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[rp] La Maison d'Harlegnan

Rosa


Le Cerf et la Biche, enfin non, la Blonde s'étaient choisi demeure dans l'un des châteaux cossus de leurs Vicomtés. Il était grand mais point trop, richement meublé sans tomber dans l'excessif, il faisait bon y vivre, suffisamment grand pour y accueillir progéniture. Rien d'exceptionnel donc, ah si, pourtant. Le nombre d'armoires dans les appartements de la Vicomtesse, exceptionnellement élevé. Par ailleurs nombre de paysans avaient été recrutés pour l'occasion du déménagement des meubles, malles, coffres en tous genres. Merenwen, la fidèle Dame d'atours de Rosa, ne devait le salut de son mental qu'à l'organisation rigoureuse dont elle avait fait preuve. Pendant trois jours ce ne furent qu'aller-retour incessants, heureusement soutenus par de bons morceaux de viande et de bière.

Rosa pouvait être dure mais n'était pas sans coeur. Elle fit dresser moultes tables sur lesquelles étaient servies de la Blonde qu'elle avait baptisée de son nom de jeune fille.



Pour sûr, elle en tirerait quelque chose de cette bière. D'une prière elle remercia son vieil ami qui avait expérimenté tant de recettes pour finalement aboutir à celle-ci.

Les jours passaient, l'époux à peine la corde passée au cou s'en fut pour une mission pour les Flandres et Pénélope, enfin je veux dire Rosa, passait son temps d'attente comme elle le pouvait. Elle ne faisait guère tapisserie, d'ailleurs il n'y avait guère de blessés à recoudre, mais ses fonctions comtales, d'ambassadrice, de Major, de Lieutenant d'Etat-Major Royal lui suffisaient pour l'occuper une vie entière. Cependant les nuits étaient longues et froides, la demeure un peu vide sans les interventions tornitruantes de son bien-aimé. Heureusement la fidèle Meren lui tenait compagnie.

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Merenwen74
Merenwen avait passé de nombreuses journées à choisir avec la Vicomtesse les différentes tenues qu'elles allaient emmener du Castel des Lys aux différents Vicomtés de sa Dame.
Bien sur en cas de déplacement de nombreuses malles emplies de robes et de froufrous les accompagneraient mais il fallait tout de même que la maîtresse de maison ait quelques tenues dans ses différentes demeures en cas de besoin.

Les robes ne manquaient pas dans la garde robe de Rosa d'Harlegnan, elle était friande de nouvelles tenues et c'était pour le plus grand plaisir de sa Dame d'atours qui n'avait aucun mal à rêver devant de tels joyaux.

Elle avait donc passé de longues journées à nettoyer ranger et organiser la pièce qui lui avait été alloué pour les tenues de sa Dame.
La pièce était maintenant pimpante et cela tombait bien car la Vicomtesse n'allait pas tarder à se lever et il sera plus facile pour Merenwen de trouver la robe adéquate pour cette nouvelle journée.

Merenwen avait longuement observé Rosa depuis son mariage et son bonheur sautait aux yeux mais depuis peu il y avait de l'inquiétude dans son regard, inquiétude pour son époux parti peu de temps après les épousailles. Comme les nuits devaient être froides pour la jeune mariée alors que son coeur ne brûlait que de le retrouver.

Merenwen qui se mélait, il faut bien le dire, de tout lorqu'il s'agissait du bien être de sa Dame mais aussi amie Rosa se mit à réfléchir à une solution pour égayer au moins ses journées autrement que par de la broderie.

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La Cave aux Fées
Rosa
Une forme qui bouge, sous des draps froissés, qui grogne et s'étire, bâille et râle...les cheveux, hier soir bien tressés étaient à présent ébouriffés.
Toute Vicomtesse qu'elle soit, Rosa au réveil...n'était pas impeccablement coiffée, habillée, parfumée... tout ça ce n'est qu'au théâtre qu'on le voit.

Bref, elle se leva, se baigna, et revêtue d'une robe de chambre, appela Merenwen pour LA question cruciale du jour...


Mereeeeenweeeeeen! J'ai besoin de toiiiiiiii!

En attendant que sa fidèle amie la rejoigne... elle se contempla dans le miroir et se trouva belle encore, même si elle ne rajeunissait pas.

D'ailleurs... si son époux la voyait à cet instant... sans nul doute que...enfin...vous voyez quoi...Par ailleurs celui-ci lui manquait beaucoup, sa présence rassurante, son charme séducteur, son sourire légèrement en coin lorsqu'il la regardait... Trêve de rêvasseries, cela ne faisait qu'accentuer son absence.

