Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9   >   >>

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP ouvert] Des belles et des raclures...

--Les_jumelles
(RP déconseillé aux âmes sensibles et aux mineurs. Nous tâcherons de rester respectueux des règles du forum, il est cependant judicieux d'éviter sa lecture si l'on est... encore innocent et facilement choquable. )



La lune n'éclairait ce soir-là que très peu les quais, toute dissimulée sous de longs nuages filandreux, mauves et gris. Dans le silence, seuls résonnaient l'écho des pas de deux silhouettes sombres aux lourdes chevelures, claquant légèrement sur les pavés inégaux des docks. De temps à autre, les hurlements de quelque matelot ivre mort venaient troubler la quiétude de la nuit.

A peine en retrait, de plain pied sur les quais, une bicoque de bois aux panneaux de papier de riz refusait pourtant de se plier à la quiétude qui, partout ailleurs, semblait régner. Les ishi-doro, lanternes taillées dans la pierre faisaient danser leur chaude lumière au-dessus du murmure des fontaines de la cour d'entrée. Des orifices ronds creusés à même les panneaux de bois, s'échappaient des rires et des claquements si caractéristiques de celui des bouteilles de sake que l'on repose brutalement après avoir trop bu, le tout dans un fourmillement de bruits moins facilement définissables, à moins de tendre l'oreille... Entrons voir, voulez-vous.

Des matelots, des soûlards et autres mâles de bonne compagnie emplissent la pièce principale de leurs voix puissantes aux relents rauques, éraillées par l'alcool et parfois l'opium... En entrant, le regard est attiré par un comptoir de granit solidement calé contre le mur de droite, écueil aux ivrognes échoués, alors que quelques tables de même facture, surchargées d'alcool dont s'imbibent des salauds à la main leste et au verbe gouailleur, trônent au centre de la pièce. Le brouhaha ambiant est encouragé par le délicieux va-et-vient de jeunes femmes aux lèvres délicates et aux cils sensuellement ourlés, les bras chargés de bouteilles et de verres... De légères teintures de voile bordeaux ornent le plafond sur toute sa surface, tandis que de petites appliques murales de papier washi baignent la pièce de leur ambiance tamisée... L'oeil par l'alcool troublé risque ici de se perdre. Sillonnant la pièce de leur voix de velours grave et de leurs sourires, tour à tour tendres ou espiègles, deux silhouettes aux courbes exquisément similaires, sensuels reflets l'une de l'autre, s'emploient à distribuer caresses et breuvages à la faune réunie.

Dans le fond de la pièce, on aperçoit un escalier... Des créatures, brunes, lascives, aux formes généreuses empruntent le passage, souvent accompagnées d'un ou quelques rustauds à l'humeur joueuse. Il y a fort à parier que l'étage recèle quelques alcôves intimes... A vous de venir le découvrir, si vous souhaitez maintenant rester.

Un panneau coulissant au fond du lieu de beuveries semble mener à une arrière-cour... Allons voir. La nuit est douce, malgré l'hiver. Un doux clapotement se fait entendre au bout du chemin pavé... L'arrière cour se révèle être en fait un jardin, en cette saison recouvert d'un manteau de neige uniforme. Un grand camphrier, de hautes pousses de bambou... Nous poursuivons pour découvrir au détour du sentier une source chaude, propice à la détente, ou encore à venir cueillir quelque beauté.




Le temps dans ces lieux est comme suspendu, et s'étire à votre convenance, pour que vous puissiez vous enivrer et vous repaître de plaisirs jusqu'à plus soif... L'exigence de votre imagination ici n'aura pas à se soucier de limites, venez...
--Kitsuro


Des belles. Beaucoup de belles. Les heureux poivrots qui riaient grassement se rinçaient les yeux sans modération - quand ils en étaient encore capables - et se levaient parfois pour aller consommer ces créatures de rêve qui les tentaient sans relâche... mais toujours, elles venaient, subtiles tentatrices aux démarches travaillées. L'une d'elle fut interrompue dans sa gracieuse procession par une main grossière qui lui attrapa le poignet, faisant ainsi tomber une bouteille pleine de saké, l'attirant avec force auprès de son propriétaire : l'un des soulards du comptoir de granit. Il était hideux, et son sourire qu'il voulait charmeur n'était autre qu'une série de chicots noircis d'entre lesquels s'échappait une haleine de guano.

