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[RP] Aujourd'hui à Nyon, on distribue des marrons

Leo...
Prends en une autre tant que tu y es, celle là est déjà vide.

Ou du moins elle le sera quand tu seras de retour. Allez hop, un peu de carburant pour la route: cul sec!

glou, glou, glou, glou, glou, glou....
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Cameliane
Fais un pas, s'arrête, se retourne et éclate rire.

- Même deux !

Entre vite chez elle, fait main basse sur quelques provisions et bouteilles, fourre le tout dans une nappe ficelée en baluchon. Ressort.

- Aller Léo ! En avant. On va faire un malheur....
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Capitaine de l'Edelweiss ou de l'Eternel, ça dépend des circonstances, et surtout de l'ennemi.
Zarathoustra
[A Nyon, sur le noeud, donc, le samedi]

Le Cholera -c'était le nom de guerre de Zarathoustra, pour cette fois- était arrivé de bon matin, alors que déjà quelques zigues fourbissaient leurs armes. Et il était déçu, et il était frustré car en écoutant les discussions qui fusaient d'un peu partout, il s'aperçut que tous les jeux de mots toponymiques avaient déjà été faits. Il y avait bien des choses à faire avec les nœuds, mais il n'avait pas l'âme graveleuse, une fois n'est pas coutume.

Le rumeur enflait jusqu'à devenir assourdissante au fur et à mesure que les participants arrivaient. Malgré que ce ne fut pas sa première participation, il fut impressionné par le nombre de chalengeurs, couples belliqueux enfilés en rangs d'oignons jusqu'à perte de vue, l'arme au poing et la bourse au flanc. Ah non, ça dépassait par là, trois lances. Les Cavaliers de l'Hydre avaient-ils décidé de faire le service d'ordre? Il chercha d'un regard hargneux Raoul, homme à abattre doublement: ancien vainqueur, il avait qui plus est indignement racketté un caillou sentimental à Zarathoustra.

Et bon, La Peste et Le Cholera se retirèrent dans un coin, jetant de temps à autres des regards en coin autour d'eux, l'air d'ourdir d'habiles et vicieuses tactiques pour mettre à bas leurs adversaires.

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Eins thut Noth.
Leamance..
[samedi, le Noeud, sur l'arbre au dessus de la Peste et du Choléra]

- Ah Ah te voilà !



Léa tombe d'un arbre où elle était perchée. Comme d'hab' en fait.


- Salvé Frère s'exclame t'elle, en souriant également à la Dame.

La seule chose qui change cette fois, c'est que la Sicaire porte une vieille tenue de Vicomtesse de Lothilde, sa compagne de Tournoi. Avec leur 2 petits bras de jeunes filles frêles et en fleurs, elles ont porté la malle peine de dentelles et soieries jusque sur le lieu du tournoi, là où on devrait trouver quelques glands d'or.


- Tu as vu tout ce monde Zarath? Déos bénit toujours Genève, la Cité Phare. Y'a une sacré bande de canailles et crapules dans le lot.



Regard *circulaire*, en se rappelant avoir aperçu Thoros sur le chemin. Elle prierai le Très Haut toute l'après midi pour pouvoir lui tomber dessus durant le tournoi, et lui prélevé son ongle de pied à la Sica

- Tu as quelque chose à manger? j'ai faim
. demande t'elle, les yeux comme le chat de Schrek.
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Sicaire Fidaïs du Lion de Juda

Alinoe_de_chenot
[Sur la route en direction de Nyons]

- La lune nous éclaire bien, Père. Tu as vu tous ces gens ?

Sur la route, Alinoë de Chenot, chevauchait tranquillement auprès de son père. Elle avait soif et réfléchissait à la façon dont elle pourrait faire son père lui donner de son eau des montagnes.
Elle tenait à dormir et l'eau des montagnes de son père, c'était radical. Elle tombait sitôt âpres en avoir bu, Une sorte de coma éthylique, c'était ce dont elle avait besoin.
Une bonne nuit de sommeil, un réveil embrumé, uns conscience engourdie et hop, elle pourrait attaquer n'importe qui n'ayant plus conscience du danger.
Elle savait que la peur était paralysante et même si elle était seulement freinante, ce frein pouvait lui être fatal.

