Afficher le menu
Information and comments (4)

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP]Norf! Un deuxième torchon s'attaquant à de pauvres gens.

--Alfred555
Posté à la demande de ljd Alfred555, dont la marionnette est hors Berry actuellement.




C’est marrant, il fallait que cela tombe toujours sur lui. Alfred, qui se baladait bien tranquillement dans un village, se prit en plein visage une page de journal, apportée par un brusque coup de vent. Sur l’instant, cela lui rappela quelque peu un événement semblable qui lui était arrivé une année auparavant. Parcourant le parchemin des yeux, il remarqua qu’il s’agissait, par un coup absolu du sort, d’une nouvelle publication d’un certain journal qui avait bien amusé les foules. Il se posa confortablement dans un coin, et se mit à le lire, le sourire déjà aux lèvres.

Citation:






Il était une fois au pays des Poilus, un Poilu en chef qui avait décidé d’entamer une grande révolution, qu’il appela « l’Injure », parce que comme on dit chez eux, « il faut injurier pour vivre, et donc vivre pour injurier », ce à quoi des sous chefs Poilus (oui, ça a existé) répliquaient inévitablement que « Il vaut mieux injurier d’arrache pied même s’il ne se passe rien que de risquer qu’il se passe quelque chose de pire en n’injuriant pas »

Parmi toutes ces choses à révolutionner, le Poilu en chef voulait que disparaissent tous les éléments gênant les Poilus dans leurs injures de tous les jours.

Décision avait donc été prise de tout faire pour supprimer ces gêneurs nommés « étrangers », que d’autres civilisations moins avancées nommaient « opposants politiques ».

Le Professeur Poilu, inénarrable inventeur du lavage de cerveau, fut prié instamment de remettre un rapport sur la disparition des nuisibles, afin de conclure qu’il fallait éradiquer les étrangers, ce qui fut bien évidemment rapidement fait (le rapport, pas l’éradication). Il est de tradition en pays Poilu de réfléchir en commission sur ce que l’on sait déjà. Il n’y a pas de petite injure…

Comme il ressortait du rapport Poilu qu’il convenait de faire disparaître les étrangers, il s’en déduisait que le chef Poilu avait raison, puisqu’il avait annoncé devant tout un collège d’insectes petits pois dits « sympathisants politiques » qu’il fallait supprimer les étrangers. On injuriait donc en rond, dans la plus grande tradition Poilue.

Oh, ce n’était bien sûr pas la première fois que les Poilus tentaient de supprimer les étrangers, qui étaient leurs principaux ennemis, mais le temps paraissait le bon. Ils critiquaient depuis si longtemps les insectes étrangers, que tout le monde était d’accord avec leur disparition. D’ailleurs, comme chacun le sait « Pour qu’il y ait le moins de mécontents possibles il faut toujours injurier les mêmes ». Alors toujours injuriait-on les étrangers, et eux seuls. Ainsi en était-il au pays des Poilus, où l’on appliquait le principe fondamental : « Il faut injurier tout ce qui bouge, et anoblir le reste. »

Suivant les préceptes habituels de la vie Poilue, tout se passa très vite, puisque « quand on ne sait pas où on va il faut y aller…et le plus vite possible ». Après la commission du Professeur Poilu, des groupes de travail furent mis en place auprès d’un sous chef Poilu aux questions des étrangers et des libertés. Seuls ceux qui étaient d’accord avec la disparition des étrangers avaient le droit d’y siéger, ce qui facilitait amplement l’avancée des travaux. On peut être Poilu et rester parfaitement logique avec soi même.

Cependant, les Poilus se rendirent vite compte que l’on ne pouvait pas supprimer totalement les insectes étrangers, qui avaient leur utilité dans le pays des Poilus. Qui injurier, sinon ? Il fallait donc leur trouver un équivalent, notamment pour former les mauvaises herbes Poilues, qui se développaient rapidement dans les marigots Poilus.

Pour ce faire, deux solutions furent trouvées. La première fut d’exporter des Poilus hors du pays des Poilus pour aller injurier les étrangers chez eux. La seconde fut de garder en vie quelques étrangers afin de pouvoir les injurier.

Et les Poilus étaient heureux, car ils avaient injurié d’arrache pied, et rien n’avait vraiment changé. Mais rien de pire non plus n’était arrivé.

Et les Poilus injuriaient, injuriaient…

Mais comme on dit chez eux, « On peut tout autant mobiliser son intelligence sur des bêtises, que sa bêtise sur des choses intelligentes ». L’intérêt étant, bien entendu, de paraître le plus intelligent possible.





Souvenez-vous ! Dans notre édition précédente, il était question d’une cérémonie d’anoblissement bien peu glorieuse pour deux éminents personnages berrichons. Mais cette pitoyable histoire n’était point terminée. Tous, à la rédaction du Poussin, avons été surpris de la suite des évènements. Les deux individus en question, à savoir les sieurs Bubul, seigneur de La Beausse, et Berruyer, seigneur d’Eguzon, tous deux vassaux du Duc d’Aigurande, s’étaient présentés à la cérémonie vêtus de haillons. Mais non contents de s’être fait remarquer par leur accoutrement, les deux tristes sires ont souhaité aller plus loin, à savoir refuser les seigneuries de mérite dont le Berry consentait à les gratifier pour services rendus. Sur le coup, tout le monde a cru que, en « vertu » de leur profonde animosité avec le Duc de l’époque, sa Grâce Renlie, ils avaient refusé ces fiefs pour ne pas avoir à lui prêter allégeance. Eh bien, sachez que nous nous sommes tous fourvoyés !

