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[RP] Des artistes en cueillette

Le_g.


Ils avaient rencontrés la bourgmestre en taverne, et discuté de tout et de rien. Le couple d'amants terribles avait un peu discuté, et lui, Le Gaucher, avait fait un petit numéro avec les bolas enflammées.

De quoi réchauffer l'ambiance en taverne, nul doute. Puis la bière avait coulée à flots ! A dire vrai, il buvait peu, le troubadour, 'fin, pas quand il savait qu'il risquait de se produire. Oh ça le dérangeait pas, au contraire !

Jongler avec le feu, c'était sa passion.

C'est donc après avoir donné à sa belle sa chemise, que torse nu, il s'était laisser aller, et s'était amusé.

Ils avaient pu rire, s'amuser, se détendre, et après ça, aller cueillir des fruits. Ils se faisaient une cure. Parait que ça rendait plus beau, et plus aimable. Mouais alors chut, faut rien dire là ! L'ours risquerait de se réveiller, et sa femme pourrait vous confirmer qu'il lui manque au moins trois quintal de carottes !

En parlant de lapins, il sait toujours pas si quand elle accouchera, il y aura un, deux, trois ou huit bébés. On lui a un peu mis la frousse, pourtant un grand gaillard comme lui, ça n'a pas peur de grand chose, mais ça, c'est l'inconnu ! Les armées, il connait, les coups d'épée aussi, et les poings de certains dans la tronche, il connait aussi. Mais ça ! Se retrouver papa, c'est l'inconnu, LA crainte, et le bonheur de sa vie. Il l'aime déjà ce bébé, même s'il est pas doué pour le montrer...

Mais en ce moment, c'est chemise motif nounours, avec des gros coeurs, et qui se battent à coup d'arc-en-ciel ! Joli non ?

Revenons à nos moutons, point de Roy pour annoncer un spectacle, pas de représentation prévue sur Nîmes d'ailleurs, hormis quelques moments de détente à la taverne municipale.

C'est sourire aux lèvres que le Gaucher embrasse sa femme, à la fin du numéro, juste avant de remettre sa chemise. Le couple d'amants terribles est un peu soupe-au-lait, vous savez ? Genre faut pas les chercher longtemps pour les trouver, et sanguins, même si pour le moment, la nature les contraint au calme. Autant vous dire que ça leur réussit pas ! Faut que ça bouge ! Ils en ont des fourmis dans les jambes, l'un comme l'autre, même s'il tente de rester de marbre et de faire montre d'une patience à toute épreuve.

En attendant, il s'échauffait présentement, le troubadour. Pour faire quoi ? Vous le saurez bien assez tôt, petits curieux ! Il fait mumuse avec son bâton... heu, celui en bois pour se défendre sur la route hein ! Qu'est-ce que vous avez l'esprit mal tourné ! Il était tout innocent... pour une fois ! Et non, il jouait pas avec sa main gauche sur son son instrument, 'fin si, mais pas celui auquel vous pensez !

Berdol ! Comme dirait sa femme, ce que c'est compliqué de dire qu'il veut sans que ça dérape ! En attendant, il entretenait son doigté, et ses muscles, tout en s'amusant.



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Andrea_
Prendre sa chemise, mais qu'est ce qu'elle détestait ça, la belle !
Pour son plaisir personnel, franchement, elle dit pas... mais exhiber son torse à la vue de toutes les pucelles -ou pas d'ailleurs - en chaleur, franchement... Pis fallait avoir les yeux partout, surveiller que le regard du gaucher ne s'perde pas en route, dans un corset par exemple - c'est ballot avouez, surtout pour lui qui aurait de suite les yeux crevés..hahum - puis dans le regard des filles présentes, histoire de leur rappeler que cet homme là, celui au corps luisant sous l'effort, celui au regard ambré, celui qui.. - celui ci donc- était le SIEN.

Parce que le gaucher, il faisait ses spectacles pour réchauffer l'ambiance, mais la colombe, elle savait que ça réchauffait aussi les donzelles. Nan mais oh! c'est pas un lapin d'six semaines !


Nîmes... sacrée citée quand même, elle lui rappelait Saint Liziers, par moment. Par moment seulement... On va pas r'parler de sujets qui fâchent mais, comme à Saint Li', y avait ici des parasites, et en c'moment fallait pas les chauffer, les amants.


"mets celui avec les coeurs" qu'il avait dit l'gaucher. Alors la belle avait enfilé un pull dont elle ne se savait même pas propriétaire. Dans son état, ça lui allait plutot bien, même si parfois, ça la démangeait... pas une question de matière, ni de motif a priori juste... ça cachait sa vraie personnalité, et pourtant dans cette ville, la colombe sans pull aurait fait des ravages !
Elle aurait sûrement commencé par la blonde insultante, et aurait enchaîné sur celui qui lui avait dit qu'il y avait pas mal de chance qu'elle meurt en couche, lui rappelant que son triste sort, d'ici quelques semaines, serait de mettre au monde un enfant sans certitude de survie. Elle aurait fini par prendre un malin plaisir à torturer la brunette à béquilles qui avait insisté le clou en disant qu'elle allait souffrir le martyr et ce pendant des heures, peut être même des jours, avec une furieuse envie de tuer son mari quand le moment serait venu.
A s'demander ce qu'ils mettent dans les fûts hein !
Bin j'vais vous l'dire !
RIEN
Ils mettent rien dans les fûts, la taverne municipale accueille les visiteurs avec des cailloux pour repas et de l'eau de pluie pour faire couler... SNIF
Pour ça qu'les gens sont si agressifs ! faut pas chercher j'vous dit !


