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[RP semi ouvert] Faut se ramasser pour avancer... ou pas ...

Andrea_
Seules les personnes ayant participé a la prise de la mairie de Castillon dans la nuit du 23 au 24 septembre et éventuellement les défendeurs de la ville peuvent participer a ce RP. Pour les autres merci d'envoyer un MP. Bon jeu



Andréa, c'était son ptit nom, aimait se faire appeler Son Altesse... De toute façon, sa nouvelle famille, a commencer par sa meilleure amie, la traitaient comme une reyne alors...
C'est qu'elle n'en avait pas eu, l'oiselle, de véritable famille... Les cheveux châtains, les yeux clairs, la peau tellement pâle qu'elle en parait translucide, on lui donnerait le bon Dieu sans confession. Parfois ça arrivait.. jusqu'à ce qu'elle parle. S'il le très haut avait été généreux physiquement parlant, il avait dû -sans se vanter- tout miser la dessous, sans jamais penser qu'elle devrait ouvrir la bouche un moment ou un autre... dès qu'elle parlait, le mythe s'effondrait.

Elle sorti de la roulotte, enfin de celle du meneur, se recoiffa un coup, lissa sa jupe... et, sourire en coin et auréole de travers, jeta un rapide coup d'oeil aux alentours.



La nuit était tombée - que le temps passe vite quand on... est dans la roulotte du chef - mais la lune éclairait généreusement le camp, le vent se mêlant aux arbres, fesaient courir des ombres sur l'herbe écrasée sous les séants de la bande de joyeux drilles, qui aimaient festoyer autour du feu désormais presque éteint. La rosée n'avait pas encore perlée,

Il n'y avait pas un bruit, a part Le Roy qui ronflait comme un bienheureux... il avait le pied marin celui là, dans sa tente au dessus de la roulotte !

Elle serait bien allée voir par la fenêtre de la roulotte de la Jolie mais... effet d'optique dû au manque de sommeil ou pas, ça avait l'air plutôt vivant la d'dans ! Elle esquissa un sourire, sachant que de toute façon, La Jolie, dans les bras de son brun, était en sécurité.

Elle pesta n'apercevant pas Eric, si elle n'avait pas eu les ailes engourdies, elle se serait bien envolée à la mine, histoire de rappeler au Rouge que certes, travailler c'est bon pour la santé - mais elle n'était pas sûre d'être convaincante- mais qu'il fallait pas abuser non plus, l'heure était au rassemblement.

Y avait bien Le Renard qui dormait au coin du f..., des cendres mais...
les cheveux longs sur le visage, on savait pas trop s'il agitait la patte d'un plaisir venu du pays des songes, ou s'il rêvait du coup tant attendu.
La ptite chataine aurait juré qu'elle voyait un filet de bave couler sur la manche du " mi-roux" - comme elle aimait l'appeler - mais, profitant du plaisir d'un calme sans pareil, resta immobile a contempler ce qui ressemblait a une famille.

Pis, comme il fallait se douter que son silence ne durerait pas - vous allez vite la cerner - elle lacha un


MERD' Bossuet t'abuses !!!

Dégaina son épée d'un geste ample mais précis, et piqua légèrement dans la toile espérant toucher un morceau de fesse, ou du moins, pas un oeil ou un truc important.




Le grand jour était arrivé.
Le_g.



23 septembre - 7h30

Le réveil de l'ours est pas terrible...

Au petit matin, il se lève, hagard, le cheveu en bataille, grognon, comme à son habitude, et tend la main vers la belle qui vient de partager sa nuit, mais... Elle n'est pas là ! Il se lève d'un bond, encore de plus mauvaise humeur s'il était possible, et regarde autour de lui.

La colombe s'est envolée, pas de doute. Il se laisse tomber sur sa couche et soupire. Quelques grognements plus tard, les chants des coqs qu'il finira bien par réussir à tuer un jour, marmonant un :


Je t'aurai un jour, le coq. Je t'aurai !

