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[rp] Une fugue en Breizh majeur...

Lupin_darc
Breizh=Bretagne


Montpellier, Languedoc, quelque part près du port...

Assis sur un gros caillou, Lupin tenait un petit sac en toile dans sa main et dans l'autre, un lombric qui se tortillait dans tous les sens.

Allez viens petit ver... je vais t'appeler Alfred toi! Cela te va comme un gant.

Il était tout content d'avoir attrapé tant de vers de terre. Car ce n'était pas chose facile dans cette ville. Par chance, une petite averse avait eu lieu plus tôt dans l'après-midi et les asticots en avaient profité pour refaire surface, quittant le terreau humide situé en profondeur pour la terre de surface.

Il approcha une des extrémités du lombric vers son visage. Pour lui il ne faisait aucun doute que le ver comprenait ce que Lupin lui racontait.


Tu vas nous servir à attraper des beaux poissons, tata Beber et moi. Ensuite, quand le poisson t'aura avalé, on lui tailladera le ventre et tu pourras sortir!

Sa tante avait proposé de l'emmener pêcher mais pour cela, il leur fallait réunir suffisamment d'apâts auparavant. Lupin ne savait pas trop comment cela se passerait, mais pour lui il ne faisait pas l'ombre d'un doute que l'asticot devrait réapparaître à un moment ou un autre, une fois que le poisson aurait été vidé.


Tiens, voilà ta nouvelle maison, mon Alfred. dit-il en le remettant dans le sac en toile.

Se remettant sur ses deux pieds, il fit quelques pas en direction des navires qui étaient amarrés dans le port en balançant ses bras nonchalamment. Il s'ennuyait atrocement depuis qu'il était à Montpellier.

Tout ça parce que Maman Blanca avait eu une drôle de lubie, celle de revoir les Bretons qui étaient passés chez eux quelques mois auparavant. Lupin ne s'en souvenait déjà plus, car à son âge on oublie aussi vite les gens qu'on s'y attache. Les Bretons étaient arrivés à quelques jours d'intervalle sur un navire comme celui que Lupin regardait justement. Et maintenant ils passaient tout leur temps à boire en taverne et pendant ce temps, Lupin s'ennuyait mortellement.
Ce n'était pas tout à fait exact. Car il aimait bien en taverne quand on lui offrait une chopine de jus de pomme qui fait *hips*. Et aussi quand il se faufilait sous la table pour attacher entre eux les lacets de deux personnes qui, au moment de partir, se retrouvaient prises au piège. Mais il aurait voulu partager ces moments-là avec d'autres enfants, il rêvait d'aventures... même imaginaires. Et les grandes personnes n'avaient d'imaginaire que pour obtenir des bisous ou des chopes, c'est tout...

Il s'arrêta pour regarder un homme qui était sur le pont d'un bateau et qui commença à faire rouler un gros tonneau sur une étroite passerelle en direction du quai. Lupin s'approcha de lui lorsqu'il fut arrivé à terre.


- Hé, m'sieur, il vient d'où ton bateau?

- Cosa dice? Non capisco nulla.*

- Pfff tu causes pas françois? Il vient d'où? Où? fit Lupin en montrant la mer. Cela devait être un Sarrazin, comme les nommait Papa Raoul dès que ça ne causait pas pareil qu'à la maison.

L'homme fit signe qu'il avait compris:
Haaaa! La nave! Si, questa è la mia nave!**

Lupin haussa les épaules. Décidément il ne comprenait rien à ce langage barbare...
Dis! J'peux monter y faire un tour?

L'homme fronça les sourcils pour signifier qu'il n'avait pas compris non plus.
Beh, adesso via, ragazzino! Io devo finire di scaricare la merce perché poi andiamo via... Ciao!***

Disant cela, l'homme fit un geste vif de la main, que Lupin prit pour un encouragement, puis lui tourna le dos et se remit à rouler le tonneau vers le bureau des douanes.

Lupin resta un instant à regarder la passerelle. Personne à sa gauche, personne à sa droite... il s'y risqua. Après tout il n'avait encore jamais visité l'intérieur d'un bateau.


*Qu'est-ce qu'il dit? Je ne comprends rien.
** Haaa! Le bateau! Oui, c'est mon bateau!
*** Bon, déguerpis maintenant, petit! Je dois terminer de décharger la marchandise parce qu'après on met les voiles... Ciao!

_________________
Blanca_corvinus
Montpellier, ses tavernes, son jardin aux plantes, son port, ses vignes, son marché aux épices... Il y avait de quoi faire dans cette ville.
Mais déjà le séjour touchait à sa fin, il était temps de reprendre la route vers l'ouest, route pleine de promesses et de dangers: rencontres plus ou moins heureuses, changement de vie... retrouvailles?

