[RP] un levé de coude ou l'inter-ville de la boulasse

Et de trois !

Aaaaah...

D'un revers de la main, elle s'essuya les commissures avant de retourner se planquer derrière le tonneau qu'elle avait investi.
Les voix commençaient à enfler de l'autre côté de la charette. Elle jetait un oeil de temps à autre, pour admirer les têtes des soiffards du Comté, tout en souriant de ce qu'elle allait très certainement les battre à plate couture, s'ils ne se dépêchaient pas de commencer...

D'ailleurs, sa main se glissa le long du tonneau pour en prélever encore un peu...

Je commence à me demander s'il est vraiment nécessaire de me rendre à Nîmes pour te parler...

Une main, venant en cueillir une autre, arrêta délicatement le mouvement de la Rousse.
Il avait ressenti un besoin urgent de se mettre à l'écart et après avoir salué d'un hochement de tête douloureux Ayena, il avait aperçu un éclair flamboyant au détour d'une charrette.

Relâchant le poignet de la jeune fille, il glissa dans un sourire:

Je croyais que ces tonneaux étaient pour les participants...
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Accroupi aux côtés de la drôlesse, il prit une mine de comploteur.
Elle avait le don de le faire sourire démesurément cette rouquine. Tout un poème à elle seule.

Attrapant la chopine, il la vida d'une traite.

Pas mauvais! Mais si c'est ce qu'ils servent pour le concours, je me sens arnaqué...

A pattes de velours, il lui fit une démonstration de ses propres talents. Leste et rapide, il rempli à son tour la chope qu'il lui rendit dans un demi sourire.

Santat ma belle...

Le Chapeauté la détailla sans gêne et l'espace d'un instant il fut tenté de lui servir son boniment habituel.
Mais pas cette fois.

Je suis là pour parader. Me faire bien voir et gagner une réputation...
Et puis... Je viens boire.
De la bière gratuite ça ne se refuse pas!

La malice, la curiosité, tout ça était salvateur. Il venait de se rendre comte que son mal de crâne s'était évaporé.
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Après tout le stress lié à l'organisation, aux inscriptions, à l'agencement des défis,...

Kelak pouvait enfin profiter un peu de la fête, enfin non il lui restait une tâche au combien altruiste et difficile pour lui... s'assurer de la qualité de la biere qui serait servit aux participans du concours...

la bière arrivait à pied



à cheval et en charette



les caves du château avait été dévalisée



Détendu encore un peu plus par ce controle qualité Kelak tituba de regroupement en regroupement saluer les capitaines qui avaient fait un excellent boulot et saluer çà et là ceux qu'il connaissait et y en avait.

il se fit accoster par madame Tartine de la capitale

Ah hum dona Ayena... hum combien de rillettes me proposer vous pour que j'inscrive votre retardataire ???

Kelak rit

hum non malheureusement comme je l'ai dit à Mestre loup *hips* aussi de la capitale, à croire que vous n'avez aucune notion du temps... vous ne savez donc pas qu'un bon ivrogne n'arrive jamais en retard... ni en avance d'ailleurs, il arrive précisément quand la bière commence à couler

enfin bref je n'ai aucun adversaire à leur proposer, enfin ils peuvent se combattre mutuellement *hips* pour savoir lequel représentera la capitale au prochain tour... pour peu que vous passiez... c'est un concours de buveur ici pas de mangeur de tartines

Nouveau sourire taquin mais au combien amical de ce clown de Kelak






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C'est d'humeur sombre qu'il revint sur la place.
Les duels étaient déjà annoncés et se frayant un chemin dans la foule, il alla consulter l'affichage.
Altaranz... Un mendois...Ou une mendoise?

Bouarf, ils ne savent pas boire là-bas... Ça va être vite vu...

D'un coup d'oeil, il déchiffra le nom de l'adversaire de la petite blonde.
Hispahan. Ouch, la pauvre risquait de ne pas tenir le choc.
D'un second, il s'aperçu que Le Puy était représenté... Tiens donc, il restait des ponots qui s'assumaient dans ce comté...
Haussant les épaules, il s'éloigna du gros de la troupe. Il était maussade, son crâne battait déjà de douleur. Trop de cris, trop de rires.