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Iskander
[Au abords de Nyons, le 22 - Berger centaure et Géant d'étoiles ]

Cela faisait drôle de chevaucher au côtés du géant ... Bucéphale était petit, .. court, par rapport aux grands destriers. Je n'étais moi-même pas de la taille d'un Titan.

Et donc, le Géant était à ma hauteur.

Étrange couple, binôme, paire ... avec cet air de guerriers barbares issus d'un autre âge.

Du cuir. Nous étions à peine vêtus de cuir, de peaux retournées. Assez pour estomper un coup sensible, à peine. Et pour toute autres armure, le visage et le corps graissés et peints d'ocre, terre, garance et de traces de cendres qui nous rendaient méconnaissables ... des êtres issus d'un ailleurs terrible. Et Bucéphale, graissé et peint à mon gré, semblait faire partie de moi, et moi de lui.

Je sentais battre son sang. Il avait le regard avide. La respiration rapide. Le pas sûr. Il avait retrouvé cette jeunesse, ce pas de Centaure, et ce sourire des juments de Diomède.

Tout le monde venait, certains reconnaissables, d'autre à peine. Nous allions jouter avec et contre des amis. Un jeu dangereux et ... tentant.

Je cherchai Vero du regard. Puis cessai.

Chacun serait à la joute. Mêlée terrible. Il n'y aurait que Bucéphale, Thor, moi, et le reste du monde. Enfin, en théorie. c'était toujours facile, en théorie. Je ne voulais pas lui faire le moindre mal. Et dans cette mêlée, où chacun serait perdu ... Nous serions donc des autres, nous battant contre des inconnus ...

Il faisait beau ... Froid et grand beau.

Bucéphale renâcla. Je serrai mon braquemart, puis me tournai vers le géant et lui dis doucement.


Les gens arrivent. Ça va bientôt commencer ...

Renifler. Nous avions l'odeur de nos oripeaux, de notre parure, et des lames vierges.

Il y avait comme un fort parfum de musc. Et de fer. Une tension, impalpable.

Je levai le poing pour adresser un salut au Soleil. Et cette muette prière aux dieux d'Arcadie et aux esprits de ceux qui s'étaient battus, avant.

Voir les ombres ... les flux ... les gens appelés venir, les curieux, les forts, les faibles, les avides et les cupides, quelques doux perdus aussi, et d'autres, venus des Lisières ou d'ailleurs.

Le Tournoi attirait bien plus que quelques gens.

Il y avait une âme, brute, primitive, sans cesse affinée comme le guerrier qui refait mille fois le mouvement jusqu'à ce qu'il soit parfait, jusqu'à ce qu'il fasse partie de lui, jusqu'à ce qu'il s'oublie en lui.

Une forme de communion.

La terre prenait un autre goût, une autre saveur, un autre parfum. Le ciel prenait une autre dimension.

Tout prenait une nouvelle place.

Tout prenait une nouvelle mesure. Une nouvelle couleur. Une nouvelle clameur sourdait des limbes, pas encore poussée mais déjà assourdissante.

Je souris. Je serai guerrier d'Arcadie ou d'ailleurs. Centaure et Géant, côte à côte ... nous serons, ensembles ... une légende ...

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Thoros
    à Nyon la bien nommé, théatre de l'effroyable carnage à venir


Thoros était assis sur un bloc de pierre emporté on ne sait comment de la façade d'un moulin..Tranquillement il aiguisait son epée à l'aide d'une pierre, jetant de temps à autre des regards autour de lui, méfiant qu'il était..les combats n'avaient pas encore commencés mais petit à petit les groupes c'étaient dispersés..et un accident était si vite arrivé..

Imaginez quand même un vent frisquet, malgré le beau temps..la nature qui retient son souffle, voir même un leger fond sonore d'harmonica lancinant..mais là je m'égare.

Il n'avait pas prévu de haume..jugé de toute façon peu approprié pour le combat en plein air, où l'ennemi camouflé pouvait surgir de n'importe où.
Son champ de vision devait rester etendue.
Une armure de cuir bouilli assez rudimentaire et un peu usée recouvrait son torse, toujours dans le même souci de liberté dans le mouvement et de rapidité. Elle était suffisament sombre pour permettre une certaine discrétion..étinceler de mille feux au soleil dans une jolie armure delicatement ciselée et decorée ne l'avait pas attiré plus que ça..
Seule quelques pièces de feraille recuperées pour l'occasion completaient la tenue, protegeant les points les plus sensibles.
Son arc de chasse et son carquois, aquis durant l'une des guerre de Bourgogne, reposaient sur son dos en bandoulière.

