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[RP] Le Moulin aux Etoiles, miroir de Seylian et Alexandre

Elohane
Elohane était une jeune femme douce voir timide;

Elle avait débarqué par un bel après midi au port de Toulon, d'un navire marchand faisant navette entre les îles et le Royaume de France.

Celle ci avait pour maigre bagage un peu de Bananes à vendre, quelques pièces d'argent et un paquet sur les épaules d’où une tignasse en boucles blonde débordait.

Elohane étrangère en ce lieux, avait choisit l'exil pour elle et sa fille étoile afin d'oublier la perte de son compagnon Alexandre.

Ceux ci vivaient tranquilles dans une bicoque dans ces pays lointains qui font rêver bien des aventuriers; pourtant vivre là bas n'est pas chose facile et Alexandre menuisier de son état, était partit un matin afin de faire le tour de l'île de la Tortue afin de vendre ses planches.
Elohane à cet époque s’appelait Seylian, follement amoureuse de son menuisier, avait attendu longtemps son retour mais point de bateau et point d'homme ne revint à la bicoque.

Au bout d'une année, elle avait prit sa décision, elle ne pouvait plus vivre au paradis perdu.
Elle avait vendu son champs et la bicoque puis embarqué sur un bateau pour le continent
Au départ, elle était arrivée sur Toulon, ou elle avait vécu un moment dans la tristesse et l’oubli, seul sa fille joyeuse et en bonne santé lui donnait encore espoir et envie de vivre.
Ensuite elle était remontée sur Montpellier ou elle avait appris le métier de meunière afin de subvenir à ses besoins et de continuer à exister.

Quelques années plus tard, elle décida d'acheter un petit moulin au bord d'une rivière bordant une ville.
Les gens ne se bousculaient pas à son échoppe mais elle avait suffisamment de travail pour vivre dignement et élever Etoile qui devenait chaque jour une enfant adorable et espiègle.

C'est ainsi que Seylian désormais Elohane avait prit boutique et chaque jour travaillait les sacs de blé afin d'en faire farine qu'elle revendait aux boulangers de la ville pour faire le pain .

Etoile grandissait vite, et Elohane avait entreprit de suivre des cours à l’Université afin de pouvoir un jour être capitaine d’un bateau..Le soir lorsqu’elle s’absentait, elle avait prit à son service une jeune fille Yselinne boulangère de son état et maman elle-même d’une petite fille Mélisa..

Un matin alors qu’elle sortait toute blanche de farine d’un nettoyage de son moulin, un étranger se présenta afin d’avoir un verre d’eau..celle ci charitable appela sa fille afin de le lui donner..
L’étranger dit s’appeler Canaleto mais au nom d’Etoile il pâlit et tremblant demanda à Elohane si elle ne s’appelait pas Seylian..

Celle ci méfiante d’abord finit à force de détail de reconnaitre son amour d’Alexandre perdu depuis 6 longues années.
Ils tombèrent dans les bras l’un de l’autre , Alexandre ayant été coincée sur une île puis capturé par des pirates n’avait pu revenir à temps et lors de son retour ne trouvant plus personne, il était partit aussi vers le continent ou il possédait désormais deux champs d’olivier.

Pour le couple la joie fut grande mais point pour la mutine et rebelle Etoile qui n’accepta pas se retour inattendu, pour elle son père devait être un superbe capitaine bravant la mer à la recherche de sa fille et non un vagabond perdu avec des champs d’oliviers..

A force de douceur et de patience, Canaleto alias Alexandre réussit à entretenir un bout de confiance avec sa fille grâce a un goût commun pour les bateaux..celui ci lui promit de l’aider à en construire un ..

Et un matin, Elohane laissa repartir Canaleto sur les chemins afin d’aller récolter ses olives et se concentra sur Etoile afin de lui faire comprendre et admettre le nouveau départ de son père mais qu’il allait revenir cette fois ci…..



--Etoile_des_iles
Le matin était arrivé aussi vite qu'un éclair, la veille elle s'était endormie l'esprit rêveuse entouré de ses deux parents naviguant sur le plus beau bateau des mers.

La brume s'était dissipée sur un rayon de soleil nappant la prairie d'une douce rosée..