"
T'viens l'étage 'vec moi, beauté ? "

Voilà un moment qu'il préparait cet instant, son inspiration travaillée à grands coups de gorgées alcoolisées. Sa bourse n'était plus faite que de vent, aussi tenta-t-il de la séduire avec la phrase qu'il avait mis trois heures et quelques souffles malodorants à pondre :

"
T'es un éclat pour mon oeil, parole ! J'vais t'remuer les entrailles, t'vas 'dorer ça ! "

... C'est beau, hein ?

Il se fait insistant, le bougre, et se lève en accrochant de ses ongles sales la tenue impeccable de la jeunette. Avant même qu'elle n'ait pu répondre ou même hésiter, il la traînait avec lui vers l'escalier, saluant ses compères aux bides gonflés en agitant sa promise devant eux. Il allait se la faire, sûr, et ne la relâcherait pas avant un bon moment... Personne ne l'arrêterait. Il était Kitsuro. Et il avait bu.
--Miyuki


D'un rire cristallin, qui perlait aussi naturellement à ses lèvres que la rosée au matin, Miyuki se frayait un chemin parmi les soûlards, quelques bouteilles de sake pressées contre sa jeune poitrine, distribuant ces dernières au fil des tables. Elle s'apprêtait à achever sa tournée par les ivrognes avachis du comptoir... L'air de la pièce était étouffant, trop brassé qu'il était depuis plusieurs heures déjà par les souffles abrasifs des salauds échauffés et des femelles ingénues. La jeune serveuse cessa de trotter un instant, la dernière bouteille de sake dans une main, la seconde relevant habilement son épaisse chevelure pour la piquer en un chignon emmêlé, dévoilant la nuque gracile toute humide d'une délicate sueur... Elle n'eut pas le temps d'achever son mouvement qu'une main brutale vint lui saisir le poignet, fracassant sa bouteille au sol, tandis que les longs cheveux bruns retombaient, indomptés, sur le bras crasseux de l'homme qui s'était mis à brailler...

" T'viens l'étage 'vec moi, beauté ? "

Les grands yeux amandes s'écarquillèrent de surprise, pendant quelques fractions de seconde... Mais le gredin ne lui laissa pas le temps de réagir, qu'il poursuivait déjà.

" T'es un éclat pour mon oeil, parole ! J'vais t'remuer les entrailles, t'vas 'dorer ça ! "

Le type était laid et puant comme un pied sale après un mois de route sans bain, mais Miyuki, malgré son jeune âge, en avait déjà vu bien d'autres... Le gentille petite éclata d'un rire frais et doux, prête à venir s'asseoir sur les genoux de l'ignoble poivrot. Peu lui importait qu'il n'ait plus un sou, d'ailleurs... Le bonhomme avait déjà tout dépensé en beuverie dans l'établissement... Les filles faisaient partie de l'agrément des lieux.

La jeune bécasse ne savait certainement pas ce qui l'attendait. Le type avait l'air sacrément amoché par l'alcool, depuis des heures qu'il macérait dedans. Sans grand ménagement, il se leva brusquement, et tira la gamine par la taille, la claquant au derrière pour la convaincre de se ramener au plus vite. Frêle entre les grosses pattes, Miyuki se tortillait de plaisir, un grand sourire béat lui fendant le visage, toute fière d'avoir été choisie par un des hommes peuplant les lieux. Il faut dire que dans son pauvre esprit, ingurgiter beaucoup d'alcool était signe de virilité... Cet homme, malgré son haleine à faire vomir un coyote, lui apparaissait donc comme dans la norme des mâles qu'elle voyait défiler tous les jours. Auréolé d'une puissante aura virile, donc.
Ce n'était pas la première fois qu'un homme venait à abuser de ses charmes à l'étage... Elle en était pourtant toujours aussi heureuse, chaque fois, dans sa très grande simplicité. Croisant au passage quelques femelles plus aguerries aux lascivetés , elle ne put s'empêcher de distribuer force sourires et clins d'oeil, alors que le poivrot la tiraillait toujours, tout en tripotant et malmenant ses parties charnelles de ses grosses mains velues. Le couloir dans lequel il débouchèrent résonnait de rires très doux, gémissements, grognements rauques parfois ponctués d'une claque sonore, d'un cri plus haut perché ou encore d'un coup sourd, sans que l'on puisse en déterminer l'origine exacte.La pénombre y régnait en maîtresse, uniquement percée de quelques bougies de faible qualité fixées à même le mur, dégoulinantes de cire chaude gouttant à même le sol. De part et d'autre des planches de bois qui composaient les murs, de sombres alcôves semblaient y être aménagées, parfois dissimulées par une grossière tenture de velours élimée, à la couleur indéfinie, parfois, plus étroites, simples renfoncements incongrus dans la paroi.

