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[RP] Au bord du lac...

Santreize
La journée avait fort bien commencée pour la jeune femme qui arpentait le chemin menant au lac de Ventadour. Si bien même, que le sourire qui l'avait quitté depuis de nombreuses semaines, commençait à nouveau à reprendre sa place sur son petit minois bronzé de paysanne qu'elle était.

Les feuilles des arbres rougeoyantes à nouveau annonçaient l'arrivée de l'automne... période qu'elle affectionnait particulièrement, pour ses couleurs chatoyantes et ses couchées de soleil plus que magiques.

Le bord du lac était comme à son accoutumée, dense de buissons et d'arbustes divers, et riche de nombreuses races d'oiseaux y trouvant leur subsistance. Un semblant de plage permettait aux nombreux pêcheurs d'y mouiller leur barque avant d'aller taquiner le poisson.

Elle s'arrêta pour le contempler, comme elle l'avait fait il y a si longtemps maintenant, et son regard fouilla instinctivement dans la végétation alentours pour retrouver l'arbuste qui l'y avait fait venir à l'époque.


Un saule argenté... c'était cela qu'elle était venu chercher. Une insomnie l'y avait poussée. Mais aujourd'hui, difficile de le retrouver. Tout avait poussé, grandit et rien ne lui permettrait de la remettre sur sa piste. Au demeurant, ça lui était bien égal. L'insomnie était passée et bien d'autres choses aussi.

Avisant un tronc d'arbre couché sur la rive, elle s'en approcha et vint s'assoir dessus. De deux coups secs, elle retira ses bottes et les posa l'une après l'autre près du tronc. Puis, d'un air décidé, elle avança prestement vers la rive. Le contact de l'eau lui tira une grimace, vite transformée en sourire.

Plantée là, debout, les pieds dans l'eau, elle regarda longuement le lac et les barques qui gitaient tranquillement. Elle respira profondément l'odeur de vase qui remontait de l'eau verte et sembla presque s'en nourrir. Elle ressentait quelque chose d'un peu similaire. Un ressourcement...

C'était vraiment un lieu magnifique et il lui plaisait de savoir que tout promeneur pouvait s'y arrêter un instant, le temps de faire une pause avant de reprendre la route.

Puis, comme à regret, elle revint sur ses pas, repris ses bottes, et sans même les enfiler, retrouva le chemin qui menait au village.
Afinity
Le froid s'abattait sur le royaume au fils des jours, le vent jouait les troubles fetes pour les balades journalières.

Afinity, toujours dans le trouble et le doute sur ce qu'elle allait ou n'allait pas faire, se retrouva pret du lac, sans même s'en rendre compte. C'est le clapoti que faisait l'eau qui la fit réaliser ou elle se trouvait.
Mais le spectacle fut superbe, sans regrets aucuns elle s'attrada dans ce lieux.

Le vent frais lui vivifiait le visage, elle ferma les yeux pour apprecier ce moment et communier avec mère nature....
Julia.baccard
Julia était venue se reposer au bord du lac, espérant que la fraicheur et l'humidité pourrait contribuer à baisser sa fièvre. Elle avait eu un réveil bien mouvementé et s'inquiétait beaucoup. Entre Soolys qui ne lui donnait pas de nouvelles de son avancée jusque Ventadour et les dangers qui les guettaient sur le chemin du retour ; le procès pour brigandage et les impôts à payer ; décidément Julia avait plein de soucis en tête.

Elle fit le tour du lac en marchant doucement. Quelques fois le soleil faisait une timide apparition et réchauffait son visage, éclaircisssant par la même occasion ses cheveux.

Pouvait-elle dire que Dié lui manquait ? Quelques fois oui. Ce qui lui manquait pour etre heureuse ici et qui se trouvait la bas était tout bête ; c'était ses amis. C'était Colchique qui l'aidait moralement, c'était sa tavernière préférée, sa petite Dangerosa, qui allait fêter bientôt son anniversaire ; c'était Oiselier, Keyne, Jacques, Marilia, Cifele. C'était ce stupide Ten qui la rendait tous les jours inquiète de ne pas savoir comment il allait. Et puis il y avait aussi l'envie de revoir Inracien.

