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[RP] Des écorcheurs en vadrouille...

--La_coquille
RP à vocation de masse..participation de toutes et tous possible, et plus que souhaité!


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La Guerre..
La Guerre est son cortège d'horreur, de combats, de pillages, et autres atrocités attirait toujours les plus cruels et plus féroces truands de tout le Royaume..

Depuis quelques temps déjà, l'Espagne était traversée par des soubresauts secessionistes..
La Guerre Civile avait entrainé moults affrontements, plus violents les uns que les autres..et les armées n'étaient pas composées alors uniquement de soldats de métiers..

Nombre de truands, d'herpailles ou autres brigands aux attentions fort déplaisantes, profitaient de ces période troublées pour se faire engager dans les forces belligérantes.
Nombre d'entre eux, prenaient prétexte de ces boucheries, pour commettre des forfaits plus ignobles les uns que les autres.

Les écorcheurs, qu'on les appelaient pour la plupart..des hommes sans foi ni loy qui perpétraient les plus pires atrocités au nom de leurs employeurs..des troupes sans contrôle qui prenaient un malin plaisir à dévaster tout sur leur passage..

La bande de la coquille en était..
Pendant moults années, ces truands de grand chemin, avaient parcourus le Royaume de France, en quête des plaisirs futiles de la vie, prélevant au fil de leurs armes, ce qu'ils désiraient posséder.

Nombre de bourgades paysannes avaient dû subir leur folie.
Nombre d'entre elles avaient fini en cendre après leur passage...

Fuyant les persécutions de la maréchaussée, la bande avait fini par trouver un nouvel employeur..les armées espagnoles..
Ils avaient alors franchi la frontière, et avaient mis leurs folies au service de quelques Seigneurs...

Mais le métier d'homme de guerre était plein d'aléas..
L'employeur des truands avait laissé les hommes sans paye pendant de longs mois..et la bande d'écorcheurs, lassés de prélever le butin sur des terres espagnoles exsangues, s'était décidée à reprendre du service sur des terres plus hospitalières..

Ils avaient alors fait le chemin inverse, et s'étaient dirigés vers la province la plus proche..l'Armagnac..
Une province qu'on disait faible..une province traversée par de nombreuses crises, dont la dernière en date avait vu la dissolution des forces armées du Comté..
L'aubaine était trop belle pour les pilleurs sanguinaires de la bande de la Coquille..et c'était avec délectation, qu'ils s'étaient dirigés vers ces landes, qui semblait quelque peu paradisiaques..

La Coquille était le chef d'une petite bande..une quinzaine d'hommes tout au plus..il était secondé par deux lieutenants, dont la folie n'avait d'égal que la cruauté..: Loup galeux, dont le surnom venait tout autant de sa rage meurtrière au combat, que de sa face ravagée par une petite vérole attrapée pendant son enfance, et Le Chicot, un vieux maigrelet dont la bouche meurtrie par de trop nombreuses bagarres de tavernes, ne comptait plus que deux dents..

La petite troupe s'était installée dans une profonde forêt non défrichée sur les contreforts pyrénéens..
La proximité de quelques hameaux de paysans était une aubaine pour les pillards..qui comptaient bien pouvoir se faire les dents sur quelques paysans esseulés..
Mais leurs meilleurs espoirs de gains reposaient sur la route non loin de leurs campements..une route passagère qui, du semblait carrossables pour de lourds chariots de marchandises en direction du Béarn voisin..

Par un bel après-midi de printemps, les écorcheurs flânaient tranquillement dans leur campement forestier, quand un bruit de pas se fit entendre..
Aux aguets, certains se relevèrent, l'arme à la main..mais la silhouette qui se dessina derrière les bosquets, fut reconnu de suite..

L'homme, en pleine course, manqua par trois fois se prendre une branche dans le visage, tellement son empressement était grand..
Le sourire sur son visage, montrait qu'il ne s'agissait nullement d'un danger..mais plutôt d'une prise..

Il se présenta devant la Coquille..et tenta de parler tout en reprenant son souffle..


La..humf..la..humf..la Coquille!!!..
Morbleu..quoi?!..mais enfin parle!..
Une..humf...une..argh..charette..humf..sur la route!..
Ben tu pouvais pas le dire plutôt?!..Vindiou!..on dirait une jouvencelle lors de sa nuit de noce!..je te croyais plus endurant l'pigeonnier..
C'est que...humf..on s'encroute vite sous ces arbres!..
Fit l'homme avec un sourire..