Bref, Blanca attendait beaucoup de ce voyage. D'abord oublier ses dernières (més)aventures politiques et hydriques en Franche-Comté et, qui sait, peut-être avoir un coup de coeur pour une ville du sud, se trouver une maisonnette avec vue sur la mer et s'y installer avec son râleur, son loupiot et ses amis. C'est ce qu'il y a a de bien dans les voyages, tout semble possible...

Revenant du marché aux épices, elle entra dans la chambrette qu'elle et Raoul avaient louées le temps du séjour, avec vue sur le port.


Coucou mon Rat-bougri! C'est moi!

Elle avait les joues rosies par le froid automnal et alla claquer un bisou dans le cou de son ronchon. Puis s'assit en poussant un soupir de soulagement.


Je nous ai ramené quelques souvenirs à déguster sur la route. Des spécialités du Languedoc, paraît-il. Pfiouuu j'ai bien cru que le marchand allait jamais céder! Ils croient que leurs olives sont en or ici ou quoi?


Tout en lui parlant elle en chipa une dans son panier qu'elle porta à sa bouche.

Mmmmm quel régal quand même! Sûr qu'en Franche-Comté on n'a pas ça!
Elle rit.

Bon et toi? Qu'est-ce que tu fabriques, mon Rat-fistollé? Et Lupin, tu sais où il est? Le soleil va bientôt se coucher et je n'aime pas qu'il traîne dans les rues à la tombée de la nuit.

Tout en disant cela, elle s'approcha de la fenêtre, légèrement entrebaillée et souffla son noyau d'olive sur la tête d'un type.

Hihi! Touché!

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You can be anything you want to be.
Zabou
Montpellier, ses tavernes, son jardin aux plantes, son port, ses vignes, son marché aux épices... Il y avait de quoi faire dans cette ville.
Mais déjà le séjour touchait à sa fin, il était temps de reprendre la route vers l'Est, route pleine de promesses et de promesses: les dangers, elle préférait les laisser aux autres, rencontres plus ou moins heureuses, déménagement, emménagement....

Bref, Zabou attendait beaucoup de ce voyage. D'abord oublier ses dernières (més)aventures en Italie et, ensuite retrouver sa maisonnette avec vue sur l'Our et s'y réinstaller avec son roudoudou et sa moman, après avoir aidé sa frangine et son simili beau-frère à emménager dans la plus belle région du monde, Breizh. C'est ce qu'il y a de bien dans les voyages, il y a un début, et enfin une fin, mais surtout énormément de rebondissements, de changements de programmes, de décisions absolument géniales.

S'en allant au marché aux vins, toute persuadée qu'elle était que sa frangine était enceinte, et en pensant au banquet qu'ils devraient organiser lors du mariage qui devenait par le fait incontournable, elle avait les idées qui filaient à vive allure..

Bon j'ai dja du vin de Toscane, pour aller avec les viandes grillées....m'faudrait bien du blanc, pour se marier avec les poissons....Un Bourgogne devrait faire l'affaire.... et du Bordeau, pour les fromages...

Toute à ses reflexions, elle passait sous la fenêtre d'une auberge, ne prenant pas attention aux borgborygmes qui s'échappaient d'une fenêtre à l'étage. Sûr autrement qu'elle aurait reconnu la voix d'un Raoul grincheux à ses heures, grognon aux autres qui répondrait à la voix bien plus suave et claire de sa douce Blanca.


Aïe ouille!! mais qu'est cé qu'ça! on m'assassine??!!

La main sur le sommet de sa caboche, sur laquelle était venu ricocher le noyau d'une olive machouillée, elle se massait la région occipito temporale meurtrie, tout en cherchant l'origine du bombardement dont elle venait d'être la victime.

Citation:
Hihi! Touché!


Levant donc les yeux, elle apperçut Blanca qui s'était approchée de la fenêtre pour voir , sans aucun doute, à quel jeu passionnant s'adonnait son rat-gondin. Il était bien évident que jamais la jolie brunette ne ferait ça elle même.

Nan mais Blanca!!! c'est toi?? tu as vu? dis lui voir qu'il se calme à ton vieux!! il aurait pu m'blesser!!! l'est tout d'même pas bien, j'te l'dis moi!! cracher ses cochonneries par la f'nêtre!! il aurait pu atteindre une ptite vieille!
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Raouldarc
Montpellier,ses tavernes glauques ,ses jardins emplis de chardons , son port qui se prend pour celui d Alexandrie alors qu il est juste bon a recevoir quelques barcasses vermoulues .Ces vignes qui produises du vinaigres ,son marché aux épluchures .enfin bref y avais rien a foutre dans cette villes qui rejoint celles de bretagnes au panthéon de la médiocrité.
heureusement se cauchemar allait prendre fin et raoul et sa charogne partaient vers des horizons tout aussi néfastes .le rat n attendait rien de bon de ce nouveau départ . Enfin l important c était d etre surtout avec celle dont il partageait la vie ainsi que son nain avec qui il était dur mais qui le faisait faiblir chaque fois qu il le regardait.

