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[RP] La Caravane d'Ahmès (Très ouvert!)

Ahmes_khoun_ipou
"Moi je viens d'un pays de désert infini
Où les caravanes rêvent et flânent
Où pendant ton sommeil
Les serpent t'ensorcellent!
C'est bizarre ça,
Mais, hé, c'est chez moi!

Quand le vent vient de l'Est,
Le soleil est à l'Ouest,
Et s'endort dans les sables d'or...

C'est l'instant envoûtant,
Vole en tapis volant,
Vers la magie des nuits d'Orient !

Oh Nuits d'Arabie
Mille et une folies.
Insomnie d'amour,
Plus chaude à minuit
Qu'au soleil, en plein jour !

Oh Nuits d'Arabie,
Au parfum de velours.
Pour le fou qui se perd,
Au cœur du désert,
Fatal est l'amour !

Suivez moi au Pays
Où mystères et magie
Ont des pouvoirs
Qui vous ensorcellent

Les serpents de la Nuit
Au détour des ruelles,
Sésame ouvres toi, nous voilà!

Oh Nuits d'Arabie
Milles et une folies,
Démons de minuit
Qui tournent sans bruit
Comme un vol de vautours.

Oh Nuits d'Arabie,
Au parfum de velours,
Pour le fou qui se perd
Au coeur du désert
Il n'y a point de retour...

Chaque soir des regards,
Comme des coups de poignards
Te transperceront dans le noir.

C'est l'instant envoutant,
Voles en tapis volant
Vers la magie des Nuits d'Orient!


C'est sous cette chansonnette qu'Ahmès Khoun Ipou, Né de la Lune et protégé par Anubis, arrivait avec sa caravane, venant droit du sud. Cette caravane était composé de quatre chariotes, tirées par des chameaux. Escorté de quelques hommes d'armes, eux aussi d'origine égyptienne, Ahmès était arrivé dans l'Orléanais. Les bêtes et les hommes se dirigèrent vers une plaine, déserte en cette heure tardive de la nuit. Ils devraient faire vite, pour être prêt le lendemain.

Arrivé au centre de cette plaine, la caravane s'arrêta. Rapidement, les chariotes furent détachées des chameaux, qui furent eux-même mit sur le côté. Après quelques heures, les étals étaient prêts pour le lendemain matin. Alors que des tours de garde furent établis, la plupart purent se reposer d'un sommeil mérité, qui ne dura pas plus que jusqu'au lever du jour.

Mais ce n'était pas le cas des Messagers, qui étaient en route depuis quelques jours déjà. Ces hommes aux chevaux rapides fonçaient droit vers les villes alentours, hurlant à tout va qu'une caravane aux marchandises variées et riches venaient de s'installer non loin.Ils rajoutaient bien sûr que les prix étaient "modiques" et que la qualité surpassait en tout point l'évidente quantité.

Dès que le jour fut levé, les étalages étaient prêts. Dans la première carriole, s'entassait nombre d'épices orientales, parfumés et agréables. Dans des boîtes, en bois ouverte, on pouvait y voir du haschich, ou encore de l'opium, avec d'autres herbes médicinales. Une caisse remplie de feuille de papyrus est entreposée dans un coin.

Dans la seconde, c'est des tas de tissus, colorés. Il y a aussi de nombreux tapis, tout aussi colorés, avec des motifs différents, exotique. Il y a aussi quelques vêtements, en lin, robes et pagnes. Au fond, quelques armures arabes, ces armures légères. Accrochés au dessus, quelques cimeterres, ces armes utilisées par les armées musulmanes.

Dans la troisième, on peut voir bon nombres de caisses de fruits secs, ou quelques bouteilles de vin, du thé, du sucre, du café, ainsi que du cacao, venue des profondeurs de l'Afrique. Mais il n'y a pas que ça...
Dans des petites cages en bois, on peut voir quelques scorpions, et même, dans des boites fermées, des reptiles allongés, répondant au doux nom de serpent.