Etoile ouvrit ses yeux sous le chant d'un rossignol caché en le grand chêne voisin...Ses cheveux en bataille elle sourit et sans même faire toilette , elle descendit dans la cuisine afin de voir ou Alexandre se trouvait...

Passant d'une pièce à l'autre, nul endroit ou elle ne le vit..

Inquiète mais ne voulant rien montrer, elle monta dans la chambre de sa mère ..


-Mman...t'es la ?..Alexandre est ou?..

Elohane soupira sous la demande et lui expliqua combien Alexandre avait devoir de s'occuper de ses oliviers sous peine de mourir de faim..

La puce âgé de 7 ans fit moue , cherchant prétexte à pleurer ...

Mais nul larmes ne vint devant sa mère, elle partit comme une flèche se réfugier en son jardin secret loin sous les fougères ou vivaient juste quelques lapins et un loup de passage...



"Entre la mer et le ciel, juste en bordure des flots.
Comme un trait vermeil, je trace mes mots.
Entre autrefois et aujourd'hui, je n'ai pas pu percer le mur de mon miroir.
Il m'a fallu apprendre mot par mot la vie"
Canaleto
depuis son départ de la veille ,
bien des choses était arrivé à canaleto....
sur les chemins menant à ses champs,
il se fit détroussé d'une somme ridicule de 3 écus...
certes ,il fut pris par surprise,
par un groupe de brigand plus nombreux que lui...
en particulier par un homme robuste qui lui avait laissé la vie sauve,
contrairement à sa femme enceinte qui aurait préférer le voir mort....
Après bien des discussions,
canaleto convainquit au moins l'homme armée , qu'il pouvait faire de bonne affaire entre eux, s'ils arrivaient à s'entendre..........

canaleto longea la rivière qui mena au moulin de sa compagne,
il se demanda comment annoncé sa venue aussi soudaine à elohane et a sa fille sans que leur vie en soient menacé.


cou cou ,

je suis revenu ,
je suis pas tout seul.......


se retournant vers ses agresseurs

inutile de les effrayer avec vaut armes,
faisons comme si, il ne c'était rien passé sur le chemin
apprenons à nous connaitre , et je vous garanti qu'on fera de bonne affaire ensemble........
Andrea_
Elle était bougonne la chiasse, pas d'humeur, grognon et j'en passe. Elle tirait une gueule de 6 pieds d'long. Mais c'est fou, parce que même comme ça elle était belle. 'Fin ça c'est Lou qui l'disait.

On lui avait dit que l'amour c'était faire des concessions. Et elle devait l'aimer son homme pour faire tout ce qu'elle faisait, mais berdol, faire confiance à un homme qu'on vient de brigander, faut-y pas être con ?!

Lou avait dit " je veux voir" alors, notre Colombe royaumale avait suivi. En temps normal, elle l'aurait pas fait, mais le p'tit bouchon pouvait arriver n'importe quand et donner naissance seule et dans les bois, elle l'avait pas prévu - si tant est qu'on puisse prévoir où et quand donner naissance.

Bref, elle était grimpée dans la roulotte, laissant les hommes à leur réunion " Tup et Rouare ", autant pour se reposer que pour s'éloigner de SA tentation du moment : "étriper du pigeon". Elle avait pu enfin s'endormir bercée par le déplacement de l'habitation sur roue, pour se réveiller alors qu'elle avait stoppé net.

La p'tite chataîne avait alors passé rapidement sa main dans ses cheveux, remis ses bottes, et c'est enroulée dans sa cape et capuchonnée qu'elle sort.



inutile de les effrayer avec vaut armes,
faisons comme si, il ne c'était rien passé sur le chemin
apprenons à nous connaitre , et je vous garanti qu'on fera de bonne affaire ensemble........



Entendre la voix du brigandé lui arrache un soupir, elle pose son derrière contre un des roues de la roulotte, et se remet à le fixer. Bon là tout d'suite, elle a pas l'air commode, mais elle a quand même une certaine admiration pour ce type, parler autant ça doit être un art que peut manient aussi bien.


