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[RP] La plage

Divinius
divinius s'avance et regarde le soleil, il s'assoit seul devant les vagues, jouant avec le sable de sa main droite, ilo ne sait quoi faire .
il reste pensif...
seul il reflechis esperant infantilement, recevoir une visite hospitaliere.
il en profite pour chantonner un petit air qu'on lui a apprit.
pnj


Levan. allat sur la plage, une fois la-bas il commencit a macher lentement dans le sable en regardant la mer et le couché du soleil...
Il se demande sur qui il tomberai en se promenant sur cette belle plage
Adir
Adir posa son sac de voyage dans le sable et en un battement de cœur écrasa son visage dans la poudre jaune de la plage (pour une fois que ce n'était pas de la farine...). Il huma lentement les odeurs d'algues et se retournant il dégusta les embruns de l'automne.
Le vent venait du large à cette heure, apportant la fraicheur et le cri des oiseaux de mer.
Le soleil inondait son visage de lumière et de chaleur ; il se sentait bien. Pour être franc la mer le l'épatait plus tant que ça. Ayant longé la côte une bonne journée pour arriver ici, il en avait plus que soupé de la grande bleue. Il avait réussi à combiner le soleil, le vent et un bon orage en une après-midi... dans cet ordre précis il avait fini la journée grelotant et trempé jusqu'à l'os.
Mais il était arrivé à rejoindre la ville où l'attendait son amie Lyne ; il en était si heureux qu'il n'avait pas pris le temps de déjeuner ce matin... Erreur qu'il payait bien entendu à cet instant précis, sous la forme de gargouillis sonores et assez éloquents.

Ah, sans de bouc ! Il ne me reste presque plus de pain... (et je rêve d'une bonne bière depuis si longtemps que j'en mangerais des algues si ça pouvait me donner un espoir...)

Il se releva et chercha du regard un lieu ou donner rendez vous à Laurelyne. Après un bon quart d'heure à trainer sur la plage il butta sur une petite pierre dont le son lui était des plus étrange... TOC !
En y regardant de plus près Adir sourit en reconnaissant l'objet de sa surprise. Une petite boite en bois de rose en forme de galet, le genre de boite que Laurelyne portait toujours avec elle, dans sa besace. Il avait déjà vu son amie en faire usage dans des cas assez précis de contusion... Un... baume. Oui, c'est ça, du baume ! Une sorte de crème qui soigne un tas de chose.
Il ramassa la boite et la nettoya du sable qui s'y était collé. Il observa un instant l'endroit et choisi de s'y assoir un moment. Peut-être l'intéressée reviendrait-elle sur ses pas sous peu...


Quand je pense que jusque là nous n'avons pas pu profiter de notre voyage... Ben, c'est décidé, à partir de maintenant ça va changer. Et vive les vacances !
Laurelyne
Lyne venait regulierement a la plage, le bleu de l'eau et le jaune du sable l'attirait et puis si Adir devait un jour arrivé enfin ce serait surement pas la!
Elle s'avanca donc les pieds nue dans le sable et la robe legerement relevé, cette derniere avait eut des difficulté la derniere fois pour se debarrasser du sable et du sel d'ont elle etait impregné, ce coup si Lyne avait prevus une couverture et une broderie afin de ne pas trop penser. Elle vit une tete blonde assise pas tres loin et a son endroit habituel.


"Tien qui c'est qui m'a pris ma place? bon ben j'ai plus cas trouver un autre endroit!"


Tout en pensant elle s'approchait de la personne. Et cette silouette et ses cheveux.

"On dirait ...mais oui c'est lui! c'est Adir!"

Elle se mis a courir, le contourna et lui sauta au cou ce qui eut pour effet de le planquer au sol.


-ADIRRRRRRRRRRRRRRRR! Enfin c'est bien toi dis? ho je suis heureuse! J'ai cru que tu n'arriverais jamais! Comment te sents tu? as tu fais bon voyage? et les curés comment ils etaient? raconte moi tout! Es tu blaissé?

