Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2   >   >>

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP] Sex, drugs & Rock'n'Roll *

Mai
    Assise devant sa coiffeuse, Marie contemplait le reflet blafard de son visage dans le miroir. La nuit avait été longue et mouvementé. Non, ce n'est pas se que vous croyez. Elle était seule, sa seule compagnie fut la lune, ronde et blanche avec son sourire narquois et les coup de pied incessant du fils qui grandissait en elle. Car oui, c’était un fils. Obligé. C'était la seule chance de survie de sa progéniture, Marie le savait bien. Avoir les traits de Mumia ou mourir. Voila bientôt 9 mois que l'enfant poussait sous son nombril, la délivrance était pour bientôt au grand soulagement de Marie qui n'en pouvait plus des nausées, des mains inconnues sur son ventre, des coups d’œil dans son décolletée, des airs compatissants de celle qui savent se que c'est et des nuits de pleines lune mouvementée. Comme cette nuit là, ou le morveux c’était transformé en équipe de soule pour lui labourer les entrailles. Enflure! Il tiens de son père. Et cela la seule nuit ou il fallait absolument qu'elle dorme, qu'elle se repose et qu'a son réveil sa peau ait retrouvé son éclat. Marie se regarde, l'oeil vitreux.

    Enfoiré ! T'es pas né que tu me pourris déjà la vie!


    ***


    Sa grandeur, Marie de Kermorial !

    D'un geste rapide et d'un moulinet du bras, le garde s'incline pour la faire entrée. Les vitraux de la vaste salle de réception du Château de Nantes laissait filtré la lumière du jour. Devant les deux battants sculptés de la porte d'entrée flottait avec arrogance des étendards aux couleur de la Bretagne, annonçant dès l'extérieur le luxe insolent du château. Le valet aux courbettes referma soigneusement la pièce une fois Marie présente. Un tapis d'hermine s'étendait d'un bout à l'autre de la pièce sur lequel la foule habituelle aimait à danser. Mais aujourd'hui ils n’étaient même pas une dizaine dans l'immense pièce. Des amis proche de Marie, de ceux avec qui l'on est pas obligé de faire semblant ou de se tenir droite. Des amis comme elle est aime et les admire, droit et honnête. Les petits pas de Marie l'avance jusqu'au petit groupe de rennais. Étrangement sa douloureuse grossesse ne se fait plus sentir, à moins que Marie soit trop occupée par cet instant qu'elle vit là, pour sentir quoi que se soit d'autre qu'une immense joie et beaucoup de fierté. Arrivée au bout du chemin d'hermine, la blonde s'incline doucement face au souverain et à ses filles. Dieux merci, le hasard avait fait que chacune des personnes présentes aient un titre différents des autres. Croyez moi pour le protocole, c'est nettement plus simple!

    Mâjesté! Vos altesses.

    D'habitudes elle les appelaient par leur prénoms sans plus de fioriture. Voir même "Morue" pour Marzina les soirs de fête. Mais l’événement du jour ne lui donnait pas envie de rire, plutôt de se faire dessus tellement elle était impressionnée. La silhouette frêle au ventre rond se tourne alors vers le colosse de ferraille qui lui a fait l'honneur de sa présence.

    Votre grâce. Je suis ravie de vous voir icelieu.
    J'espère ne pas vous décevoir par la suite.


    Elle n'avait rencontré le Morrigan-Montfort qu'il y a quelques jours, tenant absolument à avoir son aval.
    La baleine se tourne ensuite vers son ami/logeur/supérieur/confident (aucune mention inutile désolée) et dépose un baiser sur sa joue.


    Merci d’être là Arzhy.

    Elle lui sourit doucement, ravie que lui soit là, alors qu'elle n'avait pu se rendre à Cholet lorsque c'était son tour.
    Les prunelles azurées se posent ensuite sur le Trente préféré de Marie alors qu'elle s'incline doucement face à lui.


    Je suis contente que tu sois là Cassius, ça manquait de Montfort ici.

    C'est comme ça que l'on devient une "assimilée"? Lorsque les jours importants de votre vie ne sont peuplé que de mangeur de foie gras?
    Alors elle est une assimilée et tant pis pour les mauvaises langues, ça lui convient comme cela.
    La petite baleine se tourne enfin vers les deux dernières personnes qu'elle a souhaité près d'elle ce matin là.
    Pour eux pas besoin de mots, l'engrossée se glisse tour à tour dans les bras de Nael et Elisabeth.
    Pour leur dire qu'elle les aime et qu'elle est heureuse de les avoir prés d'elle.

    Le regard de la Kem englobe la petite assemblé. Elfyn, Marzina, Awena, Mael, Arzhel, Cassius, Elisabeth et Nael.
    Il n'en fallait pas plus pas moins pour commencer. La petite officière se plaça donc en face de son suzerain calmement et attendit.


