit son apparition dans les écuries. Elle lui fit même une Ola en se levant sur ses pattes arrières. C'était une ambiance festive qui regnait dans les écuries dans le coin des Basilics.
Armoria
[Dans les tribunes de la noblesse]

La petite moue ne quittait pas les lèvres généreuses de la blonde altesse. Enfin, au moins, les joutes commençaient, et selon l'adage, tout ce qui commence n'a jamais été aussi proche de sa fin : le reste n'était plus que question de patience.

Elle regardait donc, de duel en duel, morose. Quand soudain, elle se leva, prise d'enthousiasme, et se mit à crier en applaudissant, moue remplacée par un sourire radieux :


Hourra ! Bravo pour Bourgogne, le chevaleresque ! Enfin quelqu'un qui se souvient de la vraie place des femmes !

La fondatrice de la Ligue du Coq Hardi qu'elle était ne pouvait que saluer ce geste. Elle se demanda au passage si ce n'était pas un signe qu'il fallait relancer la fameuse ligue.
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Wolfar
[En bord de Lice]

Les éliminatoires venaient d’être annoncées par Son Eminence Ingeburge et Wolfar s’apprêtait à y prendre part comme à chaque joute lorsqu’on lui apprit qu’il en était exempté. Ce devait être la première fois qu’il était épargné par la chance du premier tirage au sort. Il décida alors de ne pas se rendre à sa tente mais de rester près de la lice pour observer ces éliminatoires, histoire d’en apprendre un peu plus sur d’éventuels adversaires.

Il put ainsi assister à la victoire du Duc de Bourgogne. Victoire pas si facile que ça contre un novice en lice. Les premiers tours sont toujours difficiles. Puis ce fut la chute de la dame de Chancelley, nom prémonitoire sans doute… Ce fut ensuite le tour de Bourgogne et de la future Duchesse de Charolais. Il se passa alors quelque chose qui ne devait certainement pas faire plaisir à l’ancienne Duchesse de Bourgogne, Irancy lui laissa la victoire. Ainsi il n’y a avait pas que lui qui ne voulait pas jouter contre une dame…Bonne chose…Les deux dernières passes furent assez rapides. Des victoires féminines de Railly et de Saint-Léger-sur-Dheune.

Il était temps maintenant pour le baron de récupérer son destrier et de se préparer à la suite de ces joutes.

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Cuche
[Sur le champ-clos]

Trixolas, son écuyer, venait de l'aider à vérifier son armure. Tout était prêt et il ne lui restait qu'à abaisser la visière du heaume une fois la lice engagée.

L'arbitre annonça le premier combat: Le Duc contre Kingrade...
De sa place, le seigneur de Fulvy n'entendit que les cris et applaudissements mais ne savait pas qui s'en était sorti gagnant.

Discutant des derniers détails avec son écuyer, il entendit alors qu'on l'appelait. Son sang ne fit qu'un tour et il donna l'ordre qu'on l'aide à monter sur son destrier. Ce qui fût rapidement chose faite.
Il serrait fort les rennes, l'adrénaline montait en lui et intérieurement il se félicitait d'avoir une armure pour qu'on ne puisse deviner le stress qui l'envahissait à l'instant présent.

Il n'écouta même pas le nom de son adversaire, s'avançant juste en bout du terrain.

Et là il reconnu les couleurs de Keltica...


Mince alors...

Le stress avait laissé place au doute. De sérieux doutes... Il allait affronter la mère de sa filleule, une de ses meilleurs amies et il avait déjà été à deux doigts de la tuer il y a quelques temps lors d'un malencontreux problème d'organisation dans la défense de la ville.
Voyant son adversaire lui faire signe de la tête, il abaissa sa visière et la salua de la même façon.

Mal à l'aise, il lança son cheval au trot rapide et se ressaisi quelques mettre après en lui assenant un violent coup dans les côtes pour le lancer sur un puissant galop. Cuche tenait sa lance fermement, visa et dans un craquement déchirant, toucha. Alors que les deux cavaliers arrivaient au bout du terrain, il se senti à nouveau respirer.
Finalement, ce n'était pas si compliqué que ça.

