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Dispensaire médical d'Arles

Thomas


[Le dispensaire médical d'Arles]

Thomas avait transformé le logement disponible au dessus de son échoppe de charpentier en un dispensaire médical.



Dans la grande pièce du fond, il avait installé sa pharmacie/laboratoire.



Et avait transformé l'autre en cabinet et salle de travail.



Le dispensaire était désormais prêt à recevoir ses premiers patients.

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Magaly
Chemin faisant, l'après midi était bien ensoleillée, son époux se reposant encore, elle décida d'aller faire un tour.. ses pas l'amenèrent alors à une grande pancarte ou était écrit ...

" Un Dispensaire ??? " ...

Cela tombait à pic elle qui faisait ses études de médecine à l'Abbaye de Noirlac...

Bien décidée à apprendre sur le terrain elle toqua trois coups brefs mais assez fort pour qu'on l'entende !

" Toc Toc Toc "

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Thomas


Thomas arriva en coup de vent, les bras chargés d'un panier plein d'herbes de la garrigue dont il faisait un grand usage.

Ce n'est pas tout de suite qu'il comprit qu'une personne, une femme inconnue l'attendait devant la porte, un dimanche après midi...

Lo Bonjorn! Dit il en passant près d'elle, les clefs à la main, pour aller ouvrir la porte.

Est ce moi que vous attendez? Un dimanche après midi?? Vous avez failli poireauter jusqu'à demain, vous savez...

Il ouvrit la porte, et fit signe à l'inconnue d'entrer.

Puisque vous êtes là, donnez vous la peine d'entrer, je vous prie.


Il montra alors son panier et son contenu d'herbes.

Le temps de poser tout cela dans mon laboratoire, et je suis à vous...

Rapidement, il déposa panier et herbes sur la table de son laboratoire, prit un grand vase en terre cuite, le remplit à demi d'eau fraîche, et y déposa les herbes, pour conserver ainsi leur fraîcheur.

Revenant dans son cabinet, il alluma la lampe suspendue au dessus de sa table de travail, fit signe à l'inconnue d'entrer et de prendre place.

Bien, que puis je pour vous, Dame...Dame comment?

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Magaly
Attendit un bref un instant, oui elle entendit des bruits de pas ,alertes ... venir à sa hauteur, se retournant... qu'elle ne fut pas sa stupéfaction de revoir le messire de la veille, elle pâlit une fraction de seconde, le temps de reprendre contenance...

Citation:
Lo Bonjorn!


Un son sortit de sa bouche : " Hum " elle déglutit pour se reprendre :
" euh Bonjorn ..hm "

Pensant très fort ... " il ne m'a pas reconnu ou quoi ??? "
Quand il l'invita à rentrer à sa suite ... elle réfléchissait vitesse grand V'...


Citation:
Est ce moi que vous attendez? Un dimanche après mid?? Vous avez failli poireauter jusqu'à demain, vous savez...


" Euh j'rentre ou j'rentre pas ? " Avant que son cerveau ne concrétise une vraie réponse elle avait déjà franchit le seuil de la porte du dispensaire.

Citation:
Puisque vous êtes là, donnez vous la peine d'entrer, je vous prie.


Sa gorge était sèche et ne su pas répondre dans l'immédiat.
Ce n'était pas du tout le même messire ... la courtoisie et la politesse y était !


Citation:
Le temps de poser tout cela dans mon laboratoire, et je suis à vous...


Il avait un panier d'où débordait des plantes de toutes sortes ... même qu'elle n'avait jamais remarqué au paravant...

Citation:
Le temps de poser tout cela dans mon laboratoire, et je suis à vous...


Elle le suivit, le détaillait du regard ensuite... puis ça lui revint en mémoire ... mais oui ... il s'est dit medicastre dans sa présentation à la taverne Muncipale... la mouiiiiiiiise.
" euh ... humm faites à votre aise " Cachant sa nervosité.. pensant " je suis morte " Esquissant un sourire forcé, elle attendit qu'il finisse son rangement.

Quelques instants plus tard elle se retrouva dans ce qu'on aurait pu voir, le cabinet du medicastre...


Citation:
Bien, que puis je pour vous, Dame...Dame comment?


