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[RP] Retour au Pays

Lyron
Château Audisio Orange

Dovi… Dovi un prénom qui revenait à sa jeunesse. Personne ne l’avait appelé comme cela depuis une dizaine d’années. Il avait quitté le cocon familial pour voyager à travers le monde. Issu d’une famille noble cela avait été dur, très dur, sans argent. Il fallait des tripes pour partir à l’assaut du monde seul et il semblerait qu’il en ait eu.

Cette pensée le fit sourire seul devant la porte du domaine où il se trouvait.
De retour de voyage, finalement sa Provence natale avait fini par lui manquer et il avait fait le trajet retour en bateau, à pieds, à cheval, en traineau, en galère, en s’engageant comme mercenaire pour marchands, ou bien pirate pour payer son ticket de traversée.

Des aventures on pouvait dire qu’il en avait vécu plus d’une, des guerres, des voyages, des connaissances et surtout des cultures que chez lui on pouvait qualifier de barbares. Même si pour la plupart elles étaient plus avancées.
C’est donc devant la porte du château d’Orange des Audisio, sa famille qu’il hésitait. Comment allait-on l’accueillir, froidement, à bras ouvert, allait-on le chasser en appelant la garde ? Dans les loques qu’il lui restait, on le prendrait surement pour un traine-patin. Enfin il lui restait sa rapière qui arborait fièrement les armoiries des cerfs au bois d’or.

De toute manière il avait faim ce qui le fit entrer assez rapidement dans le jardin. Il entendit des coups de feu, ce qui l’étonna de son cousin mais pas vraiment de son frère.

Quand, d’un coup un vieux, oui vieux c’est le mot, quoique s’il ne marchait pas on aurait pu le qualifier de fossile.


Hey vous làààà

Quoi papy ?

Que faites-vous ici ? C’est privé, jeune gueux !

Je suis Dovi Audisio, de retour à la maison.
Il commençait déjà a le gaver.

Appelez donc le seigneur de cette terre et vous verrez.

Mais vous allez déguerpir on ne fait pas la manche ici.

SUR MON HONNEUR SI LE SEIGNEUR MON COUSIN NE SE POINTE PAS DANS LA MINUTE, J’OCCIS LE GARDIEN QUI FAIT SUREMENT PARTIE DES FONDATIONS !
Castor22
Mais bon sang, tu ne vas pas te faire prier toute la matinée quand même. Je ne te demande pas de tuer quelqu’un, juste pour une fois d’essayer une arme sur une cible. Rien de dangereux là dedans.

Deux cousins : Un réfléchi – Une brute
Deux cousins : Un n’aime pas les armes, l’autre si
Deux cousins : Un ne veut pas tirer- l’autre veut le forcer
Voila, on ne peut pas mieux résumer le début de la matinée dans le jardin du château d’Orange.


Bon je le reconnais, la bombarde, c’est peut être un peu disproportionné comme solution à notre problème, mais les armes sur la table, tu devrais quand même essayer. Elles pourraient nous être utiles. Regardes cette petite arbalète, par exemple, elle est facile à dissimuler et redoutable. Je vais te montrer.


Adrian se dirigea vers la table, se saisissant de l’arbalète en question avant d’aller se placer devant la cible. Il commença par tendre la corde, chargea un carreau, frimant au passage devant son cousin qui semblait n’en avoir rien à foutre de la démonstration. Tendant le bras en direction de la cible, il pressa la détende, libérant la corde, projetant le carreau qui se planta dans la cible. Certes, un tir aussi lamentable lui aurait valu les moqueries d’Eavan ou dAtchepttas si elles avaient été là, mais heureusement, seul Savié et « le marchand » pouvaient juger de sa piètre performance.

Faisant semblant de rien : Tu vois cousin, une arme fantastique. A ton tour maintenant. Et ne te fais pas prier, le sieur coûte cher, je te rappelle que c’est toi qui paie cette fois-ci.

Il s’approcha de Savié, la rechargeant avant de la lui pousser dans les mains
.

Fais attention, c’est sensible.

