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[RP] les Andelys...les Everlange... la Normandie...

Alizarine


Voilà un temps qu'elle était vicomtesse des Andelys et pourtant la faiseuse de vent qui avait été duchesse à sa suite l'empêcha de profiter vraiment de sa vicomté... maintenant c'était l'été.

Elle avait découvert sa terre: la vicomté d'Andely et sa nouvelle demeure: château Gaillard. C'était magnifique et la seine lui permettait de pouvoir toujours naviguer. Plus au nord se trouvait les terres de la venteuse et à l'est celle du Gisors.
Installé dans le château elle observa la vue de la rivière un sourire aux lèvres et envoya à la "propriétaire" du nord une lettre du genre: Approche de Andelys sans mon autorisation et tu vas tâter de mon ...oui bon elle l'avait mieux formulé que cela mais plus ou moins l'idée était celle ci..

Quand à l'autre duché Gisors... seul l'héraut avait le droit de venir les autres de la famille pouvaient rester dans leur cocon parisien.


Si elle avait choisit cette terre c'était d'un point de vue purement stratégique.Elle était proche de la capitale de la Normandie, permettait de surveiller la Seine et d'accéder en peu de temps à la mer.Elle la matelote, le Dragon Normand comme on la surnommait dans son village n'avait pu se résoudre à prendre une terre sur simple base d'un joli nom!!

Sortant de sa chambre nouvellement aménagé elle partit encore à la découverte du château.. plus tard elle irait au village.Les habitants n'avaient plus eu de "seigneur" depuis un certains temps et il fallait relancé l'économie .

Mais il fallait d'abord pensé à protéger la capitale et le fleuve. Alors parcourant les couloirs de château Gaillard elle repensa à mettre des rangées de pieux dans le lit de la Seine comme l'anglais empêchant ainsi toute descente.

Le Château à proprement parler est est tout en longueur avec une entrée unique protégé par une avancée creusés dans la craie. Bien entendu le point faible était cette forme allongée qui oblige à étirer la défense ; c'est un inconvénient mais il est compensé par la sécurité qu'offre l'escarpement. Sur plusieurs dizaines de mètres, un mur rideau descend jusqu'à la ville fortifiée du Petit Andely.
Elle fit signe à une des personne et lui expliqua qu'il faudrait vérifier les fortifications.

Et puis Lizie continua à marcher vers le donjon.elle commençait à l'aimer ce château il avait des particularités et le donjon en était une. Ce n'était pas de ces donjons carré qui semblait si..impersonnel non celui ci.. le sien était arrondi.
Un des maçons vint lui parler du mur.Elle l'écouta tranquillement se dirigeant au pied du château, le bourg fortifié de la "Couture" selon les anciens. De là, un pont enjambait la Seine et prenait appui sur une île fluviale qui accueillait un petit château polygonal (le château de l'île).

Ce mini château était parfait pour accueillir les invités en toute intimité durant les périodes calmes. Le maçon pérorait et Lizie le regard au loin sourit.

Bientôt ses amis, sa famille et des personnes qui lui étaient cher viendraient dans ce lieu hors du commun de l'histoire de Normandie, histoire justement de faire un petit bout de cette histoire ou bien.. de s'amuser.

Davyxiv


Davy ayant quelques jours de repos eu l'envie de passer un peu de temps chez la Vicomtesse dont elle lui avait longuement parlé de son château .

Davy lors de ces dialogues avec la Vicomtesse Davy lui proposa son aide bien évidemment si quelques travaux été nécessaire au château , tout en espérant qu'il y est des banquets et du calva a volonté tout les soirs .

Davy salua la Vicomtesse a son arrivé et lui dit :

Alizarine vous pouvez compter sur moi si le château à besoins de bras dans n'importe quel domaine !

Puis Davy alla ensuite visité les lieux .
Alizarine


Le maçon fut interrompu brutalement par l'arrivée impromptu d'un agent de la maréchaussée Davyx!
Il était entré surement en disant que la sécurité était en jeu ou n'importe quoi d'autre.. diantre Gaillard était devenu un moulin. Il allait falloir recruter du monde décidément et apprendre un peu les manières à certains.

Davyx non mais vas y fait comme chez toi je t'en prie!! Tant que tu y es rentre dans mes appartements privée que diable!