Le coeur battant un peu plus vite, la jeune fille laissa glisser doucement son kimono le long des ses épaules, dévoilant progressivement la peau délicate... Mais, déjà, l'ivrogne, impatient, la bousculait dans un recoin obscur, prêt à la trousser sans ménagement.
--Kitsuro


Une chose exceptionnelle s'était produite dans la vie de l'adipeux pochard.

Il n'avait pas été repoussé, chose à laquelle il ne s'attendait pas le moins du monde... mais la jubilation fut de courte durée, interrompue par les besoins impérieux de son entrejambe enflammé qui n'avaient pas été satisfait depuis plusieurs semaines. Cette éternité d'inaction était pourtant révolue. La jolie fut poussée contre le mur, au fond d'une alcôve que l'homme isola des regards en tirant sèchement sur la tenture de velours. L'atmosphère du petit espace fut bien vite emplie par son immonde odeur, car il se déshabilla lui aussi. Poussé par ses fantasmes de luxure et sa fougue alcoolémique, il en oublia d'épargner les yeux de la mignonne, lui laissant ainsi admirer la sublime toison de poils gras qui lui recouvraient le torse, les aisselles, les épaules et... le reste.

"
J'vais t'prendre, ouais ! J'vais t'prendre ! "

Le commun des mortels se trouve parfois bien plus bas qu'on ne le croit. Lui se convainc cependant d'avoir été attirant en crachant sa poétique promesse. La beauté acculée, il la plaqua sans la moindre tendresse contre le bois, et la força à lui tourner le dos sans oublier de lui pincer les fesses. Quelques instants plus tard, la virilité du chanceux crasseux se trouvait au coeur des entrailles qu'il s'était promis de conquérir. Elle fut prise. Et ce ne fut pas très long. Rapidement, son souffle devint saccadé, incontrôlé, alors qu'il suait littéralement sur son heureuse élue... et s'écartait enfin en poussant un rugissement aussi bestial qu'idiot, quelques rires se faisant aussitôt entendre des alcôves voisines. Son énorme main se leva pour aller attraper la chevelure de la donzelle, qu'il traîna jusqu'à lui.

"
Encore ! " Ordonna-t-il...
--Miyuki


Le kimono eut à peine le temps d'achever sa course au sol que l'homme, pressé, avait déjà tiré le morceau de velours qui les dissimulait tant bien que mal, et avait arraché ses fripes, dévoilant ainsi des attributs dignes de ses valeureux ancêtres paléolithiques. Tout en gueulant sa victoire, il poussa la jeune Miyuki, ne lui donnant comme seule option que de se réceptionner à deux mains contre le renfoncement obscur de la cavité.

Les lèvres tendres et pleines s'arrondirent en un petit piaillement, le membre viril officiant déjà son impétueuse besogne au creux de l'entrejambe féminin, brusque, dégageant à chaque mouvement des relents fétides de sueur et d'alcoolique crasse. La jeune serveuse n'en perdit pourtant pas son joli sourire naïf, tandis qu'elle se soumettait à la poigne volontaire... L'histoire ne dit cependant pas si elle eu le loisir d'éprouver beaucoup de plaisir à l'affaire. Au bout de quelques tressautements et autres grognements sourds, le pochtron lâchait déjà le trop-plein de sa libido frustrée en elle, rugissant comme un forcené que l'on viendrait de libérer de ses chaînes. Douce, attentive à la satisfaction entière de l'être extrêmement viril qu'il s'était si brillamment emparé d'elle, Miyuki se retourna, une main délicatement posée contre sa gorge, ses grands yeux posés sur l'homme dégoulinant. Encore une fois, elle s'apprêtait à prendre la parole pour gazouiller sa joie, que l'homme la coupait de nouveau, s'emparant de sa chevelure pour forcer la douce créature à terre, son visage contre l'asperge encore baveuse.


"Encore!"

De la fange il peut parfois naître des perles de patience et de douceur... Sans hésitation, nous pouvons affirmer que la jeune Miyuki faisait partie de ces miracles, car c'est docilement qu'elle se plia à la tâche requise, s'employant à besogner les parties du soiffard bestial avec application...
Hikohito
Installé depuis peu dans les quartiers du dock, la ou le Taishou* pouvait surveiller les navires et préparer ses mauvais coup, il alla se laisser bercer par l'inconnue de se nouveau lieu. Histoire de trouver un peu de sake et de ce décider ou non à noyer son chagrin dans l'alcool ou non.

