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[RP]"Auberge et taverne de la Fraternité"

Arbalett
En cette matinée, Arbalett avait ouvert très tôt la taverne.
Quelques voyageurs étaient déjà passés pour se nourrir car le pain était devenu rare sur le marché mais qu'à la taverne, il y en avait toujours et au prix le plus bas.

Minoucat entra et s'assit pour discuter avec son hôte.
Celui-ci lui proposa une chambre, sachant que celle-ci passait la nuit dehors sous les arbres à la belle étoile.

L'aubergiste l'invita à la suivre à l'étage pour lui montrer sa chambre...


Si vous voulez bien me suivre, Dame Minoucat, je me ferai un plaisir de vous indiquer votre chambre!

Bougeoir à la main, Arbalett précéda la Dame, traversa le couloir et choisit une chambre agréable avec vue sur la place du marché...

Vous serez bien ici! C'est notre meilleure chambre!
Et si vous avez besoin de quoi que ce soit, Arwene et moi sommes à votre disposition!
Minoucat
Elle était fatiguée à vrais dire… Une journée harassante aux champs la veille, dans cette ville qu’elle découvrait un peu surprise, vivante, les habitants accueillants…
Après une nuit sous un arbre comme à son habitude, à l’orée d’une forêt, ayant chassé encore quelques heures sous les bosquets en compagnie de son fidèle faucon, elle avait consommé au petit matin le malheureux garenne emporté par les redoutables serres de Lanio.

Une rapide toilette dans l’eau froide d’un ruisseau, elle avait repris son baluchon et rejoint la ville.
Surprise encore, elle avait constaté que les offres d’emploi étaient multiples et réussi encore à se louer pour la journée chez un fermier du coin…

Se disant qu’une boisson chaude serait bienvenue avant d’entreprendre le travail enlevé, elle avait rejoint l’auberge de la fraternité.

Le tavernier rencontré la veille en compagnie de quelques autres habitants de la ville était présent…
En discutant, il lui apprit que des chambres étaient disponibles en son auberge.
Minou, qui n’avait pas d’idée précise sur son devenir dans cette ville, trouva cependant l’aubaine propice à s’y poser quelques temps…

Elle avait suivi alors le brave tavernier l’étage et découvert un nid sympathique dont la fenêtre au sud accueillait l’onde bienfaisante du soleil.
Son sourire s’était développé sur son pâle minois, et telle une enfant aurait presque battu des mains pour exprimer sa joie….
Mais un souci la préoccupait cependant, alors que le tavernier lui faisait les honneurs de la chambre…


-Je souhaite pouvoir gagner assez d’argent pour vous payer le gite, messire, et vous savez je suis courageuse et apte à tout travail, je fais la cuisine, la vaisselle, le ménage….

Espérant qu’il comprenait sa proposition au cas où ses fonds ne suffiraient pas à régler l’addition…
_________________
Arbalett
L'aubergiste ouvrit la porte de la chambre.

Il invita, d'un geste de la main, la voyageuse qui semblait fatiguée et harassée, à entrer.

Minoucat fit un pas dans la pièce, faucon au bras.

Arbalett s'avança à son tour et ouvrit la fenêtre pour aérer.

Puis il déposa les bagages près du lit, et, sur le rebord de la fenêtre, le perchoir que lui avait confié la fauconnière.


Je vous laisse le soin d'installer votre compagnon sur le perchoir!
Moi je n'y touche pas!


Puis un sourire aux lèvres, il répondit à sa question, la voyant fort embarrassée.

En ce qui concerne votre paiement, ne vous inquiétez surtout pas!

Je vous vois embarrassée!

Vous êtes ma première cliente, je vous offre le gîte et vous pouvez venir vous restaurer à la taverne!

Si vous avez besoin d'un travail, j'ai un champ qui attend des bras pour labourer la terre.


Arbalett attendit sa réponse, tout en jetant un oeil un peu partout dans la pièce pour voir si tout était en ordre. Le lit tiré à quatre épingles, pas une poussière à l'horizon!
Rien à redire, Arwene avait bien fait son travail!
Arwene
De retour à la taverne, Arwene entendit du bruit à l'étage.

Elle monta les marches quatre à quatre et passa la tête dans l'embrasure de la porte.
L'hospitalité de son cher Arbalett était sans faille et elle était ravie que cette jeune dame puisse trouver un gîte pour la nuit.

