Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2, 3, ..., 9, 10, 11   >   >>

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP] Les conséquences de l'engeance

Nerval
Une vie tranquille à Chignin s’était installée. Pas de guerre à l’horizon, pas de mécréants hérétiques non plus, juste une vie simple pour le Sieur Poète entre les joies de l’été et la passion sans borne pour sa petite famille.

Mais comme tout un chacun peut le savoir après le beau temps, les orages cachant les étoiles arrivent. Etrange missive déposée directement au garde par un bien étrange messager en tenue militaire. Etrange missive aux courbes droites, étrange écriture sobre sans fioriture et surtout sans signature.


Citation:
Au soit disant Baron de Chignin,

En le premier jour du mois d’aout, le passé devra se rattraper pour préparer un futur bien moins morne que ce qui est né il y a plus de deux décennies.

Qu’il soit prêt à être mis sur le droit chemin.


Une missive qui rejoignit rapidement un feu de bois mort que les jardiniers avaient préparés. « Encore un de ces fou qui trainent dans le coin ». Quelques mots glissés à l’oreille de son épouse. La missive appartient au passé.

Mais lorsque la nuit prend possession des astres, lorsque les étoiles sont voilées en ce dernier jour du mois de juillet, les pensées remontent. Ce que l’on croyait enfoui au plus profond de sa mémoire apparait comme sans détour. Mille et une hypothèses, mille et une interprétations quant au détour d’une supposition, la présomption ne fait aucun doute. Cette écriture carrée, ce ton arrogant, cette manière de se croire tout permis, une seule personne au monde est capable de faire cela. Une seule…

Un réveil teinté de sueurs froides, un réveil dans la plus sombre des atmosphères, un besoin vital de marcher, de faire quoique ce soit mais surtout ne pas alerter son épouse.


Impossible… pas lui… non surtout pas… que pourrait-il vouloir ici…

Ressasser sans cesse… impossible, elle me l’aurait dit, à moins qu’elle ne sache pas ses intentions… le voile de la nuit ne se déchire pas, le rideau maudit ne cesse de s’accentuer continuant à cacher astre lunaire et étoiles. Posé auprès de son arbre rien ne parvient à percer les lourds nuages qui se rassemblent au-dessus de la demeure.

Une nuit interminable mais toujours les mêmes nuages porteurs de rages dans le ciel que le soleil ne parvient pas à déchirer. Reprendre peu à peu conscience lorsque lentement la rosée du matin le tire de ses cauchemars. Le premier jour du mois est là. Ni une ni deux il se présente à l’entrée de la demeure. Restant la sans un mot malgré les questions du garde, ses yeux observent, ses oreilles écoutent le moindre bruit et son cœur s’emballe quand une petite voix retentit dans la maisonnée.

Le jeune Emeris est la sur le parvis à l’appeler. Dernier coup d’œil, non rien. Non sans se soucier il récupère dans ses bras son fils pour le faire rentrer dans la maison. L’heure pour Emeris est au jeu alors que pour Nerval l’heure est à l’inquiétude. Bataille entre l’amusement de son fils devant ses yeux et l’anxiété qui le tiraille depuis sa fameuse déduction. Bataille perdue d’avance, tout s’envole lorsque le sourire et les rires de l’enfant retentissent dans la pièce. Il s’était trompé, non ça ne pouvait être ce à quoi il avait pensé. Un fou, simplement un fou…


Rien de plus…

Le cheval en bois sur lequel était monté Emeris occupait toutes les pensées de Nerval, plus question de cette maudite missive, plus question de parler de ce dont il redoutait tant. Vitoria n’était surement pour l’instant pas levé il pouvait donc s’occuper de son fils et surtout s’occuper l’esprit.

Toc… Toc… Toc…

Sans se retourner il invita le page à rentrer.

Le Sieur Roderick de Vandimion 1er du nom est la et il a insisté pour monter avec moi.

Les mains qui se crispent sur les bras de son fils avant de l’enlever avec maladresse du cheval en bois. Les mots qui résonnent dans sa caboche. Il avait raison, il était la, c’était bien lui, son pire cauchemar était dans sa demeure. Celui qui l’avait traité de bon à rien, de résidu de fausse couche, celui qui le considérait comme la pire engeance sur terre, celui qui ne s’était même pas déplacé pour son mariage… il était la, sur le parvis de la chambre de jeu des enfants.

Quelques secondes qui parut une éternité. Comment réagir, quoi dire, que faire, hurler et le foutre dehors, l’insulter pour tous le mal qu’il lui avait fait, la colère montait en son for intérieur. Il finit par bouger et se releva lentement. Lui parler avec courtoisie mais avec fermeté voilà ce qu’il avait prévu de faire. Il croisa le regard de son géniteur avant de parler…


Bonjour Père, je suis heureux de vous revoir.