Ces messires, tous de haillons vêtus, trouvaient qu’une seigneurie ne seyait point à leur rang. À moins que ce ne soit au rang de leur ego ? Toujours est-il que, grâce à la bienveillance d’un Duc de Berry, à savoir le Vicomte George-Aristote (doté d’un ego bien plus grand encore), ces deux adeptes du poil dans la main (pour l’un) et de la langue de vipère (pour l’autre) se sont vus gratifier de baronnies de mérite. Nul ne sait pour quel motif, les deux individus ayant brillé par leur inactivité (pour l’un) et perniciosité (pour l’autre) entre les deux cérémonies. À croire qu’ils disposaient d’amis bien placés à l’hérauderie royale. Disposaient, car leur grand ami, le Duc Thomas a récemment été limogé de sa charge de Roy d’Arme. Il était moins une, dites donc !

Le Poussin note toutefois que, depuis sa nomination à la charge de héraut de Berry, le Baron Bubul, dict aujourd’hui « Berry », a manifestement tenté de couper le poil si coriace qu’il a dans la main. Après d’infructueux essais avec un rasoir, puis des ciseaux et une faux, la prochaine tentative serait d’user d’une scie à métaux. Les mauvais poils ont la vie bien dure !




Qui un jour est parvenu à les comprendre ?

Dernier exemple en date :
Deux quidams, berrichons, font une demande pour intégrer les Archives de France, institution royale en perpétuelle recherche de nouveaux archivistes. L’un est Fanfanlarose, nouvel habitant de Châteauroux, le second est Adilis, membre éminent du parti du FIER.

Réaction fieriste, en conséquence de ces deux demandes pour la même fonction :
  • Fanfanlarose n’est qu’un sale royaliste trahissant le Berry en entrant dans une institution royale.
  • Adilis est une fière berrichonne complètement désintéressée servant le Berry sans faille de par son infiltration dans une institution royale.
Logique imparable, n’est-ce pas ? À noter que seul le « sale royaliste » a été accepté au sein des Archives de France.

Autre exemple :
  • Lorsque dame Vroqu dépose une saisine à la Pairie, c’est une traîtresse au Berry.
  • Lorsque le baron Bubul dépose une saisine à la Pairie, c’est un héros du peuple berrichon.
L’acte est pourtant le même…

Pour tenter d’en comprendre plus, lisez l’ouvrage suivant. Ce n’est cependant pas dit que cela éclaire totalement votre lanterne…






Dernièrement, l’IRSEE (institut royal de la statistique et des études économiques) a réalisé le recensement des biens des habitants des Royaumes. De cette étude ô combien compliquée, dix noms sont ressortis: celui des dix plus grosses fortunes des Royaumes, comme indiqué ci-après :


Le Poussin attire l’attention de ses fidèles lecteurs sur le sixième nom de cette liste. Vous vous demandez pourquoi les caisses du duché de Berry sont vides ? Ne cherchez plus, nous avons retrouvé la cause du trou… et accessoirement, la destination de vos impôts. Cela nous permet d’ailleurs de confirmer l’une des hypothèses du premier article de notre publication de l’année dernière, sujet au détournement d’impôts.

Le Poussin attend avec impatience la publication prochaine de l’IRSEE, afin de vérifier si l’augmentation de cette fortune déjà conséquente est proportionnelle à celle des deux levées exceptionnelles d’impôts ayant dernièrement frappé le peuple berrichon.





NDLR : Le Poussin vous informe que, suite au décès brutal et inexpliqué de Goissip Girl qui a profondément affecté et peiné toute l’équipe de rédaction, il a été décidé à l’unanimité, parmi la grande quantité de journaux intimes dont nous disposions, que seul celui d’Adilissip Girl était digne de remplacer le journal de Goissip Girl, et d’être publié dans notre édition.

Jeudi 19 mai 1459 :
Oh mon petit journal adoré ! Je suis follement heureuse. J’ai été élue au conseil ducal du Berry, en septième position sur la fière liste FIER qui écrase tout sur son passage, face à une liste de branquignoles qui n’a eu que quatre sièges. Ça leur apprendra, à ces vilains pas beaux de RP. À cause d’eux tout le monde est méchant avec moi.

Samedi 21 mai :
Mon cousin Georginou a été désigné Duc du Berry. Et c’est pas n’importe qui ! Il est le Duc au plus grand nombre de mandats en Berry. Ne me demande pas à combien il en est, ô mon petit journal adoré, ça fait plus de mandats que je n’ai de doigts pour les compter et, du coup, je ne saurais pas te répondre.

Dimanche 22 mai :
Aujourd’hui, mon cher et vénéré cousin et Duc m’a nommée juge de Berry. J’suis trooop contente. J’ai le droit de faire tout ce que je veux tant que je relaxe tous nos sympathisants, même s’ils ont fait de grooosses bétises. C’est ça, la justice impartiale et juste !

Mardi 24 mai :
J’ai fouillé dans les archives de procès, histoire que je n’aie quand même pas l’air trop bête, rien qu’au niveau du vocabulaire. D’ailleurs, j’ai trouvé une formule sympa dans de vieilles archives : « Durex, c’est du latex ! » Ça en impose, hein !