" Eh bien ma présence ici était pour offrir mon aide au dispensaire et ainsi apprendre la fonction de médicastre étant donné que je suis un cursus médical à l'Abbaye de Noirlac ... mais je ne voudrais pas vous déranger plus longtemps ... oubliez cette entre-vue " ... Elle avait parlé d'une traite, et s'esquivait déjà vers la porte de sortie..

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Thomas
Petite mise au point entre joueurs:
- Ce que Thomas dit ou fait en interagissant avec d'autres persos n'est en aucun cas représentatif de ce que pense et dit le joueur qui, lui, d'entrée, n'a rien ni contre les autres joueurs, ni contre les persos. C'est juste un trait de caractère voulu et délibéré de mon perso.
- Ce RP étant un RP ouvert, tout joueur désirant y faire évoluer son personnage est libre de le faire, du moment qu'il respecte la liberté de ceux qui y évoluent déja.
- Ça ne fait pas de mal, ce n'est même pas important pour le RP en soi, mais une mise en page un brin soignée est souhaitable. Évitez les citations dans la mesure du possible, svp, et remplacez les, par exemple, par de la couleur... C'est tout de même plus joli, non?

Merci!




[Visite impromptue un dimanche après midi.]

Bien, que puis je pour vous, Dame...Dame comment?


" Eh bien ma présence ici était pour offrir mon aide au dispensaire et ainsi apprendre la fonction de médicastre étant donné que je suis un cursus médical à l'Abbaye de Noirlac ... mais je ne voudrais pas vous déranger plus longtemps ... oubliez cette entre-vue " ...

Il est vrai que le blond avait en ce moment trente et six choses en tête, aussi ne reconnut t'il pas de suite sa visiteuse, mais, au vu de sa réaction des plus étrange, la mémoire lui revint soudainement: Un épisode de taverne, avec ce félon de van Helsing, et elle n'était autre que l'épouse de cet homme... Magaly van Helsing!

Ah, dona van Helsing...

Vous avez décidé de me poursuivre jusque chez moi pour continuer la discussion de l'autre jour...?

Thomas esquissa l'un de ses demi-sourires énigmatiques, avant de retenir sa visiteuse d'un geste.

Attendez...Ne partez pas si vite...

Non seulement vous ne me dérangez pas, mais je dirais même que vous tombez pile! Aussi, je ne vois nulle raison d'oublier cette entrevue, puisque vous vous êtes donné la peine de venir jusqu'ici!

Il se trouve que je quitte la ville la semaine prochaine pour un voyage dans le Bourbonnais, aussi, si vous voulez, je vous engage! Vous aurez ainsi tout loisir de vous faire la main sur mes rares patients...

Hélas,je ne suis qu'un modeste médicastre de village, et le savoir des frères Cisterciens de Noirlac est bien plus grand que le mien, aussi je leur laisse le soin de vous enseigner la théorie, mais pour ce qui est de la pratique, du moment que vous attendez mon retour pour occire mes fort rares patients...
Le blond éclata de rire, heureux de détendre l'atmosphère, soudain alourdie, par une des blagues idiotes dont il avait le secret. Ce dispensaire restera vide jusqu'à mon retour, alors occupez vous en pendant mon absence, si vous le désirez...

Dit cela, il tira son trousseau de clefs de la poche de son mantel, et en sortit une grosse clef qu'il posa devant la visiteuse.

Vous aurez besoin de ceci...la clef...et vous commencez demain, la place est à vous!

Il n'avait pas encore été question de salaire, aussi il réfléchit un court instant, fit une petite moue, et ajouta.

Pour le salaire... ce que ces radins de villageois vous paieront est à vous...C'est tout ce que je puis faire, hélas...Je ne suis qu'un pauvre médicasttre sans le sou...

_________________
Magaly
Citation:
Ah, dona van Helsing...

Vous avez décidé de me poursuivre jusque chez moi pour continuer la discussion de l'autre jour...?


Tout en disait long dans son regard ... il n'avait bien sur point oublié l'altercation de la veille et à son avis certain, il continuer de considérer son époux comme félon... grand bien lui fasse ... sur quoi se basait-il ?
Des " On-dit " ? Quelle belle manière de juger...

Lui répond froidement :

" Oui en effet c'est bien moi l"épouse du fêlon... et donc fêlonne de surcroît également ! " Sourire sarcastique en prime. " Et bien oui reprenons cette discussion stérile qui n'a d'ailleurs aucun sens de votre part ! Mais bon je crois que nous pourrions encore user salive durant des heures... vous avez votre opinion et moi je garderai la mienne ! Maintenant sujet clos ! " Ce n'était que dialogue de sourd.