Un homme, dans une barque au milieu du lac, la héla mais Julia ne l'entendit pas. Perdue dans ses pensées, elle continua sa promenade quand elle vit l'ainée de Missou courir vers elle. Julia attendit qu'elle soit à son niveau, lui passa la couverture avec laquelle elle s'était entourée et rentrèrent toutes les deux chez Missou qui devait les attendre avec impatience.
Julia.baccard
En quête de paix et de sérénité, Julia était venue de nouveau au lac de ventadour ; il était évident que c'était ce qui manquait le plus à Dié. Elle s'approcha du rivage, ota ses bottines beiges et tata l'eau du bout de l'orteil.

Ouch ! Elle est froide dis donc.

Petit à petit Julia se dévétit et alla se baigner dans l'eau. Elle espérait qu'Aly n'arriverait pas sinon elle tenterait de faire comme elle mais bon, Aly était imprévisible.

Julia fit quelques longueurs dans le lac et s'amusa avec les poissons. Certes ce n'était pas recommandé par ce temps et par sa maladie mais elle en avait tellement envie.
Se sentant soudainement épié, elle décida de retourner sur le rivage se sécher et remettre ses habits. Si Missou la voyait comme ca elle était sure de se prendre une remontrance du tonnerre.
Elle repârtit alors en direction de la taverne, cheveux mouillés au vent frais de janvier

Yameto
yameto qui venais d'arriver dans cette ville asser plaisant se perdit et se retrouvas face a ce lac, il regardais a l'horizon voyant quelque oiseau se disputer un ver , il prit place sur un rebord et quitta ses botte pour tremper ses pied dans l'eau fraiche et se reposer de son voyage


ha... ca fait du bien , dommage que yuuki travaille j'aurais tellement voulut en profiter avec elle ...

il regarda l'horizon ,puis il resta une bonne partie de la journée en rêvassant devant ce lac , il prenais quelque temps pour écrire les missive et les envoyer puis repartait dans son monde il fessait déjà pratiquement nuit , et il n'avais rencontrer personne...
Santreize
Les oiseaux chantent gaiement dans le petit matin qui s'éveille et les branches des arbres s'agitent doucement sous la caresse d'un vent frais. Paysage idyllique de la campagne au début du printemps

Sur le chemin caillouteux, une jeune demoiselle marche d'un pas ferme, poussant une brouette où repose le cadavre d'un mouton. Elle râle copieusement, la donzelle. C'est sa troisième bestiole qui crève en un mois... D'un œil torve, elle regarde les os saillants de la bête qui tressaute sur les bosses du chemin.


Elle repense en maugréant à ces 15 jours d'angoisse et de dur labeur pendant lesquels elle l'avait bichonné, soigné, dorloté. Même le bourgmestre l'avait surveillé pendant son absence de quelques jours. Le roi des moutons n'aurait pas eu meilleur traitement..
… mais le roi n'avait pas daigné grossir, se foutant royalement de toutes ses nombreuses attentions.
Elle l'avait trouvé étendu dans l'herbe verte de l'enclos lorsqu'elle était arrivée le matin même, les bras chargés de bon foin. Peut être n'avait il pas apprécié l'arrivée de sa nouvelle camarade ?


Peste soit de leurs caractères d'ovins butés ! Il fallait maintenant trouver un endroit pour son royal repos. Son champs était saturé de tombes improvisées et elle craignait que ses prochains protégés ne le sentent. Le lac était probablement le plus bel endroit du village. C'était à ça qu'elle avait pensé en chargeant difficilement son altesse dans son dernier carrosse.

Le soleil est presque à son zénith, lorsque la brune arrive enfin devant la rive du Lac. Elle repose enfin ses deux bras ankylosés et se redresse lentement. Pourquoi pas derrière un buisson ?
Ne reste plus qu'à attendre l'homme croisé en taverne ce matin. Il lui avait promis un peu d'aide. Pourvu qu'il ait pensé à prendre une pelle..

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Yameto
reposer d'être allée a l'église ,il se tenta une petite baignade...

il se met a nue se mit au bord du lac et prit une grand inspiration puis plongeas directement dans l'eau


haa.. oui, quand même je ne la penser pas aussi froide...mais que ce que ca délace !

après quelque heure , il commença a ce rendre compte qu'il était deja tard , le soleil presque a ca phase de couché ; il remonta puis se revêtu ..une fois habiller, il resta a la même place et se mit a affuter mira , laissant quelque pose et regardant au loin
Batouk75
Le week-end touchait à sa fin, mais il était quand même fatigué. Il se dit alors qu'un petit tour du côté du lac ne lui ferait guère de mal..

C'est en partant de chez lui qu'il se remémora.. Ah oui, la pelle. Finalement, cette petite promenade n'allait pas être de tout repos. Il prit sa pelle, qu'il avait fabriqué lui même durant une longue soirée d'hiver.


