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[RP]Cathédrale de Périgueux - Vonafred & Leyah - mariage

Aelyia
Un carrosse qui a quitté les terres de Bourgogne au grand galop !
Trop de retards successifs rendent la fin du voyage bien précipité mais ni l’un ni l’autre des occupants de l’habitacle n’ont envie de manquer la fête qui se prépare et à laquelle ils doivent participer.
Des arrêts de courte durée dans différentes auberges pour laisser souffler voyageurs et chevaux. Une course contre le temps et un confort bien sommaire.
Lyly regarde les paysages différents qui s’enchaînent avec les lieux parcourus, la main dans celle de l’homme qui partage sa vie.
De temps en temps, sa tête se pose sur l’épaule solide de son compagnon… instant de douceur… bonheur simple que ce voyage fait ensemble dans la complicité et le rire. Sourire aux lèvres, détendue, elle oublie sa fatigue pour savourer à l’avance la joie de revoir sa famille réunie.
Evénement si rare et précieux qu’il se doit d’être apprécié à sa juste valeur.

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Alix_du_vivier
[ Tout est drôle, dès l'instant que ça arrive aux autres. ]
de Marcel Achard

La voilà convié à un mariage des plus surprenant. Son ami Von avec la Breizh.
Dans le fiacre aux armoiries de la connétablie, Alix avait prit un raccourcit pour se rendre à l'auberge près de la cathédrale.
Sur les chemins escarpés d’Angoulême à périgueux, elle ne croisa pas âme qui vive, tout au plus quelques corbeaux par ci par là Croassant de bon matin.

Le soleil pointait son nez, la jeune femme profitant du paysage et des premières brumes qui caressaient l'horizon, laissait errer ses pensées les plus intimes, comme à chaque fois qu'elle devait se rendre à des épousailles...Doutes ou certitudes d'avoir raison.... Quoiqu'il en soit c'était éternellement la même question ....

Rapidement l'attelage entra dans la ville, tête qui se tourne accompagnant un geste qui souleva le petit rideau noir de la porte, on y voyait les rues s'éveiller au désir des marchands et Gueux qui chaque jour participait ace singulier renouvellement.

l'ensemble stoppa devant la lourde porte cochère de l'auberge et la petite porte s'ouvrit
sur le conducteur qui tendit la main à la maréchale pour l'aider a en sortir.
Un pas, puis deux, petit saut et la voilà hors du fiacre, consignes données.


--Montez mes bagages je vous prie!

L'officier Royal releva sa capuche sur sa longue chevelure noire, cela lui couvrit une partie du visage, elle ne tenait pas à être reconnu de suite.
Entrant dans la pièce, accusant le voyage, elle se fit accompagner dans sa chambre tout en expliquant à l'épouse de l'aubergiste qu'elle désirait se rendre à l'étuve.


--Faites moi emplir un baquet que je puisse prendre un bain , bien chaud.

Porte refermée sur un acquiescement et la voilà seule dans la pièce.
Petite pause, installée sur le rebord du lit, elle se laissa choir de tout son poids.
Corps inerte et lourd...Les prunelles noires rivées au plafond, elle fit le vide dans sa tête....Un rayon de soleil qui perçait parvint à lui chauffer les joues, paupières qui se ferment et la jeune femme se sentit partir loin, très loin.....

Sursaut d'un frappement lourd à la porte.

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William.
arf... déja l'heur de la cérémonie ? mince ! il se dépêche de se préparer s'arrete devant la table de coiffage a Matthéa pour ajuster son haut

bah alors ta pas encore finie ? dépêche ton père nous attend, je t'attend dans le couloir avec ton père.

sort dans le couloir, portant la plus belle tenu qu'il avait.

oui oui me voila ! Matthéa devrais pas tarder je pense... vous savez comment sont les femmes toujour devant leur table de coiffage pendant trois heurs !

Et attend avec Groch les derniers
Sandreen
[Mairie de Sarlat, à l'aube]

Cahier de comptes d'une main, plume dans l'autre, Sandreen faisait l'inventaire des marchandises réceptionnées
1... 2....3....Flocel !!! plus vite ! nom de nom ! regarde moi ça j'ai de l'encre plein les doigts et on avance à rien, je dois encore me preparer et me rendre en la cathédrale !
10... 20


encore 5 viandes dame mairesse

Sandreen ! je t'ai déjà dit !! rrrrr.... 25 ? mais il en manque !

vi demain qu'elle a dit la dame

Rrr... bon j'ai pas le temps de m'occuper de ça ce matin, ça ira, tiens Flo, porte lui ça, elle aura le reste demain....

et le gamin de s'emparer de la bourse pret de s'en aller, ravi d'avoir fini sa besogne.
Attend ho ! j'ai pas fini ! reviens vite et selles mon cheval, d'accord ?

