Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2   >   >>

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP] De quoi s'amuser des puissants...

--Le_poete_crotte
Le Poète Crotté était la voix de la rue. Il savait tout, connaissait tous les secrets, histoires de coucheries et tromperie d'époux.
Son rôle : faire rire les pauvres paysans qui se tuaient à la tache pendant que les nobles s'amusent et leurs crachent à la figure.
De plus en plus, Le Poète Crotté voyaient des choses et en avait appris d'autres qui le laissaient perplexe.
Devait il en parler et informer ses braves citoyens que la noblesse les traitaient pire que des chiens en haut lieu?
Hihi, il ne serait pas crotté s'il laissait faire sans rien dire....

Il pris sa plume rouge et commença à écrire un pamphlet à destination de ses bons artésiens.

Une fois son écrit terminé, il le donna à un petit gamin des rues, un vagabond comme il y en avait tant, surement orphelin, un gueux un moins que rien, selon certains; un gosse juste un petit gosse qui avait faim pour d'autres.



Tiens va dons sur la place publique lire ceci, et tiens une piécette pour manger en taverne

Une fois tout cela fait, le Poète Crotté se remis à l'ouvrage...
--Lino_le_gamin
Le petit gamin attrapa le pamphlet et le sous. Chouette, il pourrait manger ce jour. Il sortit en courant et sautilla jusqu’à la place

Oyez, Oyez gueux et gueuse d'artois, oui vous êtes des gueux, des porcs et des truies qui vous roulez dans la fange. Ecoutez, Ecoutez le poète crotté, il va vous dire ce que pense les nobles de vous, il vous racontera comment pendant que vous vous tués à la tache,
d'autres se prélassent, s'en mettent plein la panse et refuse de payer alors qu'ils en ont plein les bourses.
Viendez, viendez écoutez le poète crotté.


Le gamin déroula le parchemin et repris d'une voix forte

Citation:

Accourez Accourez
gueux et gueuses approchez
Venez écouter Le Poète Crotté
Venez écouter la vérité.

Grands et grandes tremblez
Toutes vos ignominies seront dévoilées
Ici point de langue de bois
Ici des gueux vous aurez les mêmes droits

Et des gueux ou des nobles on verra
Qui à un comportement de verrat
--Le_poete_crotte
[Quelques jours plus tard]


Le poète crotté avait terminé son permier écrit, il avait travaillé toute la nuit, les artésiens allait pouvoir prendre connaissance de son premier pamphlet...
Il appela de nouveau le petit Lino et contre quelques pièces celui ci alla porter la vérité auprès des artésiens.
--Lino_le_gamin
Lino arriva sur la place en sautillant. Le gentil poète lui permettait de manger un peu à sa faim, lui le petit gamin des rues qui devait voler pour vivre.
Il grimpa sur une borne cavalière et de sa plus belle voix déclama.



Accourez Accourez
gueux et gueuses approchez
Venez écouter Le Poète Crotté
Venez écouter la vérité.

Grands et grandes tremblez
Toutes vos ignomies seront dévoilées
Ici point de langue de bois
Ici des gueux vous aurez les mêmes droits

Et des gueux ou des nobles on verra
Qui à un comportement de verat


Aujourd'hui le premier conte, aujourd'hui les premiers faits.
Venez , venez entendre l'histoire, la véritable histoire du noble comte cocu et de sa femme de mauvaise vie.



Citation:
Il était une fois un comte, un humble homme, Elendil était son nom.
Homme proche du peuple il a toujours été, toujours aidant et estimé.
Mais pour nous pauvres gueux, qu'a t-il fait? Il a travaillé pour le comté soit, mais c'était dans le passé.
Aujourd'hui où est ce comte bien aimé cet Elendil le humble, le bien nommé? Est il un verat ou un cerf? Est il un homme ou un gueux?


Cet homme fut maire, diacre et il géra nos mines avec brio, prenant même la tête de notre beau comté.
Mais il espérait plus de la vie. Veuf d'une douce femme et charge d'âme, il désira mettre faim à ce célibat.
Il pensa rencontrer l'amour, celui qu'il avait connue avec sa douce perdue.
Il ne connu que désespoir, celui la même qui fait qu'on regrette d'avoir vécu.

