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[RP/IG] Errance, Eros, Errare ....

Errance.
* Errance, amours, erreurs....
Topic en forme de carnet de route de ma gueuse voyageuse.... moments de vie glanés au fil des routes - sorte de fil d'arianne entre autres Rp en halle ou gargote- ouvert à n'importe qui la croise... ou veut la croiser....



Lac de Laval

(Ou l’art d’avaler et de digérer une couleuvre)


Beltaine était revenue à l’endroit où quelques jours auparavant la conteuse l’avait surprise, ses frusques encore humides d’un bain solitaire désagréablement froid, mais si bénéfique à son marasme…
Surprise par sa lente, silencieuse arrivée, et sa main se joignant sans un mot à la sienne…
Surprise surtout par le si terne voile ternissant d’une égale façon leurs regards….
Surprise encore plus quand sa bouche s’ouvrit enfin par cette phrase, celle là même qui s’était imposée à elle et qu’elle croyait avoir seule à dire, à digérer…."Belt ? Il ne n’aime plus je crois…."

Alors ainsi, la belle et douce Theo, pourtant sa future première femme, le prince égyptien l’avait donc délaissée, abandonnée, à quelques lieux de leurs noces, seule, sur les routes….pour « affaires » ?….elle aussi… ?

Toute à ses pensées, assisse en tailleur sur cette pierre surplombant le lac assombri par la grisaille du jour, ses eaux plus sombres, insondables inquiétantes que jamais, Belt défaisait une à une les savantes nattes huilées que l’eunuque Hépi avait mis tant de temps et d’art à faire pour mater sa rebelle tignasse

"Belles affaires" ayant pris tout leur sens quand la veille au soir elle avait vu entrer en taverne, une donzelle dont elle aurait put être sœur tant la ressemblance marqua tous ceux présents, si ce n’est que sœur elle ne pouvait l’être, ayant trop parfaitement même âge…
Et ce double étrange, était….à la recherche de « L’étranger »….

Sa masse rouquine enfin libre, y passer une main vive…
Les nattes en avaient encore amplifié l’indiscipliné volume…
Doigts s’y perdent, s’y accrochent, s’y agacent, dérivent à son visage, se plaquent de son front à ses joues, à son cou …
Pause immobile, regard rivé au sol….

Les « affaires « du prince…..
Moue acide, sur émeraudes brillantes à nouveau d’un éclat farouche.
Pas de servals ou autre étrange animal, pourtant à ses dires attendus, non, pas de nouveaux épices enivrants….. si ce n’est celui … de nouvelles potentielles futures épouses….
Voilà les « marchandises » qui l’avait fait les délaisser…. Dont une…en copie parfaite d’elle….

Elle avait douté, s’était perdue en de sombres expectatives, mais la vue de Louise, fut comme un soulagement….
Elle n’était rien, ne comptait en rien et le Sayid avait trouvé là, malgré lui, l’argument implacable pour faire la faire renaître enfin…à elle-même….Le Prince, nostalgique de son lointain harem sans doute, mais sachant parfaitement adopter le local marital langage d’Aristote, avait déjà trouvé celle qui la ferait, interchangeable, au gré de ses envies de rouquine…..elle en avoir presque envie de le remercier de lui avoir ainsi ouvert les yeux…

D’un brin de corde, attacher ses cheveux lourds sur sa nuque
Se relever, se maintenir aux même branches pour ne pas glisser sur la berge, et plonger sa main dans la vase argileuse…
La faire jouer entre ses doigts, les en maculer, avant d’en caresser sa tête, d’en dessiner d’une pulpe légère quelques grises traînées sur son visage, ses bras, ses pieds, si propres, trop propres depuis peu….

Il n’y avait eu ni cris, ni hurlements, nul combat, nul bruit de fer s’entrechoquant
Il n’y avait eu ni innommable douleur lui déchirant le flanc, ni sang, ni souffles aimés découverts éteints à jamais
Mais pour la deuxième fois de sa courte vie…..Belt venait de perdre une famille…
Ou plutôt non ….
Son leurre….

Une leurre
….
Et elle avait
Ce jour
...
Le choix


Revenir sur la mousse, soulever son corsage, pour mieux resserrer le bandage qui lui permettait de cacher les «dangereuses» formes pour celle qui va seule sur les chemins….habitude « vitale » retrouvée….même si ses deux œufs au plat mériteraient pas franchement d’en faire tout un fromage… mais ne pas se montrer trop « fille » valait bien mieux que le statut de pucelle errante….c’est ce qui lui avait jusque là permis de le rester….…..elle n’en doutait pas….
Et le sayid, peut être malgré lui, n’avait fait que lui renforcer sa crainte des hommes, lui qui la voulait femme, lui qui la voulait belle, propre, suavement parfum酅La m ance des d autres r coulait aouveau en ses veinesv.La solitude ltenivrait de son chant rassurantsu.

Main glissant, presque involontairement, lentement du tissu ton ventre, ses cuisses
Souvenir duun trouble jamais ressenti eavanti.
S Pourtant savoir dsinstinct, que ce feu, pour la premil fois ressentit .couverait dormaisitamais
Nouvelle lutte
l.
Se lever, visage fermrimpassible, reposer sur ses rules sa crasseuse plrine et prendre baluchon
e


Quelques sentiers plus loin, apercevoir les voiles blanches tendus du campement du Prince.
Ldre hitation des pas qui finissent par s immobiliser sous un regard avide de graver le moment, da hauteur de son importance .
Importance se r.isant peu Ieu sous la l re brise fleurant doucement les foins, en deil...
un seul...
fra note de couleur dans l. re toile êle.
Une roulotte’éph
le rt ..