Vu qu'elle s'était arrêtée dans son élan, au son d'sa voix, il l'avait reconnue...


Citation:
Attendez...Ne partez pas si vite...


Non, en effet elle n'allait pas se dégonfler pour si peu, dans la vie il fallait mettre ses différents de cotés, même si c'était parfois très difficile avec certains individus.

Citation:
Non seulement vous ne me dérangez pas, mais je dirais même que vous tombez pile! Aussi, je ne vois nulle raison d'oublier cette entrevue, puisque vous vous êtes donné la peine de venir jusqu'ici!


Hocha la tête, l'écoutant débiter ses paroles ... il avait quand même raison sur une chose ... elle était là elle y restait !


Citation:
Il se trouve que je quitte la ville la semaine prochaine pour un voyage dans le Bourbonnais, aussi, si vous voulez, je vous engage! Vous aurez ainsi tout loisir de vous faire la main sur mes rares patients...


Elle n'aimait pas du tout la tournure de sa phrase sur lesdits patients, n'étaient pas des cobayes... elle ne voulait en aucun cas faire des erreurs.

Citation:
Hélas,je ne suis qu'un modeste médicastre de village, et le savoir des frères Cisterciens de Noirlac est bien plus grand que le mien, aussi je leur laisse le soin de vous enseigner la théorie, mais pour ce qui est de la pratique, du moment que vous attendez mon retour pour occire mes fort rares patients...


De ses émeraudes, elle assimilait ses dires, remarquant quand même qu'il avait une once de modestie.

Mais, seul lui, riait de cette plaisanterie douteuse...

" hmmm " Visage fermé... " D'accord c'est avec plaisir et grande attention que je me chargerais du dispensaire pendant votre absence messire Thomas. "

Une poignée de minute plus tard, il lui remit une clé :
Citation:

Vous aurez besoin de ceci...la clef...et vous commencez demain, la place est à vous!




La prenant... " Merci " puis lui d 'ajouter...

Citation:
Pour le salaire... ce que ces radins de villageois vous paieront est à vous...C'est tout ce que je puis faire, hélas...Je ne suis qu'un pauvre médicasttre sans le sou...


Lui rétorqua : " Je n'ai nullement besoin d' écus... à ces radins d'villageois comme vous dites si bien... je pense que si on fait ce métier ce n'est en aucun cas pour l'argent ... ou alors on peut arrêter de suite sa fonction ! "

Petite parenthèse hrp .. je fais mes rp's comme je l'entends et faire la citation est l'une des bases sur la manière de présenter son Rp ... Ljd Magaly

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Musartine
Muse commençait à connaître la ville ... à force de s'y promener, elle connaissait tout les lieux à connaître, ça pour sur ... enfin c'est ce qu'elle croyait lorsqu'elle vît une pancarte indiquant un dispensaire.

Un dispensaire ... elle fût stupéfaite.

Bref instant de réflexion, puis ni une ni deux, elle frappa à la porte de celui-ci, attendant que réponse se fasse.

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Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.
Thomas


[Lundi matin.]

Dès huit heure, le blond était à l'oeuvre dans son laboratoire. Il avait toutes les herbes rameneées la veille à traiter, mettre à sécher, à macérer, voire encore à distiller, selon leurs diverses utilisations.

Sa nouvelle assistante n'était pas encore arrivée, aussi ne perdait il pas de temps en discussions, et pouvait il travailler vite et dans le calme.

Il venait à peine de mettre une partie des herbes dans le séchoir, celles qui entraient dans la composition des tisanes, qu'on frappa à la porte.

Délaissant son travail, il alla ouvrir, se trouvant nez à nez avec l'une des personnes qu'il détestait le plus, Musartine d'Hell!

Vous...!

Malgré tout, si en taverne il la traitait sans le moindre ménagement, et si elle osait mettre un pied dans la sienne en sa présence il lui ferait traverser une fenêtre...fermée!
Il ne pouvait se comporter de la même façon en ce lieu, ayant le devoir moral de soigner ceux qui souffrent, furent ils ses pires ennemis.

