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[RP semi-ouvert] Un jeune homme de mauvaise vie...

--Le_marquis


Le Marquis dessaoula un peu...
Une gueuse lui buvait son Calvados et lui cassait les oreilles en hurlant dans la taverne !

il rampa comme il le put vers cette catin dont la bouche n'était point désagréable et s'accrocha à ses bottes...

Hééééé toi la catin, tu vas m'attendre ou pas oui non !
Parce que moi hé ben j'aime quand tu m'embrasse alors j'en veut d'autre moi des baisers !
Puis tu me montreras ton joli mont de Vénus, je suis sûr qu'il y a quoi contenter son homme là dessous, bien que t'es pas très propre...


Il souleva le jupon de la voleuse et s'y accrocha se faisant traîner par terre jusqu'à la porte...
Oscar_w.
Oscar avait suivi la scène, se gaussant discrètement des manières un peu...directes d'Andrea puis cacha son sourire derrière un charmant petit mouchoir de soie, lorsqu'il la vit embrasser le pochard.

Et la regarda, non sans satisfaction, couper discrètement les cordons de la bourse du nobliau.
Certes elle se comportait comme la pire soldatesque que l'on pu imaginer, parlant fort, crachant, ne sachant se tenir en une taverne... mais incontestablement elle connaissait le métier et l'aimait.

Quelques soient ses manières déplorables et indignes de la gent féminine si gracieuse à l'habitude, elle serait une excellente partenaire.

Il jeta quelques fausses pièces d'or distraitement sur la table, pris sa canne à pommeau d'argent posée contre le mur, et sorti le plus naturellement du monde.
Une fois dans la rue, déserte à cette heure tardive, il se posta devant la taverne, s'éloigna de quelques pas et attendit.
Le canne lestée d'argent assommerai l'homme, à coup sûr et il pourrait en quelque coin discret le délester de ses habits de fort bonne coupe.
Il ne serait point dit que lui, Oscar de Wellington, resterait habillé tel un vulgaire bourgeois !
Andrea_
Et bin le voilà l'coup de botte... Elle frétillait au bout du pied de la Colombe qui s'aperçu d'ailleurs que ô malheur, elle n'était pas en botte mais en godasses de fille. Bah nous voilà bien, un coup de talons dans l'épaule du l'homme et un regard noir


J'ai toujours aimé les hommes à mes pieds, mais... c'est l'mot catin qui m'gène, j'ai jamais dit que j'faisais payer. Tu m'abimes l'honneur là ! Alors mange ça... Un coup, pas trop fort Et ça ! et un second un peu plus fort, alors qu'elle commence a apprécier les talons Et si t'as encore faim, et bin tu d'mandes, j'me fais cantinière


Bien qu'elle n'était pas trop sûre d'elle la chiasse... Il parait qu'y'en a qui aiment ça, les coups. S'il était de ceux là... Arf, pas grave elle continuerait, un "poune tchin baule" humain, ça s'refuse pas !
En attendant elle continue en lançant un regard hautain aux pauvres pouffes qui n'avaient pas descendu le moindre petit doigt en tenant leurs tasses... Pas d'ce monde, si jamais y avait eu un doute - et y en avait pas- cette fois, elle en était sûre.

elle le traine donc a l'extérieur, puis le relève tant bien que mal - mais la rage lui donne des ailes - et sort sa dague qu'elle lui pose sous la gorge.


Merci pour mes baisers beau brun. Je sais qu'ils sont au top, mais ils sont réservés. Suis moi je vais te montrer quelque chose...


Un regard vers Oscar, qu'elle siffle

A toi Lopette !
_________________
Oscar_w.
Oscar ne releva point l'insulte de son associée.
Son langage de charretier faisait partie son âme, tout comme ses manières brutales...
Lui aimait le raffinement dans le brigandage, séduire d'abord ses victimes avant de les voler toujours, les tuer parfois...
Suivant son humeur...

Il s'avança en souriant vers Andréa...et sa proie surtout.
Il le releva brutalement, n'aimant point les loques.
Se collant à lui pour le maintenir contre le mur, il sentit son vit durci par le désir et ne put s'empêcher d'aller y voir de plus près avec sa main...
Le bougre était fort bien doté par Dame Nature...
Dommage.

Messire, ma compagne se plaint de votre comportement.
Est-ce à dire que vous lui avez manquée de respect ?
Un jeu fort dangereux la connaissant...et je n'apprécie guère vos manières non plus.

