[RP Fermé] De fil en fées, les fées se pavanent !

Pas s'envoler, son papa, pas s'envoler qu'elle disait sa maman... Elle était pas si sûre, Kory. Son papa, il aimait bien partir en exploration, comme elle, alors des fois il disparaissait pendant longtemps.
Bon enfin, là de toute façon il pouvait pas partir, il avait une surprise pour elle, il lui avait dit.

Pâpa, su'p'ise hein !

Hop, l'air de rien, juste pour lui rappeler qu'il a une surprise pour elle, on sait jamais des fois qu'il ait déjà oublié. Les grands, ça oublie souvent plein de choses.
Un dernier bisou baveux à son papa depuis les bras de sa maman, et voilà qu'elle passait de l'autre côté du fameux rideau rouge, pour y enfiler sa première robe...rose. Hmmm...

Mâma, 'osse a 'obe... Beuh, 'osse...

Oui, beuh, rose la robe, beuh le rose, voilà, c'était dit. En plus, elle pouvait pas courir, et encore moins se traîner par terre. Sa maman l'avait déjà prévenue à ce sujet, mais là, elle lui donnait ses derniers conseils pour défiler.
Aller au bout de l'estrade, d'accord... C'est quoi l'estrade ? On verra bien... Petit tour sur moi-même, bon, ça devrait être faisable, le petit salut aussi, et puis le retour derrière le rideau. Facile, tout ça, non ?

Sa maman lui fit un bisou pour l'encourager, le rideau s'ouvrit, et ce fut au tour de Kory de s'avancer dans sa robe rose. Un pas, deux pas...
Mais pourquoi qu'ils me regardent tous ces gens ? Ou qu'il est pâpa ? Ou qu'elle est mâma ?
Arrivée au bout de ce sur quoi elle marchait - la fameuse estrade peut-être ? -, elle vit enfin sa maman et son papa et leur fit un grand signe de la main, enfin du bras quoi, et se retrouva sur le derrière après une perte flagrante d'équilibre. Satanée coordination, c'était vraiment pas sa copine celle la...
Bon, le spectacle doit continuer il parait...
Toujours sur le derrière, elle fit le petit tour sur elle-même qui était prévu, puis se releva avec toute la grâce de ses deux ans et repartit en direction du rideau rouge, le fessier un peu plus poussiéreux qu'à l'aller.
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Asterie regardait le défilé les robes étaient magnifique, tout le monde avaient l’air d’apprécier. Elle vit défilé un homme sourit c’était plutôt rare .
Elle sourit en voyant une petite fille arriver très sûr d’elle, elle lui rappela sa fille Brianna à son âge, elle aurait adoré être à sa place plus petite.
Elle applaudit la prestation de l’enfant.
Puis continua à observer notant celle qui lui convenait pour un éventuel achat ou une adaptation.
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"Labor improbus omnia vincit"

Le rideau rouge venait d'être passé et Edl entrait en scène ... Voilà, maintenant c'était fini pour elle, elle n'avait plus de passage et elle allait pour voir passer un peu de temps avec Baudouin ...

Baudouin ...

Une fois en bas de l'estrade, elle ferma les yeux en posant une main sur sa poitrine. Elle prit une grande inspiration, regarda où en était Perta puis sans se changer, se dirigea vers les deux être auxquels elle tenait le plus au monde. Elle marcha donc jusqu'au couple père/fille et leur sourit ...

Voilà, je suis toute à vous maintenant ... Enfin ma puce c'est bientôt à toi ! Après tonton moustache qui ne va pas tarder d'ailleurs ...

Elle s'installa sur la chaise à côté de Baudouin et regarda Fleurette présenter sa robe en lui faisant un petit signe de la main ...

Est-ce que le défiler te plait Baudouin ?

Il y avait bien longtemps qu'elle ne lui avait pas donné le petit nom qu'elle lui donnait avant ... Tout cela était révolu depuis bien longtemps, mais le voir là, avec leur fille dans les bras ... Elle aurait dit que cela avait toujours été le cas et son coeur se serra ...

Elle détourna son regard de cet homme qu'elle avait tant aimé pour regarder la Fleur qui repartait déjà et laisser sa place au seul homme du défiler, elle avait nommé Pertacus ... Elle regarda alors sa fille ...

Mon ange c'est à toi après Perta, il faut aller passer ta robe. Tu lâches papa et tu viens avec moi ? Il ne va pas s'envoler tu sais ...

Elle lui fit un sourire rassurant et tendit alors les bras à sa petite merveille. Quand la petite fut contre elle, elle se leva ...

Je reviens vite Baudouin ... Je viendrais la regarder d'ici ...

Elle se baissa pour que la puce fasse un bisou à son père et elle s'éloigna derrière le rideau rouge pour que sa merveille passe robe. Une fois fait, elle la regarda et satisfaite du résultat, elle lui expliqua ce qu'elle devait faire ...

Mon ange, quand Perta arrivera, ce sera à toi d'aller jusqu'au bout de l'estrade, tu feras un petit tour sur toi-même un petit salut et tu reviens ici. Moi j'irais te voir à côté de papa. Ne t'inquiète pas il ne partira pas avant la fin du défiler. C'est promis ... Et quand tu as fini, tu reviens nous voir ...

Elle monta sur l'estrade et se plaça juste derrière le rideau, l'ouvrant un petit peu pour voir comment le moustachu s'en sortait et elle sourit amusé. Il revint enfin et elle ouvrit le rideau pour que sa fille avance. Un petit bisou d'encouragement et dès les premiers pas, elle partit vite rejoindre Baudouin et s'assit à son côté, les yeux rivés sur l'estrade, le regard rempli de fierté, elle triturait le tissu de sa robe. Elle aurait bien pris la main de Baudouin pour la serrer, mais elle n'en avait plus droit ...

Regardes comme elle est belle ... Que je suis fière d'elle ! Elle se débrouille bien ! Regardes là Baudouin !

Oh oui elle était fière ! Sa merveille ! Sa vie ! Sa chaire et son sang ... Leur chaire et leur sang à tous les deux ...
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Les Fées Tisserandes ici

Une blonde derrière un rideau rouge qui n’en mène pas large et ronchonne

Alors… je note que si jamais un jour je dois recommencer un défilé, je demande à passer la première.
Parce que plus on voit les autres passés… plus la pression monte.
Je note aussi que je suis sûrement plus douée pour animer le concours de la plus belle brebis que pour faire la belle sur scène.