*Aucune règle ne dit que le titre doit être en rapport avec le RP, non? Si... Ah! Pardon.
_________________
Else
La scène, je la vois d'ici.

- Lisaaaa ! On m'anoblit demain, tu viens ?
- Bien sûr, je... Gné ? On quoi ?
- On m'anoblit. Tu te souviens ?
- Ah. C'était pas une blag... Ahem. Evidemment. Oui. Euh. Bah je viens.
- Cool.
- Cool.

On va encore me dire que je suis mauvaise langue...

***

Passons les « j'vais être en retard », « j'ai rien à m’mettre » et autres « que diable allait-elle faire dans cette galère » matinaux ; Elisabeth de Kermorial s’est levée aux aurores, comme d'habitude, fébrile et maussade, pas comme d'habitude. Non non, je vous assure : d'ordinaire, au réveil, elle est délicieuse. C'est après que ça se corse.

Bref.
Quelques heures plus tard, elle prend racine dans la grand salle du fastueux château de Nantes, droite comme un cierge – et à peine plus avenante. Autour d’elle une poignée d’inconnus illustres : à l’exception du petit d’Artignac, elle n’a jamais échangé le moindre mot avec aucun d’entre eux. La politique, la noblesse, les honneurs, c’est le quotidien de Marie ; Lise-Attila, elle, se sent comme une ablette dans un caisson hyperbare… Mais ne vous faites pas trop de bile, elle est suffisamment cabocharde pour s’en accommoder tout à fait.
Qui a dit « même pas drôle » ?

Dieu seul sait ce qui pouvait bien courir dans cette caboche blonde avant que Marie fasse son apparition ; mais dès que celle-ci pénètre dans la salle, Elsa sent une boule se former dans sa gorge. Allez comprendre. C’est vrai, quoi, elle ne va pas se marier, la petite sœur ! Juste… être anoblie.
« Juste ». Vous parlez d’une mince affaire…
Et là, il n’y a même pas de beau frère à détester. Les inconvénients sans les avantages, quoi.

Sa cervelle tourne à plein pendant le petit boniment débité à l’attention des têtes couronnées. Et après ça, on dit qu’elle sait se tenir en société. Peuh. C’est seulement lorsque Marie lui tombe dans les bras qu’elle se ressaisit, serre sa petite sœur contre elle – et par la même occasion le neveu incontournable.


- T’peux être fier de ta mère, murmure-t-elle.

O.K. La cérémonie, maintenant. Lili, ma vieille, t'as intérêt à être en possession de toutes tes capacités de concentration, parce que dans le genre rasoir, ça va se poser un peu là. Permettez que votre serviteur le narrateur aille se pieuter en attendant la suite ?
Arzhel
[A Longeron, dans la demeure du Comte]


Comme à chaque fois qu'Arzhel était invité à une cérémonie officielle ou mondaine, les préparations tournaient à la catastrophe. Jamais content, rarement satisfait, souvent en retard, il n'y avait pas à dire, ce genre de tâche n'était pas sa tasse de thé.

Le prélat brassait de l'air en remuant les bras et les jambes dans tous les sens, cherchant à éviter l'aiguille tenue par Yael.


Raaaah… Ce que ca m’agace.

Si vous arrêtiez de gigoter Monseigneur, nous aurions terminé depuis un moment.


Le prélat arrêta immédiatement de bouger et lança un regard faussement réprobateur à son valet.

Je rêve où tu m’adresses un reproche ?

Pardon Monseigneur.


Relachant les épaules.

C’est que les froufrous, les gilets par-dessus les chemises et le tout surmonté d’une ceinture… J’aime autant une soutane, c’est plus simple et plus rapide.

Certes Monseigneur, voulez vous que je prépare vos habits de clerc ?

Oui, fais donc, Yael. La prochaine fois, fais le directement, cela évitera que tu me plantes ton aiguille un peu partout en tentant d’ajuster mes habits.

Monsieur est mauvaise langue.

Oui il l’est, autant que tu es piètre couturier. Sers-moi dont un verre de cette liqueur que nous avons acheté l’autre jour, ca me détendra quelque peu.

Tout de suite Votre Grandeur.


Le valet ouvrit la porte d’une petit meuble de salon, en sortit une carafe de cristal, un verre fait de la même matière et transvasa le liquide avant de tendre le verre à l’Archevêque. Ce dernier s’en saisit et but la liqueur d’une traite.

Toujours aussi bon, se lança-t-il à lui-même.

Yael était parti chercher les habits et Arzhel en profita pour s’affaler dans un fauteuil des plus confortables. Quelques minutes plus tard, le valet revînt et Arzhel réussi tant bien que mal à se vêtir en une vingtaine de minutes. Tout était maintenant fin prêt pour prendre la route vers la cérémonie.