Mercredi 25 mai :
En fait, j’ai mal lu. C’est « Dura lex, sed lex ». Mais… comme je n’ai pas encore appris le grec, je ne sais pas trop ce que ça veut dire. Juste que c’est dur, si je crois comprendre.
Mais ce n’est pas le métier de juge qui est dur, c’est même franchement fastouche. Tellement facile qu’il suffit de recopier grossièrement les verdicts de mes prédécesseurs et de les prononcer avec la fabuleuse intelligence qui est la mienne lors des audiences.
Il y a quand même des trucs très compliqués dans certains verdicts des archives. Il y en a un, c’est notre chère Oufette qui l’a prononcé, et je ne comprends pas tout. Elle a dit « la Cour vous relaxe des fautes qui vous sont inculpées. » Il faudra que je lui demande conseil.

Jeudi 26 mai :
Pour ne plus avoir à subir les ouins-ouins des opposants, on a décidé de transférer le conseil ducal dans les locaux du FIER. Comme ça, on pourra discuter tranquillement sans être embêté par ces abrutis !

Vendredi 27 mai :
C’est pas juste ! La reyne a osé refuser une nouvelle fois l’allégeance de mon chère et tendre et vénéré cousin Georgepoilu. M’en fiche, on l’a élu, et c’est pas une vilaine basine qui pourra nous empêcher de le garder comme Duc ! Ah mais !
Et l’autre cruche de Vroqu qui s’est empressée d’afficher le tract de la reyne en mairie de Châteauroux, où je suis conseillère… comme si ça les concernait là bas. Ce sont tous des méchants ! Ils nous veulent du mal, au FIER et à moi, c’est sûr ! Et on ne va pas se laisser faire !

Samedi 28 mai :
Pffff... ça débat à Châteauroux comme quoi notre cher Duc devrait démissionner, et suivre l’exemple de Fanfan à la mairie de Châteauroux lorsqu’il a démissionné devant l’amicale invitation du Duc et l’arrivée de l’armée notre dévoué héraut Bubul au pied des murs de la ville, menaçant de donner l’assaut au cas où il refusait. Ils ne comprennent pas que ça n’a rien à voir ! Fanfan était en infraction avec la loi sur la citoyenneté berrichonne, vu qu’il est en Berry depuis moins de trois mois. Alors que mon cousin n’est que félon à la couronne de France. Mais nous, on s’en fiche de la couronne de France… ce sont de sales étrangers qui ne comprennent rien au Berry. Quand je vous dis qu’on ne peut pas comparer ! Et en plus, ils ne veulent pas me croire…

Mardi 31 mai :
Je n’y crois pas... Zoyah m’a traitée d’hypocrite ! Faut croire qu’elle ne s’est pas regardée, celle là ! Avec ses faux airs de grande dame… et en plus, j’ai entendu à la taverne du FIER qu’elle aurait violé des prisonniers qu’elle avait condamné alors qu’elle était juge. Elle n’avait vraiment personne à se mettre sous la dent pour en arriver là…

Vendredi 3 juin :
Je n’y crois pas… notre dévoué Thomas vient d’être viré de son super poste de Roy d’Arme. Je ne vais pas pouvoir obtenir le titre de marquise dont je rêvais… ouiiinnnnn. C’est pas juste… Berru et Bubul ont pu en profiter, eux !
Et l’autre folle de Vroqu qui s’est amusée à afficher l’annonce de son limogeage à la mairie de Châteauroux ! Ah, elle fait bien la maline, là ! Je lui fais remarquer que la mairie n’est pas le lieu pour afficher sa propagande anti-fieriste. Et l’autre abruti de curé déluré avec sa rousse qui me répond que ce n’est pas anti fieriste mais que c’est la « vie du Royaume ». Il y a vraiment des baffes qui se perdent, hein ! Bien sûr que c’est anti-fieriste ! Tout ça n’est qu’une grande manipulation visant à nous déstabiliser aux yeux de tous ! Nous qui sommes si gentils, si beaux, pas comme ces êtres stupides des partis d’en face qui croient faire de la politique. Ils sont tout juste bons à se faire cracher dessus. Et comme je le dis à la rousse, c’est tout à fait normal que notre cher Duc méprise les gens qui le méritent ! Les gens comme elle, en fait !
Et puis je leur fait remarquer que s’il y a uniquement des fieristes à tous les postes, c’est parce qu’il n’y a personne de meilleur pour s’en occuper ! Ah mais !

Samedi 4 juin :
C’est bon, j’abandonne. Je comprends pourquoi Châteauroux est isolée du reste du Berry. Tout ça parce qu’ils refusent d’entendre la bonne parole fieriste. Ils commencent à vraiment me casser les pieds, ces abrutis là.