Voilà que celui qui a fait entendre des grognements et des râles toute la nuit dans le campement se lève et s'étire, faisant craquer ses épaules. La nuit a été... mouvementée. Il sourit aux souvenirs que les craquements évoquent et sort, torse nu. A croire qu'il a pas de chemise. Direction la taverne pour le petit déjeuner avec les filles, comme d'habitude. La jolie et la colombe y seront-elles ? Il n'en sait rien.

Apercevant la colombe, il passe derrière elle, et l'enlace, lui mordillant l'épaule.


B'jour.

Et sans plus attendre, il va se servir : tisane, et pain, se jetant dessus comme un vorace, il a pas mangé depuis huit jours on dirait !

Un message lui parvient, une douanière, dont le nom est oublié aussitôt la missive lue, qui lui demande de partir sur le champs.


L'abuse elle.

Mouais, quand on dit qu'il est grognon le matin, c'est pas une farce il faut croire. Il met le parchemin dans sa poche. On verra ça plus tard. Pour le moment, il termine son repas, et retourne dans sa roulotte pour prendre une chemise, sale s'il vous plait.

V'là, j'ai mon alibi. Si on vous l'demande, j'ai les bourses vides, et j'vais à la mine.

Il regarde la colombe, un sourire carnassier sur les lèvres, et gourmand à la fois.

Faut qu'on d'mande un laisser-passer pour pas passer, mais pour rester... Sont un peu cons dans les noms de leurs papelards.


Andrea_
A peine le temps de rentrer son fer dans l'écrin que des bras l’enlaçaient.
Pas de quoi se méfier, la chaleur ressentie dans son dos le caractérisait, son parfum aussi, la douceur de ses bras, ses dents dans sa peau, ses...


Citation:
B'jour.
humm oui pas de doute, il se réveillait, s'il avait pu le dire en grognant il aurait pas fait mieux.

Pourtant bien contente de l'avoir si proche, mais par peur de virer " bisounours", et surement parce qu'il s'était jetée sur le ptit déj' sans attendre autre chose, elle regarda le brun, presque amusée de le voir dans cet état...

Bonjour l'animal, l'ours voudrait du miel peut être ? Elle pouffa, nan vraiment la mauvaise humeur des autres la faisait rire y avait rien a faire la dessus.

Citation:
L'abuse elle.
V'là, j'ai mon alibi. Si on vous l'demande, j'ai les bourses vides, et j'vais à la mine.


Il disparu dans la roulotte, avant de réapparaître quasi instantanément, paré de sa plus ... crade ? chemise

Elle le dévora des yeux, taquine, espérant se souvenir que sous cette chemise sale, poussiéreuse et .. odorante se cachait un torse qu'elle avait griffé, mordillé et plus encore.


Alors mon brun, je vais te la faire rapide, la douanière là.. au final elle f'ra ce qu'elle veut, le laisser passer.. j'ai fait la demande et j'attends encore! je vais quand même pas me coucher pour l'avoir !Et heu.. on n'aura jamais assez de provisions si tu continues a cette allure, du moins pas tant que.. demain ça devrait aller hein?? regard mi interrogatif mi inquiet maaaaiiiis jsuis de bonne humeur et tu peux te nourrir autrement. Elle pensa " a mon tour mon mignon de dessiner ce sourire carnassier sur mes lèvres!" Et le brun pu voir le sourire...
Kirke
Les pas retentissent dans la ville à consonance espagnol. Retentissent comme dans un comme dans un couloir de pierre.

Regarde,
Le jour se lève,
Dans la tendresse,
Sur la ville...

Ou pas ! Quel journée de gueux c'te 23 septembre. Le Duc félon pestait. Oui, comme à son habitude il pestait contre Aristote, qui venait toujours lui mettre de l'eau dans les bottes un jour décisif ! Et quel jour décisif ! Les fameuses fournitures étaient arrivées, afin de faire le plein d'économie pour tenir toute l'année !