*************

[Au chateau de Nantes]



Le prélat commençait à souffrir atrocement le martyr – oui, Arzhel à un petit coté méditerranéen qui le pousse à exagérer tout très légèrement – il n'en pouvait plus et était à deux doigts de la syncope. Il était debout, le ventre vide, ses yeux examinaient les vêtements des autres convives afin de voir s’ils avaient quant à eux réussi à mieux s’habiller que lui-même. Une activité passionnante au demeurant mais quelque peu répétitive lorsqu’il y a moins d’une dizaine de tenues différentes dans la même pièce.

Pour tout venir, un deuxième problème venait de faire son apparition… La gorge sèche à vous en rendre jaloux le climat sec de l’Andalousie.

Soudain la délivrance :


Sa grandeur, Marie de Kermorial !

Ah, la voila ! Le gong qui vient mettre un terme à une situation délicate, on a beau dire, mais ce genre de gong, ca sauve une vie. Oui, oui, le côté méditerranéen refait surface.

Un grand sourire se dessina sur son visage au passage de sa grande amie. Si les médicastres doutaient encore que les lèvres pouvaient atteindre les oreilles, le mystère scientifique venait de prendre fin.

Il se fit très sympathiquement déposé un baiser sur la joue.


Merci d’être là Arzhy.

Et le prélat de lui répondre dans un chuchotement.

Je n'aurai loupé ça pour rien au monde. Tu le mérites ma chère.
_________________
Marzina
[Get the cool ! Get the cool shoe shine !]*

Quelques heures auparavant, au château de Nantes.

“Ah ca ne va pas non plus! Amenez-moi donc les chausses à talons rose vif !
-Vous êtes sûre Votre Altesse ? Vraiment ? Les rose vif ?
- Allons, ne discutez pas mes goûts ! C’est qui le sex symbol ici?!»

Un ange passe. Mais pour la blonde, qui ne dit mot consent.

« Ah ! C’est bien ce que je disais donc ! Passez-moi ces chausses!»

Chausses enfilées, chausses aussitôt retirées.

« Ca ne va pas du tout avec ma robe couleur de jonquille !
-Ca j’aurais pu vous le dire, mademoiselle Zina…
-Oui mais je ne vous aurais pas écoutée, Nounig, vous n’avez aucun sens de la môoode!»

Prend ca dans tes dents, vieille gouvernante ! La blonde est de nouveau entrée en révolte récemment, et elle a pas l’intention de se calmer de si tôt ! Ainsi donc, les heures passent, et la blonde essaie une à une toutes ses paires de chausses, qu’on entrepose en tas à coté d’elle. L’essayage ne semble pas devoir finir, jusqu’à ce que la blonde altesse soit enterrée sous les chaussures, par un geste malheureux d’un valet un peu trop maladroit.

« GAAAAAAAAAAAST ! Tant pis, si c’est comme ca, j’y vais pieds nus ! »

Ninnog, sachant fort bien qu’il ne servirait à rien d’essayer de lui faire changer d’avis sur sa nouvelle lubie, tente quand même de percer le mystère:

« Mais pourquoi êtes-vous si méchante aujorud’hui ?
-Parce que, mais parce queuuuuuh !
-Mais encore ?
-Marie est anoblie avant moi.
-Bah vous êtes princesse…
-Ah oui c’est vrai, j’oubliais. Trugarez Nounig, ca va mieux maintenant. »

Une fois dans la salle, à l’heure où la baleine décide de commencer à parler.

Le regard passe de l’une à l’autre. Le chouchen était trop fort aujourd’hui ? Marzina voyait DEUX Marie dans la même pièce, l’une baleine, l’autre pas. Elle fait signe à un valet de s’approcher discrètement.

« C’est moi ou il y a deux blondes dans cette pièce ?
-Pour moi, il y en a trois.

-Haaaaan ! »

La princesse est choquée, sur le moment. Où est-elle tombée ? Dans une pièce où elle voit deux Marie, et où on lui dit qu’il y en aurait trois ? Et puis elle se remémore son propre statut de blonde.

« Ah, donc il n’y a que deux Marie, tout va bien. »

Ou pas. Faut dire que Marzina n’avait jamais parlé avec Marie de sa sœur. Elles parlaient plutôt d’hommes, une fois pleines comme des vaches pleines, et les secrets de la gémellité restaient des secrets pour elle, puisqu’elle ne connaissait pas cette particularité. Regard noir vers la Marie mince. C’est elle la fausse, la baleine c’est la vraie ! Il y a quelque tour du Sans Nom là dessous ! Nouveau signe discret au valet.

« Apportez-moi du chouchen jeune puceau ! On doit combattre le mal par le chouchen!»

Et elle fixe des yeux Elisabeth, comme pour voir le Malin prendre forme. Avec sa robe couleur jaune pétant et ses pieds nus, et en dégageant une vague odeur de chouchen, Marzina vient près de sa baleine, et lui murmure à l’oreille :

« T’inquiète pas va, moi je sais qui est la vraie ! »

Qui qui a dit qu’elle avait bu avant de veniiiiiir ?