A la moue boudeuse de son aide manutentionnaire, elle ajouta

J'ai préparé un bon repas pour toi

Avec un gateau ?

Evidemment ! mais ne mange pas tout hein !

De la mairie à son logis, il n'y a qu'une rue que la jeune femme dévala à toute allure après avoir boucler les portes à double tours

Tsss misère ! je ne serai jamais prête à temps se dit elle alors que s'engouffrant chez elle, elle courut jusqu'à sa chambre, toilette dans un baquet fumant et parfumé puis démêlage de tignasse à s'arracher les cheveux par poignées dans sa precipitation


Aïe ! mais pourquoi toujours souffrir....
leger sourire, elle savait bien pour qui elle souffrait et continua, enfiler la toilette, serrer la taille plus que de coutume et tenter d'epingler son chignon sans se planter les piques dans le crane.

Dehors le clocher de l'eglise egrenait les heures inexorablement quand le gamin fit irruption et claironna au bas de l'escalier

Dame mairesse, vot chval est sellé

D'en haut, elle lui répondit

Sandreen ! j'ai dit ! ... merci....

descendant les marches avec precaution, pas le moment de se vautrer.

Va te servir, moi j'y vais, laisse la clef où tu sais hein ! je rentrerai tard.

Laçage de bottines et là voila debout grandie de quelques centimetres, prete ? et oui il semblerait qu'elle n'ait rien oublié.
Hop en selle, direction Perigueux et hop demi tour toute en passant les portes de la ville, sauter de la monture, relever la robe et courir de nouveau chez elle


Tu aurais pu me dire que j'oubliais ça ! montrant la besace et repartant sans attendre de réponse du gamin bouche ouverte stoppé en plein élan de mastiquage.

et ferme la bouche quand tu manges !
Marcus54
[dans la résidence de marcus]
Marcus s'était levé de bon matin afin d'arriver à l'heure pour la cérémonie de mariage car la route serait longue jusqu'à Périgueux.

Il appela une servante et lui ordonna de préparer un copieux déjeuner

Marthe descendez vite aux cuisines et préparer moi un copieux repas je dois partir dans la matinée et je ne reviendrais que tard dans la nuit

La servante répondit
Vous ne serez donc pas la pour le repas de midi?

Marcus rétorqua à son tour
Non! Dépêchez vous de me préparer ce repas au lieu de jacasser je suis pressé

La servante obéit en disant
Bien maître puis elle s’éloignât

Marcus alla donc se préparer et choisit ses plus beaux vêtements pour le mariage de son amie il fit un brin de toilette et s'habilla avec les habits précédemment choisit puis une fois terminé il descendit prendre le déjeuner que lui avait préparé la servante
Il s'assit à la table qui était garnie et commença à manger ;entre 2 plats il s'adressa à la servante qui était restée là
Marthe dites à Godefroid de venir vite!

la servante s'exécuta, quelques minutes après, le jeune serviteur apparu marcus lui ordonna de sceller au plus vite son cheval

Godefroid scellez immédiatement mon cheval je dois partir dans l'heure

le serviteur répondit
bien j'y vais de ce pas et le serviteur disparu

Marcus continua de se restaurer puis après un long moment alors qu'il finissait son copieux repas le serviteur réapparu et dit

Votre monture est prête messire

marcus répondit
Bien il est temps de partir
il sorti de table s'essuya la bouche attrapa une cape sortit et monta sur son cheval blanc se tourna en direction du jeune serviteur et lui dit

N'attendez pas mon retour je reviendrais tard dans la nuit puis s'élança sur son destrier à toute allure en direction de Périgueux

[sur le chemin]
La route fût longue jusqu'à Périgueux il croisa quelques marchands ambulant sur de lourdes charrettes tirées difficilement par des chevaux fatigués
Il croisa aussi des lances qui faisaient surement une halte pour se désaltérer
Il passa dans différentes bourgades et arriva enfin dans la ville de Périgueux

[dans Périgueux]
Marcus s'arrêta à l'entrée de la ville et demanda à un des garde ou se situait la cathédrale
Dites moi mon brave ou se trouve la cathédrale ?

