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[RP]Envie de biens besoin de rien

Francesca
Merci de respecter les formes du RP





Le crépuscule rendait ce moment un peu plus inquiétant. Depuis bientôt une journée qu'elle avait démarré sa marche, Hojo no Mariko ne s'était arrêtée que trois fois. La première, pour aller prier dans un sanctuaire isolé en l'honneur Tsukuyomi, le Kami de la Lune. Car à mesure qu'elle arpentait le domaine des Ashikaga, elle sentait la lueur du soleil s'amenuiser, jusqu'à disparaitre dans un faible rayon à l'horizon. La Lune, cet étrange monde qui était suspendu au-dessus des cieux, mais que pouvait-il bien abriter? Le Vomi, cet enfer où résident tous ceux qui ont eu l'infortune de se détourner de la Nature? Ou bien des Kamis dont Tsukuyomo serait le maitre des lieux?
Quoiqu'il en était, cette question métaphysique ne suffisait pas à lui faire oublier la raison de sa venue sur cette terre "légère": l'union d'une Ashikaga avec un Tokugawa. D'un côté, Tokugawa no Kizaru, jeune bellâtre du clan des Tukugawa qui ne possédait aucun bien foncier connu par les registres du Kuni. Aucun bien "à taxer" dans le langage crypté de Mariko. De l'autre, Ashikaga no Ailisha, cadette d'une fratrie composée de Ashikaga no Yatsuko et d'Ashikaga no Matsakodo. D'un tempérament trublionne, voire à la limite jaune pisse de la décence, Ailisha allait donc épouser Kizaru. Francesca ne connaissait pour ainsi dire personne des Ashikaga. Quant aux Tokugawa, leur chef avec lequel elle avait eu la malchance de tomber, Togukawa no kadokawa, lui inspirait un dégoût profond suite au duel qu'elle lui avait lancé...et qu'il avait décliné d'un revers de main.

La forteresse des Ashikaga, dit le "Shogunat de la lignée Seiwa" était maintenant à portée de vue de la Guji de la secte Hojo Shinto. La raison pour laquelle on l'avait choisie elle pour venir assurer la cérémonie du shinzen kekkon était inconnue. Peut-être était-elle en fait la seule apte à officier en Oda. La plupart des Kannushis d'Oda no Kuni se comptant sur les doigts d'une main, ils se prélassaient en outre dans une retraite prolongée au Monastère bouddhiste tenu par Renotiti, le "temple de l'éveil". Un comble qu'elle ne finissait pas de commenter dans ses conversation quotidiennes. Un peu comme si on dégustait des sushis avec une sauce à base d'eau de mer. Le goût est salé et fait grimacer. En l'occurrence, c'était l'état du Shinto dans cette partie du Nippon.

Aussi, c'est avec une certaine méfiance qu'elle avait entrepris ce voyage pour unir ce couple. Vêtue de son Kimono rouge, de son Hakama et de ses Zoris de couleur jaune, Mariko n'était plus qu'à deux cents mètres de l'entrée de la forteresse. Elle...aller devoir unir deux membres de familles nobles parmi les plus connues...pour leur laxisme dans la pratique quotidienne du Shinto, c'était là un comble. D'un autre côté, elle semblait mue par un désir d'apporter le Bien et cette cérémonie Shinto serait là, peut-être, un premier pas vers la régularisation kamique de ces deux familles. Après tout, ce n'était pas comme si elle était arrivée à la tête d'une armée pour la bruler, cette forteresse.

Cette perspective de rapprochement de ces deux familles avec les Kamis l'apaisa dans ses craintes. Hojo no Mariko vint à la rencontre des gardes postés à l'entrée de la Porte. Et elle s'inclina.

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Ailisha
    La dernière fois que Ai avait porté du blanc c'était à la mort de son fiancé. Le premier était colonel le second fût gay, on peut pas toujours assurer.
    Depuis quelques jours la donzelle se sent dans une forme des plus olympiques, il faut replacer les choses dans leur contexte: depuis quelques jours, Ai, enceinte de bientôt huit mois mais qui se débrouillait encore pour cacher son bidon se sentait dans une forme sans pareille. Vu l'épaisseur de la tenue c'était pas bien dur en même temps.
    Cherche l'erreur.


