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[RP] La grange aux mots

--Lepoete
Il a attendu que tout le monde soit parti après l'inauguration. Il est resté caché derrière son arbre, impatient, réfléchissant, jouissant du spectacle de l'inauguration dans son coin.

Plus personne. Il s'avance à pas de loup vers l'intérieur de la grange et s'approche du vélin.

Citation:
HRP :
Un petit jeu pour les amoureux des mots. Le principe est très simple. Vous devez écrire un quatrain avec les 4 rimes imposées. Ensuite vous donnez les 4 nouvelles rimes pour le prochain défi. Les rimes sont utilisables dans l'ordre qui vous arrange et vous pouvez en modifier l'orthographe du moment que vous gardez la sonorité. (ex : Penser => Pensée)

Merci de faire un peu de RP autour de votre poème pour éviter que ce topic ne soit considéré comme un flood


C'est ce qu'il avait déjà écrit... Reprend la plume, puis rajoute plus bas :

Voici les quatre premiers mots :


Grange, ange, Joie, toit

Puis, satisfait, s'en retourne d'où il vient se promettant de revenir voir ce que les poètes tournaisiens en auront fait.
Keewy
Keewy avait reçu une mission de la part du Gnom, qui se baladait à travers les routes de campagne afin d'augmenter certainement sa collection de sauterelles ou de mantes religieuses de toute sorte.

Pour sûr, la Maréchale lui aurait bien dit d'aller se faire voir mais depuis le temps qu'elle ne l'avait pas croisé, elle ne pouvait lui refuser sachant pertinemment qu'un jour ou l'autre elle se vengerait d'une certaine façon

Alors c'est avec le parchemin écrit par Nevgerel , que la nouvelle grange aux mots allait revivre

Délicatement , en plein milieu elle colla le quatrain du Gnom

Coucou, me revla, adieu la joie !
Tiens y a une chaine qui pend du toit
accroche-toi mon ange
tu vas prendre une raclée dans la grange


Puis laissa les quatre mots donnés par Nev pour les suivants poêtes

Latrine/ capucine/ youpla/ pas là
_________________
Thealie
Théa était curieuse. Elle se demandait si quelqu'un avait mis un poème à la grange...
Cela faisait un moment qu'on l'avait reconstruite et peut être que quelqu'un d'ambitieux avait voulu remettre au gout du jour les envolées poétiques des tournaisiens.

Effectivement, un papier était collé. Au fur et à mesure qu'elle le lisait, elle écarquillait les yeux incrédules.
On aurait dit la "Nevgerel Touch", pourtant il n'était pas sur Tournai en ce moment...
C'était étrange... serait-il devenu fantôme et viendrait-il hanté ses lieux ?

Toujours est-il que la coutume des petits poèmes venait d'être déterrée. Ce n'était pas pour lui déplaire et les mots laissés lui convenaient.
Aussi prit-elle un morceau de parchemin dans sa poche, un morceau de fusain dans l'autre et elle écrivit :

Après avoir abusé des fruits, voila qu'il faut les éliminer, youpla !
Me tenant le ventre, j'ai eu une forte envie d'aller aux latrines
Ou que j'aille elles sont occupées et on me dit : Occupé alors pas la !
Me voici bien embêtée, une seule solution : me soulager sur les capucines !


Bon ce n'était pas du grand art pour une première dans la nouvelle grange elle aurait pu mieux faire tudieu...
En même temps avec les mots laissés ce n'était pas chose facile quand même...
Avant de s'en aller elle laissa ces quatre mots :


Nouveauté, enfanter, poupon, grognon

Elle se dit que pour le suivant ce ne serait certainement pas plus facile que pour elle. Espérons que ces vers ne rebutent pas trop les âmes de bonne volonté !
Moonflower
La grange...
Une idée comme çà. La voilà qui erre depuis quelques jours, pas très bien dans sa tête, pas trop bien dans son corps.
Sa prière à l'Eglise le matin, lui avait fait du bien. Elle avait pu parler à Ica aussi. Leur première dispute... leur première réconciliation. Il y en aurait sans doute d'autres. C'est normal.
Cependant, elle était à fleur de peau. Son nouvel état bouleversait tout. ll fallait qu'elle reprenne le dessus, absolument.