Le garde était endormi et sursauta à la question de marcus il mis quelques minutes avant d'indiquer la direction à marcus en répondant ceci
Ce .... hum.... c'est ..... c'est par là messire


marcus répondit
parfait

Il se dirigea vers l'édifice religieux ou devait avoir lieux la cérémonie de mariage il arriva enfin sur le parvis de la cathédrale, il descendit de sa monture attacha son cheval prés d'une auge et monta les marches 4 à 4 de peur d'arriver en retard à la cérémonie puis arrivé devant la porte il la poussa et pénétrant dans l'édifice il constata que la cérémonie n'avait pas encore commencé mais que la foule attendait l'arrivée des futurs mariés. Il poussa un ouf de soulagement et alla s'installer dans un des banc en attendant le début de la cérémonie
Tadek
[Un peu pltôt à la caserne]

Le Capitaine avait appris la nouvelle, le Comte Vonafred
allait se marier, son ami, son frère d'arme et il lui a été demandé
de gérer la sécurité de l'événement afin que ce jour reste inoubliable
de bon souvenir.

Après avoir sonné le rassemblement, le Capitaine prit la parole:


Soldats,

comme vous le savez tous, notre Comte va se marier et bien sûre, nous
avons la charge de la sécurité de l'événement.

Les soldats à l'entrée, vous ne cesserez de dire:

"Ni épées, ni armes, déposez vos armes!"

Je compte sur votre vigilence absolue, en ces période de troubles
dans le royaumes, tout peut arriver.

Les gardes qui patrouilleront, je vous demanderez d'être discret et efficace.

Armure, épée, botte, bref, tout votre équipement doit être IMPECCABLE !

Je ne veux voir AUCUNS gardes à moins de vingt pas du bar ou de tout autres distribution de boisson.

J'espère que tout le monde à bien compris !

Montrez à tout le monde le savoir faire et le professionnalisme du
Périgord-Angoumois !!!



[Le jour J]

Le capitaine était là, parmis les premiers, avec son uniforme d'apparat
et les barettes des médailles accrochées à l'uniforme, il devait gérer la sécurité mais était également invité.

Il avait précisé à ses hommes qu'il s'occuperait de protéger le couple Comtal.

Certains invités commancaient à arriver et tous respectaient le non
port-d'arme imposé.

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Marguerite
[Le jour du mariage]

Fraichement arrivée au Périgord et ayant reprit un peu plus goût à la vie, la jeune femme avait vu l’affiche du mariage de Leyah. Elle avait rencontrée cette grande dame quelques années auparavant lorsqu’elle était en Bretagne et toute petite. Beaucoup d’événements avaient forcée la jeune de Silly à se cacher chez les nonnes et à cette époque désirait de mettre fin à ses jours, mais après avoir parlé à ses frères elle décidait de tout quitter pour une vie meilleure auprès d’eux. C’est avec joie qu’au petit matin Marguerite se préparait dans la maison de Sarlat, pensant au bonheur que la future mariée allait vivre. Sourire aux lèvres elle prit la plus belle robe qu’elle avait et la mit, une belle robe légère dans les teintes de rose, qui faisait ressortir son teint.

C’est avec une certaine crainte qu’elle parti vers la Cathédrale car elle ne connaissait personne, mais bon elle avait le goût de connaitre ces gens et bien sur d’assister à un mariage, mariage d’une dame que Marguerite respectait.

Sur le parvis la jeune de Silly reconnu un visage, celui du capitaine de l’armée du PA qui avait rendu justice lorsqu’elle fût brigandée, la brunette n’osait pas aller le voir par crainte qu’il ne la reconnaisse pas et bien sur pour ne pas déranger.

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Saphyra
La Consule de Bretagne avait fait un voyage sans encombre, elle déposa ses affaires dans la taverne où elle avait fait garder une chambre, se fit une toilette de chat et mis sa plus belle robe pour arriver esseulée devant la cathédrale où beaucoup de monde commençait à s'affairer.

Saphyra se sentait mal à l'aise, sa moitié n'avait pas fait le voyage avec elle et c'était la première fois, elle sentait aussi quelques regards inquisiteurs sur sa personne.
Elle aperçut au loin quelques visages qui lui rappelait des souvenirs...se souviendraient-ils d'elle ?

Elle prit une grande inspiration et leva la tête fiérement en s'avançant sur le parvis du grand édifice religieux.
Aanor
[A Sarlat]

- Madame ! Madame ! Madame !