Ahmès, bon commerçant, se mit au milieu de ce souk improvisé, et commença à crier :

"Messires, mesdames! Venez et approchez! Moi, Ahmès Khoun Ipou l’Égyptien, j'apporte des biens venant de la lointaine Afrique, du Moyen Orient! Approchez, approchez! Venez voir, venez sentir et toucher des choses que vous n'avez jamais vu! Des épices odorantes, des tissus raffinées! Des animaux d'horreur! N'ayez crainte, braves gens! Car ici, tout est de bonne qualité, pour des prix modiques!
Errance.

Tchic Tchic TambaDabaDammmm Tchic

Tape le tambourin
Orteils en suspends
A fleur de roulotte


Tchic Tchic TambaDabaDammmm Tchic
Les cahots lancinants
L’étouffante lumière
Et la plainte des grand-roues


Tchic Tchic TambaDabaDammmm Tchic
Grenade la magnifique
Tenant les rennes
D’une main lasse


Tchic Tchic TammmbaDa
Bois, champs et forêts
Et ce chemin de poussière
Qui ne semble finir


TammmbaDa
Tchic

Tape le tambourin
Pis
S’arrête ..


Dis la belle
Chutttt
‘Coute !


Essayer de rattraper ce son, ce frémissement….là….derrière le crissement régulier des roues….
Ce scintillement là….fugace derrière la lisière du bois

Ah viiiii…c’est sur !
Y’a de l’eau pas loin !
On s"pose un peu ?

...

Et la fraîcheur succéda à la chaleur
L’ombre à la lumière
Le ruisseau à la poussière
...

Non loin la roulotte aux couleurs ternies par le temps et son cheval «emprunté » en Bretagne attendaient sagement….
Peut être juste la fin des ablutions pudiques d’Errance, sous l’œil amusé d’une Grenade à l’arrogante nudité d’albâtre tranchant sur le vert mousse....
Ou peut être ce soir, pour pousser un peu plus loin dos au soleil couchant …
Ou peut être demain….
De toute façon on ne pouvait jamais savoir avec ces deux là….

Pour l’heure traverser le ruisseau….
Quelques pas suffirent. Attirée par un soudain éclat rubis dans un taillis, Errance eut un sourire comblé quand la première framboise anima ses papilles….la chemise détrempée, sur braies dégoulinantes, remontée en panier de cueillette….
Une... puis une autre….
pis oh d’autres promesses d'un savoureux dessert du soir…..

S’éloignant peu à peu du bord, plongeant avec gourmandise dans le clair sous bois, un long frisson d’alerte lui parcouru soudain l’échine….

Un bruit, un cri guttural, animal….
un cheval ? un sanglier ?.. un soudard?.....
Inidentifiable…..mais possible danger….méfiance et pas-de-loup, curiosité et prudence, avancer lentement vers la lisière, légère sur les brindilles…..
Et retenir un cri…
D’horreur !

Car ce qui pourrrait être amusant, pour qui connaît la gueuse, c’est que sa première idée fut d’avoir là, juste là, en face, des créatures du malin … qu'la preuve en était làààààààà…..devant ellle !!!!!

C’était plus grand qu’un cheval, difforme comme si un ogre affamé, ou un médecin, s’était amusé à tailler dans la monstrueuse excroissance de leur dos, un cou démesuré, une tête difforme de…heu…de…mouton hallucin酅.enfin des sChoses s jamais vueseset en consnenceeterrorisantesnde prime abordb.et le fait, au hasard de ses yeux effarf de leur dluvrir des longes ne savait si oui ou non la rassurerr..
Car quels hommes pouvaient ue manes dee.CELA ?????

Scruter, observer, de gauche, de droitee,
Et lŅplus loin des tentes de couleurs vivesc. des silhouettes....
S.approcher encore
Oublier les framboisesl.seuls souvenirs en tses roses sur le tissus l s

L…r dbur loin des bestiauxd
On ne sait jamais

Mode discrr
.