Un peu de poésie... Oui. La poésie permettait de se soulager presque aussi sûrement que la prière.

Elle pousse la porte et se dirige vers le parchemin laissé là.

Théalie ! Elle sourit et lit son quatrain.
"Oh !", devant ses quelques vers assez drôles, son coeur s'allège.

Puis elle lit les mots : Nouveauté, enfanter, poupon, grognon

Elle reste figée quelques instants. Est-ce un signe du ciel ? Est-ce que Théalie se doute de quelque chose ? Mais comment pouvait-elle savoir que ce serait elle qui viendrait ?

L'inspiration devrait lui venir facilement. Il n'en est rien. Elle ne réalise pas encore. Elle soupire un peu, hésite à repartir. Non, il faut qu'elle affronte ses sentiments, qu'elle parvienne à les gérer.
Elle réfléchit. Ca lui rappelle l'ancienne grange... Les quelques mois passés à Tournai l'ont changée. C'est devant ce parchemin, devant ces mots qu'elle en prend pleinement conscience.


Mon chéri, ne sois donc pas si grognon,
Jeune fille hier, dans ma vie arrive une nouveauté :
Un enfant de toi, la vie, un petit poupon,
Mon tendre amour, pour toi, je vais l'enfanter.


Une façon comme une autre de l'annoncer aux tournaisiens également. Elle espère cependant qu'Ica ne lui en voudra pas. Il aurait peut-être aimé qu'ils le fassent ensemble. Seulement, tout le monde se pose des questions et les mots convenaient à merveille. C'était l'occasion.

Elle repart presque quand elle s'aperçoit qu'elle a oublié les quatre mots :


Mantel, Hostel, Câlin, Bien

Elle sourit... Tiens, çà pourrait bien donner un poème coquin çà !
Saian
Tiens, une nouvelle grange qui s'élève dans la ville. La rumeur de l'incendie de la précédente était parvenue jusqu'aux oreilles de Saian, sans le toucher outre mesure. Il y avait bien déposé quelques vers par ci par là, mais sans jamais s'attacher plus que nécessaire ni au lieu ni à l'exercice.

Enfin maintenant que ses pas l'ont porté au devant de la bâtisse, le jeune homme y entre. Un parchemin portant quelques mots se trouve déposé bien en évidence.


Si j'me rappelle... faut faire un vers avec chacun des mots... 'truc dans l'genre

Mais c'est comme la calèche, ca ne s'oublie pas. D'autant que les mots offrent une direction à prendre dès le départ.

Regarde sous mon mantel
Y'a quelque chose de bien
Si tu viens à l'Hostel,
Tu auras un câlin


Peut être un brin familier mais qu'importe. Commencer à penser dans ce sens, ça évite les pensées néfastes comme celles qui se sont mises à l'assaillir depuis quelques temps. Après tout faut bien commencer par un bout, puis ça colle plus à son humeur habituelle. Le point.

A présent, à lui de poser les mots avec lesquels jouer.


Ribaude, rideaux, séant, manant
Thealie
Elle se promenait doucement dans Tournai et ses pas l'amenèrent à la grange. Elle chantonnait, une chanson quelque peu triste, un soupçon de mélancolie lui traversait l'âme.
Elle avait besoin de se ressourcer et de réfléchir. Rien de mieux que se rendre à la grange. Ce n'était plus la même chose. La nouvelle grange était propre si elle pouvait dire ainsi.

