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[RP] Roy & Reyne de Coeur

Aranelle
Depuis sa récente nomination au sein de l'Office de la Chambre Royale, la Ried n'avait encore participé à aucune festivité, jusqu'à ce jour où on lui demanda d'aider à l'organisation d'une "Soirée Jeux", avec l'Intendante des Menus-Plaisirs, Camille d'Anclair, ainsi que de maints autres officiers. Sa chère Marraine et son amie Lucie étaient bien entendu de la partie, représentant l'Office de la Bouche Royale. Ainsi, un salon fut choisi pour sa vaste superficie : le Salon Olympe.
Le temps d'une soirée, on lui manda que ce salon adopte un apparat automnal. Cheny fit donc revêtir les murs de tapisseries représentant des scènes typiques de cette saison : l'une mettait en scène une partie de chasse ; et une autre, un paysage aux couleurs de l'automne. Dans une largeur du salon était disposé une longue table de bois, destinée à accueillir les mets réalisés par l'Office de la Bouche Royale, bien que déjà décorée par quelques fruits de saison, ainsi que de feuilles mordorées et rougeâtres. Il avait en effet était décidé qu'un buffet serait plus adapté à cette soirée, en favorisant la distraction au repas.
Au centre du Salon Olympe se trouvait une large table de ramponneau en bois, jeu principal de cette festivité. Sur cette table reposait un tas de cartes, intact, accompagné de quelques jetons de jeux. Le ramponneau, déjà au cœur du salon, sera le cœur de l'attention de chacun, puisque la famille royale ainsi que leurs invités s'y concentreront, cartes en main, et -espérait la dame de la Chambre- sourire aux lèvres. Les Offices qui organisaient cette veillée espéraient également qu'elle puisse détendre la famille royale, en ces temps de troubles.

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Camille.


Derniers préparatifs, tour de la salle. Silencieuse, vêtue de son éternelle de robe de lin blanc à la coupe épurée, les cheveux relevés pour une fois en un chignon volumineux qui domestiqués sa crinière de jais l'italienne Intendante donnait conseil d'un coté, remarque de l'autre et admirait le travail réalisé par la Chambre. Le salon était magnifique et les teintes automnales et chaudes réchauffaient l'atmosphère encore un peu fraîche de la pièce. Camille fit donc signe que l'on allume un feu pour que ces Altesses et leurs invités profitent pleinement de leur soirée sans être indisposés par la fraîcheur de la nuit. Satisfaite des dispositions prises, elle sourit à la nouvelle dame de la chambre qui avait su faire sous la houlette de la Première Dame Cecilia un travail de grande qualité.

Aranelle, tout ceci est ravissant! Faisons ouvrir les portes pour accueillir les invités. Qu'un page aille prévenir ses Altesses que tout est prêt et notre Premier Maitre d'Hotel et son premier Gobelet que l'appétissant buffet qu'elles nous ont concocté sera un ravissement pour les papilles de tous.


Déroulement de la partie de Ramponneau :

- Chaque participant m'adresse 3 nombres entre 1 et 52 par missive.
- A chaque partie, les cartes sont mélangées aléatoirement par un logiciel et les cartes des différentes sont tirées dans l'ordre des nombres proposés par les participants.
- Chaque participant reçoit par missive ses 3 cartes de la partie.
- Les paris commencent.
- A chaque tirage de carte, une carte est tirée aléatoirement par un logiciel et affiché dans le sujet.
- A chaque tirage, les paris sont posés, et actions menées.

Bon jeu!

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Axel2fersen
Axel avait été invitée au Louvre... Ahhh le Louvre, que ce palais lui rappelait tant de bons souvenirs, elle s'y était si souvent promenée, baladée, perdue. Elle avait déambulé avec discrétion dans les couloirs majestueux. Chaque tenture, chaque tapis ravivait en elle des bouffées d'un bonheur évanouit lors d'un vil attentat.
La capitaine se demandait pourquoi elle avait été choisie, et par qui... elle ne connaissait que très peu la famille royale à vrai dire, la plupart elle ne les avait qu'entre - aperçus lors du sacre. Mais peut-être que sa beauté avait attiré l’œil expert d'un prince , voire peut-être même du Roi... En tout état de cause afin de faire honneur à leurs altesses royales elle avait choisi l'une de ses plus luxueuses toilettes.




Lorsqu'elle arriva à l'adresse indiquée par la missive , la blonde dauphinoise demanda à Suzanne de l'attendre à l'office. Celle-ci s’exécuta non sans maugréer et râler. La dame d'Alix se fit annoncer par le garde posté à l'entrée. Puis pénétra dans une ravissante salle au centre de laquelle une table était dressée... enfin plus ou moins... car c'était un peu vide pour une diner.


Mesdames le bonsoir, Axel d'Irissarri.

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Béanours forever!
.mahaut.
[Quelques jours plus tôt, à Genève]

- Je ne comprends pas. Pourquoi tardent-ils tant à nous remettre cette coupe ? Il y a des délais administratifs ?
- Ou alors juste vous n'avez pas gagné.
- Mais nous avons survécu et gardé tout notre argent ! Le contrat est rempli, non ? De plus, notre supériorité et notre classe naturelle dans le style de combat a été reconnu. Non, vraiment, ces délais sont pénibles.