La blonde, les yeux toujours clos, soupire en entendant les pas de sa dame de compagnie se rapprocher.

- Madame !
- Moins fort Eillena, vous allez réveiller Laonie.
- Elle est déjà réveillée.


Elle consent à ouvrir un œil, grand effort pour une marmotte en manque de sommeil.

- Mais pourquoi ce remue-ménage ?
- Nous sommes samedi…
- ..Oui et le samedi est bien l’un des seuls jours où j’aime dormir longuement
- Le 7 Madame…


Moment d’absence pour la blonde, le temps que les quelques neurones qui sont sortis du sommeil fassent la connexion.

- Mais vous ne pouviez pas me le dire avant !
- Mais madame c’est ce que…
- Eillena ! Nous avons perdu assez de temps, je ne peux pas être en retard, la marquise ne me le pardonnerait pas.
- Elle n’est plus…
- Vous avez décidez de me contrarier ou vous allez m’aider à me vêtir ?


Et une blonde levée du mauvais pied, une. Elle n’avait pas l’habitude de traiter ainsi sa dame de compagnie mais il y a des jours comme ça. La jeune fille lui apporta la tenue qu’elle avait choisie. Une robe rouge et or, clin d’œil à son ancien fief. La robe était cintrée sous la poitrine et dissimulait ainsi fort bien les quelques petits kilos qu’elle n’avait pas perdu suite à sa grossesse. Elle brossa ensuite ses cheveux longuement, décidant de les laisser lâchés sur ses épaules et compléta le tout d’un voile tenu sur la tête par un diadème tout simple et au coup par une broche du même type.

- Laonie est-elle prête ?
- Oui elle vous attend.
- La voiture ?
- Elle vous attend aussi.


C’est ainsi qu’elle prit le chemin de Périgueux, avec sa dame de compagne, sa fille vêtue d’une jolie petite robe rouge qui rappelait la tenue de la mère. Le rouge se mariait à merveille avec ses boucles rousses, héritage de son père tout comme… au grand dam de la blonde… son caractère. Un homme en arme suivait les femmes de près à cheval.
Guillaume.
[En dehors du Périgord, la veille au soir]

« Euh... Six… Hum... Sept ? » Le gamin comptait ainsi à haute voix, usant de ses doigts pour s'aider dans sa lourde et difficile tâche. Cela faisait plusieurs jours, maintenant, que le garçon ne cessait de placer ce septième jour tant convoité, à la suite de chacune des journées passées. Cette fois-ci cependant, par fruit d'un hasard et de fait inévitable, son assistant totalement dépité du se résoudre à lui donner raison, en confirmant son calcul. Dans un grand sourire il comprit alors que du sixième jour s'en suivait le septième et qu'il était bien temps se mettre en chemin pour s'inviter de lui-même à la fête.

L'importance de la date lui était venue lors d'un séjour forcé en Périgord. C'est une attaque de brigand mêlée à sa pleine maîtrise de soumission aux ordres lorsque menace de coups de bâton était présente, qui lui valu une perte totale de contenu de bourse et donc, une impossibilité de poursuite de son périlleux voyage. À cette occasion, il avait entendu un homme aussi amusant qu'inquiétant annoncer un mariage. Sans en connaître les principaux acteurs, seul le fait de la cérémonie et de la cathédrale vint convaincre le garçon de s'y présenter. Car les mariages lui étaient quasiment inconnus et il lui fallait corriger ce manque, et les cathédrales formaient à la fois une passion personnelle et un concours d'ego puéril et masculin avec son chambellan.

Une fois l'instant de joie passé, et l'ensemble des mesures disproportionné pour la faire comprendre a tout le monde environnant, tel que des sauts et des cris insoutenables, le mini-moine – qui n'en était même pas un – exerça le peu d'autorité en sa possession pour lancer un ordre clair.
« En route ! » Aussitôt, son assistant et son garde se mirent à obéir au commandement en préparant le voyage. Si d'aucuns avaient pu y voir de la mauvaise volonté dans l'action des deux hommes, visiblement lassé et démotivé par toute une série d'ordre qui semblait ridicule, le garçon, lui, était bien trop crédule pour y voir une once d'un centième de début d'un commencement d’éventuel problème. Pour lui, tout se passa pour le mieux, et bientôt il rejoignit la cathédrale du comté.

Si seulement il avait su dans quoi il s'embarquait, pas sûr qu'il s'y serait déplacé...

