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Cathédrale / nettoyage

Ottobismarck
    Omnibus præsentes litteras inspecturis, Otho Bismarck Aureliani Episcopum, Salutem in Domino.

    Au regard du droit canon et de la situation au sein de la paroisse de Gien,

    Faisons savoir que, nous, avons par le présent édit perpétuel et irrévocable, nommé et confirmé, nommons et confirmons le père Lebergerblanc dans son nouveau ministère de Curé de la ville de Gien.

    En témoin de ce, nous avons fait mettre nostre sceau à ladite présente.

    Fait à Gien, le vingt-quatrième jour du mois de janvier 1456.

    Monseigneur Otto Bismarck, évêque d’Orléans.

Ottobismarck
    Omnibus præsentes litteras inspecturis, Otho Bismarck Aureliani Episcopum, Salutem in Domino.

    Au regard du droit canon,
    De la cérémonie d’ordination organisée par nous,

    Faisons savoir que, nous, avons par le présent édit perpétuel et irrévocable, ordiné et nommé, ordinons et nommons le père Theubald dans son nouveau ministère de Curé de la ville de Blois.

    En témoin de ce, nous avons fait mettre nostre sceau à ladite présente.

    Fait à Blois, le deuxième jour du mois de février 1456.

    Monseigneur Otto Bismarck, évêque d’Orléans.

Ottobismarck
    Omnibus præsentes litteras inspecturis, Otho Bismarck Aureliani Episcopum, Salutem in Domino.

    Au regard du droit canon,
    De la cérémonie d’ordination organisée par nous,

    Faisons savoir que, nous, avons par le présent édit perpétuel et irrévocable, ordiné et nommé, ordinons et nommons Kevindesflandres Diacre de la ville de Blois.

    En témoin de ce, nous avons fait mettre nostre sceau à ladite présente.

    Fait à Blois, le huitième jour du mois de février 1456.

    Monseigneur Otto Bismarck, évêque d’Orléans.


_________________
Aureliani Episcopus
Ottobismarck
Citation:




    Super Templum Anathema


    Nous, cardinaux de la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine, réunis en Sacré Collège par la grâce de Dieu, devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote, au nom du Souverain Pontife de notre Sainte Mère l’Eglise,

    Frappons d’anathème le chapitre de l’ancien ordre militaire et religieux du Temple, celui-ci ayant délibérément failli à son devoir. Dans la nuit du jeudi VII au vendredi VIII du mois de février de l’an de grâce MCDLVI, le Temple s’est fourvoyé en rompant son allégeance unique envers le pape et en devenant un ordre au service premier de Sa Très Aristotélicienne Majesté Lévan III, roi de France.

    Nous exhortons de la plus vive des manières les frères templiers à réagir promptement. Les chevaliers, écuyers, aspirants et autres membres de l’Ordre du Temple, sont priés de se rendre à Rome dans les plus brefs délais afin d’y prêter une allégeance non point lige, mais unique, envers le Souverain Pontife, sans quoi, l’Eglise les menacerait de l’excommunication épiscopale, perdant ainsi tous droits, titres, charges, dignités et récompenses au sein de l’Eglise et de toutes les institutions laïques et religieuses qui lui sont affiliées.

    Dès la parution de ce décret, l’ensemble des chevaliers d’Isendiul issus de l’Ordre du Temple sont relevés de leurs titres et dignités jusqu’à nouvel ordre. L’accès à la crypte et à la basilique Romaine leur seront interdit par la garde pontificale. Le Grand Maître est également relevé de toutes ses charges et prérogatives au sein des Saintes Armées.

    Ad Majorem Dei Gloriam

    Fait à Rome le VIII février de l’an de grâce MCDLVI de Notre Seigneur




    Super Templum Anathema : Anathème sur le Temple




_________________
Aureliani Episcopus
Ottobismarck
Citation:




    À l'universalité des fidèles,
    Aux peuples et aux nations,


    A peine l’Eglise eut-elle condamné l’un des siens que déjà des voix s’élèvent par delà les
    royaumes. Que savent donc ces crieurs de passage des faits et actes de l’ordre du Temple ?
    Connaissent-ils tous les tenants et aboutissants de cette histoire ? Croient-ils que l’Eglise
    frappe l’un des Ses plus fidèles ordres d’une des sentences les plus grave sur un simple coup
    de tête ? Pensent-ils sincèrement que la Sainte Institution soit heureuse de cette situation ?
    Non, l’Eglise pleure, l’Eglise est plus que peinée… Pourtant, Elle se devait de réagir.