Assise dans un fauteuil, les pieds sur un petit tabouret garni de coussins, Mahaut ronchonnait en buvant un vin chaud à-sa-façon, à savoir avec beaucoup plus d'alcool que nécessaire et un ou deux vagues fruits qui surnageaient. Blessée à la jambe et au bras, elle avait tenu à faire savoir au monde entier qu'elle souffrait mais qu'elle savait rester aimable, en restant allongée et en râlant pour le moindre prétexte.
Les quelques jours de tournoi venaient de prendre fin et les deux soeurs étaient revenues à Genève. Refusant d'admettre qu'elles avaient perdu des forces (parce qu'elles ne pouvaient rien perdre, hormis la raison devant une paire de Loup Bouttin), elles clamaient à tout venant qu'elles avaient fait un régime express, le régime Du Van, qui leur avait permis de rentrer dans une taille 34 avant même l'invention de la taille 34.
Et accessoirement on avait fait venir des médicastres pour les panser, vu qu'elles pissaient le sang. Après avoir été honteusement payés, ces derniers avaient ordonné aux blessées de rester au repos pendant quelques jours, déclaration qui enclencha les hauts cris pendant une bonne heure.

Anatole regarda par la fenêtre et soupira. Garder un poney blessé qui refuse de l'admettre n'était pas de tout repos. Depuis deux jours, il tentait de trouver des occupations pour faire passer le temps mais il s'était retrouvé à faire de la pâte à sel tout seul alors que les filles se pochetronnaient et commentaient tous ses gestes. Un bruit à la fenêtre lui fit lever la tête alors qu'un nouveau commentaire fusait.


- Ah, vous avez du courrier.
- La remise de la coupe, enfin !
- Non, du tout. M'enfin c'est pas mieux.
- Je vous préviens, si ce n'est pas en rapport avec de l'argent, je ne bouge pas.
- Vous êtes invitée par la famille royale à une soirée jeux.


On entendit pendant quelques instants le crépitement d'une bûche dans la cheminée. Soudain, venant de profondeurs insoupçonnées, un cri fusa dans l'air.

- Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

Un nouveau petit silence puis un nouveau :


- Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
encore un peu plus hystérique.

- Enfiiiiiiin ! Je le savais ! Je SA-VAIS qu'ils finiraient par avoir le besoin viscéral de me connaître ! Je vais rencontrer des princes ! Je vais être reyne !
- Oui enfin c'est juste une soirée jeux, pas une cérémonie de présentation à la belle famille, ne soyez pas si...
- Préparez les bagages ! Vite ! Un carrosse ! Avec huit poneys au moins ! Aucun repos ne sera toléré ! Je dois être à Paris au plus vite ! Ma robe ! Mes bijoux ! Viiiiiite !
- Le médicastre vous a prescrit du repos, vous n'avez pas encore cicatrisé, calmez vous !


Trop tard, elle était déjà debout à virevolter partout en assénant quelques "nananananèèèèèreuh" à sa soeur et des "bougez-vous, spèce d'hélvétiques" aux valets. Rapidement, elle perdit du sang et Anatole la suivit en épongeant le sol et en tâchant vainement de la faire s'asseoir.
Deux heures plus tard, ils étaient dans un carrosse, direction Paris.


[Le jour J]

Elle avait revêtu une de ses plus belles robes, payée par Papapair, à base de velours et de soie (roses, est-il besoin de le préciser) et quelques bijoux dont les fameuses boucles d'oreilles avertisseurs sonores qu'Elayne détestait tant.

*Cling cling clang*
- Nous sommes au Louuuuuvre ! Hiiiiiiiiiii ! Vous avez vu la tête des gardes ? Ah ah, on avait une invit', ET OUAIS !


Elle rentra la tête dans le carrosse et adressa un sourire à un million d'écus à Anatole.

- De grâce, taisez-vous, vous êtes dans le lieu même du pouvoir. Ne vous faites pas remarquer outre mesure. Faites honneur à votre père. De la classe, de la distinction, souvenez-vous des leçons de votre belle-mère.
- Oui oui oui oui oui, le protocole, la révérence, tout le bordel. C'est noté. J'ai hâââââââte ! Mais je vais me tenir, hein.
- On y croit tous. Tâchez au moins de ne pas saigner sur les tapis.


Elle finit par sortir du carrosse, gloussa pendant la traversée de couloirs et arrivée devant la porte, elle arrangea sa tenue une dernière fois, grimaçant quand elle utilisa son bras gauche encore sensible.

- Classe, distinction, manières. Un jour, tout cela sera à moi.


On lui ouvrit la porte et elle pénétra dans un salon qui la laissa bouche bée (ce qui est finalement assez heureux). Vache, elle était au Louvre. Ne lui manquait que les clés de la cave et elle aurait accompli sa mission sur terre. Elle avisa une femme déjà présente, se prépara à la saluer et... la reconnut.


- Hiiiiii Axeeeeeel !