L…envobnt du prince avait bien peu dur n comparaison de luamiticui sommeillait l
Paisiblesenfin
Beltaine eit trop loin pour le voirlmais elle savaitBla lanterne rouge dloch
Beltaine eit assez r…use pour y croire mais elle imagina le peintre tes cots

e Au hasard ma Grenade rau hasard .prends soin de toi
e
Et toi aussi aTheoa


Et dbun pas aguerri, repartir, un chur lourd snallhaque mesure de sa marchee
Aller
Filers
Ailleurse
Quelques mots en boussole
Vers le soleil levant
b.

Errance.

Oeest dlntr>ue le triangle des bermudes passe en fait par Saumur et Chinon.



Tracer la route....
Comme pour sr igner au plus vite de cette Bretagne qui lui avait tendu fols espoirs, et l.alliance qu elle ne porterait pas .
Comme pour mettre rapide distance avec d fntuels regrets, humeurs mencoliques ou autres nostalgies qui auraient pu appesantir ses pasa.
Pas libres ..gouveauh.
Seuleq
Dans sa ta du moins
Car deux silhouettes la suivaienta.

D…Craon elle avait r si mbrouiller un couple de voyageurs sur son indispensable prsnce aupr…d eux sur les routesés . nocier sa connaissance des potits chemins surs, le confort duavoir serviteur, un peu crasseuse certes mais maligne, pour pourvoir eur bien ne et sachant de surcrosjouer de la dague si besoinv..
Bref la gueuse avait trouvlmployeursuet ils avaient fait une affaires le seul salaire demandrtant de lgaider bes courriersb..

Celui dola femelle du boiteux aelle s en tit sortie seulee
Le dessin reétanit limpide sur le sens ronner..Enfin une qui avait essayde lui causer avec autre choses que des mots... touchante et appr Lsollicitudeçu qui ne lmavait tout de ms pas emprer de prendre direction inverse luinvitationv.
La flqe, rejoignant une rousse tignasse et le couple d pattes, avait donc t barrême.une autre trace pinversed..pis un mn-melo de chemins partant de chacun .se croisant obligatoirement au hasard de leurs sinueuses courbesv.
Elle comprendraitt..

Mais csest qu'il y avait surtout, aussi, cette lettre ..pleine dbencre celle l ar contre
Et ces deux trois autres avant ..
Parlant du chant enivrant de la solitude, des hasardst.
Theo l' avait jusque l’ider es lire, mais surtout prrnt sa main savante ies paroles, aouvoir faire r nsel..
La dernin ldavait surprise au moment m… o e bouclait son baluchon, ne sachant encore vers omder ses pas, son nappaenfin certaineà s..
Elle ne savait encore ce qu Et la voilsonc cmener des i clients e en Touraine.....de ..
Aprcon verrait biend.

Mais il eit grand temps qu ils svacquittent de leur dur
Lettre ils lui avaient lu, relue certes et chaque nouvelle lecture nillant un sourireà…. mais nulle rès nse faite encore..

...

Ils ient en train de faire courte pause sur la route entre Saumur et Chinonujuste le temps pour luimprobable soubrette du moment draller emplir les outres ia rivior.

Et Belt', de se parler en silence, rntant ces phrases qurelle voulait voir fig sur papier, voir s'envoler.....

b Soyez sans inqui des, je vais bien, je vais mieux à l... v Toute la difficultrla tristesse des choix serint une fois faits n... sJpai quittua caravanea. et ma fidées compagne de route aussi e... . Je vais seule ... Je suis en route pour la Touraine n... Vous me parliez de votre ennui cien, jlespr que depuis vous avez trouvuille plus agr le.... ’ Prenez soin de vouse... t Au hasard c... g Moi aussi il y a des choses que je ne m.explique pas e... u Merci pour vos conseils et cette ule que je ne veux alourdir n
....

Mais voiliue, revenant ses bras lourds justement sous les clapotis...
Ne plus retrouver Ses Voyageurs e

HOL, r
Les gens !!! zdss os???


Nulle ronse

Ben v'l-ut' chose

Au moins son baluchon kit toujours lyui, postu pied d un arbreL
Prise dLun doute aussi vif que piquant, lner la chargeav>fierr
Lui manquait rien .se maudire quand mp d avoir risquer celar.


WOOOOOOOOO !!!!!!!!
Pn'aise !!!!


Et aprnquelques tours, dsurs, comprendre qu'ils s'en ient allyrebroussant chemin peut se... Elle aurait sans doute du re plus curieuse de leurs chuchotements...
Pour une fois elle ne l'avait >....elle s'en moquait bien de leurs pommes...Elle vers l'Est de toute fau elle irait....
Mais adieu au courrier
Et , sans s'attarder plus, ramassant rageusement baluchon, repartant plus loin, d'un pas plus vif encore, elle leur en voulait, soignant sa rancoeur sous quelques jurons censurd...


