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[RP] Quand une angloise arrive en Maine.

Suzan
Plusieurs semaines s'étaient écoulées depuis qu'elle avait fuit son pays avec pour seuls bagages quelques pièces dérobées à son père. A regret, elle avait délaissé ses nombreuses robes qui termineraient dans une malle, à l'abri de la poussière. Finit les promenades dans la campagne anglaise, les séjours à Londres, les balades sur le bord de la Tamise.. Un jour elle reviendrait au manoir pour reprendre ce qui lui appartenait, mais l'heure n'était pas encore venue ; son père y demeurait encore..

Elle avait marché, des jours et des nuits, usant ses fins souliers. Sa vesture s'apparentait davantage à l'habit d'une domestique qu'à une robe de belle facture. On pouvait la prendre pour une gueuse, mais n'était-ce pas ce qu'elle était devenue ? Les auberges miteuses étaient désormais son quotidien. Elle n'avait plus rien, elle n'était plus rien. Suzan l'Angloise, bienvenue sur les terres du Domaine Royal français. C'était donc cela sa nouvelle vie ?

Une douce odeur sucrée vint assaillir le nez de la jeune angloise. Ses pas la conduisirent au marché, devant un étal de friandises. Pouvait-elle se le permettre ? Cela faisait si longtemps.. Elle avait passé l'âge, elle en était consciente, mais qui ne craquerait pas à la vue d'irrésistibles caramels ? Elle se fraya un passage parmi le groupe d'enfants qui se rinçaient les yeux devant les confiseries, pour se retrouver face au marchand.
Sourire poli, concentration, accent à couper au couteau..


Le bonjour. Huum, euuh, I want.. Sorry, Je veux toffee ! Là ! Huum no !! Ca-ra-maaal ! Non caramal ? Caramil ? Caramèèèèl !

Oh yeah !
Ses quelques caramels en main - et un dans la bouche - , Suzan continua sa promenade dans le marché. Le regard d'un côté, puis de l'autre, sans vraiment faire attention aux autres passants. Et forcément, la voilà obligée d'entrer en collision avec un parfait inconnu, qui plus est, imposant.


Le pardon.. Le grand pardon.. Je pas exprès fait..
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Thorn
Le Juge haranguait les foules de la Capitale Mainoise, donnant discours et plaidant sa cause, alors que le bas peuple l'acclamait sur la grande place, scandant son -magnifique- prénom, il... se réveilla. D'ailleurs, il avait tellement fait durant son rêve qu'il était déjà fatigué au réveil (ce n'est évidemment pas à cause des multiples bouteilles de liqueur à la noisette qui disparurent la nuit dernière, absolument pas !).

AAuuuuhh. s'étira-t-il

Avant de se lever, titubant en prenant appuie sur le mûr, et de s'étaler par terre, réveillant de par la même tout le Comté. Levant son bras, le nez toujours au sol, il gémit

Aide moi, bon à rien...

Et d'envoyer la première chose qu'il put attraper de son autre main en direction de la créature qui lui servait de valet. Il ne s'en fallu que de peu et la botte cloutée qu'avait envoyé le Juge en aurait fini avec le déjà amorphe valet, d'un bon coût sur.. la tête ? Le blond regrettait d'ailleurs bientôt son imprécision, ce n'est pas que le dit valet faisait chier le sublime Wolback... mais en fait si.

[Quelques coups de fouet plus tard]

Hâtons nous, Jolan, tu sais bien que nous n'aimons pas déambuler les rues des marchés.

Les Comtales souliers du breton-mainois n'étaient vraisemblablement pas adaptés...BOUM !

Tous à vos postes ! Au Bunker ! se serait on surement exclamé 481 années plus tard... (pour les autistes du calcul : 1459 + 481 = 1940)
Pourquoi ? aucune idée, mais le blond en était sûr, toute fois, à la place on eu droit à


Impudente ! Comment une mendiante comme toi ose altérer le bon fonctionnement de nos vénérables fonctions ?!