Voilà, raté pour la classe et la distinction. Mais quel soulagement de savoir qu'elle connaissait quelqu'un dans cette soirée. Et quelqu'un capable de survivre aux pires moments de la vie de noble (l'hérauderie, école de patience). Elle s'approcha vivement de son amie et lui serra les mains. Se souvenant qu'elle devait quand même se présenter devant les autres personnes (alors qu'elle était mondialement connue mais quand même), elle salua en souriant :

- Mahaut de Nabinaud, enchantée. Quel plaisir d'être reçue ici !
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Camille.
Camille attendait discrète dans sa tenue pâle l'arrivée des invités. Déjà deux dames firent leur entrée et l'Intendante les salua d'une révérence et d'une présentation succinte de sa personne.

Bonsoir à vous, je suis Camille d'Anclair Mariemont, l'intendante aux Menus Plaisirs de la Maison Royale. Je suis là ce soir pour veiller que tout se passera bien pour les convives. Nous attendons d'autres invités et ses Altesses pour commencer la soirée et vous divertir comme il se doit.

Si vous souhaitez faire le tour des jeux présents avant le ramponneau prévu dans la soirée, je peux vous en présenter certains :
- le jeu des Anneaux consiste à lancer des anneaux sur des bâtonnets posés sur un socle de bois.
- l'Assiette est une table de bois pliante qui permet de jouer à une sorte de pétanque jouée avec des disques de bois appelés assiettes. Jeu très spectaculaire et très intéressant, il séduit avec force adultes et adolescents.
- l'Attrape Boules consiste en une noix ou des balles qui passent par un tube en déclinaison et le joueur doit les récupérer à la sortie.
- le Croquet de Table est très convivial et familial. Il faut repousser une petite boule de bois à l'aide d'un maillet gêné par la présence de clous sur la piste.
- la Riboulette est un sorte de grand flipper de bois manuel.
- la Grenouille est un jeu traditionnel très référencié qui permet de lancer des palets dans des orifices de valeur différente dont la bouche de la grenouille est le maximum.

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Lylla
[Quelques jours plus tôt en Champagne ]

Des jours et des jours que les combats s'enchaînaient, les victoires succédant aux défaites et puis un jour ou peut être une nuit, près d'un lac elle s'était endormi, quand soudain semblant crever le ciel et venant de nulle part, surgit... un mal de tête monstrueux ! Saleté de vauriens, ils étaient arrivés à l'avoir et en guise de lac c'est dans une flaque boueuse qu'elle avait piqué du nez au risque de se noyer ! bon d'accord, la boue était bonne pour avoir un teint de pêche mais tout de même il y avait des façons bien moins expéditive. Résultat un bras mal en point et surtout une véritable palette de peinture qui ornait sa tempe, changeant de motif et de couleurs tout les trois jours.

Ce fut donc, on la bien compris, au fin fond de son lit que lui parvint le courrier de son promis, lui même perdu dans un coin du royaume à conduire une charrette royale en attendant qu'on y grave quelques croissants. Quelle joie que cette missive ! De quoi redonner des couleurs... enfin façon de parler ! à notre blessée.

Le Louvre..... Ils étaient invités au Louvre ! Rêvait elle ? Serait ce que la cour et le Roy tout particulièrement serait en manque de plante verte ? Ha ben ça alors, hors de question qu'elle rate l'occasion d'étrenner ses nouvelles toilettes, qui avaient largement flinguer la dot pour les obtenir mais qui lui allaient il fallait bien le reconnaître divinement bien !

Bizarrement la santé de la blonde commença très vite à s’améliorer, si bien que rendez vous fut pris avec son Von Wittelsbach dans une charmante auberge parisienne, où après qu'ils eussent longuement papoter et qu'elle lui eut fait passé la pilule de l'addition des couturières, ils pourraient ainsi se rendre ensemble en la demeure royale.

[Et je jour arriva]

Malgré l'excellent vin de Bourgogne qu'elle avait fait quérir, son cher et tendre avait eu bien du mal a avaler la note salée. Certes il voulait une épouse qui lui fasse honneur mais pour l'instant il voyait surtout cette dernière faire les honneurs de son pécule. Lylla abattit sa dernière carte, enfin surtout la première de la soirée, quand après l'avoir laissé quelques instant (ne pas omettre la notion toute féminine des dits instants) en compagnie d'un verre plein et de quelques macarons, elle réapparut magnifique, splendide, que dis je divine dans sa toilette de velours noir et de soie ivoire, rebrodés de mille fils d'or et d'argent. Son abondante chevelure relevait en un savant amalgame de boucles dorés dans laquelle était piqué une rangée de perles irisées et dont une longue mèche venait caresser son épaule. A son cou, un collier finement ouvragé où de multiples chaines venaient soutenir l'éclat d'un magnifique rubis. D'autant plus magnifique que ne n'était qu'un faux mais qui avait pour elle une valeur toute particulière.



François en eut le souffle coupé, restant un long moment sans rien dire tandis qu'elle paradait sous ses yeux émerveillés.

Diantre ma mie, je ne puis au final renâcler à pareil investissement !