Un lieu animé attira son attention, les gens avaient l'air de s'amuser et de boire. L'endroit n'était pas des plus propres, mais sa fortune épuisée il ne pouvait plus trop faire la fine bouche, il allait devoir épouser les bas fonds. Enfin quand même avec un certain degrés tout de même.

Alors qu'il s'engouffrait dans cette endroit de perdition moral et charnel, s'écrasant dans un coin, Saburo observa les lieux, les personnes, les filles, c'est vrai que depuis la mort de Ranoo il n'avait pas encore fréquenté les bordels afin de se soulager. L'hésitation des lieux le rendait un peu perplexe, mais ses yeux se posèrent sur une jeune fille, elle semblait un peu différentes, ses gestes malgré l'endroit respirait un semblait de grâce et même si ce n'était pas une beauté exceptionnelle, il aurait bien aimé faire danser ses courbes de façon harmonieuse suivant le rythme et la musique du port. Il aurait tout fait pour avoir cette fille, elle le regarda et peut être comprit elle son regard insistant, mais elle sembla s'être affairée à une autre tâche. Il la voulait elle, même si il devait remettre de façon catégorique et à coup de beigne un soulard du coin. Il commençait à perdre patience, peut être une autre créature ce trouverai sur son chemin et arriverai à combler sa faim.
_________________
--Doux_poison



La jeune fille avait été rachetée jeune à ses parents pour effectuer différentes besognes. A sa puberté, quand ses formes et ses courbes apparurent bien vite, ses employeurs eurent vite fait d'utiliser ses charmes pour assouvir quelques besoins primaires d'un mâle en rûte. Sa peau fine et blanche et ses traits si fins étaient pour elle une malédiction car le moindre sauvage voulant alléger ses bourses aussi bien au figuré qu'au sens propre n'hésiter pas à ce débourser pour elle.

Elle avait connue des hommes dans un premier temps qui l'avaient battus, puis par un sombre hasard, alors qu'elle les haïssaient au plus au point elle les découvrit comme pouvant être utile. Par un de ses après midi d'alcool, alors qu'un abruti de plus lui collait une dense et qu'elle eut craint une énième fois pour sa vie, tout s'arrêta soudainement. Un espèce d'illuminé avait fait taire la brute. Soit disant il supportait pas qu'on la traite comme ça, enfin il était comme les autres, il voulait la même chose, mais au moins lui il ne tapait pas. Cette expérience faite, il lui fallait des protecteurs, des hommes qui ne la frapperaient pas et qui feraient comprendre aux autres que les mères de ces enfants de catin n'arriveraient pas à reconnaître après un bon passage à tabac dans les règles.

Les années passèrent et elle finit dans un bordel près des docks de Kiyosu. L'un des pochards, immondes et puants mais cependant aussi gros qu'un mastodonte semblait chercher une femelle dans cette enclos. N'ayant pas de protecteur personnel sous la main, elle décida d'essayer de le chopper à cette cruche de Miyuki qui n'était juste bonne qu'a servir les boissons. Alors qu'elle allait commençait son interception, elle fit renverser. Des mains ivres se baladant sur son corps la firent grimacer et écartant ses vermines d'elle, elle courue à l'étage, espérant que ce n'était pas trop tard.
Des cris gutturaux et d'autres espèces de sons plutôt brutaux ce firent entendre. Prise d'un fou rire elle ce dit qu'en fait elle n'avait rien perdu et ferait mieux de s'affairer à la tâche de se trouver un homme prêt à se battre pour elle et lui améliorer un peu la vie, en échange de son entre jambe.

--Cheveumonmari


La porte du bauge s'ouvrit avec un sacré grand fracas. Une petite bonne femme se tenait sur le seuil, les cheveux en vracs, et un large couteau de boucher à la main. Ses yeux lançaient des éclairs, et elle jeta un large regard circulaire à faire trembler les murs.

Où est ce foutu trou du fion de mari qu'à même pas été capable d'réparer ma table !

La raison de sa venue ici était claire. Elle venait récupérer le mari volage qui dépensait tout l'argent du ménage dans pareille débauche. Et elle ne repartirait pas sans, ou bien après lui avoir planté son couteau dans le ventre. Cyrin était du genre très jalouse. Cette petite femme bien enrobée aux habits froufroutants vivait dans le Cloaque depuis un paquet d'années et était très bien connu pour ses scènes de ménage. En général l'un des deux finissait toujours dans la boue. Des femmes comme elle, toute auberge du même genre en voyait tout les jours, mais peu brandissait un couteau avec l'intention de s'en servir.

Mutsu ! Sort ta tête des jambes de la fille que je t'étripe !