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Enora...
[le jour J quelque part au PA]

La dernière des Brocéliande avait eu le droit de sortir de la maison des malades au milieu de la semaine et elle en était plus que ravie. Ne plus avoir ces bâtons autour des jambes et pouvoir courir partout... le rêve. Elle prévoyait déjà la futur chasse à la grenouille, mais pas aujourd’hui.
Aujourd'hui maman mariait Louis... c’était fort important.
A peine levée, elle demanda son petit déjeuner.
Puis monta enfiler la robe que la soeur belle de Amy lui avait fait.
Elle était très jolie. Une fois habillé coiffé etc, un doute la pris


Faut aller réveiller Lena sinon va faire dodo toute la journée et va rater mariage. N'y vas tout de suite.....

Après une bataille acharnée avec la personne qui la gardait pour la nuit, car elle voulait partir comme çà au risque de salir sa belle robe. Elle accepta au bout de quelques minutes de lutte acharnée de partir en carosse jusque la maison de son oncle. Une fois arrivée, elle entra en hurlant :


Lena Bleizmorgan, faut te lever tout de suite !!!!! N'a ramener une robe pour toi !!!! VIIIIITTTEEE va n'etre en retard.
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Lily59
[ A la maison ]


Alors que le grand jour était arrivé, la donzelle était sortie du lit de très bonne heure. C'est qu'il fallait se grouiller, pas se louper. Bon en fait, fallait vraiment bien résumer la situation, vu la nuit précédente, Blondie n'avait quasiment pas fermé l'oeil. Elle pensait et repensait à la soirée, la nuit, s'était levée à plusieurs reprises pour nourrir sa princesse, qui ne finissait par d'avoir faim. A croire que les gosses, à c't'âge là, avaient toujours faim.
C'est qu'il fallait droper aux portes de la ville après, faire son petit tour des arrivants et de rentrer, "délicatesse" incarnée en beuglant...


Louiiiiiiiise???
Et de chercher partout après celle qu'elle avait élu nounou, mais qui s'occupait, pour son plus grand bonheur, également de l'intérieur de la maisonnée. A croire que tout le monde dormait dans cette maison. Elle écoute, grand silence. C'est limite si elle n'aurait pas entendu son Lieut' ronfler à l'étage. Soupirant, bouche de travers. Bouille qu'on notera parfaitement adorable pour une blonde qui réfléchit. Haussant la voix...

Looooooouiiiiiiiiiiiiiiise !!!!!!
Déboulant en catastrophe de la cuisine, encore toute décoiffée, la nounou avait limite les yeux encore collés.

Oui Madame ? Que puis-je pour vous?
La blonde ouvre des grands yeux en regardant l'autre.
Bah allooooooooooo c'est aujourd'hui!
Par Aristote, Madame, vous n'êtes pas encore prête! Bougez pas, je vais chercher ce qu'il faut...
Tutut !! Nan nan... pas folle la guêpe, son Monsieur dormait encore. Je vais aller chercher la robe, préparer le reste je vous prie. Ce serait super.

Et de débarquer en trombe dans la chambre...
Chééériiiiiii !!
Déjà elle avait attrapé sa robe et était ressortie de la chambre. Puis, hésitation de la blonde en se disant, qu'il n'avait pas répondu.
Chééériiiiiii !!
Et de lui envoyer sa tenue...
Grouille !

Foncer hors de la chambre se préparer, revenir maintes fois, se reluquer dans le miroir. Tenue ok, coiffure ok, chaussures...
Chaussuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuures??? Panique ne durant qu'une seconde, Flax lui agitant déjà sa paire devant les yeux.
Boudiou, ils étaient fin prêts, dans leurs plus beaux atours. Pas tous les jours qu'on assistait à un mariage comtal, qui plus est, quand une de ses plus grandes amies devient la femme du Comte. Ce couple, qu'elle avait toujours adoré, allait enfin se dire "oui"...
Juste à y penser, Blondie sourit alors qu'elle descendait les escaliers se dirigeant vers la porte. Main tendue vers la poignée...


Madame...? commença Louise dans une voix gênée. Madame, je pense que vous oubliez quelque chose...
Alors que la blonde hausse déjà un sourcil d'un air "bah quoi??", la Louise disparut une minute avant de revenir, Chloé dans les bras, pouponnée, belle à croquer.