La blonde se demanda une fraction de seconde s'il parlait d'elle ou de la robe et eu final opta pour l'ensemble !

Mon tendre ami, nous devrions nous mettre en route, il serait vraiment trop bête d'arriver en retard et de rater les festivités auxquelles nous sommes conviés.

Le blond quitta son fauteuil, redressant sa lavallière immaculée, rajustant la veste au tombé impeccable et fit quelques pas vers sa belle.

Nous allons nous mettre en route en effet mais je tiens avant tout connaissant votre grande connaissance des jeux de cartes.... à prendre quelques précautions.

Ni une ni deux, s'emparant de la petite aumônière dorée il la vida de son contenu, compta quelques menues pièces qu'il remis dans leur écrin et empocha le reste avec un sourire satisfait.

Ma douce, avec la fortune que vous portez sur vous inutile de vous encombrer un peu plus. Le ton était taquin à souhait et toute à sa joie de cette soirée pour une fois la Baronne ne rechigna même pas. Et dire que certain lui trouve mauvais caractère.... Un véritable agneau !

La voiture les déposa directement devant l'entrée réservée aux invités.
Passant son bras sous celui de son fiancé, sa main négligemment posée sur son avant bras pour bien lui montrer que nulle bague de fiançailles n'ornait encore son annulaire, elle laissa François sortir leurs cartons d'invitation et les annoncer à l'entrée.


Le bonsoir, Lylla Cardinal d'Eirbal, Baronne d'Arzillière et François Von Wittlesbach, Vicomte de Baïgorry.

Alors qu'on les laissait entrer, Lylla les yeux pétillant de plaisir regardait autour d'elle des lieux dont jusqu'à ce jours elle ne s'était même pas permise de rêver.

Mon Dieu François que c'est beau ! souffla t elle comme une enfant émerveillée.
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Axel2fersen
HIiiiiiii Axel!

Cette voix, cette prestance, cette allure, la dauphinoise n'en croyait pas ses yeux , Mahaut était là, Mahaut, son amie de toujours. Bon oui "toujours" le mot est peut-être un peu fort puisque qu'elles s'étaient rencontrées il y avait quoi un mois, un mois et demi tout au plus, mais leurs liens arrosés de champagne sauce hérauderie maléfique étaient des plus indestructibles. Et leur attachement l'une à l'autre si fort que l'on eut pu croire des âmes sœurs ! Oh ça va si le narrateur a plus le droit de dire ce qu'il veut à présent...
La brune serra les mains de la blonde comme pour renouveler leur promesse d'amitié éternelle. Axel ne la quittait pas de ses yeux brillants d'émotion.
L'intendante aux Menus Plaisirs, qui n'était autre que l'ambassadrice Camille d'Anclair Mariemont, avec laquelle la Irissarri avait travaillé quelques mois, leur exposa le déroulement de la soirée et les activités proposées. Axel les passait en revue, plus ou moins mentalement... ben oui parfois les mots échappent par les lèvres au mental de la blonde !

* Ramponneau !! Oh mon dieu j'espère que ce ne sont pas les même règles que celles du Duc parce que je n'ai pas mis de sous-vêtements neufs ce soir...*
*Le jeu des anneaux, hummm le jeux des * anneaux encore un coup à me ridiculiser ça...

Hop petit rougissement d'excuses et hop remutisme pour réfléchir dans sa tête à nouveau

* L'Assiette, de la séduction par la force, je ne suis pas sûre que ça va me plaire ça... et puis je suis fidèle moi ...*
* L'Attrape boule hummm enfin un jeu pour moi^^,* Oh mais ça se joue avec des Balles ! alors c'est pas le jeu auquel je pensais ! Pardonnez poursuivez madame je vous en prie.
* Le croquet, moui classique , mais bien ... la riz-boulette ?? ce doit être une recette venue de Chine...
-Oh la Grenouille j'adore ce jeu!!! Quelle joie d'être ici vraiment, merci de cette invitation, et quel goût concernant les convives, n'est-ce pas ma très chère ? D'ailleurs nous pourrions commencer à ....
Mais avez-vous prévu de quoi nous désaltérer, chère madame, car arpenter les couloirs du Louvre donne soif ! Gran' soif !

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Béanours forever!
Della
Aux cuisines, parce que c'est là le plus excitant...

Avez-vous préparé suffisamment de darioles(*), Renaude ?

Pour sûr, m'dame Della, voyez...un plein plateau !

Parfait !
Je pense que l'on peut tout emmener au Salon Olympe.


D'un geste, Della appela les serviteurs choisis pour la soirée.
Triés sur le volet, certains acteurs de l'ombre des cuisines recevaient parfois la délicate tâche d'accompagner les plats à la table où ils seraient servis.
Ce soir, trois de ceux-là avaient mission délicate de mener les plateaux chargés de pâtisseries et de fromages.
Tout trois se chargèrent chacun d'un plateau.


Allons-y...

L'on aurait pu penser à une procession en voyant déambuler de façon très solennelle, le Premier Maître d'Hôtel suivie de ses gens.


Au Salon Olympe, là où c'est plus guindé.