*19-2000, Gorillaz
_________________
«Je ne me soucie pas de vivre dans un monde d'hommes si je peux y être une femme!»
--Coldtracker.
Le colosse vint à l'invitation avec plaisir...
Il avait de l'affection pour les terres de Buzay, il s'était bien occupé de ses gens lorsqu'il avait le fief en charge...

Il avait alors récemment appris que les terres de Buzay allaient à nouveau être remises entre les mains d'un noble...

Le Maréchal De Bretagne avait alors cillé, ou du moins un froncement de sourcil avait donné le signe d'une certaine perplexité, voir d'inquiétude...

Qui disparut quand il apprit que les terres étaient attribuées à Marie de Kermorial....

Il se rendit donc sur place en tenue d'apparat...
Chausses d'un noir profond sur lesquelles il portait des heuses d'un cuir marron sombre, ces fameuses bottes qui remontaient jusque sur les cuisses...
Le torse puissant portait une chainse blanche par dessus laquelle, il avait mit un doublet aux couleurs de l'ordre des trente...
Des manches ivoires, une partie blanche et une partie violette rehaussée de la fameuse cordelière d'or finissaient le tout.

En sus, le Maréchal De Bretagne et Duc De Rhuys portait un baudrier où reposaient deux fourreaux garnis, l'un de sa grande éspée bâstarde et l'autre d'une dague "Panzerstecher" qui faisait l'affaire au corps à corps...

On ne changeait guère un homme d'armes....Même en une grande et belle occasion....

Après avoir été annoncé le Duc De Rhuys salua plusieurs personnes et dépassant la majeur partie des invités d'une tête, il chercha, trouva et se dirigea vers l’intéressée qu'il salua d'un court signe de tête à la façon des hommes d'armes en disant:

-"Ainsi donc, ces terres vont être les vostres...
Je gage qu'elle seront en de bonnes mains...

Je n'ai pas de conseil à vous donner si ce n'est celui de ne pas oublier une chose, nos privilèges de nobles n'existent que pour servir la Terre de Bretagne, ses gens et nostre Roy...

Vous verrez, les gens de Buzay sont de bonnes personnes..."


Il posa ses deux grandes mains sur les siennes et reprit:
-"C'est un grand jour...Pour vous mais aussi pour Bretagne..."

Les yeux bleu glace d'habitude froids comme la mort brillèrent et la balafre sur sa joue gauche se déforma quelque peu....

Il souriait...Événement rare s'il en était....



_____________________
Gwenael.
Un petit mot scellé

Citation:
Tu es invité

M.


" Gné ? M comme... Maeve ?
Chouette mais ou... Et invité a quoi ? Mince, j'ai du oublier. En fait j'ai même pas du, j'ai carrément oublié.. "


... Deux heures plus tard ...

" Merdouille ! M comme Marie !!! Mais je suis invité a quoi ? Et ou ?
J'ai du oublier en fait... "


... Encore un peu plus tard ...

Une tape sur son front, l'anoblissement de Marie, eh oui.

[ A l'anoblissement ]

" L'ambiance est solennelle, faut dire c'est franchement ZE classe de se faire anoblir, faut pas troubler ça.
Un regard a droite, a gauche...
Marzina, est ce qu'elle va faire la même ambiance que pour le mariage de Souzix ?
Elle a l'air sobre en tout cas.

Pis y'a Else, elle a la classe aussi elle, elle ressemble parfaitement a Marie.
Pis y'a... Pas beaucoup de monde en fait, mais que des gens qu'on la classe a leur manière.

Chouette. "

Naël il fait pour l'instant la plante verte qui bouge quelques feuilles quand un truc le démange dans le dos.
Mais il est la, Naël n'oublie rien !
Enfin presque rien...

_________________
Awena
L'invitation officielle par le suzerain n'avait pas vraiment été faite dans les formes mais la Princesse était lasse de ces éternels conflits. Elle était là à la demande de Marie. A la fois en tant que héraut mais aussi en tant qu'amie.

Buzay était sur les terres de Retz et dieu merci il n'avait pas souffert de l'incendie. Le travail pour composer les armoiries et les remettre à la jeune femme avait donc été aisé.

Sa petite soeur était présente, pieds nus... Une nouvelle excentricité? Elle haussa les épaules. De toute évidence Zina avait encore un peu bu ce matin là. Cela faisait des semaines qu'elles ne s'étaient pas parlées toutes deux.

La voyant se rapprocher de la future anoblie, la jeune femme alla à leur rencontre. Il serait préférable pour tous que la petite princesse blonde reste sagement dans un coin pour éviter un nouveau scandale.


