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[RP ouvert] La Guerre est déclarée

Albunea
Du bruit … l’odeur du sang… un souvenir, fugace… un coup… puis d’autres… le fracas de son bouclier qui vole en éclat … les éclairs des fers qui se croisent … une douleur a la main … son épée qui n’est plus a sa main … le gout su sang dans la bouche … elle essuie le sang qui perle au coin de sa lèvre : elle vient de prendre un coup au visage ... les cris … les lueurs qui vacillent … la douleur fulgurante dans le dos … le visage de son agresseur … le monde qui tourne… le néant. Pardon !

Citation:
30-09-2011 04:03 : Votre bouclier a été détruit.
30-09-2011 04:03 : Votre arme a été détruite.
30-09-2011 04:03 : Vous avez frappé Abobo. Ce coup l'a blessé superficiellement.
30-09-2011 04:03 : Sophia51 vous a porté un coup d'épée.
30-09-2011 04:03 : Vous avez été attaqué par l'armée "Venetario vel Nex!" dirigée par Garzimlebo et l'armée "Pennmarc'hed" dirigée par Gnia.


A peine si ce soir elle avait plus compris ce qui lui était arrivé que la veille. Mais on ne peu avoir deux fois de suite la même chance !

Une seule pensée comptait désormais … son fils, son visage poupin devant ses yeux, ses rires à ses oreilles, Sa soeur ... SAshah ... Wido ... elle délire !

Elle aurait donné sa vie pour sauver ce en quoi elle croyait … elle n’était pas loin de l’avoir fait … elle git là la châtaigne …
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Marthe
Marthe avait ceint sa tête d'un grand bandeau blanc , avait mis dans un havresac des herbes et des onguents , et était partie pour bordeaux ou la bataille faisait rage .

Elle arriva ainsi et ne put que constater l'horreur de ce conflit ; elle s'approcha d'un blessé qui gémissait sur le sol , et lui prodigua les premiers soins , avant qu'on ne le transporte dans le campement médical.

Elle allait de l'un a l'autre sans s'occuper à quel camp ils appartenaient , Des plaintes fusaient , des pleurs , une était penchée sur un corps en criant son nom dans un déchirant sanglot , elle se détourna , il n'y avait plus rien à faire pour celui ci , elle écoutait les bruits et vacarme des armes qui s'entrechoquaient, quand un peu plus loin elle entendit quelqu'un parler des Do Urden qu'elle connaissait bien , en éclatant de rire ,Elle tourna la tête et regarda celui qui se permettait de se moquer ainsi des mourants , et le reconnu VALd
décidément il ne pouvait s'empêcher de déverser sa bile sur ces gens

AHh la haine lui allait bien ,tout à fait dans son style
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Uranie
Etrange conflit que celui-là tout de même.
A la lueur du jour, Uranie ne parvenait à y voir plus clair... ou peut-être trop au contraire.

Guerre de liberté, guerre d'honneur, guerre fratricide? Tout cela ferait un titre bien trop présomptueux pour décrire ce qui se passait en réalité.

Une armée portant étendard breton menée par une toulousaine démissionnaire du conseil guyennais, une autre armée de nobles se battant contre leur duc légitime, foulant aux pieds celu-là même par qui leurs titres étaient valables sur leur terre, des angevins dont un ancien régnant, s'amusants à prendre Marmande alors même que le front de Saumur venait d'être enfoncé. Et tout cela sur une terre qui avait signé l'Alliance.
On voyait bien où se portaient leurs motivations; sur eux-mêmes.
on ne pouvait cependant que vanter l'agilité de leurs mouvements de retraits, à défaut de leur stratégie d'attaque. Ah ! Tous ces noms dont pas un ne mourra, que c'est beau ! *



* Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac, acte I, scène 2.

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Zoukk
[Ajoutez un p'tit suisse à la soupe Guyennoise...]

Pendant ce temps aux portes de Bordeaux....