Une lettre, la douanière, qui lui dit de partir sur le champ... Et là le choc ! Flashback d'un mois plus tôt. Ce petit papier aux allures normales lui rappelait étrangement le torchon dont la Reyne proposait. Cette fois là, en haut -Paris pour les incultes-, on avait mal pris le fait que le Penthièvre voulait amener le papier pour son château, en rupture de stock de papier latrines. Et en plus de ça on l'avait frappé de félonie, depuis il en était tout fier, il y avait bien une chose à ne pas faire : féloniser un angevin.

Alors montant sur ses grands airs, et surtout sur son cheval, il prit la route de Castillon, bien entouré et bien déterminé à se servir quelque part. Mais où ? Le Ponant, ça fait mauvais effet, se tirer une balle dans le pied rien de plus... Et lui vint l'idée d'aller défier le Salmo Gros Lard - Salmo Salar ? Ah oui c'est mieux ça je crois- à domicile. Et parti pour une attaque contre les bouffeurs de magret de canard. Il avait revêtit pour l'occasion ses habits noirs, s'était laissé pousser sa barbe -ça fait toujours plus voyou- et avait volé quelques cordes au marché.

Le soir vint, quelques bons gars, bien de chez nous, un chiffre Porte Bonheur, une sous marque de Mr Renault, un campeur, une preneuse de mairie en solitaire, que de fidèles loups de mer !
On aurait dit des gamins, marchant, le sourire aux lèvres, l'épée à la main. Une nouvelle pousse dans le milieu recruté quelques jours auparavant devait être là, avec ses hommes.

Un regard bleu transperce les murs qui apparaissent au loin. La prise est en marche. Attendant son homologue, le Duc félon prend sa gourdinette au contenu inconnu ou presque, et s'en file une rasade.

On est toujours mieux quand on a chaud.
Le_g.


Doigt qui fait trempouille dans le miel, avant de finir entre les lèvres de l'ours. Faut croire que ça le détend, il retrouve, pas trop tôt vous me direz, le sourire, et regarde sa belle, commençant à l'enlacer, et lui murmure :

J'ai faim de dessert.

Alors qu'ils sont très très occupés, Sa Majesté vient les interrompre. Il rit, coupé dans son élan, et du coup, le vit dressé mollit. Cachant sa partenaire, il lui tend sa jupe et son chemisier, avant de remettre ses braies aussi.


[...]


23 septembre - soirée.

Ils s'étaient perdus, retrouvés, et bon, la suite, on vous la passe... En attendant, c'est direction la taverne d'à côté pour aller rencontrer la douanière, et une missive au Duc ou au comte à faire... Bref, un machin à demander pour rester. Il attrape sa chemise dégueux que même lui il a du mal à la supporter tellement elle pue et elle est sale ! Mais bon, un alibi, ça peut pas s'inventer si facilement.

La chemise qui pue sur le dos, il va donc expliquer son cas de misérable gueux, affamé, devant travailler à la mine pour survivre, en compagnie de sa belle...

Stelliem, la douanière, était des plus efficaces pour faire fuir les gens., se laissera-t-elle prendre à la scène qu'ils leur jouent ? Improvisation totale, il se retrouve à demander, enfin presque, la main de la Colombe. Ouch, ça fait mal ça, pour un libertin, enfin ancien libertin, puisqu'il est tombé dans LE piège qu'il a pas vu, lui qui d'habitude, déjoue les tours des femmes pour les coucher sans avoir à s'engager. Là, de toutes façons, il est cuit, épris malgré lui, mais ça, il voulait pas le dire. C'est que contraint, par peur de la perdre, qu'il a fini par le lui dire, qu'il regarde plus les autres femmes. Il ne voit plus qu'elle.

Crétin qu'il est, il se retrouve donc avec sa belle, à califourchon sur lui, se vantant auprès des autres femmes de l'avoir pris au piège. Il grogne, peste et grommelle, mais ne peut que se rendre à l'évidence.



Andrea_
23 Septembre soirée toujours, un peu plus tard après " le désastre"

Voilà voilà, elle aurait bien changé la version, pour que ça paraisse moins mielleux, mais après tout, ce n'était qu'un pari idiot..