Bonjour dame, je suis Arwene dit elle en lui adressant un sourire chaleureux.
Soyez la bienvenue dans notre modeste taverne.

Elle s'approcha du faucon juché sur le perchoir, tendit un doigt hésitant vers sa tête emplumée et le caressa furtivement.
Toi aussi tu es le bienvenu enfin.....si tu ne touches pas aux chatons...
Minoucat
Le tavernier était généreux, son sourire franc dissipa bientôt ses craintes...

Elle observa un moment la chambre,propre et douillette. Sur un meuble, un marbre sur lequel était posé une bassine de terre cuite et une cruche... Elle pourrait bientôt faire une toilette correcte...

Je suis heureuse que vous acceptiez aussi mon faucon, soyez sans crainte il est propre...

Bientôt des pas se firent entendre et apparut une belle jeune femme qui semblait douce et vive.
L'échange de regard entre le tavernier et la dame n'échappa pas à Minou, sans doute sa femme...
Voilà donc pourquoi l'auberge était si accueillante!
Minou complètement rassurée se dit qu'elle avait de la chance d'être tombé sur cet endroit!
De nombreuses mésaventures lui avait appris la méfiance et la crainte de l'humain...

Je suis ravie de votre accueil dame Arwene!

Puis un rire...

Soyez sans crainte Lanio n'obéit qu'à mes ordres, et je crois pas avoir envie de goûter du chaton!
Par contre je gage que vous aurez bientôt en cuisine de quoi préparer une fricassée de gibier car c'est un excellent chasseur!


_________________
Arwene
Le lendemain matin, Arwene, levée,comme à son habitude à l'heure où sonnent les matines, regagna en hâte la taverne.

L' astre du jour renaissant n'engourdissait pas encore les champs endormis, la verdure claire embaumait la rosée et les oiseaux volettaient d'arbres en arbres.

Elle prit juste le temps de cueillir quelques fleurs sauvages pour composer un bouquet coloré et odoriférant qui aurait le plus bel effet dans la taverne.

La veille au soir, son tendre Arbalett avit pris soin de mettre de l'ordre.
Arwene alluma la cheminée et suspendit le chaudron rempli d'eau.
Ainsi, Minoucat pourrait confortablement faire sa toilette.

Elle dressa la table avec un grand bol, une miche de pain encore chaude, une motte de beurre et un pot de confiture de sa fabrication.

Attendant le réveil de son hôte, elle s'affaira en chantonnant.
Minoucat
Elle avait passé une nuit reposante, d'un sommeil de plomb dans un lit confortable, s'était réveillé vers 6 heures aux chant des oiseaux et sur un sourire de satisfaction s'était retournée dans les draps tièdes profitant de la douceur des lieux pour se prélasser dans le lit...

Plus tard le soleil inondant la pièce est venue caresser sa longue chevelure de soie, puis taquiner son minois...

S'étirant paresseusement, elle se dit que pour la chasse c'était un peu tard aujourd'hui, et que le confort la rendais lascive... Pourtant elle n'en éprouvait pas de remord, cela faisait si longtemps qu'elle n'avait passé si belle nuit...

Une odeur de pain chaud vient lui chatouiller les narines, et quelques bruits étouffés trahissaient une présence au rez de chaussé...
Se décidant enfin à sortir du lit, elle enfile sa jupe de coton et son chemisier, descend dans la salle commune de l'auberge...
Le dos tournée, dame Arwenn s'affaire devant la cheminée.

Bonjour dame, mmmm ça sent bon! J'ai une faim de loup!
_________________
Arwene
Bonjour Minou, avez bien dormi?
Prenez place, nous allons prendre un petit déjeuner ensembles, j'ai une petite faim tout à coup.
D'ailleurs, j'ai un peu souvent faim ces jours ci
avoua Arwene en riant.

Elles s'attablérent toutes deux avec entrain et mangérent les grosses tartines beurrées qui croustillaient sous leurs dents.

Vous vous souvenez, je vous ai parlée du bal l'autre soir et bien il semblerait que celui ci soit différé.
Le costume que j'avais choisi ne me plait pas vraiment et j'ai eu beau retourner mon coffre dans tous les sens, je n'ai toujours rien trouvé
concéda-t- elle d'un air triste.