    « La prêtre Shinto arrivera d'une minute à l'autre! »
    « M'en fou. Ajusté ma coiffe j'ai l'air d'un namagashi mal luné. »


    Ca l'énerve notre psychopathe préférée.
    Elle va se marier, elle va même être maman ou creuver en couche comme sa mère, au choix.

    Mais tout allait être parfait. On parle de son mariage, alors il serait parfait.
    Francesca-sama arrivera, les soldats l'accueilleront, tout le monde il ira dans le quartier central, car l'idée d'investir le lieu de prédilection de sa cousine & des généraux l'amusait au plus au point et c'est une gamine qu'on mari aujourd'hui, il faut bien se le rappeler.
    Et tous les deux, la psychopathe et le gay, finiront uni par les liens Shinto.
    C'était un ren-ai! Mariage d'amour! Ou un mariage arrangé par les deux futurs époux. Une ... couverture.

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TOKUGAWA NO AILISHA
« Ai, pour exister, elle avait besoin de deux vies. Pas de chance ! c'est la mienne qu'elle a choisie. » - Chigiru
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Atsuhito
Les nobori Ashikaga flottaient doucement au vent, claquant mélodieusement dans l'air, le chant d'un silence relevant l'harmonie ambiante que rien n'aurait pu....

"AAaaa....tchuuuu!"


Et oui, Atchu! Le jeune homme attendait aux portes du domaine et l'air frais circulant l'avait légèrement enrhumé. Pourtant il s'était bien habillé pour l'occasion, portant son plus beau kimono bleu, certains diront le seul mais c'est juste qu'il avait plusieurs fois le même tout simplement...Sans doute qu'il avait fini par s'habituer à son armure.


En apercevant la prêtresse arriver, il s'assura que tout était en ordre et que les gardes étant avec lui se tiennent bien devant une personne de son importance.

Atsuhito s'inclina respectueusement, quelques mèches de cheveux noirs tombant sur son front, ses hommes l'imitèrent. Il prit la parole.

-Konnichi wa Prêtresse, je suis Ashikaga no Atsuhito, Bushi du Clan Ashikaga et serviteur de notre chef, Ashikaga no Yoshimasa. Bienvenu au Domaine Ashikaga.
Si vous voulez bien me suivre, je vais vous mener au quartier central du domaine Ashikaga ou la cérémonie aura lieu.


Le jeune homme attendit patiemment la réponse de la femme en rouge, s'apprêtant à la mener à l'intérieur.
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Togukawa_kadokawa
Il se regardait dans le miroir, fier de l'habit qu'il avait fait faire pour l'occasion. Les feuilles de mauves brodées de noir se détachait parfaitement sur le kimono blanc.
Pourquoi le blanc, il l'ignorait. Il était sorti de sa méditation avec cette idée. Il accompagnerait son cousin habillé de blanc.


C'est parfait, pas besoin d'en faire plus. Vous avez fait du bon travail.

De la main il montre à l'artisan qu'il peut disposer. Son katana d’apparat est ajusté et l'homme sourit. Certes il a vieilli, mais il se trouve encore bel homme. Les souvenirs de ses 20 ans ressurgissent et il ne s'étonne pas avoir réussi à séduire celle qui a dû ensuite abandonné, question de politique.

Il s'ébroue pour reprendre ses esprits et sort de la pièce pour aller rejoindre le lieu de la cérémonie. Le cortège qui les mènera du Yamajiro au Shogunat est imposant, mais il se devait de l'être pour un événement de cet importance. Après tout, il s'agissait de l'union d'un membre de leur clan, et, même s'il n'était pas le plus digne représentant de la virilité des Tokugawa, ils se devaient de l'honorer comme il était de coutume.

La main du Tokugawa se lève et le cortège se met en branle, derrière les cavaliers de tête qui assure la protection et l'ouverture de la route.

En regardant son cousin, le Tokugawa a un petit pincement au coeur. Lui a réussi à s'unir pour le plaisir, à s'unir à celle qu'il a choisit. Lui a dû s'unir pour le bien de son clan, pour assurer sa pérénité. Il regarde son épouse et se dit qu'après tout, il aurait pu trouver pire.