Della entra la première et s'enquit de savoir qui était déjà là.
Parfait...pas encore d'Altesses ou de Majestés...L'on pouvait disposer la table.
Un nouveau geste et les trois serviteurs continuèrent leur tâche répétée au moins dix fois aujourd'hui. C'est qu'aucun incident n'était toléré.
Les plateaux prirent place.
Sur l'un, l'on trouvait les darioles et oublies(**) parfumées à la cannelle, sur l'autre, les tourtes à étages de fruits secs(***) et les pains d'épices, entourés des biscuits. Et sur le dernier plateau, celui que le Maître d'Hôtel trouvait le plus insolite - caprice princier sans aucun doute - l'on pourrait se servir de fromages, fromage de chèvre, fromage frais et tomme affinée.
Allaient arriver les boissons proposées pour la soirée qui viendraient compléter le buffet, pour le plaisir des invités.

Lorsque tout fut correctement disposé, Della s'en vint saluer les personnes déjà présentes, commençant par Camille à qui elle glissa :
Le buffet est prêt.
Puis, elle sourit à sa Filleule avant de lancer un :
Bonsoir ! général, sourire aux lèvres pour certaines personnes déjà rencontrées...et regard prolongé sur d'autres, se demandant les raisons de leur présence au Louvre. Mais surtout, sans rien dire ou même laisser paraître. Car comme l'on disait dans les couloirs..."Tout ça reste entre nous !" Et de reprendre : S'il vous manquait quoi que ce soit, nous tâcherons d'y remédier. Fallait-il ajouter qu'elle parlait de ce que son Office pouvait offrir ? Hum...on verra bien !


    ***********************************************

(*)Darioles : « Soient broyés amandes, et non guères passées, et la cresme fort fricte au beurre, et largement sucre dedens »
(**)Oublies : "Patisserie ronde déliée, cuite entre 2 fers"
(***)Tourte à étages de fruits secs : « Prends trois livres de farine et prends deux onces de sucre et prends une livre d'amandes et 36 bonnes noix et une demi-livre de raisins secs et 25 dattes et un demi-quart de girofle et prends une bonne quantité de lait d'amandes. »

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Elisa.
[Viens, on va jouer]

Un grand appartement, un très très grand appartement… Deux jours que la Malemort était revenue à Paris, plusieurs cérémonies à honorer, un séminaire et surtout… Oh oui surtout, une soirée de jeu avec ses amis et sa famille. Du ramponneau… En espérant qu’elle ait toujours cette chance qui lui appartenait ces derniers temps devant la table de jeu.
Assez de chance pour gagner sa rouquine, pour gagner le patron de la table… Que rêver de mieux ? Elle n’avait pas encore une seule fois perdu… Faut-il espérer que ce soir, cela en soit de même… Et si cela ne vient pas… La princesse saurait se faire aider…

Tricher ? Nullement… Juste aider le destin pour qu’il aille dans son sens…

Elle s’était donc préparée pendant plusieurs heures, la Malemort. Accompagnée de ses dames de chambre. Commençant par un bain aux pétales de violette, pour y passer de très longues minutes, jusqu’à voir la peau de ses doigts commencer à flétrir.
Puis se faire habiller, rajoutant un peu de poudre sur ses joues… Redevenue coquette la princesse… Ne plus se laisser aller… Elle devait être forte.

Sa robe avait été confectionnée par sa future belle et merveilleuse cousine. Une envie de plus, un caprice de plus cédé par cette dame aux doigts d’or. Et une merveille de plus, créée et désormais portée par la Princesse.
Une robe couleur cuivre avec plusieurs motifs en dentelle. Par-dessus les jupons, un épais tissu en velours bleu, bordé de blanc. Il n’aurait manqué que les hermines… Mais la Malemort avait décidé d’être raisonnable pour cette fois-ci…
Un châle sur le bas de ses épaules, en prévention d’un salon trop peu chauffé pour le corps frêle de la jolie princesse.
Ses cheveux ondulant le long de son corps, un diadème dans les cheveux, rien d’énorme, la Malemort princesse restait dans la sobriété pour cette soirée… Elle ne voulait pas envoûter tous les hommes présents… surtout parmi ses invités… Allez savoir a qui elle pense.

Et d’ailleurs, nul le temps de penser… On frappait déjà à sa porte… L’heure d’y aller… On l’attendait… Un long soupire pour se donner du courage et un sourire collé sur ses lèvres… Un sourire qui sera encore plus franc une fois qu’elle l’aura vu derrière cette porte…




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Bruenor
Bruenor était dans son petit bureau (bureau collectif de la grande prévôté), il remplissait son rapport sur les derniers événements en le royaume quant il lâcha sa plume d'un air paniqué.
Il se leva, marmonnant sa colère contre lui-même. Comment avait-il pu oublier la soirée... Il se hâta d'ajuster son uniforme, pas le temps de revêtir un costume.
Le Bruenor court à travers les couloirs du Louvre passant les points de sécurité sans marquer d'arrêt.
Il arriva à quelques mètres de la porte de son Altesse, il ralentit pour reprendre son souffle. Après un dernier check-up de sa tenue, il frappa trois petits coups à la grande porte.