De plus votre jabot est tout à fait charmant, vos braies m'iraient à merveille, et vos bottes de même.
Sans oublier cette belle épée dont vous ne savez visiblement plus faire usage.
Une loque telle que vous ne manqueras guère sur cette terre, aussi vais-je vous tuer...


Il fit tournoyer sa canne dans l'air qui se zébra d'un coup, retombant avec violence sur le crâne de l'ivrogne, désormais fendu et vraisemblablement occcis.

Oscar tira le corps, inconscient ou mort de l'homme, dans une ruelle sombre jouxtant la taverne, le dépouillant de ses vêtements et pliant soigneusement les siens qu'il mit dans sa besace.
Puis s'en vêtit n'oubliant point l'épée, fort bien ouvragée, de l'homme.

Il s'admira.
A nouveau il resplendissait de tous les feux de sa beauté soulignée par la délicatesse des habits du noble cadavre.
Il sortit sa dague et lui traca un W cerclé d'un O sur le front.
Comme Oscar Wellington.
Il éprouvait un certain plaisir à laisser ainsi sa signature sur ses victimes, mortes ou vives...
Andrea_
La p'tite chataîne observe la scène. Distraitement, elle se colle le long du mur et se laisse glisser pour s'asseoir au sol dans un soupir qui en dit long.

Elle replit sa jambe et libère enfin ses pieds des escarpins. Remontant son jupon pour défaire ses bas.

Et bin, c'est qu'on est plus légère sans ça...

Elle observe Oscar et regarde le soleil...



Bon Oscar, tu t'actives la mojette ?


Nan mais qu'ils sont longs... La belle esquisse un sourire alors qu'il marque sa victime, elle qui aime faire une Colombe sur les siennes. Elle continue de le reluquer allègrement alors qu'il se change et lui tend la main pour qu'il l'aide à se lever


C'est bon, on a assez bossé pour aujourd'hui ? J'ai la dalle, j'ai soif, j'suis fatiguée, et j'ai mal aux pieds.


La messe est dite, la chiasse s'est bien amusé, mais faut pas abuser des bonnes choses.
_________________
Oscar_w.
Oscar fut épouvanté par un tel langage !
Il n'en laissa cependant rien paraître...
Il tentat de s'adresser à sa compagne de fortune dans un langage que sa piètre éducation lui permette de comprendre...

Certes chère amie,
Les affaires ont été bonnes ce soir et le pigeon dûment plumé...
Et me voici enfin avec fort belle mise grâce à ce brave homme, retrouvant presque ma perfection...
Il ne me manque qu'un peu de maquillage.. je verrais cela tout à l'heure.
Et j'avoue que tout ceci m'a fort ouvert l'appétit également !

Je loge en une rustique auberge où l'on ne dort point trop mal et où la nourriture est acceptable.
L'établissement est tenu par un mien compatriote un peu contrebandier et fort discret...
Nous pourrons y causer à notre aise.
Suivez moi donc !

Oscar pris le chemin du port pour arriver devant la gargotte, s'assurant qu'Andréa le suivait.

Il entra sans hésitation et fit un signe de connivence avec le tavernier, lequel fila dans sa cuisine y préparer deux repas.
Tandis qu'il se repoudrait et se fardait les yeux de noir, il s'arrêta subitement...
au fond de la taverne une silhouette qui ne lui était point inconnue semblait le regarder...
_________________
--Miss_cerise
Depuis quelques temps, la jeune femme était dans cette Gargotte, tranquille, tout au fond, sans être déranger. Elle regardait la porte a chaque fois qu'elle s'ouvrait pour faire entrer ou sortir des clients. Mais, a un moment, deux personnes entrèrent, dont l'une qu'elle conaissait... Elle se frotta les yeux...Impossible! Pas lui!

Certes, la blonde, avait connu beaucoup d'hommes dans sa vie. Mais lui était particulier. Elle le regarda de ses yeux bleus profonds, le fixant toujours plus...Quelques minutes plus tard, elle se levait pour aller le voir. TOutes ses personnes assisent semblaient la regarder, enfin, c'est se qu'elle pensait, elle n'avait pas l'habitude de se lever et de traverser une salle, et qui plus est, seule! Marchant lentement, le fixant toujours, elle avancait petit a petit.

