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[RP] L'Hospice de Poitiers - Hôtel-Dieu St Miguaël

jake
Remarque plutôt bien placé sur la constipation.

« En effet ma chère Oane, en effet … »

Elle but ainsi le contenu de la tisane permettant de calme les douleurs de l’opération. Et en attendant que les fleurs de passiflore fasse son effet, il convia sa patiente s’allonger sur la table, éclairée par la lueur du jour. Il pourrait ainsi mieux voir la plaie et la soigner correctement.

Oane avait une proposition à lui faire. Venant d’elle, il devait s’attendre à tout, même au pire. Alors, avec humour lui dit.


« Si c’est encore préparer des crêpes en votre compagnie et recevoir des coups de louches, c’est bien aimable à vous mais j’ai déjà donné. »

Evidemment, cela était dit sur le ton de l’humour mais il connaissant la Comtesse pour son comportement assez inattendu. Elle reprit alors plus sérieusement semble-t-il.

« Chuuuttt, je n’ai fait ce qui me semblait le mieux pour le Poitou malgré la situation critique … »

Et il retire doucement l’emplâtre qui tenait plutôt mal et vient directement faire pression avec des charpies pour éviter d’écouler le sang trop longtemps.

« Tenez moi bien ces bandes de charpies, je vous prie …. »

Et ensuite, il prit compresse qu’il imbibe de décoction de soucis pour nettoyer la plaie. Il reprit la pression des bandes avec sa main, retirant doucement les bandes. Le sang semblait moins couler. Il nettoya alors la plaie doucement avec la compresse, attrapa ensuite fil et aiguille et commença à coudre quelques points de sutures. Ensuite, il prit le baume préparé à la poudre de thériaque et l’apposa sur la blessure. Il garda un œil dessus pour qu’il ne s’échappe pas.

« Bien, va falloir vous redresser à présent afin que je vous mette un bandage autour du ventre pour faire tenir le baume et protéger votre blessure afin qu’elle cicatrise bien. »

Il l’aida à se redresser, gardant une main sur le baume, continuant à l’écouter si elle parlait toujours. Et enroula une bande de lin tout autour de la plaie. Il fit ainsi plusieurs tours de sa taille la serrant modérément, pas trop.

« Et voilà Oane, vous êtes soignée. Il faudra faire attention le temps que ça cicatrise. »
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jake
[ Les trois drôles de dames VS la Momie ]

Plaaaaaaaaaace *HIPS* Plaaaaaaaaaaaace au grand blesséééééééééé!!

Youhou !*hips* v’là un colis pour vous ! On vous le laisse à la porte pour pas déranger, hein !


Avait entendu les nones. Et un évêque qui arrivait sur son âne. Jake sorti de la salle de soins, abattu. Il fit signe à des hommes de prendre le cadavre pour l’amener dans la salle de délivrance, lieu choisi pour servir de morgue. De toute façon, les parturientes ne viendraient pas actuellement.

C’est la mine déconfite qu’il s’approcha de l’entrée où ça criait fort. Trois demoiselles venaient d’apporter un nouveau blessé dans une brouette. Des hommes de la garde de Valombre arrivèrent avec un brancard.


« Messieurs, allez d’abord apporter l’homme dans la salle de soins dans l’autre salle. Et après, amenez-moi ce blessé à la salle de soins. »

Il s’approcha ensuite des demoiselles qu’il connaissait bien, et de l’évêque.

« Bonjour mesdemoiselles, je vais m’occuper du patient. Monseigneur, ravi de vous voir. Comme vous le voyez, je suis assez débordé. Que puis-je faire pour vous ? »

Jake avait les traits tirés et la mine pâle, mais malgré tout, il continuait à faire ce qu’il pouvait chaque jour. Et l’on frappait à la porte encore. Jake vient l’ouvrit et vit Erwany blessée les rejoindre.

