Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2   >   >>

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP fermé] attaque de diligence

Juliette
[dans le coche]
mais que faisait elle là? allez savoir! il avait soudain pris à sa petite maitresse une envie de voyager, voir une amie il parait. pour juliette cela importait peu, elle faisait partie des bagages! ben oui une héritière quand ça voyage sa emmène le petit personnel en plus!
ainsi yolanda_isabel, juliette, naelhy, et un certain thibert, faisaient route ensemble. il allait de soit qu'ils n'étaient ni à cheval ni à pied! c'est en coche que tout ce petit monde voyageait....
juliette, comme à son habitude, était malade....

cataclope, cataclope, cataclope, burps, cataclope, cataclope, cataclope,
un haut le cœur à chaque soubresaut...cramponné aux sièges, elle retenait son dernier repas avec toute la force du désespoirs.....
_________________
Thibert
Quel voyage ! Dire que si il n'avait pas été faire un tour en Bourgogne, il serait déjà en Guyenne mais... Au moins avait-il put rejoindre l’expédition d'une jeune nobliau qui allait elle aussi vers le Sud-Ouest. Une perspective plus rapide, et plus sure que celle de cheminer seul, tant mieux. Et ce, même si il se sentait étranger à la petite troupe féminine, n'osant guère troubler l'assistance, ce qui le poussait, assez régulièrement, et comme là d'ailleurs, à s'asseoir au coté du cochet, cheveux au vent.

Il avait une de ses bottes pendante dans le vide, le regard à la verticale sur la terre qui défilait à grand vitesse sous lui. L'homme à ses cotés lui avait tant rapprocher lors des premiers jours cette posture dangereuse, sans que le jeune homme ne se soit brisé le cou, et sans qu'il n'ait pu la faire changer, qu'il restait silencieux maintenant, se contentant juste de commenter la croupe des voyageuses, quand ils en croisaient, ou l'air sévère des voyageurs et des soldats. Son épée pendait dans le vide, n'était-elle pas rouillé d'ailleurs, à force de rester au fourreau ? Sa chemise au vent, le vent le rafraichissant agréablement de la température de plus en plus lourde à mesure qu'ils progressaient dans le sud, et dans l'été.
Yolanda_isabel
-« Promenons-nous dans les bois, tandis que les brigands n’y sont pas, si les brigands y étaient, ils nous maraveraient ! »

Indifférente aux nausées de Juliette, enfin plutôt habituée à ces hauts-le cœur qui la pressent chaque fois à l’opposé de sa camériste, elle chante l’Infante. Ravie, tout simplement. Blanche a quitté la Bourgogne, Aimbaud a quitté la Bourgogne, Alycianne est blessée et allitée, Marraine est aux prises avec ses Pupilles, et elle ? Elle aurait voulu aller dans les appartements des Altesses royales, chercher du réconfort auprès de leur gouvernante, moyennant le fait qu’elle joue avec Chiara et Catherine, respectivement la fille de Cl0é, et une enfançonne qui lui a été présentée comme étant de la famille royale, sans autres détails. A sept ans, cherche-t-on des détails ? On cherche du réconfort, mais Cl0é a été choisi par les conseillers d’Armagnac et Comminges pour être comtesse, alors, elle a quitté le Louvre.

Plus de Bourgogne, plus de Louvre, vive l’Armagnac et Comminges. De l’air ! Il lui faut de l’air neuf et chaleureux, de la tendresse discrète de l’Albizzi, loin.

Et c’est dans ce coche qui les emmène loin qu’elle se trouve, considérant d’un air amouraché, la miche de pain chaude qu’elle a acheté à Rodez. Chaude à lui brûler les paumes de main, chaude à embaumer l’air du coche, chaude à lui en faire tout oublier, même les hauts-le cœur de Juliette.

_________________

« RP rime-t-il encore avec rencontres & spontanéité ?»
Naelhy
Et de 'Lily de plonger ses yeux dans ceux du pigeon, qui n'arrête pas de tourner de la tête ce petit emmerdeur de première!
Elle soupire, ferme les yeux un bon coup, oubli que c'est un sale cheval moche, laid, qui donne les cheveux gras, qui est trop grand et trop fort, avec les yeux qui ne regarde même pas en face et je ne vous parle même pas du fait que non, il n'a pas de doigt.
Non oublis Naeva, tu te fais du mal.