Un sourire narquois se dessina sur le visage de La Coquille..
Le chef de la bande se reconcentra vite sur sa future proie..et ordonna à ses écorcheurs d'aller à la rencontre du fou, qui empruntait pour la dernière fois, sans le savoir, la route qui menait au Béarn..


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Bonjour à toutes et tous,

Ici s'ouvre le deuxième RP de masse, après celui des loups..
Le principe reste le même, c'est à dire que tout le monde est invité à participer.

La trame est simple..:
- Une bande d'écorcheur est venue s'installer en Armagnac, et vont perpétrer quelques forfaits.
Ils s'attaqueront d'abord à quelques passants sur une route.
Puis ils s'en prendront à une ou deux bourgades paysannes
- Le plus simple étant donc que vous rencontriez cette bande sur un chemin, au hasard durant l'attaque d'un des villages, notamment.
- A la fin, la bande se fera attraper, et un autre RP aura lieu, en accord avec les joueurs occupant des postes judiciaire au sein de l'appareil Comtal

CE RP EST DONC OUVERT A TOUT LE MONDE.
LE PRINCIPE ÉTANT UNE INTERACTION ENTRE LES JOUEURS. JE M'ADAPTERAIS AUX RÉACTIONS RP DES PARTICIPANTS!

LES JOUEURS AYANT UN PERSO AU SEIN DES FORCES DE LA MARÉCHAUSSÉE SONT APPELÉS A PARTICIPER!

PS : CE N'EST QUE RP !!! AUCUNE CORRÉLATION IG !

Pour toute question ou autre s'adresser directement à "Nkhan"

Bon jeu, en espérant que la participation suive!
LJD Nkhan



La couleur d'écriture verte est réservée aux censeurs dans un souçi de meilleure lisibilité. Veuillez y veiller. Merci et Bon jeu. Thersite.

EDIT : Désolé M'sieur le Censeur j'avais z'oublié!
Emouchet, incarné par Geremy_freeride


La campagne à travers laquelle ils galopaient devenait de plus en plus désolée. Le sol etait maigre,pauvre, ne portant plus que des epineux et des herbes folles.cà et là, on voyait des mares d'eau stagnante et les quelques arbres qui poussaient aupres d'elles etaient rabougris, maladif. Mais une foret reprenait peu a peu le dessu. le temps etait assez degagé durant cette periode de la journée.
Emouchet qui etait l'un des marchands de la colone chevauchait tranquilement a la gauche du chariot.
Emouchet dirigea les renes vers son amis et lui dit d'un ton inquiet:


Les lieux ne semblent guére prometteurs, n'est ce pas ?

Lugubres oui

Affirma t'il


Hope la je suis un marchand armé de la colonde du fameux chariot il faut quelqun pour faire l'amis don je parle et d'autres personnes pours le reste......VIVE LE RP DE MASSE!!!
--Concetta
Longues mèches noir corbeau parées de ruban élimés aux couleurs passées... Vêtue de ses plus beaux atours qui se résument à une méchante chemise à la couleur incertaine et à une jupe trouée qui n'a pas vu un lavoir depuis longtemps, la ribaude est alanguie sur un bout de plancher libre de la charette. Concetta rêvasse... Elle imagine déjà le bordeau qu'elle ouvrira sitôt arrivée à destination...
Mais au fait, où vont-ils donc ?
La catin a promis de monnayer son voyage de la seule façon qu'elle connaisse : en offrant son corps. Hors de question qu'elle entame ses économies qu'elle a dissimulées dans la poche cousue sur le jupon en lambeaux qu'elle s'obstine à porter sous son vêtement.

La chance ou la malchance, l'avenir le dira, l'ont conduite à rencontrer deux hommes qui charmés par ses promesses ont accepté de l'emmener et même de la laisser profiter du bérot quand avec des airs de madone éplorée elle exhiba ses pieds meurtris par les pierres des chemins...
La maligne avait pris soin peu avant de dissimuler ses chausses tout au fond de son maigre baluchon. Encore un trésor caché ; méfiance et rouerie sont une seconde nature pour les filles comme elle.

Entendant l'un des marchands parler, le dénommé Emouchet à ce qu'elle avait compris, l'italienne prend appui sur un des sacs de blé et affichant un visage le plus avenant possible sous la crasse qui l'enlaidit...


" - Per favor, nobile... Messires... la prossima città... euh... ville... bientôt ?"