Sans sourire elle lu le quatrain et regarda les rimes laissées. Pourquoi tant de lassitude, elle ne saurait le dire elle même. Elle travaillait plus que de coutume pour ne plus penser. Elle se noyait dans des dossiers plus gros les uns que les autres, elle avait l'impression de laisser ses états d'âme derrière elle.
Pourtant il faudrait bien qu'elle fasse face. Même si elle ne savait d'où cela venait, il allait falloir trouver et vite.

Heureusement Théo la faisait rire, il la protégeait et la dorlotait comme il fallait. Sans lui, elle ne sait pas ce qu'elle serait devenue.
Au lieu de penser à cela elle écrivit les vers qui lui vinrent en tête :


Je suis le péché de luxure, je suis une ribaude.
J'invite qui peut payer, même un manant
Dans mon alcôve cachée d'épais rideaux
Il me tarde de voir votre séant.


Hé bien... avec les mots laissés en même temps, le poème allait forcément prendre ce sens, enfin c'est le sens le plus évident peut être qu'en se creusant les méninges, elle aurait pu trouver un autre sens.
Mais la fatigue la gagne il est temps d'y aller. Elle avait besoin d'un câlin et être entourée de chaleur.
Elle reprit donc sa petite promenade, ses pas la ramenant chez elle. Mais avant, elle laissa derrière elle :


Déception, omission, attente, constante.
Anna96
La vie est comme une musique, un coup un la, un coup un sol, mais les mi et les do viennent tout changer à la musique. Dieu choisit nôtres chemin et nous, nous le suivons et le construisons au passage. Vie de pêchés pour certains, de joie et de rire pour d'autres ou encore de plaisirs et luxures pour certains. Nous construisons tous nôtres vie, mais si la beauté du monde et de ce qu'il est ce dégrade, nous en subissons toujours les conséquences. Je marchais comme ça, où me menais mes pas dans Tournai quand je remarqua une grange et dessus, des poèmes et des mots.

"Un petit jeu pour les amoureux des mots...hum hum...quatre nouvelles rimes...ah oui d'accords. Alors on m'a laissé....d'accords."

Je pris mon inspiration, expira, et lança me mis à chanter, après tout, on avait bien le droit, il n'était as dit que le chant était interdit !

"Oh cruelle déception
Pardonne-moi mon omission
Mais pour toute ton attente
Ma musique sera constante"


Quelques rimes, quelques mots, rien qu'un petit poème, une chanson, une petite chanson. Mon violon sur l'épaule j'accompagna ce petit poème. L'archet glissa, une mélodie douce sortie du violon, vivre libre, vivre avec la musique, c'était la voie que j'avais choisit, à jamais et pour toujours mon coeur sera à la musique. Je m'éloigna mais en laissant les mots pour le suivant :

Joie, bonheur, moi, fureur
Moonflower
Moonflower, le visage fermé, entre dans la grange. Ce n'était que la deuxième fois qu'elle y mettait les pieds et les deux fois, son coeur était lourd.
Elle se rappelle de l'ancienne grange, dans laquelle elle venait toujours sereine, déclamer des poèmes légers.

Sa vie changeait... Elle changeait.
Depuis l'annonce de sa grossesse, de fâcheux événèments se succédaient l'empêchant de goûter pleinement au bien-être que l'attente d'un bébé apporte généralement.

Elle voit les mots laissés là. Le moins qu'on puisse dire, c'est que çà l'inspire. Elle prend le fusain d'une main un peu tremblante et écrit :


Voilà que je devrais être pleine de joie,
Avec ce petit qui grandit en moi,
Penses-tu pouvoir détruire ce bonheur ?
Prends garde à ne point subir ma fureur.


Evidemment, le message était clair et la personne visée se reconnaîtrait ainsi que tous qui la défendaient d'ailleurs.

Elle écrivit les mots pour le suivant et s'en alla voir si elle pourrait enfin retrouver Théalie. Depuis son retour, elle n'avait toujours pas pu la voir. Ce qui n'arrangeait rien à son malaise.