Un regard envieux à ceux qui ont réussi l’épreuve… euh la prestation artistiquement innovante sur la lancée de la mode été 1460.

Bravo Ma fleur
lui chuchote t elle quand la resplendissante brune passe à coté d’elle…


Tu es sure que tu veux pas présenter ma robe aussi ?

Arf Edl ne l’entend même pas !
Voilà… on acquière un nouveau statut de star montante du mannequinât et on snobe ses copines



Je ne veux pas y aller….J’ai peur… mes talons sont trop hauts .. Et vire volter pour faire voler des jupons …suis pas sure que cela fasse à quelques semaines du terme ou alors je vais lancer l’idée…Future maman… des tenues faites pour vous… vous allez être mère… n’oubliez pas de rester une femme élégante.


Elle en est là de ces reflexions intenses quand Amy lui sauta dessus pendant qu’elle finit de se revêtir de la splendide tenue
qu’elle doit mettre en valeur.


Vi Vi ça va aller…. Serre pas trop fort quand même… on est deux à vouloir respirer sous ce corset tu sais ?

Tu as vu comment on faisait, tu fais pareil et tu reviens


Tu veux une confidence Amy… oui je compte bien revenir… euh je dois vraiment y aller ?

Lyly bout est ‘ade, tit tou, ‘ideau, pas cou’ir et pas quat’ pattes

Un éclat de rire qui donne du courage
La blondinette se laisse attendrir par la bouille d’ange et se dit que bientôt elle tiendra contre elle un enfant qui lui ressemblera un peu.

C’est dans cette idée là qu’’elle se jette dans la fosse aux lions
La tête bien droite , le sourire aux lèvres, chaque pas marqué par un déhanchement à la fois félin et élégant…

Une seule idée fixe… le bout de l’estrade… puis un arrêt travaillé pour laisser admirer le vêtement…regard détaché de celle qui ne se laisse pas impressionner par une foule en délire… oui oui on s’habitue à être admirer pour sa plastique superbe… arf non reprenons… elle n’est qu’un cintre de robe… la star c’est ce vêtement

Petit tour sur elle-même… sans tomber… on y croit… et démarche chaloupée… jusqu’au rideau rouge… son sauveur…. Elle se dit même qu’elle commence à avoir le goût de Cyprien… c’est si doux un rideau !


Tu as vu Amy la classe hein ?
Je peux ôter mes chaussures ?

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Elle savait bien que tout le monde était là pour voir les jolies robes, mais elle, elle préférait regarder son papa, des fois qu'il profite qu'elle tourne les yeux pour disparaître encore.
Bon, elle les avait quand même tourné quelques secondes, les yeux, histoire de regarder un peu sa maman défiler, mais son attention était vite revenue sur son seul vrai intérêt de la soirée.

Ses joues de papa-qui-pique, ses yeux noirs dont elle avait hérité, ses épaules rassurantes et ses mains gigantesques qui jouaient avec les siennes, minuscules. Elle n'en perdait pas une miette et faisait le plein de souvenirs.

{ Alors, toi aussi tu vas défiler comme maman? Mes deux petites femmes seront les plus belles du jour! Et puis, tu verras, après j'aurais une surprise pour toi! }

Ko'y défiler com'mâma, vui. Répondit-elle un peu distraitement, l'esprit tout occupé à comprendre les derniers mots de son papa. Su'p'ise ? Nè quoi su'p'ise pâpa ?

Vite, vite, qu'on termine ce défilé, que son papa lui donne sa surprise !
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Comme elle était belle Amy dans toutes ses belles robes.
Sa mamou soudain lui manqua plus que d'habitude. C'est qu'elle était belle aussi dans ses jolie robe de druiduchesse, mais elle était loin.
Il sourit et applaudi a chaque fois qu'une des parures portées par ses taties passaient devant eux.
Elles étaient cro forte. Et grande .. un jour aussi moi je serais grand comme ça! se dit il.
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Papa gâteau, le vieux cerbère serrait sa fille contre lui. Il appréciait ces moments partagés avec elle, trop rares et d'autant plus précieux. Elle était son trésor et le plus beau cadeau qu'Amy ait pu lui faire. Attentif à la mère aussi bien qu'à la fille, il regardait le défilé avec plaisir. Autrefois, il eut dit que s'était des fanfreluches de bonnes femmes mais il avait appris à ne plus juger au premier abord et le simple fait d'être avec sa fille, transformait tout évènement en merveille.

Câlinant tendrement la petite brunette, il contemplait la jeune femme défilé. Certes, elle avait du talent et il ne pouvait nier qu'elle était belle. La voir ainsi lui rappelait leurs premières rencontres, leurs premiers baisers, leurs premières étreintes. Oubliées les disputes, les soucis, les contrariétés.

Amy était plus resplendissante que jamais.

Il fit sauter Kory sur ses genoux et lui murmura discrètement, sans quitter Amarante des yeux.

Alors, toi aussi tu vas défiler comme maman? Mes deux petites femmes seront les plus belles du jour! Et puis, tu verras, après j'aurais une surprise pour toi!

Il se mit à jouer doucement avec ses petites mains, mêlant ses doigts à ceux de sa fille, si petite, si fragile.

Derrière le rideau rouge, ça s'affairait. Enlever la tenue et défaire la coiffe. Aïe ! Ouille ! Doucement !! Mais non fallait faire vite et vite bien c'était bien connu que ça ne faisait pas bon ménage. Tiraillé de tous côté, la brune souffrait en silence ... Ou presque ...

Elle pestait contre Valeryane qui avait fait cet ordre de passage, mais bon après, elle allait pouvoir respirer un peu ...

La robe enfilée et les cheveux libre comme elle aimait, elle se sentait bien plus à l'aise ... Quand ses amies eurent fini, elle se leva, lissa le tissu puis remonta sur l'estrade et passa de nouveau derrière le rideau qui cachait tout ce qu'il y avait derrière ...

Un sourire fiché sur son visage, elle s'avança de nouveau d'un petit pas léger, prenant le tissu sombre entre ses doigts fins. La robe de velours bordeaux et noir avait un entrelacé sophistiqué sur le corsage qui le rendait élégant. Elle aimait beaucoup cette robe et elle s'y sentait bien.