Tout à coup, du bruit capta leur attention à l’entrée du jardin.
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Ref1
Sensible, sensible. Sa bourse aussi était sensible...
Et il n'avait pas l'intention de tirer quoi que ce soit ! Même s'il était impressionné par la performence de son cousin.

Le bruit - qui comme ça, sur le vif, lui semblait être une quelconque bête que l'on torturait.
Il sursauta, fît un demi tour complet (un demi tour incomplet c'est un quart de tour complet) puis se crispat.

L'arbalette sensible, suite à la caresse courtoise de l'index du surpris, décida de réagir sans tenir compte de la volonté première de son porteur.
Emballée de par son tempérament, elle laissa filer ce qu'elle considérait être comme l'un de ses membres : le carreau.
Celui-ci, grand épris de liberté, n'en était que plus content d'échaper à sa possessive geôlière et décida de se diriger à l'extrême oposé, vers le clochard.

Le Savié tira un verbal
:
Oh putaing ! ponctué d'un accent (habituellement bien moins prononcé) qui avait tendance à minimiser la gravité de la scène.
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Delta.
[Dans un recoin du jardin, accompagnée.]

Une sieste crapuleuse violemment écourtée par... Qu'est-ce qui l'a réveillée au juste ? La bombarde n'a fait que résonner en son esprit, la réveillant sans qu'elle sache qu'elle en était la cause. Lui a sans doute entendu, souvent, elle dort, il observe. Mais il reste. Elle lui sourit malgré la colère qui l'envahit en entendant brailler dans SON jardin. Qui ose ?

Un doigt sur les lèvres de l'amant, elle se lève, ajustant sa tenue et se dirige vers la source du bruit. L'entrée du jardin. Elle découvre là un Emile dépassé, ivre, sans doute - au moins ferme-t-il les yeux sur les allées et venues de Delta, ne sachant s'il a halluciné ou non - et un fol.

L'homme pue visiblement, la baronne est persuadée que ses vêtements tiendraient seuls s'il les ôtait. Et il gueule qu'il est chez son cousin. Peuh ! Elle le saurait ! La crasse masque si bien les traits du visiteur que les ressemblance Anatidaesques sont invisibles.


Vous êtes ici chez MOI ! Ben tiens, bien sûr, c'est chez elle, avant tout ! Tsss. FICHEZ MOI LE CAMP IMMÉDIAT;..

Sa voix, forte au demeurant, est coupée par le carreau qui lui passe juste devant le nez. Sans même regarder ce qui pourrait avoir été touché, elle se retourne vers le lieu de départ du carreau. À savoir l'arbalète et son tireur.

Son époux. Son époux vient de tenter de la tuer. La dot ne lui a pas suffi, c'est ça... Il voulait l'héritage aussi. En rage, plus encore que lorsqu'elle a été réveillée par les braillements d'un mendiant sans gêne, elle apostrophe son "cher" époux. Mais pas au point de valoir sa vie.


ET APRÈS ? VOUS COMPTIEZ TUER VOTRE FILS ?
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Lyron
Et la c'est le drame. Un carreau qui se dirige vers lui. Ne pensant à rien, laissant ses réflexes aiguisés par les nombreuses guerres qu'il a vues, faites et peut être déclenchées, comme cette fois avec la fille d'un prince...Bref.

Il Plongea là où il put pour atterrir aux pieds de la femme qui lui disait de déguerpir plus loin.

Enfin au moins il était bien chez lui. Tant d’agitation, tant de folie, tant de…de …. Il était de retour a la maison quoi !

Bon maintenant il fallait impressionner la propriétaire des lieux d’après ce qu'elle disait. En se relevant il fit voler sa mèche avec délicatesse et fit apparaitre son sourire ravageur avec le regard qui allait de pair.

Pour se donner du style il dégaina son épée gravée de trois Cerfs aux bois d'or et gueula comme un forcené.


AURI SACRA FAMES AURI SACRA FAMES

Je suis ici chez mon cousin et personne ne me mettra dehors tant que je n’aurais pu lui parler. À moins que cela soit comme ca que l’on accueille les visiteurs qui reviennent de voyage. Je viens pas faire la manche, j’arrive de loin pour lui rendre visite.