Sauf que... bin fallait pas compter sur le Roy et la jolie pour les sortir de ce joli merdier !! c'est beau les amis tiens!!

L'explication s'était soldée par un cuisant échec, aucun soutien, rien... ils ont creusé dans la fente.
Le bilan est lourd : un mort dans le camp des pigeons, 2 plumes a Ambly, un doigt en sang toujours pour la jolie, une crampe de rire pour le roy, un sourire forcé pour la colombe, un cri de désespoir pour Track, un moine réquisitionné pour LA messe...

Non pas qu'elle était indifférente a son brun, mais... de là a se marier.. finir comme sa chose, sa marionnette..

Elle espérait presque crever dans la nuit...
Owen.
24 Septembre au matin


- Mortecouille ! Mes bottes neuves...

Le pied qu'il vient de poser à terre en sortant de la roulotte, s'enfonce dans la boue, laissée par la pluie de la nuit.
Il peste et grimace en voyant le cuir qu'il avait pris soin de frotter la veille, avant que...........


Son regard parcourt le campement. Nu comme un ver, à part ses bottes, il s'étire et remonte à l'intérieur.
La nuit a été chaude. La Jolie dirait brulante. Les vêtements retirés en toute hâte et éparpillés au travers en témoignent.
Une cuisse blanche de femme émerge de la couverture. Il caresse la femme, alanguie de son regard sombre, sourit en connaisseur. Avant de grommeler à nouveau.


- c'est d'la faute au bossu, tout ça. Et à sa Berthe. Elle l'a bien amadoué celle là avec ses pieds........Tout ça pour des jambons.

Et Owen éclate de rire.

- Ambly, range tes atours. Pas l'moment là. J'suis qu'un homme moi .

Il ramasse ses hardes et la toile rèche vient agacer les griffures de son dos. Cette femme est pire qu'une tigresse quand le plaisir l'emporte.

Owen passe sa langue sur sa lèvre tuméfiée . VentreDieu qu'ça fait mal. Il a cogné dur le bougre. Peu importe, il en a vu d'autres , lui.
Sa machoire se durcit alors qu'il pense à ces messages reçus partout où ils passent.

- Laisser passer, laisser passer d'mes deux. J'veux rester un peu ici moi, je m'plais bien. Et pis ma Belle, j'tai promis un autel non ? pas trouvé encore. Trop occupé cette nuit.

D'toute façon, je m'fous de ces parchemins à la noix. S'il faut crever, qu'ce soit la tête haute, le regard fier. Personne me dit où j'peux aller ou pas.

Il s'approche de la couche , et du bout des doigts parcourt l'épaule et le cou de la belle, s'arrête sur sa bouche. Déjà son sang bat plus vite, plus fort , comme cette nuit, quand...........

Il tire d'un coup sec la couverture, en riant, dévoile le corps encore assoupi d'Ambly, et lui donne une petite claque sur la fesse.


- Debout ma Jolie. On a à faire ici encore ! Track nous attend !
197856
Lui a un laissé passé en bon et du forme, signé et cachetonné.
L'autorisation de trainer en main il le relit encore une fois, 10 jours, mazette.
Il hésite entre relever sa lèvre supérieure droite en guise de sourire et pleurer...
10 jours, c'est plus ce que c'était. Le Bulot lui n'a pas du avoir même qu'un jour. "Lui" il est félon qu'il dit... Et alors ? Lui, le vieux, a aussi été félon d'abord, excommunié aussi, 'tin mais il leur fallait quoi ?!!
Puis il avait compris à la vue des autochtones en taverne, des gens gentils, un défaut que le vieux n'appréciait guère, et serviable avec ça... De quoi lui faire dégobiller ses derniers vivres avaler à la hâte. Pain et maïs, miam.
Et dire qu'on lui faisait sentir qu'il avait envie de whiskey, sans même savoir ce que c'était.