Alors les yeux fatigué par l'opium et tout autre connerie dans le genre se fixe sur l'Infante, elle est ici pour elle Na', d'ailleurs on l'appelle Na' car elle l'a appelé Na'.
La Tartine elle aime bien qu'on prête attention à elle, et l'Infante le fait alors que Zabelle-Albert est simplement nul pour prêter attention à elle.

Un cheval, essayez un peu de psychoter sur un équidé alors que vous êtes défoncé vous rigolerez moins. Et de se cramponner discrètement à l'Infante, c'est ça ce qui a de principe quand on est sur-maigre, une gosse obèse elle captera même pas que vous vous en servez comme bouclier contre les méchants chevaux.
Qui a dit qu'elle était apte à garder une môme?

Pourquoi ils n'avaient pas prit un âne d'abord?


« Ou un poney, même un poney aurait été cool. »

Même hexapode le poney.
_________________

Dieu dit « Que la lumière soit » & Naelhy fût.
--Levilainpasbeau

il est là, tapis dans l'ombre, attendant ça proie!
cela fait plusieurs jours maintenant qu'il guète, et cela n'a que pour effet que de le rendre plus détestable qu'il ne l'est déjà! il a faim, il a froid il enrage, il peste! rien de cette attente n'est fait pour le décourager, bien au contraire, il est plus motivé que jamais à saisir la première occasion et à ne pas rater son coup!
un bruit au loin, qui se rapproche, il est à l’affut! il écoute, il scrute, un cheval? un attelage? il aperçoit, c'est un coche! voilà une promesse d'un beau butin....
une branche un arme, sa lame, il attend le bon moment, sur le coche deux hommes, il ne faut pas les rater! il saute sur le toi du coche, et embroche de suite le plus vieux, se débarrassant ainsi du plus menaçant des deux protagoniste, le second est un jeune homme, et levilainpasbeau lui fait déjà fasse prêt à porter un coup et poussant un cris pour l'intimider...

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARG !!!!!!!
Thibert
Ils voyageaient à belle allure, sur une route droite, plane, du moins, la dernière fois qu'il y avait jeté un coup d’œil, tout ce qu'il fallait à une voiture, certes confortable, et donc lourde, mais tirée par quatre chevaux qui s'apparentaient, de le monde des chevaux, à des brutes épaisses. Autant dire que ça filait droit, le cocher savait ce qu'il faisait, son passager revassait en regardant la route defiler sous son pieds ballant et... La vitesse décrût. Evander Holyfield ? Lennox Lewis ? Corrie Sanders ? Un quatrième champion du monde des lourd dont le nom n'a pas pu être trouvé de mémoire pour l'associer au dernier cheval ? Pourquoi ralentissez-vous donc ? Et pourquoi le cocher penche-t-il donc comme ça sur son coté ? Aveuglement ou surprise, éveil rapide d'un esprit bercé par les cahots de la route et la monotonie du paysage depuis tant et tant de lieu, autant d'explication qui expliquent pourquoi Thibert n'entendit ni le choc du maraud lors de son atterissage sur la voiture, ni le grognement que celui-ci poussa lorsqu'il embrocha le conducteur.

Mais une fois qu'il l'entendit, qu'il sortit de sa torpeur, son corps réagit, et sa position à moitié dans le vide aidant fin que le jeune gaillard s'écrasa telle un étron sur la route, roulant dans le bas coté et y arrêtant sa course. Une chute d'une bien belle hauteur, un peu moins que celle d'un homme, sur de la terre battue par les passages incessant des voitures et des bêtes. Une chute qui ne lui fit guère plus de mal qu'une égratignure au visage, et une joli lèvre éclatée (car quand Thibert tombait, il tombait bien, visage contre terre), mais cette chute lui sauva la vie. quelques instant plus tard, la lame du brigand, suivant un taillé descendant bien violent vint se ficher dans le bois du siège ou se trouvait son séant juste auparavant. Un tel coup lui aurait... Pas fendu l'échine en deux, il ne faut pas exagéré et prendre au mot la chanson de Roland, disons qu'elle lui aurait sérieusement entamé l'épaule voir peut-être même un morceau du thorax.