    Face donc à l’importance que prend l’affaire auprès de la populace, nous nous devons peut-
    être de donner une explication plus étendue au pourquoi du comment. Ceci, afin que les
    agitateurs publics cessent d’animer les foules d’une haine insidieuse et sournoise envers
    l’Eglise.

    Il y a de ça quelque temps, le Temple s’était déjà fourvoyé, et l’Eglise avait du réagir. Tout
    était finalement rentré dans l’ordre, et l’affaire avait été oubliée, tellement oubliée que nombre
    de chevaliers templiers furent fait chevaliers d’Isendiul, ordre du mérite aristotélicien qui
    porte même le nom qu’un templier.

    Il ne faut pas croire que le récent décret « Super Templum Anethema » touche l’ensemble du
    Temple sans distinction. Il touche actuellement le Chapitre qui compte quelques personnes
    apparement mal intentionnées et qui depuis toujours, avant même que le Droit Canon ne soit
    révisé, sèment le trouble au sein de l’ordre.

    Mais avant d’aller plus loin, revenons en à l’anathème qui touche aujourd’hui le Temple.
    Récemment, durant les derniers mois de l’année MCDLV, le Droit Canon de la Congrégation
    des Saintes Armées fut révisé. Le but de cette entreprise était de centraliser, de perfectionner
    et d’améliorer l’efficacité des éléments qui la composent. Certaines clauses demandaient un
    rapprochement plus important avec l’Eglise, d’autres l’en éloignait quelque peu, mais les
    Grand-Maîtres disposaient toujours de leur souveraineté.

    L’Ordre du Temple s’explique aujourd’hui en affirmant que l’Eglise voulait lui imposer un
    statut, un règlement, des contraintes qui lui aurait fait perdre de sa nature, mais qui n’était en
    fait qu’un rapprochement plus important. Qu'y a-t-il de plus cocasse que les dernières actions
    et affirmations du Temple ? Ordre qui se targue de tenir hautes les valeurs de l’aristotélisme,
    de la Foi et du Très-Haut, mais qui, tout en tenant ce discours, juge opportun de se détacher de
    la plus vile des manières de la Sainte Institution de Dieu sur terre. Comme le faisait d’ailleurs
    remarquer le Grand Aumônier de France, Monseigneur Olaf, même dans leurs derniers
    discours, ils se contredisent encore, voulant servir avant tout le Très-Haut, mais préférant se
    mettre au service du Roi, plutôt qu’au service de l’Institution de Dieu.

    Je ne reviendrai pas sur les affirmations calomnieuses dont l’Eglise est sans cesse la victime et
    que les crieurs de passage s’amusent à proférer pour étoffer leur discours vide de sens et
    d’intérêt, car il est de notoriété publique que la haine contre l’Eglise unit tous ceux qui ne
    reconnaissent pas son autorité et la tradition apostolique.

    Certes le Temple, par le passé a réalisé de grande chose, a élevé plus haut encore l’Eglise
    qu’Elle ne l’était. Cependant, ceci justifie-t-il que toutes leurs actions soient tolérées ? Un
    comte, ayant assuré de nombreux mandats, ayant été l’acteur du redressement économique
    d’un comté, peut-il se servir dans la caisse comme bon lui semble sous prétexte que c’est
    grâce à lui que le trésor est aussi riche? Non bien sûr. Il en est de même pour l’Eglise,
    certaines choses ne peuvent être tolérées et rester impunies.

    Le Temple prétexte qu’il s’agissait d’une nouvelle allégeance, qu’il lui était donc possible de
    choisir. Hé bien non ! Il ne lui était pas. Certain crieront au scandale, à l’atteinte aux
    libertés… Baliverne. Trouveriez-vous normal qu’un fils renie sa mère ? Trouveriez-vous
    normal que l’armée du Royaume des Lys, décide, sous couvert de sa propre liberté, d’aller
    prêter allégeance à l’empereur du Saint Empire, fut-il lui aussi de droit divin ? Non ! Alors,
    que certains cessent de clamer que l’Eglise s’élève contre le roi, car l’Eglise n’a rien, ni contre
    le Roi, ni contre ses institutions. C’est le Temple qui est ici remis en question.