Petit pas sur le côté, une pirouette autour d'elle-même et un petit signe à Baudouin et à sa fille. Elle y prenait goût à ce pavaner comme ça, devant tout le monde, même si elle aurait préféré avoir son petit public bien privé ...

Elle repartit ensuite d'un pas dansant tout le long de l'estrade et laissa la place à Fleurette qui attendait qu'elle revienne ...

A toi ma belle ! Vas-y !
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Les Fées Tisserandes ici

Je regardais l'homme qui s'en allait encore une fois, je me disais que nous faisions que nous croiser, puis qu'il s'en allé toujours rapidement.
Je fis un sourire intérieur, j'étais pareille avant, puis je reportais mon attention sur les jolies toilettes, après tout peut-être une pourrait m’intéresser à défaut qu'un homme m'en achète une.
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"Qui" n'est d'autre que la forme qui résulte de la fonction "qu'est ce que" et moi je ne suis qu'une personne sous un masque.

Elle avait fini son passage et était revenu derrière le rideau rouge où attendaient Baudouin et Kory. Elle descendit de l'estrade et partit directement vers eux en les emmenant vers des chaises pour qu'ils puissent profiter du spectacle tranquillement et passer un peu de temps avec eux. Pas trop, car les passages ne duraient pas des lustres ...

D'un sourire et d'un geste de la main, elle invita le vieil ours à s'installer, se posant cinq minutes à son côté ...

Merci d'être venu Baudouin ... Je vois que tu vas bien ... Kory peut rester avec toi encore un peu. Son tour est plus tard ! Est-ce que ... Est-ce que tu comptes rester un peu ?

Elle le regardait, incertaine. Elle aimerait tant qu'il reste, mais ce qu'elle voulait ne comptait pas. Ne comptait plus ... Elle le regarda, cherchant le moindre signe de fatigue qu'elle pourrait déceler. Bien qu'elle ait construit un rempart immense autour de son coeur, sa main la démangeait. Ce qu'elle aurait aimé passer ses doigts sur ses tempes grises ... Serrant ses poings, elle se sermonna et reporta son attention sur Kory ...

Tu vois, je t'avais bien dit que tu reverrais papa ...

Edlweiss venait de passer et c'était maintenant autour Val. Elle se leva. Il fallait qu'elle se change, le prochain tour était le sien. Déposant un baiser sur le front de sa merveille, elle les laissa à contre-coeur ...

Je reviens vite. Profitez du spectacle ...

Elle retourna derrière le rideau et avant de disparaitre, les regarda tous les deux. Cela lui faisait chaud au coeur. Un père et sa fille ... Puis elle disparut pour se changer. Cette fois, c'était encore une robe de Fleurette. Arf la coiffe ! Quelle plaie de mettre ces machins sur la tête ! C'était vraiment bon pour les nobles Dames qui avaient l'habitude de porter ça depuis l'enfance, mais elle trouvait que c'était un instrument de torture ...

Enfin prête et la tête presser comme une citrouille dans la coiffe qui était pourtant jolie, elle remonta sur l'estrade et attendit que val revienne. Quand celle-ci passa le rideau, elle s'avança avec grâce. De couleur plus printanière, la surcotte de la robe était d'un velours vert pâle bordé de fourrure grise et d'une cape de laine épaisse d'un vert plus soutenu. Elle avança jusqu'au bout de l'estrade, fit sa révérence et en profita pour faire un clin d'oeil à Baudouin, prit la cape qu'elle ouvrit et referma plusieurs fois, fit un tour sur elle-même puis avec un grand sourire et d'un signe de la main qui était surtout destiné à sa fille et au vieil ours, elle fit demi-tour, pour aller se changer encore une fois version ultra rapide ...

Place à Margoulette pour qu'elle meuble un peu, le temps de se changer ...
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Les Fées Tisserandes ici

Je pose mon fessier dans un coin, curieuse.
Je fis un énorme sourire quand Amarante avança, mon regard va de gauche à droite, pas de mal tête connue quand même, mes yeux se posent sur Edlweisss, je me demandais si elle avait accouché, puis de dos, mon regard s'arrête sur Leyah, je soupirais intérieurement, presque déçue que nos chemins s'étaient séparés.

Que de jolies toilettes, je me disais que j'avais ratée une occasion de m'amuser, ce maudit temps qui passe si vite, à peine le temps de se lever qu'il est déjà nuit, à peine le temps de démarrer la semaine qu'elle se termine, pas de place pour l'amusement, diantre que cette vie était difficile.

Je frotte mes yeux, la fatigue me gagnait mais j'avais envie de rester jusque la fin du défiler, on ne sait jamais, il pourrait y avoir un bel homme plaisant, curieux comme moi.
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"Qui" n'est d'autre que la forme qui résulte de la fonction "qu'est ce que" et moi je ne suis qu'une personne sous un masque.

Le défilé se poursuivait .. et que de belles choses...
Vraiment les tenues étaient plus ravissantes les unes que les autres.

Et celle la qui apparait.. hummm... comme on avait envie d'y passer la main, et sentir la douceur de l'étoffe ainsi que la fourrure.
La brune se demandait si toutes ces merveilles étaient à vendre.

Elle était impatiente de voir la suite... en regardant avec envie disparaitre le modèle derrière le rideau dans un bruissement de tissu.
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"Si tu n'espères pas l'inespéré, tu ne parviendras pas à le trouver" Héraclite

Oulalala c'est mon tour , ça faisait cinq minutes que je courrais un peu partout pour aider Amy a se préparer et surtout parceque je ne voulais pas me faire envahir par le stress. Les coiffeuses avaient disciplinées avec talent ma chevelure et j'étais prête. Je devais m'élancer dès qu'Amy serait de retour derrière le rideau et que Margoulette avait annoncé la suite ..

ah ben c'était fait , réveille toi Edl ,et fonce crénond'unbouquetin!

J'avançais donc sous les feux de la rampe et sous les yeux de la foule en délire vétue d'une magnifique robe en harmonie avec la saison et d'une douceur des plus agréable.

Finallement je prenais goût à me faire observer de la sorte et je distribuais sourires et petits gestes d'attention pour ceux qui semblaient intéressés par la magnifique robe que je portais.

Aprés un aller retour, un demi tout sur moi même , et un dernier sourire je disparue à mon tour, emportant la merveille avec moi en poussant un

Ouf même pas eu besoin de la gnole à pépé!
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Les Fées Tisserandes

Althair regardait avec émerveillement tout ce beau monde qui se pressait à ce défilé de haute couture. Il contemplait toutes ces dames en forte majorité dans un tel lieu et se sentait un peu perdu.