Tout à coup son regard s'illuma et elle arbora un large sourire. Elle se leva d'un bond, grimpa les marches quatre à quatre, faillit trébucher, ouvrit tous les tiroirs de sa commode, farfouilla et dans un grand cri de joie lança :

J'ai trouvé Minou.....j'ai trouvé
Sancte
- Quoi donc ?

Voici Iohannes débarquant au milieu de ces demoiselles, en pleine délibération concernant leur tenue pour le bal, ce qui est le propre de leur sexe. Il n'était cependant pas venu pour leur faire la cour, mais pour les y convier à s'y rendre, quoi qu'il craignait en son for intérieur qu'une invitation à une fête dont la réforme est le thème, pourrait être prise pour une insulte auprès d'Aristotéliciens Romains un peu trop zélés. Une fois entré, Iohannes s'assit au milieu des bondissements joyeux et féminins, nés de l'excitation que procurait le désir de sophistication. En attendant que damisela Arwene ne dégringole du confins de son auberge, il passa commande d'un vin de Cahors. Étant à jeun, voilà qui le ferait vaciller. Avant qu'on ne vienne le servir, il plia soigneusement son bandana pour se découvrir comme tout le monde au-devant des demoiselles, et l'enferma dans une boîte à l'ouverture difficile. Réflexe de soldat que l'obsession de l'ordre. Mais dehors déjà, pouvait-on entendre une infinitésimale quantités de chuchotements, pariant probablement sur le fait qu'en ces lieux, il serait mal reçu.
_________________
Minoucat
Elles s'étaient littéralement empiffrées toutes deux descendant tartines sur tartines, buvant comme des soldats, enfin surtout Minou^^

Celle ci se sentait bien d'ailleurs en compagnie de la douce Arwene, et se laissait aller pour une fois en confiance...
Le bal oui le bal... En effet Minou avait trouvé sa tenue.. Elle souriait en y pensant, déjà qu'on ne la connaissait que peu sur la ville, elle risquait de faire tapisserie... mais bon elle se promettait de taquiner quelques individus... et pourquoi pas une rencontre... cela faisait longtemps qu'elle n'avait eu compagnon en ses draps....

Quand tout à coup la tavernière se lève brassant énergiquement tiroirs et commodes... brandissant bientôt une étoffe...

Vous avez trouvé !

Alors une voix connue s'élève de l'entrée...
La jeune femme se retourne toisant du regard le sieur sans vergogne qui la traita avec insolence le jour d'avant...
D'un sourire elle l'accueille...


Quoi donc messire ? Cela vous regarde ?

Puis part d'un éclat de rire...

Vous ici et par quel hasard dites donc ? N'avez vous point une taverne pour vous occuper ?
Où votre vin est-il donc si aigre...

_________________
Arwene
Sancte, que nous vaut l'honneur de votre visite?

Une tartine de pain vous ferait elle envie? l'invitant à s'asseoir...

Prenez place...

Ici on ne fait point de différences entre les villageois, simples gueux ou érudits, aristotéliciens romains ou réformés, tout le monde est le bienvenu même les bougons comme vous.

Mais dites moi, vous qui êtes au courant de tout ce qui passe à Montauban, ne devait il pas y avoir un bal?

Minoucat et moi même sommes fin prêtes pour l'événement, à moins que notre rang ne nous permette pas d'y accéder.
Arbalett
En ce début de soirées deux voyageuses franchirent les remparts de Montauban.
Ophely et Corydwen s'installèrent à la taverne de la Fraternité pour se reposer et se désaltérer après un voyage éprouvant sous un soleil de plomb.
Celles-ci comptaient passer la nuit à l'auberge...

Arbalett s'empara du bougeoir, l'alluma et le tenant d'une main, de l'autre leurs bagages, emprunta, les précédant, le vieil escalier en bois qui conduisait aux chambres.

Une odeur de cire flottait dans le couloir, ça sentait bon la propreté!

Ils passèrent devant la chambre de Minoucat, aucun bruit!

arbalett indiqua la deuxième porte à Corydwen et la troisième à Ophely.

Il les ouvrit et les invita à rentrer et à s'installer.