La porte s'ouvrit peu a peu dévoilant la grâce de sa douce Altesse, l’officier royal s'abaissa courtoisement.


Bonsoir votre Altesse, je m'excuse pour ma tenue, je n'ai pas eu le temps de me changer ... Vous êtes radieuse ...


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ça claque hein? c'est du Aldraien!!!
Elisa.
    « On se demande parfois si la vie a un sens... et puis on rencontre des êtres qui donnent un sens à la vie. »
        [ Gyula Halász Brassaï ]


La porte s’ouvre, sur lui. Il est finalement aussi digne qu’elle… Toujours à l’heure, ou presque… Mais il faut savoir se faire désirer, ou alors simplement prendre son temps peu importe le reste ? Et puis à quoi bon se presser ? Ils sont tous là pour passer une soirée à s’amuser et surtout à se détendre. Alors nul besoin de commencer à angoisser car ils ont simplement quelques minutes de retard…

La Malemort l’observe de haut en bas, vêtu comme garde royal… Sourire en voyant cette tenue bleue, sûrement l’une de ses préférés… Elle aime beaucoup le bleu la Malemort… Puis faut dire que la coutière à aussi quelque chose de spécial… Habillé tous deux par une future malemort… De quoi bien représenter cette famille royale en cette soirée… ben royale.

Elle lui sourit, il s’incline. La Malemort fait à son tour une révérence qu’elle lui doit. Est-il là ce soir en tant que futur écuyer ? Futur garde du corps ? Ou tout simplement en tant qu’ami ? Personne ne sait vraiment, même pas lui, même pas elle… même pas eux… Mais ils savent par contre, qu’ils vont passer une excellence soirée, cela était certain… Le jeu allait être de la partie, dans tous les sens du terme… Mais ça personne ne pourrait vraiment comprendre.


Bruenor, je suis ravie de voir que vous ne m’avez pas oubliée. J’en aurais été bien malheureuse vous savez.
Rassurez-vous, votre tenue est parfaite, j’apprécie la couleur de l’azur. Vous êtes donc entièrement pardonné.


Nouveau sourire, et la Malemort fait un pas vers lui afin d’aller chercher son bras.

Allons-y, j’aimerais être là avant que mes invités arrivent afin de les accueillir.
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Bruenor
Le jeune Bruenor était complètement envoûté par son Altesse.
Sa beauté figurait au sommet du royaume, ses titres étant également valable pour ce cœur si fragile battant sous cette poitrine si généreuse.
Il la regarda s'abaisser au même moment que lui.
Il ne pouvait la laisser montrer plus de respect que lui. Ainsi, il prit la douce main d'Elisa ponctué d'un « Si son Altesse me permet » puis fit un tendre mais chaste baise main en prenant soins de ne pas appliquer ses lèvres sur la peau princière.
Ceci fait il accueillit le bras d'Elisa sur le sien.
Tout deux partirent en direction de la salle.
Il lui répondit.


Altesse, sachez que le ravissement est pour moi.
Le fait même de m'envoyer une invitation m'a touché au plus haut point.
Je n'ai nullement l’habitude de recevoir de genre de missive… Je ne pouvais vous faire affront en vous oubliant.
Je vous remercie, c'est l'uniforme règlementaire de la Garde, j'espère d'ailleurs que ma hiérarchie ne m'en tiendra point rigueur.


Ils arrivèrent devant la porte ouverte de la salle.
Il proposa avec gentillesse à la Princesse de rester quelque peu derrière lui pour qu'il puisse l'annoncer.
Ceci fait il s’avança d’un pas dans la salle puis de sa jeune voix s'exclama en s'abaissant quelque peu.


Hum hum … Noble assemblée, le bonsoir,

J'annonce que Son Altesse Royale Elisa Sophie Mathilde De Lahaye Malemort, Princesse de France, Dame de Saint Bonnet en Bellac et Grande Chancelière du Limousin & de la Marche va faire son entrée.

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ça claque hein? c'est du Aldraien!!!
Aldraien
[Je considère que la soirée se passe avant la bataille où la rousse est tombée.]

Encore devant son miroir, la Carsenac. C’est qu’elle y passait beaucoup de temps en ce moment, avec les divers événements publics auxquels elle participait. Public ou presque, puisque la soirée à laquelle elle s’apprêtait à se rendre n’était en rien ouverte au premier venu. Une soirée privée composée uniquement de la famille royale et de leurs invités et animée par les meilleurs dans le domaine. Elle ne savait pas encore si son fiancé serait présent ou non lors de ces festivités, la santé de celui-ci étant fragile et ne lui permettant pas d’être partout lorsqu’elle décidait de faire des siennes. La rousse savait que depuis qu’elle était partie faire la guerre loin de lui, il ne sortait pour ainsi dire plus, et c’était à peine si elle avait une réponse aux courriers qu’elle envoyait, mais peu importe, il restait dans son cœur malgré tout, et c’est à lui - et au bébé qu’elle portait - qu’elle pensait lors des soirées au campement, où elle restait à l’écart des autres soldats occupés à dépenser leur solde en alcool divers et bon marché. Elle n’avait pas envie de boire.