La corvinus revenait de ses courses et vint l embrasser dans le cou .En d autre temps il l aurait remballé mais il avait appris a aimer cette petite attention.


Coucou mon Rat-bougri! C'est moi!


ben je voie bien que c est toi ,c est pas la reine d Angleterre.mmmmm tu as acheté quoi encore .tu vas me saigner jusqu au bout.Des olives??? mmm j aime pas les olives

mais quand il la vit faire ses lancer de noyaux ,il trouva beaucoup plus d intérêt a la chose et quand il entendit la cible raler et reconnue la voie stridente de zabou ça en devint carrément orgasmique .

Nan mais Blanca!!! c'est toi?? tu as vu? dis lui voir qu'il se calme à ton vieux!! il aurait pu m'blesser!!! l'est tout d'même pas bien, j'te l'dis moi!! cracher ses cochonneries par la f'nêtre!! il aurait pu atteindre une ptite vieille!

a ses mots il attrapa des melons et s approcha de la fenetre

heyyyyyyyyy tu as fini de bramer comme une ostrogoth que tu es .sache que si ca avait été moi c est pas des noyaux que j aurai jeté mais des cailloux .tu as du bol j en ai pas sous la main. par contre...

il attrapa deux ou trois melon et commença a la bombarder;avant de refermer la fenêtre. Le raoul avait cette faculté de passer tres vite d une chose a l autre ;et il lui vint de suite a l esprit les mots qu avait dit sa corvinus a propos de leur blondinet.Il pris un visage encore plus grave que d habitude ;Son front était ridé par l inquiétude car il l avait envoyé nulle part et surtout pas couper du bois .

mmmm moi non plus j aime pas ca ;tu l as rendu tellement naif cet enfant qu il est capable de parler au premier étranger qui passe. mmm vais le chercher et je t jure que je vais lui faire passer l envie de pas rentrer a l heure

ni une ,ni deux il attrapa une veste et dévala les escaliers .il allait arpenter cette misérable ville .tout d abort le parc,puis le marché et enfin le port .Il l appelait .parfois mielleux parfois menaçant

darrrrrrrrrrrrrrrrc mortecouill ou est tu que je te botte le cul ?.......(puis).......petit petit petitttttt ,viens chercher ton jus de pommes
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Scorpon
Montpellier, ses tavernes sans boisson, ses jardins où on se gèle les... miches, ses vignes qui donne même pas de vin, son port... bein qui sent le poisson, une ville comme tant d'autre quoi! Pas plus animée ni moins que la plupart des autres.
Le séjour en Italie avait été bien long, et celui ici bien court.
Mais il fallait reprendre la route, recuperer des écus qui dormait dans le coin d'une grange calcinée (vive le métal, a bas les papiers!)

Scorpon trainait dans les rues quand il vit sa belle-soeur, qui n'avait de belle que le terme, grogner après un pauvre malheureux a sa fenêtre, enfin une pauvre malheureuse quand il vit que c'était Blanca.
Mais celle-ci fut vite remplacée par un affreux qui balança sans vergogne des melons sur la Zab.
Quel dommage de gaspiller de la nourriture sur une telle tête
Mais Scorpon riait tout de même en s'éloignant de la scène qui finalement lui avait remonté le moral.

Il continua sa peregrination dans les rues de la ville jusqu'a se retrouver au port, sentant fort le poisson mais regorgeant tout de même de denrées qui valaient la peine qu'on s'y attarde: des tonneaux.
Un matelos était en train d'en rouler un dans sa direction, mais aux jurons que celui-ci proférait, c'était un italien, donc peine perdu pour esperer gouter au contenu.

Observant les bateaux, il fut surpris de voir un ptiot grimper sur l'un d'eux, un ptiot qui avait comme un air de déjà vu... mais Scorpon avait definitivement une mauvaise mémoire.
Il s'installat donc, observant le petiot se faufiler, lorgnant en même temps sur les victuailles qui débarquaient des divers navires.

C'est alors qu'il entendit la si disgracieuse voix du Raoul, surpris d'entendre sortir de sa bouche autre chose que insulte ou insannités.
Citation:
petit petit petitttttt ,viens chercher ton jus de pommes

Tu es en quête d'un cochon a saigner Raoul? lui demanda-t-il quand il passa a sa hauteur.
Oban
Montpellier, ses tavernes, son jardin aux plantes, son port, ses vignes, son marché aux épices... Il y avait de quoi faire dans cette ville...

Vrai qu'il fleurait bon ce marché...vrai qu'il se sentait un peu chez lui en parcourant les allées de ces boutiquiers qui brayaient pour attirer le chaland...il n'y aurait pas eu cet accent, ces senteurs, ces couleurs, l'on aurait pu se croire en Breizh...

Les deux derniers mois passés lui avait tanné la peau un peu plus et s'il vénérait Lugh, celui-ci l'avait pas épargné, ridant un peu plus chaque jour son visage...