Un simple regard et il était retourné quinze ans auparavant. Comment avait-il pu penser pouvoir tenir tête à l’homme qui était devant lui ?
_________________
--Sieur_de_vandimion
Pays de demeurés… bien digne de lui d’habiter dans ce pays… aller dans son domaine… prévenir… ça le fera réfléchir… comment avait-il pu créer un fils d’une débilité aussi profonde… le jour était venu de lui faire payer… un seul petit fils… hommes de la famille sont bien peu reconnaissant… et en plus le fils de celui qu’il avait banni il y a longtemps… la chance n’était décidément pas du côté du patriarche de la famille Vandimion…

Un avenir tout tracé… carrière militaire… éducation de premier ordre… mais avant tout… le récupérer… souffler de dépits en voyant la ruine nommée Chignin… le pauvre futur héritier des Vandimion partait de bien bas… heureusement il était là… et cette fois hors de question que sa femme se mette en travers… bien trop occupée avec ses amants en ce moment…

Se présenter à l’entrée miteuse de Chignin… des gardes tout aussi pathétique… pour finir avec un page à l’allure d’adolescent attardé qui en plus voulait le laisser dans le hall… on ne fait pas attendre le Sieur de Vandimion ! Et voilà, rien d’étonnant, il jouait avec son fils… comme s’il n’avait rien d’autre à faire que jouer… lui apprendre les armes… la discipline… lui donner une bonne éducation…

Soupirer… vraiment rien à tirer de ce fils indigne… et le voilà en plus à faire son lèche botte… il aura servis qu’a une chose… lui donner un petit fils… à cet âge-là… il peut encore faire son éducation… et même changer son prénom… Emeris… vraiment aucune honte…


Tu as eu ma missive ?

Sans attendre la réponse… lui jeter une bourse remplie d’écus… il pourra ainsi se payer de vrais employés… s’accroupir… tendre les bras vers l’Héritier…

Viens avec moi petit homme, je vais t’offrir tout ce dont tu reves…

Rajoutant avec un dégout contrastant largement avec le sourire qu’il arborait…

Emeris…
Emeris
C'était une de ces journées qui commençait le plus naturellement du monde. J'avais pour habitude de me lever très tôt et souvent j'en profitais pour jouer dans la chambre de jeu du château. Ce jour là, fut pourtant différent des autres. Depuis le parvis j'entendis les pas de mon père qui venait me rejoindre comme toujours. Ma peste de petite soeur, qui bien que jumelle ne me ressemblait que peu, préférait quand à elle dormir jusqu'à ce que mère décide de la réveiller. Nounou prenait toujours grand soin à me préparer pour que je sois fin prêt lorsque père me rejoignait pour jouer. Pourtant lorsque je le vis, je ressentis une atmosphère pesant il semblait préoccupé, mais du haut de mes deux ans comment aurais je pu savoir qu'elle en était la raison. Je l'appelais et lui sourit, bien vite je fus posé sur mon cheval en bois, qui, s'il avait pu avancer, serait épuisé ou mort de fatigue tant j'en faisais. Je rigolais à chaque fois que le balancement me rapprochais du visage de père qui c'était mis à ma hauteur.

Papa, papa....

C'est un tapotement sur la porte qui allait changer le cours de ma vie mais pour l'heure je ne le savais encore. Le page accompagné d'un homme que je n'avais encore jamais vu, prononça un nom que je ne compris pas. Mais la réaction de père me troubla. Je fus enlevé de mon bel étalon et posé au sol, comme si une menace planait sur le château. Je regardais mon cheval s'éloigner puis mon père, j'avais envie de pleurer, pourquoi donc étais-je privé de mon jouet préféré ??? Si ma soeur était une forte tête, j'étais pour ma part un enfant sensible et peu de chose suffisait à réveiller ma fragilité.
Pourtant ce jour là, je ne pleurais point, désorienté par une voix inconnu qui pourtant prononça mon prénom. Des bras se tendis alors vers moi, je restais quelques secondes immobiles regardant père dont le visage ne présageait rien de bon.
J'étais cependant de nature sociable et j'avais tendance à rejoindre assez facilement les bras tendus. Aussi j'avançais lentement vers l'homme sans pour autant quitter mon père des yeux. Car malgré ma nature il suffisait d'un regard de père pour que je reparte d'où je venais.
De ma petite main je fis un bonjour à l'homme, me portant à quelques centimètre de lui, tout mes malheurs furent oublier lorsque je vis l'homme me sourire
.

Bozou

Puis me tournant vers mon père, j'entrepris de faire mon curieux.

Papa, cé ki....
_________________
Jehanne_du_genevois


Dans la chambre de Vitoria .

Dans la chambre avec Vitoria à faire des essayage de tenue car mine de rien mine de crayon ils poussaient vite les deux bout de choux ....