PNJ de LJDSuniva.
Tout est dit dans le texte en ce qui concerne Concetta. Pour le reste : Vive le RP !
--Emouchet


Emouchet observa d'un oeil critique la femme, qui pourtant, même sous la poussière et la crasse lui semblait belle. Tout autant charmant son accent italien par lequel elle le questionna.
Emouchet sortis sa carte, l'observa dans un sens, puis dans un autre, pour finalement revenir au premier.


Selon moi, si aucune péripéties nous retiens, et si nous continuons a marcher a cette allure, nous saurons aisé d'arriver dans quelques jour...

La réponse n'était pas précise, car du fait qu'il ne savais, sur une carte, ne choisir que la bonne direction sans notion de temps...Cela paraissait outragent dans une époque ou il fut primordiale de le savoir, mais voila...
Sortant de sa rêverie spontanée, Emouchet jeta un regard sur la femme pour vérifier sa compréhension.
--Joeffroy
Le jeune cavalier sifflotait. Il avait le coeur léger et la bourse bien pleine.
Son maitre, l'excellent Baron de Méril, dont il était serviteur depuis quelques mois, venait de lui confier sa première mission : parcourir l'Armagnac à la recherche d'un artisan capable de réussir une bague exceptionnelle qu'il voulait offrir à sa dame de coeur afin de la demander en mariage.
Certes les artisans étaient nombreux mais les orfèvres se faisaient rares...et surtout ceux dont l'ingénuosité et le bon goùt dépassaient en tout ceux de leur confrères.
Joeffroy se dirigeait donc vers la capitale se disant qu'il avait,là bas, le plus de chance de trouver un orfèvre digne de ce nom.
Le soleil brillait, la nature recommençait à vivre malgré les froidures des nuits de mars.
Le jeune homme poussait de temps à autre sa monture dans de grands galops puis la reprenait au pas, bien décidé à profiter lui aussi de cette liberté inattendue.
--Concetta
[Toujours vautrée sur le plancher d'une carriole... Suivez le guide ! "Alea jacta est !" dirait l'autre...]

Selon moi, si aucune péripéties nous retiens, et si nous continuons a marcher a cette allure, nous saurons aisé d'arriver dans quelques jour...


Le marchand s'improvise guide, tournant et retournant un parchemin. Le sourire ébauché sur le visage maculé de la catin s'efface et laisse la place à un rictus désappointé. C'est qu'elle s'ankylose la Concetta, allongée sur le plateau inconfortable et brinquebalant...
Coup d'oeil vers son baluchon qui recèle ses chausses, coup d'oeil au chemin...
Soupir plein de regrets. La voila prise à son propre piège : si elle veut marcher un peu, ses pieds risquent de souffrir au contact de la chaussée pierreuse à souhait...
Le regard ourlé de long cils charbonneux qui ombragent un regard aux iris sombres revient à Emouchet. Ebauche de nouveau un sourire avant de questionner à nouveau...


" - Nobile Signore... Quand arriver le convoglio... caravane ? pour le euh... repos ?"


Craignant l'agacement de son "bienfaiteur", papillonne des cils et accentue son sourire qui en devient équivoque...


Edit : Chgt de couleur de la citation pour ne pas contrarier le censeur.
--Loup_galeux
La troupe d'écorcheurs avait fait bon train..
Dès l'alerte donnée, l'envie d'une bonne bagarre aidant, les truands avaient fait marche active et rapide vers le futur lieu de leur rapine..

Loup Galeux, dont la trogne aurait fait peur au Sans Nom lui-même, était de loin le plus rapide du groupe..
Il arriva donc à la lisière de la forêt..et aperçut le futur forfait des écorcheurs..

La carriole était bien là..à environ un lieu et demi de la planque du truand..
Un détail attira retint cependant l'attention d'un des lieutenants de la Coquille..
Le nuage de poussière que soulevait la carriole semblait bien gros pour un seul engin..

Le Galeux avisa l'arbre à ses côtés..il assura sa prise sur un première branche et se hissa..un mètre, puis deux furent franchis.

Le Galeux avisa la cible..il plissa les yeux et, au bout de quelques minutes, un sourire, ou ce qui semblait en être un, s'afficha sur son visage défoncé..

Ce n'était pas une carriole, mais trois qui faisaient route sur le chemin qui longeait la forêt..

Loup Galeux descendit de son arbre d'un saut..et se réjouit du massacre future, en attendant ses compagnons..