Illusion, Vie, Prie, Vision
Thealie
La grange, un sentiment, une larme, des regrets, des soupirs.
Une impression de déjà vu, l'envie de parfois baisser les bras. Savoir que la fin d'une époque s'était à nouveau éloignée, c'était déconcertant. Mais heureusement, Théo est la et bien la.

Elle savait qu'elle devait être forte pour lui, pour elle, pour eux. La force c'était parfois de ne plus espérer, de laisser couler un avenir qu'elle espérait proche, d'attendre encore, et de se contenter des instants magiques de bonheur.

C'était si dur. Elle avait peur de n'y arriver qu'un moment, de ne pas arriver à dépasser ce sentiment de regret. Son cœur n'arrêtait pas de soupirer et son esprit n'arrêtait jamais de lui rappeler que ce n'était pas pour cette fois.
Malgré tout, elle faisait de son mieux. Elle souriait, elle vivait, elle riait même. Mais elle avait parfois l'impression de faire semblant. Alors parfois le découragement venait poindre le bout de son nez.
Puis elle allait puiser du réconfort auprès de l'être aimé. Sans lui, arriverait-elle à sourire ? Rien n'était moins sur.
Malgré tout ça, elle était forte, malgré tout ça, elle avançait. Et elle faisait tout pour que plus rien ni personne ne la fasse trébucher. Elle avait besoin de lui, comme une liane a besoin d'un arbre comme support. Et quand la liane prenait assez de force, elle aidait l'arbre a s'accrocher au sol lors des tempêtes.


Je m'étais enfermée dans une vaine illusion
Qui aurait mis fin à cette paisible vie.
Au fond de moi je conserve cette vision
qui arrivera tôt ou tard sans que je ne prie.


En dessous elle écrivit :


Départ, retard, ensemble, tremble.

Elle ferma la porte et s'y adossa un moment. Elle laissa derrière elle, toute forme de regrets. Son cœur s'apaisait au fil du temps. Théo savait la rendre heureuse, il savait l'écouter et tant de choses encore.
Un dernier soupir et elle repartit le sourire aux lèvres.
Keewy
Keewy s'était faite réveiller de bonne heure par un volatile portant sur sa tête une ptite toque de couleur cyan

Ahhhh , le gnom c'est transformé en pigeon , comment je vais te le faire marmitonner moi
Elle alla décrocher la missive à sa patte et la lu

Nomého, mais il est pas croyable lui, jsuis pas son messager de la grange, vivement qu'il rentre il va voir de quoi je me chauffe

Elle enfila sa cape et se rendit à la grange et déposa les rimes laissées sur la missive sur le mur



Elle voulait qu'on soit ensemble
pour faire des trucs entre les trembles
mais j'avais peur , chuis arrivé en retard
et pis j'ai fait un faux départ

Oui / j'ouie / mirabelle / poubelle

_________________
Moonflower
Ils sont séparés depuis maintenant quatre jours. Ca lui semble interminable. Même si ses journées sont grandement remplies, elle pense fort à lui et, bizarrement, à la Lorraine de son enfance aussi.
C'est que le printemps éveille tant de souvenirs... Lorsqu'elle s'approche, ses yeux se posent sur les quatre mots laissés. Elle sourit plus largement. Mirabelle ! La mirabelle, c'est le fruit lorrain par excellence. Il y a de ces coïncidences parfois !

Aussi, se dit-elle que c'est elle qui écrira ce quatrain. Le fusain, le parchemin, elle écrit :


Moi, enfant du pays des mirabelles,
Aux Flandres, j'ai dit "Oui".
Si objections j'ouie,
Sachez qu'elles iront vite à la poubelle.