Ses cheveux tombant jusqu'a ses reins, s'envolant a chaque pas, et ces chaques pas semblait être de plus en plus dur a sa mine. D'habitude, la jeune femme était sur d'elle, droite comme un i, jamais déstabilisé, mais là...Ce n'était pas pareils. Se reprenant, elle alla jusqu'à lui. Ne pretant aucune attention à l'autre jeune femme, elle demanda:


Oscar?...C'est toi?
C'est moi...Cerise!
Oscar_w.
La silhouette se leva brusquement, puis vint en leur direction, sortant de l'ombre où elle était tapie.
Elle se faisait plus familière à chaque pas.
Cette façon de marcher, ces longs cheveux blonds, ces hanches voluptueuses, cette poitrine appétissante... Oscar était certain d' avoir goûté à ces fruits du plaisir.
Le tout était de savoir où pour ne point commettre d'impair, tant s'étant données à lui...
Il se rengorgea quelque peu en faisant défiler les dames qui avait naturellement succombées à son charme dans sa tête...

Il s'entendit appeler par son petit nom...

Oscar?...C'est toi?
C'est moi...Cerise!


Cerise !
Ou plus précisément la Comtesse de Chessbury, lorsqu'elle s'offrait telle une fille dans les bordels de Londres.
Il se leva prestement puis lui sourit, usant de son charme comme de ses artifices, puis en guise de réponse pris sa bouche qu'il baisa avec grande ardeur.
Lorsqu'on avait goûté à ses baisers une fois, l'on s'en souvenait et cela valait tous les passeports au monde.
Il s'exclama, comme s'il fut dans le monde :

Très chère !
Que faites vous donc en cet endroit..?
Vous savez sans doute que Dame Fortune m'a quittée et que je suis en disgrâce auprès de Sa Majesté...
Aussi je gagne ma vie avec cette jeune femme...


Il lui chuchota :
Ne prêtez point attention à ses manières, ni à son langage...
Une véritable rustre !

puis reprit une tonalité plus bas :

Nous faisons appel à quelques personne à qui nous.. "empruntons" or et objets de valeur...
Mais vous aller nous conter tout cela !
Asseyez-vous donc !


Il lui tira une chaise près de lui et se rassit tout également, passant une main sur sa cuisse sous la table.
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Andrea_
Gnagnagni Gnagnagna, le tout en secouant doucement la tête et en grimaçant dans son dos, pensez vous si la chiasse a compris tout c'qu'il disait... Elle en avait cotoyé des gens de la haute, mais de là à prendre les mêmes manières...


ouioui faisons ça...


Elle le suit mais pas trop près hein faut pas déconner Elle entre dans l'endroit, le temps d'aller se soulager elle revient, se refroquant dans la salle principale et s'approche de la table d'Oscar et Cerise, prenant une voix guindée


Messire Wellington ? La grail.... pardonnez moi, le repas est-il servi ?
Oh, Bonjour Dame, je suis Andrea de la Colombière, Duchesse de Forforlointain, je suis enchantée.



Bah quoi? elle sait faire semblant la chiasse, c'est peut ètre pas parfait pour vous, mais pour elle c'est le summum de la classe là ! Un p'tit clin d'oeil à Oscar et la belle tire une chaise pour s'y assoir.
Baissant la tête elle aperçoit la main sur la cuisse et siffle


Et bin... y aurait d'la couch'rie dans l'air ?

Chassez l'naturel, y'r'vient au galop....
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--Miss_cerise
Lorqu'il entendit son nom, OScar se leva d'un coup. Elle lui sourit. Un sourir charmeur. Qui voulait tout dire. Elle l'avait connu oui. Il lui résuma en vitesse sa vie. Enfin, depuis qu'elle ne l'avait pas revu. Elle lui sourit, oui encore, Cerise souriait beaucoup, souvent, pour obtenir ce qu'elle voulait. Mais parfois, c'était vrai. Elle lui répondit.

J'en suis désolé...
Mais, tu est là, et, moi aussi, c'est ce qui compte.


Il lui dit autre chose plus bas. Elle le regarda de ses yeux bleu, droit dans les yeux, vraiment. Puis elle hocha la tête et lui fit signe qu'elle avait comprit. Il reprit plus haut. Elle comprit ce qu'il voulait dire. Ca devait être exitant ce qu'il faisait. Vivre du danger. Elle en frissona. Elle avait toujours rêvé de faire ça. Mais elle n'avait jamais put...Dommage.

Elle s'assit, lui souriant. Elle sentit sa main passer sur sa cuisse. Elle le regarda. L'invitant. Elle l'aimais bien l'Oscar. La jeune dont il parlait se présenta.Elle lui sourit et se présenta a son tour.


Cerise. Ami de ce cher Oscar. Enchantée!