Mercredi 8 juin :
Je demande à Vroqu pourquoi elle n’a pas affiché l’annonce qui concerne la démission de son cheeer ami Alfred de ses fonctions d’archiviste aux archives de France. Il paraît qu’il s’est enfui du Berry il y a environ deux mois. Chez nous, on l’appelle mini-Renlie, celui-là. Toujours à se la ramener quand il ne faut pas. Je suis bien contente qu’il ait été viré. Bon… il y a marqué « profond regret d’accepter la démission », mais c’est sûr, il s’est fait virer. Il a dû pleurer et ça a été déguisé en démission pour ne pas lui faire de peine, à ce petit. Tiens, d’ailleurs je m’aperçois que c’est à lui que j’ai piqué la mise en forme de mes verdicts.
Mais au fait, dans cette annonce, il est marqué que le poste d’archiviste politique est libre. Et la politique, ça me connaît. Aller, je vais postuler !
Ah et… je crois que Banane a un faible pour moi…

Lundi 13 juin :
Snif… Fanfan m’a coupé l’herbe sous le pied. C’est lui qui a été pris au poste d’archiviste ! C’est pas juste ! Je les déteste tous !
Par contre, il y a un truc marrant en gargote : notre fameux faussaire fieriste a déposé une fausse annonce de la reyne, et tout le monde y a cru ! Ce que les gens sont bêtes…
En fait… tous n’y ont pas cru. À la mairie de Châteauroux, ils ont tout de suite trouvé la supercherie. Grrr… je les déteste !

Mardi 14 juin :
Je suis quasiment sure… Banane a vraiment un gros faible pour moi. Il va me faire rougir s’il continue…

Mercredi 15 juin :
Cette sale fouineuse de Vroqu annonce qu’elle a découvert qui était le faussaire. Mais elle va pas bientôt nous ficher la paix, celle là ?! Marre, marre, marre !

Samedi 18 juin :
Vroqu récidive en mettant une nouvelle annonce de la reyne au sujet de Thomas. Je n’ai qu’une envie, c’est qu’on la mette en procès, afin que je puisse la faire pendre ! Et qu’on en soit enfin débarrassé !

Mardi 28 juin :
C’est horrible ! De vils tourangeaux ont osé attaquer le Berry, soit disant pour bouter mon cousin hors du trône ! Bubul, notre fier héraut de Berry a immédiatement protesté au bureau de la Pairie contre cette agression intolérable !

Mercredi 29 juin :
C’est horiiiiible. Notre cher Duc a été gravement blessé par un coup porté en son dos par un vil tourangeau. Mais le pire, c’est que ça a éclaboussé ma houppelande… elle est fichue, je ne pourrai jamais faire disparaître les tâches.
Banane a pris ma défense devant tout le monde et cloué le bec aux abrutis de la mairie… c’est sûr, il m’aime. Oh mon petit journal adoréééé… qu’est-ce que je dois faaaaaiire ?

Vendredi 1er juillet :
C’est horriiiiible. Bimba, venu à Bourges en renfort depuis Châteauroux a été poutrée avec ses compagnons de voyage par Bubul, notre héraut qui commande notre armée. Il paraît qu’on avait oublié de lui dire qu’elle s’habillait à la mode tourangelle. Je veux sortir d’iciiiii… j’ai peur.
Alleaume en a profité pour mettre en procès tous les blessés ennemis qu’on a ramassé suite à la victoire éclatante de nos troupes devant les remparts de Bourges. Ils vont devoir me supplier à genoux et me baiser les pieds pour avoir la vie sauve, ceux-là !

Samedi 2 juillet :
Mon cousin a choisi de déléguer ses pouvoir à Alleaume, le temps de sa convalescence. C’est injuste ! Seule moi, en tant que sa cousine, pouvais parler et gouverner le plus efficacement en son nom ! Je me plaindrai à qui de droit ! Je me demande si je ne vais pas déposer une saisine à la Pairie pour dénoncer cette usurpation !



Demande d’emploi :
  • Duc décavé, connaissant parfaitement blasons, chevaux, tarentelle et ramponneau, accepterait situation gendre commerçant ou banquier. Incompétence assurée.
  • Compagnie des trois A (Alleaume-Alekine-Adilis) cherche bonne place dans annuaire juridique pour conseils avisés suite excellente expérience conseil ducal.
  • Parti politique berrichon recherche débutants expérimentés. Débutants débutant s’abstenir.
Offres d’emploi :
  • Duché Berry demande contribuables spécialisés dans le paiement d’impôts.
  • Ville berrichonne assiégée recherche veilleurs de nuit.
  • Berruyer et Bubul recherchent troisième Bouffon pour concurrencer trois A.
  • Recherche messires robustes, de tempérament calme, et ayant les nerfs solides, pour garder George-Aristote.
  • On demande pour petite ville sud Berry bon spécialiste des lettres anonymes pour créer sujets discordes. Références exigées.
Correspondances :
  • Poum, c’est pas des coups à faire par ce temps-là. Reviens avec la clé de la cave, et je pardonne.
Occasions :
  • À vendre, jolie collection de pots de vin. S’adresser n’importe qui ayant l’oreille du régent.
  • À vendre, gants en laine avec doigts supplémentaires permettant de compter au delà de 10. La paire : 30 écus.
  • À vendre, chapeaux renforcé de petite taille. Conviendraient à messires ayant la grosse tête.
Divers :
  • Recherche personne désespérée encore capable de payer ses impôts, pour payer mes impôts.
  • Les articles de ce journal sont absolument véridiques, ayant tous leur source auprès des rumeurs du Duc d’Aigurande.

La liberté d’expression ne s’use que quand on ne s’en sert pas.
Ce journal n’est pas anti-fieriste. Ils sont juste une source d’inspiration sans fin pour qui aime rire de la politique.
©1459 Le Poussin déchaîné, tous droits réservés.