La demoiselle était toute heureuse d'avoir de nouvelles toilettes et babillait gaiement tandis que la nounou lui passait
.Je me levais pour voir ce qui se passait dans la chambre de jeux à coté .Nerval devait être en compagnie d'Emeris car celui ci le cherchait depuis un moment,je l'avais entendu à plusieur reprise l'appeller et maintenant juste des petits gloussement venant de la pièce de jeux .

Emeris estait sur son cheval à bascule tandis que Nerval le regardait.
Soudain on frappa à la porte ,curieuse je m'avançais un peu tout en restant dans l'ombre de l'encadrement de la porte pour voir
.Curieuse mais juste un peu hein ....
Mais un homme entra sans manière sans que le page le presente au lieu d'attendre d'estre introduit et surtout icelieu ...
L'antre des enfants ..
.Déjà un mauvais point pour l'inconnu.Le regard de Nerval devint presque translucide tellement il palit .Mais qui estait cet homme .La question à peine formulé en pensée que Nerval me donna la réponse .
Son père....
Lui .......
En ma demeure s'imposant comme si il estait chez lui .Pour qui se prenait il l'Empereur lui mesme ?

Hum ....
Ses manières me plaisait guère et ce regarde de dédain qu'il posait sur Nerval ,la pièce et la chair de ma chair cela suffit à le detester et me mettre hors de moi mais j'attendais retenant la rage qui grondait et grandissait en mon fort interieur .C'est alors qu'il jetta une bourse pleine d'écus vers Nerval comme si il achetait quelque chose ...
Et se quelque chose c'estait ...
Non impossible ..........
Il s'accroupit et appella avec dédain Emeris comme si son prénom le dégoutait .
J'allais rentrée telle une tornade dans la pièce mesme si ma tenue d'entrainement aux armes n'esatit point digne a ce moment précis je m'en moquais bien .....
Acheté ma chair ,mon sang ,la prunelle de mes yeux .......
.Mais il se croyait ou l'autre Comte ou gueux a cet instant aucune différence pour moi .Mais je du me replier en entendant des petits cris venant de la chambre de Vitoria .
Mais fois ou foie ou foix de Jehanne personne ne prendrais un de ses joyaux quitte à y laisser la vie !



_________________
Vitorria_eva
Maman avait fait faire de nouvelles tenues. Vitorria était toute heureuse et c’est avec un plaisir non dissimulé qu’elle laissait la nounou lui mettre et enlever ses toilettes. Maman regardait et parfois d’un signe de tête ou une grimace qui signifiait que cela n’allait pas et on changeait. Vitorria pensait que sa Mère n’avait pas de gout en matière de robe mais aujourd’hui elle remarquait que c’était tout le contraire. Maman avait su lui choisir les plus jolies robes. Bon il est vrai que la maman n’avait pas trop fait d’effort en matière vestimentaire, elle portait sa tenue d’entrainement. Vitorria l’avait observe de la fenêtre tandis que sa Mère maniait l’épée. Vitorria reconnaissait que sa maman était forte tout en restant une femme très belle. Donc si elle lui imposait une tenue de cavalière la jeune fille ne refuserait pas. Elle voulait être aussi douée pour l’écriture que son Père et aussi coquette que les grandes dames comme la Duchesse Alinoe ou la Reine Azalée que maman connaissait. Pendant qu’on m’essayait des tenues de cavalière comme celle de maman, celle-ci se leva et se dirigea vers la pièce de jeux ou devait être son jumeau Emeris avec Papa. Emeris et Vitorria étaient différents. Elle aimait son frère mais il était trop dans la lune comme Papa mais Vitorria adorait quand même les histoires de son Père.

La jeune fille regardait sa Mère qui se tenait sur le pas de la porte et pensait à ce dont les jumeaux faisaient avec leur Père et rien avec leur Mère. Elle repensa aux quinze jours ou leur Père avait du s’absenter et tous les efforts de leur Mère pour les faire jouer, leur raconter des histoires et eux en retour avaient refusé de voir les poneys qu’elle avait fait venir pour eux. Ils avaient refusé d’apprendre à monter et c’est à cet instant que Vitorria réalisa que sa Mère, sans le montrer, avait été peinée. Mais la l’expression sur son visage ne présageait rien de bon. Son sourire avait disparu, elle avait ce regard de colère comme quand rien n’allait mais elle ne bougeait pas. Vitorria avait cru à une bêtise de son jumeau mais non impossible que cela soit ça car Maman serait déjà auprès de lui. Et jamais avec eux elle avait eu ce regard glacial. Jamais Vitorria ne s’était sentie menacée comme ça même âpres une bêtise ou un caprice. Cela devait être bien plus grave que ça. Elle rejoignit sa Mère et la serra fort dans ses bras pour lui montrer qu’elle était avec elle. Vrai qu’un câlin à une jambe c’est pas l’idéal mais Vitorria s’accrochait la ou elle pouvait pour réconforter Maman. Elle regarda sa Mère et celle-ci lui rendit son regard en souriant tout en la prenant dans ses bras et en lui murmurant Reste bien avec ta nourrice je reviens. Elle sortit en trombe telle une tornade mais sans un bruit et revint tout aussi rapidement épée à la ceinture ainsi que se dagues. Vitorria savait que maintenant rien n’allait aller désormais pour celui qui avait mit sa Mère dans cet état de colère. Vitorria était fière de sa Mère et pour la première fois comprit qu’apprendre les armes servait même à une femme. Une petite phrase lancée dans le silence

Ze vous aime Mère.