Elle sourit a la jeune femme. Voyant la main sur sa cuisse, la jeune femme qui venait de se présenter dit quelque chose. Cerise la regarda. Pas que ce n'était pas vrai mais bon...Elle regarda de nouveau Oscar...
--Le.taulier


Le tavernier arriva, interrompant les présentations.
Il posa en souriant dans sa barbe les trois écuelles de ragoûts, trois chopes et une carafe de son moins mauvais vin sur la table.

Oscar, vieille crapule !
Encore deux conquêtes ce soir on dirait !


Puis partant d'un gros rire, il retourna derrière son comptoir et se fit fort discret, nettoyant ses chopines.
Oscar_w.
Oscar leva les yeux aux ciel en entendant Andréa se présenter comme Duchesse !

Christos !
Ce qu'il ne fallait point entendre de sa bouche...
Mais la fable étant aussi crédible que celle d'un lapin qui tua un chasseur (c'était un lapin qui avat une arbalète), il ne s'en fit point trop : Cerise n'était pas tombée de la dernière pluie...

Il fut cependant outré par la suite de ses propos...
Même s'il était fort heureux de revoir son ancienne maitresse et comptais bien lui en faire la démonstration cette nuit...

Cerise le regarda...
Il lui jeta une oeillade complice puis la regarda en souriant.
la belle avait l'air d'apprécier ses caresses et sa main se raffermit en remontant légèrement sur sa cuisse... lorsque le tavernier vint faire diversion.

Le râgout avait l'air fort appétissant et le vin point trop mauvais.
Il rit à sa grosse plaisanterie.
Puis il s'exclama :

Mesdames, à table !
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--Miss_cerise
Après une telle erreur de langage qui n'était pas digne d'une (vrai) duchesse, Cerise se rendit bien compte que la Dame lui avait mentit, et que ce n'était qu'une simple gueuse au langage un peut rustre. Elle la regarda attentivement. Puis, Cerise reporta son attention sur Oscar...Qui montait sa main encore un peut plus haut. Elle lui sourit. Cette nuit s'annoncait mouvementée...

C'est alors que le tavernier fit son entrée. Elle lui sourit. Il déposa sur la table un ragout et du vin. Ca avait l'air appétissant.Il sourit a sa plaisanterit. Seul ses amants arrivait a la faire rire.


Ouf, enfin a manger!

Elle sourit, puis dit un peu plus bas a Oscar:

J'éspère que nous allons vite renter...

Elle lui fit un sourire coquin. Cette rencontre avait chamboulée tant de chose...Et le revoir avait...exité ses sens!
Oscar_w.
Oscar eu un battement de cil des plus charmants à l'égard de Miss Cerise comme elle aimait à se faire appeler.
De plus dévoiler son titre à Andréa eut été des plus grossiers...

Mangeons donc ma tendre amie...
Notre rencontre m'a fort ouvert l'appétit !
Et ma faim ce soir me semble insatiable...


Un sourire charmant, un tendre baiser, presque une douce morsure dans son cou...

Mais ma chère heu...Duchesse, joignez vous donc à nous !
Et la journée fut rude...
Les chambres de l'étalissement aux lits forts moelleux ne saurait que vous satisfaire.


Il prit une gorgée de vin, en laissant perler un peu sur ses lèvres noires...

Mais dites moi chère Cerise...
Exercez-vous toujours vos talents ici ?
Ou une vie plus...dangereuse et pleine d'imprévu en ma, enfin notre, compagnie vous tenterait-elle...?
Croyez-moi, cela est fort excitant.


Il appuya bien sur ce dernier mot, laissant ouvert tous les sous-entendus...
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Andrea_
La Colombe bien assise admirait les amants, échanger, s'papouiller, bref... du grand guimauveux, tout ce que la colombe... aime.
Un couvert dans chaque main et la furieuse envie de crier " j'ai faim, j'ai faim", la belle ne pense qu'à son repas.. qui s'fait attendre.

Un regard en arrière et le tavernier qui déboule.



Bin p'tain, n'a failli attendre... et heu... 'fin l'gigolo là, il culbutera la d'moiselle mais pas moi hein


Pas l'temps d'en dire plus, la belle affamée - elle avait prévenu- se jette sur son ragout, en arrosant le tout d'un vin qu'elle qualifierait de... messe, alors qu'Oscar balance son " Mesdames, à table"


merchi, manchez bien et proprement hein ! Hey Ochcar, on va pas la prendre avec nous chi ?!


Elle les regarde et rit, bouche fermée quand même. La classe Colombienne à ses limites !
Pis c'est pas pour dire mais la Colombe s'demande c'qu'elle fiche là... Sont pas du même monde.

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