Toujours humble envers tous les artésiens, ne rabbaissant jamais le peuple, ni ses gens
Toujours au service de l'Artois, même aujourd'hui lors de son retour
L'humble Elendil en à pourtant soupé de l'artois.

Il épousa en seconde noce, une femme, noble par son premier mariage et déjà veuve...
Il cru à l'amour fou et à la passion de leur corps et de leur âme
Mais cette noble, elle, croyait à la passion de son corps avec le voisin, un comte encore, un diablotin.
Sans pudeur ni vergogne, cette femme de mauvaise vie alla jusqu'à le clamer haut et fort.

Oh mon Elendil pardonne moi, je n'ai pu résister, mais c'est toi que j'aimeeeeeeeeeee
Le pauvre Elendil la cru de bonne foi, pauvre comte cocu il devint et la risée de l'Artois.

Raaaa, saleté de femme, qu'à tu fais à notre comte bien aimé? un homme sans honneur et sans fièreté.
Le pauvre elendil continua à l'aimer, se réjouissant lorsque la femme de mauvaise vie la ComSerw si mal nommé lui appris qu'en son sein la vie grandissait.

L'enfant vécu, la sage femme rempli son office, mais qu'elle surprise l'attendit? De deux noble blond naquit un enfant brun.
La femme fut grassement payé, annoblie elle fut proposé, la demoiselle vallone serait bientôt noble, une gueuse et vagabonde dans le monde des grands.
Mais la femme de mauvaise vie n'a pas de parole, c'est bien connu. Elle fit teindre l'enfant et confié à des nourrices bien loin d'elle à plusieurs jours de marche et insulta
la sage femme, la demoiselle vallone qui l'avait servi. En pleine cérémonie, comme un chien elle l'a sorti.
Où est cette femme détenant la vérité? elle est morte...sur les chemins. Entre Azin et Amiens.
L'enfant brun comme le diable et devenu blond comme les blés, et la femme de mauvaise vie se prélasse dans d'autres lits.
le diable enfanta un second enfant, jumelle du premier. Point de nouvelle d'elle pourtant,
seul le male est montré, la femelle oubliée. Ces cheveux noir malgré tout les soins, restèrent la preuve de l'infamie.
Et l'enfant sacrifié fut éloignée et reniée.


Pauvre comte Elendil, tu as préféré partir et abandonner les paysans que tu aimais tant. Toi le cerf majestueux tu ne nous laisses que cette femelle en chaleur pour nous conduire, vers qui?
un autre corps de bruns, d'autres excréments.
Mais avant de partir noble Elendil, tu as transmis ton savoir aux pauvres paysans, et tu t'es mis au service de l'Artois durant tout ce temps.



Voila artésiens artésiennes le premier conte, voila paysans et paysanne les premiers faits. Le comte elendil s'en est allé, et il ne nous reste que nos yeux pour pleurer la ComSerw est toujours là
insultante, arrogante, et tentant, de faire passer une autre pour ce qu'elle est : oh ComSerw tu es notre joyaux, le point phare du bordel d'artois.


Fier de lui Lino roula son parchemin et s'en alla en siflottant, vivement demain et un nouveau conte. Il s'éloigna en chantonnant Et des gueux ou des nobles on verra
Qui à un comportement de verrat
--Le_poete_crotte
~*Edit Vouivoui*~

Certains avaient donnés des ordres. Aucun ne fut suivi. De nombreux gueux offraient de bon coeur assiette et logis.
Ayant retrouvé une maison au coeur de la capitale, le poète crotté se remis au travail.
De nombreux pigeons le suivait, certains de menace, mais qui s'en souciait. D'autres plus important, et le poète en souriait d'avance.

Ce jour la, le poète avait reçu un courrier, il vait fait du pigeon son repas. Se frotant les mains, il sourit, un nouveau conte en perspective, une nouvelle vérité.
Il pris sa plume rouge et écrivit...

Plusieurs heures plus tard, il fit mandé le petit marchand d'oubli. Le petit Lino, et sa voix douce avait trouvé un petit travail, qui lui permettait de manger.
Celui ci se présenta et sourit au poète croté.


J'ai un travail pour toi, tu vas finir par devenir riche, les langues se délient, j'ai de nouvelles vérité à dire. Tu es mon messager, va porter la vérité.
Mais pour l'heure une gentillesse, tu va t'ennuyer, mais je te promets du lours mon ami.


comme d'habitude le poète donna un pièce au petit Lino et le laissa partir, portant son parchemin comme un trophée de guerre.
--Lino_le_gamin
Lino fini son travail; les acheteurs lui demandait quand le dernier conte serait lu. En souriant, Lino répondait.