    Le Temple, de la manière la plus vilaine qui soit, a décidé de ne pas renouveler son
    allégeance, qui n’était en soi que formalité et cérémonie solennelle, alors que tous les autres
    ordres, sans exception, eux, l’on fait. L’Ordre des Templiers semble rattrapé par ses vieux
    démons. Alors que l’Eglise n’a encore reçu aucun avis officiel écrit sur la cession du Temple,
    celle-ci devrait rester là où Elle est ? La seule manière dont le Temple s’est détourné de
    l’Eglise prouve son mal-être, sa gêne et la lâcheté de ses actuels dirigeants qui se sont imposés
    à la tête de l’ordre en profitant des difficultés que traversait le Temple.

    Enfin, avant de terminer, il serait bon que les ignares se taisent. Non l’Eglise ne veut pas tout
    contrôler, non l’Eglise n’écrase pas devant sa toute puissance. Elle cherche justement la
    cohésion et la discipline dans ses rangs. Que serait le Royaume de France si le roi n’imposait
    pas sa suzeraineté et son autorité royale sur ses instituions, ses territoires, et ses armées ?
    Pourquoi est-il toujours reproché à l’Eglise d’user d’autorité ? La réponse se trouve plus
    haut… Il faut unir les masses pour faire entendre sa voix, et les crieurs ne l’ont que trop bien
    compris, endoctrinant ainsi les gens qui passent sous leur coupe. Chose étrange, ces crieurs
    revendiquent leur baptême et leur croyance en Dieu, mais réprouvent celle qui les a baptisés
    et celle qui se trouve être l’Institution de Dieu…

    Ce n’est donc pas le fait que le Temple prête allégeance au Roi qui pose problème à la Sainte
    Institution et qui a entraîné l’anathème, mais c’est la manière dont le Temple s’est conduit
    durant ces derniers temps, jusqu’à avant hier, où il a renoncé à son allégeance.

    Tout est dit. Le Temple a renié l’autorité du Souverain Pontife, il l’a caché jusque dans les
    dernières limites. L’Eglise a réagi. Il reste trois jours au Chapitre pour se rétracter, et le même
    temps, pour les Templiers. L’Eglise ouvre toujours les bras à ceux qui se tournent vers Elle.
    Ceux qui reviendront et renieront le chemin qu’a pris l’Ordre ne seront pas inquiétés.
    Pourquoi l’auraient-ils été d’ailleurs, ils ne sont pas responsables des actions de leurs
    dirigeants…

    Pour conclure, je rappelais que Dieu est témoin de vos actes et de vos pensées ayez en
    conscience...


    Aaron de Nagan, Cardinal-Archevêque de Reims
    Chancelier de la Nonciature Apostolique
    Archidiacre de Rome
    Vicomte d’Ivry.



    Rome, le IX février de l'an de grâce MCDLVI
    Palais Saint Nicolas – Congrégation des Affaires du Siècle







[HRP : si vous voulez réagir, je vous invite à vous rendre ici ( http://rome.royaumesrenaissants.com/viewtopic.php?t=8402&start=0 ) afin de canaliser les réactions de tous.]
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Aureliani Episcopus
Ottobismarck
    AUX FESTIVITEE INTER-EPISCOPALES DE SENS

    Du 10 au 23 février 1456

    A tous les fidèles de Sens et de France, nous organisons une grande fête épiscopale. Pour mieux vous aiguiller tout au long de cette passionnante rencontre, voici le programme desservi par des hommes pieux et croyants.

    Au Premier Jour

    Les Premiers chapiteaux seront montés et chacun des convives arrivera tranquillement pour se préparer à la grande Fêtes.
    Au soir, il y aura un chapiteau de restauration pour permettre à chacun de se retrouver.

    Au Second Jour

    Monseigneur Lovian l'Archevêque de Sens, Monseigneur Ottobismarck l'Evêque d'Orléans et Monseigneur Gédéon l'Evêque de Nevers vous présenteront le discours d'intronisation.
    Pour rappeller le caractère Pieux de ce rassemblement tout le monde sera convié à se rendre en l'Eglise de ********* pour une grande messe et une distribution de fleurs.

    Au Troisième Jour

    Pour permettre une intense reflexion avant le repos, des débats seront lancé est accessible à tous.
    Le père ********* presentera un exposé sur la notion de "Moi et Aristote qui suis-je à ses cotés ?"
    Suivront des débats d'idées sur "la place des saints dans l'Eglise ?", "L'inquistion, pour la paix ou la punition ?",...