Il éperonne son cheval pour rejoindre la tête, lançant un regard rassurant à Asaki, son fidèle Bushi. La route serpente devant eux et il a une remontée de bile quand il pense à la femme qu'il allait devoir cotoyer bientôt, cette sotte sans cervelle qui n'arrivait pas à comprendre que pour un Bushi de sa trempe, se battre en duel contre une femme sans intelligente était un plus profond déshonneur que les paroles prononcées !? De toute façon, pouvait-on donner quelque crédit à des paroles prononcées par une femme dont le QI dépasse à peine celui des mollusques ?
Il prend alors une décision, il évitera le plus possible de s'en approcher, voire même de la regarder. Pourquoi donner de l'importance à un être aussi insignifiant qui refuse de comprendre la moindre critique !? Il y aura tant de gens compétents et agréable à cotoyer, il aurait tort de s'occuper de ceux dont la vue simple donnerait la nausée au plus aguerri des bourreaux ?

Son cheval ralenti et se porte au côté de son cousin.


Alors Kizaru-san, es-tu nerveux ? Tu dois être fort et courageux, ne vas pas faire honte à l'honneur de ton clan surtout !!

Un tape virile dans le dos de l'homme conclut sa phrase.
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Francesca

-Konnichi wa Prêtresse, je suis Ashikaga no Atsuhito, Bushi du Clan Ashikaga et serviteur de notre chef, Ashikaga no Yoshimasa. Bienvenu au Domaine Ashikaga.
Si vous voulez bien me suivre, je vais vous mener au quartier central du domaine Ashikaga ou la cérémonie aura lieu.



Mariko s'inclina. L'homme en face de lui était donc un mâle Ashikaga. Fausse était donc la rumeur qui disait que ce clan n'était composé que de femmes! La Guji toisa le jeune mâle de haut en bas, fut fascinée par ce Kimono bleu indigo qu'il portât.
Bien peu pressée de lui répondre, elle en profita pour regarder longuement le jeune garde. En réalité, elle se tint sur le parvis, ouvrit grand ses yeux et le fixa. Elle le fixa et imperceptiblement, ouvrit davantage ses deux yeux globuleux. A faire frémir un Ninja la nuit.
Trois minutes. La Guji avait parcouru le visage d' Ashikaga no Atsuhito pendant trois longues minutes. Ses raisons secrètes conserver, elle devait. Dès qu'elle fut sortie de son état de quasi-léthargie, elle prit la parole.


Konishiwaa à vous, je suis Hojo no Mari, Guji de la secte shinto Hojo. Je vais donc vous suivre là où la cérémonie doit avoir lieu. Tout doit être prêt pour la purification m'a t-on prévenue.


Dans une démarche nonchalente, Mariko commença à marcher au devant du bushi. Et de rajouter.



Est-ce bien vous le gay?

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Atsuhito
Un grand moment de solitude...Après s'être fait dévisagé on lui lançait ça en pleine figure comme si c'était marqué dessus. Atsuhito, rictus au coin de l'oeil, tendit l'oreille, s'attendant presque à entendre un corbeau passé "Baka... Baka!"

Le jeune homme resta planté un instant, ne tournant même pas la tête pour suivre du regarde les mouvements de la prêtresse. Celle la on ne lui avait encore jamais faite. Le pire dans cette question n'était pas tellement qu'on le prenne pour cela mais que ca impliquait une autre question: Qui est "le" gay au Shogunat?


Le bushi secoua la tête...

-Désolé de vous...décevoir mais non...


Non bien sur que non! C'est pas parce qu'Atsuhito fuit façe à deux furies, refuse les avances d'une courtisane et reste fidèle à sa fiancée que...que...Bon ben la prochaine qui passe elle y aura droit puis c'est tout...