Au final Thoros avait un drôle d'aspect pour un jouteur de tournoi, on aurait dit bien davantage un maraudeur..ce qu'ils étaient pratiquement tous ici en réalité..sous des dehors grandiloquent, de formidables idéaux parfois..

Le crissement de l'acier vibrait dans l'air, la rapière semblait dejà tranchante comme jamais, la lame neuve à force d'être travaillée ainsi, mais le son se repetait continuellement, Thoros ne se lassait pas, il fallait bien trahir l'attente..

Et il ponçait..il ponçait..

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Mon passé ne regarde que moi...et la moitié des policiers du royaume..
Nemesis
[ Quand y a rien à faire ... autant dormir ]

On y était, les binômes se rassemblaient sur la grande aire de jeu. Car au final ils n'étaient bien tous des grands gosses qui avaient envie de jouer pour de vrai sur un grand terrain avec des vrais coups.
La Jargogueuse avait vaguement observé ses petits camarades, mais pas plus que ca en fait. Certains elle les connaissait déjà, les autres elle les découvrirait dans le feu de l'action, après tout si y a pas de surprise la vie est d'un ennui... mortel. Bon c'est vrai parfois les surprises peuvent l'être aussi.
Comme d'habitude elle y allait au talent: ses haillons, sa cape, ses bottes, son épée, son bouclier et pis c'est tout. On est doué ou on l'est pas, elle n'avait besoin de rien d'autre.
Au pire elle avait un binôme, et elle comptait sur sa galant... euh son courage pour qu'il se mette en première ligne et prenne les coups à sa place. Ah ? C'pas pour ca qu'on est par deux ? Mince alors ! Bon bah advienne que pourra...

En attendant c'était l'heure de la sieste, elle trouve une meule, s'enroule dans sa cape, et bonne sieste les petits.

Et elle pionce, elle pionce...

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Thorvald_
La dernière fois que vous avez croisé le colosse d'airain, c'était... quand ? Je vais vous aider un peu. Était-ce à l'ombre d'une lanterne pourpre, au cœur des miracles ? Alors vous êtes bien vieux. Non, n'était-ce pas plutôt à bord de l'Ambuleuse, fuyant les lances provençales sur des flots incertains ? Ah, vous aussi vous avez le mal de mer... Alors c'était dans une taverne tiède et il vous a pris la main pour vous enchanter. Ah, vous êtes un homme ? Bon, alors dernière solution, vous vous êtes croisés sur la Lande et il vous a aimablement délesté de votre chargement.

Donc la dernière fois que vous avez croisé le Colosse, disais-je, il n'avait sûrement pas cette allure. Colosse d'argile, c'est tout de suite moins glorieux. Mais comment refuser quoi que ce fut à son ami Iskander ?
A la maison de la lanterne aux lucioles, Thorvald s'était laissé farder, de la tête aux pieds, sous un camouflage dégoûtant. C'était bien la peine de prendre des bains à l'eau de rose en compagnie de la plus belle femme de Genève tiens ! Heureusement, les femmes étaient parties devant, laissant les petits enfants aux sœurs d'Iskander, elles ne pouvaient pas voir le tableau. Le ridicule ne tue pas, mais quand même...

Mais bon, puisqu'il fallait sortir les muscles, montrer les dents, et faire le gros méchant, Thorvald était de sortie. Il ne faut jamais laisser passer les occasions de s'amuser un peu.

Il suffisait d'oublier que la-plus-belle-femme-de-Genève était inscrite au tournoi et qu'ils risquaient de s'affronter ! Avec tous ces participants, ce serait un coup de malchance. Aussi, durant le trajet, ne parlèrent-ils ni d'étoile ni de sirène : fait assez rare. Et Thorvald tenta de capter les prémices palpitants de la mêlée à venir. Un peu d'adrénaline ne nuit pas.
En vain.
Il n'avait même pas peur.