Quelques courts instants pour reprendre ses esprits et le signal se refit entendre. Un second salut de la tête à Keltica et il relança sa monture à fond. Viser et... toucher! Et... C'est emporté par son élan et sa volonté de toucher son adversaire qu'il en avait oublié de garder ses défenses. Erreur de débutant sans doute.
Le voilà au sol mais sans sentir de douleur.
Rapidement, Fulvy se relève et s'inquiète de savoir où se trouve son amie.
Il la retrouva, visiblement elle s'était aussi vautrée au sol et même relevée avant lui. Rapidement il ouvrit sa visière et s'inquiéta.


Tout va bien?


Sans rancune mon ami, je suis ravie d'avoir jouté contre toi ; et puis pour une première, je n'attendais pas de miracles !

Il lui sourit à travers le heaume.

Merci Kelti. Je suis content d'avoir pu commencer face à toi et je suis certain que la prochaine fois nous serons tous deux plus expérimentés.

Une tape amicale sur l'épaule, il retira son heaume et salua en direction de l'estrade, sourire radieux aux lèvres.

Content de lui, malgré cette chute, il retourna en direction du bord de la lice pour retrouver son écuyer en espérant que celui-ci ait vu ce qui venait de se passer. Il voulait voir s'il avait pu apercevoir des choses qu'il pourrait améliorer pour la suite.

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Trixolas
[En bord de Lice]

Les pas lourds foulant la terre des chevaux lancés au galop, le bruit sourd du choc lorsque les lances rencontraient l'armure adverse, le craquement du bois sous l'effet de l'impact, les cris de la foule, c'étaient ça les joutes.
Le spectacle avait impressionné Trixolas, il n'avait pas perdu une miette des premières épreuves, n'y ayant jamais assisté auparavant.
Lorsque vint le tour du seigneur de Fulvy, étrangement, il se sentit tendu, crispé, le stress et l'appréhension l'envahirent.

Première passe, il observa avec bonheur la lance de dame Keltica se briser.
A la deuxième passe, il ne put s'empêcher de sursauter lorsqu'il vit les cavaliers choir lourdement au sol, mais une fois compris que Cuche venait de gagner, un petit sourire se dessina sur ses lèvres.

Il fila en bord de lice accueillir le chevalier apparemment un peu froissé par sa chute.

Prenant Sigurd par les rênes, il observa le visage du seigneur de Fulvy qui venait d'ôter son heaume. Il paraissait fatigué mais heureux de sa victoire.

- Pour une première c'est pas trop mal. J'suis sûr qu'il y a bien plus mauvais débutant.
Mais, si vous me permettez un conseil, ben j'ai bien observé le duc et l'autre messire avant vous, ils m'ont l'air d'avoir un peu plus de métier.

Faudrait que vous soyez un peu plus constant je dirais. La première fois, on dirait que vous ne vouliez pas y aller et la seconde vous vous êtes élancé sans aucune retenue, pour ça qu'vous êtes tombé je pense.
Et j'ai vu aussi, que vous mettiez vos pieds trop en arrière dans les étriers, j'suis à peu près sûr qu'en les avançant un peu vous ne seriez pas autant déséquilibré lors de l'impact.


Trixolas sortit alors une flasque de sa besace et la tendit au cavalier.

- Buvez donc un coup messire, ça va vous remettre de vos émotions.
Vous voulez quitter votre attirail ou on reste regarder les joutes suivantes?
Eusaias
[En Lice]

Le Verdict était tombé et le Seigneur Kingrade serait l’adversaire. Le Duc s’était fait équiper par un Cassian volontaire. Alors que les gantelets était ajustés, le Balbuzard pris la sorti de la tente afin de rejoindre son vieux frison. Il avait lancé un regard à son jeune fils, porteur de la lance et du bouclier.

J’espère que tu auras prévu suffisamment de lances, je compte bien en briser en pagaille et montrer à mes vassaux, qui est le meilleur jouteur.

Il s’était alors fait hisser sur le destrier et fixer le bouclier. Il dirigea d’une main ferme la monture en lice lorsque on le nomma. Il ouvrirait la joute, c’était écrit. Les cuirs crissèrent lorsqu’il força dessus, excité par le proche assaut. Le signal donné il talonna et se campa en avant. En une touche il devrait renverser le seigneur, la lance s’arma donc en conséquence, mais le poignet bien trop raide, il râta sa cible alors que le seigneur le percuta.