Marie je suis ravie d'être ici. Encore une fois toutes mes félicitations. Zina... Comment vas-tu?
_________________
Awena de Montfort, Princesse et Héraut de Bretagne
Cassius
Un annoblissement en perspective et pas des moindres, celui de Marie de Kermorial... Buzay en Retz, terres de sa Majesté et Patriarche de la famille Montfort...Elfyn, allait être administré par une personne des plus impliqué dans la vie de Breizh, nul doute sur le mérite de cet annoblissement qui se confirme ce jour par la présence des "Hauts dignitaires" ici présents

Cassius avait connu Marie il y a maintenant pas mal de temps au détours d'un des moultes couloirs de Nantes, il avait même accepté de lui enseigner le maniement des armes lors d'un bref mais si mémorable échange en salle d'armes du Castel

A cette pensée, le Montfort laissa d'ailleurs glisser délicatement ses doigts à l'embouchure de ses lèvres...

Marie, jeune femme des plus délicates, emplis de charme, gracieuse au possible, magnifiquement pourvus... elle pouvait faire succomber d'un simple battement de sourcils ou autre tout homme qui se respecte sur cette terre

Il faut d'ailleurs avouer qu'entre les deux protagonistes, les relations étaient quelques peu particulières, il était agréable de passer du temps au côté de cette jeune femme, le Montfort était un homme comme un autre, allez peut être beaucoup mieux, mais un homme tout de même et de ce fait il n'était insensible au charme de Marie... mais jamais il n'avait laissé transparaître quoi que ce soit, sa droiture vis à vis de sa charge et de son épouse le lui empêchait...

On annonça son arrivé et Cassius, le port altier et de sa démarche légendairement assuré fit son entrée dans la grande salle préparé pour l'occasion, non loin le Roy son grand-paternel était présent, ses 2 tantes princières à proximimité, Arzhel Comte de Longeron son ami et cousin était aux aguets de la moindre bouteille présente dans la pièce, Nael jeune prince du Trégor, digne fils de son père, et au côté de Marie le mentor du Montfort le Duc de Rhuys, Maréchal de Bretagne et imposant de sa stature

Du beau monde était présent, certes il se disait que Cassius était l'héritier de sa Majesté de Bretagne mais point de couronne sur sa tête et encore moins de titre princier, il se devait donc dans de telles cérémonies protocolaires de restait en retrait selon son rang

Lorsque il lui fut permis, le Montfort s'approcha de Marie, saisi sa main dextre, lui effleura cette dernière d'un baiser et lui tind ces quelques paroles...


C'est un honneur pour moi d'avoir été convié à ce jour si important et de voir la digne vassalité de Retz grandir en ta personne

Un rapide regard à la jeune femme non loin qui ressemblait à la maitresse du jour comme deux gouttes d'eau

Marie, j'en connais qui vont se satisfaire d'avoir désormais le choix entre deux aussi jolis fleurs et si peu distinctes dans ce royaume

Il faisait abstraction dans ses dires au ventre arrondi de la jeune femme qui n'enlevait en rien au charme qu'elle projetait
_________________
Mai

    L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines.

Elisa - Pleine de confiance pour le futur.
«T’peux être fier de ta mère»
La phrase n'etait pas pour Marie mais pour l'habitant qui se planquait sous son nombril.
Lison était le genre de sœur toujours présente qui assumait vos erreurs avec vous.
Sa bouée de sauvetage, sa terrible Attila, sa clone. Qu'aurait elle fait sans elle.


Arzhel - Plein d'amitié.
«Je n'aurai loupé ça pour rien au monde. Tu le mérites ma chère.»
Il avait susurrer ça comme sur le même ton qu'elle lui avait avouée ses péchés lors de leur première rencontre.
Ils en avaient fait du chemin depuis. D'une discussion un soir, ils avaient monté une liste ducale.
D'un coup de tête un matin, elle s’était pointé chez lui et s'y était installé au grand damne de ses enfants.
Faisant crier ses amies d'un "Une fille comme toi ne peut pas vivre chez un curé" Bah si!


Mael - Plein de pression.
«Je gage qu'elle seront en de bonnes mains...»
Marie fixe les grandes paluches du maréchal posé sur les siennes qui semblent si fines, si frêles, si blanches à coté.
Sera-t-elle à la hauteur? Le maréchal l'avait toujours intimidé. Ça stature, cette prestance, ce maintien...
Les yeux de la blonde le dévisagèrent alors qu'un sourire illumina le visage de l'homme d'arme.
C'est donc ça que l'on appelle "rareté"


Awena - Pleine d'encouragement.
«Marie je suis ravie d'être ici. Encore une fois toutes mes félicitations»
Maï sourit doucement à son amie. Elle aussi elle était ravie que la sage princesse soit présente.
Elle s'attendait à la voir fatiguée au vues des derniers evenements de l'herauderie, mais il en était rien.
Awena resplendissait.


Marzina - Pleine d'alcool...
«T’inquiète pas va, moi je sais qui est la vraie!»
La remarque aviné la fait sourire la Morue Jonquille reste fidèle à elle même
et au code "Blond" qu'elles s'amusaient a distiller savamment.
Est elle vraiment la "vraie"? Sa sœur jumelle n’était elle pas plus proche de la vérité qu'elle?
Très certainement.