Zoukk Avait bien tenté de passer pendant la nuit , mais il arrivait trop tard, une bataille avait déjà lieu, il ne pouvait plus qu'attendre le petit matin pour ce faufiler .

Les cris, les hurlements le feu......tout lui rappelait les assauts contre Genève, auxquels il avait survécu .

Quand les combats prirent fin, il équipa sa monture Eole de patins en tissus et se grima de charbon de bois pour passer le plus discrètement possible .....

Quel merdier!!! A chaque fois que je viens en visite touristique en Guyenne , je tombe en plein milieu d'une guerre , se dit il à voix basse .......tout ça pour refaire mes couettes......prochaine fois c'est elle qui vient!!

Il y avait pas grand chose à comprendre à cette situation, même si il en avait pas l'intention, il se posait pleins de questions ....Qui suivre, Qui aider ...finalement il ne choisi pas le chemin de la raison, mais celui de l'amitié.....après quelques pigeons échangés son sort était scellé.

Il traversa les lignes des assiégeants sans se faire repérer, malgré le bruit de ses hardes de combat qu'il avait revêtu dans la nuit et malgré une pleine lune qui faisait rutiler son heaume.
Arrivé aux pieds des murailles, il espérait qu'on le laisse parler sans lui envoyer une pluie de projectiles.

D'une voie audible, mais pas trop forte non plus, il interpela les vigies.

Hola de la garde ...... faite savoir au frère Kronembourg, que Zoukk de Génève est ici est ici avec des armes
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Vald
S'adressant à Marthe.

La seule punition pour une telle trahison c'est la mort ! que cela ne vous en déplaise.

D'ailleurs Maylis a subi le même sort.
Sancte


Nous rappelons sur l'heure les Montalbanais égarés sur des chemins pour des raisons obscures.
Lachainep et sa troupe de niaiseux semblent intarissables de bêtise. Amaël tient toujours la cité.
Les opérations de maintien de l'ordre se poursuivent.

S.I.


Des évènements surviennent et nombre de fois on souhaite s'en laver les mains. Mais Iohannes ne le pouvait pas. Dans la profondeur du soir, du haut de la tour d'Albar, il scrutait avec force attention l'horizon sanglant. La main-forte prêtée à l'Ouest était certes conséquente, mais avait considérablement alangui la force Montalbanaise, jusque là impériale à endiguer les imbéciles. Les hiboux avaient dorénavant pris les places vacantes des aigles laissées à l'arrière, soit un bon paquet d'individus pris par leur volonté de ressusciter une Guyenne déjà morte. Quel que fut le résultat de cette guerre civile, un certain nombre de punitions infligées avec balourdise ferait suppurer éternellement la haine entre ceux qui jadis étaient de bons compères. Mais guerre est ainsi faite. Les généraux font la guerre mais qui d'autre que Dieu peut en panser les plaies ?

Seule la liberté des deux religions sera la guérison de cet état, Cairn.
Il n'y a que la liberté pour rompre l'impétuosité de nos divisions. Et nous en sommes fort loin ...
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"La confiance ? Faut voir. C'est pas un article que j'ai souvent en magasin."
Sancte Iohannes Von Frayner
Marthe
Marthe regarda le sieur qui l'interpellait ainsi . Un air de pitié transforma son visage Elle pensa quelle andouille celui là

puis une ride se forma sur son front ces sourcils se relevèrent et elle lui dit

Sieur je ne crois pas que nous nous connaissions pour que vous m'adressiez la parole

Si je vous ai reconnu au son de votre voix nous n'avons jamais été présenté , et n'avons donc pas gardé nos s cochons ensemble

Et la dessus elle se retourna et se pencha vers un blessé , sortant de son sac une pommade qui soulagerait le malheureux
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Zorgl
L'attente fut longue, ponctuée de temps à autre par des bruits de combat , qui se déroulèrent de ca de là des remparts.