Comme a son habitude, des qu'une emotion etait intense Lyne devenait un vrai moulin a parole mais c'etait plus fort qu'elle. Elle pris consceince qu'elle planquait toujour adir sous elle dans le sable et se releva rouge de honte. Assise en face sur ses genoux elle lui tendit la main pour l'aider.

-Désolée! tu m'excuse? je t'ai pas fais mal?
Adir
Adir attendit patiemment que la jeune femme passe son enthousiasme sur lui en souriant et se redressa pour répondre à la gamine qui se tenait devant lui.
Je vais bien, ne t'en fait pas. Pendant la semaine de retraite j'ai appris les rudiments de la médecine par les tisanes et les herbes chez les moines. du coup je vais pouvoir te bichonner autant que toi tu me bichonne .

Adir leva la tête vers le ciel. A cette heure il se teintait d'orange et d'or et l'ouest s'embrasait à mesure que l'est se drapait de nuit. Il se redressa et tendit la main à Lyne.
Que dirais-tu d'une petite promenade au couchant ? En venant par la côte j'ai repéré une petite taverne qui cuisine des plats de poisson et de fruit de mer. Si tu es disponible je t'y emmène. nous y seront pour l'heure du diné.

Il attendit que son amie se relève et longeant la plage ils débutèrent leur promenade main dans la main.
Laurelyne
Lyne finit par ce calmer et meme a s'excuser.

-Je suis désolée mais je me suis sentit un peu...seule disont ici! Les gens sont gentils tu vera mais bon tu m'as quand meme manquer un peu. me bichonner un peu tu dis? Chic alors il me tarde de voir ca!

Elle ecouta sa proposition et se releva en secouant sa robe pleine de sable.


-Bien sur que je suis disponible, je n'ai fais que t'attendre depuis que ce suit ici alors tu parle qu'une promenade et un diner avec toi ca me dis!

Elle fit une gracieuse reverence un peu trop prononcé et se releva en tendant la main.


-Ce sera avec plaisir monseigneur!


Il lui pris la main qu'elle lui tendait et commencèrent ainsi la promenade qui etait bien plus agreable avec Adir que seule meme si le site etait le même d'un coup il etait plus....beau.
Adir
Citation:
Elle fit une gracieuse révérence un peu trop prononcé et se releva en tendant la main.

-Ce sera avec plaisir monseigneur!



Adir sourit à son amie et lui prit le bras à la manière des gentlemen, avec toute l'élégance d'un nobliau...

Ils marchèrent un long moment en silence, leurs pas rythmés par l'aller et venue des vagues. Une légère tension dans la poitrine, Adir bouillonnait en son fort intérieur. Il connaissait bien Laurelyne maintenant. Ils avaient passé de bon moment ensemble, vécu dans le même village et s'étaient côtoyés chaque jour qu'Aristote fit.Il était parti en voyage avec elle pour découvrir le Sud et voir la mer ; placé devant la grande et gracieuse étendue d'eau il éprouvait du plaisir, mais ce n'était rien comparé à la petite promenade qu'ils faisaient... Il aurait voulu que ce moment dure une éternité, seulement à rester silencieux il avait l'impression que le temps lui coula entre les mains...


Je... Tu ne m'as jamais parlé de ce que tu voulais faire dans l'avenir...
Il réalisa que dans la situation présente sa phrase était des plus ambiguës. Euh, je veux dire... Moi par exemple, je me destine à des études de médecine... enfin tu vois ? Nous pourrions... Euh, je pourrais me déplacer un peu partout dans le pays pour soigner les malades ou m'installer dans une grande ville et vivre de mon travail... enfin tu vois, quoi. Mais toi, tu... Enfin, voilà quoi. Tu as des projets pour l'avenir à Mende ou ailleurs ? Adir se perdait dans un cafouillis de plus en plus inextricable.

Maladroit dans ses propos, il le fut également dans ses pas et trébucha sur une bute de sable humide. Conséquence logique de cette maladresse, il tomba à la renverse dans le plus parfait vacarme et accompagna sa descente d'une chorégraphie des plus burlesques.