« Bonjour Erwany, vous aussi, vous êtes blessée ? »


Il soupire ne sachant plus où donner de la tête.
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Erwany




la brunette ouvrit un oeil , le visage familier du seigneur de Valombre
lui redonna un instant des forces

je le crains ..lâcha t elle dans un souffle , elle ôta la main superficiellement blessée de son flan gauche laissant apparaître
par son habit déchiré une plaie profonde d'où le sang
s'écoulait encore

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Oane
« Si c’est encore préparer des crêpes en votre compagnie et recevoir des coups de louches, c’est bien aimable à vous mais j’ai déjà donné. »

Oane fit la grimace. Soit le doigté du médecin avait touché un point sensible soit c'était ce rappel du coup de louche et de la fâcherie qui s'en était suivie entre les deux amis qui appelait cette mimique sur l'opale de porcelaine allez savoir.

« Chuuuttt, je n’ai fait ce qui me semblait le mieux pour le Poitou malgré la situation critique … »

Vous avez fait vostre devoir envers le Poitou oui et vos terres de retraite vous sont injustement spoliées. Je n'ai oinct de solution à vous offrir je ne suis qu'Oane et ne faict poinct de miracle. Toutefoy, si tant est que mes terres aient encore quelque valeur d'ici la fin de cette guerre sanglante qui voit nostre pays se déchirer sous le joug d'un tyran avide, je.... enfin vous y réfléchirez et me répondrai... Dame Helena vostre épouse est aussi concernée elle aussi ...

Comme il triture son ventre, elle blanchit davantage et se tait, une foy n'est poinct coutume, la brune est connue pour son verbiage long et ardu.

« Tenez moi bien ces bandes de charpies, je vous prie …. »

Oui oui les charpies...

Elle a perdu le fil de ses pensées et tend la main et saisit maladroitement les ... trucs machins comment a-t-il dit déjà ? entre ses doigts qui lui paraissent soudain gourd. Des gouttes de sueurs perlent à so front collant ses lourdes boucles d'un noir de jais sur sa peau. Le souffle d'Oane se fait court. Elle sert les dents sou la douleur.

« Bien, va falloir vous redresser à présent afin que je vous mette un bandage autour du ventre pour faire tenir le baume et protéger votre blessure afin qu’elle cicatrise bien. »

Fière, elle tente de se redresser et tremble un instant d'éternité sous l'aiguillon de souffrance qui la transperce. Jake avec délicatesse et discrétion l'aide dans cette opération puis il l'enroule dans des bandes de tissu blancs

« Et voilà Oane, vous êtes soignée. Il faudra faire attention le temps que ça cicatrise. »

Vous me momifiez oui !
Et vous avez réussi l'impensable... j'en ai perdu le fil de mon discours.


Elle sourit, son visage a repris quelques couleurs depuis que le médecin ne fourre plus ses mains dans sa plaie ; ah ces médecins ! Pourvu que cette foy elle guérisse se dit elle; elle hoche la tête et replace sa tunique, puis le remet la ceinture en place puis souleve ses cheveux d'un noir de jais et enfin , d'un air grave et solennel pose son regard ocean sur le visage de Jake.

Jake de Valombre, je tenais à vous une proposition ; je souhaiterai vous anoblir et que vous deveniez également un noble de Poitou par la présente. De coeur vous l'estes déjà et vous avez déjà accès à nostre chambre. Disons .. que je enfin j'imagine que rien ne remplacera l'Harmonie du Royaume de France mais c'est un peu comme ce baume que vous mettez sur mon ventre ...

Réfléchissez-y, et parlez en avec Dame vostre épousée, Helena


Elle hocha la tête silencieuse. Puis le cours de ses pensées reprit, elle songea à part elle, peut-etre ne pourrais-je onc enfanter... elle se leva, elle, et le poids de son armure complète releva le menton, aucune pensées malheureuse ne devait entamer son entrain à partir au combat, à rejoindre l'armée sise sous les murs de la capitale. Vivre ... vaille que vaille! Elle fit claquer ses éperons sur le dallage et partit
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jake
Il lui avait demandé de se taire gentiment mais la Comtesse renchérit tout de même. Il fronça les sourcils tout en continuant les soins. Que voulait-elle faire comme proposition qui concernait aussi son épouse. Il avait d’abord pensé à être son médecin, mais pour que ça touche Helena, cela ne pouvait être ça. Et des terres poitevines, le couple en avait déjà. Non, cela ne pouvait être cela.