Thibert, face contre terre souffla dans la poussière et entreprit de s'aider de ses deux main pour relever la tête, doucement, le choc lui avait quand même fait mal mine de rien, et il vit, quelques dizaines de pas plus loin la carriole qui s’arrêtait et la silhouette noire sur le toit qui bougeait


Han le cliffhanger de thug !
--Levilainpasbeau

il était prêt, prêt à tout! mais pas à ça......qu'aillait faire le jeune homme? attaquer? fuir? crier? rien de tout cela! non surpris par les évènements il se ramasse direct sous le regard dépité du brigand.....quel adversaire.....
peu importe! ce sera plus facile! il stoppe l'attelage, saute du coche et fonce droit vers l’infortuné! ne rien laisser au hasard, s'il se relevait il pourrait bien lui poser des problèmes...
le jeune homme semble en plus vouloir se redresse, vas y mon gars tu peux toujours essayer!

prends ça!
et c'est un magnifique coup de pied lancé en pleine tête! non décidément il n'a pas envie que ce dernier se relève! et il ne sait pas encore quel potentiels adversaires l'attendent dans le coche, alors autant ne pas perdre de temps avec celui là!
Juliette
cataclope, cataclope, cataclope, burps, cataclope, cataclope, cataclope,
cataclope, cataclope, cataclope,
burps, cataclope, cataclope, cataclope,
cataclope, cataclope, cataclope,
burps, cataclope, cataclope, cataclope,
pour juliette c'est l'enfer! elle est au bord de l'explosion! Na' semble ailleurs, murmurant des truc sur les poney, et sa petite maitresse fait les yeux doux à une miche de pain....miche de pain...non non surtout pas penser à la nourriture pas penser à de la nouritu.....le coche vient de s'arrêter, pourquoi? peu importe, du bruit ou autre? juliette était bien trop occupé à retenir son déjeuné pour se rendre compte de quoi que ce soit! une seul chose compte pour elle, la machine infernal c'est arrêtée, elle n'en peu plus, ouvre la porte, sort en vitesse et .....se qu'elle fit est.... particulièrement.....enfin....la première pizza du 15ème siècle....
appuyé sur son bâton juliette reprenait son souffle bien loin de se préoccuper de ce qui l'entourait, bien inconsciente du danger.
elle venait de se soulager et c'est tous ce qui comptait pour elle!

_________________
Yolanda_isabel
Indifférente aux mains qui la tiennent, qui la retiennent, qui se cramponnent et quantités d’autres verbes de même acabit que je n’écrirai pas ici parce que j’ai la flemme. Indifférente, oui, voilà, à tout même, réfugiée à l’extrême droite du coche, elle considère d’un œil torve Juliette, prête à parer à toute éventualité.

Toute ? Sure ? Et c’est un cri qui répond par la négative à cette question. Alors que Juliette s’extirpe et rend tripes et boyaux, l’Infante de sortir la tête par la fenêtre du coche. Pour voir Thibert au sol et un homme sur le devant.

Première constatation : Thibert est grec, grand bien lui fasse.
Deuxième constatation : Thibert a pris un pied dans sa face, ça fait pas du bien, ça !
Troisième constatation : C’passe quoi ‘xactement là ?

Ne pas tout comprendre, ne pas être sur la même longueur d’ondes, voilà qui peut paraître agaçant, bah ça tombe bien, parce que ça l’est, clairement, alors elle tente de se lever, sans compter sur l’étreinte passionnée de Na’, les doigts sont détachés avec un sourire rapide.


-« On prendra un poney la prochaine fois, t’as raison. Ca m’inerve déjà c’t’histoire. »

Et la miche de pain sous le bras, le marchepied est descendu, Juliette et son reste de repas esquivé, et ..


-« Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! »

Bah oui, y a un mec refroidi à ses pieds, croyiez quand même pas qu’elle allait danser une gigue du courage, et l’Infante de retourner se cacher dans le coche. Qu’on s’le dise ! Chacun pour sa pomme, et elle, elle se recroqueville sur sa miche.
_________________

« RP rime-t-il encore avec rencontres & spontanéité ?»
Naelhy
« What's the... rho puis merrde! »

Deux heures après Na' daigna réagir.
L'Infante qui choisit de se défaire de son étreinte pour la plus grande tristesse de notre anglaise qui pas peu fière se retrouve à étreindre un coussin, un bleu, ou peut-être vert, p't'être même qu'enfaite c'est un dinosaure mais qu'elle est tellement stone qu'elle pourrait pas le remarquer de toute façon.
C'est tellement con, une blonde.