Atténuant ses paroles d'un sourire elle ajouta

C'est gentil d'être venu mais quelques manières ne seraient pas de trop.


Puis elle le laissa visiter en lui ayant indiqué au préalable qu'elle se trouverait sur le pont reliant l'île au village afin de voir les consolidations à faire.Plus tard il pourrait l'y retrouvait.
Johane


[Honfleur - dans le fournil d'une boulangerie désaffectée]

Depuis leur arrivée à Ventimiglia, le capitaine de ses rêves n'était plus uniquement un rêve, il était "son capitaine", il était l'homme pour qui son coeur battait la chamade, celui qui avait redonné un sens à sa vie. Pour la première fois depuis leur retour de voyage, il était venu vivre pour quelques jours dans sa maisonnette à Honfleur, le rez de chaussé se composant de deux pièces, le fournil et l'échoppe, l'étage abritant une cuisine et une petite chambre attenante.
Ce jour là, ils avaient quitté "La Fée qui trinque", la taverne municipale de Honfleur, où ils avaient évoqué leur vie à venir, voyages, déménagement, mariage... mais aussi l'avenir proche, très proche, la visite prévue chez "Duchessa", l'amie qui s'était jetée dans les bras d'Asti à l'université, en parlant de "cet homme à femmes", le jour de leur retour, ravivant le doute dans la tête de Johane. Depuis ce délicat épisode, Duchessa avait rendu visite à Johane et les deux femmes, après avoir passé un moment agréable ensemble, virent naître une certaine complicité entre elles, Alizarine chargeant Johane de convaincre Asti de ne pas quitter la Normandie.



Pendant que tu cherches sur tes cartes où se trouvent château Gaillard, je vais préparer mes bagages, ainsi nous pourrons partir dès maintenant lança Johane avant de traîner une malle au sol vers le centre de la pièce, afin de pouvoir l'ouvrir et y ranger ses vêtements.

Crois tu qu'il y aura beaucoup de monde là bas ? Combien de tenues me faut il ? Johane, toute excitée à l'idée de cette visite chez Alizarine, posait des questions, tout en montant l'escalier qui menait à l'étage et n'attendit pas les réponses. Elle descendit quelques intants plus tard, les bras chargés de moultes chemises, voiles, houppelandes, chausses et ceintures et continua à le questionner sans tenir compte de ses éventuelles réponses, pour venir à bout de sa tâche Crois tu que ca suffira ? Combien de temps allons nous rester exactement ?

Elle plia ses vêtements et les rangea soigneusement, un à un, dans la malle. Une fois fermée, elle s'assit sur le couvercle et regarda Asti en souriant, l'air victorieux Voila, je suis prête, je t'attends !

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Asti_dict_le_barbu



[Honfleur, chez sa belle]

De diou ! Une tempête, un ouragan que dis je une tornade ! Le Baron faisait le poisson hors de l’eau. A chaque question posée, il ouvrait la bouche pour répondre, mais point le temps de le faire qu’une autre question arrivait ou que son moussaillon était parti trop loin pour une voix posée. Il suivit donc le conseil premier et étudia la carte pour se rendre à l’invitation de la Duchessa. Les routes identifiées, il replia sagement la carte, la rangea en son intérieur de veste et regarde les va et vient incessants.

Il se posa au milieu de la pièce, mains sur les hanches à la regarder, espérant la gêner suffisamment pour qu’elle s’arrête un peu. Oh pas beaucoup, mais le temps d’un baiser et d’une réponse, mais espoir vain. La dame ne s’arrêta que pour dire

Voila, je suis prête, je t'attends !

A part la regarder s’agiter en tous sens, il n’avait rien préparé du tout et n’avait pas vu si ses chemises avaient été des voyages. Avisant la belle assise sur l’énorme malle

Tu as préparé mes tenues aussi ? Tu as pris mon galurin préféré ? et mes braies ? Et puis nous n’y allons pas pour des lustres, a peine quelques jours, en espérant qu’on aura une couche confortable. Ah, et mon mantel, et ma tenue de monte.. si par hasard on faisait une chasse.


La dame était diablement belle assise là tout sourire et il aurait volontiers occupé le temps présent à autre chose, mais elle semblait en tous points ravie de partir voir Alizarine.

Dis moi, je ne vous savais pas amies toutes les deux, du moins pas au point de ton contentement affiché.