_________________
Nerval
Il s’agissait bien de lui. Totalement abasourdi par la scène qui se passait devant ses yeux, Nerval ne vit pas arriver ce que son Père lui lança. La bourse termina sa course par terre. Il restait totalement interdit par ce qu’il vivait à l’heure actuel. Son Père, son propre Père venait lui acheter son fils. Il cauchemardait, non ça ne pouvait être que ça.

Le Père s’agenouillait maintenant pour approcher Emeris. Le Sieur Poète secoua la tête pour remettre ses idées en place. Non il n’était pas dans un cauchemar, il était bel et bien dans la réalité et celle-ci était bien plus insupportable que tout ce qu’il avait pu imaginer.

Qu’un jour il débarque pour lui lancer des railleries, pour le mettre plus bas que terre, cela aurait pu arriver mais qu’il vienne pour prendre son fils pour un motif inconnu faisait peu à peu monter la pression en lui. Le petit garçon malaimé par son géniteur se battait contre l’homme. Bataille perdue d’avance, le petit garçon timide reculait contre la fureur qui s’immisçait dans les pensées de Nerval.

Mais le petit curieux Emeris était de sorti. Il demandait qui était devant lui. Quelques instants pour répondre. Devait-il répondre que c’était celui qui lui avait tant fait de mal et que sa seule venu n’augurait rien de bon ou répondre de la plus simple des façons.


Mon fils voici mon… Père… maintenant viens là il va partir de suite… il n'a pas le temps.

Le poing était serré, il n’avait pas intérêt à approcher son fils. Il récupéra la bourse qui était à ses pieds et la lui tendit. Il fallait qu’il parte de suite, sinon le contrôle allait s’estomper et il ne devait pas.

Père je vous en prie partez maintenant. Emeris a tout ici pour être heureux.

Le regard lancé par Nerval était glacial, la colère contenue mais tout pouvait se lire dans ses yeux. Il arrivait encore à faire preuve de courtoisie mais jusqu’à quand? Pour la première fois de sa vie son sang bouillait et poussait à l'explosion sans retenue. Nerval avait réussi sa vie contrairement à ce que pensait son géniteur et qu’il vienne s’introduire ici pour réclamer son fils était inadmissible. Qui plus est il sous entendait qu'Emeris ne pouvait grandir ici. Pourtant il avait une délicieuse Mere, un environnement sain. Pour qui se prenait-il à la fin il n'avait plus 10 ans!
_________________
Emeris
On aurait pu trouvé enfant plus curieux que moi. Je prenais plaisir à toujours tous vouloir savoir et mon père ce poète était bien souvent le premier concerné par mes nombreuses questions. Cette fois je sentais que ma question n'avait guère trouvé la réception que j'attendais. Je pensais faire plaisir à mon père en faisant preuve d'intérêt pour l'homme qui me tendait les bras. A contrario je le sentais presque obligé de me répondre et sa réponse fut d'ailleurs très claire. Claire pour un adulte, mais pour moi elle n'était qu'une réponse parmi d'autre.

Papa, toi....

Je répétais deux fois cette courte phrase en faisant un grand sourire au monsieur. J'aimais mon père profondément et s'il s'agissait du père de mon père je pensais qu'il fallait que je l'aime tout autant. Je ne le connaissais cependant pas encore aussi de par mon éternelle gentillesse je continuais à m'avancer jusqu'à serrer de ma petite main le doigt de mon grand père. Alors que je tenais ce doigt, le rire figé, mon père me fit signe de reculer. A son intonation je sentis comme un danger sur moi et inconsciemment je reculais de quelques pas en fixant mon grand père.

Papa toi pati, poukoi ?

Et toujours cette curiosité enfantine, je faisais des prouesses en la matière ma soeur préférant jouer avec ses robes que de s'intéressait à ce qui ce passait autour d'elle. J'étais bien trop petit pour comprendre ce qui se tramait, je mourrais d'envie d'aller vers mon grand père, qui semblait fasciné par moi. Mais d'un autre côté la réaction de mon père jeta un froid.
Sans trop comprendre je reculais encore jusqu'à heurter la jambe de mon père de dos. Je pris peur on contact de la jambe de mon père au point de me retourner dos à mon grand père, je m'éloignais alors quelque peu de mon père pour me retrouver à mi distance parfaite entre les deux hommes, face à mon paternel et dos à son propre père.
Je jetais alors un oeil sur mon cheval de bois et je tendis les mains vers lui sans plus me préoccupé des adultes
.