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Beltaine dicte "Errance"....
Une main ouverte et un poing ferml
L'une pour connane l'autre pour cogner
Roman.
Doucement portear la monotonie, Roman trimballait ses guees dans cette si ennuyeuse ville de Blois.
Avec le temps , la patience rit devenue une partenaire fid
Un tour au marchespan> v. Mouais , bof .une visite rapide de lreise pour e bien persuadaunil avait rien n foutre ait. la nausjqui accompagne ce genre de visite aussi rapide soit elle et retour au lac pour attendre la nuit et partir, partir, encore partir ma.
Sauf que l , ce voyage avait un but pros et les volatiles disitaires de nouvelles frares rient gages de quelques moments meilleurs, donc Roman, les pieds dans laeau attendait que la lune fasse son apparition, ainsi il irait rejoindre la jolie rousse mystieuse.
Cependant une missive porta un peu plus son attention
Une lecture rapide , une signature odeur de morsure flne, tr belle odeur quoi quvon en dise, et voilnn nouveau projet de voyage.

Roman se rappela dnun coup le conseil qui lui avait donnnon grand- p, Serafim alcoolique notoire, mais dotssun grand esprit dbanalyse.

-"Un jour, mon petit, il faudra que tu apprennes l acrobatie."

Aujourdahui Roman devra apprendre ongler avec les cnements on.. Serafim avait encore raison rand
Errance.

A Loches.... j'pose ma valoche ?


Quelques jours que Beltr perdait ses pas en cette ville.
Non pas qu ils rrnnaient ici mieux qu"ailleurs entre les murs des oites ruelles, non pas que ces derniss y soient moins boueuses, naustondes qulailleurs, non quaelle y ait trouvclaisante faune colorA contraireg.c: it surtout des hommes en armes qucelle y croisaitp..
Et ce n/>it pas franchement ses bestioles prprrd.

Mais ce.it la guerre, enfin encore une, avec ses cliquetis dlarmures, sa tension quasi palpable et luffante dans leairs.
Qui combattait qui exactement et pourquoi, on ne pouvait pas dire que cela passionnait la gueuse, loin de l/.

A part que cesit les arm dmAuvergne venues au renfort de Loches et donc ces soldats lmunelle croisait, sa curiosit.n ce domaine s /it toujours contentudren savoir juste assez pour ne pas se faire aiper au nom dnune cause qui ne serait jamais siennes.
Pas, plus, de famille qerdre, de pillage dont trembler, de territoire, de politique ou autre croyance er rver .
Juste/rester en viep.et poursuivre sa route....

Non, si Belt sLattardait cnest quselle avait enfin trouvsn cette ville, un suffisamment lettraet aimable, pour ltaider nes maudits courriers dont elle nsavait jamais eu cure avant, mais dont elle druvrait, peu ieu, tout lrutilitset cet ange plaisir d'arriver aire voler un peu der dans des entrelacs doencreu.

Un blond, eange, amoureux de sa pioche et des noires profondeurs, un solitaire aussi, >a fa,, fuyant le ciel, ltastre solaire, pour des galeries oe seul pouvait se glisser, loin des autres, loin du mondel.
Un homme qui aurait fait faciles gains jaut de fortune, au sein d une troupe de saltimbanques, comme celle qui avait sienne, il y avait si longtemps maintenant, car u d dmee homme justement... il avait encore la taille dnun enfantt.

Caest lui dt qui l'avait, enfin, aid unndre tette lettre res sfinqui nt de son sort...et t glisser le possible daune rencontre .

Et Roman venait de lui lire, uouveau ..

Alors ce jour, depuis quelques heures de, Belt allait, de taverne en tavernes, de rues, en places, de mines en mines, le pli re vierge encore de toute lecture aa main, cherchant fmilement le p.tit bonhomme.

Mais anheure or ombres commencent luirer, oq couleurs semblent se faire plus intenses encore sous le voile obscur, elle ne ltavait toujours pas trouvs

Il .it attach sa ville, assez pour, sans jamais avoir reula moindre le/ d arme, sans avoir ni armure, ni titre, veiller, arpenter, chaque nuit, les hauts remparts de Lochese.
Leil serait sint, la main sur sa pioche, attendant de risquer sa vie pour une raison fangi eme de Belt mais avec un courage qui ne pouvait qu’hiller son respects.

La lune de, ronde, immense, celle amie des voyageurs, fourbe allild attaques, sr,vait nhorizon.

Belt armbde sa simple dague, se prtnta au poste de garde, regard assuraur jeune silhouette androgyne.

h Moi aussi jsveux dcnd' la ville !L

Et cela suffita.
Les gardes, aveuglur par la semi-obscurit ou par leur soif de viande fraoe aromesse de victoire, laisslnt gravir les marches /elle, qu/ils pensaient peut de celui, obligatoirement destingen cas de combat ée a premiu charrette pour la fosse commune/.

Et Beltaine dlarpenter les hauteurs pierreuses, aoits chemins de ronde a recherche de son scribe du moment .


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Beltaine dicte "Errance"....
Une main ouverte et un poing fermé,
L'une pour connane l'autre pour cogner
Grimoald
[A la tombide la nuit, quelques part sur les remparts de Loches...]


Un peu plus tdle nain avait du se rdgn quitter le confort de la taverne o"avait ses habitudes pour les pierres fraiches et humides des remparts de la citeochoise. Assis, ses courtes pattes pendait dans le vide. Concentroil scrutait l'horizon en esp>nt apercevoir quelques mouvements inquitnts. Mais cette nuit, comme les autres nuits, s'annon t longue et calme. Aussi, le nain blondinet s'abandonna ane de ses petites rengaines. Un loisir auquel il ne s'adonnait qu'en l'absence de toute m humaine susceptible de l' ouppousser la chansonnette.