Qu'allait-elle pouvoir faire aujourd'hui? Après son galop matinal, elle irait compter les noiset.. heu les écus comtaux, compter les vaches cochons et moutons, les PE, les chopes alignées devant elle en taverne. Par Aristote, quelle vie difficile elle menait! Dire qu'avant elle s'épanouissait en moulant la farine à la sueur de son front... Souriant à cette remarque ironique, elle appréciait sans le dissimuler sa vie de rêve. Certes elle ne manquait pas de responsabilités mais elle les préférait à l'inaction...

La porte s'ouvrit...sur une dame d'atours toujours souriante, ou presque, et Rosa lui posa LA question quotidienne:


Que me suggères-tu de porter aujourd'hui?
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Merenwen74
Surprise en pleine réflexion, Merenwen entendit la Vicomtesse l'appeler de l'autre côté du mur, elle devait être prête à revêtir sa tenue du jour.

Elle s'empressa de passer la porte secondaire qui séparait la chambre de la vicomtesse de la garde robe.


Que me suggères-tu de porter aujourd'hui?

Bonjour Rosa, as-tu passé une bonne nuit ? Le temps est maussade et il fait frais, aussi j'ai choisis un robe de laine émeraude bordée d'or qui relèvera ton teint. Elle est fonctionnelle mais élégante. Elle est accompagnée d'une houppelande bordée d'hermine pour que tu n'attrapes pas froid... cela te convient-il ?

Pour que Rosa ait un meilleur aperçu de ce qu'elle lui proposait Merenwen se retourna pour chercher la robe en question et la lui présenta.
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La Cave aux Fées
Rosa
Merenwen entrant, lui proposa aussitôt une parure. Cette fille était une perle! De plus non contente de prendre en compte le temps du jour, c'est comme si elle devinait ses humeurs.

Bonjour Meren, j'ai très bien dormi, merci, et toi? Tu as l'air en forme en tout cas...

Et drapant la robe devant elle afin d'en voir l'effet devant le miroir...

Tu ne pouvais mieux choisir, ma belle, elle est effectivement parfaite pour la journée. Au fait, nous sommes bien seules dans cette grande bâtisse, ne pourrions pas inviter des gens ici? Aurais-tu une idée?
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Merenwen74
Merenwen fut touchée que sa proposition plaise à Rosa, elle n'avait qu'une crainte : faire un jour une erreur. A vrai dire, elle n'avait cette charge que depuis quelques mois et Rosa était la première Dame à lui accorder sa confiance.
Assez confiance pour se fier à son jugement, assez confiance pour la laisser seule avec de telles étoffes.

Lors de ses rares moments de calme Merenwen s'affairait à créer des robes pour elle et parfois pour Rosa. Elle ne voulait pas oublier ce qui avait fait sa renommée à Tournai : ses talents de couturière.

Elle aida la vicomtesse à revêtir les différentes couches qui la protègeraient du froid mordant, les bas tout d'abord puis un jupon et fin la robe émeraude.
Elle se trouvait derrière Rosa, lassant les fils doré qui rendait cette robe un peu moins haustère et lui donnait un charme, lorsque celle-ci lui demanda :
Au fait, nous sommes bien seules dans cette grande bâtisse, ne pourrions pas inviter des gens ici? Aurais-tu une idée?

Que dirais-tu d'organiser un concours destiné aux jeunes femmes, l'issue de celui-ci pourrait être de devenir l'une de tes dames de compagnie, qu'en penses-tu ?
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La Cave aux Fées
Rosa
A la proposition de Merenwen, Rosa réfléchit un moment, puis répondit.

Pourquoi pas, cela pourrait être une bonne idée mais mettons -nous déjà en quête de personnes qui seraient intéressées à me tenir compagnie, nous pourrions mettre une annonce?

Par ailleurs, Rosa tenait une idée intéressante: Tournai avait nombre de jeunes filles célibataires, pourquoi ne pas faire un cercle leur étant destiné avec des conseils pour trouver chaussures à leur pied. Après tout, c'était un sujet qu'elle connaissait bien.... L'idée était à creuser. Sans doute une fois qu'elle aurait quitté le Conseil elle aurait plus de temps.
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Misskanoueg
Miss avait abattue pas mal de travail la veille au soir. Elle avait décidé de s'accorder un peu de temps pour rendre visite à son amie.

C'est alors que dès la matin après avoir embrassée tendrement sa douce enfant, puis son ange, elle alla se préparer et s'en alla en ville afin de vérifier les dossiers en attendes à la mairie et au poste de police, le travail était bien présent, mais il attendrait un peu.

Faisant quelque pas dans les rues de la ville, elle se rendit chez le maréchal ferrant et pris sa DouceFlamme pour galoper jusque la Demeure de Rosa.

Le jour n'était pas complètement levé, quand elle arrive aux portes du Château, il était grand et puissant, majestueux et solide, il donnait l'impression de ne pouvoir être franchis, d'être impénétrable. Posté devant la lourde porte, elle attendis que quelqu'un daigne enfin lui ouvrir.