Papa, ceval.
_________________
--Sieur_de_vandimion
Désespérant… le fils était exaspérant pour le patriarche… sa façon de parler… sa manière de se tenir… tout faisait de lui un fils indigne… un haussement de sourcil… lui… partir… pas sans l’enfant… il était venu ici pour récupérer ce qu’il lui était dû et il était hors de question qu’un benêt du genre de Nerval réussisse à le mettre dehors…

Il avait toujours eu tout ce qu’il désirait quitte à utiliser des moyens à la limite de la légalité… peu importe… avec ses titres et ses connaissances… pouvait faire tout ce qu’il désirait… pas un merdeux comme son fils qui allait pouvoir l’en empêcher…

Il regarda le petit au nom immonde… lui souriait et ignora totalement les paroles de Nerval… il attrapa la main du petit et le souleva pour le prendre dans ses bras… il se forçait à parler d’une petite voix gentille à l’intention du petit fiston…


Des chevaux en bois tu en auras autant que tu vois et de toutes les couleurs. Je t’emmène je vais te montrer ça.

Un regard vers le fils indigne… souffler pour ne pas lui vomir déçu tellement la vision de son fils le rendait malade…

Lui je vais en faire un vrai Vandimion, il n'est pas trop tard pas comme toi, et oublies ce nom tu le salis en le portant. Avec moi il aura une vrai demeure, une vrai éducation, une vrai autorité et je vais en faire un homme, pas comme toi résidu de...

Il avait beau eu tenté de retenir ses paroles… l’insulte avait fusé… la fameuse insulte qu’il lui avait dit toute sa vie…

Regarde le taudis que tu habites, regardes ou tu comptes élever mon petit-fils. La mère doit avoir un problème pour accepter de vivre avec toi, tu as trouvé une fille bon marché et te voilà Père et tu n’en n’ai pas capable, tu n’es capable de rien.

Un dernier mot… un regard lancé… avant de s’apaiser en regardant le petit qu’il tenait dans ses bras.

Tu seras heureux avec moi.
Jehanne_du_genevois


Toujours entre deux pièces mais ................

Je regardais mon fils revenir vers son père , mon joyau avait bien sentit que quelque chose n'allait pas .Tout comme Vitoria qui s'accrochait à ma jambe comme par peur de me perdre .

Emeris retournait jouer avec son cheval de bois et Nerval pria fort poliment a son père de partir mais ....
Il attrapa Emeris par le bras et le souleva de terre pour le prendre dans ses bras sans qu'Emeris est le temps de réagir .
Quand au paroles qui suivirent ..........
Déjà la bourse d'écus m'avait mise hors de moi mais là il en était trop .J'entrais dans la pièce une Vitoria un peu étonnée mais droite comme un i comme pour affronter le danger me suivit .

Telle la tornade bien connu de certains j'entrait et fis fasse à cette homme plus qu'arrogant et horripilant .

Comte de mets ton cul là ou comte compteur d'histoires a dormir debout ,je me moque bien de qui vous estes mais vous aller de suite lâcher mon fils .Tout en parlant je prenais Emeris dans mes bras et le déposais derrière moi près de sa soeur .

EMERIS à tout pour estre heureux icelieu .
Une famille aimante .
Un père sachant lui inculquer la meilleure éducation en ce qui concerne les connaissances ce qui n'est point vostre cas vu vostre comportement .
Et quand à la fille bon marché qu'il à épousé elle sera éduquer ses enfants au mamiement des armes et à l'art de savoir monter dignement à cheval et mesme à jouter .
D'ailleur la bonne à rien vous prie de sortir de son domaine et rapidement avant qu'un duel ne soit necessaire pour bouter hors de chez moi vostre gros derrière puant!

Et je me demande aussi comme le parrain d'Emeris le seigneur Roderick de Vandimion prendrait vostre intrusion comme un vil brigand en mon castel ?


J'attendais de voir la réaction de l'homme .J'éttouffais de colère et de rage mais me retenais de l'embrocher maintenant la devant les enfants ... Cela ne serait pas un bon exemple à leur montrer .
Quoi qu'il en estait jamais au grand jamais cette espèce de fou emmenerait un de mes enfants pour l'éduquer comme un pantin qui dirait amen à tout ce qu'il pourrait dire et demander .