« Pourquoi on a pas prit d'poney hein? Biensûr que j'avais raison. Et on dit m'énerve, pas m'inerve! »

Les doigts fins vérifie que sa nuque est toujours en place, la blondeur est remise en place, la tête se redresse pour faire face à une réalité des plus abrutissantes: Le coussin est rose.
...
Parfois, j'ai honte.
Et la Tartine de remarquer que le cheval n'avance plus, que c'trop cool, de sourire comme une idiote, de voir une boule rose dans son coin a serrer une miche.

C'quoi c't'altruisme inexistant? Bien loin de se poser des questions, car le cheval semble HS c'est forcement l'intervention divine, c'est donc génial, donc pourquoi Juliette s'est fait la malle et que Yolanda serre une miche de pain comme elle serrait son coussin deux minutes plus tôt.

Sûrement que Juliette avait du démissionner après avoir remarquer que c'était une honte de les faire voyager dans un coche tiré par un cheval & non par un poney, ça avait vexé Yoland'amour.


« C'est pas grave tu sais! C'est les aléas de la vie! Zabelle! Viens lui expliquer les aléas de la vie. No matter Yoland'amour, je traduirais pour toi. »

Qu'est c'qu'on s'amuse!
_________________

Dieu dit « Que la lumière soit » & Naelhy fût.
Thibert
Aaaaah la guerre ! Que d'écus engagés dans l'éducation de ce jeune gaillard, équitation, escrime, quintaine, lecture de traité d'escrime, embauche d'un maître d'arme (pas uniquement pour son propre entrainement, c'est sur, il y avait tout une garnison à maintenir en forme, et un maître d'arme, en général faisait un bon champion, ce qui équivalait à l'époque à avoir un bon avocat*). Tout cela représentait une jolie somme rondelette, gaspillé, en s'écrasant lamentablement au sol. Mais ce n'était pas tout ! Plein de courage et de volonté d'en découdre, en tentant de se remettre sur pied, le souffle encore cours, un monumentale coup de latte lui fut assené sur la tête, ayant effet de le sonner encore plus. Sans pour autant l’assommer.

Était-ce l'effet du coup qui amenuisa son esprit chevaleresque ? Ou alors son esprit endolori qui lui refusait de se relever ? Quoi qu'il en soit, emplie de bon-sens (enfin, selon le point de vu du narrateur, pour Thibert, ça devait plutôt de la couardise, mais il n'était pas vraiment en état de s'en soucier pour l'instant, il s'en morfondrait plus tard... Ou pas, selon une expression tant apprécié par l'une de mes collègue de jeu). Il resta face contre terre, immobile, retenant son souffle pendant que le brigand le délesta bien vite de la bourse coincée dans sa ceinture. Ah ah ! De quoi tenir jusqu'à la fin du voyage en mangeant chichement, et de quoi faire parvenir des pièces pour le champ qu'il avait en propre, vers la ville de Mende, afin qu'un journalier le laboure et le récolte. On ne lui pris pas son épée ni... Rien d'autre, vu qu'il n'avait rien (l'avantage de partir à l'aventure, et à l'improviste).

Thibert s'autorisa là à reprendre son souffle et à ouvrir les yeux, à les cligner pour ne pas voir flou, puis à serrer les paupières bien fort (si, c'est possible !) pour essayer de faire passer la douleur que lui affligeait sa tête, mais en vain. Il entrevit toutefois la silhouette noir qui ouvrit la porte de la voiture ou se trouvait toutes les filles et là le remord se fit sentir. Lui qui ne risquait plus rien. Difficilement donc, il se releva, comme il avait prévu de le faire si il ne s'était pas pris un coup de saton, d'ailleurs les effets de la chute l'avaient plus ou moins quitté, il ressentira probablement quelques courbatures le lendemain, mais le coup qu'il avait reçu à la tête était plus douloureux. Aussi, d'un pas gauche (ou il a quand même réussi à se relever) mais se voulant discret, il frotta sa tempe en essayant, gauchement là encore de tirer son épée au clair pour essayer d'avoir un semblant de retour sur investissement de son éducation (trente écus, trois pains et trois maïs le cas échéant, mais ne disait-on pas qu'il n'y avait pas de petit profit ?)