Magnifique !

Lorsqu'il arriva au lac, il vit la bête derrière un buisson. Il posa alors la pelle.

J'ferais ça plus tard, pour l'instant, j'vais voir l'eau.
Santreize
Non loin de la rive, Santreize s'est assise sur un tronc d'arbre couché et contemple les reflets du lac, attendant patiemment l'arrivée de l'homme à la pelle..

Ses souvenirs remontent un à un, lorsqu'elle était venue ici même se laver avant le bal des Miss. Du temps avait passé depuis, mais elle se rappelait fort bien ce qui s'était passé par la suite.

Sans même y penser, elle se penche et attrape un caillou, et joue avec en attendant que Baltouk se pointe.
Un léger bruit la fait se retourner. Elle aperçoit le messire poser sa pelle et se diriger vers le lac.
Elle se lève d'un bond, les sourcils froncés.


Hey ! Vous ! là bas !
Ça fait un moment que je vous attends.. vous avez votre pelle ?


Parvenue près de lui, la main de la brune attrape doucement la manche de l'homme et le tire vers le buisson.

Faut pas trainer... Y a des corneilles dans le coin qui vont bouffer mon défunt mouton. On sera pas plus malins, si on doit se disputer sa carcasse royale.

Allez hop ! Au boulot...


Les yeux levés vers le ciel, elle guette l'arrivée soudaine des volatiles et son regard accroche sur une silhouette éloignée. Un homme un peu plus loin affute son épée. Elle le hèle de sa place et lui fait signe de venir. Peut être pourra t'il les aider ? Après tout, plus de monde il y aura, moins de temps on y passera...
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Santreize
Les bras levés et montée sur la pointe des pieds, la brune s'évertue à attirer l'attention. Mais le messire, tout à son affutage, ne la voit même pas.
Le visage concentré et les yeux plissés, elle croit reconnaître l'étudiant à l'accent si étrange..

Ah si.. il se lève enfin ! Il va venir...

Un sourire d'espoir se dessine sur le visage de la paysanne... qui s'efface aussitôt, en voyant qu'il se dirige vers un chemin qui retourne vers le village. Elle crie de plus belle, mais rien n'y fait. Il disparait bientôt de sa vue.

La mine déconfite, elle renonce à regret et se retourne enfin vers Batouk. Mais derrière elle, point de Batouk... juste son altesse crevée qui attend.. une pelle posée à ses cotés.
Le brun s'est carapaté dans son dos sans faire aucun bruit. Il en a même oublié sa pelle.

D'un geste rageur, elle se laisse choir devant la dépouille et ronchonne. Un malheur n'arrive jamais seul dit-on...

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Regnalde
C’était la dernière discussion à la mode en taverne, enfin dans certaines tavernes car le sujet ne pouvait intéresser tout le monde malgré qu’il ne manquait pas d’intérêt. La perte d’un être proche qui pouvait rapporter argent méritait sans doute que l’on s’y intéresse et c’est donc avec les pieds de plomb que notre maire écrivit donc un petit discours.
Il ne lui avait fallu longtemps pour retrouver le lieu de l’enterrement, une femme seule sur la rive de lac ne manquait pas d’attrait touristique, cela en valait le détour mais il se concentra de nouveau rapidement sur le but de cette journée déjà bien entamée. Arrivant enfin au lieu dit, retrouvant Santreize en pleine recherche de possibles travailleurs, il interrompit enfin ce moment de silence
.

J’ai préparé un petit discours et au cas où, j’ai même apporté une croix. On pourra lui faire un enterrement religieux si vous voulez, il était baptisé au moins ?

Il lui disait ça simplement, presque l’envie d’essayer de lui remonter cette tristesse, il se reculait légèrement, attendant les prochaines instructions de l’organisatrice.
Santreize
La paysanne n'en croit pas ses yeux.
Le maire en personne qui vient aux obsèques ovines et royales... un petit discours dans la poche.


Elle dévisage le blond, cherchant à déceler sur son visage, une moquerie ou une farce cachée... Certes, son mouton n'était pas n'importe lequel des moutons.. c'était le sien ! et un qui lui avait donné du mal... mais bien évidemment, il n'était point baptisé.


M'sieur l'maire, faut pas se moquer hein ?
C'était un bon mouton comme il faut.. un mouton sympathique et attachant, mais un mouton sans doute trop noble pour ne manger que du foin.
De là, à l'enterrer religieusement.. Non, faut pas pousser...
L'esprit nobliot n'implique pas pour autant l'existence d'une âme.. ça se saurait sinon..