Il avait intérêt à se montrer vite,où elle allait faire un carnage. Elle savait qu'il était là (elle se tapait son meilleur pote en douce), et avait bien l'intention de se venger un coup. Pendant que d'autres le tire.

Un joli petit couple, comme on aime.


Celui ou celle qui veut interpréter le Mutsu est évidemment le bienvenu
--Sacre_fou_du_sake




Les choses se compliquèrent pour notre bon ami Mutsu. Voila qu'il avait réussi à dégoter un beau petit lot, et pour son plus grand plaisir deux autres petits bouts de femmes arrivèrent. Voila que les kamis le récompensaient enfin ! Pas une seul seconde il ne s'était douté qu'il avait perdu sa bourse et qu'un petit malin lui avait payé ses deux filles histoire de bien l'occuper, pendant qu'il vidait la bourse en alcool et femmes de tout genre.

Alors qu'il était traité comme un Kami et qu'il possédait à porté de membre tout ce qu'il désirait sur le moment, que ses pognes grasses se baladaient allègrement sur les corps des jeunes filles qui poussaient quelques doux bruits plaisants aux oreilles d'un homme, une voix pas du tout désirable et qu'il ne connaissait que trop bien vint déranger sa tranquillité. Le pauvre, il était vidé et voila qu'il allait devoir supporter Morue. Il souleva son imposante stature malpropre et fini de dévorer les filles des yeux en repensant aux six jambes en l'air qui c'étaient proposés à lui.

L'filles, c'était trop bien, j'reprendrai vos petites croupes un autre coup, z'inquiété pas, j'vous offrirez du sake dans la gargote du cloaque, s'avez qui j'suis, c'moi ltenancier.

Descendant de l'étage, remettant ses habits de travail un peu tachés de différentes sécrétion il pensait s'en tirer en sortant un ou deux mots mielleux. Sauf qu'il vit la chose ! La garce elle osait, venir en ce lieu armé de son instrument de travail ! Son couteau ! La rage le prenant il choppa une dague à un type plus ou moins vivant étalé sur la table. Il s'approcha en grognant, ses petits yeux stupides étaient remplies de rage.

P'our qui t'prend espèce de grognasse. T'viens m'peté mes grosses burnes alors que j'vend mon saké en douce pour que t'puisse t'acheter tout tes trucs de trainé ! Spèce d'ingrate, j'vai t'apprendre à voler mon COUTEAU ! MON COUTEAU !

Son allure était plus au moins rapide pour sa masse qui le protégeait d'un doux filé de graisse et de poil, la bête arma son poing et décocha un coup de poing de sa lourde main, quand elle touchée son but certains habitué de sa gargote finissait leur soirée sur le carreau. Sauf sa femme, elle était pas à sa première et puis elle encaissait vachement bien, quand elle esquivait pas, ça lui arrivait, puis après elle répliquait et là... C'était pas la même histoire.

J'espère que cela convient
--L_inconnu


Tandis qu'un long rugissement, aussi rauque qu'idiot se faisait déjà entendre du renfoncement proche de l'escalier, la jolie Doux Poison se tenait là, aussi indécente que sensuelle, dans son kimono à moitié transparent qui ne tenait en place que pour la provocation. Une main, brutale, masculine, impérative, la saisit par la manche pour l'attirer à lui. L'homme n'avait nulle intention de la protéger. Mais d'abuser d'elle... Ca oui. Une gamine perdue qui semblait courir après l'homme le plus hideux de la taverne...Fallait bien la distraire.

Les mains fermes l'attirèrent dans l'obscurité d'une alcôve, la palpant et la pétrissant sans répit. Mais déjà, elles se faisaient plus inquisitrices, intimes, fouineuses, sans nulle attention pour les gémissements aussi surpris que feints de la jeune belle-de-nuit, qui n'avait d'ailleurs guère le choix. Un souffle se fit sentir sur la tendre nuque... Humant, inspirant la perversité faussement dissimulée sous quelques couches de parfum de jasmin, qui ne trompaient personne, l'ombre s'empara du corps de la jeune esseulée, ne lui laissant ni le répit de s'enfuir, ni celui de reprendre son souffle. Les enchaînements se firent de plus en plus soutenus et saccadés, alors que ce n'était plus seulement la main qui faisait sienne le corps souple et lascif. Après un dernier soubresaut, la silhouette vigoureuse relâcha sa détenue d'une vigoureuse claque sur la croupe, l'enjoignant à rejoindre le monde bruyamment éclairé qui l'attendait au-delà de l'alcôve.
--Les_jumelles