Soudain, tout commença et la manequin fit son apparition. Mais.... c'est .... Amarante....

Dieu, ce qu'elle est jolie.... incroyable, majestueuse, on dirait qu'elle a fait cela toute sa vie....elle est divine... se dit Alt la bouche bée....

Il en était étonné et se souvint de sa première impression à l'atelier des fées et se dit qu'il ne s'était pas trompé sur cette femme... Il vit sa petite fille qui courait pas loin et qui rejoignait un homme. Sans doute le père.... Il souria et continua de regarder les choses se dérouler sous ses yeux.
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Elle entendit à peine la voix de Margoulette qui faisait office de présentatrice. Sourire toujours fiché sur son visage, au moment où elle faisait demi-tour, elle croisa le regard de Baudouin qui tenait Kory dans ses bras. Son coeur manqua un battement, comme à chaque fois qu'elle le voyait. Rempart ou non, elle réagissait toujours de la même façon en sa présence et cela l'agaçait parfois. Cet homme là savait briser la moindre muraille érigé ...

Le rideau rouge et la voilà enfin à l'abri des regards, mais Ô surprise, c'était encore à elle !

Les filles pinaise mais ... Bon sang Val t'as fait quoi ?! Meuble ! Meuble, va y avoir un troue sinon !!

Vite vite, elle se changea à la va vite et passa les nouveaux vêtements. Elle s'installa sur un tabouret et se mit à grimacer de douleur pendant qu'une des filles la coiffait avec une résille. C'est à ce moment-là qu'elle le vit arriver ... Baudouin ...

Le rouge lui monta aux joues, autant pour la gêne de le revoir alors qu'elle était en train de se faire « martyriser », que de le revoir ainsi. Cela faisait si longtemps ...

Elle lui sourit, en essayant de ne pas crier quand une épingle lui arracha le cuir chevelu ...

Aïïïeuhhh !!! Doucement les filles !

... Baudouin ! ... Excuse-moi, je dois encore passer ... Mais installe-toi ! Je sais que tu n'es pas dans ton élément ici, mais profites ! J'aurais plus de temps après ce passage ... On discutera, promis !

Elle se leva et regarda si elle tout était bien mis malgré la rapidité du changement. Avant de remonter sur l'estrade, elle fit un petit bisou sur la joue de sa fille, posa une de ses mains sur le bras du soldat et y imprima une légère pression en guise de remerciement pour être venu.

Merci d'être venu ! Je file on m'attend ...

Elle grimpa de nouveau sur l'estrade, pris une autre inspiration et ouvrit le rideau encore une fois. Sourit à nouveau et elle avança, heureuse plus que jamais. IL était là, IL était venu et elle se sentait des ailes ...

Arrivé en bout de l'estrade, elle prit un pan du manteau de fourrure qu'elle fit remonter jusqu'à son visage pour en caresser la douceur du poil.

Comme la première fois, elle tourna sur elle-même et s'inclina légèrement. Finalement c'était agréable et très amusant de venir montrer ses robes ... Puis dans un geste gracieux, elle tourna les talons et se dirigea de nouveau vers ce rideau rouge où elle allait pouvoir retrouver Baudouin ...
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Les Fées Tisserandes ici

[Quelque temps auparavant.]

La baronne de Châteauneuf sur Cher avait reçue une invitation à un défilé celui des fées tisserande .
Elle avait mis le parchemin de cotés ne sachant si elle pourrait si rendre .
Sa fille aperçue le parchemin et comme il se devait le fait remarquer à sa mère .

Maman tu as reçue un parchemin t’invitant à un défilée de belle toilettes et tu ne m’en a rien dit!

Brianna je n’étais pas sûr de pouvoir m’y rendre avec tout le travail que j’ai je pensais en profiter une fois à Paris et …

Je pourrais t’y remplacer .

Non ma fille tu ne le peux pas n’as-tu point quelques parchemins à étudier et quelques théories à me réciter sur les différentes humeurs .

Oui mais .

Je sais ma chère enfant c’est très dur pour toi mais tes études passe avant .
Donc lorsque je reviendrais j’aimerais que tu soit prêt pour ta maîtrise de médecine .

[Le jour du défilé ]

Une voiture déposa la Baronne devant une grande demeure ou devait se dérouler le défilée des fées tisserande.
Elle était juste à l’heure elle donna son invitation puis on la plaça .
Elle salua les personnes présentent et attendit. Le défilée promettait d’être magnifique comme toutes les confections faites par les couturières.
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"Labor improbus omnia vincit"

Amy, rideau rouge, robes. Baudouin, les bras chargés de sa fille. qui venait d'apparaître, somptueuse. Il resserra son étreinte sur l'enfant et sourit à la mère, plus charmeur qu'il n'aurait voulu, le vieil ours. Elle avait bonne mine et arborait les couleurs automnales avec grâce et beauté.

Il murmura doucement à sa fille.

Regarde mon trésor, tu as vu comme ta maman est belle?

Il était fier, heureux, un instant de paix dans un monde de guerre et de sang, il appréciait intensément qu'Amarante ait eu l'idée de l'inviter. Etre avec Korydwen était un ravissement.

La jeune mannequin improvisée s'en sortait très bien, elle faisait jouer le tissu de sa robe et ondulait doucement ce qui lui donnait un air à la fois innocent et voluptueux qu'elle savait si bien avoir parfois.

A nouveau, elle revint vers le rideau et en un instant, il se retrouva devant elle, sans trop savoir quoi dire.

[Avignon]

Hersende contempla avec surprise le vélin qu'on venait de lui apporter. Une invitation de Pertacus! cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas eu de nouvelles de lui...quoiqu'elle eût appris qu'il avait été frappé par le deuil.

Elle aurait dû être sa marraine. Et même si la cérémonie n'avait pas eu lieu, elle ne pouvait s'empêcher de le considérer comme son filleul.