Alizarine


[ Aux Andelys]

Un nuage.... les yeux ouverts allongés sur sa couche rudimentaire mais agréable Alizarine regardait le plafond.Le seul nuage était celui ombrant son regard.Il n'était pas venu... elle ne l'avait pas invité de façon formelle mais le devait elle?
Devait elle taper du poing sur la table et mettre une limite? S'ébrouant pour chasser ses idées noires elle entreprit sa toilette.Peut être ferait elle aménager des bains comme à l'ancienne époque à Rouen... Diantre les nobles Normands avaient été choqué et peu c'étaient présenté jugeant le calicot brulant comme un lieu de perversion et de débauche. Elle se surprit à rire toute seule aux souvenirs.
Elle devenait vieille à prendre tant de plaisir dans des souvenirs. Un grognement et elle commença la journée.
La routine n'était pas encore présente de nombreux pigeons volaient au dessus des Andelys: pigeon pour dame Rochane sa cousine pour fournir du pain aux ouvriers, pigeon pour Nerwendile son autre cousine afin de voir si le label Everlange sur la laine pouvait être fait à Andelys sous ses bons soins pigeon pour le travail de déléguée maritime...

Et parfois, perdu dans cette envolée un de ces messagers volants étrangers venaient à son tour déposer du courrier.
Le dernier en date était celui du baron capitaine répondant à son invitation avec sa bien aimée.Ils venaient!!
S'adressant à l'intendant

Que l'on prépare deux.. euh oui disons deux chambres attenantes avec tout le confort qui se doit nous allons avoir des invités!!


Elle allait partir quand elle ajouta

Ah j'oubliais une couche à la cave avec des chaines aussi sera utile


Le regard interloqué l'intendant la regarda partir en se disant que la vicomtesse devenaient un brin tordu . Quand à Lizie elle souriait , le baron resterait en Normandie ... a deux femmes elles allaient bien y arriver que diable!
Johane tenant le coeur du recteur il ne pourrait résister à son moussaillon. A moins qu'il ne se débatte? Voila qui promettait quelques moments amusants entre amis.
Asti_dict_le_barbu


[Faudrait y aller]


La belle avait escamoté son sourire vainqueur affiché sur le haut de sa malle. Manifestement et selon l’expression de son minois, elle avait laissé sur place les affaires de son baron. Qu’à cela ne tienne, d’une petite cabriole, elle expliqua le manque de place tout en remisant suffisamment de ses robes pour placer les quelques frusque du barbu. Et rebelote, elle afficha son sourire fier d’elle.

Diable que la belle était tentante !

Malle chargée sous les ânonnements des deux jeunes Normands que le baron avait interpellé et à qui, une fois le travail fait, il avait glissé quelques menues piécettes, trop peu d’ailleurs à en voir la mine contrariée desdits jeunes.

Johane, es tu prête ? Faudrait y aller là, autrement on arrivera pour la Noel !

Johane


[Sur le départ]

visiblement pas question d'emporter deux malles à l'entendre, alors oui bien sûr, on ne partait pas pour un grand voyage, mais juste pour quelques jours, une seule malle devrait suffire. Régler le problème rapidement en enlevant quelques robes, quelques paires de chausses, les remplacer par les vêtements préférés du baron, la tenue de chasse.... humpf, l'oublier négligemment dans l'armoire. Le galurin bien calé dans un coin, le mantel soigneusement plié et voila le coffre bouclé.

Alzarine et moi, amies... sans doute un peu tôt pour affirmer cela, mais j'avoue avoir apprécié sa compagnie dernièrement et puis je suis curieuse de mieux la connaître ainsi que ses amis.

Tandis qu'il s'occupait de faire charger la malle, Johane ferma les volets et la porte à double tour puis glissa la clef dans un pot de terre cuite, au bas des marches et le regarda prendre les choses en main, le regard plein d'admiration et d'amour.

Johane, es tu prête ? Faudrait y aller là, autrement on arrivera pour la Noel !

Sans se départir de son sourire, répondre à ses taquineries

Je suis prête, je t'attends même, mais dis moi, sais tu qui viendra la bas, je me demande bien si je connaitrai d'autres personnes.

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Asti_dict_le_barbu


Ma foi, il savait pourquoi il aimait la dame, mais s’il avait pu l’oublier sa répartie lui aurait remémoré la chose. Il ne put réprimer un large sourire

Ah oui ? tu m’attends ?