Librement inspiré, et assaisonné à la sauce RR de, entre autres :
  • Le Canard Enchaîné,
  • Texte adapté de Et les Shadoks pompaient...(hommage à Claude Piéplu), par Gascogne, Journal d’un avocat, http://www.maitre-eolas.fr,
  • L’Os à Moëlle, Pierre Dac,
  • Goissip Girl,
  • Série des Que sais-je ?, des Presses universitaires de France,
  • Accueil des Royaumes Renaissants,
  • Forums des Royaumes Renaissants.
Un grand merci aux ljd fieristes pour leurs marionnettes infiniment caricaturables.
Alleaume
Citation:
J'adore Un grand moment de rire hrp ! Et après on dit que le fier fait pas faire du jeu


[Bourges, dans le centre de la ville ]

* La vie battait son train, son coeur aussi battait, mais ça à la limite ça semblait des plus normal, la guerre avait été déclaré par plusieurs Duchés voisins du Berry nonobstant les recommandations des autorités Royales, qui demandaient à ce que ce conflit ne se transforme pas en état de guerre contre le peuple et les villes du Berry..

La journée et la nuit avait été calme, il en avait profité pour se promener un peu dans Bourges qui était baigné par un beau soleil de début d'été.. On sentait déjà la chaleur estivale qui pointait son nez depuis plusieurs jours..

Un homme était en train d'interpeller la foule afin sans doute de vendre un quelconque bout de papiers.. Il s'avança et attrapa un journal et lui donna la pièce. *


Tient voila pour toi jeune homme !

* Édition spécial FIER ce dit-il.. Étrangement il ne se reconnaissait pas vraiment dans la première partie, il n'avait jamais insulté les étrangers comme le faisait croire cet article, étrange aussi que jamais l'opposition RP n'était attaqué dans ce genre de journal.. On attaque que ceux qui dérangent, cela est bien connu..

Il s'attarda sur les différents articles qui étaient quant même pour le moins caricaturales de ce que les fieristes étaient.. Mais cela avait quant même un côté comique, il valait mieux en rire qu'autre chose, et puis après tout, si on ne rit pas de soit, c'est bien que l'on est un peu coincé, mais Alleaume adorait l'auto-dérision.

Alors qu'il lisait le journal de "Goisse", lui qui croyait qu'elle était d'ailleurs morte il y a un moment, il s'attarda sur le dernier jour, où son nom était fait mention. *


Citation:
Samedi 2 juillet :
Mon cousin a choisi de déléguer ses pouvoir à Alleaume, le temps de sa convalescence. C’est injuste ! Seule moi, en tant que sa cousine, pouvais parler et gouverner le plus efficacement en son nom ! Je me plaindrai à qui de droit ! Je me demande si je ne vais pas déposer une saisine à la Pairie pour dénoncer cette usurpation !


* En effet le Duc lui avait demandé d'agir et de diriger pour sa personne le temps qu'il se remette sur pieds, mais jamais il ne l'avait désigné Régent de Berry, et il ne se prendrait jamais un titre qu'il n'a pas, il avait juste le pouvoir de décider et de parler au nom du Conseil du Berry, ce qui était suffisant pour gérer les affaires courantes et la crise..

Tient, encore une dernière référence à lui, et à ses collègues judiciaires, il n'avait jamais remarqué que leur trois noms commençaient de la même liste, c'était sans doute le signe d'une bonne entente et un excellent travail d'équipe que les trois justiciers menaient. *


La compagnie des trois A ? Norf pas mal ! Va falloir que je montre ça à Alekine durant la pause tient..
_________________
--Alfred555
Posté à la demande de ljd Alfred555, dont la marionnette est hors Berry actuellement.




Alors qu’Alfred se promenait tranquillement quelque part en chantonnant un des morceaux en vogue du moment « Tout, tout, tout vous saurez tout sur les fieristes : Les vrais, les faux, les laids, les beaux, les durs, les mous, les grands, les gros, les p’tits, les poilus… », il ramassa au détour du chemin un journal qui traînait là. Et il se mit à rire. C’est bête, hein.

Citation:





Citation:

Extrait du journal « Le Berry » permettant d’en comprendre un peu plus sur cette guerre :

Bourges, par notre envoyé spécial.
C’EST DEPUIS le quartier général opérationnel tourangeau, installé quelque part au pied des remparts de Bourges, que le commandant en chef des troupes coalisées a commenté les premiers développements – et les premières avancées – de l’opération Doux Berry.
Grand, la quarantaine athlétique, vêtu du harnois camouflé en acier poli de climat tempéré en milieu semi-urbain (une armure de striures ocres et terre de Sienne brûlée, et de mouchetages vert sombre sur une trame noire et blanche, auxquels s’ajoute le blason – moins discret –), le commandant a tenu à dédramatiser la situation, insistant sur le caractère « préventif » et la nature « pacifique dynamique » de l’offensive tourangelle. Selon lui, les opérations se passent « très bien », sans perte des deux côtés, sauf quelques « incidents inévitables », tel celui survenu près du fief de Chantôme, où un char à bœufs a écrasé « un ou deux » poulpes ainsi que « quelques » gardes.

