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[RP] Explications du comté sur les mises ŕ mort

Numero_six
N°6 arriva, encore en sang, vers la place où les autorités du comté avaient leur quartier... mortellement blessé par une armée stationnant en ville.
Le pire de tout, c'est que ces "mercenaires autorisés" avaient tué sa compagne.

Il avait pleuré toutes les larmes de son corps.


POURQUOI?!!!!!
C'est le seul mot qui était sorti de sa bouche, en la voyant morte...

Elle qui était si belle... si forte... si charismatique; était maintenant qu'un morceau de bidoche ensanglanté.

Il allait demander des explications!


En colère, il voulait mettre le comté à feu à sang!


Edit syntaxe.
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--Le_herisson
La nuit était arrivée. L'heure pour lui de sortir de sa cachette. Lentement, il s'extirpa du petit buisson dans lequel il passait ses journées. D'un pas guilleret, il se mit en route. La voie était libre ! il allait se dégourdir les pattes. Soudain des rires humains. Un homme, une femme, etroitement liés visiblement. Ils rient, unissent leurs lèvres ... les bras s'enroulent autours des corps ... d'après son expérience de herisson, ils ne sont pas dangereux. Quand les hommes sont ainsi collés, en général, ils ne s'occupent pas du hérisson, et ça lui va bien.

C'est alors que d'autres humains l'air bien plus belliqueux, apparurent. Le couple ne les ayant pas entendu arriver, les regardèrent surpris. Les hommes en armes, sortirent les épées et séparèrent les amoureux. Elle poussa un cri, l'homme enrageait appelant celle qu'il tenait dans ses bras quelques secondes plus tot. Labaronne qu'elle s'appelait. Elle cria plus fort, quand un homme la menaça de son épée. Elle s'était défendu, alors que l'homme se battait de son coté pour se débarrasser de ceux qui le retenait...

Le herisson ferma les yeux. Il entendait les bruits des lames qui se cognaient, jusqu'au moment où ... la femme cria de douleur. Il ouvrit alors les yeux.

Labaronne était à genoux, recroquevillée les mains se tenant le ventre. Le regard plein de larmes, elle regardait l'homme, celui qu'elle devait aimer.
Elle remua les lèvres, mais aucun son ... petit à petit, elle s'effondrait sur le sol. Un filet de sang coulait de ses lèvres, ces lèvres qui riaient il y avait à peine quelques minutes.

Labaronne s'effondra tout à fait, sous les yeux de Six, qui à son tour fut gravement blessé.

S'en était fini. Les hommes en armes quittèrent les lieux sans un regard pour leurs victimes, l'une morte, l'autre blessé et malheureux.

Les hommes étaient vraiment fous.

Le herisson se tourna, et quitta la scène de crime.
Numero_six
Numero_six interpella quelqu'un juste aprés être passé au poste de police de sa ville, où la mairesse lui avait répondu le sourire aux lèvres d'aller voir, je cite: le prévot ou la comtesse pour son affaire "classée confidentielle".
Etrange personne qui arbore un sourire lorsqu'on lui parle de décès...


Je suis numero_six, habitant de Villefranche depuis des lustres!

Je viens déposer plainte contre l'armée qui stationne en la ville de Villefranche pour tentative d'assassinat sur mal personne et assissinat sur ma compagne hier.

Il fut trés émue à cet instant, puis reprit.
Je dépose plainte pour dégradation de matériel et graves blessures! Je demande réparation et instruction de l'affaire au plus haut sommet du comté.

Il attendit qu'on lui donne la marche à suivre.
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--_passant_
Un passant passant par là:

Il suffit d'en faire par au prévôt en lui écrivant ou à un sergent. Pour le prévôt, vous trouverez son nom au chateau, c'est dame Charlilotte.

Et n'oubliez pas de donner les preuves et les détails de cette tentative d’assassinat messire...
Numero_six
Numero_six écouta avec attention la réponse d'un passant.
Et lui répondit du tacotac:

Ah parce que nos élus ne recoivent pas le peuple? Même pour des affaires aussi graves??!

Faut leur écrire....


Ca lui rappelait une phrase qu'il avait maintes fois entendu: "Ecrivez" et la lettre finissait dans rangée à l'horizontal sous une pile énorme de dossiers.

Il salua le passant de la tête pour le remercier de cet éclairage pourtant si sombre.

Et il vagabonda tout de même sur la place afin de trouver, peut être, un membre du conseil à l'écoute du petit peuple.

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