Enfin à force de sieste, le soir vint, et il prit "la route pour du verger" pour aller décrocher des pommes, en se disant que les jeunes avaient quand même des métaphores des plus pécraves et qu'il faudrait songer à changer cela.
L'enthousiasme transpirant par chacun de ses pores il arriva à hauteur du bulot et lui octroyant un coup de laisser passer sur le tronche, s'enquit de sa ducalo-félone personne :


Et c'est parti pour le show, et c'est parti, tout le monde il est chaud ?
Amblypyge
23 Septembre au soir

Ambly avait donner son sang pour la colombe et pour Track pour une farce alors elle pouvait bien se risquer à le redonner pour un coup... un coup qu'elle sentait pas cela dit. Mais vraiment pas! Elle savait pas où elle mettait les pieds, ça lui plaisait pas.... mais faut bien manger, hein?

Sans épée, armée de ses seuls osselets, c'est comme ça qu'elle avait rejoint le groupe, si fallait cogner ce serait avec ses mains, ses pieds, ses dents?
Bref elle s'était entrainée avec son brun a grimper sur les murs alors elle avait décider de le faire ce soir là...
Un osselet jeté dans un carreau et deux minutes plus tard elle était sur les épaules d'Owen et tentait d'escalader la mairie pour atteindre la vitre cassée en appelant Berthe, à voix basse bien entendu....


Berthe....... Berthe.... sort de là... du jambon!! Des bons jambons...

Puis la voilà sur le cul, incrédule... elle était tombée comme une loque et mis quelques temps à comprendre ce qui se passait. Les défenseurs avaient mis du temps à réagir mais ils étaient là, en train de tirer son brun des murs de la mairie.
La jolie se traina aux pieds d'un et le fit tomber à terre, un regard aux autres, quelques coups donnés au passage et la fuite...

Et la nuit............ brulante oui! Bru-lan-te!


24 Septembre au matin

Plongée dans le sommeil, elle entendait pester au loin, très loin... Berthe?

Et ses grands pieds... Elle avait marmonné en souriant. Et pourtant elle était mauvaise du plan foireux... mais le rire qu'elle entendait effaçait toutes les mauvaises pensées.

Et ça ronchonnait à nouveau, elle remua un peu agacée puis se stoppa net en sentant ses mains sur elle. Se laisser faire et apprécier, frémir, émerger doucement... pas si doucement que ça! Un grand frisson la parcouru lorsque son corps fut révélé au grand air...
Elle rit et se redressa pour embrasser le beau brun et passer sa langue doucement sur la lèvre enflée.


En effet, on va avoir une dure journée je pense....
Et faut que j'aille arracher les dents du Rouge!! Ce couillon, va m'entendre!
Princekris
C'est essoufflé que Kris s'assoit sur les marches de la mairie.
La prévôt et le maire avait eu le nez creux de renforcer la défense.
Mais c'était plus de son âge à cavaler comme ça derrière des coquins qui veulent fracturer la porte puis peut être le coffre de la mairie.
D'ailleurs il sent bien le poids des ans vu qu'il est resté à la traîne, reconnu personne, attrapé personne.
Pourtant y avait du monde.

Purée rien à boire à c'te heure.
Ai soif moi


Il se redresse et siffle dans ses doigts.

LES MILICIENS AU RAPPORT !



_________________
10 victoires dont 2 Amaniu et 1 Pitiviers comme cap's
7 défaites + 1 contre Périgueux
Castillon 42 ème sur 171 au 03/11/1459
Le_g.


23 septembre - En taverne - après "le désastre" - avant "la déconfiture"

Se marier, non mais quelle idée !!! JAMAIS !!! Faudrait se faire pastoralisé pour ça en prime ! Nan mais qu'est-ce qui lui a pris ? Tout ça sur une improvisation devant la douanière pour se faire un alibi de "gentil toutou à sa mémère". Put*in, il enrage... Et La Jolie et Le Roy qui en rajoutent ! Pire, La Jolie va jusqu'à écrire au Moine ! Nan mais sérieux ?

Par le Sans-Nom, qu'est-ce que je t'ai fait pour mériter ça !

Il bougonne, peste, rale, et avec sa belle, ils se lancent dans une bataille :

La Colombe/Le GAucher VS La Jolie/Le Roy.