Berdol tu parles toujours autant? Comment tu veux qu'on fasse connaissance si y a qu'ton bec qui s'entrouvre ?
Bon allé c'pas tout ça mais j'ai la dalle



Elle s'est posé CONTRE la roue et ça, c'est un détail qui n'est pas négligeable, ça lui permet de se relever seule, et d'garder une certaine prestance. Et ouai, ça vous en bouche un coin, mais là, elle se relève pleine de grâce, comme Marie, sauf que bon... heu... la graine s'est pas plantée toute seule quoi. - on se passe des détails?? oui, on se apsse des détails. Donc elle se lève, grommelle -pour la forme- et se dirige vers la porte, se grandissant un peu lorsqu'elle passe devant Canaleto, qu'elle toise du regard et tambourine à la porte - pour la discrétion, on r'pass'ra


Oléééééé, ici La Colombe, OUVREZ, on a vot'mari en otage !


Hmmm... ça c'est l'privilège de notre chiasse, elle pense qu'elle est connue et reconnue, l'coup du mari en otage, j'avoue, c'était pas très "fut-fute", - m'enfin elle a pas un doctorat notre Colombe, c'est qu'une gueuse ! qui plus est brigande-
Au mieux, la famille du Canalvéto l'pigeon ouvrirait, au pire Lou' gueul'rait... Pis elle s'ra toujours à temps d'éclater d'rire si ça part en caramel mou non?
Elohane
Elohane avait finit par laisser se tasser l'affaire, sa fille très butée attendait tout simplement le retour d'Alexandre.
Sans rien dire juste la mine sombre et un regard noire à faire peur.Celle ci ne pipait mot et ne mangeait qu'à contre cœur laissant sa mère dubitative sur le fait qu’Étoile n'était peut être pas si mécontente que cela d'avoir revu son père.

Ce jour la, elle était occupé à vider quelques sacs de blé dans les bacs de pierre de son moulin quant elle entendit la voix si reconnue de son Alexandre..


Canaleto a écrit:
cou cou ,..je suis revenu ,..je suis pas tout seul.......


La voix était chevrotante et nullement naturel et d'instinct elle sentit que quelque chose ne fonctionnait pas...
D'un seul cris comme un code avec sa fille , elle hurla...


-Etoile !! n'oublie pas de fermer ma fenêtre!!!!

Puis elle glissa un couteau dans sa chemise avant de se présenter dans la pièce d'entrée principale..
Méfiante elle interpella Canaleto.le croyant dans la pièce.....


-Point seul?..mon ami voila qui n'est pas vraiment ton habitude ni la mienne tu sais combien je n'apprécie guère les étrangers en mon Moulin...

Elohane depuis longtemps seule avait pris l'habitude de se défendre et sa fille était du même gabarit...alors comme par magie, le silence se fit à l'étage , Étoile par la fenêtre et passant par le chêne, était incognito sortie avec une des armes de sa mère....

C'est alors qu'au lieu de trouver Alexandre dans la pièce, un tambourinement se fait entendre sur la porte et une voix de femme achève de confirmer les soupscons de la belle....


Andrea_ a écrit:
Oléééééé, ici La Colombe, OUVREZ, on a vot'mari en otage !

-En otage mon mari ?...

Elohane n'est pas sotte et c'est d'une voix dure qu'elle répond...

-Vous vous méprenez la belle ,je n'ai pas de mari mais je possède de quoi me défendre ..alors passez votre chemin,...

Sur ce elle remonte à l'étage, entrouvre la fenêtre de l'autre chambre et pointe son mousquet...

Voyant le tableau elle ricane...


-Tient tient..il semblerai que vous soyez prêt à me chaparder mes affaires?..je n'ouvre jamais aux gredins alors lâcher votre malandrin de Canaleto, je le connais bien mais je ne donnerai point d'argent pour ce simple voyageur...

_________________

Sous les nuages de mes paupières,
Ma tête s'endort entre ses mains,
Le cœur ignorant combien il m'aime.
Le_g.
Il avait suivi l'homme, en grommelant pour la forme, tout en regardant aux alentours. Son instinct fait qu'il regarde les bois, les fourrés, il voit les yeux d'Hadès, son loup, qui luisent dans la nuit, et fait un claquement de langue. Ca peut paraître banal pour qui est près de lui, mais pour le Gaucher et son loup, c'est un signe d'alerte. Il peut se détendre un peu, Hadès saura le prévenir en cas de danger.

Il conduit la roulotte et ils arrivent devant le moulin. Pendant tout le chemin, sa main gauche aura été posée sur le pommeau de son épée, mais ça, c'est un détail. Lorsque la Colombe et Canleto font les présentations, il regarde la femme, et dit d'une voix grave, plantant son regard dans le sien.