En quête de souvenirs pour ses femmes, il déambulait au milieu des marchands de tous lieux, tissus des Indes, essences d'orient viendrait embellir et exhaler Maël, Aby ainsi que sa belle...
Quelques vins portugais viendraient également fêter les retrouvailles à Roc'han...

Ces yeux furent attirés par cette silhouette qu'il connaissait bien et qui semblait s'adresser à un mur un peu plus haut dans une des rues qui menait sur la place principale de la ville...

D'un pas alerte, il se dirigea vers elle pressé de lui montrer ses acquisitions...

Plus elle grandissait, à sa vue, plus lui semblait voir de petites choses parer sa belle...

La première chose lui venant à l'esprit, c'st que celle-ci, si pieuse, dû croiser un mariage sur le parvis de l'église, car elle semblait ornée de grain de riz, tradition oblige pour souhaiter bonheur aux mariés...

S'approchant de plus en plus, force fut de constater que cela n'était point...et ce fut proche d'elle, prêt à l'embrasser d'un baiser matinal, qu'il s'aperçut que sa douce embaumait le melon, ce qui en soit donna un gout plus sucré et agréable à ce baiser..., se laissant même aller à lui lécher le coin de ses lèvres après, tout en lui ôtant les pépins qui parsemaient sa chevelure...


Hummmm... mordiou que ne ferais tu pas pour....

Le regard un peu salace, accompagné d'un même sourire, il acheva

Rentrons à l'hôtel afin que tu reprennes ta couleur et ton gout naturel..., si tu le souhaites, j'ai ici une bouteille de ce vin de Porto ....

Sourit un peu moqueur...

Faisons un nouveau mariage ...je m'en enduirais la peau...
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Hermine.
Montpellier : ses tavernes où elle a vomi dans les latrines, son jardin aux plantes qu'elle a enrichi d'engrais, son port aux odeurs qui lui donnent des hauts le coeur, ses vignes, son marché aux épices ; fichues odeurs !... Il y avait de quoi rendre ses tripes dans cette ville.
Mais déjà le séjour touchait à sa fin, il était temps de reprendre la route vers le nord puis cap à l'ouest, route pleine de promesses et de dangers: rencontres plus ou moins heureuses, changement de vie... déménagement.

Bref, Hermine attendait beaucoup de ce voyage. D'abord oublier ses dernières (més)aventures en Italie et, qui sait, peut-être se trouver une maisonnette avec vue sur la taverne de Zabou, Oban et Gaya et s'y installer avec sa bestiole et enfin cesser de vomir. C'est ce qu'il y a a de bien dans les voyages, tout semble possible...

Entre deux nausées, la jeune femme flânait dans les rues de Montpellier quand elle vit Oban et Zabou se bécoter et entendit Raoul vociférer contre
son fils fugeur.
Blanca était elle, penchée à une fenêtre et regardait au loin, vers le port.

Hermine s'approcha du couple, allait pour les embrasser quand une forte odeur de melon lui fit mettre ses mains devant sa bouche et courir vers le caniveau, un peu plus loin.
Elle se soulagea devant un Scorpon et un Raoul fort étonnés.
Blanca_corvinus
Alors qu'elle riait de son coup de maître, Blanquette reconnut une voix familière sous sa fenêtre.

Nan mais Blanca!!! c'est toi?? tu as vu?

Zabou!! Oups je... vu qui? Blanca devint rouge pivoine en réalisant qu'elle a touché son amie.

Dis lui voir qu'il se calme à ton vieux!! il aurait pu m'blesser!!! l'est tout d'même pas bien, j'te l'dis moi!! cracher ses cochonneries par la f'nêtre!! il aurait pu atteindre une ptite vieille!

Blanca se sentit alors poussée sur le côté et vit son Rat-dégoût foncer vers la fenêtre, deux melons dans les mains, le visage fou.

heyyyyyyyyy tu as fini de bramer comme une ostrogoth...

Blanca regarda la scène sans rien pouvoir faire.
Elle ferma les yeux et quand elle les rouvrit, se rendit compte que les melons étaient tellement pourris qu'ils avaient éclaté avant de rejoindre leur cible. Fort heureusement, car sinon Zabou aurait ressemblé à un ballon défoncé à l'heure qu'il était.

Raoul referma la fenêtre sitôt son forfait accompli et se mit instantanément à parler d'autre chose. Apparemment il avait d'autres soucis en tête. Et ces soucis avaient pour nom: Lupin Darc.


Ne sois pas trop sévère avec lui quand tu le retrouveras, mon Ratounet. Je suis certaine qu'il y a une bonne raison pour qu'il ne soit pas encore rentré...

Mais déjà son Rat-staquouère avait dévalé les escaliers et déboulait dans la rue pour aller chercher son fils.
Lupin, comme tous les petits garçon de son âge, avait toujours un tour de malice dans son sac, mais cela ne lui ressemblait pas de disparaître ainsi.