Soyez, Mesdames, les bienvenues à l'auberge de la Fraternité!
Ici accueil et hospitalité sont de rigueur!
Demandez Arwene ou moi même si vous avez besoin de quoi que ce soit!
Nous serons là pour vous servir!
Ophely
Ophely trottinait à la suite des grandes enjambées de sieur Arbalet.
Cet homme très hospitalier, l'avait accueillie en taverne....
La chipie avait fait la rencontre de Cory, une charmante personne.
Cette dernière avait décidé de partir avec Solwenn et elle vers le Languedoc.
Fallait juste quelques temps, on voyait les côtes de la pauvrette, ces nonnes alors !!!! juste bonnes à prier !!!!
Elle montait péniblement l'escalier de bois tellement elle était éreintée du voyage, en plus il avait fallu se défendre contre un voleur !!!
Les marches grinçaient et cela sentait bon la cire.
Elle observa la chambrette qui lui était assignée.
Un vrai havre de paix, elle tata de suite le matelas....

Je vous remercie sieur Arbalet, je vais pigeonner ma amie Soso pour lui indiquer votre taverne, nous partageons la même chambre , Soso est une peureuse
Sans plus attendre, elle referma la porte au nez du tavernier
Plongea sur le lit et s'endormit de suite, aussitôt ses ronflements envahirent la pièce et bien au dela
Esmey
L’après-midi tirait à sa fin. La jeune femme venait tout juste de fausser compagnie à son escorte de nonnes pour aller s’imprégner de sa nouvelle ville. Elle entra d’abord dans une auberge et se commanda à boire. Ses habilités sociales ayant quelque peu disparu après tout ce temps seule avec elle-même, elle n’adressa la parole à personne et s’en fut silencieusement.

Après quelques minutes à marcher dans les rues encombrées, elle poussa la porte d’une autre auberge. Le propriétaire se montra affable avec elle et lui proposa de séjourner chez lui le temps qu’elle se réhabitue à la vie laïque. Une autre jeune femme lui tiendra compagnie.
Souriant, elle la salua :

-J’suis Esmey * .‘fin, on m’surnomme Corydwen. Enchantée.

L’interpellée lui offrit de s’asseoir à ses côtés et commanda deux bières. Elle s’appelait Ophely et venait de Rodez. Elles discutèrent à bâtons rompus, entrecoupant leurs propos de rots bien sonores, dignes des plus grands piliers de comptoir. Des projets de voyage se formèrent et ce qui pouvait ressembler à une amitié nouvelle semblait être en train de se former. Au plus grand plaisir d’Esmey

.L’heure avançait et la fatigue commençait à se faire sentir. C’est à ce moment que le propriétaire des lieux accompagna les deux femmes à leur chambre

-Soyez, Mesdames, les bienvenues à l'auberge de la Fraternité!
Ici, accueil et hospitalité sont de rigueur! Demandez Arwene ou moi-même si vous avez besoin de quoi que ce soit! Nous serons là pour vous servir!


La jeunne femme remercia chaleureusement Arbalett puis referma la porte.

Profitant du fait que sa nouvelle amie était partie ronffler -elle l'entendait d'ailleurs jusque dans sa chambre-, Esmey fit un brin de toilette et se prépara à descendre à nouveau dans la salle pour boire encore un peu et décider ce qu’elle allait faire, maintenant qu’elle était libre.

En bas, la salle était vide. Elle s'installa donc au comptoir en attendant que quelqu'un entre.



Ce nom sera en vigueur dès demain. Ben oui, j'me suis trompée ^^
*
Animas
Animas se baladait dans les faubourgs de Sapiac dans l'espoir de trouver Arwene ou Arbalett. Il venait de trouver un ancien livre de recette qui lui avait été laissé par sa famille. Il passa devant le moulin mais ne trouva personne. Il décida donc de se diriger vers la Taverne de la Fraternité, et d'un pas décidé. En ce 25 juin 1459 la ville lui paraissait déserte malgré la fête de la réformation. Ils sont sans doute tous à la Clairière, pensa-t-il.
Animas bifurqua sur un chemin dégagé avec de l'herbe sur les côtés et vit la taverne fumante. Il ne tarda pas à entrer dans la taverne.


Bonjour Arwene, je viens t'apporter un li...

Animas s'interrompit et se trouva face à une jeune dame qui lui était pour le moins inconnue. Il fixa la jeune demoiselle de ses yeux bleus azur et finit par se présenter.

-Bonjour, mon nom est Animas, Animas Veyrac pour vous servir.

Animas salua la dame tout en se rendant compte qu'il avait pour la première fois révélé son nom de famille...
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