Aussi lut-elle avec attention l'invitation... Un défilé de mode? On a beau être Marquise, essentiellement préoccupée des affaires de l'Etat, on n'en est pas moins femme. Hersende jeta un regard critique sur la tenue qu'elle portait. Quoique fort élégante, elle n'était sans doute pas à la dernière mode... Depuis qu'elle avait perdu son créateur vestimentaire, hélas décédé, elle avait l'impression de ne plus renouveler sa garde-robe

Ma foi cela serait l'occasion de voir de nouvelles créations et - elle n'en doutait pas - de céder au plaisir d'en acquérir! Elle rapporterait ces petites merveilles dans le sud où ses amies, mais plus certainement encore ses rivales, s'empresseraient de les copier...

Allons il ne fallait plus tergiverser! Elle fit envoyer une missive à Pertacus, atteler son carrosse et mander sa garde. Deux jours plus tard, elle quittait Avignon.
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Hersende de Brotel, Marquise des Alpes Occidentales

Les bras tendus, il reçut la petite fille et la souleva, la tenant fermement et l'embrassant tendrement sur sa joue douce. Comme elle était adorable sa fille! Comment ne pas craquer papa gâteau.

Oui, mon trésor. Tu es très belle! Alors comme ça tu vas essayer des jolies robes? Est-ce que tu veux bien que ton papa te regarde avec tes robes si belles?

Il l'enserra sous ses bras et doucement se mit à tournoyer, la regardant en souriant, sa petite merveille.

Et dis-moi? Où est ta maman? On va aller la voir, d'accord? Pour qu'elle nous montre les jolies robes!

Comme il lui coûtait d'être séparé d'elle si souvent. La serrant contre lui, il l'entraîna vers l'estrade et salua d'une inclinaison de la tête ceux qu'il connaissait.

Elle arriva juste quand Valeryane faisait l'annonce aux personnes présentes.
Corps fin et agile, elle se contorsionna entre les fauteuils pour se laisser tomber dans celui qu'elle avait repéré depuis l'entrée, point trop près ni trop loin de l'estrade.

Elle soupira discrètement. Que ne ferait-elle pas pour assister à un défilé ? rien ne la retenait, elle adorait les robes, luxueuses si possibles et valant des écus à ne pouvoir compter. Qu'importait, elle avait les moyens et avec sa fille, les jolie tenues étaient sa passion, irraisonnable passion.

Elle jeta un regard discret pour savoir si elle connaissait certaines personnes. Elle fut déçue, personne ! sauf les artistes bien sur.

Peut être qu'à la collation, car elle espéraient bien que serait servie une collation, le voyage l'avait affamée, elle ferait quelques connaissances !

Elle se cala bien dans son fauteuil et attendit.
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Toujours avec son air innocent, Kory continuait à avancer.
Sa maman l'avait appelée, mais bon, elle pouvait bien finir son aventure quand même, avant d'aller enfiler ses robes, non ? Elle se retourna quand même pour regarder les fameux gros rideaux rouges, d'accord, noté, ils seraient sa prochaine étape, après l'ombre.

[ Alors, petite fille, tu vas à la chasse? ]

Oups, pas une bonne idée de se retourner en continuant à avancer. Non seulement l'ombre avait bougée et était maintenant à sa hauteur, mais en plus Kory avait manqué lui rentrer dedans. Pff, satanée coordination, c'était pas encore au point tout ça.
Elle a dit quoi, l'ombre ? Aller à la chasse ? Hmm...
Elle allait pas à la chasse enfin, elle allait défiler avec des robes dans lesquelles elle pouvait ni courir, ni s'asseoir par terre. Sisi, sa maman avait été formelle là dessus.

Pô sasse, zolies 'obes Ko'y !

Elle plissa un peu les yeux et regarda mieux l'ombre qui tendait à présent deux mains vers elle...

[ Tu te souviens de moi, Korydwen? ]

Vraiment familière cette ombre, tellement familière qu'en fait on dirait son papa... Mais qu'est-ce qu'il ferait là son papa ?

Pâpa ?

Connaissant déjà la réponse à sa propre question - bah quoi, c'est son papa ! -, elle se jeta à moitié sur l'ombre-pâpa pour s'accrocher à son cou. Sa maman lui avait bien dit qu'elle allait le revoir...
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Aleen n'avait même pas eu le temps d'aller embrasser Valéryane, la foule se faisant de plus en plus dense , elle cru apercevoir Aelyah, elle se sentait déplacée en ce lieu n'étant pas habituée à la vie parisienne, elle avait accroché un sourire à sa face, sourire qui se figeait quelque peu.

heureusement Val prit la parole et invita les personnes à prendre place le défilé allait commencer. La jeune femme prit discrètement un tout petit parchemin pour noter les tenues qui, vu le talent de Val, lui plairaient le plus. Le choix risquait d'être difficile,

Elle pu enfin répondre à Amy

je n'ai pas de gnôle à pépé, mais une petite poire de derrière les fagots !

discrètement elle lui passe un petit flacon
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Alinoë n'avait eu le temps de répondre à Edlweisss que celle-ci la menait près de la Marquise, elle lui murmura quand même

- Je n'ai pas de gnôle à pépé mais de l'eau des montagnes de Père. Tu ne seras pas déçue !

Puis elle salua la Marquise avant de s'asseoir à coté d'elle

- Bonjour Votre Magnificence, comment vous portez-vous ? Pas trop long le voyage en ces terres hostiles ?

Alinoë regardait les personnes qui entraient, bien entendu elle ne connaissait personne.
Elle trouva les enfants très beaux et se prit à penser qu'un jour si Aristote le voulait, elle en aurait d'aussi beaux.
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Elle avait dit oui à Amy

Pourquoi ?

Excellente question

Parce que Amy lui avait demandé
Qu’elle ne pouvait rien lui refuser
Amy c’était la gentillesse et la féminité incarnée, l’élégance et la douceur.
Bref, c’était une amie qui savait écouter, conseiller avec des trésors de patience et de disponibilités.

Alors pourquoi lui dire non ?

Mais elle n’en menait pas large la blonde
Pas plus rassurée que La Fleur qui était en train de se faire réconforter.

Lyly avait toujours eu tendance à se replier sur elle-même quand cela n’allait pas, passant des journées en pleine mer quand elle habitait vers l’océan et là… c’était au fond d’une bergerie, un agneau nouveau né dans les bras, que le messager l’avait trouvé lui portant à la fois l’invitation pour cet événement et la surprenante nouvelle qu’elle allait faire partie du spectacle.

L’art de faire le grand saut pour revenir au monde.