Blanca alla réouvrir la fenêtre et salua de la main Scorpon et Oban qui étaient arrivés entre temps. Zabou était couverte de pépins et de chair orangeâtre. Blanca ne put réprimer un rire en la voyant.


Zabounette hihihi... Ca va? Pas trop de mal??

Par chance, Zabou semblait avoir encore tous ses esprits. En revanche, Hermine arriva, le coeur au bord des lèvres. Visiblement elle ne s'était toujours pas remise de son mal de mer après tout ce temps. Etrange, pensa Blanca en la voyant refaire la peinture dans la ruelle.

Dites, vous n'auriez pas vu, Lupinou? Il n'est pas rentré et Raoul s'inqu... est furibard!
Lupin_darc
Le navire était plus grand qu'il n'y paraissait. Une fois sur le pont, Lupin avisa une volée de marches qui s'enfonçaient vers les profondeurs de la coque. Il tenait toujours son petit sac contenant son ver de terre nommé Alfred dans la main.

Allez viens, Alf, on va voir si on trouve un trésor...

Et il commença à descendre les marches. Le temps d'habituer ses yeux à la pénombre, il se mit à distinguer un étroit couloir, le long desquels étaient distribuées quelques portes. Il avança prudemment mais apparemment tout l'équipage était descendu à terre et il n'y avait pas âme qui vive.

Il poussa l'une des portes qui s'ouvrit sur une cabine malodorante. Continuant plus loin, il aperçut cette fois des fourneaux et de multiples jambons et autres charcuteries pendues au plafond par une porte entre-baillée.


Héééé on dirait bien qu'on a trouvé l'endroit le plus intéressant, Alf!


Il entra dans la cuisine, vide, et grimpa sur un tabouret pour décrocher le jambon de Parme qui pendouillait au-dessus de lui. Celui-ci, trop lourd, lui échappa des mains pour tomber dans un BAMM! sur la table. Lupin se dirigea alors vers un fût qui se trouvait non loin, et plaçant sa bouche en réceptacle sous le robinet, l'ouvrit.

C'était du jus de pomme qui faisait *hips*!! Glou, glou, glou...

Lupin entendit soudain des pas dans le couloir. Il eut tout juste le temps d'attraper le jambonneau et de se cacher sous la table quand un gros type bedonnant déboula dans la cuisine.


Porca miseria! Cos'è successo qui? Ucciderò quello che ha lasciato aperto...*

L'homme se précipita vers le fût pour fermer le robinet qui fuyait abondamment sur le sol, laissant échapper son précieux nectar.
Lupin retenait sa respiration et restait bien caché sous la table, serrant contre lui son jambonneau et son sac contenant Alfred.


Ne fait pas de bruit Alfred, il nous donnerait à manger aux requins sinon!
fit-il à mi-voix.

L'homme continua à s'exclamer dans la langue des barbares et ressortit de la cuisine. Lupin sut que le moment était venu de filer en vitesse, et déboula de sous la table dans le couloir. Personne à gauche, personne à droite... Il refit le chemin inverse et se retrouva à nouveau sur le pont.

Alors qu'il débouchait de l'escalier, il se retrouva face au cuisiner, accompagné de deux autres marins à l'air peu commodes, qui le fixaient avec des yeux ronds.


E tu chi sei?**

*(Juron) Qu'est-ce qui s'est passé ici? Qui est-ce qui a laissé ouvert...
**T'es qui toi?

_________________
Zabou
Ce qui est toujours étonnant avec les anciens, c'est qu'ils ont cette faculté à conserver tout un tas de trucs qu'on aurait en toute normale balancer depuis belle lurette, mais qui, et c'est d'autant plus connu si le vieux en question appartient à la gente masculine, "peuvent toujours serviiiiiir!!"

Raouldarc n'échappait pas à cette règle.


heyyyyyyyyy tu as fini de bramer comme une ostrogoth que tu es .sache que si ca avait été moi c est pas des noyaux que j aurai jeté mais des cailloux .tu as du bol j en ai pas sous la main. par contre...

Et l'énergumène se mit à la bombarder de melons pourraves, qu'il avait dégotés Dieu seul sait où, et conservés pour Dieu seul sait quoi. Toujours est-il que si le bougre était encore doté d'une force de hérculéenne, sa vue devait-elle commencer à baisser, car par bonheur aucun fruit ne parvint à destination. Cependant, en éclatant autour d'elle, ils se dispersèrent sur la route et sur la bretonne déconfite qui fut bientôt mouchetée de chair orange et de pépins.

A l'assassin!! qu'on l'attrappe et qu'on le pende!!!!!

L'avait beau ralé la bougresse, personne ne se porta à son secours, et certainement pas ce Scorpon hilare qui passa auprès d'elle sans même avoir la décence de retenir ses rires.