Hormis ce « drame mineur », le commandant a évoqué les catapultages ayant touché un certain nombre d’installations militaires et de communications le long de la route reliant Saint-Aignan sur Cher à Bourges. Frappes extrêmement ciblées a même estimé le général en chef, « exceptionnellement meurtrières ». À cet instant l’aide de camp tourangeau a tenu à préciser que le commandant avait voulu dire « meurtrières exceptionnellement ».
L’abbaye de Noirlac, prise pour un poste d’observation serait « très gravement endommagée ».
Naturellement, la sécurisation des axes de communication implique que soient aussi frappés les noeuds de communication. « Je suis sûr que les Berrichons comprennent parfaitement que nous avons un cahier des charges offensif minimum » a déclaré le commandant en chef, ajoutant, avec cette jovialité virile très tourangelle : « De toutes façons, c’est à eux de savoir s’ils préfèrent un poilu rasoir ou un poilu rasé ». Et de rajouter, l’air débonnaire : « Savez-vous où il fait le plus froid ? Devant la cathédrale de Tours, parce que les deux tours en gèlent. » Puis, après un rire : « L’été en Berry, c’est un peu notre colonie de vacances. D’ailleurs, dites à votre régent que nous le remercions de son invitation. »

LE PROJET D’OPÉRATION concocté contre le Berry poiluïste avait été primitivement et spontanément baptisé « Grosse fessée » par les autorités tourangelles, qui ne décoléraient pas contre le régent du Berry. Ce nom de code était fort populaire mais le commandant en chef de l’expédition, inquiet des critiques qu’il pouvait susciter dans l’opinion berrichonne, parvenait à imposer une nouvelle appellation, « Doux Berry ». Ce nouveau nom de code avait l’avantage de suggérer que la Touraine n’intervenait pas contre un duché et un peuple aimables au fond, mais contre une « clique gouvernementale dévoyée ».

C’EST PEUT-ÊTRE le premier gros « dommage collatéral » de cette guerre : selon des sources civiles berrichonnes concordantes qui restent à vérifier, un drame serait survenu sur la route reliant Sancerre à Bourges. C’est après avoir fait une sortie en trombe de Bourges, à la tête de la cavalerie berrichonne – les fameux « Lapinous montés » – que le capitaine Bubul se serait engagé à vive allure sur la route en question, afin de massacrer ou faire prisonnier les blessés tourangeaux restés à terre des combats de la veille. La colonne d’acier aurait alors percuté « un certain nombre » de renforts berrichons encore en civil venant de Sancerre arrivant en sens inverse ou pris de flanc par l’irruption de la cavalerie. Ces renforts, ignorant dans leur grande majorité l’imminence d’une sortie berrichonne auraient alors pour la plupart été grièvement blessés ou tués.


Invitation ? Mais de quelle invitation peut-il s’agir ? Suite à une grande enquête menée par nos journalistes, la réponse a été trouvée, non sans difficultés. L’origine de cette guerre aurait été un simple amusement de tête couronnée, tâchant vraisemblablement de trouver comment rompre la monotonie de leur vie confortable. Pour cela, il faut revenir quelques mois en arrière, au moment du passage à la nouvelle année berrichonne.

Comme vous le savez – et peut-être pratiquez vous cet exercice – il est de coutume d’envoyer une carte de vœux à sa famille, ses amis où il est généralement question de santé, d’argent, d’amour, de souhaits… Eh bien sachez que vos dirigeants raffolent aussi de ces cartes de vœux. Au détail près, que cette année, les dirigeants des duchés voisins du Berry ont reçu de la part du régent du Berry la carte de vœux suivante :



Vous comprendrez aisément que les armées ravageant actuellement le Berry ne sont que la réponse à cette charmante invitation.





C’est la débandade au FIER. Après le limogeage début juin du Duc Thomas de son poste de Roy d’arme, c’est au tour du baron Bubul, remplaçant du sieur précédemment nommé au poste de héraut de Berry d’être prestement remercié par les hautes instances royales.

Cette succession de renvois pose le problème sous-jacent des missions de délégation au sein du FIER. Intégrer une institution royale est intéressant et offre des postes de prestige. Là où le bât blesse avec nos chers fieristes, c’est qu’ils se revendiquent anti-royalistes. Pourtant, il n’est point possible de servir en même temps deux maîtres ayant une haine viscérale l’un envers l’autre. Lorsque nulle animosité ambiante ne les oppose, tout se passe bien. Mais dès qu’ils entrent en conflit comme cela a été le cas lors de cette guerre, le problème est bien plus grand. Le pauvre Bubul a été poussé à user de sa position de héraut pour intervenir en Pairie en faveur du régent Georgepoilu, là où sa neutralité aurait dû s’imposer, ce qui a scellé son sort à l’hérauderie.

Ajoutons que le Poilu est bien malin. À faire à tour de bras de ses sympathisants ses vassaux, il dispose de moyens de pression sur eux afin d’en disposer à sa guise. En cas de refus, le récalcitrant perd le fief de vassalité dont il s’était vu gratifier. Le fabuleux principe du « t’es coincé ». Par le plus grand des hasards, le baron Bubul était justement vassal du Duc d’Aigurande.

Nul doute que ceux ayant un minimum de méninges réfléchiront à l’avenir quelques instants – exception faite des plus avides – avant d’accepter quoi que ce soit de ce vil personnage. Cher Bubul, toute nos condoléances.