    Au Quatrieme Jour

    Des Prêtres, seont là pour voux expliquer durant deux trois jours, des prêches qu'ils auront choisi.
    Puis, Monseigneur Lovian realisera une seconde messe pour permettre à tous de bien recuperer des ces intenses réflexions.

    Au Cinquième Jour

    Ouverture officiel des jeux. Trois équipes seront formé, une par Evêché. Et tout le monde devra choisir son équipe.


    Au Sixième, Septième et Huitième Jour

    Les Jeux continuront et la Fête battera son plein.

    Au Neuvième Jour

    L'Archevêque et les Evêques recevront diverses doléances de toutes personnes.
    De plus, il sera presenté l'orientation politique de Sens et chaque village devra designer son representant à l'assemblée des Laïcs.

    Au Dixième Jour

    Messe en l'honneur de tous les Maires de Sens.
    Ensuite, distribution des lots par Evêché et Village.

    Au Onzième Jour

    Mise en place de différents choeurs religieux ou Laïcs.
    Le Ordres installe leur différents chapitaux pour se presenter à la populace.

    Au Douzième Jour

    Les Saints de l'EA et les Ordres se presentent au populace et n'hésite pas à les divertir ou les ambaucher à leur ideaux.

    Au Trezième jour Jour

    Mise en place d'un Banquet final. Suivie d'une grande messe.
    Et enfin, discours de clôture par Monseigneur Lovian l'Archevêque de Sens, Monseigneur Ottobismarck l'Evêque d'Orléans et Monseigneur Gédéon l'Evêque de Nevers

    Venez nombreux !

    L’Archevêché de Sens



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Aureliani Episcopus
---fromFRPère Lovian
La cathédrale sonna trois fois ses cloches. les Fidèles réunis au abords de la ville marchèrent vers la cathédrale. monseigneur Lovian attendit que tous soient installé pour commencer son discours d'intronisation.

Pendant ce temps, Otto et Gédéon vinrent le retrouver sur l'autel pour participer au discours et à la première messe.

Pendant ce temps, les e,enfants de cœur s'agitait pour préparer la messe et amener les hosties.

Lovian s'avança et commença à parler


Mes enfants, nous voici aujourd'hui réunis pour la grande Fête Episcopal.

Cette fin d'année à été marqué pour certains par de douloureux événement. je pense pour mon évêché de Sens, au départ de Tiercelet qui à été un grand prêtre de notre Église. Je serais là d'ici quelque jour pour le remplacer mais aussi pour faire éloge de son travail.
Troyes à Vécues elle une attaque, et il à été difficile d'aider les croyants mais nous avons fait de notre mieux.
Enfin, il y a une semaine, Friga que j'appréciais sincèrement nous as quitté et est parties rejoindre le très haut. Comme pour Tiercelet, je me rendrais au plus vite à Montargis pour la remplacer avec un éloge à son travail.
Je ne ferais pas une introduction plus longue et je laisse soin à Otto et Gédéon de faire l'éloge de cette réunion. Car je souhaite rester surant toute la messe dans les pensée pour Friga, Tiercelet et Troyes.

Sur ce bonne messe.

Lovian alla s'assoir au premier banc pour observer la messe avant d'y intervenir.
Seprian59
seprian59 alla s'assoir au premier rang cette fois-ci puisqu'il etait l'un des premiers à arriver.
Il ecouta attentivement Père lovianpuis attendit l'intervention de frere otto.
Ottobismarck
Les cloches se mirent à sonner à toute volée pour annoncer l'ouverture de la messe concélébrée par les trois évêques de Sens. Après que les fidèles sont installés dans la Cathédrale d'Orléans, Monseigneur Otto Bismarck fit son entrée solennelle avec ses deux frères, Lovian et Gedeon.

((( Bong ))) (((Bong))) (((Bong)))



Le premier chant retentit

((( Bong ))) (((Bong))) (((Bong)))

Une fois les gens installés, l'Evêque d'Orléans s'avança pour bénir l'assemblée

Mes Enfants, nous sommes réunis aujourd'hui, dans la magnifique cathédrale d'Orléans, pour louer notre Seigneur et nos prophètes dans l'unité de notre communauté Aristotélicienne.