Le résultat de la bataille ?
- 1 pigeon mort : celui que La Colombe a fait embrasser la table de trop près
- 1 doigt qui saigne : celui que La Jolie s'est piqué pour écrire au Moine
- 2 plumes en moins : celles de La Colombe
- 2 déconfits : La Colombe et Le Gaucher
- 2 hilares : La Jolie et Le Roy.

Mais ce serait sans compter sur la mémoire phénoménale, immense du Gaucher, à peu près celle d'un poisson rouge... ou pas... Allez savoir, il en joue, pas facile de deviner. Il enlace sa belle et lui murmure :


T'inquiète pas, Le Moine, il peut pas nous marier, déjà, on n'est pas pastoralisés et en plus.

Il sourit, ils sont sauvés. Pour être plus sûr, il s'agenouille devant Andréa, dans une taverne pleine, bondée de monde, et lui prend les mains.

Ma Belle...


Il la regarde dans les yeux.

Acceptes-tu de ne pas devenir ma Femme ?

Pas conventionnel ? Meuh si ! Juste il a même mis les formes pour une fois ! La Belle soulagée, accepte. Il envoie alors les missives à son groupe. Pas tout ça, mais ils ont un boulot à faire, pas tout d'amuser la galerie, il faut aussi manger.


24 septembre - Rues de Castillon - "la déconfiture"

A avoir fait confiance à une personne présentée par personne interposée, il avait récolté ce qui devait arriver... Manque de bras, les étrangers repérés, en gros, il avait l'impression de s'être fait avoir dans les grandes largeurs, et serrait les dents. De l'autre côté, les membres de son groupe lui en voulait, comment pourrait-il en être autrement ?

La Jolie avait tenté d'entrer par la fenêtre, La Colombe était la bouche en coeur à tenter de charmer un garde, ayant pris soin de se maquiller comme une roulotte volée ! Sérieusement, lui-même avait du mal à la reconnaître. Pour sa part, Track avait changé de fringues, tout en noir pour la nuit, ça change de ses couleurs orange et mauve, (oui, il aime la couleur...) de la journée.

Devait arriver ce qui devait arriver, les miliciens, deux fois plus nombreux, les repoussent sans grande difficulté. Avant d'avoir des blessés ou des prisonniers, il siffle la retraite.






24-09-2011 04:03 : Votre révolte a été un échec. Vous étiez une bonne XXXXX contre un escadron de gardes.
Stelliem
Le 23 septembre 1459 à Castillon

Reveillée de bonne heure, Stell profite de cet instant pour partager avec son amour un moment calin comme elle aime et c'est le sourire aux lèvres qu'elle se leve pour se preparer, manger et partir pour une journée de travail.

Tout d'abord, les remparts récuperer les informations prises par les gardes. Elle soupire en voyant la liste des etrangers et se dirige vers la caserne pour faire son travail a savoir envoyer des courriers a tout ce petit monde... Elle regarde les listes de noms et soupire puis grogne et file voir Kris et Antinea.

Coucou ! Bon j'en ai marre de prendre des decisions seule sans avoir un avis exterieur... Je n'ai plus de conseiller vu que pitiviers n'est pas bien et que toi et antinea n'avaient pas acces aux informations donc voila la situation de Castillon vis a vis des etrangers...

Et de montrer le nombre plus de 30 etrangers... et de dire c'est pas bon qu'il faut faire quelques choses... Decision prise on renforce... enfin... cela la rassure et elle met en place la defence... Mais grogne quand la prevote lui ordonne de lancer des procés a tout les etrangers sans laisser passer. Prend la liste, dire demain je m'y colle et file a Castillon se detendre en taverne...et... continuer son travail de douaniere.

Passer la journée a rencontrer des etrangers a faire connaissance, a repeter et redire de demander des LP. Cela lui evitera de faire de la paperasse... Ben oui elle aime pas ça ! Sourire amusée devant certaines reactions... Trouver que certains en font un peu trop mais s'amuse et laisse faire et dire.