Et de faire l'inventaire des dégâts de la collision

Gardes, à moi ! Emportez là, aux Goeles !

Avant de les arrêter en plein élan

Non, non, qu'elle s’excuse et implore mon pardon avant tout !
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Ici !
Suzan
Qui dit collision dit cris ; qui dit cris dit attroupement ; qui dit attroupement dit discrétion. Discrétion ? Etes-vous en certains ?..
Toussote, toussote. Le caramel est avalé de travers et c'est la catastrophe. Toussote toussote. A force de tousser à s'en arracher la gorge, la friandise ennemie fut éjectée du corps de la brune pour finir sa course folle devant les pieds du Juge. Miséricordes. Un petit sourire gêné apparut sur les fines lèvres de l'angloise, en signe de pardon.


Impudente ? Vous trompez vous ! Mon nom est Suzan, no impudente. Et pas mendiante moi, an-gloi-seee.

Faut pas pousser mémé dans les orties non plus. Mendiante, elle en a l'allure, certes. Mais nous n'allons pas dévoiler ici la noble ascendance de notre angloise.

Qui est O'Gaule ? Irlandais ? Here ?

Les françois détestent les anglois, tous le monde le sait. Mais les anglois détestent les irlandais. Et depuis sa plus tendre enfance, Suzan a été éduquée sur les peuples alentours avec des légendes à n'en pas dormir le soir. Aussi, la brunette commença à frissonner, se demandant quelles tortures allaient lui être infligées par l'Irlandais.

No Irlandais, non, no.. Ooh le pardon ! Je ai peur. Pas Irlandais, please..

Pour peu, elle se serait jetée aux pieds du Juge. Et c'est ce qu'elle fit d'ailleurs, terrassée par la peur de l'être roux. Elle ? Livrée à l'ennemi ? Triste sort..
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Calxeros
Cal d'Eros, toujours avec sa balisette derrière le dos, faisait sa ronde matinal autour du marché. Il entend du bruit provenant du quartiers des confiseries. Alors, il accours. Il voit le Juge en pleine altercation avec une personne

Votre Excellence, que se passe-t-il? Je vous eusse entendu appelé la Garde.

Là, Cal apperçois Suzan qui bredouille des mots d'Anglais. Là d'un ton ferme qui lui est rarement connu il lui dit

Up villains. That made you in our honorable judge.

N'attendant point la réponse de Suzan, il se retourne vers Thorn

Votre excellence, dois je la mettre au fer ?

Cal attend la réponse
Thorn
Avec son classique regard-hautain-de-haut-et-de-bas, méprisant qui plus est (avouez que le narrateur est lui même un pléonasme), le blond breton scruta la jeune fille désormais à ses pieds qui bredouillait quelques mots, en.. en anglois ? Peut être que la mendiante n'en était pas une, et peut être que les trèfles à quatre feuilles sont nombreux en Albion, parce que le Juge se trouve être Ambassadeur Royal en Ecosse, et donc, devinez quoi, il parle la langue des perfides voisins du nord.
Il n'eut pas le temps de dire mot que le Chef maréchal de la capitale accourait déjà vers le désormais attroupement.


Votre Excellence, que se passe-t-il? Je vous eusse entendu appelé la Garde.

Arquant un sourcil

Votre Honneur, je vous prie. Excellence est réservée aux diplomates. Mais oui, la garde...

Ne put-il terminer que déjà le maréchal s'adressait à la brune à terre avec un accent fort marqué

Votre excellence, dois je la mettre au fer ?

Au fer ? Non.. non, dispersez moi cet attroupement par contre, allez !

Et de tendre une main vers la fille...

Stand up, don't be afraid... Dit-il avec son accent imprégné de trois origines différentes
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Ici !
Leha
[Je suis en retard]

Une rousse qui dévale les escaliers de l'auberge, manque de tomber trois fois à cause de sa robe - haute couture, c'pas fait pour courir, prouvé scientifiquement - et sort en trombe, des dossiers dans les bras.
Mais une Giffard pressée, c'est pas parce qu'elle a eu du mal à se lever non non non ! C'est parce qu'elle a changé trois fois de robe, et qu'elle n'a personne pour l'aider à les enfiler. Ensuite il a fallut coiffer et boucler ses cheveux, enfiler des petites chaussures, retrouver de la paperasse, boire un verre de lait .. Et se rendre compte qu'on est sacrément
in late , comme on dit.