Un garde en haut sur la coursive lui adressa la parole lui demandant ce qu'elle pouvait bien faire en ce lieu si tôt

Miss le regarde avec amusement, il devait être rare à son avis de voir visiteur à telle heure


Ouvrez moi, Dame d'Harlegnan m'attend, *quoi que pas sure se dit-elle*

La porte s'ouvrit et Miss parcourue au pas les quelques foulées de cheval qui la conduisis dans la cour principale. Elle confias sa jument à un palefrenier qui arriva en courant tout juste vêtu.

Une jeune Damoiselle, s'approcha d'elle, ne regardant point Miss dans les yeux

Elle ne devait pas être âgée de plus de douze ans, mais avait déjà un joli visage et des mains révélant le dur labeur qu'elle effectuait surement chaque jour.


Bonjour Dame, qui dois-je annoncer à ma maitresse, fini t-elle par dire

Miss la regarda amusée et pris son visage entre ses mains

Dit à ta maitresse si elle est levée, que Damoiselle Misskanoueg est présente, mais avant montre moi ou se trouve la cuisine, j'ai faim

La jeune servante partie presque en courant et Miss lui emboita le pas, elle la laissa devant la porte qui menait à la cuisine

Son ventre commençait à gargouiller, dans son empressement à venir Rosa, elle en avait oublié de manger. Elle pris donc un petit morceau de pain et un verre de lait, attendant patiemment que quelqu'un vienne lui annoncer que Rosa était prête à la recevoir

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Rien n'est plus affligeant que la mort du cœur, la mort de l'homme est secondaire
Rosa
Le jour pointait à peine, en ces temps d'hiver où la nuit paraissait s'éterniser, lorsque Rosa fut interrompue en plein rêve par des coups à sa porte.

Mmmmm.... Bertine, laisse-moi dormir, il est trop tôt...

Une tête blonde mit son oreiller sur sa tête afin de retrouver le calme et retourner dans son rêve délicieux, où il était question de Paris, de boutiques, de dentelles, ... et de la douce étreinte de son époux.

Toc, Toc, Toc,

Bertineuh, laissez-moi donc, qu'avez-vous à frapper de si bonne heure? Le château brûle? Mon étalon s'est noyé? Si ce n'est pas le cas, laissez-moi dormir.

La pauvre servante toute rouge d'avoir à prendre la responsabilité de réveiller sa maîtresse, qui était souvent d'humeur un peu... nerveuse le matin, dit d'une voix tremblotante.

Damoiselle Misskanoueg désire vous voir, Maîtresse. Elle vous attend vers la cuisine.

Pour sûr, la nouvelle, fit l'effet d'un choc. Bertine s'en était allée en courant afin d'échapper à d'éventuelles foudres... on n'était jamais trop prudent. Miss, ici, quelle heureuse nouvelle! Quoiqu'à cette heure.. Ce château était toujours si silencieux, trop silencieux, il faudra bientôt y remédier....mMh, cuisine. Un grincement, ou plutôt un "grouikement" sortit du ventre de Rosa. Elle se leva d'un bond et appela d'une voix forte.

Bertiiiiiiiiiine! Revenez immédiatement, je n'ai pas encore fini avec vous! Bertiiiiiiiiiiine! Oû êtes-vous donc passée?

La pauvre fillette ne savait guère à quoi s'attendre, mais Rosa n'était guère fâchée contre elle, elle lui donna quelques instructions tout en commençant à se vêtir:

Dame Merenwen est absente, vous devrez m'aider à lacer ma robe. Et puis vous direz aux marmitons de nous préparer un solide petit déjeuner que nous mangerons dans le petit salon.

Nul n'était besoin de le dire deux fois. Aussitôt dit, aussitôt fait. Rosa fût vêtue rapidement, coiffa ses longs cheveux avec entrain et se fit une simple tresse qu'elle releva en chignon sur la tête. Point besoin de froufrous. D'un pas vif, la Blonde rejoignit le salon et salua Miss, alors que quelques serviteurs encore endormis s'affairaient pour dresser la petite table.

Bonjour Miss, Comment vas-tu? Que me vaut l'honneur de ta visite?
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Rosa
Un chariot plein à craquer de malles...les chevaux exténués...le portail s'ouvre, l'Intendant demande à l'étrange équipage.

Qu'est-ce donc? Oû allez-vous donc?

Le cocher de répondre d'un ton las.

Nous allons à l'Hôtel d'Harlegnan, c'est bien ici non? Ya un tas d'malles à décharger, des robes pour la Vicomtesse. Tout droit de Paris.

L'intendant de devenir pâle comme un linge.

Entrez vite mes braves, nous allons vous aider, en attendant venez vous réconforter près du feu.