In nómine Domini, et Christos, et Aristotelis

Amen

Gratia Dei Omnipotentis, Altissimi et Prophetarum sit semper vobiscum

Et cum spiritu tuo

Unis par l'Action Divine en cette Cathédrale, rassemblés sur l'œuvre de Jeshua Christos notre prophète, Créateur du Saint-Siège et de la communauté d'Aristote, et enfin nourrit spirituellement du Verbe de notre maître Aristote, nous allons aujourd'hui par cette messe , rappeler l'Amour du Père Tout-Puissant, créateur du Ciel et de la Terre.

La manifestation d'aujourd'hui sera l'occasion de professer ensemble notre foi inébranlable en le Seigneur, lorsque montent les gentils, les païens et les hérétiques de tous bords. Au nom de l'Eglise, de par mon ministère, je vous bénis par la Grâce du Dieu-Tout-Puissant.

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Aureliani Episcopus
Sebbe
Sebbe suivait la messe silencieusement assis au fond de la cathedrale...
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Bourguignon
Les cloches de la Cathédrale sonnaient et leur bruit retentissaient dans toutes les rues de la capitale du Duché.
Bourguignon à leur appel se dirigea donc vers le lieu de culte pour assister à la célébration qui réunissait les Eveques de l'archevêché de Sens. Le jeune Seigneur arriva devant le parvis et salua les personnes qu'il reconnut il entra ensuite dans la Cathédrale fit son signe de croix après avoir trempé ses doigts dans le bénitié et s'avança pour prendre place dans la nef.
Il attendit que la cérémonie commence

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---fromFRseigneur waroch
Waroch entra dans la magnifique cathédrale à la suite des nombreux fidèles et après s'être signé à l'eau bénite il alla s'assoir dans les premiers rangs
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Gedeon
Entrée solennelle, m'enfin, il aurait préféré la faire en marchant, ça c'était certain, mais son médicastre avait dit, alors il faisait... C'est sur une chaise à porteurs que Gedeon entra aux cotés de l'archevêque de Sens et de l'évêque d'Orléans. D'un signe de la tête, l'évêque de Nevers salua les Orléanais qu'il reconnaissait. Etranges impression et sentiment que de revenir ici après ces mois passés. La chaise fut déposée près de l'autel, les évêques de Nevers et d'Orléans encadrant leur Archevêque de part et d'autre. Lorsque ce fut à son tour, Gedeon s'éclaircit la voix et pris la parole :

Chers enfants du Tout Puissant.

C'est avec joie que je retrouve Orléans, sa Cathédrale et ses fidèles. Je me souviens du premier rassemblement diocèsain qui eut lieu il y a presque un an, là-bas sur les berges de la Loire, je me souviens de cet instant comme un moment de joir et je suis particulièrement heureux de pouvoir à nouveau assister à une telle réunion à plus grande échelle : une réunion regroupant les trois diocèses de la province de Sens.
Voici donc un nouveau rassemblement qui nous réunit tous ici, en la maison du Seigneur. Liés par nostre foy et nostre Amitié, nous allons ensemble célébrer son Amour.


Le Premier Aumônier de France fit un signe à un clerc de service qui lui apporta le livre des vertus. Gedeon l'ouvrit à une page marquée et fit lecture d'un passage soigneusement sélectionné.



Je vais à présent vous faire lecture d'un passage de la Vita d'Aristote : Dialogues XIII - La réception chez Polyphilos.

Citation:
Aristote avait été invité à une réception chez un riche marchand athénien exerçant également les fonctions d'archonte. Il s'appelait Polyphilos. C'était un homme riche et puissant, passionné par la philosophie. Il venait souvent écouter Aristote, aussi souvent que ses charges et son statut le lui permettaient. Sa maison était pleine à craquer, et les tables regorgeaient de victuailles.
Aristote tenait une coupe de vin qu'il venait de remplir au cratère. Il prit une feuille de vigne farcie quand Polyphilos s'approcha de lui.


Polyphilos : Aristote, cher maître. Comment trouvez-vous cette réception ?

Aristote : Je vous avoue que je préfère les plus petits comités, on ne s'entend pas, ici. Mais votre maison est splendide et le banquet est digne des plus grands rois.

Polyphilos : Merci pour ces compliments. Mais rien n'est trop beau pour mes amis et j'aime à les avoir tous autour de moi.

Aristote : Tous ces gens ici, sont donc vos amis ?

Polyphilos : Bien entendu. Nul n'entre ici qui ne soit mon ami.

Aristote : Je vois pourtant des gens de toutes extractions sociales et occupant diverses fonctions pour la Cité.

Polyphilos : Et alors ? Je ne suis pas hautain. Je laisse ça au nouveaux riches.