Et puis, un peu plus tard, après les soins, elle était assise sur la table d’opération et revient la charge avec cette proposition. Oui, il avait momifié son ventre pour protéger sa blessure et sourit à sa remarque. Et puis, il dévisagea la Comtesse de ses azurs.

Il fut stupéfait par ce qu’elle lui annonçait. Elle voulait faire de lui son vassal s’il comprenait bien. Jake resta cloué sur place un instant … Oane se leva de la table de marbre. Elle semblait s’apprêter à partir quand il prit la parole, afin de lui répondre.


« Mais Oane … est-ce bien être votre vassal que vous me proposez ? Car si c'est le cas, malgré tout le respect que je vous dois, je me dois de refuser votre offre bien que généreuse et bienveillante. Je suis déjà noble poitevin, vassal de la Comtesse Icie de Plantagenêt. L’auriez-vous oublié ? »

Voix toujours emprunte de douceur et posée qui lui répondit. Jake espérait ne pas avoir vexé la Comtesse.

« Revenez me voir quand vous voudrez. Je l'espère en d'autres circonstances. »

Jake rangea vite fait la salle de soins s’apprêtant à partir à son tour pour voir la Cardinal au Monastère Grégorien afin de lui faire part de la situation dramatique que vivait le Poitou en ces jours funestes.
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Oane
Oane leva un sourcil d'une noir de jais aux remarques au demeurant blessante de mépris non dissimulé envers son nom, sa famille et la valeur d'une terre qu'elle aurait pu offrir de bonne grasce au couple ; toutefoy, cela ne l’étonnait guère, elle connaissait depuis longtemps Jake de Valombre et leur relation était complexe, eprunte de respect en ce qui la concernait envers le travail de Jake mesme si ils semblaient tous deux e pas poargtager les mesme sopinion politiqwue de prime abord.

Sur le seuil de la port elle se retourna adonc vers Jake et posa son regard ocean sur lui


A dire vrai, plutôt que de vous anoblir à l'égal d'une seigneurie que vous avez déjà, je songeai à vous demander un de vos enfants comme pupille ; ce qui signifie que je l'élèverai comme mien et qu'il ou elle pourrait le cas échéant hériter de mes terres et à tout le moins hériter d'une partie de celle-ci.

L'offre est immense ...


Oane de Surgères, comtesse de Saintonge, vicomtesse de Frontenay et baronne de Luçon clôt les paupières quelques instants et se tut.

Mais je vous l'avoue... je pensais bien que vous ne pourriez accepter tant vous me méconnaissez et me mésestimez. Cela m'a d’ailleurs fait hésiter. Pouvais je prendre pour vassal quelqu'un qui manifestement me voue depuis toujours un mépris si vaste et si manifeste ?
Toutefoy, j'ai considéré qu'il était de mon devoir de vous faire cette offre car vous avez été un brillant comte poitevin et vostre félonie n'est que pour la Reyne Nebisa. Pour moi vous avez tout au contraire été fidèle à l'âme du Poitou et avez défendu nos valeurs mesme si cela fut parfoy malgré vous tant les décisions furent difficiles et engageantes.

Seul cela compte pour moi : vous avez résistez au chant des sirènes en pleine tempête et maintenu le cap.
Et je tenais à manifester mon admiration pour vostre règne et vostre personne pas seulement en mot mais en acte. Cela étant, vous avez parfaitement raison : être un vassal demande une très grande confiance mutuelle alors confier son enfant à un autre plus encore, je suppose.

Au revoer sire Jake de Valombre et merci pour vos soins


Oane hocha la teste et fit à nouveau demi tour en faisant malgré elle claquer ses solerets sur le dallage puis elle partit rejoindre son frison aux écuries ne laissant derrière elle que ses cheveux comme une traîne sombre avant de disparaitre tout à fait et laisser place à un courant d'air frais sur le seuil.
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Patrie
Âpres avoir écouter dame Alixane , elle erra dans la ville a la recherche de se lieu dit pour se faire soigner. Marchand dans les rues,
regardant de toutes part , elle finit par trouvé la bâtisse.Se tenant sur le seuil de la porte , elle hésita a y pénétrer,

IL faut que j'y aille ,,j'ai bien trop mal........je ne peux rester ainsi...