Et d'un air entendu et compatissant il ajouta:

Votre voyage a dû être très épuisant...

Le gaillard répond d'un air de dédain en crachant par terre.

Oh que oui, bon sang, les femmes et leurs froufrous, pfffff De quoi ruiner une bonne centaine de travailleurs.

Vous parlez là de ma maîtresse, la Vicomtesse d'Harlegnan, surveillez votre language.

Mais le brave intendant ne put s'empêcher de soupire en levant les yeux au ciel...
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Misskanoueg
Citation:
Bonjour Miss, Comment vas-tu? Que me vaut l'honneur de ta visite?


Bonjour Rosa, je vais très bien et toi, désolée de te faire te lever si tôt en ce matin ou tu aurais pu y faire un bon sommeil, mais il m'en venu que ce matin je n'avais pas grand chose à faire à la mairie et je me suis donc dis que je pouvais te faire un petit coucou avant d'avoir trop de travail.

A ces mots elle se leva et salua Rosa en s'inclinant devant elle.

mais à ma suite il y a charriote qui arrive pleine de malle, j'imagine que cela doit être des nouvelles toilettes pour toi.

Reprenant son morceau de pain afin de le finir, elle n'en quittais point Rosa du regard dans sa toilette de matin, se disant qu'elle avait peut-être abusée en arrivant de si tôt le matin.

Je me demandais si venir faire une balade à cheval avec moi, pouvais te dire, la matinée est agréable, le soleil tout juste levé et nous pourrions ainsi profiter de la forêt pour nous seules

Miss se tenait toujours droite face à son amie, se disant après réflexion que Rosa, devait avoir bien d'autre chose à faire que de venir courir en forêt à dos de cheval
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Rien n'est plus affligeant que la mort du cœur, la mort de l'homme est secondaire
Rosa
Rosa ne put s'empêcher ses yeux de briller lorsqu'elle entendit Miss lui annoncer la nouvelle du chariot de malles. Enfin elles étaient arrivées! Une petite pensée de remord pour ainsi dépenser la fortune de son époux, enfin la sienne aussi, heureusement elle avait de bonnes rentes.

J'attendais ces robes avec impatience, elles viennent de Paris, mais Bertine s'occupera de défaire les malles pendant notre promenade, c'est une excellente idée que tu as eue.

Elle tapa dans les mains et cria.

Bertiiiiiiiiiiiiiiiiiiine! et vous, jeune homme, allez de suite seller mon cheval, vite!

Oui m'dame, bien m'dame la Vicomtesse


Arrivée de Bertine.

Madame désire?

Bertine, vous vous occuperez de mes malles, je cours me changer, nous partons ensuite.



Rosa courut enfiler sa tenue d'amazone et rejoignit Miss qui l'attendait dans la cour avec les deux montures.Enfourchant son étalon elle dit:

Viens, je vais te montrer un endroit, magnifique au lever du jour...
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Misskanoueg
Miss était déjà en selle quand Rosa arriva.

Enfin elles purent partir tranquillement, vers le lieu qu'elle lui avait indiqué un peu plus tôt.

La balade ne fut pas très longue, mais elles avaient traversés des lieux magnifique que Miss ne connaissait pas encore, elle fut émerveillée, par leurs splendeurs, le nouveau feuillage dont les arbres se paraient, de nouvelles fleurs qui poussaient deci delà.

Puis le plaisir infini de galoper près d'une amie, Rosa, cette Dame à qui elle devait tant, qui lui avait permis tant, elle qui la protégea et l'aida quand elle fut au plus bas, elle ne la remercierait jamais assez pour tout ça.

Sortant un peu de ses rêveries, elle regarde Rosa et s'adressa a elle.


Alors Rosa dis moi, ou se trouve ce lieu si magnifique dont tu me parle.

Sans même sans apercevoir, les chevaux étaient arrêtaient devant un belvédère, donnant vu sur une forêt intense et splendide.

Miss n'en cru pas ses yeux quand elle le fut, cela en était simplement impressionnant, son regard fût vite attiré par un aigle qui survolait le lieu, surement en chasse de sa première proie.

Elle songea à ce moment qu'une telle bête serait bien à son bras.


Rosa je suis impressionnée, c'est magnifique, je te remercie de m'avoir amenée en ce lieu, Rentrons si tu le veux bien, j'ai encore du travail et toi tes malles et parures à contempler.


Elle firent donc demi tour et continuèrent à discuter sur le chemin du retour, parlant de vêtement, d'homme et de passe temps.

De retour en la demeure de Rosa, Miss remis pied à terre, lui fit une bise pour la remercier et la saluer, puis remis pied à l'étrier et repris le chemin de la ville.

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Rien n'est plus affligeant que la mort du cœur, la mort de l'homme est secondaire
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