_"La lili la pésig li lili pam ! pco - histoire, sans doute, de se chauffer les cordes vocales avant d'entamer une de ces chansons entendu, certainement, un soir onpassa , d'un vieux tripot des faubourgs... -

Amis, buvons, mes chers amis buvons
Mais n'y perdons jamais la raison.
A force d'y boire, on perd la moire
On va titubant le soir, umns
Et l'on court les rues raute-moutons.
Amis, buvons...

J'en ai tant bu de ce bon vin nouveau
Qu'il m'a troublm'esprit du cerveau.

[...]

Ah, si jamais je vais dedans les cieux
Je m'y battrai avec le bon Dieu.
A grands coups de lance, tapant sur les anges
Je leur ferai voir que c'est mon devoir
De boire du vin du matin au soir.
Amis, buvons...

Ah, si jamais.."



Quand soudain, des bruits lui parvinrent jusqu'aux oreilles...


"Hey ! Qui va ls"
Errance.

Il n2y avait pas grand foule sur les remparts, et heureusement, car il dit v t pas large le chemin de guo
La flotte comme les hauteurs, mne la mettait jamais c=aise la Belt, se sentait bien que les pieds bien rivasur la terre ferme.

Doigts glissent le long de la muraille comme lnaveugle se rassure daune rampe3 Un petit vent donnant frisson/ Regard surplombant la campagne, obscures for/croqui, fige sous la blafarde lumir, chemins plus clairs" Fascination pour l horizon .

Croiser deux, trois guetteurs>indifferents . trop grandst
Continuern

Pis voilyue "se met yhantonner, l as, plus loin, voix se faisant plus sure, plus forte ,esure des couplets et de ses pas qui lten rapprochait.
Elle allait encore croiser un sac hiande saoule, sur de qu elle niaimait gue les soldats, rnniscences douloureuses, des ivres elle saen mrait encore plus>
La silhouette nit hauteg.
Pneaise mais leest op***** dnnainn
Soupir ravalbn comprenant que lbombre it juchrsur la muraille, rapidement muen large sourire sur claquement de langue satisfait.
C it ls beugler comme un t ea luned. Bah au moins l ennemi invisible de ce drrt des tartares ne douterait pas du moral des troupes en face !

"Hey ! Qui va lt"

Lucifer espj dqiiiivrogne !
Sort donc ton sabre pour tuer le diable !


Et oui, la gueuse connaissait les classiques tavernicoles faut croire... et de se planter motse lui, levant la t , pour une fois, regard frondeur sur mine espine.

Jctaai chercheartout croquedefouille !
Besoin ditou’!!


Belt tira de sa ceinture le parchemin soigneusement plidt le lui brandit sous le nez

T>crois quyavec cette lune, ttpeux y voir assez pour m'raconter ?
Dis ?
Sstaeuuuuhh plaiiiiit
Hein ?
Dis ?


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Beltaine dicte "Errance"....
Une main ouverte et un poing fermr
L'une pour connaee l'autre pour cogner
Grimoald
Le nain ne distinguait qu'une vague silhouette. L'ombre compll les paroles de la chanson. Aussi, le nain crut d'abord qu'une soldate alcoolique venue de l'on ne sait quelle garnison s'en nit venue pousser la chansonnette avec lui. Le blondinet, qui n'aimait gur les inconnus, surtout la nuit, cherchait dl une remarque blessante et plus que d>ac/sancer  ette soldate afin de l'envoydoir ailleurs si jamais il y ait. Mais, en mh temps qu'il parvenait uistinguer la chevelure flamboyante de la femme, il sursauta, tombant _a renverse, en l'entend poursuivre :

_"J>t ai cherch artout croquedefouille ! Besoin d tou/!!"

Couchour la sol, les deux pattes en l'air, il beugla avant ms de songer Le relever :

_"Mazette ! Mais c'est la Rousse !! Qunu'tu fais ll Tu m'as fichu une de ces trouilles ! C'pas une heure eapoter ou se murger en taverne !"

Le nain avait la cervelle encore froide. Il pensait slnt que la rousse s'ennuyait dans les taverne dirte étaette heure et qu'elle s'en iit aller le chercher. Mais en la voyant tirer une parchemin pliie sa ceinture, le souvenir de sa promesse lui revint en t . Il se releva, se dbussi et pris le parchemin.

_"Oui, Oui... Je t'avais promis que je le ferais. M'enfin... c'est vrai qu'on y voit pas grand chose..." dit-il en approchant, puis en ignant la lettre de son visage contract_ar l'effort. "Ouep' ! Pas facile de distinguer les lettres quand on y voit pas plus clair que dans l'derriu d'une vache qu'/a diarrh/.."

Puis, une lueur traversa ses yeux et un large sourire illumina son visage. Le nabot avait eu une id'! Aussi, il s'tia :
"J'ai une idé d!" ... Puisque, au cas oes n'auriez pas suivi, il venait d'avoir une ida Bref !
Il partit au trot vers l'escalier le plus proche et y dJocha son unique torche. Il revint en courant vers la jeune femme et lui chuchota :


_"Si jamais un type se casse la figure dans l'escalier... on dira qu'on fit pas lphein ??"
Puis, il poursuivi, ;airant le v n avec la torche :



"Bonsoir Beltaine,


_"T'appeles pas "Errance" ??? T'es sl'elle est pour toi c'te lettre ? ... Bon, bon... Je poursuis !"