_________________
Vitorria_eva
Oublié les tenues à essayer.Il y avait un soucis et un gros .Maman était rudement en colère et Vitoria se cramponnait à sa jambe la peur au ventre regardant le monsieur inconnu prendre de force son frère dans ses bras .Elle aimait pas ça ,on touchait pas à son jumeau ainsi même si ils étaient très différent c'était son frère et personne ne lui prenait ainsi .Sauf quand ils leur arrivaient mais très rarement de faire une bêtise.
Vitoria suivit sa mère qui entra en trombe dans la pièce de jeux .
Elle était drolement en colère ,vitoria resta derrière elle et vit son frère retirer des bras du sale bonhomme et la rejoindre derrière leur mère .Elle regarda Emeris pour voir si il allait bien .Mine de rien même si ils se disputaient car rien ne les rapprochait elle avait peur pour lui car cet homme voulait l'emmener loin d'elle ca elle l'avait pas de suite comprit mais après les paroles dure et legerement violente de sa mère elle avait comprit que l'homme enleverait son frère .

Vitoria frissonna rien que de penser qu'elle pourrait ne plus voir son frère ,elle se rapprocha de lui et l'embrassa en lui murmurant " Jamais ce méchant monsieur te penda ze te potegerait ".
Sa mère avait finit de parler à l'homme alors Vitoria entra en action .
Elle se dirigea vers lui tête haute le regarda avec un sourire d'ange et lui décocha un coup de pied dans le tibia en lui tirant la langue et en lui hurlant .


Va t en mésant bonhomme !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

_________________
--Sieur_de_vandimion
Il s’apprêtait à partir avec son du... lorsqu'une folle fit son apparition... surement celle qui avait eu le mauvais gout de nommer son futur héritier "Emeris"... elle osait lui parler sans demander l'autorisation... soufflant de dépits devant un si petit savoir vivre... il ne fallait rien en attendre... la femme à l'indigne de fils...

Le patriarche laissait la folle récupérer, pour le moment, le fils... une femme grande gueule... il ne réagissait nullement... cela ne faisait que confirmer les paroles qu'il avait pu dire quelques instants auparavant... et elle osait lui demander de partir...

D'un calme olympien même lorsque une mioche vint lui donner un coup de pied... et elle parle de bonne éducation... un ton ironique... pour lui renvoyer dans ses dents ce qu'il pense de tout cela...


Dame bon marché aux langages des plus imagés, effectivement il a une famille parfaite pour vivre. Constatez vous même, une demeure délabrée perdu dans le fin fond du monde connu, des serviteurs à l'image des propriétaires... pathétique, quand à la soit disant famille me voila devant une belle brochette :

Un abruti,
Une folle furieuse,
Une merdeuse qui plus tard vendra son corps pour deux écus.

Alors tentez de faire preuve d'un minimum d'intelligence en donnant un chance à votre fils que vous ne reverrez plus bien entendu, il ne faut pas que le méprisable déteigne sur celui qui héritera de ce que j'ai fait de ma vie.


Un regard envers le fils...

Viens avec moi maintenant.

Puis sans nullement se départir s'adressant à la folle...

Quand à vous prenez ce qu'il y a dans la bourse cela vous permettra d'avoir de quoi vous payer des vêtements décents ainsi vous n'aurez plus l'air d'une fille de joie.
Nerval
Comment se sortir de la? Il insiste plus que de raison. Déjà des le départ il avait tort mais la c’est plus fort que tout. La soupape de sécurité allait lâcher, tout ce que sa Mère lui avait appris à faire face à une personne exécrable s’écroulait. Le poing serré, tremblant, un sentiment d’oppression depuis longtemps oublié culbutait son âme. Emeris était la, il ne fallait pas, il lui fallait rester poli. Qui plus est maintenant qu’il avait osé poser sur sales pates sur son fils. Ses mots avaient une odeur nauséabonde et il en plus de s’en prendre à lui il osait parler de son épouse. De son épouse ! Ca en était trop, il allait ouvrir la bouche pour déverser sa haine sans aucune courtoisie sur ce personnage qui ose ainsi insulter ses enfants et son épouse lorsque celle-ci fit son apparition telle une tornade. D’où sortait-elle? Par ou était-elle passée pour arriver pile au moment ou il ne fallait pas.

Elle devait avoir tout entendu car ce n’était pas la douce et tendre Jehanne qui était mais la tornade de Chignin. Il ne fallait pas toucher à un cheveu de ses enfants. Elle déversait elle-même ce que Nerval mourrait d’envie de lui balancer à la figure. Elle reprit dans un geste autoritaire Emeris et le posa derrière elle. Ainsi impossible pour le patriarche d’arriver à son enfant. Elle n’avait pas à avoir de la retenue, l’homme en face d’elle était un total inconnu alors que pour lui, malgré l’oubli qu’il avait tenté de mettre en place, il s’agissait du Père qui l’avait tourmenté toute sa jeunesse.

Tout allait si vite, elle l’incendiait comme rarement il l’avait vu le faire. Mais dans ses yeux il lisait de la haine. On ne peut toucher à ses enfants. Mais il fallait que Nerval rajoute quelque chose, il état hors de question que Jehanne ait le mauvais rôle, ce soucis la le concernait lui et non son épouse. Quelques mots et tout retournerait dans le bon ordre. Il partirait et reviendrait jamais. Du moins ce que pensais le Sieur Poète.