_________________
( ...)
Marineblanche
Marine Blanche errait vers la grande place, il fallait dire qu'elle avait besoin de se dlurdir les jambes donc hop ! Elle sortit de taverne apreavoir bu une bonne choppe et alla marcher tranquillement. Le soleil tappait fort en cet aprlmidi et L elle craignait beaucoup. La gamine prirait la rudesse de l'hiver qu'pa chaleur de l'f. 'fin bref, elle avait attach'es cheveux avec un ruban bleu que lui avait offert Tigala, une autunoise. Ah Autun. C'est que cette ville lui manquait mais elle avait choisie sa vie maintenant et elle ne pouvait plus retourner en arrie. De toute fat, elle ne voulait pas retourner en arrière, sa vie c'fit le vent, les chemins, la libertrais pas seulement sauf que c'est un autre sujet !

Elle passa devant la Cathsale d'Orles en soupirant l/rement, elle devait se faire baptiser mais elle ne savait pas quand gallait arriver, peut-se jamais sans doute. Ses pens furent interrompu par un vacarme qu'elle n'avait jamais entendu. Des bruits de sabots, des chevaux nncacive allure et des hommes qui criaient quelque chose. La vaurienne vuta attentivement ce qu'ils disaient. Une caravane tit installhnon loin, la marchandise ait de qualit vec un prix modique. Elle n'vit point nnsde ce qu'elle entendait. Eh oui hein, elle connaissait Ahmes.

L'endroit ottrouvait la caravane nit facile hrouver mais quand elle farivA ses yeux s'ouvrirent en grand tout comme elle resta bouche bétatellement que c'vit mange, bizarre on gora plupart des choses, elle n'avait jamais vu...Elle ne savait pas ce que c'mit. Elle resta un moment pour admirer toute ses choses ang s. Leelle se sentait en mode Chipie ! Elle avait qu'une seule envie, celle de tout dmliser ! Sa main se posa sur sa bourse qui sit bien accrochena ceinture. Pour se'elle allait se vider de ses vs, hein !


-'Zour !

Un petit sourire avant de parcourir tout d'abord la premi" carriole, elle regarda les sortes de poutres qu'elle ne connaissait pas, lsentait bizarre, fort mais cela ne sentait pas vraiment mauvais. Elle se demanda ce qu'il fallait en faire de cette poutre...Peut-ne iit-ce comme la neige et qu'on pouvait faire une bataille poutre en s'envoyant sur les uns et les autres. Qui sait...
Son regard se posa sur une sorte de rene marron qui l'intrigua au plus haut point ! Ca ressemblait presque ru savon...Beurk ! Du savon ! Qu'est-ce qu'elle n'aimait pas se laver ! Pouah ! Ca pue l'savon en plus, hein ! 'fin bref, elle regarda avec inter les autres plantes et les feuilles de papyrus. C'est que ressemblait aux parchemins mais c' it diffant.

En allant vers la seconde carriole, elle ne vit pas les tapis ni les vdments ! Oh Cnon ! Elle vit des armes ! Son regard fit apparaae une lueur de joie ! Qu'est-ce qu'elle adorait les armes !


- Ahmes ! Combien pour une sorte d'ae qui n'est pas une ee, dis??
Errance.
La discrgon, oruvert0ambiance plaine ....
Pas >dent
Le campement it tourn ers la route .seule chance...
Avancer....
Les silhouettes se prssent....les couleurs aussi
u
Des marchands
/.
Mais pas du coin
Et mt de loin
Yuavait que apter leurs accoutrements
r.
Et des hommes en armes...assortis bizarrement aux bestiaux aperD
Et comme un souvenir
Pas des bestiaux
Mais des accoutrements
c.
Des marchands
>.
La paranohqui se calme
Le pas qui se fait plus vif, plus sur
Fouler les herbes hautes
Droite
Visible
Curieuse
Attir.
.
Et d uvrir des ls aire envier la palette dlun peintre
A rendre fou le regard, snchanter les narines, itiller les doigts de lrenvie de toucher
..
Sourire de gamine …COMME>Rassurtar cette autre gamine, plus jeune et autochtone esapparence, qui sans mlance commenet ’ecier dest.. armesOuvrir ses sens et ses papilles
Ouvrir une case de lointain souvenir
Promener ses pas
De ci
De deln
Pas de bourse pleine sur soi
Ni me cacheplus loin
Soudain enchantement
A saveur drun fuyant passe
Et de plaisante surprise de pr nt
u
Regard curieux
Aux marchandises comme dehomme

La gamine l interpella
Ahmes
Pas savoir si un connu ou pas
Scruter sa vie de saltimbanque
Scruter sa mauvaise msire
Pas trouver
Mais comme
Un truc familier
Rassurant
>
Et le regard, les sens, comme hypnotis ar les pani s de plantes soesu..