Les entailles aux bras la faisait terriblement souffrir ; elles saignaient encore pas mal,Se tenant la tête ,celle-ci bourdonnait comme si
il y avait un essaim d'abeilles;Patrie prit une profonde inspiration ,frappas a la porte et entra :

Toc ,toc,

Elle était a bout de force et se laissa choir sur un siège qui se présentait a elle.

Bonjour, c'est bien ici l’hôtel -dieu ?
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Flamel
Flamel qui passait devant la porte vit entrer Patrie il la regarda étonné et vit de suite qu elle n allait pas bien ....il se précipita vers elle...
" Patrie ,mais que fais tu la? et que t es t il arrivé ?""
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Patrie
Patrie n'a pas de suite vue que Flamel était présent aussi elle répondit machinalement.

Voyez vous messire j'ai été blessée au combat pendant une attaque sur la route et je me tourne vers vous pour me soigner. Cela fais
déjà plusieurs jours que je traîne mes plaies …......


C'est que quand elle eu finit de parler, elle releva la tête vers la personne qui s'était approché d'elle et qui lui avait posé la question ;
se rendant compte brusquement qu'elle avait affaire a lui.

Comme je suis heureuse de te voir !!!!!!!! j'ai vraiment besoin que tu me prodigues des soins …Dans mon malheur j'ai de la chance
de tomber sur toi en tant que médicastre.

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Flamel
Flamel posa sa main sur l épaule de son Amie ....
" viens suit moi a la salle de soin ..." il l aida a se lever
et l accompagna jusque dans la salle .....marchant doucement el la soutenant ...elle qui d habitude pleine d élan était faible et il le sentait ...
arrivé dans la pièce,il la fit s assoir sur le bord de la table .
" peux tu enlever ta chemise que je vois bien l' étendu des blessures et
dis moi tout .... ce que tu ressent ,tes douleurs ,même les plus minimes .....

il prépara les linges et fit bouillir de l eau
" veux tu boire quelques chose de chaud , as tu manger ?"
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Patrie
Quote:
" viens suit moi a la salle de soin ..."


Alors qu'elle s'écroulait, elle sentit les bras puissants de Flamel la soulever, et elle se retrouva en quelques instants dans ce qui semblait être une taverne
totalement vide, fut tout simplement la salle des soins.
Il lui fourra d'office une timbale d'une boisson dans les mains et l'encouragea à boire au moins une gorgée. Mais elle ne put pas.
Emportée par la douleur, incapable de raisonner, elle éclata en sanglots, libérant les larmes qu'elle avait été incapable de verser depuis bien longtemps.
Et loin de tout regard, elle se laissa aller au désespoir.

Il lui posa milles et une questions a la fois , tout était flou;prenant le temps de boire l'eau qu'il lui avait tendu ,elle reprit peu a peu conscience de son état.

Quote:
peux tu enlever ta chemise que je vois bien l' étendu des blessures et
dis moi tout .... ce que tu ressent ,tes douleurs ,même les plus minimes .....


Elle s’exécuta tel un automate, laissant apparaître les lacération du aux coups porté de ses agresseurs et décrivant au médicastre se qu'elle ressentait .