Elle est sereine, Castillon ne risque rien pour ce soir... La soirée se passe, du monde, du bruit, des tournées...de tisane pour elle merci bébé ! Et c'est tranquillement qu'elle part se reposer et passer une bonne nuit...

24 septembre 1459... Une revolte ? ben ... quelle idée !!

Si le reveil est agreable, la matinée ne fut pas de tout repos. Apprendre que dans la nuit certaine personne avait tenté une revolte... Et voilà encore de la paperasse a faire pfffff comme si lancer une vingtaine de proces n'etait pas suffisant. Prevenir le maire... ecrire aux miliciens pour leur demander leur rapport... voir avec les marechaux... Voir completement eberluée le message a l'entrée de la ville et grogner contre ces idiots d'étrangers... Voir avec le maire pour qu'il envoi un courrier contrant ce message... Et entre deux discussions faire une plainte...

Passé la journée en taverne et a ecrire, les pigeons volent, s'apercevoir que la troupe de troubadour ont leur LP ou presque et qu'ils ont emmenagé. D'autres aussi... Sourit un peu perplexe quand au jugement du comte qui les donne... si facilement... mais hausser les epaules pas son probleme, elle aura moins de travail a faire...

Et le maire de prendre les choses en main... a sa maniere comme a son habitude... Rencontre... discussion... Stell lui fait totalement confiance...

_________________
Andrea_
23 septembre - En taverne - après "le désastre" - avant "la déconfiture"

Un regard pénétrant - ou suppliant - et la belle, pas trop rassurée de ce qui allait sortir de la bouche du gaucher, sent ses mains enroulées de celle du brun

Elle avait lâché un soupire de soulagement, le coeur ralentissait enfin quand elle accepta la " non demande en mariage " de son brun.

L'histoire était réglée.






24 septembre - Rues de Castillon - "la déconfiture"


C'est qu'elle en avait mis du temps, la colombe, pour ressembler a une catin ! Bouche en coeur, pose suggestive et atouts en valeur - et en avant-.
Ce spectacle devait être la seule représentation dans cette ville, et elle était décidée a mettre le paquet.

La belle avait bien vu passer son brun de noir vêtu, mais n'était pas sûre du contraire , puisqu'il ne lui avait pas sourit en passant.. Elle avait bien eu du mal a garder son sérieux devant le garde quand elle avait aperçu la Jolie, en équilibre sur les épaules d'Owen, ce qui n'était pas sans lui rappeler un autre jour "noir" et se disait que " le bougre il en profite pour fourrer sa tête dans ses jupons "
Elle était restée pensive un instant quand le garde avait louché sur sa cuisse soudain dévoilée, en se demandant si les autres n'avaient pas d'ennuis...

Et n'avait jamais couru aussi vite qu'en voyant passer le maire en tenue de nuit, chemise brodée et bonnet assorti.

Ce n'est qu'arrivée au camps, en constatant qu'une griffe n'avait pas résisté a la course folle, qu'elle se fit la promesse de s'occuper personnellement de son brun...






24 septembre - taverne municipale - " après la déconfiture - la confrontation"


Elle avait vite compris en arrivant ici, voyant Le Gaucher sérieux, le maire - cette fois habillé convenablement - et la douanière, qu'il se passait un truc de grave.

Il faut savoir reconnaitre la défaite, faire des concessions. Et pour la colombe, la famille passerait avant.

C'est donc sourire aux lèvres qu'elle aperçu la douanière joliment arrondie rayer plusieurs noms, 7, sur son registre des plaintes a poser.
Le_g.


24 septembre - Taverne "La bottine souriante"
La confrontation, Acte I Scène 1.


Ensemble, soudés, unis après la déculottée. Track regardait les griffes, conscient de la déconfiture. Ensemble, ils s'amusaient, riaient, et tentaient d'oublier. Le bourgmestre était venu leur faire savoir que l'une d'entre eux était reconnue. Pas de noms, mais nul doute à son regard que La Jolie était sur leur liste. Plus qu'à espérer qu'ils avaient pas d'autres noms.