Les silhouettes ondulantes, sensuelles, des deux tenancières du bouge s'immobilisèrent quelques fractions de seconde, à la vue du nouvel arrivant écaillé. Leurs regards se croisèrent à travers le brouhaha, communiquant en un silencieux dialogue, connu d'elles seules, avant de se remettre gracieusement en mouvement, un doux et mystérieux sourire aux lèvres. Encadrant l'homme, de leur peau pâle et soyeuse et de leur profond regard de velours impénétrable, elles laissèrent leurs paumes le parcourir de toute leur avidité, curieuses et impérieuses. Les prunelles se faisaient face, rieuses, s'échangeant de doux et complices clins d'oeil, alors que les corps, lascifs, se frottaient contre celui du Lézard qui venait traîner en ces lieux. Les lèvres vermeilles caressèrent d'un souffle léger l'oreille masculine, avant de lâcher ces quelques mots, dans un murmure...

Bonsoir, beau mâle... Tu viens nous rendre visite...?

Une bouteille de sake jaillit entre les pattes de l'homme, tandis que les deux soeurs, lui laissant le temps de se rincer la glotte, faisaient courir leurs doigts et leurs lèvres sur sa peau, se volant parfois un baiser lorsque leurs lèvres se rencontraient sur la nuque masculine, ou sur les épaules musculeuses... Elles pressentaient toutefois que ce dernier n'était pas là que pour l'agrément, malgré le grand sourire qui éclairait son visage depuis que les jumelles le comblaient de leurs multiples caresses. L'attirant à elles, les deux femmes l'entraînèrent, l'incitant à traverser la meute de soiffards, pour se retrouver dehors, dans le jardin paisible. Le contraste du silence enneigé emplissait les oreilles et l'esprit, après le concert de braillements et de tintements de bouteilles qui régnait à l'intérieur. En chuchotant et en riant doucement, les jumelles continuèrent à entraîner le solide reptile, tandis que le crissement de leurs pas sur la neige se mêlait à la légère musique de leurs voix... Ils arrivaient à l'onsen. Les légers kimonos tombèrent, impudiques, inutiles, tandis que les corps désormais dénudés se collaient à sa carrure masculine, l'entraînant dans les eaux bouillonnantes et régénératrices.

Sans lui laisser aucun répit, les deux soeurs jouaient à attiser ses sens, s'évertuant à agacer sa virilité de toute leur sensualité, entourant sa taille de leurs jambes soyeuses, le couvrant d'une pluie de caresses et de baisers plus provocateurs les uns que les autres... Sans relâcher son étreinte, l'une plongea son regard ardent dans les prunelles masculines, le sondant sans gêne
.

Qu'est-ce que tu viens faire parmi nous, mon chéri?
Hikohito
La silhouette de Doux-poison disparut définitivement de son sillage. Alors qu'il allait se levait afin de tenter de la retrouver ou de chercher autre chose, une main douce s'engouffra dans son kimono pour parcourir son torse. Il l'examina, hors de question de prendre n'importe quelle souillon. Les mains étaient douces, les habits propres et dégageaient une odeur agréable. Aucune odeur de sexe ni même de transpiration ne semblait remonter à ses narines, passer en deuxième ne l'intéressait pas. La proie qui venait de se jeter sur le chasseur lui convenait parfaitement, même s'il eu un mauvais pressentiment quand au coût de cette créature.

Puis il eut le nous. Nous ? Avec un léger temps de retard il sentit la seconde paire de lèvres lui embrasser le cou. C'était sûr, là ça allait lui coûter un paquet de kobans, enfin fallait examiner la deuxième avant de donner son accord. Quand ses yeux avides se posèrent sur la deuxième fille son esprit bloqua. Inspirant légèrement, s'enivrant en même temps de leurs doux parfum, il prit un petit moment pour réfléchir pendant que son corps se laisser bercer de douceurs charnelles.
"Bon tu vois double, respire la dernière fois que ça t'es arrivé souviens toi comment ça a fini. C'était plutôt pas joli joli mais faut dire que t'avais sacrément bu et fumé."
Alors que son esprit appuya sur le mot sacrément il se rappela y être allé plutôt soft. Un peu d'opium dans l'aprèm' et quelques bols de sake. Rien d'extraordinaire, sauf peut être l'opium qui ne venait pas de son fournisseur habituel.
"Plus jamais faire confiance à un vendeur qui à un oeil qui regarde pas dans le même sens que son autre oeil. Voila ce qui arrive quand tu dépenses ton budget défonce pour acheter un tas de conneries à ta fille. T'as plus de pognon et t'achètes de l'herbe de bonne qualité et tu te fournis auprès d'un vendeur étrange."
Alors que les deux femmes se faisaient plus avides en caresses et baisers en explorant le corps du lézard; l'esprit du jeune homme ne s'était pas encore décidé si il hallucinait ou non, et si l'origine de son illusion provenait de l'herbe. Le frottement sensuel de leurs jambes contre son corps était pourtant bien réel. Tout comme leurs bouches dévorant son cou. Son désir et son envie d'elles monta d'un cran et la partie entre ses jambes prit le contrôle.
" Fait toi plaisir et regarde ce qui t'attend au réveil ! Y'a pas d'autres solutions. Plaisir..."