Sans rien ajouter de plus il mena Hojo no Mari dans une grande cour intérieur bordée de cerisiers qui laissaient filtré les rayons du soleils, découpant le feuillage des arbres sur les pierres grises pavant le sol. Tout autour, les halls en bois s'accrochaient aux bâtisses et les reliaient. Les Noboris Ashikaga et Tokugawa flottaient, tombant des toits, efflorant à peine le sol. Un autel légérement surélevé avait été placé placé pour le mariage ou déja de l'encens brulait.
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Yuny
Le dernier jour du mois de mai, yuny reçu avec étonnement une invitation de mariage. L'enveloppe était décorée aux couleurs du clan ashikaga, très jolie. Elle l'ouvrit immmédiatement et lu le courrier. Invitée à un mariage au domaine du clan, il fallait ne pas tarder à prendre la route, car elle n'habitait pas tout près!! Elle fit donc emballer son plus beau kimono par un employé de sa demeure et alla trouver ses enfants. Elle embrassa tendrement sa petite puce sur le front, puis expliqua à kanji qu'elle devait partir plusieurs jours, et qu'il serait seul à s'occuper de la maison étant donné que leur père travaille tout le temps.
Sur ce, elle fit venir des samourai qui lui étaient dévoués depuis qu'elle était shomin et se rendit au domaine ashikaga.

Après les 2 jours de marche pour se rendre près de nakatsugawa, elle arriva enfin aux grilles et fit quérir le bushi.
Lorsqu'elle montra l'invitation, on l'amena vers l'endroit où se trouvait le san qu'elle cherchait. Une fois devant lui, elle s'inclina devant et lui demanda:

KOnnishiwa atsuhito san, comment allez vous depuis notre dernière rencontre à gifu? J'ai voyagé depuis plusieurs jours, puis je avoir la possibilité de prendre un bain et de m'habiller correctement avant que la cérémonie commence?
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Atsuhito
Atsuhito vit arriver un garde accompagnant un jeune femme qu'il reconnu aussitôt. Il s'inclina devant elle.

-Konnichi wa Yunny san et bienvenu au domaine Ashikaga.

Il sourit légèrement.


-Je vais très bien Arigato et je suis heureux de voir que le voyage c'est fait sans encombre. Je vais vous mener à une chambre afin que vous puissiez vous préparer.


Faisant un signe du bras et une inclinaison de la tête, il guida Yunny vers une chambre inoccupée.


-Je suppose qu'un garde à pris soin de se charger de vos affaires. Une servant va vous apporter de l'eau chaude, il y'a tout se qu'il faut dans une petite alcôve pour prendre un bain.

Le Bushi fit glisser la porte de la chambre et s'inclina afin de laisser Yunny s'installer.

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Yuny
*La jeune femme sourit au bushi, et se laissa guider jusqu'à des appartements, où elle vit son panier, avec ses quelques affaires. Elle s'inclina envers le san pour le remercier.*

Hai, le voyage s'est déroulé sans encombre. Pas un chat sur la route! Je vous remercie! Et merci pour ce bon accueil, j'ai également mes gardes qui sont dans le domaine, je pense qu'ils sont partis voir leurs collègue.

*sourit avant de reprendre*

Je vais me préparer sur le champs, vous pourriez me prévenir quelques temps avant le début, que j'ai le temps d'arriver?
Je vous remercie


*Puis elle s'inclina encore, et le regarda partir avant de se vétir pour l'occasion.*
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Riko__
J’aimerai pas être un fœtus.

Non, sérieux ! On est bousculé par tout ce qui passe à l’extérieur, la génitrice, la servante qui l’habille, l’habit, la frangine, le temps, la bouffe, tout, oui tout ! Un rien vous insupporte, et le rien en l’occurrence, c’est la génitrice surtout, qui s’agite-gite-gite !

On a vu mieux comme placement immobilier, je vous le déconseille fortement. La voisine n’est pas bruyante, non, non. On aurait même tendance à penser qu’elle est morte, tellement, elle ne moufte plus, mais c’est le propriétaire qui pose problème. Alors la mini-locataire de se faire sentir, histoire de ne pas oublier qu’il y a quelqu’un dans la place, et pour ça ? Quelle meilleure façon que de doucement, gentiment, se retourner sur soi. Ouais voilà, c’est plus fun la tête en bas.

Oh ! Une vessie ! Trop bien ! Et si.. Si.. Non.. Si ! Et si, on appuyait dessus, un bras qui tente de bouger, une tête qui s’étire sur le cou frêle. PIF dans la vessie.

Bonjour, Ailisha-san !