Malgr e peu de temps qui m'est imparti en ce moment, je prends un instant pour vous iire, instant que je prends avec plaisir, parce que j'attendais, je dois l'avouer, de vos nouvelles.


_"Hi Hi... Un n'amoureux, heiiin ???"



Comme vous le savez je suis un solitaire et quelque peu muant,et aujourd'hui encore, j'ai bien du mal romprendre pourquoi vous m'avez touchapeut ie parce que je vous ai consid& d'une autre mania, je ne l'explique pas.


_"Hi Hi... Quru'tu lui as fait ''pauvre homme ?"




Mais il est clair que vous m'intriguez et si tel n'rit pas le cas, je ne serais pas 'atay aujourd'hui mais surement plus loin, quoi qu'il en soit, j'ai mis momentan nt quelques projets de ccpour assouvir ma curiosits

Beltaine, je tiens

_"Hi Hi... J'crois qu'tu lui plait !"



je vais donc vous rejoindre, ainsi nous pourrons faire plus amplement connaissance et satisfaire notre envie de mieux nous connaitre, pour une fois je laisserais une plus grande place /a curiosit je ferais taire ma m ance, et oublierais le seul guide qui m'a conduit jusqu'srint ............ le hasard.

vient

Roman.



_"Euh... bah voilsla lettre est termin .. "

Le nain avait lu la lettre, comme promis. Il regardait la rousse et finit par lui dire :

_"J'crois bien qu''tu lui plait ! 'Fin.. personnellement, j'embrrai jamais tcrire une lettre comme >si j'n'avais pas un peu le buin... hi hi"



courrier publiivec accord du LJD Roman
Errance.

La torche "airait le vrn, vibrante lumi= accrochpaes courbes, ses boucles, jambages, pleins et autres dew caracths si herm0ques pour elle et pourtant llle seule destins.

Debout "ot"e Grimoald, le d"ssant d"une bonne ts, son regard suivait, divaguait sur les lignes alors que ses oreilles elles, suspendues ga voix comme un enfant affamau sein de sa md, assouvissaient enfin avec incroyable ravissement leur apppt.

Au fur et mesure de la lecture, ses yeux se firent plus brillants, sourire qui se dessine, erre, flotte, glisse sur ses lbes pour ne plus les quitter et ses joues de rosir ta mode du nain, sous le c charmante / offertm.

Roman s.git inqui" dielle, vraiment, ause de cet homme queelle avait suivit aveuglement, envo/par les saveurs d/CES>it point comme ce prince, comme bien des messires, elle le savaitl
Leur "lien"
Il parlait de curiosit elle en avait hevendre aussiu
Il parlait de meancelelle en és…it pbie/.
Il parlait de Patayr.il nd,it pas si loind.
Il parlait de la rejoindre
.
Il n y aurait donc pas dleange co,idence cette fois et a joie de le revoir se muit une pointe deapprsnsions
Il allait faire route, pour elle, vers elle ..le m tait elle ? Son ventre noueur palpitant emball ui disait que nonu mais laimpatience d naissaits

Elle avait accueilli les divers commentaires de Grimoald, avec le sourcil froncee celle enquiquin par le vol d»une mouche au milieu de son rm, souhaitant s'y replonger au plus vite

A la fin de la lecture, elle perdit quelques secondes silencieuses le regard riv ur la route du nord, disparaissant sous quelques noires futaies, pour mieux d iler, plus loin, son ruban aval ar les monts s

Puis elle revint eui, regard pallant sur moue faussement outrs

Cnest pu amoureux ! pfuuuuuu !
N'import' quoi toi !!
Jren ai pp jlen veux pttoute fa’ namt
Pis lui c Mais il .it toujours comme rlislave p.
Il oit ben non ? Dommage que jlsais p ire moue


Elle reprit le courrier des mains de Grimoald, le repliant soigneusement avant de le replacer ea ceinture, sa paume sby attardants.
Ses yeux se posent sur les siens, regard reconnaissant rapidement accompagns un bisou lmr et espide sur son front...

En tout cas taes gentil
Vraiment
Merci
l
Mais
heue
dis
n.
Tu peux me montrer comment que use it n J'suis poches a ?
Juste nheinsencore s
efin si tles capable de mssupporter encore un peu en c'te ville!!


Elle rit, un rire heureux et franc avant dée ajouter, rapprochant son visage du sien avec le ton bas dyune conspiratrice

En ange jj tnoffre chopines chaque soir jusqu /quot;son" arrivi
Bon troc ?



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Beltaine dicte "Errance"....
Une main ouverte et un poing fermt
L'une pour connaie l'autre pour cogner
Grimoald
Le nain regardait la rousse avec un petit sourire narquois et se mit lousser comme une petite peste lorsqu'elle se d

_"Hi Hi... J'crois qu'il vient t'enlever sur son beau ch'val blanc ton prince charmant !"


Puis, le bisou sur le front lui fit momentanlnt perdre la parole et rougir comme rougit le nez d'un vieux poivrot un soir d'orage.