_________________
( ...)
Theophanie
Jfris arrivndans le domaine royal, moi petit conteuse du royaume de Breizh, bercedepuis ma plus tendre enfance par les contes et les lsndes que me racontait m -grand aux veill .
Peureuse et craintive des korrigans et de tous les petits des et des myst"s de la lande.
Riche du savoir de nos hauts dignitaires, nos druides, qui transmettaient leur connaissances par la parole.
Loin des eits, loin des enluminures qui donnaient grail la reprlntation des fables.

Js is venue leour VOIR, pour nourrir mon eil curieux, aiguisle toute cette culture, duimages enfin r les.
Le domaine royal de France, reprantait un mythe, celui des belles Dames, de toilettes somptueuses, de chevaux au port altier et fier, des chevaliers en armure, des mets somptueux et une nourriture vari et riche.

Certes, juaurais pu voir tout ceci eennes au ch,au, mais tant de chevaliers rient rentratnignant des fastes du royaume de France, que le ddr et la curiosit meavaient poussm quitter mon royaume de Broc ande.

Je debulais ainsi depuis deux jours sur ces terres, les yeux accrochchhaque courbe, chaque couleur, chaque ruelle, chaque cl, et creion.
Le nez au vent je humais chaque senteur, qumelle soit pestilentielle, ou ddgeant une fragrance envoutante.
Chaque son, mouvement tit mguettyaute

Dans ce flux de nouveautb qui me portait chaque jour siguiser un peu plus mes sens, et je suivais chaque rumeur qui emplissait tavernes et march
Parmi elles, on annonnt la venue deune aange caravane qui ne tarda pas a me mener vers une nouvelle aventureg


_________________
Theophanie
Une soir vogue l'imaginaire, vers ma destin>


Toujours en qul du lieu de la caravane, jlentrais le soir, aprtma journ=de travail dans la taverne des Mille rencontres.
Du monde Sur la plan comptoir se trouvait un tavernier somnolent sur ses chiffres et ses comptes.
Une noiraude assoupie contre l qule du Roux.
Une petiote haute comme trois pommes, avec la queue, qui haranguait la clientl du naturel et de la bonhommie due ion jeune t.
Tous devisaient tangeant leurs cultures, leurs histoires, certains entraient d’autres sortaient.

Selon la gerosittt la bourse de chacun, les chopes sealignaient sur la grande tablm deant les langues, faisant monter les rires.
Et puis au fils de la soir la taverne se vida, ne laissant l uuun ,ange personnage et la gamine.
J eutais l homme, dont la voix avec un fort accent chantant, parlait de son pays. Parfois interpel ar la jeunette il s interrompait, laissant mon imaginaire mettre des images sur ses mots.

Je neavais jamais rencontr e personne comme lui, son teint sit plus burinsue les marins rentrant de mer, ses yeux plus noirs que les mines de Breizh, et sa barbe coiff duune étrange far.
Il it mnapprit-il, le conducteur de la caravane, et mvemporta dans ses contes, dans la rtrie oom it l.apprfnsion puis la crainte duanimaux monstrueux.
Lorsqumil smapprocha de moi sa peau dsgeait une odeur plus forte que l humus de mes fors, mnnges d dces et de senteurs nouvelles nes sens.
Ses vements ne ressemblaient pas ,eux que l on trouve sur nos marchs

Il me demanda la plus belle de mes histoires, celle qui vous laisse bouche bu oreille aux aguets, une grosse pomme en travers de la gorge, le c ur battant et lréheil humide dlation.
La plus belle, avait-il insistt
Je lui promis plus tard s plus tard êts..


Et csest ainsi que naquit ma prrnce dans cette tange caravane ou se msient lxndes, contes, saveurs et mces.
Une rencontre parmi mille et un se,
Une histoire parmi mille et une nuits u

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