Faites gaffe au vert, c'est la couleur des censeurs.
Si le PNJ de Joffreoy pouvait me contacter!
LJD Nkhan
--Emouchet


Emouchet fut de nouveau questionner par la femme, qui a son intention, adressa un sourire qui parut jaune.
Il jeta un oeil a l'orée de la foret qui s'approchait au fur et a mesur...


Une fois la foret atteinte nous y planterons les tentes, cela nous permettra de nous mettre hors de vue...

Plus tard dans la journée ils arrivèrent dans cette foret. Le ciel était couvert et les oiseaux somnolaient parmis les branches de cédres vert foncé qui emplissaient les bois de leur senteur. A un moment donné, un daim passa a proximité en avançant délicatement sur une piste. L'un des chevaux renacla et le daim s'enfuit en bondissant, sa queue blanche se relevant brutalement et ses bois couvert de velours dressés au-dessus de la tête. La paix régnait en ce lieu, mais Emouchet chassa cette paix de son esprit. Connaissant la rudesse et la surprises des chemins comerciaux...

Emouchet arreta son cheval et s'adressa a ses compagnons

Bien arrêtons nous ici et déplions les tentes.

Emouchet sauta a terre et attrapa un gros sac dans le chariot.
Il aida par la suite la demoiselle a descendre.
Son compagnon et lui même défit les tentes avant de les monté au sol.
Il ôta sa cote de maille qu'il avait glané lors d'un tournois et déposa ses armes dans une caisse qui fit glissé dans la demeure improvisée.
Il s'allongea quelques instants ...
Sylste
Une silhouette allongée dans la forêt et quelques grognements…La jeune femme sent que la langue de son compagnon à quatre pattes parcourent son visage et elle le repousse, avant de s’agenouiller….

Hmpphhh…Non di diou….Quel mal de crane….Foutu oncle incapable de reconnaitre les membres de su familia et qui les rackette !!!…trois contre une aveugle…Gringo !


L’Aveugle, ne sait pas combien de temps elle est restée allongée la tête dans la terre…jour ou nuit ?..Peut importe pour elle, c’était toujours l’obscurité.

Elle saisit la corde de son chien, et se relève non sans mal…Une main dans ses cheveux, et elle découvre une sacrée bosse…elle dépoussière sa jupe..puis peste…La jeunette n’en revenait pas de s’être fait brigander par un confrère…et en plus membre de sa famille…Et Aristote sait que c’est elle, l’aveugle pourtant .

Les pas s’enchainent, mais elle ne sait exactement vers où…guidée par son animal, elle reprend peu à peu ses esprits…

Soudain, son ouïe développée remarque un bruit sourd, comme si quelque chose venait de s’écrouler au sol.…Animal blessé ?!...homme ??....La jeune danseuse, pose la main sur le fourreau de son épée,..peut être que cela va intimider …..puis elle s’inquiète reconnaissant un souffle....

Elle tente le tout pour le tout….

Qui est là ?!!...No tengo dinero...

Ses yeux couleurs nacre, restent immobiles, et sa respiration se calme peu à peu...l'Aveugle, garde son sang froid...malgré une légère appréhension..



Sylste est une danseuse aveugle...accompagnée par un chien de berger...Rien d'autre a dire, tout est dans le RP ..Vive le RP !

_________________
--La_coquille
La Coquille avait mené sa troupe aux abords de la forêt..et était resté patiemment, aux côtés du Galeux, à observer les chariots qui, après une dernière heure de route s'enfoncèrent dans les frondaisons de la forêt..

Un sourire carnassier s'afficha sur le visage du meneur..une pensée fugace.."décidément, y'en a qui doute de rien"..

Le fou sanguinaire qu'il était, se réjouissait déjà de la tuerie à venir..et des richesses qu'il dépenserait dans les tripots du coin..

L'homme se retourna et observa ses hommes..la surprise l'étreint alors..trois manquaient à l'appel..
il grommela..


Où ils sont encore passés ces foutus bougres?!..le chicot n'est pas là non plus..Vindiou, mais qu'est ce qu'ils nous ont encore inventé?..

Prenant difficilement son mal en patience, la Coquille resta en place..renâclant tel un loup en cage, et se promettant de faire passer un mauvais quart d'heure à ses hommes qui lui ôtaient le plaisir immédiat d'un truandage en bon et dû forme..

Quelques minutes passèrent..et les trois hommes apparurent enfin..

Le Chicot souriait comme un enfant, laissant apparaitre ses deux seules dents..et cette joie indicible contrastait terriblement avec le regard noir de son chef..
S'apercevant enfin de la menace, la bouche du Chicot dessina un arc de cercle dans l'autre sens et, penaud, il s'expliqua à la Coquille..