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« Han j'aime ta bannière, tu l'as trouvée où ? DTC ! »
Nobuo
Beurk, un mariage. BEURK, Ailisha en plus ! Pourquoi on l'invitait aux mariages ? Nobuo était certain que c'était uniquement pour l'embêter. Mais comme il ne glandait rien de ses journées, il n'avait pas d'excuse et était obligé de se pointer. On ne sait par quelle miracle, il connaissait le chemin du site, ce qui lui permit de ne pas arriver en retard.

Il était certain qu'on allait le prendre pour un intrus, il n'avait donc pas oublié de prendre son invitation avec. On ne sait jamais, Ai était capable d'être suffisamment droguée pour ne pas le reconnaître. Quand on pensait au pauvre petit être qui risquait un jour de sortir de la jeune fille. Le pauvre, une vie gâchée avant même la naissance. Il fallait espérer qu'elle n'ait jamais d'enfant.

Arrivant près de l'entrée, il regardait autour de lui. Pas question d'arriver dans les premiers, il préférait se fondre dans la masse. Il se planqua donc à proximité pour voir arriver les gens, afin d'entrer quand la composition des invités présents lui conviendrait. Bon, planqué, pas comme un pilleur non plus... juste à l'écart.

Il en profita pour se regarder et se désespéra pour la énième fois de l'argent qu'il avait du dépenser pour acquérir une tenue qui aurait au moins une chance de lui éviter de passer pour le dernier des bouseux. Pas sûr que ce soit gagné, mais en faisant bien attention, il avait une chance de terminer la journée de façon honorable.
Kizar.u
Ha ha. Oui hein ... Courageux. Et ... Viril.

Rire nerveux, sourire gêné. Les deux mots qui ne qualifiaient pas du tout notre Kizaru. Lâche et efféminé, ces deux mots définissaient mieux le lombric. Deux jours après son retour dans le clan, on lui avait offert le cheval, qui avait été immédiatement nommé "Rose". Le chef avait été surpris, et avait clarifié la situation en expliquant que c'était un mâle, mais le jeune homme n'avait fait qu'hausser les épaules, et insister sur le fait qu'il adorait ce prénom. Kiki' était accompagné en ce jour de Tralala, et Rose, il était vêtu d'un simple kimono, et avait une fleur dans les cheveux. L'air plutôt mal à l'aise sur le dada, il roulait du cul, glissait sur le côté et se rattrapait maladroitement à la crinière brune de Rose, qui affichait son mécontentement en hennissant et en bougeant la tête, ce qui déstabilisait encore plus le pauvre garçon. Le pire dans cette situation c'est qu'il n'osait pas bouger, et ne pouvait donc pas remettre sa mèche en place, véritable sacrilège.

Huuu Huuu ! On se calme Rose, chut, tout do... Oh ! Regardez ! Nous sommes arrivés ! 

Un sourire bête, comme à son habitude, collé au visage, puis soudain, une mine affolée. Arrivés, ils étaient arrivés, le mariage approchait, et Kizaru n'était pas près. Il secoua la tête d'un air effrayé, un "Non j'veux pas ! J'veux pas !" s'apprêta à sortir de la bouche tremblante, mais se rappelant des paroles de Kadokawa-san, il ne fit rien qui puisse faire honte, et ne lâcha qu'un petit couinement. Il descendit de Rose, ce fut un miracle car ses fesses ne finirent pas par terre dans la boue. Le lombric s'empressa d'entrer dans le shogunat. Au diable les gardes, il courut à l'intérieur, se planta au milieu de l'entrée, et de sa voix ridicule ...

AIIIIII'-CHAAAN ! C'EST TON KIKIIII' CHÉRI QUI T'ATTEEEEND !
Francesca
-Désolé de vous...décevoir mais non...

Mariko ne comprenait pas. Elle avait bien demandé s'il était le guet de la forteresse Ashikaga? Bouche bée, elle suivi le bushi jusqu'à une magnifique court intérieure, dont elle aperçu une partie tandis que le long couloir prenait fin.




La Guji allait donc attendre futurs mariés et invités dans cette cour. Elle en admira l'architecture classique et le rouge vif choisi comme peinture. Visiblement, les gros moyens avaient été mis pour faire de ce lieu un havre de paix. Fermant les yeux, Francesca se relaxa mentalement. Pouvait-elle entre en communication avec les Kamis? Elle essayait en tout cas.



AIIIIII'-CHAAAN ! C'EST TON KIKIIII' CHÉRI QUI T'ATTEEEEND !