Le nez dans le sable Adir pesta intérieurement contre sa bêtise et la situation, puis entendant Lyne l'appeler il sortit la tête de son terrier de circonstance pour assurer que tout allait bien.
Laurelyne
Lyne était bien, La main d’Adir tenait toujours la sienne et leurs pas étaient fait dans un ensemble parfais. Une paix intérieur l’envahissait toujours a ses cotés, sa présence était synonyme de paix et de fou rire avec un brin de tendresse jamais dite mais toujours ressentit. Les vagues et le couché de soleil donnait un aspect romantique qu’ils avaient connu a leur premier repas. Le cœur battant, Lyne jetait des coups d’œil a Adir, il était beau et paraissait bien, elle le connaissait bien et il avait toujours était la pour elle dans toutes les situations il était toujours apparue au moment ou elle en avait besoin. Cet instant était magique et bien qu’elle eut envi que ca continue encore et encore, Lyne sentait qu’elle devait dire quelques chose sous peine de mettre un silence tendu en eux. Réfléchissant rapidement elle ouvrit la bouche et c’est la voix d’Adir qui se fit entendre, encore une fois ils étaient sur la même longueur d’onde. Elle sourit et écouta le discourt quelque peu confus de son ami.

« Mais que lui arrive t il ? Généralement quand il veut dire quelque chose il le dit sans cérémonie ou du moins il est plus clair que la ! »

Elle se reteint de rire mais son sourire et la brillance de ses yeux la trahir. Elle acquiesça de la tête.

-Hummhum !! Je vois ou du moins j’essaye de…….

Sa phrase resta en suspend quand Adir buta dans le sable lui lâchant la main et s’étalant non sans avoir fait de magnifiques acrobaties. Le nez dans le sable, Lyne s’inquiéta immédiatement. Elle se précipita et s’agenouilla mettant sa main sur l’épaule de celui –ci.

-Adir ! Adir ! Répond voyons ca va ? Tu t’es fais mal ?


Elle le vit relever le nez, le visage plein de sable et l’œil furieux contre lui-même à coup sur. Rassurée, elle éclata de rire et de sa main libre lui enleva le plus gros du sable sur ses joues et son nez ainsi que sa mèche de cheveux sur son front.

-Et bien si ca marche pas en médecine pense a acrobate la tu seras parfais ! Ta souplesse et ta chute était vraiment spectaculaire, tu voudras bien me la refaire au ralentit ?

Elle était prise de fou rire et en pleurait même, le souvenir du spectacle plus la mine de son ami n’aider pas à la calmer. Au bout de quelques minutes se sentant honteuse de se moquer de lui elle l’aida a se relever et lui fit une bise sur la joue pour se faire pardonner.

-Excuse-moi mais je te jure que c’était comique ! Tu es vraiment le meilleur pour me faire rire !

Ne voulant pas qu’il fasse la tête toute la soirée, elle essaya de relancer la conversation non sans l’embêter un peu, et tout en l’epoussetant.

-Donc tu me demandais mes projets juste avant d’aller voir le sable n’était pas trop mouillé c’est bien ca ?
Elle prit son air angélique qui ne le trompé plus depuis un moment déjà .


-Et bien mes projets…A vrai dire je pense pour le moment rester sur Mende mais rien n’es moins sur je veux pouvoir affiner mes soins par les plantes et continuer mes massages ! Tu sais je travaille déjà avec ta sœur. Mais heu…enfin je n’ai rien planifié tout peu changer.


Voyant qu’elle n’était pas vraiment plus claire dans ses explications que lui dans ses questions, elle se mordit le coin de la lèvre supérieur (encore un tic). Elle lui repris la main et fit quelques pas.

-Comme tu vois je ne sais pas vraiment ce que va être mon futur mais tu me dis que tu veux être sur les routes ?

Le fais de le savoir seul, sur les routes l’angoissa d’un coup.