Il se trompait, son Père n’avait nullement l’intention de s’en aller et s’en prenait toujours plus fort à son épouse. Il la connaissait elle ne tarderait pas à lui faire subir la loi de son épée en guise d’affront mais il ne fallait pas, il devait s’en charger lui-même.


Que… Quoi ?

Il s’interposa entre les deux alors que son Père débitait ses inepties. Il avait osé en plus de le mettre plus bas que terre toucher à son épouse et à sa fille. Le calme n’était qu’apparent, il n’e pouvait plus, la gorge serrée, les mains tremblantes, il fixait pour la première fois de sa vie son géniteur dans les yeux. Il avait traité sa femme de fille de joie, sa fille de futur prostitué. Il était pris d’une rage jamais vu chez lui. Il paraissait pourtant fort calme et les tremblements de ses mains reflétaient ce qu’il se passait en lui. Jehanne l’aurait surement embroché mais pas lui.

Aucuns mots n’arrivaient à sortir de sa bouche, il était en fureur mais avait peur de ce qu’il ressentait. Cette émotion étant tellement inconnue pour lui qu’il n’osait la lâcher sur son Père aussi impitoyable fut-il. Il se devait régler ça maintenant et de suite. Que lui dire pour qu’il comprenne, quels mots à utiliser pour lui faire comprendre qu’on ne touche pas à un cheveu de sa famille.

La bouche qui s’entrouvre, il lui était impossible de retenir tout ça mais aucun mot ne sortait. Quand soudain un mouvement d’épaule mettant fin à ses tremblements vint lancer son bras, sans qu’il s’en aperçoive réellement le poing serré vint percuter le visage de son Père le faisant reculer contre le mur. Pour la première fois de sa vie il était pris d’une fureur que personne n’aurait pu imaginer. Un léger mal se fit ressentir au niveau de sa main lui qui a l’habitude de traiter avec délicatesse une plume, frapper un visage avec force était pour lui une chose complètement nouvelle. La voix était changée, le ton dur, ce n’était plus le Sieur Poète qui se tenait devant son Père.


Alors écoute moi bien, si tu recommences ne serait-ce qu’une fois à dire un mot sur mon épouse ou mes enfants, je te retrouve et t’éventre pour te pendre avec tes trippes. T’as compris ?

Les bras tremblaient de nouveau, il avait craqué comme jamais. Il avait osé mettre son poing dans la figure de son Père, celui qu’l n’avait encore jusqu'à maintenant jamais contredit ni jamais regardé dans les yeux.

Pars… Pars ou je te tue pour avoir touché à mon épouse et à mes enfants… Pars…

Les yeux rouges de colère, le ton agressif, il oubliait que ses enfants étaient la derrière lui mais ça en était trop. Il arrivait peine à retenir son corps qui désirait châtier ce vil personnage qui était devant lui.
_________________
--Sieur_de_vandimion
Une réaction de la part de l'autre la... étrange... le soumis qui ose parler... le patriarche le toisait... il allait s'approcher de la fille facile... impossible... Il venait de se mettre entre les deux... aucune envie de le voir plus longtemps... il était venu uniquement pour le fils... pas pour lui... sa vision de l'avoir proche de lui lui donnait envie de vomir...

Sourire provocateur... aucun charisme... vraiment... un fils indigne... et...

...

Un mal au visage... pour la première fois... un coup... de la part de la déchéance... se tenir la joue... le patriarche ne comprenait qu'à moitié ce qu'il venait de lui arriver... mais la douleur était bien présente... ce n'était plus son imbécile de fils en face... mais quelqu'un totalement différent... qu'il se soit fait frapper par la fille de joie aurait été logique... mais pas par ce truc qui se prétend son fils...

Et maintenant il criait sa colère... le Père marmonnait... cela n'allait pas se passer ainsi... Le Sieur de Vandimion releva le visage lentement... un sourire provocateur... le ton était calme...


Tu as osé toucher à ton Père? Soit... je me retire pour l'instant. Je te laisse avec tes trainées mais sache que tu viens de faire une énorme erreur, tu vas le payer et je te ferais tout perdre.

Le calme de ses paroles contrastait avec la méchanceté qu'il éprouvait pour ce truc en face de lui... un regard vers elle Emeris... puis un de dégoût en regardant le reste de la famille... il allait les faire souffrir... ils regretteraient de s’être opposé à lui...

Fièrement... il se retourna... et descendit les escaliers pour retourner dans son coche... sa vengeance il allait l'avoir... et très bientôt... ils s'en mordraient les doigts... et en mourraient avec un peu de chance...
Jehanne_du_genevois


Quand la colère monte d'un cran ...................

De quel droit cet homme osait il me traiter ainsi .
Fut il le père de mon époux il n'avait aucun droit sur nostre famille . Le castel de Chignin délabré il s'était pas regardé depuis des lustre le vieux .
Quand à confondre une tenue de cavalière avec une tenue de fille de joie le pauvre homme devait pas beaucoup sortir .