Joignant le geste à la parole, il l’aida à monter sur la carriole que ce brave Arangil allait tirer et lui tendit les rênes.

Alors hop, tout est prêt !

Johane sur son banc, le baron allait monter Danseur quand il se dit qu’il pourrait bien voyager aux cotés de sa belle. Il attacha le vieux cheval derrière la carriole et vint rejoindre Johane à qui il reprit les rennes et d’un geste sur accompagné d’un claquement de langue il donna le départ à la brave bête.

Ils avaient à parler de leur avenir commun. Il voulait quitter la Normandie, et bâtir leur vie ailleurs, sur d’autres terres. Johane était une bénédiction pour lui et il voulait les faire vivre près de la terre qui avait vu naitre son moussaillon. Curieusement, elle semblait ne pas être très volontaire à cette idée, pourtant, ses amis étaient là bas et il avait vu le bonheur qu’elle avait éprouvé à les retrouver pendant leur périple Italien. De même, il voulait en faire son épouse, et s’il lui fallait abandonner ses terres pour cela, il le ferait. L’idée avait déjà fait son chemin dans sa tête et cela ne l’inquiétait pas.

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Nerwendile
[A Dieppe, dans le parc à moutons]

Kiiiiiit, reviens iciiii tout de suiiiiite !!

Pendant qu'elle tenait Kat qui s'ébrouait à faire de même que son compagnon, c'est à dire se faire la belle, Kit était déjà parti près de la clôture séparant le pré des moutons et celui des vaches.

Haaa non, Kat ! Ne fais pas l'imbécile, faut que j'te tonde, sinon, tu vas avoir trop chaud.

Mais trop tard, Kat réussit tant bien que mal à s'échapper des mains de la bergère, et partit caracoler avec son compagnon.

Grrr ! C'est pas aujourd'hui que je filerai la laine Label Everlange. Qu'est ce qu'ils sont têtus ces deux-là !

Elle rentra à la bergerie pour prendre un peu de réconfort. Et elle trouva sur la table, outre un verre de calva qu'elle s'empressa de remplir, mais également une lettre. Elle ouvrit celle-ci et découvrit le message de sa cousine la vicomtesse des Andelys.

Waaaaw...j'suis invitée ...et mes moutons aussi ! Chouette !

Elle réfléchit deux secondes et demi.

Les moutons aussi...hum...pas possible...déjà qu'ils me font des misères ici...comment j'vais réussir à les amener là-bas ? Et puis, je ne sais même pas comment est l'herbe sur ces terres.

Elle relut la lettre.

Un nouveau label Andelys...en plus de l'Everlange. Mhh...pourquoi pas...mais va falloir négocier les prix avec la cousine. Elle fournit les terres, et moi les bons soins des moutons. Va falloir faire du 50-50. Voire même du 30-70. Parce que les allers-retour Andelys-Dieppe, c'est bon 2,3 fois mais il faudra bien que je m'occupe de ceux qui resteront à Dieppe.

Pour le voyage, elle pensa à y aller avec Rochane. Mais sachant que Pitt était dans les parages, elle était sûre d'avoir droit à des mamours tout le long du chemin, et Nerwendile ne voulait pas tenir la chandelle.

Mais c'était quand meme sa soeur, donc fallait bien aller lui demander.

Rochaaaaane !

Elle alla à sa boulangerie.

Diiis, tu veux v'nir avec moi chez le Dragon ?
Jason_maccord
MacCord avait reçu un courrier de Lizie et il arrivait finalement à château Gaillard. Tout en observant le batiment, MacCord se disait que la place forte portait bien son nom.

Et dire qu’un dragon l’habite maintenant…

MacCord sourit. Il se rapprocha de l’entrée.

Ohé de Gaillard ! Quelqu’un pour prévenir le Drag… euh dame Alizarine de l’arrivée du seigneur de Crevecoeur?

Un peu grandiloquente comme annonce mais clair au moins. Et avec un peu de chance, le guet de Gaillard serait un peu plus futé que celui de Lillebonne…
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Rochane
[Dieppe - Dans la petite boulangerie Rochanienne]

Une voix stridente bien connue se fit entendre dans la boulangerie de Rochane. Elle sourit. Sa soeur sortait enfin de son hibernation. Celà faisait du bien de revoir les visages Everlangeresques dans la petite ville qui avait été désertée par les "anciens".