Cassius - Plein de charme ?
«J'en connais qui vont se satisfaire d'avoir désormais le choix entre deux aussi jolis fleurs et si peu distinctes dans ce royaume»
Tout au bord de son champ de vision elle l'avait vu effleurer ses lèvres du bout des doigts.
Le geste l'avait fait rougir sous sa poudre fine. Elle l'aimait beaucoup. Il était toujours là, prêt a voler a son secours.
A occire le moindre maraud qui lui manquerait de respect, a résoudre le moindre de ses soucis.
Un chevalier, un homme un vrai, un homme marié...


La jeune femme se tourna alors vers celui qui allait dorénavant devenir son suzerain.
Il paraissait qu'ils avaient construit une relation très forte tous les deux, importante à ses yeux, comme aux siens. Une relation unique.
C'est sans doute vraie et pourtant elle n'aurait pas penser cela le jour de leur première rencontre.
Au conseil ducal de Joachim ou "Sa-Majesté-pas-encore-majesté" l'avait renvoyer bouler d'une réflexion acerbe sur sa jeunesse et son inexpérience.
Son caractère de cochon l'avait poussé a lui prouver qu'il avait tord. Elle avait beaucoup apprit et apprenait toujours de cet homme là.

_________________
Maira_de_l_ancolie
Maira etait tout juste rentrer de voyage. Pas le temps de prendre une pause qu'elle allait se rendre a la cérémonie. Elle y allait toujours, elle trouvait cela mieux histoire de voir un peu dans quel bain on se retrouve pour le sprochaine ducal. Comme d'habitude, elle était venue seule, c'était devenu une habitude pesante mais elle faisait avec. Monsieur son epoux etant toujours déborder...enfin ca dependait pour qui tiens. Autant repondre a une missive de son epouse devait lui être épuisant que de se pointer aux cérémonie non. Enfin bref, elle faisait avec. Elle n'était pas jalouse la blonde contrairement a tout ce que l'on pouvait penser. Elle savait avoir le meilleur des epoux et meme si elle perdait ou se faisait toujours voler le peu qu'elle avait et bien, elle était persuader que lui c'était différent. Son rayon de soleil a elle qu'aucun nuage ne lui cacherait. C'était peut etre naif mais elle n'avait jamais eu le droit a un peu de bonheur alors autant d'un coup elle y croyait.

Sur ce, elle alla querir un verre d'eau en silence. Et de 3 mois de grossesse. Nausée c'est finit mais fatigue commence mais la jeune blonde n'est pas faible et ne laisse jamais rien voir de son etat préférant se préoccuper de son tendre epoux, des autres...

Que du beau monde en ce jour, Maira balaye la salle du regard son verre d'eau a la main. Le voyage a été fatiguant mais elle tiens debout, elle voulait voir la cérémonie. Elle n'a pas oublier de ramener un present a son epoux de son voyage en espérant que cela le surprendrait. Le paquet l'attendrait sagement a son domaine seule lieux où elle était sur qu'il ne le ratterait pas. En dernier selon son rand elle alla félicité Marie.


Je suis sur que vous ferez du bon travail demoiselle de Kermorial, j'attends de voir cela avec impatience !

_________________
Mai
Un silence solennel régnait dans la vaste salle du château ou avait lieu la fameuse cérémonie.
Le souverain allait prendre la parole lorsque que les gardes rouvrirent les portes stoppant net toutes paroles.
La petite lança un regard interrogateur sur la lourde porte en bois, jusqu’à voir apparaitre la silhouette de Maira. Ô surprise!
Elle n'avait envoyée que 7 invitations, toute nominative. Les conjoints n’étaient pas convié dans son souvenir...
La Baleine ne dit rien pour autant, se contentant de poser un regard amusé sur Cassius qui comprendrait surement le fond de sa pensée.
La chevalier blonde se servit un vers d'eau et s'approcha enfin du petit groupe...


Je suis sur que vous ferez du bon travail demoiselle de Kermorial,
j'attends de voir cela avec impatience !


Dans la bouche de Maira cela signifiait: "J'ai hâte que tu te plante, charogne!"
Ça avait été comme lorsque Cassius avait nommé Marie Capitaine de l'Ost de Rennes.
La Trente c’était bien gaussée, jurant que la Kem ne ferait rien de bon. Elle avait rit...
Jusqu’à ce que son cher époux reconnaisse publiquement que Marie faisait une bonne 'Pitaine.

On ne se moque pas d'une Kermorial...


Merci Maira, prenez place je vous en prie.

Elle désigna d'un regard le siège à cotés de Cassius et se retourna vers le Grand Duc.
La moue que le souverain pu lire sur le visage de sa future vassale disait beaucoup de son désappointement.