Revenez ce soir et vous verrez.

En vendant ses oublies, le petit Lino chantonnait
Et des gueux ou des nobles on verra
Qui à un comportement de verat


Lino savait quand viendrait la dernière nouvelle, le dernier conte. Quand arriva sa fin de jouréne, Lino alla se poster,
sur un tonneau il grimpa et de sa plus belle voix déclama :



Accourez Accourez
gueux et gueuses approchez
Venez écouter Le Poète Crotté
Venez écouter la vérité.

Grands et grandes tremblez
Toutes vos ignomies seront dévoilées
Ici point de langue de bois
Ici des gueux vous aurez les mêmes droits

Et des gueux ou des nobles on verra
Qui à un comportement de verat

Aujourd'hui le second conte, le poète crotté a cherché, très longtemps pour trouver de quoi raconter, sur le baron pinceur de fesses, le baron des daims.


Le petit Lino déroule sont parchemin et commença

Citation:

Il est une fois un baron dormeur, homme de luxe il était, mais une taverne il possédait.
Cet homme vivant parmis les zinzins, avait un défaut énorme, il dormait en taverne toute la journée. Ce noble aurait pu rester perclu, mais il préféra, se battre pour l'artois.
Il n'était pas un homme de politique et des chamailleries il était étranger, malgré tout pour sa ville et son comté, il repris le chemin de l'armée.
Seul dans son fort il restait, mais toujours près il était.
Il accueilli les soldats de la ville détruite
et sénéchal , le noble coeur fut ainsi nommé.
Le baron des Daims avait pourtant un péché mignon. Il aimait sa taverne et sa belle tavernière et aimait passer ses soirées près des habitants.
Il buvait, riait et s'amusait. Et ce qu'il préférait plus que tout, c'était pincer les fesses des membres du guet.
Cet un homme simple était une enigme, et même les pires langues de vipère ne pouvait trouver quoi dire.
Un homme humble, discret, et près du peuple.
Un noble artésiens comme on les aime.

Voyez artésiens, artésiennes, tous les nobles ne sont pas comme Comserw. Tous les nobles ne sont pas imbu d'eux même.


Le petit Lino enroula sont parchemin déçut de cette histoire, quoi? un noble sans rien a dire? cela existait?
Il parti en chantonnant

Demain, demain, une autre histoire demain un autre conte, vite vite , poète crotté du saignant je veux dévoiler
Et des gueux ou des nobles on verra qui à un comportement de verrat
{La_vouivre}
Topic réouvert.
Comme l'avait dit La Chouette, un PNJ est un personnage à part entière, qui a une personnalité propre, et qui n'est en aucun cas un perso caché, sauf s'il le précise lui même.
Dire d'un PNJ que c'est quelqu'un qui se cache, c'est mélanger RP/HRP puisque seul le joueur sait que le perso n'existe pas IG. Pour vos personnages un PNJ est une personne comme une autre.
De plus un post comme celui que j'ai retiré, j'appelle ça du HRP. Donc merci d'éviter à l'avenir de vous adresser au joueur à travers des posts pseudos RP.
Dans un RP, les personnages pensent et parlent des persos et aux persos. Pas aux joueurs.

La Vouivre.

_________________

Mini-gourou des Comtés du Nord-Nord-Est. Si MP, merci de préciser la halle siouplé
--Lino_le_gamin
Lino en avait marre des belles histoires, il allait finir par croire que les nobles artésiens étaient tous des gens bien. Pourtant il en connaissait des histoires.
De nombreuses fois on lui avait craché à la figure.
il rongeait son frein. Certes il était le messager, mais enfin quoi, il avait envie de vendre ses oublies lui.
Ce matin là il arriva chez le poète dont le bureau regorgeait de missives.


Bonjour!!!
Z'avez quelque chose pour moi ce matin?


Lino sourit en voyant le poète plein d'encre et un sourire aux lèvres.

Oui, oui, j'ai plusieurs choses, des nobles qui n'ont de seigneur que le nom et des simples bourgeois qui se tuent pour leur village...
Tiens en voila deux, tu n'auras qu'a choisir par quoi commencer.