Nîmes donc, avec son verger, pourtant la Colombe lui avait bien dit, à son mari de préférer les carottes aux pommes... A priori le pull lui grattait à lui aussi, à moins que ... Non il n'a jamais été aimable lui. - bien que niveau aimabilité, jsuis pas sûre qu'il soit pire qu'elle...-
'Fin, de toute façon, y aurait jamais assez de potagers pour les rendre sociable. Vous pouvez pas vous en rendre compte... pas encore... - bin oui ils ont le pull bisounours suivez !


Aaahhh lala, elle se perd dans ses pensées la chiasse, ses yeux aciers tournés vers son homme, une main protectrice sur son ventre rond, souriant parfois aux coups perçus.

Elle observe autour d'elle. Son bonheur paraît complet. La vie qu'elle aime, ne manquant de rien, entourés de gens qu'elle apprécie... Le souffle s'arrête un court instant,la gorge se noue, le visage se crispe un peu, et les yeux embués...
PARAIT.
Son bonheur ne peut être complet, puisqu'une partie se ballade quelque part en Languedoc...
Aucun son ne sortira, aucune émotion ne transparaitra, le trouble ne durera pas, a peine le temps de soupirer un inaudible " Ma Jolie", et la vie reprend son cours.

On est maître de son destin...

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Le_g.
Un sourire à sa femme, et une taverne ouverte plus tard, avec sur la devanture, un panneau "interdit aux boulets"... Heu non c'est pas ça ? Arf, il relit le panneau, 'fin déchiffre serait plus juste. Nan mais faudrait pas croire hein, il sait presque lire ! L et G, ce sont les lettres pour sa signature au lieu d'une croix ! Ouaip, et puis il sait compter aussi ! Il a bien aider, il en est sûr le soldat qui lui demandait combien ils étaient. Messire Regnalde avait du halluciner de le voir compter sur ses doigts.

Alors, je reprends, je vais y arriver !


Il lève ses doigts l'un après l'autre.

Alors il y a La Colombe, La graine, ça fait deux et demi... heu, avec La Carpe ça fait trois ? et puis heu... 'fin non lui il vaut deux non ma belle ?


Ouf ! Sauvé le track des chiffres ! Mouaip, parce que lui et les calculs ! Ca fait au moins ça hein !


Tout ça pour ça me direz vous ? Meuh non ! La Colombe arrive à la rescousse ! 'fin presque. Deux heures plus tard, ils y sont toujours, n'ayant pas réussi à définir qui vaut un demi, un trois quart, ou deux voire deux et demi, et c'est elle qui finit par annoncer :


On est cinquante-six.


Mouaip pas sûr, m'enfin si elle le dit hein ! Elle a sûrement raison ! Vous avez déjà essayé de contrarier une femme enceinte ? Pire, une colombe enceinte ? Mouaip ? Bah lui, il a pas pris le risque !

Quelques heures plus tard, ils rencontrent dans la taverne "Les écumeurs", la curette de Nîmes ! Bon, on va passer sur les détails, le retour de la réserve du couple d'amants terribles, lui rajustant ses braies, elle le décolleté pas vraiment bien fermé, parce que comme elle dit :


La maternité, ça a du bon.

Revenons à nous moutons, la curette donc... Une tentative pour un mariage. Ouaip, il va être papa, elle va être maman, vont avoir un p'tit loup, et il voudrait bien les parchemins pour faire comme tout le monde, surtout que ça a l'air de lui faire plaisir à sa belle.

Donc il commence la négociation. Un tonneau d'Armagnac pour le mariage ? Bon Deux ? Mais la bougresse est dure en affaires ! Il en arrive à rajouter un troisième, surtout pour éviter d'avoir à se faire pasteuriser, et d'aller à con fesse, parce que ça, il connait... 'fin, les cons et les fesses quoi. Cherchez pas trop loin non plus hein ! L'est pas blond pourtant, le gaucher. Une demi-heure plus tard, ils en sont à :
- quatre tonneaux, plus une charrette de bois plus un effeuillage pour le plaisir des yeux de la curette...
contre
- rien... nada !
Défection ! Elle est rudement dure en affaire ! Elle tient à parler de baptisation, et puis de pastorisation et puis tout le tralala et en prime, ils sont passé d'un : "formalité, on peut faire en accéléré" à "quinze jours" ! Autant vous dire que là, c'est mort ! Il grommelle, il tente de l'amadouer la curette, mais faut croire que ça marche pas. Droite dans ses bottes la donzelle.

Trois soupirs plus loin, pas de plaisir cette fois, ça c'était dans la réserve ! Faut suivre un peu rhoooo ! Bref, trois soupirs plus loin donc, ils en sont à : mariage Insatisfaisant et Grossier. Un truc de ouf ! Bon peut-être que d'avoir proposé de rendre les ... emprunts... qu'ils ont fait lors d'une cérémonie que ladite curette a faite... heu... Sans commentaires hein ! Il va pas vous faire sa confession ! Il y en aurait pour des semaines ! ou pas... On a le droit de mentir à un curé ? C'est bestiaux là, il maîtrise pas trop, autant pour lui c'est facile de classer les gens bah oui, tout le monde fait des listes, lui non, il préfère des petits moyens beaucoup plus facile !
Soldat, douanier, maréchaux = enquiquineurs à questions
nobles = froids, méchants, pas beaux, qui puent le parfum
gueux = amis
boulets = ennemis.

Mouaip ! Même que pour lui, les soldats sont pas des ennemis, il les trouvent plutôt... *se frotte la mâchoire en souvenir d'une rencontre avec un capitaine d'armée* ... amicaux * se souvient de la mine qu'ils se sont pris après ça, à savoir bourrés comme des ânes, incapables de bosser l'un comme l'autre le lendemain !


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