Hey Savié où te caches tu Cousin, montre toi ou j’embroche ta garde que tu dois encore très bien rémunérer dans la tradition familial.
Castor22
Adrian était stupéfiait. Première fois que Savié tirait avec une arbalète et le voilà qu’il tente de chopper deux cibles en une fois. Mais quel frimeur ce cousin !

Je reconnais, cousin, que ce tir était bien essayé, quoique je te trouve quand même un peu audacieux sur ce coup là. Mais avec un peu d’entrainement tu devrais bientôt y arriver.

Bon je le reconnais, une personne un peu censée se serait d’abord tracassée pour les éventuelles victimes, mais l’excitation d’avoir assisté au premier tir de son cousin avait pris le dessus.

Et puis, ce n’était pas comme s’il avait tiré sur la Marquise. Ici, au pire, il blessait qui? Un mendiant dont tout le monde se moquait ou sa Belle-cousine qui ne lui demandait pas moins de 2000 écus pour être sa maitresse. Il en était presque à regretter qu’il ne l’ait pas touchée, il aurait ainsi pu négocier une belle réduction. Ben oui, une maitresse amochée, ça vaut bien moins cher !

Alors que la baronne râlait sur son époux, pour ne pas changer, voilà que le bouseux commençait à s’emporter dans un monologue. Se retournant vers Savié


Qu’est-ce qu’il a à hurler notre devise celui-là ? Le pauvre, s’il avait eu peu d’éducation pour la comprendre, il aurait su que cela ne valait pas la peine de venir quémander ici.

Et puis, pourquoi t’appelle-t-il cousin ? Ne me dit pas que c’est censé être un cousin du coté de ta dame ? Si c’est le cas, il faut demander un supplément de dot pour vice caché.

Bon fais le éjecter qu’on puisse continuer nos affaires

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Ref1
Le pauvre coeur de savié n'était toujours pas reparti.

Les yeux écarcillés, la bouche semi ouverte, il avait vu sa tendre, sa douce épouse, venir meugler quelques phrases incompréhensibles. Il avait vu un clodo se jeter sous les jupons de cette même tendre, en meuglant de plus belle.

Adrian prit la parole. Savié ne comprit pas plus.

Il poncuta de nouveau sur son maintenant récurent :
Oh putaing !

Son cousin continua mais cette fois-ci, il le comprit.
Un supplément de dot ? répéta t-il.

Puis, comme marqué par un terme frappant, sa bouche se referma, ses yeux retrouvèrent leur écartement naturel pour se poser son épouse, intérogateurs
.

Ce phénomène serait-il un membre de ta famille ma douce ?
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Delta.
Jehanne regardait l'immonde, la chose qui était à ses pieds et beuglait, encore. Savié ? Son cousin ? Et il hurlait la devise familiale ? Elle plissa les yeux, trouvant quelque ressemblance avec son cousin par alliance, moins avec son mari puisqu'elle ne l'avait guère reluqué... Bref.

Elle se tourna vers l'autre qui lui demandait s'il était de sa famille.


Nous n'avons guère d'autre famille que celle que vous nous connaissez, nous. Nous ne faisons pas dans ce genre de surprise, nous. Or, cet énergumène demande son "cousin". Il semble que nous ne soyons pas dotée de testicules... (à part, pour elle-même, elle ajouta que son époux non plus...)

Donc, oui, de notre famille. Par alliance ! Il jure que vous êtes son cousin, mais pue comme un cul de jatte... Enlevez nous ça d'ici, faites le laver si c'est vrai, rendez le présentable, ensuite, il pourra parler.


Elle le repoussa du pied et s'écarta du tas gueulant et suintant une odeur quasi palpable. Elle s'approcha de son époux, murmurant assez froidement qu'il lui faudrait sans doute une nouvelle tenue pour qu'elle oublie l'affront qu'il venait de lui faire à tenter de la tuer. À moins qu'il préfère qu'elle en parle partout...
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Lyron
Mais je me tue à vous dire que je suis votre cousin DOVI, rentré de voyage. Personne ne se souvient d'un garçon trop maigre et trop grand pour son âge presque chétif qui voulait découvrir le monde ???