Elle fut prise d'un rire étouffé lorsqu'elle vit le jeune homme. Entre la fleur dans la chevelure et la démarche sans équivoque, elle se cru dans une représentation du théâtre Nô. Une folle, se dit-elle dans sa tête. Mais qui était donc cet individu qui troublât jusqu'à la danse des poissons nageant dans le petit étang?


Elle se tourna vers Atsuhito-san


Ne me dites pas que c'est le...

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Ailisha
    Self-control est demandé à l'accueil.
    Je ne vais pas vous ré-éditer le cri du lombric en plein effort pour repousser les limites, cette poussée d'adrénaline qui, finalement, fait que Ai à moitié tordue en deux à cause de ce bâtard de foetus (et dans ce cas là, c'est pas forcement une insulte) qui trouvait pas grand chose d'autre à faire que de jouer au kick-boxing dans le ventre maternel de la mère, s'acharnant sur la paroi qui protégeait la pauvre progéniture après avoir buté sa colocataire.

    Inspire, expi... Nan! Nan c'est la technique de l'infâme Chenille/nièce à ses heures.


    « Ô mon amour! J'arrive! » On fait avec ce qu'on a.

    Relevé difficile pour la donzelle qui s'efforce de descendre les marches avec la course de la jeune niaise amoureuse, seulement une jeune baleine pas amoureuse ne peut pas se convertir dans un autre rôle de la sorte.

    Et la jeune nippone, parée comme une future mariée, camouflant l'insurmontable, fait face à son fiancé.


    « Ô mon singe. Tu m'as apporté une fleur. » Haha.

    Elle chope la fleur du bout des doigts, grimaçant à la sentence de l'affreux machin grandissant en elle.
    De se pencher discrètement vers le faux amoureux:
    « Si tu pouvais avoir l'air moins... de l'autre bord. »

    Et de finir par sourire à petite assemblée présente. Car tout ce passe comme prévu, et que finalement ça la rassure que Kizaru soit là. Après tout ce marié avec lui reste bien mieux que d'avoir du choisir un vieux décrépi ou autre.
    Si elle pouvait, elle serait heureuse.

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TOKUGAWA NO AILISHA
« Ai, pour exister, elle avait besoin de deux vies. Pas de chance ! c'est la mienne qu'elle a choisie. » - Chigiru
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Kizar.u
Sourire niais en voyant l'amour de sa vie en version féminine descendre pour le rejoindre, lui, le beau, le seul, l'unique, lombric. Balancement de tête autours de lui pour narguer les mecs qui passent "C'est moi son amour hein ?", mais non, vu que y'a personne en fait, qui puisse être jaloux. Et à peine le temps de se retourner vers la future mariée, qu'elle lui arrache sa magnifique fleur. Hein ? Comment ça ? Pour elle ? Pas du tout, il savait même pas qu'elle aimait ce genre de cadeaux, non, cette fleur, c'était pour lui, un brin de charme dans toute cette masse de ... d'homme. Car même si il n'y avait plus grand chose de viril dans tout ça, c'était encore trop masculin pour Kiki'. Il aurait aimé reprendre immédiatement son accessoire, mais il se rappela que dans les lieux publics, et côtoyés par plus de 2 personnes, il ne devait pas exposer sa ... Gaieté ? En fait, si ces deux personnes n'étaient pas Ai' et le Singe Jaune, il ne pouvait tout simplement pas s'assumer. Il se contenta simplement alors d'hocher la tête.

Oui. Une belle fleur pour toi, mais si elle t'encombre, n'hésite pas à me la remettre dans les cheveux pour te la garder en attendant.

Il est malin. Vous trouvez pas ? S'ensuivit une remarque qui vexa profondément le jeune puceau, mais il ne répondit qu'avec un bref haussement d'épaules, et se mît à chuchoter également.

Tout ce que tu veux, mais là je dois absolument faire pipi, je peux pas me retenir ça urge ... Hiiii !

Charmant cri de fillette pour prouver que c'était tout de suite, ou ... Tout de suite en fait. Les jambes sont immédiatement serrées, il sautille nerveusement, et la lèvre est mordue, tel un gamin avec sa Môman, c'pas meugnon ... ? *Qui a dit non ?*
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