Le poète crotté sourit et tendis deux parchemins. Lino les pris, remercia et sortit rapidement.
--Le_poete_crotte
Le poète crotté était débordé, il avait reçut des menaces, des faux courriers et des rumeurs avait été lancées.
Pourtant le poète montrait aussi les vrais nobles, ceux de coeur et non d'argent.
La était la force du poète, ces dires était vrai et il en possédait les preuves...

Il pris un parchemin et le jeta au feu, on y parlait de truies et de catin, de fausses relations et d'injures... bien sur il avait cherché la vérité, et avait mené l'enquête tranquillement sans rien dire.
il était surpris de voir jusqu'où allait la méchanceté de certains.

Il repris sa plume rouge et commença d'écrire


Citation:

Il était une fois un faux vicomte....
--Lino_le_gamin
Lino avait fini son travail, les gens se pressaient et le pressaient de raconter l'histoire du jour. Il avait parcouru les deux.
Il avait une petite idée derrière la tête.


Qui veut? qui veut entendre la voix de la vérité, la voix de la raison; la nouvelle histoire de la journée. Aujourd'hui je vous propose deux contes,
l'histoire d'une noble, Ondistre est sont nom. Douce parfois, sage aussi, mais toujours prête pour l'Artois.
Ou alors, l'histoire d'un seigneur qui n'a de seigneur que le nom, une homme persifleur et persiflar, le seigneur de cendres et de persil?


Lino attendit sur que les villageois donnerait leur avis
Melly
Depuis plusieurs jours, Melly avait pour habitude de sortir se promener reprendre l'exercice après son accouchement. Quoi de mieux que d'arpenter les rues d'Arras pour une guetautrou.

Depuis quelques temps un gamin s'était transformé en conteur d'Artois. Au début il se hissait sur un tonneau et lisait un parchemin, mais là, il vendait des oublies contre une histoire, et en plus on avait le droit de choisir.
Les noms était à deviner, mais on reconnaissait rapidement ses personnages célèbres d'artois. Elle regrettait une seule chose, on ne parlait que des nobles, encore...
pourtant nombreux étaient les paysans qui se battaient pour l'artois.
Pis c'était drôle d'attendre les nobles pour une fois dans leur fange, ça leur faisait du bien tiens!!
Elle attendrait que ce petit vendeur raconte son histoire et ensuite elle irait lui parler et lui dire le fond de sa pensée.


Et bien commence par la première et ensuite par la seconde, on s'impatiente lààààà. allez zou dépêche toi, ou je te colle dans une geôle.
_________________
--Lino_le_gamin
Lino se tourna et vit une femme l'invectiver. Rooo elle lui cassait tout son suspens, comme il dit le poète, pas drôle cette bonne femme.

Heho la vieille, va falloir se calmer là hein, si tu es la pour vendre tes gosses vient donc pas m'houspiller.

Devant son air tout un coup très, oula mais c'est qu'elle allait le frapper en plus? Il ouvrit de grand yeux et recula de quelques pas.
Melly
Melly attendait donc que le gamin parle enfin. Au lieu de cela il s'approcha et lui demanda si elle vendait sa princesse.
Elle partit au quart de tour et se fit menaçante.


Et ma main, tu l'as veux dans ta figure pour voir si je vends mon enfant!!! Raconte donc ton histoire qu'on attend et puis d'abord, pourquoi c'est toujours des nobles qu'on parle? Je connais de nombreux paysans et artisans qui se tue pour l'Artois moi
et personne n'en parle!!!


Puis elle regarda à droite et à gauche et rougit en voyant les passants la regarder en souriant. Ben quoi, c'est vrai tout de même , y'en a toujours que pour les noblios.
_________________
--Lino_le_gamin
Lino rougit, puis passa par toutes les couleurs de l'arc en ciel. Il se dit qu'il faudrait pas trop la chercher, et que son idée était pas mauvaise. Il en parlerait au poète.
Il devait bien y avoir des histoires sur des gens simple.


Heuuuuu, ben oui, je... bref,
Approchez et venez entendre cette fois ci,
deux histoires, mais non de coucheries.
deux chef des porcs que tout oppose.

Le premier conte , parlera
de Dame Ondistre et avec maestria,
vous pourrez en fin vous regarder et dire
qu'il existe encore des nobles pour servir
Notre Artois ey noytr foi.