Donnez vous la peine d'entrer, je vous prie. Marmonna t'il à contre coeur en s'effaçant de l'encoignure de la porte pour laisser entrer la jeune femme.

Après quoi, il l'accompagna jusqu'à son cabinet, lui fit signe de prendre place, s'assit à son tour, et jeta un regard froid et glacé sur la visiteuse.

En quoi puis je vous aider?

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Magaly
Apparemment on était Lundi ...

Aussi elle arriva, sans se presser... pensant " hé fluttt' après tout ... ch'uis pas son chien " et rentra dans la salle d'attente ... ben oui pas besoin de toquer, puisqu'elle avait les clés..
Mais la Mag' n'était pas des plus enthousiaste à l'idée de travailler avec le sieur Thomas et c'est là que la voix douce et les conseils prodigués par son ami Flamel qu'elle estimait beaucoup lui manquèrent à cet instant... aussi elle ne se considérait pas du tout comme son assistante.

Elle entendit des bribes de voix dans le cabinet, le supposé Medicastre avait-il de la visite ? Sans doute une patiente, certainement.

Et de cogiter ... " de toute façon au pire, je peux très bien trouver un autre dispensaire ... y a pas qu'ici et c'est pas l'nombril du monde le Thomas " ... " J'en foutiste " elle croisait les bras d'un air résigné, prête à tout... Coco devait elle être une excellente infirmière et aurait pu l'aider ... mais ils étaient tout les deux loin ...

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Musartine
La porte s'ouvrit, pour laisser place à ...

Vous ... si je m'attendais ...

Suite à l'invitation Thomas, Muse entra et prit place là où il lui indiquait la possibilité de s'assoir. Elle regarda alentour, puis le regarda lui. Elle était venu pour une raison ... bien précise en fait, et le voir lui résolvait surement son soucis.

Encore quelques instants de réflexion, afin de voir comment poser le problème.


Bonjour Sire Thomas.

Je dois reconnaître que je suis surprise de vous voir ... quoique ... peut être pas tant que cela en fait ...

Seriez-vous médicastre ? apothicaire ?


La discussion à venir serait surement longue ... ou pas. Après tout, qui sait, peut être le problème serait-il vite résolu. Mais avant tout, Muse tenait à savoir à qui elle avait à faire, à moins qu'elle souhaitait lui laisser une chance ... avant ...

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Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.
Thomas


Bonjour Sire Thomas.

Je dois reconnaître que je suis surprise de vous voir ... quoique ... peut être pas tant que cela en fait ...

Seriez-vous médicastre ? apothicaire ?


Le blond la regarda froidement, de haut en bas.

Médicastre et herboriste, oui, formé durant toute mon adolescence dans une abbaye dominicaine des Pyrénées par le frère médicastre.


Nouveau regard en biais, l'azur de son regard prenant des allures d'ouragan et se muant en un gris nuage qui ne dénote que rejet et dégout de ce qu'il voit. Rejet et dégout pour la voleuse qui se trouve devant lui.

Et je vous en prie, dona Hell, je ne suis pas plus sire que monseigneur, n'étant qu'un simple roturier, aussi appelez moi Thomas tout court... ou docteur... à choix.

Mais, bon, je suppose que vous n'êtes pas venue jusqu'ici pour vérifier ma formation académique, aussi, ne tournons pas autour du pot, dites moi en quoi puis je vous aider?


Il avait beaucoup de travail, et ne tenait nullement à prolonger inutilement une conversation qui lui était des plus désagréables par des ronds de jambe inutiles et fastidieux, aussi préférait il aller droit au but, quitte à paraître désinvolte, ou à manquer de tact, mais avec certaines personnes, la désinvolture ou le manque de tact étaient fort peu en comparaison avec ce qu'elles méritaient...

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Musartine
Qu'un homme soit froid, distant, ayant du mal à contenir sa haine, Muse n'en avait cure. Il y avait maintenant fort longtemps qu'elle avait appris à ne plus attacher à cela une once d'importance. Non, au contraire même. Un homme qui vous hait, vous savez à quoi vous attendre.

de fait, Muse n'attachait donc aucune importance au ton employé par l'homme. Enfin si, elle en attachait une. Muse aimait la politesse, l'étiquette. Celles qui cachent tout les symptômes de la haine derrière des paravants de gentillesse, celles qui préservent les apparences.