Barnum !

Pas besoin de s’armer d’une autre lance, la sienne étant intact il donna un second assaut, assaut dont l’histoire se répéta quasiment. Il aurait bien craché de dépit si le cracha avait pu trouver la sortie du heaume. Troisième, sa passe ou casse !

Cassée ! Sans lance qui venait de faire mouche se brisa, alors qu’il passa à travers la lance du seigneur de Montsauche-les-Settons.

Une Lance Cassian ! Une lance !

C’est d’une main ferme qu’il saisit la nouvelle lance. "Puisses-tu être plus prompte à te briser que la première" avait prié à l’attention de la lance. Prière qui se réalisa à la quatrième passe, vu que le seigneur chut de sa monture sous le choc. Il salua son publique après s’être informé de l’état du vavasseur.
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Blason en [dé]composition...
Della
[Bord de lice, sourde !]

Ah ben ça alors ! Voilà que Angélyque se mit à crier aussi fort, voire plus fort qu'elle !
Et juste au niveau de son oreille droite qui maintenant faisait un Bzz...Bzzz...BzzZZ...pareil à un nid de frelons !
Della tenta de récupérer son audition en frottant sa délicate oreille mais rien n'y fit...ça faisait toujours Bzz...Bzzz...BzzZZ...

Elle grattouillait toujours son orifice auditif lorsqu'on annonça les tours éliminatoires des joutes.
Ca promettait d'être amusant, pour certaines passes ! Notamment celle de sa chère Mère et du Héraut malgré lui.

Et pour elle...? Qui serait-ce ???
Lenada !
Arf...c'était une copine, Lenada...
Bon ben, tant pis, à la guerre comme à la guerre !



[En lice, la rage de vaincre !]

Campée avec assurance sur son canasson, Railly était fin prête, lance en main et regard rivé sur son adversaire.

Au coup d'envoi, Della élança sa monture, tenant fermement sa lance presque à l'horizontale, exactement comme son entraîneur le lui avait conseillé lors des entraînements.

Profitant de la maladresse de Lenada, Della toucha, sa lance se brisa et...Lenada valdingua, assurant ainsi la victoire à la Blonde Railly !

Le cheval fut stoppé par les écuyers en fin de lice et on aida Della à descendre de son destrier fougueux.
Un regard en arrière...Lenada se relevait, apparemment entière. Ouf ! Il n'aurait plus manquer qu'elle soit blessée...Della aurait été bien embarrassée...
Alors seulement, elle leva les bras en l'air, en signe de victoire !

Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Railly !!!! Rai-lly ! Rai-lly ! Rai-lly !
Ben quoi ? Personne pour l'encourager, faut bien qu'elle le fasse toute seule...
A boire ! J'ai soif !
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Baronne de Seignelay - Blason en travaux.
Aeaeda
[Campement][Bord de lice]
28 mars 1459 – 6h du matin-

Fin de l’hiver, début du printemps, l’heure des joutes à sonner. L’écuyer d’Irancy se leva tôt le matin afin de préparer les affaires du seigneur Theudbald. Il partit en direction de l’armurerie d’Auxerre où étaient entreposées toutes les armures de la seigneurie et sélectionna la meilleure armure de tournoi qu’il put trouver. Il s’agissait d’une demi-armure de type gothyque, celle-ci avait l’avantage d’être légère ce qui rendait le jouteur plus maniable. Sa légèreté vient surtout du fait qu’elle ne protège que le haut du corps, seuls endroit ayant besoin d ‘être défendu lors d’un tournoi de joute puisque la lance ne peut toucher que les épaules, l’écu et la tête. Il ordonna à deux des gardes du domaine, qui le suivaient, de la porter aux camps de joutes. Une fois là bas, elle serait utilisée pour la victoire d’Irancy.

2 avril 1459 -6h du matin-

L’écuyer arriva au campement des jouteurs. Il installa, à l’aide des deux mêmes gardes qui s’étaient occupé du transport de l’armure, la tente marquée par le blason de la seigneurie. Une fois celle-ci placée, ils placèrent l’armure à l’intérieur et attendirent l’arriver du seingeur.

2 avril 1459 -8h du matin-

Arrivé du seigneur Theudbald.