Citation:


Il était une fois une noble aux drôles de mœurs, déjà mère, elle attendait
un enfant en son sein, l'enfant d'un pauvre hère,
un lieutenant de l'ost, propriétaire d'un bateau
et toujours au dessus de sa tête un oiseau
pour veiller sur lui et sa compagne.

Cette douce femme se démenait pour l'Artois. Elle avait du se battre contre la méchanceté et la langue de vipère de la Conserw
Ondistre avait été Comtesse, soldate, maire, tribune, journaliste et animatrice, elle était aussi chef des porcs avec le seigneur des cendres et de persil.
Tout cela elle le faisait de bon coeur et était souvent créatrice

Elle ne réclamait ni titre, ni noblesse, ni privilège. Elle était noble de mérite et méritait sa noblesse.
Sa vie pouvait paraitre dissolue, puisqu'enceinte d'un homme qui n'était pas son mari, mais cet homme prenait soin de sa petite famille.

En plus de son enfant, une teigne celui là
Elle prenait soin d'un bambin, son filleul
orphelin de mère, un père absent, il était seul
La dame des ondes pris le seule décision juste et l'éduqua.

Aujourd'hui maire et mère, cette douce dame prenait à cœur l'avenir de l'artois
Elle était aussi l'amie de notre comte Elendil et de nombreux simple gens
Elle se battit énormément pour le bien, la prospérité de tous les bertincourtois
mais elle restait en retrait, nous faisant pourtant profiter de son bon sens.


Alors que l'une était douceur, gentillesse et compétence, l'autre chefs des porcs était l'inverse.
Imbu de sa petite personne, brave gens, ne croyez jamais ses dires, ils ne sont que mensonges.
Voila l'histoire du seigneur des cendres et de persil
.
Un tout nouveau seigneur, nouvellement anoblit, il avait travaillé dur ..... pour ce titre.
Toujours présent, toujours élus
Il fit le tour des postes, et les éclaira de toute son incompétence et fut un vrai désarroi.
Il se disait réserviste du guet, il n'avait pris une tournée de garde depuis des mois.
Il avait été adjoint aux prévot, il du laisser sa place...
Il fut chargé du commerce, il ne laissa pas les maires de glace ...
Il fut chargé de la justice, et tous ces procès lancés furent entachés de vice...
Il fut CaM et lorsqu'on lui proposa une idée à mettre en place, il l'abandonna...
Il cumula les postes et les mandats
pourtant l'artois n'en n'obtint aucun bénéfice.

Le pire, c'est que ce noble est sans parole.
Il admit lui même son incompétence, brisant son auréole.
Il avait parait il besoin de repos, le mandat antérieur aurait du être son dernier
Et ou le trouve t-on aujourd'hui? cet assoiffé de pouvoir est devenu conseiller
Et le bien de l'Artois dans tout cela?
et bien surement pas là.


Lino n'en revenait pas, comment était ce possible? un conseiller non élus avouant son incompétence?
Il lut une petite note en bas et repris plus fort.


Le poète crotté a les preuves de cela, une personne lui a écrit, et lui fournit, les courriers échangés, attendez je lis.

Citation:
Tu peux le dire en public, je n'irais pas me plaindre moi.


Le reste, il est écrit, est à ma disposition, le second auteur m'a également donné son accord, enfin son exclusivité.


Lino sourit en coin, héhé en tout cas, cela valait le coup d'attendre les prochains conte du poète.
Il rangea son parchemin et repris son chemin.


Melly
Melly écouta jusqu'au bout le double conte de ce gamin. Il lui avait grogner après, sur ce coup là il l'aurait surement embrassé. Elle le laissa enrouler son parchemin et partir en gambadant.
Elle les connaissait par coeur ses lettres, puisqu'elle les avait envoyé à ce poète voila deux mois.
Elle sourit et se dit qu'elle avait bien fait de venir. Elle allait aller de ce pas raconter tout cela à Jj, elle l'avait invité à boire une bière et voir la petite.


Dépêchons nous Amanda, sinon Jj risque d'arriver avant nous et de tout boire... Mais j'ai hâte d'entendre la suite, nous reviendrons écouter ce gamin, promis.

Puis Melly pris le chemin de sa maison, le panier plein de cochonnailles et de nourriture.
_________________
See the RP information <<   1, 2   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)