Aux alentours de la mairie et sur le chemin de garde qui mène au château , seules quelques silhouettes se profilent encore alors que ciel se fait plus sombre , de par un nuage qui masque la faible clarté lunaire . Les murs des batisses et les pavés des rues se diluent d'un coup dans ce qui s'appelle communément la nuit et qui parfois pour certains vient à se nommer , au détour du destin, l'éternité.

La douceur du climat marin berce peu a peu la Montalbanaise, habitué au climat plus rude des forets .Ses hommes se sont dispersés alentours, certains pour passer le temps bataillant avec les maréchaux qui eux aussi veillent près des lourdes portes de chène.

Alors pour ne pas s'assoupir , elle gagne les hauteurs des remparts , et entreprend une ronde qui durera jusqu'au petit matin.

Du campement des armées ducales elle apercoit les feux , tandis qu'au loin dans la pénombre , des mouvement se font perceptible , elle guette seulement l'ouverture d'une brèche, les ombres furtives qui se faufilent , les lames des poignards qui sortent de leur ceinture , prête à donner l'alerte .

Seuls des brancards et des blessés franchirent les enceintes de la ville , ce jour la.

Zorgl , une missive de sa Grasce.....

Le merci Gaspard.... attend un peu voire si il y réponse à donner.....

Elle lit ...

Il n'y a pire sourd que celui qui ne veux pas entendre ....... Archybald sait fort bien que je ne désire ni lui nuire ni l'aider , mais voilà qu'il s'entête..... Sacré sa Grasce....
Tu ne me croira pas, mais lorsqu'il est arrivé a Montauban , il venai de passer un mois de pénitence pour je ne sais quel expiation , et maintenant à quelques jours de devenir duc, il se fait baptiser.
S'il continue sur ce chemin, l'évéché sera sa prochaine demeure , je lui fait confiance sur ce point.

Se saisit de quoi écrire.

Citation:
Vostre Grasce,

Si ma missive vous est parvenue en temps et heure j'en suis satisfaite, bien que sans doute quelque défaut d'écriture ne vous ai permis d'en comprendre le sens .
Cette encre de mauvaise qualité dont je dispose à sans doute encore du palir au point que la lecture vous en fut rendue difficile.

Comme donc je vous en fait part a nouveau , je n'ai point ambition à rejoindre quelque armée que ce soit , ce pour raison qu'il est dans l'une comme dans l'autre , des gens que je respecte et contre qui je ne souhaite point engager le combat.
Mais mon intention est ferme de rester en défense de Bordeaux, telle que le ban levé me dicte de le faire.

Vous me voyez donc devoir décliner l' invitation que vous me fites de rejoindre l'armée du frère Kronembourg , d'autant que je n'escompte pas, comme vous me le proposer défendre la Guyenne au même titre que n'importe lequel des villageois qui vous accompagnent, pour la raison fort simple que je suis pas n'importe qu'elle villageoise que l'armée paye pour se battre, mais une Dame en levée de Ban , qui défend la capitale sous sa bannière et de ses propres écus .

Je vous fait grasce du couvert du à ma condition , ayant estomac fort fragile et me souvenant du goût fort léger des soupes festive lors des réunions municipales montalbanaises .
Il me semble que leur consistance ferai poids et m'empécherai de garder esprit alerte.

Vous me verrez donc ce soir encore battre le pavé de Bordeaux.
S'il vous est besoin de rapport , j'en ferai un au matin au chef maréchal de la ville.

Soyez assuré Duc, de ma loyauté envers le choix du peuple de Guyenne et de par la même , envers vous.
Vezer lou cinhe , per Meauzac , dos aitans, Deu vos gard.
Respectueusement.

Zorgl d'Adventac, Dame de Meauzac.