Et me traiter de folle furieuse .................

Hum..............

Tornade je veux bien mais jamais encore personne n'avait utilisé ce qualificatif envers moi mais n'importe qu'elle mère ne deviendrait elle pas folle furieuse si on voulait prendre son enfant car soit disant il vit dans une famille d’abrutis ?

En tout cas la main sur la poignée de mon épée je fis reculer les enfants vers la porte donnant dans la chambre ou la nounou qui jusqu'ici n'avait point bougé surement terrassée par la peur ce qui semblait normale dans cette situation .

Le vieux père ou pas père de Nerval allait goûter à ma lame .Ainsi je paraîtrais encore plus folle qu'il ne le pensait.
Rien que de penser à ma lame l'effleurant .........ou le transperçant un sourire se dessina sur mes lèvres .
Moi vivante jamais on ne me prendrais un de mes joyaux .

Mais pas le temps de réagir que mon époux s'interposait.
Voulait il protéger son vieux car il me savait capable de le tuer rien que pour avoir osé insulté et voulut enlever mes enfants .
Mais non au contraire mon époux qui en temps normal était toujours d'un calme extraordinaire se mit dans une colère noire .
Jamais je ne l'avais entendu s'exprimer ainsi avec un tel mépris et colère envers quelqu'un .

Et la je devais halluciner car ....................... son poing atterri sur le visage du vieux.

Biensur s'en suivit des remarques désobligeante envers toute nostre famille , promettant vengeance et partit fier comme un coq mais pour moi il ressemblait plus à un âne si il croyait qu'il pourrait revenir icelieu


_________________
Nerval
Nerval restait la debout devant la porte d’où venait de sortir son géniteur. Toujours le poing serré ressentant encore la douleur de la rencontre avec le visage de son Père. Il avait frappé quelqu’un, lui, le Sieur Poète qui plus est son propre Père.

Il n’osait se tourner vers son épouse qui devait être furieuse de ce qu’il venait de se passer. Lui dont le calme était devenu légendaire avait craqué, certes avec une bonne raison, mais il avait craqué, qui plus est devant son épouse et ses enfants. Il se tourna vers son épouse, mal à l’aise, tout ça était de sa faute, tout ça car il n’avait jamais été comme roderick, un bon fils.

Il allait poser la main droite sur la joue de son épouse mais non. Finalement la main gauche vint effleurer son épouse. Impossible de toucher son épouse avec une main qui avait épousé la violence physique. Il n’osait la regarder dans les yeux.


Mon épouse, excusez moi pour tout cela, tout ceci n’est que de ma faute. Mais je ne laisserais personne toucher à nos enfants et à vous. Excusez-moi.

Sans relever le regard vers elle, il se retourna pour prendre la direction de la porte. Il n’osait la regarder, elle devait le haïr de tout ce qui venait de se passer. Il avait voulu lui enlever ses enfants, il l’avait insulté et lui n’avait trouvé comme réponse pour les défendre que la violence d’un geste aussi inexplicable qu’imprévu pour quelqu’un qui n’avait jusque la jamais usé de violence. Elle devait se dire que son époux avait mal réagit, qu’il aurait du faire autrement.

Il descendit trois par trois les marches de l’escalier, sans regarder derrière lui. La honte d’avoir fait ce geste, la honte que son père ose insulter son épouse, la honte qu’il ose venir dans sa famille récupérer son fils…

Sous son arbre, allongé, mais pas tranquille, se plonger dans le monde des ténèbres, broger, qu’aurait-il du faire, du dire. Son géniteur avait touché à son monde et il n’avait su l’en empêcher. Un sentiment de nullité totale s’immisçait lentement mais surement en son âme. Peut être aurait-il du le tuer, ou lui couper la langue, le jeter de chez lui avant qu’il dénigre son épouse et sa fille.

Un bruit qui surgit, Emeris était descendu jouer dans le jardin vers le grand mur qui les sépare du monde extérieur. Sa fille aussi et derrière la nounou. Un léger sourire triste sur le visage, le Sieur Poète avait réussi à empêcher qu’on lui vole son fils même s’il n’avait pas réagit assez tôt pour arrêter les insultes envers son épouse. Père indigne, surement, époux pathétique, assurément. Là-haut tout le monde devait être indigné par son attitude trop passive. Et son épouse, comment pourra-t-elle ne pas lui en vouloir pour les insultes de son propre Père…

Il avait envie d’être sous terre, sans personne pour le voir, pour ne pas être la honte de sa propre famille, de n’avoir pu mettre en sureté sa famille vis-à-vis de son Père. Crispation lorsque le poing se ferme, une douleur vive… physique, quand à celle intérieure…

_________________
See the RP information <<   1, 2, 3, ..., 9, 10, 11   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)