Dans la rue, c'la panique. Elle sait pas ce qu'ils ont tous là, attroupés, mais elle s'en fout, fiche pardon, parce qu'elle doit se rendre au Collège. Genre, elle est noble la poupée normande ? Non, pas encore. Mais ma-de-moi-selle est Poursuivante, ne l'oubliez pas. Juste, elle ne porte pas la tenue adaptée à la fonction, le tabard n'étant pas du meilleur des goûts.

Enfin, elle s'en fout, fiche zut !, jusqu'à ce qu'elle voie Ailvin. Aaah Ailvin ... Si il était moins breton, moins blond, moins c... harmant, elle l'aurait épousé. Naaaan, la narratrice déconne !
Bon, tant pis. Giffard rime avec retard, elle aime le rappeler.


Le bonjour Ailvin.

Puis elle jette un regard à la jeune fille.

Vous martyrisez encore une demoiselle ?
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Héraldique Qui est Leha ?
Suzan
La peur. Ce sentiment d'angoisse mêlé de crainte, l'un des plus puissants poisons naturels, à ce que l'on dit. La peur, c'est la faiblesse, la soumission envers l'être tant redouté. La peur c'est la mort de la pensée. Et que fait notre angloise lorsqu'elle perd son courage ? Elle tremble. Et, dans sa sottise, elle ne fait guère attention au nouveau françois qui débarque. Elle ne réagit même pas au "Up villains" car elle savait qui elle était et l'heure n'était pas aux explications avec l’excité. Seulement..

O'Fer ?

Combien étaient-ils ? Une invasion ou une arme secrète contre les anglois ? Que lui voulaient-ils ? Où se cachaient-ils ? Qu'allait-ils faire d'elle ? La tuer lentement ? La torturer ?
Quelques mots anglois, une main qui se tend. Une main qui se prend. Debout la Suzan, enfin sur ses pieds.


Thank you..

C'est le moment que choisit une rousse pour les rejoindre. Une rousse ? Était-elle donc O'Gaule ? Ou une amie..
Et, dans un élan de courage :


Irish ?
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Leha
Irich ? C'quoi ?
Aaaah oui, elle est riche. Nan, ça doit pas être ça. Brève réflexion, et elle trouve.


Ah non, moi c'est pas Irys. Moi c'est Leha.

D'où elle connait Irys d'ailleurs ? Elle la verrait plutôt sortie d'on ne sait où, sans aucun contact.
La Giffard qui se tourne vers le Juge.


Dites donc Ailvin, c'est quoi ce baragouinage ? De l'anglois ?

Un regard dédaigneux vers l'angloise gueuse-pas gueuse.
Malgré des origines, elle n'en est pas moins 100% françoise. Tatoué sur ses fesses, date de péremption : gardé secrète.

Elle la dévisage, le menton haut. Fière et hautaine, hé oui. Mais pas méchante pour autant. D'ailleurs, c'est en la regardant droit dans les yeux qu'elle a une drôle de sensation. Une lueur qui est très noble. Elle a le feeling pour ça, la Leha.

Sans quitter la jeune fille des yeux, qui doit avoir le même âge qu'elle en fait :


Votre Honneur, oubliez. Vous voulez des dédommagements ?
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Héraldique Qui est Leha ?
Thorn
Ça parlait d'Irlandais, de riches, de baillis... de baillis ?
D'ailleurs les Irlandais n'étaient pas riches et pour bailler il faut de l'argent, ou bien avoir sommeil. Ou encore, D, la réponse D. Enfin... bref !


Bonjour. Oui c'est bien de l'anglois. C'est surprenant d'aill...