Paris, capitale de la mode…Elle sur une estrade et milles yeux pour fixer sa démarche souple et distinguée

Pitié pitié… si je ne tombe pas… je promets… de moins passer de temps à jouer au ramponneau… de mettre quelques écus dans le tronc de l’église de Sarlat…de faire des efforts pour être moins sauvage…d’arrêter de me faire importer du chouchen… d’être patiente avec mes demi-frère et sœur…

Elle arrive en retard… L’art de se faire remarquer

Salut sa famille entourée d’inconnus.

Elle fait de grand signe à Amy pour qu’elle s’approche

Et lui chuchote

On a le temps de reprendre un peu la robe dit ?
Je crois que j’ai pris un peu d'ampleur!

L’air de la campagne

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Althair arrivait un peu en retard car il s'était pommé dans les ruelles de la ville. Dans la pénombre de la rue, il poussa la porte et la lumière de la salle lui sauta au visage ainsi que le bruit des conversations qui semblaient aller bon train. Il connaissait pas grand monde et il pénétra timidement dans le lieu.

Bonsoir.... Bonsoir.... Enchanté... Enchanté.... Ravit.... heu...

Il reconnut les fées tisserandes un peu plus loin, mais les autres ne lui disait rien. Il scruta un peu les jolis visages qui se tournaient vers lui en souriant. Il répondit avec un sourire géné et d'un hochement de tête à chacun, hésitant à se présenter, lui qui n'était qu'un simple voyageur en quête d'aventures. Il souria en voyant les enfants qui jouaient dans un coin et se rangea discrétement dans un coin de la salle enlevant son chapeau pour le tenir d'une main.

Je boirais bien un petit verre, moi, si y a quelque chose de bon à boire !!

Il se demandait si le défilé allait bientôt commencer, mais qu'est ce qu'il foutait là ?? Il ne savait pas, sans doute une étape de plus dans son voyage vers l'infini et sa quête de l'amour parfait. Il chercha quelqu'un du regard pas trop occupé pour parler avec et faire connaissance, il lui fallait bien casser la glace.....
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Chanty étais épuisée après le trajet, heureusement qu'elle était avec Adye.
Mais bon pour des robes ! Tout un défiler entier !
Elle étais aux anges la rousse que des robe Wouah !

pfff.... t'a vus dans quel état tu t'met pour des bout d'tissus !

vas t'rendormir andouille

Elle rit toute seule, la petite brune dut la prendre pour un folle, elle s'en excusa d’ailleurs

Pardon Adye j'doit faire peur a rire pour rien...

Elle sourit jusqu'aux oreille quand elles arrivèrent enfin.

A-y-est ! Enfin !

Pfff... toi alors... t'préfèrerais pas qu'on aille en tuer un ou deux ?

un ou deux quoi ? pis qu'est-ce tu fou encore a me parler ?? j't'ai d'me lâcher un peut !

Un ou deux portiers... brigands.. j'sais pas moi..!

Mais t'as que ça a la bouche comme mots ! Tuer ! t'est pire que sadique !

Ben quoi.... sadique ? non !

allez vas t'en me gâche pas mon plaisir pour une fois !

Grande conversation mentale entre la Lionne et elle, ce qu'elle pouvais l'agacer parfois celle là ! bref...

Enfin, Enfin arrivé a la capitale en charmante compagnie d’ailleurs !

A-y-est Adye on y est, c'est la grande classe quand même !
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Kory éclata de rire sous les bisous de sa maman.
Déjà parce que les bisous dans le cou, et ben, ça chatouille... Ensuite, parce que même si le voyage avec le gentil moustachu avait été amusant, elle était drôlement contente de revoir sa maman.

[ Mon ange, je te présente la princesse Enora. Tu te souviens de la princesse ?! Elle aime chasser les grenouilles avec Elorn ... ]

No'a ? G'nouille' ?

Nora, ça lui disait un peu quelque chose, mais de là à pouvoir dire qu'elle s'en souvenait vraiment... Par contre, quelqu'un qui aimait chasser les grenouilles ne pouvait être que quelqu'un de bien, forcément, alors elle lui fit un petit coucou de la main et un sourire complice du genre "on ira chasser des grenouilles ensemble".
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Amy, Aleen, hooo! Edl, Alinoe? Oh! mais vous étiez souvent au manoir si je me souviens bien? Enfin bon je suis toute heureuse de vous avoir ici, nous allons devoir nous préparer le temps que tous les invités arrivent.

Pendant que Fleurette explorait l'estrade, Val arrivait avec tous les vêtements ... Sous bonne escorte évidemment ! Pendant qu'elle entrait, elle vit Leyah, Louis et sa petite Nora arrivé. Est-ce qu'Elorn avait accompagné la princesse ? ... Elle saurait bien assez vite ...

Val enfin ! Les tenues derrières la tenture ...

Marquiiiise !!! ... Vicomte ... Venez, installez-vous. Les autres invités vont bientôt arriver ...

Elle alla ensuite voir la petite princesse et lui fit un bisou sur le font. Cela faisait un petit moment qu'elle ne l'avait pas vu ...

Nora ! Ma chérie, vous avez fait bon voyage ? Elorn est-il avec vous ?

Ensuite arriva « LE » seul homme qui défilerait aussi ... Le Montbazon-Navailles dict aussi « le moustachu » ... Enfin Perta quoi ! Et avec lui sa petite merveille ...

-Coucou , j'espère que l'on est pas en retard , mais j'voulais montrer des trucs à Kory et on a perdu un peu de temps , puis on faisait des pauses pour acheter à manger des fois , car bon , elle dépote ta petite et fallait pas que le voyage soit embêtant , mais bon on s'ennuit pas avec elle, enfin je te raconterai à l'occasion

- C'est magnifique,

Elle avait écouté l'explication de Perta sur leur petite aventure et sourit en prenant sa merveille dans ses bras et qui arrivait presque en courant pour s'y engouffrer ...

Mâma !

Et voilà qu'une série de petits bisous dans le cou furent poser comme à son habitude ... Elle tourna ensuite sa fille vers la princesse ... Elle l'avait vu toute petite, mais elle doutait, qu'elle se souvienne de Nora ...

Mon ange, je te présente la princesse Enora. Tu te souviens de la princesse ?! Elle aime chasser les grenouilles avec Elorn ...

Puis elle se tourna vers Val ...