A leur habitude, sans avoir besoin de se concerter, une improvisation magistrale, à tel point que le maire se lasse, et leur dit qu'ils sont des marioles. Pourtant, un truc dérange Le Gaucher...


24 septembre - Taverne "La Castillonaise"
La confrontation, Acte I Scène 2.


Laissant sa famille un moment, après avoir embrassé sa belle, il suit le maire. Arrivant à la taverne municipale, il pose les armes à l'entrée, décidé à jouer carte sur table, il veut pas de procès pour La Jolie. Après un long moment à parler dans le vent ou presque, La Colombe vient le rejoindre, alors qu'il s'apprête à se dénoncer lui-même pour sauver les fesses de La Jolie.

Il lâche le nombre des griffes... et demande l'immunité pour eux, sans pour autant donner leurs noms. En échange, ils partiront, dans deux jours... Le temps que les roulottes soient prêtes. Sa famille, les membres des griffes ardentes vont le lyncher peut-être, mais il tente le tout pour le tout. Ils partiront tous, ou personne, il en laissera pas un seul derrière.

Pour prouver qu'ils sont "gentils", il va travailler chez la douanière, cela apaise un peu les tensions. Pendant qu'il sème le maïs, La Colombe prend le relais de la confrontation.
Andrea_
24 septembre - Taverne "La bottine souriante"
La confrontation, Acte I Scène 1.


Faut avouer qu'ils avaient mis le paquet, a se demander s'ils avaient pas élevé les cochons ensemble. Faudrait penser a se tenir la prochaine fois, mais pour l'heure, il n'était plus temps de plaisanter.
Le maire, sous ses airs d'ours mal léché, avait quand même l'air grave, l'air d'avoir le pouvoir, les moyens de nous faire plier et la ptite brune n'aimait pas ça. Elle avait compris que c'était grave quand Track s'était levé pour aller le rejoindre...





24 septembre - Taverne "La Castillonaise"
La confrontation, Acte I Scène 2.


Fallait se douter qu'elle allait pas rester longtemps a coté. Plusieurs raisons, la simple curiosité, la crainte, la confiance, la méfiance...
Le regard de son brun voulait dire beaucoup de choses mais une seule lui importait, l'heure était grave. Elle s'installa, écouta et jaugea. Puis Track du partir...




24 septembre - Taverne "La Castillonaise"
La confrontation, Acte II Scène 1.


Elle avait pris son air grave. et oui.. ça arrivait parfois. Il fallait s'adapter, un temps pour tout.
Le maire avait tenté plusieurs subterfuges, voulait changé les conditions qu'avaient imposé le gaucher.
Il avait tenté, a vrai dire n'importe qui aurait tenté devant la frêle colombe.. surtout quand - et c'était rare- elle se taisait.
Bossuet avait fait une entrée discrète, s'était posé a sa gauche et avait écouté. sans rien dire - pire - pour la colombe. Prendre des décisions qui concernaient la famille, seule, elle le redoutait.
Elle avait du reprendre point par point ses exigences, ne rien céder : ensemble ou personne.
Elle avait écouté celles du maire, une seule en fait. Non sans serrer les dents elle avait accepté, la rêgle principal des griffes étant respectée la culpabilité ne devrait pas la tuer. pas ce soir du moins.
Puis le maire et sa douanière s'étaient éclipsés.
Chacun convaincu de la bonne parole de l'autre, chacun espérant que l'autre ne trahirait pas la confiance déjà si fragile.




24 septembre - Taverne "La Castillonaise"
La confrontation, Acte II scène 2. baissé de rideau, la pièce est terminée


Le regard acier posé sur Bossuet, qui semblait pensif, avait été d'abord inquiet puis interrogateur. Elle attendait son jugement.
Le " j'aurais fait pareil " " Il a eu raison de te faire confiance" avait fini de la rassurée.

Elle n'était pas fière du pacte passé, mais le jeu en valait la chandelle, La Jolie reprendrait la route avec eux.
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