Santreize passe une main dans sa chevelure et regarde une dernière fois la carcasse anorexique de l'animal. Puis d'un geste souple, elle se relève, attrape la pelle laissée par Batouk et la tend à Regnalde.

Mais bon, si vous voulez faire quelque chose pour lui.. et aussi pour les pêcheurs alentours aux nez délicats, et bien.. si vous pouviez creuser.. on verra ensuite pour votre petit laïus...

La paysanne cherche des yeux l'emplacement idéal.. pas trop près du Lac, pas trop près des arbres.. Elle se penche vivement et montre du doigt le sol près de deux grosses pierres angulaires...


Ici !.. c'est là, qu'faut creuser !
Regnalde
Peut être l’avait-elle mal pris mais toujours est-il qu’elle lui demandait déjà de se mettre à pied d’œuvre. Et son discours alors ? Il ne l’avait pas écrit pour rien et il comptait bien le réciter à un moment ou à un autre, qu’elle le veuille ou non. Lui donnant la pelle et lui montrant l’endroit où allait être creusée la sépulture, il dut se résoudre à commencer le travail.
Il usait de son pied, creusant peu profondément, retournait celle-ci et répétait ses gestes inlassablement. Ceux-ci-ci déjà le fatiguaient déjà et en profitant d’un moment d’inattention de celle qui enterrait son mouton, il se retournait vers elle.


Il a un nom votre mouton ? Cela m.e permettrait sans doute de mieux m’attacher à lui et de faire ce travail avec plus d’entrain.

L'observait du coin de l'oeil, il en profitait pour se reposer sur sa pelle, soufflant quelque peu en attendant que peut être le travail ne recommence pour ces mouvements qui ne semblaient prendre fin.
Santreize
La journée s'étire doucement sous les soupires de l'homme qui creuse. La terre s'accumule maintenant sur le coté, dans un joli tas plein de cailloux. Debout un peu plus loin, la jeune femme scrute le lac, délaissant le dur labeur du maire.

De temps à autres, cependant, elle surveille l'avancement des travaux, et voit bien qu'il commence à fatiguer, le pauvre homme.
… et voilà qu'il l'interpèle, cherchant surement à faire une pause sans vouloir montrer qu'il est à bout de force.


Un nom ? mon mouton... ? ben...

La brune se gratte le crane en grimaçant, montrant par la même qu'elle n'a pas réfléchi à la question.
Mouton 1er ?.. 'fin non, c'était pas l'premier... pfff !..
Sale vieille carne de bestiole entêtée.. ça lui irait mieux, mais ça manque un peu de respect à sa pauvre dépouille... pis c'est trop long !


Elle retourne voir son cadavre et le regarde encore une fois.. comment qu'tu t'appelles toi ?
… pas rothschild non plus...
Au fait, c'était une moutonne.. enfin, une brebis ! Ses yeux pétillent de malice, et elle se retourne vers Regnalde souriante :


Elle.. c'était « elle », en fait ! Et elle s'appelait Anne de son prénom.
Mlle Anne Onyme.. et elle avait épousé Orexik... ça vous va ?
Bon... ! Pouvez creuser maintenant !

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Santreize
Le maire semble déçu ou peut être un peu décontenancé. Les deux mains posées sur le manche de la pelle, il semble figé, perdu dans ses pensées.

La brune s'empare de l'outil d'un geste brusque, manquant en même temps de faire chuter le penseur. D'un doigt autoritaire, elle lui montre le chemin qui mène au village.


Bon à rien ! Voilà ce que vous êtes... Filez avant que je vous assomme... J'vais finir le boulot toute seule.

De deux trois pelletées, elle agrandit le trou déjà assez conséquent, puis tire par les pattes feu « Anne, la reyne des brebis » pour la faire glisser dans sa dernière demeure.
Point de prière. Elle en a eu assez de son vivant sans aucun résultat.

De quelques gestes adroits, elle recouvre l'animal, éparpille le surplus de terre et tasse le tout de quelques coups de talons bien placés.

Voilà... la messe est dite. L'affaire est close. Le lieu peut enfin retrouver sa quiétude habituelle.
Dernier regard vers le lac si paisible, la pelle sur l'épaule, la bergère s'en retourne à ses moutons, fredonnant pour elle-même la chanson d'une duchesse en sabot.
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