_"Tu peux me montrer comment que ssagit b J'suis "oches > ?
Juste dheinlencore é l
fin si t1es capable de mesupporter encore un peu en c'te ville!!"


Bien sqe nain n'allait pas dire "oui" sans rechigner un peu.

_"Ah bah.. euh... pourquoi mais... l'est tard. 'Verra d'main !"

Mais il eut "eine le temps de finir sa phrase que la jeune femme lui murmura presque : "En sange jm t offre chopines chaque soir jusqudéfequot;son" arriv "

Il n'en fallut pas plus pour convaincre le nabot ! Aussitvl s'uia :

_"Un peu qu'c'est un bon troc ! Regarde ! J'vais t'montrer ! C'est simple !"

Il sortit un morceaux de charbon de sa poche - Parce que, ademment, il avait un morceau de charbon dans sa poche ce soir-lm- et tivis sur le sol, en grosse lettre :

Citation:

JE SUIS A LOCHES !



Puis, il d "Voilic'est comme dqu'on fait ! Faut juste l'eire sur un morceau de parchemin et euh... en plus petit"

Avant d'ajouter, un sourire en coin : "J'vais pr>nir l'maire que d'ici une dizaine de mois, y'aura une tripotide petit t:s rousses qui se balladeront dans Loches ! Hi Hi"
Errance.

Beltaine resta comme stup/ite devant les lettres dessin0, elle suivait chaque mouvement du charbon, avec une aigue attention2..Mais les bpetites a remarques du gars qui le tenait, assorties du coup, commen1ent hasgagasser . Et elle avait le mauvais sang facile.

D" il lui parlait de prince>.le sien il avait pas d Et Roman, c="it un peu comme si elle attendait un membre de sa famillel un grand fra, un oncle quelquAun de sur6de bon conseil=.

J'vais prinir l'maire que d'ici une dizaine de mois, y'aura une tripot;de petit t"s rousses qui se balladeront dans Loches ! Hi Hi"

Cette dernil r"exion activa donc spontanrnt et irraessiblement les muscles du bras de la pucelle, son poing venant frapper lourdement l/lule de Grimoald, le sourcil courroucr.

Arr ou jtt estourbe !
Tccomprends vraiment ren ien toi !!!!


Mais quoi alorsy"
Lui expliquer le hasard d une prime lettre pourtant n dtune miised. Et de ces quelques autres aprlDe sa qut depuis de bonnes ds pour les lui dire gupour arriver .aire rensep.
Du hasard qui les fit se rencontrer si briument dans une taverne de Tourss
Il n avait alors pas voulu suivre la caravaneAlors quoiça .lui parler du prince dtEgypte, de ses coutumes .de Theo, de Grenaden.
Cette seule idmde toute fa la laissa muette sous un flot uuffant de souvenirs.

Alors sans un mot, le visage fermnur ses pens , elle ressortit le courrier prnutionneusement remis sa ceinture, le deia, en parcourut les lignes se promettant dans une morsure de lte de savoir uire un jour, et posant lcencre sur la pierre, lissa de sa paume le verso . terre vierge.

Llpapier
On a !


Radoucissant son regard et lui tirant fac eusement la langue en designant le morceau de charbon

Pis limineur a son outil!

Alors, observant suspicieuse la friable anthracite, elle lressaya sur le pavement, un il concentrqur lauuvre de Grimoald, lêteautre sur cette indisciplin main tremblante, hotante tentant dien reproduire l
D olabisme divergenta
Et reltatsa.
Peu concluantsr..


_________________
Beltaine dicte "Errance"....
Une main ouverte et un poing ferm
L'une pour conna e l'autre pour cogner
Grimoald
Le nabot d'humeur guillerette ce soir-le bien dr fois de plus, s'abstenir et tenta aussitee se racheter... a manim.

_"Rh>... J'rigoleuuuuh !!! Hi Hi..."

Le nain r ima aussit"e petit gloussement agadt en simulant une soudaine quinte de toux. M'enfin, la rousse semblait perdue dans ses pensf. Le nain l'observait, assis en tailleur sur la pierre.

La jeune femme s'activa, il la voyait concentrs Penchant la ts pour voir le r"ltat il fut comme... surpris.


_"Euh... vi, c'est... >eu pr comme t.." lui dit-il, la tp pench2 s'en briser la nuque, les yeux gonflset le visage rouge comme champ de bataille qui, dadtnt, n'arrangeait en rien la crobilit"e ce petit mensonge.
Errance.

La lueur de la torche avait beau valser au gr de la brise volant sur les remparts, elle nefrgna pas cette petite teinte cramoisie accompagnant lmavis 9a 7 Peut a ben quaoui, peut s ben qu'non p du nain.
Belt commen Grimoald 2it ainsi, sa peau p sous le noir du charbon en trate r:lateur de ses pensMe

Auparavant concentr appliqus=n oe tendue, elle se releva donc un peu, spasseyant sur ses talons, boulet levlobservant tour lour ses essais, le mod ... dubitative=

Puis sa bouche qui se tord, d6abord moqueuse, vite rieuse
Vivi !! d accord d0accord !!!
J"peux mieux faire !
Sur !