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Fleur_de_songe
[Dans les gradins]

Installée dans les gradins tant bien que mal entre un gros qui ne ressemble à rien et un petit chauve qui la reluque depuis un bon moment,Fleur observait les joutes tranquillement jusqu'au tour de Cuche.
Elle se leva d'un bond,accrochant le gros au passage,mettant une gauche au chauve...Comment çà c'est fait exprès?Non,juste un petit geste involontaire...

Elle se mit a applaudir lorsqu'il quitta,triomphant, la lice
.

-Bravooooooooooooooooo Cuuuuuuuuuuuuche!

Elle sautillait sur place,tellement contente qu'elle prit le chauve dans ses bras avant de faire un mouvement de recul.

-Arf...Beurk!
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Lafronde
{sur le bord de la lice]

Bravo Emma tu as bien suivi mes conseils et voila le premier tour de fait


Je vous rejoins pour le debriefing sous ta tente Emma
Theudbald
[Du campement jusqu'au champ clos]

Après avoir revêtu la demie armure de joute avec l'aide de son écuyer, Irancy sortit de la tente à la recherche d'un cheval. C'avait été le rôle d'Aelith la rousse mais tout de même gentille maistresse équine de choisir un destrier. C'était bientôt l'heure de voir si la dame était compétente et digne de confiance.

Il observa la monture. Regard franc, aplomb assuré, un canasson qui avait l'air apte à la besogne du jour.
Il monta en selle et prit la direction de la lice, écuyer au côté.

Sur le champ clos, il dévisagea son adversaire, songeur.
Une problématique qui n'avait jamais été posée jusque là : jouter contre une femme. Le héraut n'était pas sexiste, loin de là. La Bourgogne avait toujours été, par coutume, très favorable aux femmes, notamment lors des transmissions et des legs, aussi des reponsabilités des dames de seigneurs en leur domaine, contrairement à ce qui se pratiquait en France. Mais les choses étant se qu'elles étaient, il répugnait devoir faire mordre la poussière à une femme, toute ennuyante qu'était la Charolaise.

Il étudia les cas de figure possibles.
Etre défait, et le quolibet deviendrait son quotidien. "Battu par une femme !" dira-t-on.
Vaincre, et se voir reprocher une victoire facile contre une femme, et peut-être même une attitude fort peu courtoise et aussi la maltraitance.

Deux options et un seul résultat, le déshonneur.

Restait donc le forfait pour salut. Il repoussa la lance que lui tendait Aeaeda.


Peu importe l'issue de cette joute, aucune gloire ne me sera accordée. Je laisse la victoire à mon adversaire !

Aelith lui avait choisi un cheval-à-forfait. Damnée rousse perfide !
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Aimbaud
[Bord de la lice]

Juché sur son Pet-Gaz rutilant, Aimbaud observait les éliminatoires comme tout un chacun. Il s'était fendu d'un grand rire en voyant Griotte porter son étendard dans la rangée des jouteurs expérimentés... Puis il applaudit l'action du Duc de Bourgogne à grand renfort de bruits de ferraille qui fit grincer les dents de ses voisins. Non y'avait pas à dire, Eusaias c'était quand même son dieu vivant... Il ne restait plus qu'à marcher dans ses pas.

Ensuite il s'occupa, pendant une douzaine de minutes, à tenter de se gratter la nuque. Ce qui était bien malaisé, l'épaule et tout le bras arnaché de pièces de fer... Voilà pour la situation josselinière.

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Ingeburge
[Perchée en son estrade]


C'est avec un air indéfinissable que la duchesse d'Auxerre regarda son vassal débarquer sur la lice, suivi comme son ombre par un Aeaeda toujours aussi désinvolte et nonchalant, désinvolture et nonchalance qui débouchaient sur un oubli de tout un tas de choses et des devoirs que cet Aeaeda devait remplir et aujourd'hui n'avait pas fait exception car il avait manqué de venir à son appel, il n'avait donc pas reçu l'oriflamme de son jouteur et avait du coup raté le défilé. Il fallait déjà se réjouir de voir qu'il était aux côtés de Theudbald, pour le reste, on verrait plus tard.

La duchesse d'Auxerre n'eut pas le loisir d'observer le seigneur d'Irancy très longtemps car à peine arrivé qu'il repartait déjà, préférant déclarer forfait, suivant ainsi la droite ligne de ses principes ce qui faut accueilli de diverses manières, selon la conception de chacun de l'honneur.