ARGH (infirmier, de la morphine !). On l'a coupé ! pas sa tête, mais le Juge déteste qu'on parle lorsqu'il interrompt !

Dédommagements ?

OMAGAD ! Si elle n'était pas fille de maréchal, elle croulerait dans une oubliette... elle aussi

Hum.

Et d'asséner avec une douceur, une délicatesse et une attention incroyable un... énorme coup de pieds au cul à son valet

On y va !

Énervé, peut être, honneur (l'honneur d'un votre honneur est grand, vous comprenez) bafoué, aussi, mais le respect qu'implique le rang de la rousse ne s'oublie point

Bonne journée.

Et de tourner les talons, direction les prisons, enfin quelque chose d’intéressant !
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Ici !
Michelmichel
Affiné lentement sur le bout des dents, le temps passe et son sourire s’enlace, autour d'une moustache naissante, dirons-nous surtout, désobéissante. A bas les couverts, s'envolent les dossiers, pour quelques instants d'humble sérénité.
Le Mans s'ouvre à lui, tes yeux ma jolie, tout à moi hier, à nous aujourd'hui.


-"Si j'attrape l'con qu'a eu l'idée d'faire c'ch'min entre l'garnison et l'moulin des Farranges, j'peux t'dire que ...

C'était un Comte r'lativement r'monté qui s'occupait d'quelques dossiers d'voiries pour l'moins passionnant. On fait pas toujours c'qu'on aime comme qu'on dit ...

Se levant de son siège a allure plutôt rapide l'Comte prend quelques babioles pour aller marcher, histoire de s'aérer, s'manière de s'changer les idées quand il peut pas picoler, et là, il a croisé s'fille dans les couloirs, son premier et plus beau rempart contre la bouteille.

C'est quand même con, après en avoir sévèrement chier pour retrouver une forme convenable et une musculature, presque digne d'un légionnaire (de 40 balais, certes ...), v'la qu'maintenant il est rudement porté sur la bouteille. M'enfin, faut bien passer par quelque chose de toute manière.


Pas le temps de faire deux pas.

Pas le temps de faire deux pas qu'le Comte remarque la silhouette de son Juge faisant marche vers les geôles, fallait avouer qu'y'avait des fois d'chouettes trucs à y voir. Et, sur l'côté, deux donzelles.
Une bien connue du fleuriste de formation, et l'autre ... pô du tout. Gentleman malgré tout l'Miche descendit de monture, flattant au passage l'encolure de son espèce de cheval bâtard.


Mademoiselle Giffard ...

Et de lui faire le révérencieux baise main, éclaté d'un sourire amusé avant de reporter son attention sur sa voisine. L'a pas l'air en bon état, ça, forcément, à cramer Jeanette on s'brule un peu les ch'veux aussi. M'enfin bon, faudrait quand même faire avancer l'bidule, histoire qu'on sache si faut préparer un nouvel assaut de la team Rosbiff ou si la d'moiselle est juste venue manger quelques cuisses de grenouilles avec s'copains les Frogs

D'you speack french? Or not?"
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Suzan
Froncement de sourcils.
Leha.. C'était quoi leur pays aux Lehas ? A moins qu'elle soit françoise, et d'ailleurs, elle en a l'accent. Ce devait être un duché ou un comté. Son père lui avait expliqué le principe. Le Comté des Lehas, ça sonne bien non ?
Mais revenons à nos moutons.


La moi c'est Suzan, huum, du royauté d'Angleterre.

C'est beau quand c'est bien parlé le françois. Admirez la symbiose des sons, l'harmonie des phrases, et bien sur, l'accent. Mais bizarrement, la symbiose ne prend pas chez notre angloise, allez savoir pourquoi.

C'est agaçant ces yeux qui ne quittent pas la Suzan. Elle est mal peignée ? Oui. Elle est sale ? Oui. Elle a une mouche qui lui tourne autour ? .. ( soupir ).