Le fameux jour où elle devait se rendre au Louvre était arrivé et, fatalement, ce fameux rendez vous avec son miroir également. Elle n’a rien à se mettre, encore une fois. La seule robe qu’elle avait à la hauteur de sa future condition était sa robe de mariée, et il était hors de question qu’elle la porte avant la jour de la cérémonie, ça allait de soi.
La grande question : que porter ? Elle n’allait certainement pas s’y présenter en braies, tenue de voyage ou autre fantaisie qui la ferait passer pour une rustre, chose qu’elle ne pouvait pas se permettre en tant que future Malemort. Oui, puisque le fiancé de la rousse n’était autre qu’Hannibal de Cassel Malemort, et qu’ils se marieraient le sixième jour de novembre, soit très bientôt. Elle avait encore bien du mal à réaliser d’ailleurs, il lui restait tant de choses à faire encore ! Des invitations à envoyer, des certificats de baptême à envoyer, des personnes à réunir, un fiancé à sortir de sa demeure pour le trainer jusqu’à la Chapelle, tout ça.

Mais pour l’heure, sa tenue.
Sa tenue…Rien de bien exceptionnel, rien qui puisse rivaliser de splendeur et de beauté avec les toilettes qui seraient certainement de sortie ce soir. Malgré tout, il faudrait qu’elle soit à la hauteur de celle qui l’avait invité, sa future belle-sœur, son Tout; alors elle ferait un effort. Un bain bien mérité après les heures de voyage qui étaient les siennes afin de retirer toute la poussière dont elle était couverte en arrivant dans la Capitale. Le Louvre…Première fois qu’elle allait y mettre les pieds. La Reyne lui avait dit un jour que Ségur -plus grande demeure où la rousse avait pu mettre les pieds- était comme une cabane de jardin à côté du Louvre. Voilà qui promettait d’être…impressionnant. Les femmes de chambre se mettent en tête de la coiffer, et de l’habiller, avant qu’elle ne se rende au lieu indiqué par l’invitation reçue. Classique, la longue chevelure de feu est tressée et quelques liens de couleur or mêlés à ceux-ci afin de les mettre en valeur.

Finalement elle portera une robe très simple, d’un blanc légèrement cassé, en lin afin de ne pas trop souffrir de la chaleur qu’il fera sans aucun doute dans la pièce où elle serait reçue avec les autres invités, sans compter sur l’agissement de quelques verres de bon vin; pas trop cintrée, elle laissait néanmoins deviner les formes de la femme enceinte qu’elle était, bien que celles-ci ne soient pas encore très développées . Le tout surmonté d’une cape azure bien connue puisqu’il s’agissait de celle de l’Ordre Royal de la Licorne, celle-là même qui montrait son appartenance au dit ordre. Elle n’avait pas d’autre cape qui puisse mettre un peu de couleur dans sa tenue, et elle se refusait à porter un vêtement noir.
S’assurant que tout était un peu près en place, la rousse avait pris le chemin du Louvre à l’intérieur d’un coche pas très habile à éviter les nids de poule qui parcouraient la route. C’est donc après avoir enguirlandé comme il se devait celui qui devait la conduire à bon port que la Carsenac se retrouva face au Louvre. Et sans voix.


- Aldraien Sybell Carsenac, Dame de Chamaret, Fiancée de Son Altesse Hannibal de Cassel Malemort. Je suis ici sur invitation de Son Altesse Elisa de Lahaye Malemort.

Elle avait trouvé l’entrée on ne savait pas trop comment, certainement un grand coup de chance du destin, qui lui avait permis de ne pas se prendre un mur au détour d’un couloir alors qu’elle gardait le nez en l’air pour observer la splendeur des lieux sans même prêter attention au chemin qu’elle prenait. On la laissa finalement entrer, et les personnes qu’elle vit, habillées de leurs plus belles tenues, confirmèrent que sa tenue était bien loin d’être à la hauteur. Mais qu’importe, elle brillerait de sa personnalité, à défaut d’autre chose. Ou pas, mais bon.
Plus que toutes les autres personnes présentes, c’est son cousin accompagné de la Princesse qui la marquent. Elle ne dira rien, elle a promis à Elisa de ne plus jamais faire quoi que ce soit qui pourrait les faire se perdre à nouveau, elles ont déjà eu tellement de mal à se retrouver après leur dernière dispute. Une autre femme attire son attention, en la personne d’Axel, qu’elle a bien connu alors qu’elle vivait en Lyonnais Dauphiné et qu’elle salue d’un sourire avant de revenir à l’ensemble des personnes présentes.


- Bonjour à tous. Aldraien Sybell Carsenac, ravie d’être présente ici ce soir, j’espère ne pas être en retard.
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.mahaut.
Des jeux ? Mon foie, on était là pour ça. Enfin, pour ça et si d'aventure autre chose se présentait...