Bon il manque encore Lyly et on sera tous là pour le défiler. J'espère que tu as pensé à amener l'ordre de passage ...
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Les Fées Tisserandes ici

S'il fallait voyager, rien de tel que de le faire avec le moustachu. Non seulement il la prenait parfois sur son dos, ce qui faisait d'elle une géante, mais en plus lui aussi il aimait bien courir après les animaux et partir à l'aventure.
Et puis, il suffisait de lui faire les yeux doux et on pouvait avoir plein de gourmandises à grignoter.
Nan, décidément, voyager devrait toujours se faire avec un moustachu.

Dans les bras du monsieur, Kory regarda la moustache s'agiter quand il se mit à parler. C'était drôle ça, la moustache qui gigotait dans tous les sens. Elle leva une main experte et tira sur la chose, des fois qu'à force de bouger elle puisse tomber.
Toute concentrée qu'elle était sur les poils du monsieur, elle ne remarqua pas tout de suite sa maman, par contre elle finit par remarquer qu'on causait d'elle.

Pe'ta mont'er t'ucs Ko'y ?

Elle se retrouva posée au sol et finit par regarder autour d'elle. Y'avait du monde, mais dans le monde, y'avait surtout sa maman...

Mâma !

Et d'essayer de courir maladroitement vers la maman, les bras en l'air pour mieux se faire attraper. Oublié, le moustachu. Ah bah oui, on s'amuse bien avec lui, mais il vaut pas mâma quand même hein...
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Val arriva avec la charrette pleine pour le défilé, enfin arrivée avec Sinatra et sa fille, elle appela les gardes pour l'aider à décharger tout ça, il fallait préparer aussi les mannequins, ces demoiselles devaient être parfaite.

Quelque cliente étaient déjà arrivée elle reconnu Dame Careleyne qui était une adepte des robes, elle devait en avoir des tonnes, hihi! ainsi que certaine proche en amitié..


Amy, aleen, hooo! Edl, Alinoe? Oh! mais vous étiez souvent au manoir si je me souviens bien? enfin bon je suis toute heureuse de vous avoir ici, nous allons devoir nous préparer le temps que tout les invités arrivent.

Quel effervescence, que du monde et que de joie d'être ici, de présenter sa collection d'hivers, les places d'honneur pour les invités royaux car elle attendait la princesse Elisa si le coeur lui en disait, et peut être d'autre viendront, enfin bon elle espérait bien que le défilé se passe bien et elle avait prévu quelque garde au cas ou certain abrutis auraient l'idée de venir foutre le bordel.
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Une fois assise parmi toutes ses chaises vides, elle écouta son effroyable souci ...

Peur! moi! jamais! .. enfin là un peu quand même.

Humm, il lui semblait aussi ! Ne rien dire et attendre, un sourcil levé quand même ...

Aaaammyyy...

Théâtrale, y avait pas à dire ... Une sourire fin étira la commissure de ses lèvres ...

Tu as vu cette estrade! Va y avoir pleiiiiinnnnsss de monde!

Je vais jamais y arriver! j'ai jamais fait ça! Et si je tombe? imagine je trébuche! ou pire .. je ... ... hein imagine!

Alors là, elle ne put retenir un rire qui raisonna dans la grande salle vide ...

Tu as prévu la gnole à pépé!?!

Le rire stoppa net et elle regarda sa Fleurette avec de grands yeux en se mordillant la lèvre inférieure ...

Heu ... Non je n'ai pas pensé à prendre la gnôle à pépé ... Mais Leyah y pensera ...

Oui oui, il fallait que Leyah qui pense ... Obliger ! Sur ces entrefaites, Aleen et une jeune femme qu'elle ne connaissait pas venaient d'entrer. Les premières d'une grande série de personnes qui allaient bientôt remplir cette grande salle ...

Amyyyyyyyyy! la Fleuuuuuuuuur! comme je suis contente de vous voir ! dites voir c'est drôlement beau ici !

- Ma tante !! Bonjour mes dames : Ma tante, comment vas-tu ?
- Tu as un soucis ?


Elle se leva et les regarda toutes les deux en saluant la nièce de la Fleur au passage. D'abord rassurer son amie et faire les présentations après ...

Mes Dames, notre Fleur est tétanisé à l'idée de monter sur l'estrade pour le défiler ...

Prenant les mains de son amie, elle planta son regard émeraude dans le sien.

Edl, je n'ai jamais défilé non plus tu sais, mais je prends cela comme un amusement, sinon je n'y arriverais pas. Tu es capable de faire partie d'une armée de fiers soldats et tu ne serais pas capable de te pavaner devant nos futurs clients et clientes ?

Elle la fit se lever et elles montèrent sur l'estrade toutes les deux ...

Vas -y ! Elle est assez grande pour nous deux, tu vois ?! Et tu ne tomberas pas voyons ! Tu vas jusqu'au bout tu fais une petite révérence, un virevoltement de froufrous et tu reviens pour laisser la place aux autres et venir te changer ...

Elle tendit la main pour l'inviter à y aller avant qu'il ne commence à y avoir foule ... Dis-toi que c'est grand champ d'edelweiss que tu parcours en avançant sur l'estrade et que tu es la plus belle de toutes ...

Aller, vas-y. Je te regarde ... Nous te regardons ... Et puis si Kory peut le faire toi aussi hein !

Regard encourageant sur son amie et un autre sur Aleen en lui posant la question cruciale ...

Aurais-tu pensés à son petit remontant par hasard ?
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Les Fées Tisserandes ici

Elle avait reçue une invitation, Amy... défilé.....mode..... Paris.... PARIS !!!Elle prit une voiture et donna ordre au cocher de filer jusqu'à la capitale.

Ils roulèrent tout le jour et une bonne partie de la nuit s'arrêtant juste pour changer les montures harassée contre des bêtes fraîches et se restaurer dans un relais de poste.

Il arrivèrent au petit matin, elle descendit dans une auberge confortable, se reposa un peu, fit une toilette soigneuse et se dirigea vers le lieu où devait se dérouler le défiler

Grandiose ! beau ! intimidant ! elle glisse au milieu de la foule, aperçoit des visages amis, la Fleur parlant avec Amy

Amyyyyyyyyy! la Fleuuuuuuuuur! comme je suis contente de vous voir ! dites voir c'est drôlement beau ici !
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Ahhhhh , je vais jamais y arriver!!