Les éliminatoires s'achevèrent donc, non sans casse et chutes, et le héraut était prêt à lancer la session des quarts-de-final quand son clerc, empressé, vint à lui en courant, se permettant, une fois parvenu à ses côtés, de tirer la manche de son tabard. Ingeburge, non sans hauteur, se dégagea de cet assaut – non mais des fois! – et, l'air peu ravi, demanda à son clerc ce qui pouvait motiver une telle extravagance dans le comportement. Le jeune commis, contrit, lui tendit un feuillet et ajouta quelques mots qui étaient inutiles car elle venait de comprendre, rien qu'en voyant les deux blasons dessinés, qu'elle avait oublié... un truc. Merdouille.

Alors, avec un naturel confondant, elle reprit la parole tant à l'attention des jouteurs que des spectateurs :

— Pour clore en beauté cette vague des éliminatoires, voici le dernier duel, opposant le jeune hoir du duc de Corbigny à la dame de La Guiche!

En beauté?

Citation:



    A droite, dame Jusoor de Blanc-Combaz, dame de La Guiche, capitaine de Bourgogne et novice en joutes; à ma gauche, Aimbaud de Josselinière, Grand Ecuyer Tranchant de Bourgogne qui aura l'avantage de l'expérience ce jour... et c'est parti!

    Première passe... et unique! Unique car si les deux assaillant font preuve de fougue dans leur course, aucun des deux ne touche, les lances restent entières... unique car Jusoor chute, sans se blesser, heureusement. Un peu trop de fougue, justement?

    Par chute de son adversaire, Aimbaud de Josselinière est déclaré vainqueur!


En beauté, oui, tout à fait, car, hein, ça n'avait pas duré longtemps, et c'était justement ça la beauté de la chose.
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Aimbaud., incarné par Yolanda_isabel


Et ce fut un grand rire qui résonna sous le casque du Josselinière, au moment de rendre sa lance à Griotte, après cette passe d’une grande brièveté. Il remonta sa visière, hilare, en menant son destrier dans un demi-tour. Oui, Aimbaud savait rire de lui-même mais encore plus des autres…

Il faudrait que tous mes adversaires soient comme ta sœur, Grigri ! J’approche seulement et elle se ramasse ! AH Ah ah.

Plus tard tout de même, il irait saluer Jusoor avec tout le respect qu’il lui devait, car bien que ses performances restaient discutables sur la lice, elle était son Capitaine sur le terrain. En attendant il sourit aux applaudissements, faussement modeste, et repassa la barrière pour laisser place aux suivants.
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Jusoor
Avant la course, une fois hissée sur son cheval, elle n'avait plus vu que son adversaire de l'autre coté de la lice. Pas tres grand, encore moins une fois juché sur son destrier. La vision était même étrange : on aurait cru à un centaure disproportionné. Les longues pattes mais un tronc fort peu développé.

Sous ses cuisses la Moineaute sentait le souffle du cheval gonfler ses flancs, le mouvement lent d'abord de la monture qui se met en branle puis le tambourinement des sabots qui s'accèlère. A mi-lice, l'adversaire approchait à vive allure, elle allait toucher bientôt et resserra son étreinte sur la lance, elle allait... oui elle allait toucher et... faux pas du cheval, ou glissade ou déséquilibre, ça pouvait tout être et rien à la fois
. Bordelle... ! Le fracas de toles et le choc avec la terre lui coupent le souffle sans qu'elle puisse achever son juron. Au bout de quelques secondes, le temps que passe la surprise, Ju relève sa visière et cherche du regard son écuyer qui arrive déja. Peinant à se relever comme une tortue agonisante, elle entend le Josselinière s'esclaffer et souffle à Ecglaf :

J'aimerais que tu regarde à deux fois le cheval quand tu le ramèneras... j'serais pas surprise que le gamin, profitant que tu aies le dos tourné, lui ait donné de la luzerne pas tres fraiche... tu vois le genre ?

Et de lui tendre la main feraillée pour qu'il l'aide à se relever. Cet incident ne fait que confirmer ma préférence d'aller à pied plutot que juchée sur une de ces bêtes des Enfers...
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