Chloé !! Et de prendre sa puce...
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Lena_
[ Le zour zi ]

Ze fulminais, le zour zi ne l'était n'arrivé et même pas ze n'avais crouvé la robe de Tatie pour ne faire des crous dedans. N'était pas graf', ze n'avais décidé que ze ferai n'autre choz" pour me venzer de mon nouveau tonton. Mais ze n'avais pas n'envie non plus de sortir de mon lit paske moa ze n'étais fatiguée et pis n'avec mon papou malade ze n'avais pas cro le coeur à la fête. Mais 'Nora l'avait crouvé n'a moi une zoulie robe de princesse, n'alours pour çà ze n'allais pouvoir faire n'une exception.


Citation:
Lena Bleizmorgan, faut te lever tout de suite !!!!! N'a ramener une robe pour toi !!!! VIIIIITTTEEE va n'etre en retard.


Z'arriiiiiveeee, z'arriveeeeee !!!!

Ze n'avais mis la zoulie robe de 'Nora, une que la dame Fleur n'avait faite pour elle et que ma couzine n'avait été zentille de me prêter pour le zour zi. Coume çà, nous l'étaient nous deux en bleu. Ce n'était étranze paske moa ze ne mettais zamais que du rouze, mais là, ze me crouvais zoulie. Un bisou à papou avant de partir avec 'Nora , en lui dizant de se dépêsser, que lui n'allait être en retard et pis moa voila partie.

Viens vite 'Nora, nous va être en retard au mariaze de ta mère !

Ze n'avais accrapé son bras pour la tirer plus vite, mais z'oubliais que n'elle n'avait été blessée un p'tit peu n'avant. Quand ze m'en suis rappelée, ze ne m'étais excusée, pis n'alours pour me faire pardonner

Toi n'être vraiment zoulie 'Nora, ta mamou va etre contente, toa n'être une vraie princesse !

Bin voui, c'est çà les petites filles, déza çà parle siffons en partant pour la Cathédrale n'avé les serviteurs derrière pour pas que nous fasse des bêtises.
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Robins
Un bras ballant dépassant du lit, je me réveille, un instinct me le fait poser sur mon front.
Front où une barre de plomb semble avoir élue domicile
Ma gorge veux avaler la mer et ses poissons sans distinction.
Mon crâne résonne de chants et de « Prosit ».

Je dois me reprendre, ou suis-je ?
Habillé encore, dans une chambre d’Auberge c’est certain, vu l’ambiance austère et impersonnelle.
Je m’assoie sur le rebord du lit, la tête baissée, les mains posées dessus, j’essaye de retrouver mes esprits.

Périgueux – Vonafred –Louis – Enterrement – Mariage.

Le voile ce lève enfin de mon cerveau immergeant doucement, hier il semblerait que l’enterrement de la vie de garçon ait été part trop arrosé, combien de verres et de bouteilles pour ne pas dire de fût avons-nous pu descendre ?
Doit bien avoir que l’intendant du château pour le savoir ce matin.
J’essaye la position debout, et trouvant une forme d’équilibre je m’avance vers mes fontes, j’avais bien apporter une tenue, je la sors, cet uniforme date d’une époque révolue, mais il me restait plus grand-chose.
Je le passe, et constate qu’il est trop large, le manque d’entraînement a fait fondre ma musculature, je n’ai pas le choix, rien d’autre n’ira pour le mariage d’un Comte.

Je regarde l’animation de la rue sans trop la voir et me rend compte que le temps passe, et qu’il faut partir pour la cathédrale, donner son épée au garde.
Une génuflexion, un signe de croix et prendre place.
Aleen
( LE MATIN DU JOUR J )

Elle trempait dans sa baignoire, se prélassant dans l'eau chaude, presque sommeillant elle sursauta lorsqu'elle entendit

Je l'aaaiiiii, c'est boooon !!!

Elle sauta hors de l'eau se ceignit d'un drap couru jusqu'à la chambre

Quoi ? qu'est-ce ? une souris ?

Lui dans le plus simple appareil une clé à la main essayant d'ouvrir la porte de l'armoire !

Elle éclata de rire


Rhoooooooo mon coeur vous m'avez fait une de ces frayeur ! attendez je vais vous sortir votre habit, si vous voulez profiter de l'eau chaude allez vite vous plonger, je vais m'apprêter pendant ce temps.

Fébrilement elle passa sa robe , demanda à Barberine de la coiffer, il était toujours dans le cabinet dévolu à la toilette, elle sourit passa la tête dans la porte entrouverte , il se battait avec les bouton, elle sourit, l'aida, l'embrassa légèrement

Mon coeur je ne voudrais pas vous presser, mais il va être l'heure de se mettre en chemin !
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