Citation:
Rochaaaaane !
Diiis, tu veux v'nir avec moi chez le Dragon ?


Elle aperçut le visage de la bergère depuis le fournil. C'est que depuis son retour à Dieppe, Rochane passait deux fois plus de temps dans sa boulangerie. D'abord, Mabelle se cachait chez les nonnes. Ca pour sûr qu'elle allait l'entendre à son retour! Et puis avec la grossesse, il fallait produire une double ration de pain si elle ne voulait pas dilapider toutes ses économies sur le marché en boustifaille! Elle sortit donc les mains de la pâte, essuya ses petits doigts sur son tablier et alla bisouiller sa soeur.

Bien le bonjour!

Elle la serra fort. Parfois, la grossesse avait cet effet sur elle. De grands élans sentimentaux! C'était mieux que les excès de colères dont Pitt avait été la principale victime!

On va chez Lizie?? C'est loin?? T'as la carte?? Une charrette?? Parce que Deedee dit que je ne dois pas faire de longs parcours à cheval! Et heu... Attends!

En quelques secondes, elle s'était remémoré l'aller et surtout le retour de la Haie du Puy, quand son propriètaire était alors mourant. Que d'épreuves les avaient attendues sur les routes! La brune réfléchit. En levant un doigt en l'air elle énuméra tout ce qu'il leur fallait!

Il nous faut des victuailles!!! Du pain! Du Calva! Des galettes! Des fruits! Heuuu... Ah! De la viande séchée! Les herbes pour ma decoction! OOhh!! Une carte!! Et... Une roue de secours!!

Tu penses à autre chose?


Soudain, elle repensa à ce que Nerwen lui avait dit concernant les moutons et le label Everlange. Elle écarquilla les yeux en roue de charrette.

On n'emmene pas les moutons avec nous au moins??
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--Nonne




[le guet de Gaillard]

Point de garde n'avait convenu à la vicomtesse mais Thérese de Batignolle soeur de son diocèse avait retenu l'attention et concouru pour le poste.Il faut dire qu'elle et la vicomtesse avait une vision de la religion très peu protocolaire, même qu'il paraitrait que le Dragon était un peu phookaiste sur les bords.

Allongé sur son lit de camp en croix pour faire bonne mesure la nonne entendit un cavalier en bas hurlait tel un loup , le pauvre allait en péter une durite se dit elle.Son nom d'ailleurs laisser penser à l'accomplissement de ce funeste présage.Se penchant légèrement pour voir la tête du bonhomme elle leva un sourcil et de sa voix fort peu féminine mais oh combien pratique pour le poste de garde elle le rudoya en guise de réponse.

Seigneur de la tachycardie calmez votre poul bientôt vous deviendrez celui de l'emphyseme a ce rythme la.


Puis elle fit prévenir la vicomtesse que le seigneur au problème de coeur venait la voir..y'en avait des drôles dans ce bas monde


[Modo Ald'
Retrait du HRP et de l'image dont la taille est hors normes. Merci de relire les Règles d'Or.
Bon jeu.]
Jason_maccord
Seigneur de la tachycardie calmez votre poul bientôt vous deviendrez celui de l'emphyseme a ce rythme la.

De la tachycardie? MacCord ignorait si Gurdu à Lillebonne était issue d’une famille nombreuse mais l’individu en nonne qui lui repondit aurait put etre sa sœur. Ou Gurdu lui-même, deguisé et changeant de maitre.
Quoique non. Le vocabulaire était trop elaboré pour Gurdu. Faut déjà bien etre limité pour demandé aux personnes se presentant à Lillebonne s’ils sont du gratin, fallait pas s’attendre à connaitre des termes comme tachycardie.
Toutefois, MacCord s’interrogeait sur les critères que les seigneurs normands attendaient chez leurs guetteurs. Certes, ils ne risquaient pas de trahir, trop betes pour ça. Mais on pouvait quand même les choisir un peu plus convenables quant à l’etiquette.
Apparement, son arrivée allait etre signalée. Mais dans quels termes? MacCord verifia dans sa besace qu’il lui restait une flasque d’encre au cas où il devrait ecrire un pli au Dragon pour clarifier les explications de la nonne de garde et attendit que la herse s’ouvre… ou pas.

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