[J'ai juste adapté un peu car les portes étaient fermées à la base. J'ai fait de mon mieux.]
_________________
Marzina
Si Marzina avait été totalement sobre, elle aurait probablement été décontenancée par la présence de sa sœur, par l’horrible peur qu’elle découvre que la blonde avait épousée un polak lors d’une soirée trop alcoolisée. Mais là, elle était sous chouch’, donc plutôt détendue.

« ‘Wenaaaaa ! Ca faisait longtemps que je t’avais pas vue ! »

Sur ce, elle s’élance vers elle pour la prendre dans ses bras. Ou plutôt pour s’écrouler dans les siens façon « Qui a laissé trainer le coin du tapiiiiiiis ? ». Question de point de vue.

« Moi ca va, y’a parfois des pénuries, mais jamais de chouchen, en Breizh. Mais y’a trop de polaks, si tu veux mon avis. Par contre les diamants, j’aime bien, pas comme les bagues Monopriks, tu vois ? »

Okay, vu de l’extérieur, ca n’avait probablement aucun sens, mais la blonde se comprenait, et avait l’impression de se faire comprendre, n’était-ce pas là l’essentiel ? Et puis Cassius qui s’approche de Marie. Marzina esquisse un sourire entendu sur son neveu, sourire qu’elle seule entend justement, ou peut-être Marie aussi qui la connait suffisamment. Un sourire qui dit combien elle a toujours été fière d’avoir été adoptée ne serait-ce que pour être sa tante, bien que le mot la fasse souffrir, c’est pas terrible d’être tante, ca fait vieux. Mais quel charmeur ce neveu, il aurait pu naître Penthièvre lui aussi ! En tout cas, d’après les paroles de Cassius, elle est rassurée, elle n’était pas la seule, avec un gueux miniature, à voir deux exemplaires de Marie dans cette salle. Quoique, c’est peut-être pas si rassurant que ca, d’en avoir deux dans la même pièce…

Et puis arrive l’ « Epouse de Cassius ». C’est comme ca qu’on dit non, en parlant d’elle ? L’Epouse de Cassius. C’est simple, sobre, clair et efficace. De la même façon qu’on dit, en parlant de Marzina, « c’est la princesse blonde dépravée et alcoolique », ou de Marie « la splendide blonde qui a couché pour avoir plein de postes », on dit de Maira « l’épouse de Cassius ». La princesse justement écarquille des yeux en la voyant arriver, et murmure à l’oreille de Marie :


« C’était pas censé être genre…super privé cette cérémonie ? Avec juste tes amis proches ? Si je savais que les conjoints étaient invités, j’aurais sûrement invité… »

L’esprit modèle l’espace d’une seconde l’image du duc polak, mais finalement, la phrase se termine sur :

« …mon amant de ce soir. »

Bah oui, ca lui semblait clair que Maira était la seule qui était là, non pas en qualité d’invitée, mais d’épouse d’invité. Grimace de la blonde alcoolisée. Elle n’aimait pas être témoin d’une scène triste. Comme l’enfant qu’on dépose chez le précepteur le matin, et qui s’accroche aux jupons de sa mère parce qu’il ne veut pas qu’elle parte. Mais elle part quand même, même si l’enfant pleure. Marzina retient une larme.
C’est complètement idiot, une femme ivre, n’est-ce pas ?
Et comme pour prouver ce que je viens de dire, elle rajoute à l’oreille de Marie :


« J’ai toujours su que c’était pas une vraie blonde. »

Marzina, devin ou dotée de la science infuse ? Allez savoir, peut-être juste trop imbibée d’alcool.
_________________
«Je ne me soucie pas de vivre dans un monde d'hommes si je peux y être une femme!»
Cassius
Un bruit sourd se fit entendre dans la salle de cérémonie, les portes s'ouvrirent laissant apparaître la silhouette légèrement arrondi de l'épouse Montfort

Le regard du Sénéchal des "trente" se fit interrogateur, c'était la cérémonie d'annoblissement de Marie et connaissant les relations houleuses entre les deux femmes, il était certain que Maira n'eu pas été invité par l'hôtesse du moment

La jeune épouse s'approcha de la Kermorial, la saluant tout en lui notifiant quelques mots de félicitations... ou autre selon la perception ironique de chacun...

Maira s'approcha afin de prendre place au côté de son époux, mais ce dernier ne put s'empêcher de jauger le regard de la future annoblie afin d'en connaître le sentiment suite à cette entrée

Certes Maira n'avait été invité et Cassius ne lui avait proposé de l'accompagner car il y avait des endroits et des moments où le couple n'était attendu ensemble surtout lorsque l'hotesse du lieu s'était mis sur la tronche quelques temps auparavant avec l'épouse Montfort

La tension dans la salle était monté d'un cran, mais Cassius égal à lui même resta de marbre saluant son épouse d'une marque d'affection tout en gardant distance du fait de cette entrée qui laissait le montfort dans une situation délicate vis à vis de son amie et que ce dernier n'appréciait guère

La cérémonie pouvait continuer...