Oui, ben vas y toi!! rigole pendant qu't' as encore des dents! un jour viendra que tu t'les f'ras piler, tu f'ras moins le mariole...

Les invectivant de menaces toutes plus ou moins réalistes, notre salade de fruits n'avait pas vu son mari arriver à sa hauteur mais au son de sa voix se retourna vers lui.

Hummmm... mordiou que ne ferais tu pas pour....

Son regard la parcourant de la tête aux pieds ne laissait guère de doute. Bien que vieillissante, elle restait consommable aux yeux de son tendre. Cette seule pensée fit disparaître toute trace restante de colère.

Ouiiii!! je sais mon grand gourmand!! faut toujours que je me fasse remarquer...mais que ne serais je prête à faire pour te rester désirable.

Du porto dis tu??? Quelle bonne idée que voilà; j'suis sûre que l'association sera heureuse....


Son sourire se fit rapidement complice et coquin tandis qu'une Hermine, après une courte pause à leur cotés, une seconde après avoir tendu le cou pour semblait-il les embrasser, se remettait à courrir vers un fossé non loin pour y vider une enième fois le contenu de ses tripes.

Mouais... et elle va nous faire croire que c'est quoi c'coup-ci? la vue des bâteaux qui lui rappelle son mal de mer? Va falloir penser à la trainer de force dans un dispensaire la gamine là!!

La vue de sa soeur penchée en avant, la mine rougie sous l'effort, le chant mélodieux de son estomac se retournant calma cependant les ardeurs du couple. Dans un même mouvement, ils se dévissèrent la nuque pour écouter Blanca, qui de sa fenêtre semblait trouver le spectacle intéresant à en juger par ses gloussements.

Dites, vous n'auriez pas vu, Lupinou? Il n'est pas rentré et Raoul s'inqu... est furibard!

Lupin? euh non, pas d'puis ce matin. Il voulait aller chercher des vers pour aller à la pêche. Mais bon, l'pauvre gamin a ptete chercher à fuir son bourreau de père, ça n'aurait rien d'étonnant. On vous aurait bien aidé à chercher hein.... tu comprends.... mais bon, Oban et moi on a un programme chargé lààààààà... la lessive... tout ça tout ça.....

Regard en coulisse à son mari qui voulait en dire long...

T'fais pas de mouron Blancounette!! ton gamin tient de toi! l'est malin, il saura bien rentrer avant la nuit.
_________________
Hermine.
Malgré son malaise, Hermine entendit l'inquiétude dans la voix de son amie : son fils , Lupin, ne rentrait pas , et la nuit n'allait pas tarder à tomber.
Reprenant des couleurs, elle s'avança vers la fenêtre :


Blanca, je vais aider Raoul à chercher le bout de choux ! Ne t'en fait, on va vite te le ramener !
RAOULLLLLLLLLLLLLLLLLLLL ATTENENENENEND !!!!!!
Raouldarc
Le raoul avait parcouru une bonne partie de la ville. Mais nulle trace de sa petite tête blonde . Il était donc revenu sur le port ,tout près de la ou la famille darc logeait . Les mains sur les hanches ,il ne savait plus vers ou aller quand il entendit le son le plus horrible,le plus strident,le plus inhumain qu il lui est été donné d entendre .c était la voie d hermine.

.RAOULLLLLLLLLLLLLLLLLLLL ATTENENENENEND !!!!!!


il se retourna vers elle ,la barbiche encore frisotante d horreur .


heyyy t as fini de crier . Tu vas l effrayer ,ca m étonne pas qu il veuille vous fuir,si y avais pas ma charogne je l aurai suivi tiens .mmmm bon en attendant séparons nous pour le chercher mais fait toi discrète hein .enfin autant sois peu que tu le puisse


Il posa une main sur le séant de l hermine et la poussa pour l exhorter a aller vers cette direction .

Pendant ce temps ,la nuit tombait petit a petit et l inquiétude du raoul grandissait avec elle . La ville était rempli d ostrogoths et il imaginait déjà son nain enchainé pres a etre vendu sur un quelconque marché aux esclaves de Médine Tombouctou ou saint paul de léon .
En attendant il fallait trouver un truc. Il eu l idée de l appâter .Il attacha une pomme ,fruit dont raffolait lulu, au bout d un long fil . Il la jetait a droite a gauche puis la ramenait vers lui espérant voir le petit monstre y courrir apres . Il fit cela des dizaines de fois .Allant jusqu a jeter le fruit sur les ponts des différents bateaux qui étaient présents dans ce misérable port.

[/b]
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Blanca_corvinus
Blanca sentait l'inquiétude monter progressivement lorsqu'elle entendit Zabou répondre:

Lupin? euh non, pas d'puis ce matin. Il voulait aller chercher des vers pour aller à la pêche


Blanca n'écoutait plus. Son cerveau commençait à s'emballer. Et si il lui était arrivé quelque chose? Si il avait été enlevé? Si quelqu'un l'avait reconnu ou avait su son nom et avait décidé d'exiger une rançon? Ou si il était tombé dans la mer? Le pauvre gosse ne savait pas encore nager! Et puis au mois de novembre l'eau commençait à devenir froide, il risquait de mourir de noyade ou d'hypothermie!