-Qui va prendre soin de toi ? et te protéger ? Enfin je veux pas dire que tu n’en ai pas capable…Mais je ..


Elle abandonna son explication le laissant seul juge de sa réponse et regardant l’horizon stoppa devant la vue. Le soleil venait a peine de disparaitre derrière la ligne d’horizon laissant voir une ligne verte entre le rose du ciel et l’orange de l’eau suivit de dégradée.

-Ohhhh regarde comme c’est beau !
Adir
Citation:
-Qui va prendre soin de toi ? et te protéger ? Enfin je veux pas dire que tu n’en ai pas capable…Mais je ..

Elle abandonna son explication le laissant seul juge de sa réponse et regardant l’horizon stoppa devant la vue. Le soleil venait a peine de disparaitre derrière la ligne d’horizon laissant voir une ligne verte entre le rose du ciel et l’orange de l’eau suivit de dégradée.

-Ohhhh regarde comme c’est beau !


*Adir sourit à la dernière phrase de Laurelyne. C'était vrai. Qui saurait prendre soin de lui aussi bien que cette jolie jeune femme ? Mais surtout qui pourrait le rendre plus heureux et avec qui pourrait-il partager tous ces moments si uniques ? Elle était la personne qui semblait compter le plus pour lui, avec sa sœur.

Sa soeur jumelle, Nanelle... Depuis qu'elle s'était mariée un lien invisible restait entre eux, mais dans son âme quelque chose s'était brisé. Un imperceptible vide que laisse l'enfance quand l'homme devient adulte... et que seul comble... la présence d'un être cher.

Adir ferma les yeux et se laissa porter vers l'avant. Il fit ces gestes sans penser. Intérieurement il luttait pour étouffer sa raison, sa volonté et sa timidité. Il savait ce que lui dicterait sa conscience et connaissait ses sentiments... Il se laissa aller.*


Oui, c'est magnifique, Laurelyne.

Elle lui tournait le dos pour regarder le crépuscule. Il approcha et l'entoura de ses bras. Tendrement il vint poser sa tête contre les cheveux de la jeune femme et ne bougea plus.

Tu es magnifique, toi aussi.
Laurelyne
Lyne voyait qu'Adir etait perdu dans ses pensées et elle ne voulut pas le deranger. Elle meme se perdit dans la contemplation du paysage et quands Adir lui dit qu'il etait en effet magnifique elle hocha la tête.

Elle ne le vit pas quand il s'approcha ou du moins ne fit pas plus attention jusqu'a ce qu'il passe ses deux bras autour d'elle. Elle resta statufié quelques seconde, son coeur fit un enorme bon dans sa poitrine a tel point qu'elle crut qu'il aller passer a travers. Puis il posa sa tête sur elle et elle ferma les yeux profitant de l'instant.


Citation:
Tu es magnifique, toi aussi.


elle rougit du compliment.

"Ho Adir, je donnerais beaucoup pour prendre soin de toi, si tu savais!"
-Non c'est toi qui est beau!

Elle croisa ses bras sur ceux d'Adir et soupira d'aise. Cela faisait un moment deja qu'elle esperait mais sans vraiment y croire, revé-t-elle? Elle n'osa bouger pendant un long moment mais la fraicheur la fit frissoner et elle ressera ses bras autour de ceux d'Adir. Elle se tourna doucement afin de rester dans ces bras et sourit en le voyant encore plein de sable. Elle passa ses deux mains sur ces joues et ces levres enlevant le reste de grains puis les mis dans ces cheveux.

-Quand ce n'est pas la farine c'est le sable vas tu enfin arrter de te cacher? Honnetement tu es mieux ainsi sans rien.

Bien elle mourrait d'envis de faire plus, elle resta ainsi a le regarder en souriant. Elle sentait ces mains posées a sa taille et les sienne caressaient ces cheveux blonds doucement.
Adir
Les derniers rayons de soleil effleuraient les vagues. Le vent s'était légèrement levé, le soir apportait sa fraicheur à la plage.