Je ne ne sais les définir autrement tellement que cela me fais souffrir ça me brûle , pique tellement , cela me démange....j'ai surtout énormément mal a la tête ,
je pense avoir eu un coup aussi sur le crane


Regardant ses plaies , elle vit que l'infection avait bien commencer son travail ….. sa peau tombait en lambeau par endroit tellement que cela suintait...
le pu coulait lentement et il fallait faire vite et bien avant que cela ne s'aggrave plus …......
Flamel tout en commençant son travail me proposa de boire une boisson chaude que j'acceptais tout naturellement . Elle savait que la a partir de se
moment là qu'elle était entre de bonne mains
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Flamel
Flamel vit avec tristesse son Amie s effondré en larmes la décompression sans doute ....il essuya ses larmes ... lui sourit
" ca va allez maintenant .... ne t inquiétés pas ."
elle se débarrassa de sa chemise et Flamel découvrit l entendue des dégâts ...
il ne dit rien ne voulant pas lui faire peur ....il fit la moue
" pourquoi n es tu pas venu plus tôt ,"
écoutant la description des douleurs il versa le vinaigre dans l eau ...
puis y trempa les linges .... qu il retira pour les laisser se refroidir un peu avant de les appliqués sur les plaies,de Patrie...
" bien je vais laissez ces linges appliqués sur tes plaies quelques minutes..
après je vais nettoyés tout ça ... on y verra plus clair ..."

pendant ce temps il regarda le crane de la jeune femme y décelant une belle
bosse ...
" tu as une belle petite bosse," il passa dessus une teinture d arnica
une fois ce geste effectué il retira le linges des bras ....et commença a nettoyé les plaies doucement avec des bouts de linge imbibés de vinaigre
observant Patrie ... ne voulant pas lui faire plus de mal ....mais il fallait
en passer par la pour espérer récupéré le bras ....car l infection était deja bien avancée .... il prépara un onguent de camomille qu il appliqua sur les blessures.... replaça un linge propre sourit a Patrie
" voila nous allons laisser ça comme ça demain matin je te refais le
pansement "

il lui prépara également une tisane pour calmer les douleurs et lui fit boire doucement ,ne voulant pas qu elle bouge trop ses bras ...
" maintenant tu vas dormir un peu .... je vais rester a tes cotés sur la chaise là ne t inquiètes pas ..."
elle s allongea il la couvrit avec une couverture .lui caressa doucement le front ...
" reposes toi ..."
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Patrie
Elle était dans un tel état ,elle si pudique ne s'était même pas rendu compte qu'elle s'était dévêtue devant certe un médicastre mais
un homme avant toute chose,Répondant comme un automate a Flamel elle esquissa un sourire plutôt pitoyable.

Quote:
" pourquoi n es tu pas venu plus tôt ,"


Je ne voulais pas que tu me vois dans cette état, mais héla c'est par la force des choses que je suis venu a toi.

Pat , observa chaque fait et geste de son médicastre.

Il est consciencieux, méticuleux et d'une douceur magistrale …............pensa-t'elle

Buvant la tisane a petites gorgées , elle le regarda les yeux mis clos car la fatigue commençait a se faire sentir

Quote:
" maintenant tu vas dormir un peu .... je vais rester a tes cotés sur la chaise là ne t inquiètes pas ..."


Son souffle se faisait de plus en plus calme , lent, la couverture lui procurait une bonne chaleur et les mains si douces de Flamel
la calmaient encore plus qu' avant de sombrer dans un profond sommeil elle entendit un murmure :

Quote:
" reposes toi ..."

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Flamel
La nuit c’était déroulée sans trop de problèmes,Flamel avait veillé Patrie
et lui avait épongé le front plusieurs fois ....au matin il prépara la suite
du traitement lorsque elle se réveillera tout sera prêt ...
il lui prépara également un lait chaud avec du miel et de bonne tranche de pain......le soleil d automne pointait ses rayons .....la journée commençait......
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Patrie
Elle dormait calme et sereine;ses traits semblaient être pour une fois déridé .
Le soleil lui était déjà bien haut lorsque Patrie ouvrit enfin ses yeux . Se souvenant
ou elle se trouvait ,elle chercha Flamel du regard. La porte de la pièce ou elle était
alité était entrouverte .Pat sentait une bonne odeur qui lui mettait ses papilles en
éveilles. Se redressant un peu , elle vit le médicastre passé, souriante elle se laissa
allé a refermer ses yeux en attendant qu'il vienne la voir .Ses plaies la faisait déjà
moin souffrir.

Encore un jour ou deux de convalescence ,,,pensa-t’elle et après tout redeviendra comme avant
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