C'est le moment que choisit le percuté pour partir, emportant avec lui les dernières craintes irlandaises. Un léger sourire éclaira le fin visage anglois. " Always greet, Suzan, it's the beginning of courteousness ". Merci maman.


Le revoir.

Elle allait se retrouver seule avec la rousse ? Hemm. Un cheval s'avança, une personne en descendit. Tous feux sur Suzan l'angloise. Discrétion, quand tu nous tiens.
Si elle speak french ? A vous de juger.


Le pas très bien. Huum, le un peu.
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Leha
[Mouahahaha ! Laissons la rousse savourer sa toute puissance.]

Ravie de voir le juge détaler comme un lapin face à son intimidante personne, la jeune fille accorda un petit sourire à l'angloise. Une vraie crème cette fille. Elle laissa le comte arriver, la saluer comme il se doit - même que bon, c'est elle qui lui a apprit les bonnes manières - et se contenta de jouer un rôle de potiche pendant que Sa Grandeur s'amusait à parler anglois. Pourquoi était-elle la seule à ne pas parler un mot de cette fou...chue langue ?

Le nez plissé, lèvres pincées.


Suzan, d'Angleterre. Voici notre Comte, Michel de Villefort.
Ici vous êtes en Maine, Royaume de France. Notre Reyne est Sa Majesté Béatrice Ière.


Ferait-elle une mauvaise douanière ? Surement.
La poursuivante se pencha vers le Comte et lui murmura quelques mots à l'oreille.


Je parierais une robe qu'elle est perdue. Et deux qu'elle est éduquée.

Elle se mouille pas trop la Giffard.

Laissez moi faire, j'ai la situation en mains.


Retour sur la Suzan :


Je suis Leha Giffard, et si je commence à développer, vous ne comprendrez pas la moitié des mots.

Hum ... Vous vouloir manger ? Miam miam, glou glou ?


Le tout accompagné de quelques mimes, ça ne fait pas de mal.
Elle a la fibre internationale, je vous le dis !

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Héraldique Qui est Leha ?
Lysesl


La grande place... Elle essayait bien de l'éviter, mais elle n'avait plus vraiment le choix de la traverser si elle voulait se rendre à la salle des maires au château. Il n'y avait rien de plaisant à entendre, en général. Que des gens qui se parlent sans s'écouter, qui disent noir parce que l'autre a dit blanc, ou qui n'écoutent tout simplement pas, ce qu'elle essayait de faire en ce moment, se calant confortablement au fond du carrosse. C'est que, depuis l'attaque, elle ne sortait jamais sans ses gardes, la comtesse.

Même quand on essaie de ne pas entendre, il parvient toujours des sons à nos oreilles. Surtout quand ces sons sont des voix connues. Elle regarda par la portière et vit un petit attroupement, un trio en fait, qu'elle reconnut aisément, du moins pour deux d'entre eux. Elle signifia au cocher d'arrêter et descendit, rejoignant le trio en question.


Bonjour Leha, Miche.

La troisième personne était maintenant plus visible et elle la reconnut également. Il s'agissait d'une jeune demoiselle qu'elle avait croisé à l'auberge.

Suzan, quel plaisir de vous revoir. Mais...
Son regard allait de une à l'autre des personnes. Il y avait une certaine tension dans l'air.

Ça va ici ?

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Tomnissa666
Tom passait tranquillement à cheval, la charge de chef maréchal était bien agréable ces derniers jours; la paix semblait redevenir une option viable et les beaux jours rendaient toute ronde agréable à l'extrême. Il arrivait sur la place lorsqu'il remarqua un attroupement coloré et hétéroclite. Tandis que le connétable et ancien juge filait en brutalisant son larbin obséquieux, il remarqua le comte et trois femmes qui devisaient de façon incertaine. Il descendit de cheval et s'approcha du groupe la mine avenante.

Salutations mes dames, bonjour comte.

Il s'en vint d'abord baiser la main de Lysesl, un sourire aux lèvres.

Ma belle comtesse, vous rencontrer est un plaisir sans cesse renouvelé, tout comme croiser votre époux.