Alors qu'une des filles fit un son semblable à un gémissement, des plus existants, il céda complètement, l'homme allait leur montrer ce dont il était capable, après tout c'était lui le prédateur. Enfin c'est ce qu'il aurait aimé croire, mais il ne dévorait personne pour l'instant.

Saburo commença à se concentrer sur ce qui l'entourait quand son corps rencontra quelque chose de connu. L'eau chaude d'un Onsen. La nostalgie de Gero lui revint... La mort de Ranoo. Un malaise le prit, il fallait tout arrêter, il allait tout arrêter, sortir de là et rentrer voir Sami.

Les mains expertes ainsi que le talent des jumelles n'avaient pas été pris en compte, elles le firent complètement changer d'avis quand l'une d'elle saisit le bon bout et commença à le masser. La deuxième vint délicatement appuyer sa jambe contre le visage de l'homme, qui venait de voir son appétit complétement réveillé. Il caressa d'une main le visage de sa masseuse et laissa sa main parcourir son corps, afin d'aller doucement masser une de ses parties, sa façon à lui de rendre l'appareil, même si avec autant à faire, il doutait pouvoir la satisfaire pleinement. Car c'est lui qui lâcha un doux râle de plaisir en premier, l'Onsen multipliant les effets des plaisirs charnels. Décidant de s'attarder ensuite sur la jambe de la deuxième créature ou de l'illusion, Saburo entreprit de baiser délicatement cette cuisse, savourant le goût de sa peau. Sentant frémir le corps attachée au bout tandis que sa deuxième main ondulait sur son corps afin de faire connaissance avec deux autres jumelles. Alors que ses baisers commençaient a s'approcher d'une autre source de chaleur bien plus savoureuse la question qui tue arriva.

Qu'est-ce que tu viens faire parmi nous, mon chéri?

A ce niveau là, il réfléchissait plus depuis un moment. Alors savoir ce qu'il venait foutre là, dans cette position là, c'était de la torture. Son regard pénétra les yeux d'une des jumelles d'un regard voulant dire, on finit le blabla après.
Elles étaient enroulés telles un serpent autour d'une vulgaire souris. Il sourit, comme son tatouage. L'imposant tatouage Lézard dont la tête naissait depuis une de ses cicatrices à l'abdomen pour s'enrouler autour de son torse, la base de sa queue posée sur son épaule et sillonnant ensuite son bras pour aller mourir sur son poignet. Il était étreint, il le savait, et rien ne servait de résister. C'était devenu la proie. Il grogna en empoignant la croupe d'une des jumelles pour l'attirer près de son membre, ses muscles saillants et ruisselants sous la chaleur de l'eau. Ils avaient besoin d'un peu de sport et faillait montrer que c'était quand même lui l'homme. Hors de question de sortir se refroidir et congeler le lézardo en traversant la neige, ce soir l'Onsen trouverait une autre source de chaleur.
_________________
Sayassa
Keita courrait partout, parcourant les rues sombres de ce quartier à sa recherche.
Elle courait à perdre haleine puis essouflée, s'arrêta un instant...
Le premier endroit ou elle était allée était sa gargote, sûre qu'elle était de le trouver là. Mais elle était simplement tombé sur quelques soiffards et la fillette accompagnée de son éternel compagnon de jeux.
Depuis elle avait parcouru la place du marché viide à cette heure tardive, bien entendu...et avait continué sa recherche vers le port, arrêtant parfois les passants pour les interroger et on lui avait désigné cette bâtisse en riant.

A présent, keita se tenait devant une maisonnette toute de bois, l'entrée éclairée de quelques lanternes feutrées et pendant un instant, elle se prit à écouter le murmure de l'eau des fontaines...

Puis un bruit mat, des rires gras vinrent troubler la quiétude de ce lieux, qu'elle avait d'abord pris pour une maison de bonne famille...