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Merci à ma tisseuse qui colore et renoue les fils de ma vie ... Vero.
La.peste
[Au même endroit que les autres, mais dans un fouret avec Zarathoustra]

Tire la manche de son compagnon

Zaza ? Euh... Le Cholera ! T'as vu ce fourbi ? Sont une tripoté... Regarde comme ils font les fiers à bars !!

Renifle

Deux solutions... Soit on frappe les blessés, ceux qui sont quand même bien entamés... Pis on s'cache dessous pour faire croire qu'on est pas là et PAF ! En fourbe on frappe dans le dos !

Re-renifle

A la française quoi... Sinon on se faufille, l'air de rien, genre on est pas là, mais paluches au sol quand même, pour par prendre un gnon perdu... Et là on ramasse ce qui tombe, je suis sûr qu'il y aura toujours 3 pièces qui vont trainer... Une fois qu'ils sont tous tombés on se relève... Je crois que c'est aussi une technique française... Mais d'une autre région.

Bruit de tarin, genre... Reniflement

ça pèle un poil quand même dans le coin... On risque de choper une saloperie...
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Laclemanus
Alinoe_de_chenot a écrit:
[Sur la route en direction de Nyons]

- La lune nous éclaire bien, Père. Tu as vu tous ces gens ?


Laclemanus, sur son cheval qui marchait au pas, commençait à s'endormir, bercé par le rythme régulier du pas de son destrier et du mouvement en avant et en arrière de son buste que cela entrainait. la remarque de sa fille tombait à point et le sorti de la léthargie qui commençait à l'assaillir.

- ...Mmmm? Ah, tout ces gens!
En effet, ces joutes ont attiré un grand nombre de personne, on se croirait presque dans une foire.


Pour lutter contre ses paupière qui avaient pris la mauvaise habitude de vouloir se fermer, il sortit une topette d'eau des montagnes de sa veste, et en prit une bonne rasade, émettant un claquement sec de sa langue une fois le liquide avalé. Cette distillation privée, élevée en degré d'alcool, était son médicament qui soignait tout comme il avait l'habitude de le dire et il en avait prit une bonne réserve dans ses fontes en vue des coups qu'il allait prendre.
Il vit surpris, le regard presque envieux de sa fille alors qu'il venait de se soigner.


- Tu en veux???

Tu n'as pas l'habitude de boire et ce médicament est assez fort, pas sur que ce soit une bonne idée. Mais vu ce que nous allons faire, une fois n'est pas coutume, tu peux en avoir, afin de ne pas prendre froid cette nuit...


Il hésitait quand même à lui offrir ce breuvage.


- Mouille toi juste les lèvres avec, cela suffira et tu en ressentiras largement les effets.

Il lui tendit la bouteille sans en renverser une goutte malgré les mouvements saccadé du cheval.
--Fraulein



La Fraulein passait entre les rangs des jouteurs, proposant de ci de là ses belles chopes de blondes, brunes, blanches et ambrées, mousseuses à souhait...


- QUI N'A PAS EU SA CERVOISE ENCORE ?!! Allez profitez ! Offerte par les généreux organisateurs ! Laissez vous enivrer par la douceur du malt torréfié !


Un type lorgnait le creux de son corsage, elle s'approcha, lui fourra une grande chope entre les mains et lui sorti, tout sourire,

- On r'garde mais on touche pas mon mignon ! Aller, prend ça, ça t'consol'ra!

Et de s'éloigner en criant...


- Qui veut sa chope ?! Elles sont bonnes les mousseuses !

Alinoe_de_chenot
[Sur la route en direction de Nyons]

Alinoë répondit à son père

- Merci Père, je boirais un peu quand nous serons arriver. Tiens voilà la mine, si on s'installait là ?

[ä la mine, lieu des combats]

Ils attachèrent leurs chevaux et allèrent s'installer pour deviser tranquillement en attendant les premiers combats. La nuit était déjà bien avancé et ils furent surpris quand deux femmes leur tombèrent dessus. Alinoë n'avait pas eu le temps de boire l'eau des montagnes.

La jeune fille croyait naïvement que le tournoi commençait au matin. La puissance des femmes eurent raison d'elle rapidement. Hop en moins de temps qu'il fallu pour le dire, la jeune duchesse fut délestée de ses cinquante écus et de ses trois pains. Pourtant elle avait la force nécessaire pour se battre. Mais la surprise joua contre elle. Et les voila reparties aussi vite qu'elles étaient arrivées.