Blanca aurait du être plus sévère avec lui. Voilà ce que ça lui rapportait de laisser son fils gambader à sa guise et au gré de ses envies. Raoul avait raison, elle en avait fait un gamin sans peur et sans limites à force de lui passer tous ses caprices. Elle reprit ses esprits à l'instant où Zabou disait:

T'fais pas de mouron Blancounette!! ton gamin tient de toi! l'est malin, il saura bien rentrer avant la nuit.


L'est peut-être malin mais il est tête en l'air aussi! Et puis il n'a que six ans...


Bon sang! se dit-elle. Qu'est-ce que je fiche encore ici au lieu de le chercher! Aussitôt elle s'éloigna de la fenêtre et descendit l'escalier quatre à quatre pour débouler dans la rue.

Elle vit Hermine qui s'éloignait pour aider Raoul dans ses recherches vers le port. Blanca regarda la ruelle marchande qui s'enfonçait plus avant dans le bourg et décida de la suivre. Mais avant elle se tourna vers les deux Bretons:


Vous pouvez faire le guet ici vous deux? Au cas où il reviendrait de lui même... Et si ça arrive, envoyez-moi Moumoute pour me prévenir! fit-elle en désignant le caniche couvert de cendres et de crottin qui jouait de la truffe dans un tas d'épluchures à quelques pas de là.

Blanca s'éloigna vivement dans la ruelle, demandant à chaque marchand:


Vous n'auriez pas vu un petit blond?

Mais invariablement les gens secouaient la tête. La nuit se mit à tomber progressivement et une fois tombée, Blanca dut se rendre à l'évidence, le petit Lulu n'avait pas passé par le marché.
Lupin_darc
Le petit Lulu... ben non en fait, le GRAND Lulu parce que dans sa conception à lui ce sont les autres qui étaient "trop" grands là où lui avait juste la taille qu'il fallait avoir.

Le Lulu-de-la-taille-juste-comme-il-faut se trouvait donc face à 3 solides gaillards surgis face à lui et qui le regardaient comme un... gigot d'agneau? un rat échappé d'un égoût? un peu des deux à vrai dire... en tout cas leur regard n'était pas des plus tendres et protecteurs vis-à-vis du mioche pas plus haut que trois pommes.

Etoukiseille?? Qu'est-ce que ça voulait bien pouvoir dire dans leur langue de barbares? Lupin se gratta l'oreille de sa main libre, faisant fonctionner sa cervelle à vive allure afin de déterminer quelle attitude tenir. C'est qu'il avait l'habitude de se fourrer dans les ennuis le Lupinou, il n'en était pas à son coup d'essai, ça non! Mais là tout de suite, il ne savait pas trop comment se sortir de ce traquenard dans lequel, après tout, il était venu se fourrer tout seul.

Un coup d'oeil à gauche. Il reconnut la coursive qui menait jusqu'à la passerelle, permettant de rejoindre la terre ferme. Mais l'un des gaillards lui en barrait le chemin. Un coup d'oeil à droite. Là il ne distinguait rien mis à part les sombres flots où il pouvait au choix: sauter de lui même et se noyer aussitôt ou attendre que les trois gaillards s'emparent de lui et le jettent d'eux mêmes.

Il revint donc à la première solution, celle d'essayer de rejoindre la coursive de gauche et de regagner la terre ferme. Seulement il allait devoir abandonner l'énorme jambonneau qu'il tenait fermement contre lui, il ne ferait que le ralentir. A moins qu'il s'en servît comme arme?

Tout à ses pensées, il ne remarqua pas tout de suite que le cuisinier en colère avait donné l'assaut sur lui et vit les trois hommes s'approcher et sur le point de se saisir de lui de concert. Il ferma les yeux et prenant une grande inspiration de courage (ou de folie suicidaire allez savoir!), décida de foncer dans le tas. Mais au même moment, un petit bruit sourd retentit sur le pont avec un CHPOK!. Quelqu'un venait de balancer un objet par dessus le parapet!

L'un des hommes se retourna avec un mouvement de surprise:


Che diavolo...!?*


Les deux autres suivirent le mouvement peu après, comme pour s'assurer qu'ils n'était pas les victimes d'une sorte d'abordage. Profitant de la nuit noire qui s'était abattue sur eux et qui rendait la détection des mouvements moindres que celle des bruits, Lupin en profita pour se faufiler vers la coursive pendant que les trois hommes se grattaient la tête en ramassant une pomme, un peu éclaffée certes, attachée au bout d'une longue ficelle qui vraisemblablement continuait en direction du quai.