Code:
-Quand ce n'est pas la farine c'est le sable vas tu enfin arrêter de te cacher? Honnêtement tu es mieux ainsi sans rien.


Je ne crois pas avoir à me cacher davantage ce soir. J'ai tout contre moi une femme qui sait voir mon cœur.

Il resserra ses bras et se rapprocha de Lyne. Inclinant la tête pour contourner une mèche de cheveux, il posa un baiser léger sur les lèvres de la jeune femme.

Le temps sembla s'arrêter. Douceur et chaleur l'envahirent et il resta figé ainsi, n'osant pas briser cet instant pourtant furtif.
Laurelyne
Citation:
Je ne crois pas avoir à me cacher davantage ce soir. J'ai tout contre moi une femme qui sait voir mon cœur.


Elle aurait aimé en etre aussi certaine que lui. Elle sentit ces bras se resser et son coeur s'emballat en plus. Elle le regarda se pencher et ferma ses yeux quand leur levres s'unirent, instant unique ou le temps s'arrete et ou le monde n'existe plus. Lyne se serra un peu plus contre lui et ses bras se croisèrent autour de son cou.

Elle etait si contente, elle avit cru qu'il ne la voyait que comme une amie et rien d'autre, esperant qu'il ne regrettais pas son geste elle recula son visage doucement sans s'enlever de ces bras.

-Tout comme j'ai contre moi, un homme qui lit dans le mien!

Elle l'embrassa doucement a nouveau.
Adir
Je suis heureux d'être avec toi ici. C'est la première fois que je voyage le cœur léger. (une ombre passa sur son visage l'espace d'un instant...)

Dans de mélodieux gargouillis l'estomac d'Adir signala son mécontentement. Depuis des heures Adir n'avait rien mangé et la petite promenade n'avait pas du tout arrangé les choses.

Instantanément il rougit pour atteindre la couleur d'un poivron... Son regard croisa celui de Laurelyne, tout sourire sur ce coup bas du destin à leur romance.

*je suis foutu* songea-t-il... *je n'aurai plus jamais l'occasion d'être aussi sérieux avec elle*. Leurs sourires se fendirent imperceptiblement avant qu'une boule se forme dans leurs gorges. Ce fut bientôt trop difficile de maintenir le sérieux de ce silence gêné.
Il explosa de rire au même moment que la jeune femme. Ses bras se détendirent et son corps s'écarta du sien. Par automatisme il releva le bras et plaça sa main derrière sa nuque, signe de confusion.


Je te propose de poursuivre la promenade. L'auberge est à peine plus loin. C'est la que j'habite, le propriétaire m'attend pour le diner. Tu verras, sa femme et lui son des gens charmants.


Poursuivant le chemin, Adir sembla ne pas pouvoir tarir. Un peu comme un enfant qui raconte sa journée à sa mère, il détailla son voyage ; son séjour chez les bénédictins, comment avec un simple pic qu'il avait taillé lui même il avait harponné trois poissons, quelles méthodes les gens du coin utilisait pour pocher les œufs, comment il avait prévu l'orage qui s'était abattu sur le pays et comment il avait réussi à s'abriter... Laurelyne n'aurait pu placer un mot dans la "conversation" sans qu'il soit perdu au beau milieu des aventures d'Adir... Tout en parlant, il lui tenait la main, tournait autour d'elle et mimait les actions qu'il racontait. Sans trop se l'avouer, sa semaine loin de Laurelyne avait été un calvaire sentimental pour lui.

Et quand l'aubergiste de Montpellier arriva vers moi avec le plat de viande trop cuite je lui ai dit "Ah non, je ne"... ils arrivèrent enfin à la taverne où Adir avait sa chambre. Il s'interrompit et se tourna vers Lyne.
Nous y voilà. Prenant conscience qu'elle n'avait quasiment pas ouvert la bouche depuis une bonne dixaine de minutes...
Lyne, tu as faim ?
Laurelyne
Lyne toujour dans les bras d'Adir se sentait tres bien, une ombre passa sur le visage de celui-ci et elle ne put s'empecher de lui caresser la joue.