Il se tourna ensuite vers la damoiselle de Giffard, toujours souriant.

Damoiselle, nous nous sommes croisés en place jadis, lors du précédent passage de votre père; je constate que vous êtes aussi charmante qu'alors.

Après un baisemain à la fille du Capitaine, il nota l'inconnue, admirant le visage délicat que des habits médiocres et les souillures de la route n'arrivaient pas à enlaidir.

Good afternoon madam, it's always pleasantful to meet such a gracious person.
Please allow me to present myself; my name is Tommaso di Monteroni but everybody in this county knows me as Tom. If you are needful of anything, it wil ll be an honour to help you during your Lavallese days.


(Bonjour dame, c'est toujours un plaisir de rencontrer une personne dotée de tant de grâce.
Permettez-moi de me présenter, on me nomme Tommaso di Monteroni mais tous en ce pays me connaissent en tant que Tom. Si vous avez besoin de quelque chose que ce soit, ce sera un honneur de vous aider pendant vos jours lavallois.)

Il la salua à son tour d'un baisemain, avant de sortir de sa besace un paquet de friandises et de le lui tendre en souriant.

These candies are not toffees but roasted hazelnuts with coated sugar, please accept them as a welcoming gift, i baked them by myself. Maybe, if i'll become this county's earl, my lady and myself will have the pleasure to have you for dinner.

(Ce ne sont point des caramels que voilà mais des noisettes grillées et confites de sucre, acceptez ce présent de bienvenue de grâce, c'est de ma fabrication. Peut-être, si je deviens comte, ma dame et moi aurons le plaisir de vous inviter à dîner officiellement.)

HRP: Navré je ne savais point l'obligation de traduire, voilà ma faute réparée.
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Leha
Oh non elle aime pas ça. Pas ça du touuuuut. C'quoi ce rassemblement, une foire ?
Néanmoins, elle lance un immense sourire à Lys.


Le bonjour Grandeur ! Comment allez ...

Pas le temps de papoter avec sa future marraine, que un autre ramène sa poire. Et pas n'importe laquelle.
Pincement de lèvres, et elle rétorque à l'arrivant, sans pouvoir échapper au baise main :


Bonjour.

Un regard vers la comtesse, légèrement surpris, puis le nez plissé, elle reporte son attention sur le gugusse.

Ma belle comtesse ? N'avez vous jamais apprit la politesse ? Ce n'est pas ainsi que l'on s'adresse à une noble.

Hop, mode poursuivante *on*.

C'est important de savoir s'adresser aux gens si l'on souhaite devenir comte.
Même si je vois que votre anglois est ... acquis. Surprenant pour un françois de parler cette langue.


Sourcil arqué de rigueur, puis mode poursuivante *off*. Elle n'a pas que ça à faire, apprendre la politesse aux gueux. Comme lorsqu'elle veut changer de sujet, elle balaye l'air d'un revers de main.

Et bien Suzan .. Vous voila bien accueillie.

Le ton n'a pas l'air convaincu du tout. Elle retourne à son inspection de l'angloise. La gamine a comme un doute, elle voit une jeune fille qui de loin ressemble à une roturière, mais de près est plutôt du genre Peau d'Âne. Sans la peau d'âne, mais bon, c'est qu'un détail.

Et d'un coup, elle comprend. Ohhh le vil. Il ne s'est arrêté que parce qu'il a vu Thorn. Ainsi, la gamine apeurée ne sera que le lot d'une kermesse politique. A celui qui arrivera à l'attirer.
Une moue, elle n'est pas de ce genre. Une révérence pour les nobles, un regard pour le candidat aux comtales.


La bonne journée à vous. Suzan, si vous avez besoin d'aide, vous me trouverez au Palais des Comtes.

Puis, elle fait un pas en arrière, s'apprêtant à partir.


[N'oubliez pas de mettre les traductions de ce que vous dites en anglais, c'est la règle. Non pas que je sois une nouille en langues ]

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Héraldique Qui est Leha ?
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