Dimanche 10 juillet :
Ô mon petit journal adoré. C’est horrible ! Notre bon Bubul vient d’être limogé de son poste de héraut du Berry par les ingrates instances royales. C’est trop injuste. Tout le monde est méchant avec nous. Nous qui sommes si gentils, si beaux, si compétents…

Lundi 11 juillet :
Pfff... mon cousin m’a rétrogradée du poste de juge au poste de procureur ! Et il a mis son vassal au poste de juge. C’est pas juste, c’était moi la meilleure à ce poste ! Je vais bouder pour la peine, na.

Mardi 12 juillet :
Les tourangeaux ont eu peur des Bretons qui ont mis le siège devant Chinon. Ils battent en retraite, l’épée entre les jambes. Victoire !
Notre juge est trop marrant. Il a condamné une pauvre fille juste parce qu’elle a cité Vroqu, Elsie et Spagyricus dans sa défense. Et comme il ne les aime pas, il lui a mis un jour de prison par « ami ». Encore une grande victoire de la justice berrichonne impartiale et juste !

Mercredi 13 juillet :
Procureur, c’est chiant. Ça me gave déjà. Il faut que j’inculpe un gars, mais j’ai pas envie de bosser. Aller, zou. Je ne prononce rien, et juste pour la forme, tout ce que j’écris dans l’acte d’accusation, c’est : « … ». Youhou… je suis trop forte. Vite fait, bien fait. Du sacré bon boulot de fieriste.

Jeudi 14 juillet :
Je suis trop contente ! Je vais enfin pouvoir me payer la tête de Vroqu ! Mon cher cousin m’a ordonné de la mettre en procès pour trahison. Depuis le temps que je dis qu’il fallait le faire ! Et bim… inculpée pour trahison. Ça lui apprendra à déposer une saisine en pairie contre Georginou, à cette mégère !
Et je sais que notre juge ne lui fera pas de cadeau. Il la déteste tellement… il réduira son temps de parole au minimum possible. Ça lui fera les pieds. On aura vite fait de passer au réquisitoire ! J’espère qu’elle va me supplier à genoux d’être clémente avec elle, mais elle peut rêver ! C’est ça, la justice berrichonne impartiale et juste. Tous les opposants, au gniouf !
Et tiens, pour bien lui montrer que je ne me laisse pas faire, je signe au nom du Duc Georgepoilu. On s’en fout qu’il ne soit que régent, nous ! C’est notre chef. En plus il est grand, il est beau, il est fort. Bon… il est poilu.
Pendant que j’étais à la tribune électorale du FIER pour répondre aux questions des habitants, un fou tout de blanc vêtu est arrivé dans un grand dérapage de roue aux rênes d’un grand char blanc, avec un type qui criait derrière « Arrête ton char, Ban Hane ! ». Sur le coup, je n’ai pas compris, mais en fait c’était Banane, qui venait encore me faire la cour. J’avais des frissons partout, si tu savais ô mon petit journal adoré… il a sorti le grand jeu : colombes, fleurs, chanson… je ne savais plus quoi diiiire. Pour le remercier, je lui ai demandé si il avait voté pour la bonne personne.

Vendredi 15 juillet :
C’est injuste ! Parce que Alleaume, notre nouveau prévôt a suspendu Saaba de son poste de douanier, le maire de Châteauroux m’a viré du conseil municipal ! Tous ça parce que soit disant on ne sait pas écouter les gens… pfff alors que c’est eux qui n’écoutent jamais ce qu’on dit. En plus, ils ne sont jamais d’accord avec nous, c’est eux qui devraient être virés !
Depuis que Banane me court après, j’ai demandé à mon cousin si je devais porter une ceinture de chasteté. Il m’a répondu que je n’en avais pas besoin. Mais je n’ai pas compris pourquoi…

Samedi 16 juillet :
Je suis dé-gou-tée ! Vroqu a appelé un témoin à la barre. Et selon les règlements, ça augmente son temps de parole pour se défendre, et je ne peux du coup pas faire mon réquisitoire. La garce ! J’espère que notre juge pourra contourner tous ces règlements ni vu ni connu, j’ai pas envie que ce procès traîne trop. Je veux la voir croupir dans un trou ! À cause d’elle, tout le monde est méchant avec moi. Moi qui suis si gentille, si belle… Si gentille et si belle que j’ai mis un râteau à Banane. Ça lui apprendra, il n’a qu’à pas être ami avec Zoyah et Vroqu. Et puis de toutes façons, il a le teint jaune, et j’aime pas.






Bubulier :
Travail : Des portes se referment. Vous avez le sentiment que votre travail n'est pas reconnu.
Famille : Vous n'avez guère le moral. Vous éprouvez le besoin d'être soutenu, réconforté par vos proches.

Tourona :
Travail : L'organisation est le point important. Ne laissez rien au hasard, ne vous laissez pas détourner de votre travail.
Santé : Ça vous ferait une belle jambe de cesser de vous éparpiller.

Gelleaume :
Travail : Vous vous renfermez trop sur vous-même. Montrez que vous êtes capable d’ouverture d’esprit, et d’écouter vos interlocuteurs.
Santé : Ménagez-vous, car vous avez abusé de vos forces et vous vivez perpétuellement sur des charbons ardents.