Le spectacle n'avait pas commencé alors pas besoin de se forcer. Le chapeau rabattu devant le visage, le col du mantel relevé, il observait du coin de l'oeil la scène.
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Marieline qui avait entendu que les combats étaient affichés voulut s'y rendre pour voir contre qui elle serait opposée. Elle bomba la poitrine se disant que si c'était un homme, elle pourrait essayer de jouer sur ses avantages... Bien qu'elle était sûre de pouvoir tenir la cuite.

Elle se faufila parmi tous les participants aglutinés devant l'annonce afin de se frayer un chemin. Elle parcourut les différents noms, et vit qu'elle serait opposée à Ayena de Montpellier.

Hum, hum... Un combat de femmes ! On va bien rire !

Elle se dirigea vers une table et appela à la cantonade

Ayena ! Ayena de Montpellier ! Je vous attends très chère ! Vidons quelques chopes pour nous échauffer !

Bien qu'elle n'était pas non plus une ivrogne.... Faudrait qu'elle finisse sous le tonneau avant que le duel ne commence vraiment....

Les inscriptions étaient prises ! Il avait retrouvé son complice Adamet, et aperçut Rubein et Michel qu'il avait croisé en taverne pour l'un, sur la place de Carcassonne lors d'un débat animé pour l'autre !

Il les salua avec la joie non contenue que le jeune homme éprouvait de participer à une telle réunion !

A moi Carcassonne, sus aux petits bras des autres villes ! brailla t-il en rigolant, on va tous les étendre par terre !!!

Toujours plein de fougue et d'enthousiasme il tapa dans le dos de son capitaine...

Héhé ! sergent, capitaine, tu cumules les grades mon ami !!! Qu'en pense-tu ? Vois-tu icelieu dans cette foule, un seul visage qui sembla capable de tenir le coup devant nous ? Moi pas !!! Nous avons bouter les vilains hors de murs de Carcassonne, nous allons montrer à nos voisins que nous sommes indestructibles n'est-ce pas ?

C'est ce moment que choisit Arthwena pour se présenter. Il s'inclina :

Arthwena, bonjour à vous ô noble supportrice de cette fière équipe de pochards !

Puis, respectueux de certains usages, il s'éloigna afin de laisser Arth et Adamet se saluer tranquillement.

Soudain son visage s'illumina à l'arrivée d'Ange dans la place.
Il s'approcha d'elle avec un sourire et s'inclina :

Ange, vous me voyez ravi de vous voir parmi nous... Trop heureux de savoir que nous allons concourir ensemble. Votre présence va me donner des ailes, je vais avaler toutes ces chopes sans faillir !

C'est à cet instant que l'organisateur afficha les duels. Il entraîna Ange par le bras :

Venez allons voir contre qui nous allons nous mesurer...bien que je ne craigne personne, il est toujours bon de jauger son adversaire !

Il crânait un peu devant la belle... Bah, si ce n'était pas l'occasion, alors il n'y en aurait jamais !

Il lut donc le nom qui lui faisait face : Enguerrand de Uzès. Vu qu'il ne connaissait pas grand monde sortit de Carcassonne ou de sa caserne, ce nom ne pouvait que lui être inconnu. Ange était aussi en lice contre un homme d'Uzès. Il sourit :

Ils sont foutus à Uzès qu'en pensez vous ?

Puis il haussa le ton, afin qu'on l'entende alentours :

Enguerrand d'Uzès ? Y- a t-il un Enguerrand à Uzès ?

Il regardait autour de lui, voir si quelqu'un régissait à son appel.
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Ferek arriva sur le lieu du concourt, on lui en avait parlé la veille et espérait qu'il ne serait pas trop tard pour prendre part à cette assemblée de soiffard et chercha donc un comptoir où il pourrait pourvoir à une signature par tout hasard.
Une fois trouvé une espèce d'echope un peu bancale, il essaya de trouver quelqu'un qui pourrait l'aider à accomplir sa requête d'inscription à se tournoi qui pourrait avoir une fin agréable pour quelque polissons.

Ferek, Ferek, Ferek, inscrivons Ferek s'il vous plait, est-il encore possible de m'inscrire ? Juste une petite place pour ma signature, s'il vous plait j'en ai fort besoin, je souhaite participer dans la joie et la bonne humeur.

Ferek regardait par la même occasion si il ne tombait pas sur Azelys, au cas où elle serait dans les parages.