Cours Edl! Cours!
Crénond'une barrique mais je cours!
Oui ben tu vas être en retard
Mais pas du tout!
Si si .. et même que ton travail ne sera pas fini ! gnark!
Que neny! tait toi donc oiseau de malheur et puis .. sort de ma tête! c'est pas le moment de l'encombrer!

Et oui comme à mon habitude et surtout quand j'étais perturbée .. oui ça m'arrivait souvent.. toujours , ok bon passons. Donc comme à mon habitude , je me parlais à moi même, ou plutot à mon deuxième moi même, enfin ... à celui qui m'encombre parfois et souvent. Bref je cours , je vole pour arriver à l'heure.

L'estrade.
Wouaoufff
Époustouflée je suis.
Vindiou c'est grand !
Intimidée soudain je suis aussi.

AAAmmmmyyyy !!! au secours!!!

Amy a toujours les mots pour me calmer et m'apaiser. Ce qui n'est pas toujours une mince affaire.. mais je tente de me soigner.

AAammyyyy!!!! j'ai peur!!!

Calme Edl Calme.. c'est un jour important pour les Fées. Trop forte les Fées! Surtout la chef, mais c'est pour ça que c'est la chef! comment on "fée" pour être chef, chef?
Edl ! on se calme!
Ah oui c'est vrai..
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Les Fées Tisserandes

[Une bâtisse, centre commerciale de Paris]


Que d'effervescence en cette période de novembre. Fin de l'automne, début d'hivers. Le froid arrivait doucement, mais surement et à l'atelier c'était l'effervescence. La décision de faire un défilé pour la collection d'hivers avait été prise depuis la fin de l'été et, les modèles étaient maintenant terminés.

Il fallait donc maintenant organiser la présentation. Elle avait trouvé des ouvriers et avait fait fabriquer une très grande estrade où les filles pourraient marcher sur une grande longueur pour se pavaner. Tout un tas de chaises avaient été placé pour que les invités puissent être à leur aise.

Malgré cette effervescence, elle comptait bien s'amuser. Sa fille était de la fête bien sûr. Jamais elle n'aurait laissé sa petite merveille seule même en cette occasion. Bien au contraire, elle avait besoin d'elle et elle espérait qu'elle y prendrait plaisir.

Les ouvriers quittaient petit à petit la place où l'estrade avait été monté, en pleine place commerçante de la capitale, ça allait de soit, dans une grande boutique bien en vue ... Une grande tenture avait aussi été monté en bout d'estrade, là où les modèles allaient être amené, sous bonne garde, il allait de soit aussi ... Manquerait plus qu'on voit de quoi il allait s'agir. C'était aussi là que les fées allaient se changer ...

Tout était maintenant terminé elle attendait les filles et aussi les invités ... Invités trillés sur le volet bien entendu …
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Les Fées Tisserandes ici

Encore a son tour, Le Perta sa lui plaisait de se pavaner, dernière petite vérification de la moustache, élément le plus important celons lui, sans une belle moustache comment présentez une tenue aussi belle qu'elle puisse être.


Un mantel de velours noir teinté de bleu, un pantalon des plus doux bleu marine un cape de la même couleur et une paire de botte noir
La tenue enfilé, il s'avança prés de l'estrade pour se placer derrière le rideau


Un peu de stress bien sur, la peur de mal faire et surtout celle de tomber et d'être ridicule, mais pas le moment de réfléchir, voila que Val revient.

-Pas de soucis, je fais de mon mieux


Un petit sourire a Amy, Lyly, Kory, la Fleur et Val et le voila qui se relance a la conquête du publique, démarche assuré le plus possible, il avance doucement lançant des sourires a tout va.
Arrivée au bout de l'estrade un petit tour sur lui même pour permettre a tout le monde d'admirer la magnifique tenue et le voila qui retourne vers le rideau en continuant de sourire a tout le monde

Une fois revenue, il se dirigeât vers Amy et Val


-j'ai été comment ? Je repasse quand ?
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"Lève un peu le bas de la robe", qu'elle lui disait, sa maman. Lever la robe pour pas tomber ? Ca devait encore être un truc de grands, ça... Elle fit donc un grand sourire à sa maman en hochant de la tête d'un air entendu, et, une fois son bisou du courage reçu, s'élança sur l'estrade en trottinant.

Plusieurs pas plus tard, devant le public, elle s'arrêta net, repensant au conseil de sa maman, et se baissa pour attraper le bas de sa robe.
Langue tirée, toute concentrée à sa tâche, elle manqua de basculer un instant, pas bien assurée sur ses jambes, mais réussit à ne pas tomber et à se redresser, un pan de robe à la main. C'est ainsi qu'elle termina son défilé, robe à moitié soulevée d'un côté, dévoilant un jupon qui, sauvant la morale, lui évita de se balader fessier à l'air devant toute l'assemblée.

Elle s'en retourna donc derrière le rideau rouge et aux côtés de sa maman, tête haute, toute fière d'avoir montré sa jolie robe sans tomber.

Mâma ! Ko'y levé 'obe !
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Le final, hé oui, c'était déjà la fin, seulement trois passages, il se demandait si tout le monde avait eu le temps de l'admirer bien comme il faut le Montbazon, enfin quoi qu'il en soit, il ferait durer un peu, pour être sur

Il écoutait attentivement chaque compliment, pour une fois que quelqu'un lui en faisait autant et en public, il savourait le moment, cacher derrière le rideau sourire aux lèvres.


On aurait pu le croire narcissique et c'était un peu le cas, depuis petit, il avait toujours aimé faire parler de lui et se faire remarquer


Lyly était déjà de retour, court moment de panique, petite remise en place de la moustache pour qu'elle soit parfaite.


Il lui offre son bras et les voilas partis tous les deux sur la scène. Ils avançaient lentement laissant tout le monde les regarder, les admirer et, peut être pour certain les envié


Arrivée au bout de la scène, il prit la main de Lyly pour qu'elle puisse faire un petit tour sur elle-même et présenter les tenues .


Il lui fit une petite bise pour rendre jaloux les hommes dans la salle, un sourire a tout le monde en faisant un tour sur eux- même, bras dessus, bras dessous et les voilas qui repartent vers le fond


Toujours aux anges de cette journée magnifique, Perta avait les yeux brillants, il avait toujours adoré les vêtements, enfin être beau, puis en tant que seul mannequin masculin de l'atelier, il était un peu la star et ce n'était pas pour lui déplaire, loin de la
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