Cancer_g :
Travail : Avec votre entourage, vous êtes assez directif. Évitez tout de même d'imposer trop brutalement votre volonté.
Amour : Vous avez le sentiment que votre vie tourne au ralenti et cela ne vous convient pas. Vous en êtes la raison. N'attendez pas plus longtemps, prenez l'initiative.

M1nion :
Travail : Vous êtes sur la bonne voie. Montrez ce que vous savez faire et persuadez les autres par vos compétences.
Santé : Un fort potentiel d'énergie, utilisez-le au mieux pour que cela ne se retourne pas contre vous.

Viergilis :
Travail : Veillez à toujours agir avec intelligence et intégrité. Ne vous laissez pas détourner du droit chemin.
Amour : Réjouissez-vous, vous êtes sur le point de succomber à l’amour de votre vie. Vous avez l'impression de vivre dans un rêve et vous espérez que ça va durer.
Santé : La jaunisse vous guette.

Balangelinace :
Travail : Tournez sept fois la langue dans votre bouche avant de parler. Dans le cas contraire, vous pourriez le regretter.
Santé : Attention, une armée vous attend au détour du chemin. Vous pourriez être blessée pendant un temps incertain.

Skorripion :
Travail : Vous manquez de confiance en vous et cela pourrait nuire à votre travail. Reprenez-vous et combattez, les choses se règleront d'elles mêmes.

Whoopitaire :
Travail : On ne vous voit plus ces temps-ci. Montrez-vous, on pourrait vous oublier.

Gapricorne :
Travail : Vous êtes trop enthousiaste. Oeuvrez avec recul et modération.
Famille : Attention aux caprices. Vous vous mettez à jouer les enfants gâtés. Il faudra prouver votre sens des responsabilités.

Berruseau :
Travail : Veillez à garder la bouche cousue. Votre entourage vous en sera grandement reconnaissant.

Poussin :
Travail : Vous vous laissez aller. Prenez garde à ne pas vous faire prendre votre place.
Argent : Tout ce qui concerne les questions financières doit être étudié avec soin. Évitez les litiges d'argent, qui vous entraîneraient dans des situations malheureuses et compliquées.



Demande d’emploi :
  • Jeune homme très scrupuleux, cherche place chez monsieur sans scrupule, mais riche, pour échange.
  • Maître tailleur demande place de censeur.
Correspondance :
  • Léandre, épouse-moi ou je te vends aux fieristes.
  • Adilis, mon petit navet, reviens. Je ne pourrai jamais vivre sans toi. Ramène ta fraise avant que ma banane ne soit blette.
Occasions :
  • Panoplie de voleurs de poules. Réduction de 30% aux membres des Renards.
  • Joli nécessaire à remonter le moral, se composant d’un tonnelet de rouge de Sancerre. Résultats garantis. Conviendrait à héraut déprimé.
Divers :
  • Flacons vides pouvant être remplis au moment voulu de n’importe quoi. Effet de surprise garanti.
  • Tube de l’été 1459 : Par Grand Inquisiteur Malade, Alleaumé le feu. Si toi aussi, tu as envie de brûler tous ceux qui ne sont pas d’accord avec toi, cette chanson est pour toi.
  • Bal des maréchaux : le prévôt propose un concours de témoignage sous X.
  • Les articles de ce journal sont absolument véridiques, ayant tous leur source auprès des rumeurs du Duc d’Aigurande.
La liberté d’expression ne s’use que quand on ne s’en sert pas.
Ce journal n’est pas anti-fieriste. Ils sont juste une source d’inspiration sans fin pour qui aime rire de la politique.
©1459 Le Poussin déchaîné, tous droits réservés.




















































































































Librement inspiré, et assaisonné à la sauce RR de, entre autres :
  • Le Canard Enchaîné,
  • L’Os à Moëlle, Pierre Dac,
  • Goissip Girl,
  • The Monde (n°1), journal satirique et humoristique
Un grand merci aux ljd fieristes pour leurs marionnettes infiniment caricaturables.
Faust
Le Borgne appréciait toujours de lire Le Poussin déchaîné, il aimait le style et surtout l'analyse qui souvent été juste. Il parcourut donc le dernier numéro, non pas sans lâcher quelques rires, amusé, puis s'attarda sur le courrier des lecteurs. Ainsi donc il comptait une admiratrice secrète, qui souhaitait l'épouser... rien que ça.

La menace était, cependant, suffisamment grave, pour être prise au sérieux.

Alpaguant son nain, d'un geste brutal, il lui confia mission d'aller enquêter sur l'affaire discrètement, puis retourna à ses occupations.



Merci pour cette franche rigolade ^^

_________________
Fanfanlarose
Fanfanlaorse s'était abandonné à cette nouvelle brochure qu'il trouva fort hilarante. Homme de la vie public, il connaissait désormais un peu les coulisses berrichonnes. Certaines choses étaient vues, se faisaient mais ne pouvaient être dévoilées, elles appartenaient aux coulisses de la politique, qu'ils reconnaissaient fort bien dans ce journal.

Entre deux paragraphaphes, après la lecture de ces quelques lignes destructrices mais ô combien hilarantes,
la politique berrichon, exclama le lecteur, est un véritable sacerdoce pour l'opposition, mais pour l'auteur satyrique, quel jeu!
_________________
"Châteauroux, petite bourgade aux grands évènements"
Fanfanlarose

Maire de Châteauroux
Archiviste politique du Berry
See the RP information
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)