*Séquence émotion/nostalgie, cette comparaison est tirée directement du manuel Age of Empire II, et de mémoire s'il vous plait... Snif, snif
Juliette
Citation:
-« Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! »

juliette sursaute! bon ok se qu'elle venait de faire n'était pas très ragoutant mais de là à hurler ainsi....pour s'enfuir dans le coche c'était à ni rien comprendre!
et si ce n'était pas elle? si c'était autre chose? et puis pourquoi s'était on arrêté? juliette encore vaseuse relève la tête et....

Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

réflexe purement féminin.....un coché refroidit, thibert au sol, et un homme sombre s'avançant vers elle....pour une fois elle comprend de suite! miracle....ou pas. par contre niveau instinct de survie c'est zéro, enfin elle seul oui mais là pas pareil, il y a yoli, il y a sa petite maitresse! du courage? dit comme ça oui, peut être, mais dans le détail....
juliette, empoigne son bâton! le tend fermement en direction de l'homme! menaçante? pas vraiment...au fur et à mesure qu'il approche, une ligne tiède coule entre les jambes de la servante, il est à porté de bâton, à peine juliette l'avance comme pour frapper, les yeux fermés, la peur au ventre,

Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
PAF


puis plus rien, le trou noir, à peine la douleur, à peine un bruit sourd, juste un instant l'odeur du sole, la fraicheur de la nuit....

_________________
--Levilainpasbeau

le jeune sot semblait assez sonné, nul besoin de s'attarder sur lui, pas de temps à perdre on ne sait jamais de plus il ne savait pas se qui pouvait bien l'attendre dans le coche.
l'adversaire suivant est en vue, et c'est.....une boniche! il en rirait presque du coup! à peine le temps d’apercevoir un petit cochon rose crier pour ensuite se planquer dans la voiture ! et bien la suite s'annonce tranquille!


HA! de la femelle! pas d'quoi s'inquiéter!

direct la bonne! il avance à grand pas, une servante, franchement, pas de quoi trembler.....oh et en plus elle a un bâton....d'ailleurs c'est à peine s'il remarque la minable tentative de coup les yeux fermés.
d'une main il saisie le manche et de l'autre envoi un bon gros revers dans la face de juliette, qui au final n'aura blessé que ses tympans!

PAF

l'homme est fort, la femme bien jeune, le coup est efficace et met hors combat bobonne, qui finis sur le dos les quatre pattes en l'air...
la gueuse semble une bonne occasion ainsi présentée...oui non peut être?
en d'autre circonstance sans aucun doute mais entre la flaque de gerbe et la marre de pisse bof bof....

le brigand se tourne vers la porte du coche, l'ouvre bien grand, retrouve le cochon et....un truc blond....pas très gros mais....pfff de la femelle donc pas de danger! ni une ni deux il choppe Naelhy et la balance! des siècles plus tard des hommes lanceront des nains, mais lui aujourd'hui a crée le lancé d'anorexique! elle était pas laide, propre au moins, mais bon pas l'temps pour ça! de toute façon elle était bien légère....en y repensant il se demanda jusqu'où il avait réussie à l’éjecter....

déjà son regard se pose sur....une boule rose! la chose a l'air plus petite, cela ne devrait pas poser plus de soucis que cela, et en plus ooooh elle a une belle miche de pain!


donne moi ça!

il saisie la fillette pensant la sortir sans trop forcé mais c'est sans compté sur gras double....une enclume! et c'est de toute ses force qu'il tente de la sortir

AAAAAARGH
Thibert
Une fois remis en selle, épée, à la main, Thibert prit une garde bien méchante, un peu à la samouraï malgré son épée de bat... Bâtarde. Les bras bizarrement tordus, la lame à l'horizontale, à hauteur de la tête, prêt pour une vilaine estoc, dans le dos du brigand, enfin, par dos, il visait plutôt un point indistinct entre la moitié supérieur de l'omoplate et la base arrière du crâne, et ayant visualiser ça, il put commencer à se mettre à accélérer, en direction du brigand qui vidait la voiture comme un vid... Un "physionomiste" qui vidait scrupuleusement la voiture dans laquelle se trouvait les trois filles. Comme dans un épisode d'Olive et Tom, le temps se figea, le visage du jeune languedocien se crispa, les cris, et la voie menaçante du brigand en provenance de la voiture se turent alors que résonnait, dans son propre esprit, une bande-son qui sonnait bien héroïque, un mélange du mémorial d'Iwo Jima et un triomphe de la Rome antique en musique, un truc comme ça un peu. Les jambes de Thibert se soulevaient, son buste fit mouvement vers l'avant, tandis que la volonté d'en découdre, de laver l'affront du larcin qu'il avait subit et d'amortir l'argent investit pour son éducation se lisait sur son visage. Les dents serrées, les yeux plissés, autant dû à la crispation de son visage qu'à une probable légère myopie qui frappait le jeune homme depuis sa plus tendre enfance, tout était réunis pour un triomphe aussi modeste que l'était son humiliation précédente. Mais un triomphe devant trois dames qui l'avait surement vu choir et se faire piétiner juste avant.