Tiens , porte lui cela, et reviens vite me dire.
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Zorgl d' Adventac Dame de Meauzac

Vezer lou cinhe , per Meauzac , dos aitans, Deu vos gard
Cybella
L'amazone faisait sa ronde avec sa section en haut des remparts quand une voix familière la fit s'arrêter net. Se penchant par dessus la rambarde elle vit une masse noire qu'elle eu du mal à reconnaitre.

pig prend la section quelques minutes je vais voir si c'est bien qui je pense à l'entrée!

elle courra en vitesse dans les escaliers, ça lui rappela des souvenirs à Blaye quand elle faisait la même chose et qu'elle le retrouvait en bas.

pourvu que ce soit lui se disait elle

un salue rapide aux gardes en faction puis elle regarda l'homme en face d'elle

Zoukk c'est bien toi??

qu'elle question idiote bon sang, bien sur que s'était lui!!il voulait voir Kro et cette voix elle la connaissait bien. Son coeur battait fort...

gardes laissez le entrer, c'est un ami!!
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Brubrulegueux
Je l'savais, je l'savais maugrée Brubrulegueux en apercevant la fausse blonde sur le chemin de ronde.

Après avoir enfilé des dizaines de marches, il s'approche et sourit :
Alors ma belle toujours sur la défensive ? J'savais pas qu'tu commandais une section. J'suis impressionné tant par ta splendeur que celle de tes forces... formes ... me souviens plus.
Un tit groggygnolet ?
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Baron lès Ballens et sire de Berolles
Cybella
cybella se retourna d'un coup surprise d'entendre une voix derrière elle

ah tiens le léchouilleur de pomme!!!

sourit

heu nan merci je ne bois pas pendant le service, j'aime avoir les idées claires! Mes forces et mes formes restent dangereuses fait attention à toi
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Zorgl
Et la réponse ne se fit pas attendre , expéditive, à l'image de la considération que le Louvelle avait pour la noblesse de Guyenne .
L'argumentaire était à la hauteur de l'enjeu.

Elle sourit.

Courrier censuré by {Lilou}. Reçue un MP du joueur d'Archybald refusant la publication.

Elle salua les maréchaux encore en poste devant l'hotel de ville , fit prévenir messire Ancelin de ce qu'elle allai prendre un peu de repos , et gagna l'auberge ou ils avaient trouvé hospitalité.

Vois tu Gaspard , de la part d'un homme dont la première action après qu'il fut nommé ambassadeur en Périgord , a été de s'y faire promener une armée sous sa bannière , sans en avoir le moins du monde informé sa chancellerie , et risquant de déclencher une guerre pour la nouvelle année , cette attitude ne m'étonne pas.
Tout au plus me décoit t'elle un peu.

Baste , faisons réponse avant que d'aller nous promener au bord du lac.
Une petite partie de pêche serai assez plaisant , avant que de retourner ce soir veiller sur Bordeaux et ses habitants.



Citation:
Cher Duc,

Bien que l'allégeance n'ai pas encore , au vu des circonstance , eu l'occasion d'être donnée , je tiens par la présente, et avant que vous me déchargiez de la gestion des terres de Meauzac, à vous rappeller ceci.

L'aide armée que j'apporte depuis trois jours déja à Bordeaux , en garde de la ville , messire Ancelin pourra vous en témoigner.

Les conseils que je vous donnerai si toutefois vous savez les entendre.

La fidélité dont je fais montre en étant ce jour dans la capitale ,sur votre appel, et non sur mes terres , près desquelles pourtant des événements d'importance se déroulent , Castelsarrazin étant proche de Montauban où j'ai encore d'ailleurs quelques champs .

N'est ce pas là ce qui contitue les devoirs de la noblesse fidélité (obsequium), conseil et aide (consilium) et service armé (auxilium).

Mais si vous pensez que j'ai manqué à ces devoirs de par la liberté que je prend à décider de la facon dont je vais protéger la Guyenne , si vous pensez ces devoirs sont de vous lécher les bottes , Archybald , sachez que je n'ai gout à la boue, soit elle Guyennoise , francoise ou bretonne.

Car de ce qui est la raison première de ce conflit qui s'enbourbe, c'est bien l'honneur de la parole donnée , les respect de ses alliance et des amitiés profondes qui unient les mesmies de Guyenne et des provinces voisines.
Et de la volonté de liberté d'un peuple , bien qu'il ne soit pas toujours conscient du joug qui l'étrangle ainsi que de la grande vacuité dans lequel il est spirituellement laissé.