_________________
Elfyn
Il se tenait là, bien calme, les invités se retrouvant papotaient entre eux. Quelque part cela vallait mieux, d'une humeur passablement assassine, il cachait ses mains tremblantes dans son dos, le regard lointain... enfin absent à vrai dire. Il trouvait refuge dans la seule amante qui ne l'abandonnait par des longs jours d'absence, cet alambic au moeurs légère, l'apaisait face à la dureté des bretons, à la lourdeur de la couronne et à l'absence de la florentine.

Certains étaient arrivés en avance, d'autre arrivaient en retard, enfin du moins étaient parvenus à arriver, non, cela ne concerne pas le jeune Gwenael, au vu du regard que pouvaient lancer Elfyn sur Marzina.

Plein de reproches, mais les pensées ont du mal à trouver écho dans le tumulte qui matraque son crane. Un long soupir étherique...si seulement les crieurs étaient des chuchoteurs...

Il n'était que simple spectateur de tout ce qui se passait, absent et cette envie qui lui tiraillait le ventre, une obsession que cette cérémonie aillent vite pour qu'ils puissent boire un verre. Supporter les autres, cela devenait difficile, il était heureux d'offrir ces terres à Marie, mais la soif lui coupait toute émotion et toute volonté autre que de boire.

Constant que tous était présent, il fit un signe pour que chacun prenne place et allait intervenir afin cette cérémonie commence. Il se tenait les mains afin qu'elle ne tremble plus, les massant afin qu'elle se calme, tant de faiblesse l'énervait, et cet énervement ne trouverait repis qu'un verre à la main. Allons-y...


MAIRA DE MONTFORT, CHEVALIER DE PLOVEILH

Regard noir vers les portes qui s'ouvrent en grand et le hurleur! Se massant l'arrête du nez, tentant de diminuer l'écho du crieur dans sa tête..."Je vais le faire écarteler lui..."

Il avait voulu être sobre, pour Marie qui devait le supporter trop souvent alcoolisé. Il avait les idées claires, depuis un moment cela n'avait plus été le cas, mais il avait préjugé de ses forces à surmonter sa faiblesse, et maintenant ca le terrassait. Son front perlait et il évitait trop de regarder les personnes présentes, honte ou crainte de voir celui habité par un orgeuil demesuré se voir ainsi, si ... faible.

Tout le monde est là? Pas d'invité surprise de nouveau? "Que je sache si je dois mettre au fer le crieur avant..."

Marie de Kermorial, approchez...

"Le souffle court, on se contentera de petite phrases."

Cela fait maintenant quelques temps que vous travaillez avec moi. Le plus dur n'étant finalement pas les objectifs de travail à rallonge, mais de le supporter.
Vous avez maintes fois réussi dans les travaux que je vous ai demandés, réussissant par là à créer des projets qui soutiennent tous les jours la Bretagne.
Pas d"hypocrésie, une critique et un soutien indéfectible, je sais que je peux compter sur vous. C'est ainsi que l'on sait reconnaître une personne qui sera à même de gérer un fief et ses habitants pour les faire prospérer avec toute la confiance de son suzerain.


Lui faisant signe pour qu'elle plie un genou, enfin autant que faire se peut quoi...

C'est pourquoi, aujourd'hui et par la volonté qu'est la mienne..."Bon abrégeons, ca devient incompréhensible" Je te fais Dame de Buzay, sois digne de cette confiance que je t'accorde en ne changeant pas la personne que tu es et en gardant les valeurs qui sont tiennes.

S'essuyant le front qui perlait, il lui sourit, puis se tourna vers sa fille, la brune sobre, elle! Qu'on lui transmette ses couleurs qui sont siennes maintenant
Se penchant vers sa fille, lui chuchotant : "Merci pour ta rapidité"

Il laissa les invités venir féliciter l’anoblie, se tournant derrière lui pour qu'un valet amène à boire et victuailles.

_________________
"Un jugement négatif vous satisfait plus encore qu'une louange, pourvu qu'il respire la jalousie."
Awena
Son père n'était de toute évidence pas dans son assiette... La jeune femme se demanda depuis combien de temps il était dans cet état. Dire qu'Henry lui avait reproché de faire passer sa famille avant tout... Que de sottises...

Elle s'éclaircit la gorge devant l'injonction paternelle car aujourd'hui il n'était pas là en tant que Grand duc mais en tant qu'Elfyn de Montfort, Duc de Retz.


Pas avant qu'elle n'ait prêté serment lui murmura-t-elle discrètement à son attention. Son père et le protocole ca avait toujours fait... au moins 10 000. Puis se tournant vers la nouvelle vassale de son père.

Marie, si tu veux bien prêter allégeance à ton suzerain... je serai ravie de répondre à sa demande...
_________________
Awena de Montfort, Princesse et Héraut de Bretagne
See the RP information <<   1, 2   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)