A peu prés au deux tiers de porter son coup mortel, un léger scrupule gagna Thibert. Quel héros faisait-il à transpercer un homme dans son dos, sans combat, sans honneur ? Tiraillé entre réalisme, car il savait bien que ses chances de vaincre cet homme à la régulière étaient faible, voir même inexistante, et idéalisme, les combats épiques avec lesquelles il avait été bercé se résolu à faire une petite concession à ses chances, en occurrence, à hurler un cry de guerre. Lequel ? Euphor ? Non, c'était réservé à son pôpa quand il menait des troupes, il n'était pas digne de le crier, pas encore, et il n'avait personne à rassembler ou à appeler à l'aide (si seulement). Morsang ? Morsang c'était bien, ça ferait un joli contraste en l'occupation du brigand et le respect de la dignité humaine mais... Morsang était un fief, et c'était à l’hypothétique proprietaire du fief de pousser un tel cry et malgré son coté résolument potache et humaniste, c'était quand même une immense atteinte aux droits les plus élémentaires du fun, sur le même plan que la censure dans les jeux vidéo ou le scandale du téton de Janet Jackson. Non. Il se contenta de hurler, et tout en chargeant, surpassant les bruits aux alentours (les chevaux qui respiraient bruyamment , le joyeux déménagement de la voiture, la petite fille, le brigand, les oiseaux du coin qui cuicuitaient gentiment dans l'insouciance) se fit entendre un sonore, quoique juvénile:


Aaaaaaaaaaaaah !

edit : Pour un oubli d'un bout de phrase, mais bon, ça devrait pas changer grand chose.
Yolanda_isabel
Elle voudrait crier, hurler à Na’ qu’elle se moque des aléas de la vie, qu’elle ne sait même pas ce que c’est, que Zabelle-Albert ne parle pas de toute façon. Elle voudrait la taper aussi pour qu’elle se taise et la serre dans ses bras. Elle voudrait, elle n’y arrive pas.

Il y a la peur viscérale, primitive de la mort et du sang, il y a cette impression poisseuse et gluante qui l’étreint que ce sang qui se répand au dehors la touche et l’entoure. C’est sale, c’est rouge et chaud, ça se mêle à la boue, à la fange, ça tâche, elle exècre le sang, elle s’en méfie et le vomirait presque si elle n’était coupée par un hurlement au dehors. Juliette qui hurle et se tait soudainement, laissant la place à un homme qui entre violemment dans la litière pour en déloger Na’. Elle ne la défend pas, elle ne peut pas, il y a la peur. A peine un gémissement quand son pain lui est tiré des mains, un cri qui s’échappe pourtant quand il pose ses mains sur elle.


-« Pas le sannnnnnnnnnnnnng. »

Pitié oui, pas le sang, pas elle, elle ne veut pas finir comme le cocher. Pitié, et quand il peine à la tirer hors de l’habitacle, elle le mord férocement à la main pour s’échapper et tomber méchamment au bas du coche. Clack. Ca s’appelle une cheville qui n’a pas supporté le poids trop lourd des friandises.

Alors, elle pleure, elle n’entend pas Thibert qui veut les défendre, ne le voit qu’à peine héroïque une épée en main. A côté, il y a la flaque de pisse, celle de gerbe, Juliette au sol, et ce sang, ce sang qui roule vers elle.

Elle pleure tout simplement, recroquevillée sur elle-même au sol, comme l’enfant terrifiée qu’elle est.

_________________

« RP rime-t-il encore avec rencontres & spontanéité ?»
See the RP information <<   1, 2   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)