Il les regarda discuter, dépité.


Bon je sais que j'ai encore grandi que je suis devenu un bel homme, que j'ai pris du muscle et que je suis la fierté de la famille mais quand même…

Il leur sourit, charmeur, surtout a la femme de son cousin qui n'avait pas bien l'air de l'aimer.
Le Gaillard qui ressemblait à un clodo bomba le torse et attendit le verdict.
Cadeau, incarné par Iskander
On l'avait appelé le "Cadeau". Il n'avait pas vraiment eu de nom depuis.

Il faisait partie de ce qui aurait dû devenir la meute de chasse d'Orange.

Mais, bon, c'était sans compter l'intérêt très modéré du professeur Audisio pour la gens canine, autre que pour ses apprêts anatomiques, qu'il préférait morts, pour plus de commodité.

"Cadeau" n'avait jamais vraiment eu de nom, donc. Adorable petit veautre nourri amoureusement par une cuisinière qui se consolait auprès de lui des assauts ancillaires déçues.

Son maître était chaste.

Et lui était devenu le "toutou à sa maman".

... et avait grandi.

Les câlins et autres marques d'affection étaient devenues de plus en plus rares. Il a mesuré leur raréfaction à l'aune de l'accroissement du poids de ses déjections. Etrange comportement humain. "Cadeau" se demandait s'ils appliquaient la même règle à leur progéniture.

Quoi qu'il en soit, un jour, quand il avait presque la taille d'un jeune veau, gras, la cuisinière trouva un vigoureux portefaix pour l'aider à lui faire quitter sa place de choix devant la rôtissoire, où il avait le plaisir des yeux et du flair, pour l'enchaîner dans un recoin perdu de la demeure d'Orange, là où l'on déverse ce que les gens ne mangent pas et n'ont pas le courage de porter aux cochons.

Négligence terrible pour ce chien abâtardi, veautre, fils de veautre et du frère de sa mère, voué à faire rouler cerfs et sangliers dans la poussière, que de le contenter, à peine, des restes, sans être dressé jamais. Oh, il passait bien un rat de temps à autres. Mais cela ne suffisait point.

Mais la chaîne était rivée à une poutre, qui était devenue délicieuse avec le temps. Ronger sa liberté. On disait que les loups rongeaient leur patte prise pour échapper au piège. Le veautre se sentait bien plus malin que le loup, de ronger, des mois durant, la poutre qui le retenait. Elle avait pris le fumet de sa salive fermentée.

Et la voilà qui cédait quand apparaissait devant lui un être au fumet varié, avarié certes, mais tout en couches et en strates.

Il se pourlécha, grogna un peu, tira ... et la poutre, rongée de mois durant, craqua.

Et le veautre s'élança.
Castor22
Adrian négligeait la scène se passant derrière lui, préférant se concentrer sur les armes présentées sur la table, cherchant le second jouet qu’il ferait essayer à son cousin. Une Hache ? Trop lourd pour lui. Un fléau ? Non, il risquerait de se le prendre en pleine face.

Finalement, au milieu de toutes ces armes, Adrian finit par trouver son bonheur : Un gantelet sur lequel une courte lame avait été fixée dans le prolongement du bras. Il s’empressa de l’enfiler et de fermer le point pour voir ce que cela donnait tout en faisant mine de frapper un adversaire invisible.


Marchand, Savié va te prendre cette arme. Arrange-toi avec lui pour ton dû.

Certes, Adrian savait assurément que cette arme ne serait d’aucune utilité à Savié, mais à partir du moment où c’est lui qui invite un marchant, c’est lui qui paie. Cela semblait tout à fait logique dans son esprit d’Audisio.

Je suis votre cousin Dovi….La fierté de la famille.

A ces mots, Adrian se retourna en direction du mendiant, oubliant d’enlever son nouveau joujou, il avança en direction de l’intrus pour lui faire payer ses paroles.

Mais voila qu’il fut précédé par l’animal dont il avait une sainte horreur : le chien de Savié.