Elle fut tent de lui dire danire da place, oh que oui elle le fut !
Mais =it ce de la fiert=de leenvie de s2y frotter, dry arriver, de commencere.
Peu importe, car c est avec une neuve et farouche volontdueelle se mit buivre, 0'impregner, hoircir un peu plus les lettres tracp par son allimu jour"

Et puisn.
Ce fut le momentt
Pourquoi celui ls....houllentrer dans les medres des pourquoi du comment du cerveau de la rouquine r avis de narrateur, faut mr pas sdy essayer.

Elle attrapa donc la lettre, ltbla terre-vierge devant elle et sans quitter des yeux son dl, elle usa lentement, le charbon sur la pierre...
Chaque face...une ne....
Jusqupee rendre pointu comme une plumea.

Et, avec un incroyable mêt'nge dqapprnnsion et de plaisir, oh oui de plaisr, elle y traale premier mot sans oser mt en relever le trait.
Puisicette lettre en forme de chemine.deux mamelles surmontr d>un point>.un autre chemine
Un gros rond êtr..se fracassant sur un mur
Ai
Lettre difficile simplifier les rondeurs du haut, penser sne feuille pour le bas, tige florale >t .
Re un gros rond une fine luneo.et ce bonhomme qui semble marcherssauf qulil a pas de brasd..

Inspirerbelle tenait le bon bout’presque fini

Une boucle de ruban et
Arf
Plus de place
Tant pis

Papier lit souillule sort en lit jet!

Pas contente dielle, doutant, s auto-navrant, elle prrnta le parchemin au p tit bonhomme

Tà sarriverais ire itour



_________________
Beltaine dicte "Errance"....
Une main ouverte et un poing ferm
L'une pour conna e l'autre pour cogner
Grimoald
Le nabot regardait ce qui devaient oe des lettres et se demandait s'il ne ferait pas mieux de le faire lui-ms. Non pas qu'il n'aimait point la compagnie de la rouquine, mais il risquait fort de se faire taper sur les doigt si on le surprenait apoter sur les remparts au lieu de surveiller l'horizon. Mais bon, comme le bougre n'en cit plus ane engueulade prh il oublia bien vite son devoir et reporta toute son attention sur la jeune femme qui, de toute adence, avait envi de s'y essayer par elle-mi.

Sourire niais... tt penchs. ...>_"Oh... Euh... Oui, t'as raison ! Un dessin vaut mieux qu'un p'tit mot !"



Sourire gentil... sourcil fronc=. puis la face plus rouge que jamais ! Oui, il comprenait que la rouquine n'pit pas entrain de dessiner mais qu'elle essayait souveau de recopier les mots griffonner sur la pierre !

Toussotement... sourire gor... Le nabot admirait sans broncher les efforts. Il y eut plusieurs essais, mais le nain regardait ailleurs en attendant le rlltat final.

Lorsqu'il aper

_"Tcarriverais oire &QUOT;>

Le nain scruta le parchemin, silencieux, durant quelques longues secondes. Puis, il d ara :

_"Hum... J'crois qu'ey est ! C'est bon ! S'il est pas trop idiot, ou quasi-aveugle, il devrait comprendre..."
Errance.

Loches toujours.... encore...

(ou l'art de l'attente*)


Le courrier, macul>e son essai au charbon, lisible ou non, avait rit renvoy> lsexp>teur.
Le nain rincaomme il se doit sa bii car il ne restait plus eeltaine qu5.ttendre, un peu, suffisamment, combien elle ne savait, consciente que peut e Roman ne viendrait> jamais Il y a chez les hommes tant d" rts parfois entre leurs mots et leurs actes...
Mais il y avait aussi cette sourde inquirde de routes otnaient position foison de groupes arm3 de fronti1s "ensions, de brigands qui sans aucun doute en profitaienttIl y avait son impatiences
Attente donc .



Ams, tram, gram...
Un soir ...

Il y avait en la taverne, quelques femmes, oh pas de ces dames emp&a dans leurs frous-frous de soie, gloussant comme des dindes au moindre messire qui passe, non loin de ltde celles qui font la route aussi, duret>u regard assortie phpemEt un hommetle visage d6rm2e vilaines cicatrices, la dirche abae de blessures, pupilles vives et froidesr.

Sans oser se laisser aller son habituelle curiosit>ce balafr l ui faisant perdre de sa superbe, respect m>ant, distance prudente de la gueuse, elle en su pourtant rapidement assezn
Pas vraiment des soldats, pas vraiment des mercenaires, trouble d"nition, mais drqui aiment le bruit des fers s entrechoquant, qui ne craignent pas le sang, ni le leur versgt encore moins celui de ceux d
Alors quselle ne fut sa surprise de voir entrer la gouillatte ’, jeune, si jeune Marine, croiscen la caravane d'Ahmes, tenue sur ses genoux, contre qui elle dormit et depuis promue mascotte de cette troupe guerriav
Siinquiqr pour ellee.pour sa viee.
Reprendre un peu de verve...pour la dauragerr.en vainr.pour affronter prudemment celui qu elle pensait ae le chef, le supplier de la proter des combats .
Que pouvait elle faire de plusés,.