D'solé Chef..mais on n'a rencontré une jeune femme dans les sous-bois dont la tenue semblait bien trop lourde pour ses frêles épaules..alors..vous s'vez comme on est!..pieux, et tout ça machin..donc on s'mis en tête de faire 'ne bonne action..et on l'a allégé pour l'reste de son voyage!..

A nouveau le Chicot afficha son sourire à deux dents, tandis que ses compagnons se mirent à émettre un petit rire approbateur..

Au bout d'une minute qui parut durer des heures pour certains, le visage émacié de la Coquille se dérida..et il manqua de partir dans un grand rire, si la situation l'eut permis..

L'intermède finie, il se reconcentra sur la future proie des écorcheurs..et mit en place un plan d'attaque, qui promettrait quelques affaires sanguinolentes à sa bande de tueur..

La nuit serait leur alliée, la surprise leur tactique..et la mort serait au rendez-vous pour leurs adversaires..il ne le savait que trop.
--Emouchet


......Quand un aboiement de chien se fit entendre. Emouchet ouvra la caisse et prit son épée il sortit de la tente, s'avança un derrière un haut buissons en écarta les branches et fit de grand yeux.
Une femme, complètement dépouiller tirer, par son chien et une épée pendu a sa hanche.
Sans remarquer handicape de celle ci il avance sur le petit sentier. Mais soudain son pied se prit a une racine qui sortait de la terre.Il s'étala au sol et étouffa un cri de douleur.
Instinctivement la présente dame tira sont épée et s'écria.

Qui est là ?!!...No tengo dinero...

Emouchet pris son tons le plus charmant et lui dit:


Holà demoiselle ne vous inquiétez pas, je suis emouchet un marchand habile a la lame et vous semblez être une voyageuse qui vient de se faire dépouiller par des viles accepter vous ma vulgaire hospitalité ?

Ainsi donc des brigands rodaient dans le coin.Peut être étaient t'ils déjà sur le coup. Peut être que leur petit camp était la prochaine cible de ses malfaiteurs.Il fallait s'impatienter, il regarda la femme et tourna la tète vers le buisson refermer.Il commencer a s'inquiéter serieusement...


J Espère que c'est cohérent sinon j'édite
Isabel_
La brunette avait manqué le départ quelques jous plus tôt pour le Béarn. Elle avait promi à un ami et à sa douce de s'associer à un groupe de personnes pour lui prêter escorte et le moment venu, ecervelée qu'elle était depuis quelques semaines, avait oublié de se présenter au lieu de rendez-vous. Sans doute ses muscles frêles dus à sa mince experience n'auraient point été un atout de taille mais elle portait une épée à sa taille, avantage non négligable si l'on otait le fait qu'elle ne savait pas s'en servir. Parfois pourtant, cela suffisait à la rassurer, elle se mettait en tête qu'à seulement porter une arme elle pouvait faire rebrousser chemin à un quelconque malandrin...
Ce départ manqué l'avait déçue, non seulement elle avait failli à sa parole mais en plus elle avait loupé une occasion de passer quelques jours en bonne compagnie et de vider son esprit de toutes les idées noires qui l'habitaient dernièrement.
Deux choix s'étaient donc présentés, soit elle restait à Saint-Bertrand, seule, à se morfondre, soit elle mettait ce temps à profit. Elle opta donc pour la deuxième solution, il était grand temps de relever la tête. Elle venait de s'offrir une forge et se ravitailler en fer lui semblait judicieux puisque son village n'en était pas très riche.
Elle s'était mise en route, emportant avec elle ses maigres économies et s'était rendue dans une ville voisine où elle avait pu faire affaire. Le voyage s'était passé sans encombre, malheureusement, le retour ne semblait pas vouloir être aussi paisible. En effet, Margot, sa vieille mûle ne montrait pas beaucoup d'entrain à transporter toutes ces livres de fer. C'est qu'elle était chargée la bête...chargée comme une mule! Même les carottes que la donzelle avait emporté ne suffisaient pas à appater l'anesse.
Le soleil commençait à décliner mais la nuit n'était pas encore là, Isabel aurait souhaiter avancer un peu plus mais c'était sans compter sur la mûle qui était bien têtue. Quelle tête de mûle.
Isabel dut bien se résoudre à établir campement. Elle tira la Margot à l'orée de la fôret au moment où quelques chariots passaient sur le chemin. La belle fit quelques pas afin de ne pas trop s'éloigner du sentier, déchargea la mule de son fardeau avant d'oter son épée qu'elle cala contre un arbre. Elle sa laissa ensuite lentement glisser sur le sol, s'adossa contre le tronc du même arbre. Elle prit une brindille qu'elle mit entre ses lèvres, la machonnant avec nonchalance, allongea ses jambes dont les pieds se calèrent sur sa besace et ferma les yeux, décidée à profiter elle aussi d'un repos finalement bien mérité.