Elle n'était donc pas pressée, et continuait sur le ton de la politesse, celle qui force à faire semblant de s'interesser à son interlocuteur.


Médicastre et herboriste ? les études ont du être longues.

Vous dites avoir appris vos connaissances dans un monastère pyrénéen... je vous croyais arlésien pourtant...

J'aurai une autre question ... un médicastre tel que vous ... a-t-il obligation de soigner toute personne ? absolument tout le monde ?


Elle affichait maintenant un sourire sur son visage. sourire bienveillant, il va de soit.

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Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.
Magaly
La Mag faisait les cent pas maintenant, ses bottes martelaient sur le plancher. En fait elle commençait à s'impatienter !
Elle décida donc de se manifester ... à grand bruit.. mais toujours en gardant une certaine politesse acquise dès son plus jeune âge.

Elle lança trois coups brefs à la porte du cabinet :

" TOC TOC TOC "

Au supposé Medicastre, elle avait deux mots à lui dire.. p'êt' même trois tiens !

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Thomas


Médicastre et herboriste ? les études ont du être longues.

Il commençait vraiment à s'impatienter, mais décida de ne rien en montrer, de rester courtois et poli, même si cette conversation l'indisposait grandement. Quitte, par la suite, à fiche sa visiteuse à la porte sans ménagement...

Six années, oui, de ma dixiemme à ma seiziemme année, jusqu'à la...hum...
Il se retint de rentrer dans des détails qui pour lui étaient encore douloureux, malgré presque dix ans passés depuis la mort de sa mère et son départ de l'abbaye où il avait grandi.... Jusqu'à mon départ.

Le blond jeta un nouveau regard en coin à sa visiteuse. Il y avait des choses de son passé dont il n'aimait pas parler.

Vous dites avoir appris vos connaissances dans un monastère pyrénéen... je vous croyais arlésien pourtant...

Je suis d'origine basque, plus précisément gascon - béarnais, mère béarnaise et père gascon. Je ne vis en Arles que depuis quelques mois...Mais...tout cela ne me dit pas ce que je veux...

La jeune feemme ne lui laissai pas le temps de continuer, lui coupant la parole avec une nouvelle question.

J'aurai une autre question ... un médicastre tel que vous ... a-t-il obligation de soigner toute personne ? absolument tout le monde ?

Le blond la regarda froidement, puis jeta un coup d'oeil vers un vieux parchemin écrit en grec ancien, suspendu dans une urne de bois surmontée d'un caducée: Le parchemin sur lequel il avait juré son serment hyppocratique, presque dix ans auparavant.



Vous voyez ce parchemin? C'est celui sur lequel j'ai juré de servir la médecine, et de soigner tous ceux qui souffrent, cela fera bientôt dix années.

J'y ai engagé ma parole et ma vie, aussi oui, je me dois, pour la tenir, de soigner tous ceux qui souffrent physiquement, qu'ils soient malades ou blessés.


Il se tût un court instant, avant d'ajouter, un regard de défi dans les yeux:

Y Compris vous, voutre époux, ou l'un des membres de votre bande de pillards, si j'apprends qu'il souffre, blessé ou malade!!!

Il se retint d'ajouter que c'était justement la raison de sa venue à elle, Musartine d'Hell, en ce lieu, mais, juste à ce moment là, on frappa à la porte du cabinet.

" TOC TOC TOC "

Il se leva, alla ouvrir, et trouva dona van Helsing devant sa porte.

Bonjorn, dona van Helsing! Lui lança t'il, heureux de pouvoir quitter, pour quelques instants, sa visiteuse.

Je suis navré de ne pas avoir pû vous accueillir comme il se doit, mais dame Musartine d'Hell ici présente m'a retenu....

Le blond vit bien, dans les yeux de la nouvelle venue, qu'elle semblait mécontente de devoir faire les cents pas dans la salle d'attente, mais le devoir était le devoir, et les patients, quels qu'ils soient, avaient priorité sur tout le reste.

Malgré tout, il invita à entrer dans le cabinet, pour participer au reste de la conversation, que lui espérait rapide et bref. Et, s'adressant à Musartine d'Hell, il lui présenta la nouvelle venue.

Mon assistante pour quelques jours, une fort brillante élève des frères cisterciens de Noirlac, que j'ai en ma plus haute estime. Elle s'occupera du cabinet après mon départ en voyage...

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