Je juge que ma place, en tant qu'ancienne chancelière de Guyenne , n'est pas dans cette armée , mais en défense .
Permettez qu'il en soit ainsi , ou bien démettez moi , s'il vous en chante.
La Guyenne sera ainsi débarrassée d'une de ses plus fidèle servante.

Voici ma parole, votre Grasce, entendez la .

Vezer lou cinhe , per Meauzac , dos aitans, Deu vos gard.
Respectueusement.

Zorgl d'Adventac, Dame de Meauzac.


Elle passa buvard sur le velin, posa la plume .

Gaspard, y allons nous, mon ami?

Elle prit soin d'accompagner la lettre de notes prises au cours des deux dernières nuits


Edit pour cacher les liens.
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Zorgl d' Adventac Dame de Meauzac

Vezer lou cinhe , per Meauzac , dos aitans, Deu vos gard
Marie_du_lourdou
Marie, après son retour sur Blaye, suite à la décision de leur chef Garzim, entendit le crieur public

Citation:
Victoire ! Gnia Gnia et Garzim le moche ont détalé comme des lapins !traitres et laches !!


Marie ne put s'empêcher de grommeler.

Mais qu'est ce qu'il croit cet Archynul de ducaillon ? Si nous sommes retourner sur Blaye et Gnia à la Teste c'est que nous avons entendu le cri des Guyennois et par respect pour eux et non pour l'Archycon et ses sbires, nous avons préféré nous retirer. Je suis po mécontente d'avoir fait la peau à sa grognasse de Mélior. Si seulement les Guyennois pouvaient se rendent compte qu'il les manipule. Qu'il ferme les mines pour obliger les guyennois à prendre les armes car il est po fichu de recruter suffisament de soldats. De toute façon, le moche c'est lui l'Archymoche !!

Marie s'en retourna retrouver son Theo qui devait surement l'attendre.
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Marie du Lourdou, Aristotélicienne réformée
"Nul ne commande au nom de Dieu"
Fidèle à mon Theo
--Boule_de_pue
Marie_du_lourdou a écrit:
Qu'il ferme les mines pour obliger les guyennois à prendre les armes car il est po fichu de recruter suffisament de soldats. De toute façon, le moche c'est lui l'Archymoche !!

Ecoutant l'excitée bien lourde ...

Bah revenez tâter de nos épées... pourquoi être parti? on vous attend !

La pustule se mit à rire en écoutant de si basses justifications !
Zorgl
Le silence s'était fait depuis longtemps dans la ville , et l' on pouvait voir au loin les lueurs des feux des camps entourant Bordeaux.

La pénombre des ruelles avoisinant l'hotel de ville fut soudain rompue par l'arrivée d'un groupe portant torches et batons, qui se dirigèrent prestement vers les maréchaux .

Placés en retrait , l'on pu entendre qu' il était question de ce que le marché était presque vide de pains, et que les habitants craignaient que les soldats les mangent jusqu'au dernier .

Ancelin , le chef maréchal, s'employai à les rassurer et Zorgl les regardai commencer à rebrousser chemin lorsque des ombres furtives , par dela le parvis de l'hotel de ville , la fit se retourner prestement.

En silence , elle fit signe aux siens de la suivre , et arrivés à portée interpella vivement le groupe au moment où ils tentaient de briser une fenêtre de la batisse pour y pénétrer.

Hola , approchez donc vous autres , que l'on voit vos visages.... C'est qu'il est fort tard pour faire promenade , et moment mal choisi , car les lames sont de sortie elles aussi.

Quelques coups de rapières fendant l'air suffirent à les persuader....Les ombres repartirent se fondre dans la profondeur de la nuit
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Zorgl d' Adventac Dame de Meauzac

Vezer lou cinhe , per Meauzac , dos aitans, Deu vos gard
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