Si vous touchez à un cheveux de ma femme, vous aurez à faire à moi.


Puis il fronce les sourcils et regarde celle qui porte le fruit de leurs nuits d'insomnies, ou plutôt de plaisirs sans fin...

Tu peux pas te détendre un peu ? Il va finir par t'arriver des bricoles.


Il parait calme, et il parle peu le Gaucher, mais tout dans son attitude démontre un homme près à tout pour défendre sa belle. Quant à savoir s'il pourrait tuer, inutile de lui demander aussi. Ca se voit à sa posture, nonchalante, l'air de rien pour qui ne s'y connait pas, limite désinvolte, alors qu'il pourrait bondir tel un fauve. Un bruit, Hadès qui grogne, et un nouveau claquement de langue du Gaucher pour le faire taire. Visiblement, il n'a pas envie d'entrer, le Gaucher, et préfère rester dehors, d'ailleurs, ses yeux vont vers la roulotte, alors qu'il croise les doigts de sa main droite avec ceux de la main gauche de sa femme.


Doucement avec ça, la p'tite dame. Ces machins vous pètent à la tronche neuf fois sur dix. Quand ça vous tue pas, ça vous arrache un bras.

Il sort de derrière son dos, une arquebuse qu'il porte en bandoulière, et esquisse un sourire.


A part à faire peur, ça sert à rien, vu que c'est peut-être plus dangereux pour celui qui l'utilise, surtout quand on sait pas l'entretenir. Parce que j'imagine que les vis, poires et autres vous vous y connaissez pour entretenir votre engin, non ?
--Etoile_des_iles
Étoile étendue morose sur son lit fait un bond...sa mère soudain hurle le code tant répété depuis leur arrivée icelieu..

Elohane a écrit:
Etoile !! n'oublie pas de fermer ma fenêtre!!!!


Doucement elle se glisse, prends le second mousquet que sa mère bichonne avec soins depuis sa vie esseulée sur l'île de la tortue et qu'en un simple déclic elle lui à apprit à faire...
Un drôle de sourire en son visage pour une fois la vie s'anime en son logis...

Elle se faufile par le vieux chêne la maligne et descend de l'arbre sans bruit...
Bien vite elle courre en son refuge, la ou son loup à trouvé gamelle depuis quelques mois..

La elle l'appelle , juste en chuchotis comme une mère appelle son enfant...
Voila qu'apparaît les yeux d'ambre, mi clôt ...son pelage est désormais devenu gris pareil à la terre et le schiste qui garnis le bord du bois.


-Chuuut mon beau...j'ai besoin de toi..j'ignore ce qu'il se passe mais c'est bien la première fois qu'elle me lance appel...

Prenant son animal , elle contourne la demeure afin de voir de quoi on parle car une férocité l'anime en digne fille des Iles...

Doucement elle s'approche et son loup montre les dents...
Un autre est en son territoire et cela ne lui plait pas vraiment...

Etoile jauge l'affaire, pas simple assurément..une roulotte lui barre la vue mais sa mère à l'étage elle la vois bien avec son arme pointé vers le bas...
Campé sur ses jambes frêles, retenant Laeshan afin de ne point paraître , afin surtout de comprendre...


Le_g a écrit:
A part à faire peur, ça sert à rien, vu que c'est peut-être plus dangereux pour celui qui l'utilise, surtout quand on sait pas l'entretenir. Parce que j'imagine que les vis, poires et autres vous vous y connaissez pour entretenir votre engin, non ?


-Hola messire, veuillez remettre vers le bas votre engin infernale, ma mère sait très bien se servir de son arme et moi également...ne vous inquiétez pas sur son entretien, après un long séjours chez les pirates et les Iles, nous savons grandement quoi faire..

Etoile tient en joue par derrière le loup étranger...hésitant sur la cible, entre le loup, l'homme ou la femme sur son séant...

-J'ignore si vous êtes accompagné par cet animal, mais il est sans aucun doute sur le territoire du mien...alors il vont être bien occupé et nous pourrons discuter...
-Racontez nous donc ce que par ici vous cherchez?...


Puis elle entrevoit Canaleto et frémi ...son regard noisette vire au noir et de rage elle ajoute..