"Nos voyages mutuels d'avant ont ete douloureux pour nous deux on dirait! Mais je suis la et je prendrais soin de toi!"

Elle etait entrain de pensée ca quand un gargouillit venu du ventre de son compagnon la fit revenir a la réalité. Son visage se fendit en un sourir legerement moqueur. Elle essaya de se retenir de rire mais devant son air mecontent, elle ne put se contenir d'avantage et c'est ensemble qu'ils eclaterent de rire. malheureusement leur corp se separèrent et bien que décue elle le cacha derriere un sourir
.

Citation:
Je te propose de poursuivre la promenade. L'auberge est à peine plus loin. C'est la que j'habite, le propriétaire m'attend pour le diner. Tu verras, sa femme et lui son des gens charmants.


-Tres bien! Allons voir ton auberge, les gens d'ici sont gentils!

Ils se mirent en route et Adir partit dans le recit de son aventure de la semaine, il lui tenait la main et la lachait pour mimer son recit puis la reprenait, Lyne adorait l'entendre parler et elle écoutait attentivement. Elle suivait son discourt et ses gestes ayant presque l'impression de vivre l'aventure avec lui. Malgres tout, elle avait l'impression qu'il s'etait bien amusé sans elle alors qu'elle s'etait ennuyait a mourir guetant la route tous les jours et allant a la plage esperant le voir arriver. Mais ca y etait il etait la et elle n'avait pas l'intention de le laisser repartir de nouveau.


Citation:

"Ah non, je ne"... ils arrivèrent enfin à la taverne où Adir avait sa chambre. Il s'interrompit et se tourna vers Lyne.


Comme il venait de s'interompre elle regarda autour d'elle et vit une auberge, ce fut a ce moment la que son etomac cria lui aussi famine, elle sourit confuse.


Citation:
Lyne, tu as faim ?


-Je crois que mon estomac vient de te repondre! Je meur literalement de faim je crois bien que je vais devorer tout ce qu'il y a a la cuisine.


Elle le regarda d'un air coquin et releva son bas de robe, elle partit en courant vers l'auberge prenant un peu d'avance avant de lui crier en riant.


-Le dernier arrivé payera la repas! et ira a l'eau apres!
Adir
Le dernier arrivé ? Mais ce sera une dernière ma chère...

Adir bondit sur les empreintes de pas de Lyne et commença une course avec elle. En bon Gentlemen jamais il n'aurait osé gagner... et laisser la Dame payer son repas ! Mais, comment résister à l'envie de lui donner un peu de fil à retordre à cette jolie demoiselle ? Sans parler que courir avant de manger ouvre l'appétit... si besoin était.

Ils arrivèrent pratiquement en même temps, à ceci près qu'Adir dut ralentir un peu pour ne pas voler le triomphe à la gagnante... Courir en jupe ; elle avait un mérite certain qu'Adir n'aurait pour rien au monde tester. Ce devait faire l'effet d'une course en sac sans doute...


Bravo, tu as gagné.
Il soupira et se laissa charrier par Lyne, triomphante et... si belle quand le bonheur l'illuminait.

Allons manger maintenant. Il la conduisit dans la maison où un bonhomme à la mine franchouillarde et engageante les accueillit chaleureusement à grand renfort de patois et de dicton du coin.

La soirée s'engagea, bonne pièce de viande et légumes se mêlant aux meilleurs vins des coteaux de Bezier. Bien arrosée, la soirée se poursuivit pour le fromage et le dessert dans le salon.

De l'avis d'Adir, ce cher Aubergiste savait lire dans les pensées de ses clients et rendait la soirée unique par sa prestation discrète mais remarquable ! Tant agréable que fut ce moment, le vin tourna la tête à Adir.


*Est-ce que Lyne a bu autant que moi ? Je crois que j'ai la tête qui tourne un peu trop pour raccompagner ma gentle amie...*
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