Déjà qu’il n’aimait pas les chiens en règle générale, mais celui-là était le pire. Il ne pensait qu’à manger et se reposer. Si au moins il avait été dressé au combat ou à monter la garde Mais non, juste bon à s’engraisser. Comme si ce n’était pas suffisant d’avoir Delta pour dépenser inutilement les écus de la famille. Il faudrait vraiment que son cousin pense un jour à s’en débarrasser de cette dépense inutile.

Shootant violemment dans la panse du chien pour le faire dégager, il attrapa l’intrus par ce qu’il restait de sa chemise, frôlant au passage le cou de l’homme crasseux avec la lame de sa nouvelle arme.


Pourriture, comment oses-tu de te faire passer pour mon frère? Tu aurais dû mieux te renseigner avant de te faire passer pour lui. Tout le monde sait que la Loutre est morte durant son voyage, il y a de cela 8 ans.

Je vais t’apprendre à souiller le nom de mon frère et de ma famille.

_________________
Cadeau, incarné par Iskander
Et le veautre s'élança ... mollement.

Ronger une poutre, c'est un peu comme s'entraîner au combat en tournant pendant des années autour d'un piquet, à pousser une meule. On croirait que cela ferait de vous un héros barbare, un chien de guerre, un futur roi d'Aquilonie, pas moins.

Peut-être pour les humains. Mais pour la gens canine ...

Le veautre eut mal au ventre et vit le ciel tourner avant de choir, et voir la vilaine bobine du frère de son maître, et ses jambes puissantes.

C'était vraiment un être mauvais, sans aucune notion de civilité. La sieste, le sixième repas, il ne connaissait pas. Et il insistait pour qu'on conduise les restes aux cochons plutôt qu'au "chien", pour une vague question d'utilité dans la chaîne alimentaire.

Cadeau jappa piteusement.

Puis se tint à distance respectable.

Si le frère de son maître tuait sa proie, peut-être en resterait-il quelque chose ?

Il se mit à saliver, abondamment, en les regardant de ses yeux jaunes et gras.
Ref1
Savié ne bougeait plus. Pratiquement tétanisé.

Il haissait les armes, il n'arrêtait pas de le dire !

Il n'arrêtait pas non plus de répéter :

Oh putaing ! voyant se dérouler devant ses yeux la scène la plus improbable qu'il lui ait été donné de vivre.
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Delta.
Bon, reprendre les choses en mains, que le chien ait à manger, ok, mais pas sur sa belle pelouse toute fraichement taillée par les lapins du diner prochain.

Nous savons cher cousin qu'il ne vous sied pas que notre chien vous ressemble à ce point, mais il n'est nulle raison que vous le traitiez ainsi. Sachant qu'il est tout de même notre propriété et que, tenez, dans l'idée, vous vous trouvez sur nos terres.


Un regard sur le clodo au sol qui n'arrêtait pas de fanfaronner, oui, elle lui accorda un regard.

Maintenant, si vous saviez observer, vous verriez quelque ressemblance entre ce chien et cet homme, ou plutôt entre vous deux. L'idéal serait qu'on le jette dans le bassin, mais nous craignons pour nos poissons. Qu'on l'amène dans la cour, le lave et lui rafraichisse la toison.


Elle se tourna vers son époux, qui ne bougeait toujours pas.

Quand vous aurez cessé d'essayer de nous tuer, peut-être pourriez vous vous occuper de votre... invité ?

Regard vers le vendeur. Puis d'un signe à Emile, elle lui signifia que l'ignoble bête devait être rattachée.

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Lyron
Quoi on en voulait à sa coupe de cheveux et son catogan a la japonaise ? Bon d'accord ils étaient détachés et crasseux, mais non, à part le laver, on ne lui couperait pas un cheveu, ou il allait trancher dans le vif... Quoique les privations du voyage de retour l'avaient grandement affaibli.

Mais voila une dame logique, mon cousin. Je vois que tu n'as pas choisi dans le bas peuple, mais depuis quand les femmes donnent des ordres à un chef de famille ?

Bon sur ce je vais me décrasser dans ta demeure, cousin, mais si tu pouvais m'indiquer ou sont tes serviteurs.


À en croire qu'il n'avait presque pas perdu ses habitudes de nobliau.
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