-Faites attention messire, mes doigts sont frêles, un coup est si vite partit..peut être que le ventre de votre compagne n'apprécierait guère une aide à s'ouvrir je présume ?..

Etoile ne perd pas le nord, en une fraction de seconde sa victime elle a choisit..la femme sera première si l'homme de son arquebuse bouge encore un doigt tout petit.....




"Entre la mer et le ciel, juste en bordure des flots.
Comme un trait vermeil, je trace mes mots.
Entre autrefois et aujourd'hui, je n'ai pas pu percer le mur de mon miroir.
Il m'a fallu apprendre mot par mot la vie"
Andrea_
Hophophop, on se recule un peu pour entrevoir la bonne femme qui piaille de l'étage, et qui menace avec son arme, on appréhende le gamine à la langue bien pendu - pour sûr qu'elle parle bien pour son âge- et un gentil regard vers son homme. Finalement autant s'adresser à Canaleto, c'est l'plus censé de tous -bien que ...-


Ola, déjà tu vas calmer tes donzelles, parce qu'en fait ici, personne n'a d'armes... regard vers Lou' un peu septique Rha mais là, légitime défense. Ensuite si on peut même pas faire une p'tite blagounette, MERD', j'commençais à m'sentir à l'aise mouè !


Non mais c'est vrai quoi, déjà elle lui a laissé la vie sauve, elle a bien voulu l'suivre, elle arrive presque pleine de bonne volonté, et on s'fait menacer ! Berdol quelqu'un pour leur expliquer qu'un mec en otage n'est pas libre de ses mouvements ?

Pt'ain, 'sont les seuls brigands a raccompagner leur pigeon au bercail et qui en plus tombent en pleine embuscade... T'parles d'une renommée toi!
Canaleto
la situation est devenu tendue,
faut dire que naïvement canaleto pensait que tout se passerait dans le meilleur des mondes,
que les deux couples aller apprendre à se connaitre et faire des affaires ensemble pour sortir de leur situation de gueux.......
il n'avait pas pensé que cette idiote de femme enceinte allait par cette stupide phrase d'otage qu'elle avait prononcé rendre la situation extrêmement délicate pour tous.........
la mort était proche pour tous les protagonistes de cette histoire........


voyons on se calme
bordel de bordel à queue........
ne me dite pas que vous vouliez mourir aujourd'hui????



se retournant vers la chiasse,

ta rien dans la caboche ou quoi???
tes enceinte prête à accoucher ,
et je te propose de d'aider pour que la naissance de ton enfant se passe bien .
et toi tu nous sort une blagounette à 2 balles ...
ta vue dans qu'elle mouise tu nous a mis??????


se retournant vers son homme qui était prêt à tirer sur sa douce chérie,

tu vas dire à ta donzelle de fermer son maudit clappé , si tu veux devenir riche et voir naitre ton enfant bordel de bordel .....
y a pas idée de sortir des sornettes de ce genre quand ton veux devenir riche ......


s'adressant à tous les protagonistes:

vous allez baisser maintenant vos armes tranquillement.....
et rentrons boire un bon coup
cette journée ma donné soif bordel de bordel à queue.......

s'adressant à sa douce,

chérie ,

sort nous du bon rhum des caraïbes svp
nos invités nous en diront des nouvelles

--Laeshan
Ce matin la un petit vent frais s'était engouffré dans la petite cavité ou Laeshan, s'était réfugié .Un œil aux aguets , une odeur lui fit redresser les poils.
Doucement, pareil à une ombre , son cœur palpitant du bruit dehors , il avait entendu et sa douce retraite semblait compromise .
Odeur troublante, particulière qui ressemblait fort à ses souvenirs mais elle n'était point pareil .
Laeshan n'y comprenait rien , et la nature ne lui avait accordée juste dans sa sobriété qu'un brin de méfiance ; dès lors il se camoufla parmi les buissons couché à plat sur le sol et fixant l'objet de sa curiosité il ne se fit pas connaitre .
Journée d'émotion, journée de rencontre, journée bien remplie de doutes et de mise à l'épreuve pour Laeshan.

Le vent est parfois chose bizarre parfois son allié, parfois son ennemis bien souvent le salut ,et ce jour la , tapi aux milieux des feuilles , le vent lui apporta une autre odeur et celle la Laeshan connaissait ... Sa douce colombine était de sortie et l'appelait...