Aristote : Certes, c'est tout à votre honneur. Mais il ne peut s'agir d'amitié véritable. Un vrai ami est un égal car l'amitié doit être parfaitement réciproque et équitable. Si elle ne l'est pas, ce n'est plus de l'amitié mais de l'intéressement. Un roi ne peut rien attendre d'un mendiant, ce dernier est incapable de l'aider en cas de besoin, or l'entraide est la base de l'amitié. Donc il n'y a pas d'amitié possible entre personnes par trop inégales.

Le jeune fils de Polyphilos s'était approché.

Eumónos : Je le répète sans cesse à mon père. Ces gens ne sont pas ses amis et il doit prendre ses distances.

Aristote : Ce serait tomber dans l'excès inverse, jeune homme. L'amitié est le plus grand bien de l'homme. Elle noue les liens des communautés. Et les communautés forment à leur tour la Cité. L'amitié permet les relations sociale et l'Humain peut alors prendre part dans les affaires de la Cité. Et comme la vertu cardinale de l'homme est la participation à la cité, l'amitié est une chose essentielle.

Eumónos : Mais comment trouver un parfait égal ?

Aristote : Ce n'est pas nécessaire. Il faut surtout que l'intéressement ne soit pas trop prononcé dans le chef d'un des prétendus amis. Le juste milieu, celui de la vertu, c'est de savoir s'entourer d'amis véritables, de gens qui peuvent compter sur vous et sur qui vous pouvez compter.

Polyphilos et Eumónos hochèrent la tête pour marquer leur accord. Aristote s'éloigna de quelques pas avant de se retourner.

Aristote : Ces feuilles de vigne sont délicieuses, aussi délicieuses que le conseil d'un ami, vous ne trouvez pas ?
Cassy
casim écouta le passage du livre des vertus et attendit le prêche

il était heureux de revoir son ancien évêque
---fromFRPère Lovian
Lovian se leva alors et partit rejoindre Gédéon. il se clarifia la voix après deux ton bien rauque puis il commença le sermon.


Mes enfants, voila un bien beau de texte de Gédéon, il se retourna et afficha un large sourire.

Voila un texte qui illustre bien cette cérémonie qui va durer 15 jours. Non pas un cérémonie qui comme je l'ai dit est là pour faire du chiffre. Mais bien une cérémonie pour permettre à nos fidèles, de pouvoir renouer avec les hautes instances.
Voila que je vous parle de l'amitié aristotélicienne. Cette amitié comme nous l'avons vu doit-être d'égal à égal. Mais voila que je suis ici avec vous, des comte, des ducs, des pieux, clerc, évêques, des fidèles, vagabonds, paysans artisans et moi je suis archevêque. bien haut dans la pyramide de l'Église. Mais pourtant je témoigne d'un profonde amitié à vous voir avec moi. Pourquoi, ça je suis votre égal. Non pas en poste sur cette terre. Mais bien en tant que fidèle au divin et fils de sa création originelle.
Quand Aristote me guide il vous guide.
Quand Christos me conseille, il vous conseille.
Quand je pense et travaille pour vous, vous pensez et travailler pour moi.

C'est pourquoi je vous le dit aujourd'hui allons vivre cette fête. Et j'emprinterais une vielle parole d'un ami aujourd'hui bien trop loin de nous. Mais il est dans la lumière.

"Entrée dans l'Eglise pour aimer Dieu, mais n'oubliez pas d'en sortir pour aimer ses création."


Lovian finit en se recueillant de longue minute. Des Larmes copulère à ses joues repensant à Arathornf, Friga, St Himérius, Frère Nico, Briconnet, St Truffaldini, Abysmo et tant d'autre qu'il vait connue et sion partit bien loin mainteant. Pour beaucoup le divin les avait accueillie en dessous de leur valeurs.
Lovian se retourna et avec un large sourire dit:


Mes enfants, je partage une éloge importante et aimerait que chacun d'entre vous ava,t de partir fasse un geste pour Friga et nos saints qui ont travaillé dur pour faire de cette Eglise Aristoléicienne un modèle de vie.
Friga est partie il y a peu un peu folle, en colère. et celle-ci la achevé.
C'est pourquoi, je vous invite tous à venir dire un mot pour cette fêtes et pour Friga.

De plus, nous sommes trop peu nombreux. Allez chercher amis et Fidèles et ramenez les aimer dieu durant ces 15 jours.
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