Keita avança timidement et les bruits se firent de plus en plus distinct, des bruits de bouteilles que l'on cognait...de rires féminins et doux, de rires gras et de paroles hautes et pas toujours délicates..

Keita commençait à se douter fortement de ce que représentait ce lieu et faillit faire demi-tour mais elle devait le voir, lui raconter...cette rencontre dans les ruelles noires du Cloaque et les menaces de Chan...

Elle pénétra alors dans ce lieu et resta pétrifiée sur le pas de la porte coulissante.Une pièce immense, un comptoir, et des tables...Son esprit essayait de ne voir que les objets se concenrant dessus mais elle fut bien vite bousculer...
Pourtant personne ne semblait faire attention à elle
et ses jambes enfin se décidèrent à lui obéir..et avançant un peu plus, passant entre les tables, son regard rencontra un grand escalier, au fond de la pièce...Bien que naîve, elle se doutait de l'endroit ou il menait et en eut la confirmation en remarquant quelques jeunes femmes accompagnées qui y montaient

Mais de lui, aucune trace...à moins qu'il ne fut en haut, déja occupé...mais keita ne voulait pas y croire..non, Il n'était pas ainsi...

Soulagée, elle allait faire demi tour quand, vers la gauche, un son de voix attira son attention

Citation:
Qu'est-ce que tu viens faire parmi nous, mon chéri?


Elle ne sut comment ni pourquoi, mais elle sut à coup sûr que ce 'chéri' était l'homme qu'elle cherchait. Il devait être dehors en train de boire un coup, loin de toute cette agitation et Keita respira un grand coup et se dirigea vers le son.

Elle fit coulisser la porte qui menait certainement vers un 'bar' extérieur et fit quelques pas découvrant ce lieu enchanteur...

Puis son regard se riva sur l'Onsen et un petit cri sortit de ses lèvres

Il était là, entourée de deux magnifiques crétaures et semblait passer du bon temps à en croire ce qu'elle découvrait sous ses yeux...Ele resta un instant à les regarder, elle n'était pas une 'voyeuse' certes non, mais ainsi ne se couvrirait elle plus d'illusions sur Lui.
Ainsi, il n'était qu'un homme et une pointe de jalousie plus tard, elle tourna les talons et doucement s'en alla comme dans un brouillard...
--Cheveumonmari


Et il ne se contentait pas d'une non, mais de plusieurs ! La fumée commençait à sortir des oreilles de la petite dame au visage rouge de colère. En l'entendant parler et raconter ses anneries, Cyrin cracha à terre d'un signe de profond mépris.

Maintenant c'est MON couteau ! Viens l'chercher gros lard !

Elle vit venir le coup de poing de homme ivre, qui pensait encore qu'elle se laisserait avoir. Voilà longtemps qu'elle connaissait tout ses coups, et une parade existait à chaque cas. Aujourd'hui elle allait mettre en application sa préférée.
Vive comme l'éclair, elle sauta sur le côté pour éviter le poing. Il ne toucha que sa hanche droite, au lieu de s'enfoncer dans son ventre. La grognasse encaissa le coup grâce à sa corpulence, et brandit son arme.


Crève charogne !

Elle feinta avec le dit couteau en visant les tripes de son cher mari, mais le pied atteignit les roubignoles de l'homme. Quand je vous disais que c'était sa parade préférée.

Faut que je me vendes pour que t'rives tes mirettes sur moi ?

Ah la jalousie, quel noble sentiment.
Sayassa
Keita avançait pas à pas dans la grande salle et peu à peu, son esprit avait l'air de s'ouvrir à son environnement....Elle s'arrêta et semblait observée enfin d'une toute autre manière les alentours...

Un léger tressaillement parcouru son corps...Dans un geste précis, et presque sans s'en apercevoir, elle ôta son chignon, bien trop parfait et secoua sa longue chevelure brune...

Puis ses mains descendirent le long de son corps et dénouèrent les lacets de son kimono, découvrant sa poitrine aux yeux des hommes ici présent..

Elle pinça ses lèvres pour les colorer un peu et partit à la conquête de...l'amour

Elle prit une bouteille de saké dans ses mains et commença à déambuler entre les hommes...

Keita ne savait trop comment se comporter et essayer d'imiter les jeunes femmes présentes...

Une première se posa sur sa hanche et la fit sursauter mais bien vite elle fit un grand sourire au ropriétaire de cette main...et continua son chemin...

Des mains plus hardies vinrent caresser sa croupe...

Elle continua ainsi, buvant à son tour une raasde de ce fameux saké...attendant son tour patiemment
See the RP information <<   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)