Arrivé près de la rivière, l'odeur d'un être de sa race se fit sentir..laissant Laeshan tout surpris: Pour un peu Laeshan en perdit la superbe , Il ne sera pas dit qu'ici il serait chassé.
L'oreille aux aguets , il chercha l'intrus... ce ne fut pas bien difficile le loup semblait à l'aise comme chez lui et faisait craquer les feuilles donc pour Laeshan sa trace fut un simple jeux à retrouver .
.
Toujours à l'affut ,il suivit la trace , ce loup majestueux qui venait de l'autre territoire .
Au bout d'un certain temps il s'aperçut que le loup fixait la rivière et les humains devant...
Laeshan s'arrêtât et hésitât quelque peut .Enfin il se redressa crocs et babines en guerre, il s'avança dangereusement.puis il marqua la limite de son territoire .


Le_g.
Le Gaucher regarde la gamine et se retient de lui coller une gifle magistrale, elle n'aurait pas été perdue pourtant. Puis il se tourne vers l'homme, en mode ours grognon on. Il ne dit pas un mot et regarde les femmes qui se prennent pour des hommes, l'enfant qui se prend pour une grande et peste après ces gens qui savent toujours tout mieux que tout le monde. Il a mieux à faire. De sa place, dos à un arbre, il pouvait tout voir de la scène et pas du tout motivé pour entrer. D'ailleurs, Hadès vient le rejoindre, signe que le coin est loin d'être sûr. Il fait un signe de tête à sa femme, et montre les roulottes, il a pas l'intention de s'éterniser ici, le pécore n'a qu'à rêver d'entente, il en a vu assez.

La mâchoire serrée, il garde en joue la femme à la fenêtre, et soudain, change de cible, pour viser la tête de la gamine.


Ma Colombe ? On se casse.

Un regard mauvais envers l'homme, qui venait quasiment d'insulter sa femme.

Ta gueuse, tu lui expliqueras que des tueurs, ça ramène rarement leurs victimes en vie et sans liens. Si elle comprend pas la plaisanterie, inutile d'aller plus loin.


Il caresse Hadès de la main droite, tout en jetant un oeil sur le loup de la gamine, qui semble avoir peur, près à bondir, et émet un grognement de même pour lui signifier qui est le maître icelieu. L'homme est un coureur des bois, les loups, ça lui fait pas peur, encore moins un solitaire domestiqué par une gamine. Pour avoir quasiment vécu dans une meute ou plutôt pour les avoir eu comme compagnons dans les bois pendant un long moment, il sait que ce loup n'est pas un chef de meute, contrairement à celui qu'il a dut tuer lorsqu'il avait une quinzaine d'années. Il avait du se battre pour qu'ils acceptent sa présence dans les bois, sur leur territoire, et imposer sa présence parmi eux. Il les connaissaient donc, ces animaux.

Il regarde de nouveau vers la gamine, hausse les épaules, puis vers Canaleto.

J'suis pas d'humeur à accepter que ta gueuse nous insulte, encore moins qu'elle nous menace. Quant à la mioche, faudrait que tu lui apprennes à tenir sa langue.

Autrement dit, ça sent le roussi pour d'éventuelles affaires, le caractère ombrageux du Gaucher prend le dessus et là, son idée est faite. Il ne veut pas d'une gamine chiante et encore moins d'une gueuse qui prend des airs de princesse.
Elohane
Elohane en entendant son Alexandre parler n'en croit pas ses oreilles...les années passés loin d'eux l'on apparemment bien changé...

Quant à la femme qui se met à parler de blague, les bras lui en tombent ...

-Ben Alexandre tu m'en rapporte un drôle de monde...tu ne sais donc pas qu'ici je vis en dehors de la ville et que des détrousseurs j'en ais déjà eut un paquet..mes pauvres économies y sont passées , alors depuis je réagis au quart de tour....

Elo hausse les épaules et lève les yeux au ciel , boire un bon coup ne serait pas une mauvaise idée car sous sa détermination sa bouche en est devenu sèche...

Elle baisse son arme et pendant que dans les buissons Etoile disparait, elle regarde un peu mieux les nouveaux arrivants..


-La porte était ouverte de toute façon je n'ai pas de clefs...