Quand Falco - car elle devait ensuite apprendre le nom de lyhomme, un nom, queelle sut imm atement ne pas entendre pour la premi fois, sans plus savoir en quelle ville, en quelle bouche, ni mElle ne but plus une goutte tpartit sans ssattarderé d.
Que pouvait elle faire de pluse.vart préforver sa liberts



Pic et pic et col
Une autre nuit

Elle avait quittlne taverne bruyante mais ra cave vide, pour une sachant remplir chopine et oh bonheur vide dell.pas toujours sociable la gueuse, souvent, bien souvent, ses solitaires pensi suffisaient eon entier bonheuréfien mode autosatisfactionepas de duptions

Mais un hommerpuis une damee
Fallait pas avoir fait longues cdes pour voir que de noblesse ils eientnet pas de la petitelVassal- garde du corps suivant sa e Suzeraine p, e Suzeraine suivant son conn ble de mari, esp nt bien trouver au passage moment pour lui faire h tier, mari suivant la guerren.

Le plus annant avait , leint t qusils lui avaient porti ivre confin…dans leurs si hautes sphts, la vie de Belt nuavait cesser d/>iller leur curiositl et leurs incompr nsions surtoutd
Mais le plus ahurissant uit qu….nt Alen…nais ils avaient bien connu, au moins de sulfureuse r utation, celle qui avait son unique amie et compagne de route, cette catin qui avait officier tant de temps pour la paix des corps en leur ducha.

Ils nmaimaient pas vraiment les filles de joie, surtout la Dame langement e.
ils ne comprenaient de toute fae pas la vie des sans rien, des mal ni.confrontation de mondese

Pourtant la brune Haut, lit ce par simple bonttcharit par re besoin lui proposa une place de domestique en son domaine.
Elle cherchait avant tout cuisinil. Les connaissances de Beltaine cotaourneaux se r…isant faire feu pour cuire intuel petit gibier prit en ses collets, la dame en sembla d e mais lui assura quaelle ne devait hiter enir frapper ia porte de son domaine, qu/elle lui trouverait bien toujours quelque ttes iui donnera.

Beltaine, habitu pffrir au hasard des disettes ses services eui pouvait payer, se dit que ce serait toujours moyen de gagner quelques ss et pourquoi pas de passer un hiver plus au chaud que par monts et par vauxn
Aleniodame Tsampa domaine de MonuarfoDe Mon quoi ddamfinissait par un I aussivle reste du nom s'tit sporurle lendemain . Pas grave avec eelle trouverait bientsi besoin ....



Bour et bour et ratatam...
Plus tard encore

Bonjour Errance
Bés jour la brune
Jdai croisrn homme qui te cherchait
Qui ? lunain ?
Nonnun blond aussi. .mais un grand
Un certain Roman


Comme un truc qui starrqumince c est le palpitant bouche en mode carpe au bord de leasphyxie

Je lui ai demand i il cherchait sa promise
Mais bon sang quoest ce que vous avez tous avec !
Pfffuuuuu
Mais heua
...ahem...
Il a randu quoi ?

Que cinit plus compliqucue cela
.....



Ams, tram, gram....
....
Il it lc
.



*avec cadeau bonus pol de Vian
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Beltaine dicte "Errance"....
Une main ouverte et un poing ferm
L'une pour conna e l'autre pour cogner
Roman.
Comme il en avait pris luhabitude, Roman s lit rtiller du verger, si la ville avait eu un lac, il se serait baignvaurait pris le temps de faire quelques longueurs et ainsi il aurait pu enlever de son corps llodeur encore vive de la transpiration. Alors il prit quelques plantes, alla chercher de l'eau aupr d'une source qui coulait tout pr de sa douche de fortune et sspngea le corps se qui lui laissa une odeur v tale sur la peau.
Tout en se prorant nuitter son campement du moment, il se remora la soir3passovec Errance, les phrases prononc , et il devait bien liavouer scr. son tnnement.

Sur la route du march il relut ses missives, enfin, les mots qu"elle avait dit ln nain, que lui-mg avait retranscrit et qui avait tant " le solitaire quril it. Il y avait vu trop de chose et son imaginaire avait fait le reste, il ne pouvait lui en vouloir, il s>en voulait terriblement /ui- mn. Il fallait croire que le sens de mots en Russe n> Quoi quwil en soit il nt=it pas question d>un quelconque sentiment amoureux, en taverne, la jolie rousse n avait pas vraiment t claire, il lravait aido lc.e, avait dit les mots 8sa place, ses mots qui auraient pu le faire fuir, ses mots que sa fiert="aurait pas accepttans d"autres conditions, avec d>autres personnes, , mais en face de cette presque enfant, il les avait entendu, avait mis de csson honneur et >utait les propos qui avait tant piquer son orgueil ng... putain doorgueil !!

La belle presa donc qul elle cherchait pluten ami , m= si Roman nn utait plus trop tant il eit pendu aux lees de la rousse, ldes qu Il est clair queil ne sentait pas les eces, le dart mauritanien ou un autre deailleurs, il est sne la sueur, de ses pieds marchant dans les cailloux ne pouvait en aucun cas concurrencer ceux drun prince marchant dans sa roulotte, que la senteur de la chopine ne pouvait pas ressembler elle si dccieuse drun th la menthe, il est clair quiil iit tout petit et que la montagne it bien grande pour s ire cette jolie demoiselle aussi jeune soit elle.

Mais cette fois il ne partirait pas, elle cherchait un clan ? Il cherchera ce clan avec elle.
Elle cherchait une oule ? Il lui prira la sienne.
De la famille ? Il ne serait ressembler ne tante mais agira comme seil sit son fr .
Quand elle trouverait enfin son bonheur, il partirait , ferait comme il savait si bien faire, s ripser comme si rien ne cn it pass,.






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