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Sylste
L’air était frais et le vent, joueur…refroidissant les jambes dénudées de la brigande, et caressant le visage de celle-ci. Les quelques mèches, qui cachaient ses yeux, se soulevèrent, laissant le regard à la fois vide et nacré se dévoiler.

Elle restait prête…la main, empoignant le pommeau de l’épée et tendant l’oreille pour repérer le, ou les personnes…Son chien montrait les crocs, face à l’inconnu que lui seul pouvait réellement apercevoir…

Soudain, c’est une voix qui se fait entendre …masculine..et agréable…Déjà on peut se détendre…c’est pas un sanglier, ou autre bête enragée…Mais autant l’homme ne vaut pas mieux que l’une de ces bêtes…
Sylste, recule un peu, pas très convaincu puis elle prend la parole, se voulant ferme et froide.

Une voyageuse qui vient de se faire dépouiller….qu’est ce qui vous fait croire cela ?...Et puis..on m’a apprit à me méfier des inconnus….

Si cet homme était de bonne foi…elle pourrait lui tenir compagnie…tel un loup dans une bergerie…Vu son état, ses habits poussiéreux …L’aveugle avait tout pour l’attendrir….Autant jouer le jeu…

J’suis..Sylste…jeune danseuse…alors qu’elle s’exprime à nouveau, elle frissonne..La fatigue et l’air ambiant, laissait apparaitre la chair de poule sur la peau de la jeunette.

l'ouverture était aussi bonne pour ton RP, que pour celui du Loup...donc pas de soucis.

_________________
Geremy_freeride


Une voyageuse qui vient de se faire dépouiller….qu’est ce qui vous fait croire cela ?...Et puis..on m’a apprit à me méfier des inconnus….

Émouchet sourit intérieurement, cette femme est de caractère se dit t'il et les coups montre qu'elle c'est defendue...

Voyez comme vous êtes habillé: vos vêtements sont tout arraché, vous avez des coups partout et un gros hematome a la jambe.

Mais le vent souffla dévoilant son regard avide et creux, émouchet eu un frisson: non pas qu'il fut horrifié mais plutôt surpris qu'une si joli femme et ainsi les yeux noyé dans le noir...
Émouchet s'approche, la femme recule.
Il s'abaisse et caresse le chien, qui lui connait les bonnes intentions départs son sixième sens, lui qu'on dit meilleur amis de l'homme, mais cas échéant de la femme aussi...^^
Il se relève et attrape le bout de ses doigts.
Il lui dit d'un ton rassurant...


Venez avec nous demoiselle danseuse, nous vous emmènerons a l'abri, je vous le promet...du moins je l'espere.

Émouchet la regarde, elle hésite, Émouchet lui tire doucement sur les doigts pour l'inciter a l'accompagner vers le camp...

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Sylste
Vêtements déchirés ?!...des coups partout mais surtout un bleu à la jambe ?....Haaa…mais c’est pour ça qu’elle avait un peu de mal à marcher et à se lever. Il aurait été dur pour elle, de remarquer la couleur de sa peau sur, le méchant coup qu’elle avait reçu.

Elle sent les mains froides de l’homme la toucher puis elle reste indifférente, elle ne bougera que si l’envie lui prend. Femme de caractère oui, mais surtout une jeunette méfiante.
L’Aveugle, tire doucement la corde de son chien vers elle, puis elle hésite, ne sachant que faire…Le suivre ? ou continuer à trainer et tomber sur d’autres confrères….En fait le choix est pas trop compliqué !

La brigande, prend une grande inspiration puis elle fait un mouvement de friction sur ses bras, pour se réchauffer, avant de prendre pleinement la main de l’homme.

Qui est avec vous que vous dites « nous ? »….Ne perdons pas trop de temps à rester là…Autant mes confr….elle se reprend très vite, pour rattraper sa gourde et la cache par une toux, un peu grasse…
..Agresseurs sont encore dans les environs..

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