Puis laissant son homme se dépatouiller avec ceux qu'il a lui même invité, elle redescend de la chambre prestement...la femme semble bien sur la fin de son terme, il ne serait pas le moment qu'en un mauvais mouvement elle perde...la vie elle connait et la peur de perdre son enfant aussi.....

_________________

Sous les nuages de mes paupières,
Ma tête s'endort entre ses mains,
Le cœur ignorant combien il m'aime.
Andrea_
Elle sourit la chiasse, ouaip, sa blague elle la trouve sympa, rire de soi même c'est le principal non? Un large sourire a son mari


Non, on s'casse pas, tu m'as am'né ici, on y reste, j'ai faim, j'ai soif...

Et elle lui fait bien comprendre en un regard, qu'elle a besoin d'un ptit moment au calme, peut ètre d'un bain, bref d'autre chose qu'une roulotte sur une route abandonnée. Après tout, l'pigeon il était bavard mais il avait une femme, une fille... Et notre Colombe devenait pragmatique avec le temps.
Elle se tourne vers Canaleto, lui assène un taquet sur l'épaule et lui adresse un joli sourire



Du rhum des caraïbes, uhuh c'est la fête, au passage, si j'commence à fermer mon clapet, inquiète toi, y a un truc pas normal.


Et la belle qui tangue jusqu'à la porte, tourne la poignée et l'ouvre avec toute la douceur dont elle est capable -hahum

Bon vous v'nez ou vous g'lez dehors ?
Canaleto
Le_g. a écrit:

J'suis pas d'humeur à accepter que ta gueuse nous insulte, encore moins qu'elle nous menace. Quant à la mioche, faudrait que tu lui apprennes à tenir sa langue.


s'adressa à l'homme,

ma gueuse ne vous à point insulté,
fallait comprendre la blague de ta femme,
pas évident, quand ton ne connais pas les gens...
quand a ma fille,
si par bonheur tu en a une un jour,
je te souhaite t'être présent au quotidien pour la voir grandir,
quand à moi,
je n'ai pas eu cette chance........

maintenant rentrons nous mettre au chaud,
ne faisons pas attendre ta dame


canaleto rendit le sourire à la chiasse
et laissa passé son homme en signe de politesse...
il était tant pour lui de le remercier de l'avoir rendu la vie sauf.....

Le_g.
Il regarde sa colombe et maugrée, sans bouger de l'endroit où il se trouve.

Tu es folle. Pas question que j'entre dans ce moulin.

Autrement dit, il est heureux et gai comme un pinson, le Gaucher. D'ailleurs son sourire en dit long, son regard clair aussi. Arf, comment ça, il sourit pas... Regardons d'un peu plus près... regard ambré furibard, mâchoire serrée, les poings n'en parlons pas. Mouais, il est en mode pas commode. Bon, bah c'est pas gagné de le faire entrer là-dedans.

D'ailleurs il fait quoi ? Il se décolle de son arbre, miracle ? Il va s'approcher de la maison ? Arf, non, c'était juste pour secouer un peu la neige qu'il a sur les épaules et le foulard qui lui couvre les cheveux. D'ailleurs il s'adosse de nouveau, la main gauche sur la lame de sa ceinture. Il semble plus près de tuer que de vouloir boire un coup, et l'attitude de sa femme le met encore plus en rogne.


De toutes façons, tu n'en fais toujours qu'à ta tête. Va si tu veux, ce sera sans moi. Ces gens nous menace et tu entres chez eux ?

Il la regarde, en colère contre elle et son inconscience, n'ayant pas l'intention de faire le moindre effort pour se montrer aimable, et s'il a lâché le bidule pour effrayer les gamines, il n'en garde pas moins sa main senextre sur sa dague, prêt à toute éventualité.

En voyant Canaleto sourire à son épouse et sa femme qui semble ravie d'entrer dans le moulin, il hausse les épaules et claque la langue, les oreilles de son loup se dressant aussitôt, c'est le signale pour aller chasser.

Le Gaucher est furieux, pour la première fois, contre sa femme. Il subit ses sautes d'humeur depuis près de neuf lunes et ça commence à lui taper sur les nerfs. En plus là, on vient de menacer leurs vies et celle de leur enfant ! Ca, il voit pas comment il pourra pardonner.
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