Mais Lupin n'allait pas demander son reste et arrivait déjà en vue de la passerelle lorsque retentit un cri derrière lui:


AFFERRATE QUESTO LADRO!!!**


Il accéléra encore la cadence, du moins tant que le lui permettait son chargement carné. Déboulant sur la passerelle, il entendit derrière lui les trois barbares et sans d'autres qui s'étaient mis en chasse lorsqu'il vit, campé sur ses deux pieds au bas de la passerelle en question...

... son père! Qui semblait tenir dans ses mains une ficelle qui filait en direction du bateau duquel Lupin était justement en train de descendre, comme si il avait harponné une baleine gigantesque que Raoul s'évertuait à hisser près du bord. Non loin de lui, il vit sa tata Hermine, qui avait le teint de quelqu'un qui aurait été trop longtemps sur un bateau, entre vert citron et gris cheminée.


Papa!? Mimine!?
cria-t-il surpris, tout en continuant sa course le long de la passerelle, le jambon tressautant dans ses petits bras.

Au secooooours! réussit-il à articuler avant de se prendre les pieds sur le rebord du quai et se s'affaler de tout son long à leurs pieds.

*Qu'est-ce qui se... !?
**ARRÈTEZ CE VOLEUR!!!

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Raouldarc
Le Raoul avait mis en œuvre son stratagème pour appâter son nain . il jetait sa pomme sur le ponts des différentes barcasses avant de la ramener a lui en tirant sur la ficelle .Mais jusque la il avait fait choux blanc ,et au fur et a mesure qu il avançait et que les bateaux a tester se faisaient plus rare ,l inquiétude grandissait en lui au point qu il en avait son estomac qui se nouait.

Justement voila l avant dernier du quai qui se présentait a lui .Un espece de rafiot tout juste bon a pêcher des sardines pensait il,avec un fanion aux couleurs ridicules qu il assortirait même pas pour ses slips.
Il jeta donc sa pomme sur le pont avec application et s attendait une nouvelle fois a être bredouille ;mais quand il tira sur la corde celle ci se tendit .Il avait bel et bien attrapé un gros poisson .A l autre bout les marins tenaient le projectiles entre leur main .intrigué par l arrivée du projectile a leur bort
Le raoul commençait donc a tirer sa ficelle quand il vit débouler son fils a toute vitesse de la passerelle un jambon presque plus gros que lui entre les mains . "Tiens un jambon avec des jambes se dit il avant de réaliser" .Il etait pret a recevoir son fils entre ses bras tellement il avait été inquiet ,avant de lui foutre une rouste mémorable .Mais il en eu pas le temps quand celui ci s étalla a ses pieds en demandant son aide


Papa!? Mimine!?Au secooooours!


Le "saigneur" des rousses releva la tête juste le temps de voir débarquer trois gugusses dont un tenait sa pomme tandis qu un autre gueulait dans un dialecte incompréhensible.


AFFERRATE QUESTO LADRO!!!**


par les braies ensanglantées de ma grand mère ,des ostrogoths, je vais vous faire voir ou vous pouvez vous le mettre votre qusto machin .espece d esclavagiste,voleur d enfant, vous emporterez pas mon Lulu dans vos contré barbares

pour le Raoul la situation etait claire ,les trois gugusses avait mis la main sur le petit pour le revendre a un de leur chef et le faire marner dans une de leur oasis .Il attrapa le jambon et s en servit comme d une massue en le faisant virevolter au dessus de sa tête .PIF PAF ,manchette a gauche ,manchette a droite .a chaque coup de jambon des morceaux de viande de celui ci s éparpillaient .Bientot les trois homme se retrouvèrent a terre la gueule en biais ;dans la main du raoul il ne restait plus qu un os .Il le regarda dubitativement en se retournant vers son fils

MMMM c est bien de la camelote leur bidoche .Je sais pas ou c est que tu a trouvé ca mais tu es la honte de la famille devant un choix si médiocre Chez les darc on est boucher de pere en fils .on est pas des charognards.....Merci de ton aide hermine .

Il pu enfin regarder son fils tout penaud au sol.Le raoul hésitait entre la colère et le soulagement.

TU te rends pas compte de l inquiétude que tu as donné a ta mère(occultant la sienne qui etait tout aussi grande).si je t avais pas trouvé elle m aurait chouinné dans les oreilles toutes la nuit. Puis tu te serai retrouvé a arracher des chardons au milieu du désert avec ses ostrogoth

Il l attrapa par le col et le souleva .il leva la main et lui foutu une torgnolle.Il faudrait certainement toute la science d hermine pour enlever les rougeurs sur ses fesses

Putain tu l as pas volé celle la, c est quoi ce jambon au fait? on te nourri pas assez ou quoi? vais te ramener a ta mere. viensss .suis sur qu elle te consolera cette cruche pfffffffff .a moi la répression ,a elle le joli role pfffffff

le lupin sous le bras ,ils purent quitter enfin le port .
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