- Oh la Grenouille j'adore ce jeu!!! Quelle joie d'être ici vraiment, merci de cette invitation, et quel goût concernant les convives, n'est-ce pas ma très chère ? D'ailleurs nous pourrions commencer à ....
Mais avez-vous prévu de quoi nous désaltérer, chère madame, car arpenter les couloirs du Louvre donne soif ! Gran' soif !


Ah, le cœur de la soirée. C'était là qu'il fallait appuyer.

- Ou pour ne pas vous déranger, juste les clés de la cave, pour visiter...

Bon, non, manifestement, ce serait plus pour la fin de soirée. Pour l'instant, il fallait jouer l'invitée polie et bien élevée. Invitée par une inconnue, d'ailleurs. Comment diable avait-elle été invitée ici ?
Suivant Axel devant les jeux, elle en profita pour chuchoter :


- C'est vous qui m'avez faite inviter ici ? C'est la première fois que je viens au Louvre... Vous croyez que c'est pour nous faire visiter les catacombes ? Une punition de l'hérauderie ? Si on perd au jeu, on est exécutées ? un silence Vous croyez qu'on pourra visiter les caves si on gagne ?

Après tout, jouer sans enjeux, ce n'était jamais intéressant. Et l'argent, ça allait, ça venait, alors qu'une cave royale... ça se vidait. Et ça se remplissait. Et ça se revidait. Le mouvement perpétuel à portée de foie.
Quand même... Depuis le temps qu'elle le voulait... C'était la première fois qu'elle était si près de son but... Si près de la royauté et de...
Ah tiens, Della.
Elle se raidit instinctivement. Allez savoir de quoi elle était capable... Finalement, la thèse du complot se tenait, on pouvait en vouloir à sa vie ! Et dire qu'elle n'avait pris aucune arme sur elle. Peut-être un chandelier ? Oui, un chandelier, c'était une bonne idée.
Mais d'autres personnes entraient dans la salle et les présentations commençaient.
Elle se força à se concentrer. Ce n'était pas le moment de confondre les gens. Elle se rapprocha d'Axel.


- Dites, euh... Vous restez pas loin, hein ?

Peur ? PEUR ? ouais. C'était dire si elle avait envie de boire.


- J'annonce que Son Altesse Royale Elisa Sophie Mathilde De Lahaye Malemort, Princesse de France, Dame de Saint Bonnet en Bellac et Grande Chancelière du Limousin & de la Marche va faire son entrée.


Vache. Première nouvelle pour Mahaut. Heureusement qu'elle avait laissé Anatole à l'auberge. On pouvait donc être princesse ET limousine ??

Se préparant à une révérence de première catégorie, elle jeta un oeil nerveux au buffet. Les blessures, la possibilité d'un complot de l'hérauderie et des limousins. Ça allait faire beaucoup à gérer pour une soirée. Vite, cacher ça sous un sourire ravi.
A défaut de réussir à te défendre, fais croire à tes assaillants que tu n'as pas peur d'eux. Mais arrête de regarder le chandelier, quand même. Un verre, par pitié !

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Luckylachance
Aux cuisines, parce que c'est là le plus excitant...

La jeune femme s'affairait également. Vélin à la main, elle observait ses notes concernant les boissons de la soirée. Aidée par plusieurs gens du château, elle préparait les lots de bouteilles à aller disposer dans le salon.
Pendant ce temps, Della également s'affairait. Tout devait être prêt pour ce soir, et le délai avait été un peu court. Mais une chose est impossible seulement si on décide qu'elle l'est*.
Sourire en repensant à cette phrase.


Oui le Jurançon il faut prendre toutes les bouteilles qui sont ici !

Dernier ordre donné tandis que son amie commence déjà à aller disposer ses pâtisseries.. et fromages, dans le salon. Il était temps de se presser, tout devait être parfait à l'arrivée de leur altesses.
C'est donc peu de temps après sa supérieure que la jeune blonde prit le même chemin.


Au Salon Olympe, là où c'est plus guindé.

La jeune femme suivit de ses gens entra peu après Della. Elle donna des instructions pour poser les divers boissons, en fonction de la disposition des plats. Tout devait être cohérent.
Ainsi,, Jurançon, Crémant brut et du crémant rosé pour les pâtisseries, ainsi que des vins rouges pour le fromage, Cahors mais aussi des vins de Bordeaux, elle avait toutes fois mit en guise de neutralité, de l'hydromel, doux et sucré, ainsi que du Bourgogne rosé.
Elle avait tâché de faire simple mais tout de même en accord avec les mets proposés, ce qui n'était guère toujours une mince affaire !
La jeune femme prit soin de veiller à ce que tout soit disposer parfaitement. Une fois cette tâcher effectuées elle s'approcha de Della et des autres personnes présentes.

Grand sourire sur le visage de la blonde.


Bien le bonsoir à vous ! Dit-elle à Camille et Aranelle, qu'elle connaissait déjà, tandis que les invités arrivaient.
Regard pour leur altesses ainsi que pour leur invités. Tiens... Elisa était coiffé comme la coiffure qu'elle avait élaboré pour elle au sacre. Elle en fût surprise. Elle salua d'une révérence polie.

Puis son regard se reposa sur les invités en train d'arriver peu à peu.


*Alice aux pays merveilles
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