Les dames ne l'amochèrent pas trop, elle boitait légèrement c'est tout.


- Père ça va ?
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Iskander
[Près de la mine, le 22]

Il n'y eut pas vraiment de signe du début du tournoi. Ou si. Ou pas ... je n'en sais rien.

C'est Bucéphale qui a fait le premier pas. Et le Géant de l'emboîter.

Et les cris sont venus de partout. Et de partout les coups, les partis se ruant l'un vers l'autre, les masses de gens qui convergent, puis s'égayent, puis convergent encore ... hurlant, bavant ...

La terre ... la poussière partout. Les cris de ralliement, les hurlements, les exclamations de "grâce" et les hululements de victoire, le choc des fers contre les fers, contre le bois, les craquements, les hennissements, les coups mous des masses rencontrant les chairs.

Les gémissements aussi, de ceux, navrés, se trainant à l'écart ...

Et Bucéphale qui tournait ... passait, montrant des dents terribles, nous faisant chargé un groupe, vociférants, pour les voir s'évanouir dans le brouillard, la poussière, les fumées ...

Cris et clameurs ... poursuites ... recherches entre les mines et les taillis ... et rien, que l'esquive, les échanges de coups lointains.

J'avais vu Vero hier, l'avais effrayée, puis ... elle portait les traces de couleur et de graisse qui nous enduisait, le Géant et moi.

Où était-elle ? Ici ? Là ? Je ne savais trop ... j'avais des envies barbares ...

Nous vîmes la silhouette d'un homme et d'une femme s'éloigner. Une mèche de cheveux noirs au milieu des bruissements de chaleur, d'humeurs, de couleurs ...

Faire tourner bride à Bucéphale et foncer en hurlant à plein poumons ... elle était mienne et je la prendrai, autant que j'étais à elle et ...

Un sourire Carnassier et foncer droit dessus, soulevant derrière moi les mânes des Compagnons, et des Titans, ébranlant la Terre, dispersant les Nuée ...

Me pencher et d'un geste sec, lui happer le poignet, la hanche et la coucher sur le devant de ma selle en poussant un cri de rage et de triomphe ...


Thor, Laclemanus, Alinoë, à vous ^^

Les autres sont les bienvenus

23-10-2011 09:02 : Le Comté vous a reversé 8,05 écus d'arriérés de salaires.
23-10-2011 04:09 : Vous avez racketté un groupe composé de Alinoe_de_chenot et de Laclemanus qui possédait 0,00 écus.
23-10-2011 04:09 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Alinoe_de_chenot et de Laclemanus (coefficient de combat 10), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.

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Laclemanus
Alinoë refusa la divine boisson de son père qui vu qu'il tenait la bouteille, profita pour prendre une nouvelle rasade.

- Comme tu veux, je la garde au chaud si jamais.

Arrivé sur le lieu de rendez-vous, il acquiesça à la proposition de sa fille sur l'endroit ou s'installer. A peine avait.il mis le pied au sol qu'il fut assailli par deux personnes dans la nuit, cela fut rapide et à peine se retournait-il pour répondre au coup reçu, qu'il se retrouva seul face à l'obscurité.

Alinoë de Chenot a écrit:
- Père ça va ?


- Oui, cela va...A part quelques hématomes...?????....Et bon sang de bonsoir, ma bourse a déjà été délestée ainsi que le sac ou je gardais quelque maïs, et toi comment tu vas?

Encore groggy, il vérifia ses fontes bien fixées sur le cheval.

- Seule bonne nouvelle, mon médicament est toujours là !

Outch!!!!...


Occupé à répondre et à s'enquérir de l'état de santé de sa fille, il n'avait vu deux autre personne s'approcher et lui sauter dessus. Il réussit à contenir le premier assaut et donnant des gnons à droite et à gauche, mais n'ayant encore récupéré de l'attaque du premier groupe, un coup le mit genoux à terre.

- Vous perdez votre temps, je n'ai déjà plus rien, vous vous fatiguez pour rien.


Seul resta un assaillant, le deuxième ayant disparut, qui malgré ce que Laclemanus venait de dire, lui faisait les poches en vain, n'ayant plus rien à être volé.

-Alinoëëë¨!!!!!
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