Elle sourit. Voilà qui est dit ! Que ses détracteurs sachent à quoi s'en tenir !
Elle n'omet pas de laisser quatre mots pour les suivants... quatre mots inspirés par l'absence de son Amour :


Absence, sens, languis, esprit
Slystaline
Il était passé à plusieurs reprises sans laisser un mot. Le procrastinateur se trouvait toujours d'excellente excuse. Une ballade en forêt avec son épouse, un champ à labourer, des bières à vider en taverne pour soutenir l'économie locale...
Cette fois il y va et laisse ses pattes de mouches. Pensant à cette religieuse qui croyait être visité par Aristote certaines nuits.


J'étudie de pieux ouvrages en ton absence
Ou plutôt j'essaye tellement je me languis
Bouillants et en effervescence sont mes cinq sens
Mon corps à faim de toi, et oui, y a pas que l'esprit.


4 mots à laisser ? Voyons voir...

Haut, fort, peau, corps
--Lilou.femme.publique
Lilou. Blonde. Les rondeurs qu’il faut, où il faut.
Femme de peu. Femme de nombreux hommes. Mais seule. Toujours seule quand le jour vient. Seule à en crever.
Envie d’un homme à elle, rien qu’à elle. Un homme qui ne la regarderait pas de haut. Qui prendrait soin d’elle. Qui ne lui imposerait de ce que font ses clients. Qui l’aimerait. Ou même qui ferait semblant. Elle demande pas la lune.
Entre dans la grange.
Lasse. Envie de dire tout haut ce quelle ressent. Peur d’être jugée.
Ecrit quelques mots. Un résumé de sa vie. Pour la première fois. L’unique aussi probablement.




C’est un combat, un corps à corps,
Un amour tarifé qui laisse sur ma peau
Les traces bleues d’un homme fort
Qui boit beaucoup trop et parle haut
Ne pas oublier. 4 mots.
4 mots qui parlent d’elle. Aussi surement que ceux qu’elle a laissés.


Indifférence--Silence--Lassitude--Habitude
Thealie
Elle revenait de la taverne ou elle avait passé un petit moment seule savourant une délicieuse bière.
Avant de rentrer chez elle elle repassa par la grange. Il lui semblait qu'une éternité s'était écoulé depuis ses derniers vers. Le temps s'écoule parfois trop lentement.


Il existe au fond de moi une lascive lassitude
Qui me mure parfois dans un profond silence.
Je préfère la souffrance à l'indifférence
Témoin d'une triste et curieuse habitude.


Si seulement tout pouvait s'accélérer de temps à autre ça l'arrangerait bien. Elle n'était pas du genre patiente même si elle n'en montrait rien la plupart du temps. Attendre l'ennuyait mais elle prenait néanmoins son mal en patience.

Flegme, blême, cynique, unique.
Eragon...
Eragon avait quelques fois entendu les grands parler de " La Grange aux Mots ", sans jamais avoir osé y aller lui même ...

En cette belle nuit de pleine lune , il se dirigea vers la dite grange ...
Il ne savait si il en avait le droit , mais la tentation était trop grande ...
Il entra dans ce lieu de libre expression , une sensation de sérénité l'envahie .
Le souffle du vent ne semblait pas venir déranger le parchemin fixé au mur .
A la lueur de la lune , il parcourut quelques unes des envolées poétiques ...

Il arriva sur la dernière prose , elle lui semblait bien triste ...
Il lu les quatre mots qui la suivait ....

Eragon réfléchit un instant puis commença a formuler quelques vers ...

Il hésita ...Puis sortit la plume ainsi que l'encre qu'il avait glisser dans sa besace...

Que l'existence doit avoir l'air morne et blême
A qui n'a que tristesse pour pensée unique
Régler sa vie sur un grand ordre cynique
N'est pas la preuve d'un inébranlable flegme ...



Il nota aussi les mots pour le suivant : prison , renaître , paraître , oisillon .


Puis il sortit aussi discrètement qu'il était entré ...
Ne rien déranger , ne rien perturber , seul la tranquillité de ce lieu compte ....
_________________
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