Ai je oublié de de préciser de MONTPELLIER ?

Il ne s'adressait à personne directement mais au cas où quelqu'un gérant les inscriptions l'entendrait.

On annonçait les tirages au sort et Sylven, toujours aussi curieux de nature s'approcha pour connaitre le nom de son adversaire. Scrutant la liste, il finit par découvrir qu'il affronterait une dame du nom de Ange11.

Il grimaça légèrement se demandant si cela pouvait être considéré comme une bonne nouvelle. Connaissant les capacités d'éclusage de sa belle Rhadia, il savait d'expérience qu'il fallait se méfier des femmes dans ce genre d'épreuve.

Il regarda par dessus l'épaule de sa belle pour découvrir son adversaire, un homme cette fois. Se tournant vers elle il lui murmura.

Ben y aura pas de jaloux comme ça.

Après tout ce n'était qu'un jeu et quelqu'en soit l'issue, ils auraient passé un bon moment et pu piccoler à l'oeil. C'était bien là le principal.
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Le capitaine de l’équipe avait fait tout ce qu’il fallait pour que tous puisse participer, ses pommettes, dans une rougeur continue, trahissait la gêne que Rubein put ressentir.
Mais cela fit vite oublier quand la joie de concourir était présente.

Des yeux plissés, il parcourra la liste à la recherche de son nom et de l’adversaire avant de tomber dessus, il relâcha un murmure :

- Rubein de Carcassonne…

Sa vue suivait la ligne à l’envers pour lire le deuxième nom recherché :

- Rhadia…

Les yeux s’écarquillaient, une femme…
Il aurait préféré un homme mais le sort en était jeté, il grommelait sous sa généreuse barbe :

- Espérons que ce ne soit pas une du genre « gorge profonde » et qu’elle ne me fasse pas rouler au premier round…

Il pu voir messer Michel qui lui avait apprit à boire en taverne, un sacré entraineur celui là, il serait digne de son apprentissage et fera tout pour qu’on n’oublie pas qui est Rubein de Carcassonne !
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Motshow s'approcha d'une table prête pour le 1° round, attendant qu'on lui serve ses 16 choppes d'apéritif, il s'écroula sur la banc violemment, souvent titubant à cette heure tardive, il sorti une banderole encore fraiche et la déroula devant lui, afin d'y inviter son concurant



Toute l'énergie qu'il lui fallu pour se mettre en oeuvre lui donna une petite soif, il s'empressa de sortir sa gourdasse et de s'enfiler un jet de jus de mirabelle, chercha son adversaire du regard dans la foule afin de partager en premier lieu la chopine de l'amitié.
Il s’essuya la bouche et lança à qui voulait entendre.

Alors Aurelus de Narbonne, pas encore arrivé?
Viens donc me rejoindre que nous fassions connaissance avant que nous nous mesurions, mais gare, ce jour encore j'ai la boulasse de mon coté.

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La partie était lancée, le temps passa bien vite puisque l’affichage de la liste de Kelak circulait déjà dans les conversations. Précédant son nom, cinq lettres assemblant un prénom féminin.

Elena.

Merer ne pouvait espéré mieux tomber, petit regard en passant sur les adversaires de ses colistiers…Cebyss comme toujours en beauté, avait fait le déplacement et c’est avec plaisir qu’il lui avait baiser la main en arrivant. Gragblod son adversaire, inconnu pour le Blond, n’aurait qu’à bien se tenir, la comtesse sortirait certainement le grand jeu, et la descente serait vicelarde.
Le reste des adversaires de la Narbonne Océan Team présageait au final une belle inconnue pour le Languedocien, peut-être une tête croisée en voyageant, mais pas sûr.

Parfait donc pour faire connaissance.

Chipant des chopes au passage, ses pas guidèrent notre concurrent vers le speed- drinking. Nouvelle institution qui devrait faire fureur prochainement dans tout le royaume. On retrouvera très certainement dans les festivités mondaines quelques dérivés, mais le rustique de sa tradition marquera certainement un tournant décisif pour le Languedoc.
Note pour plus tard.
Penser à faire sceller un Arrêté OCcitan sur ce patrimoine, auquel cas, cette particularité du sud, avec le succès escompté, pourrait finir comme la recette d'un mets de Franche-Comté.
Trouver celle qui serait son adversaire d’un jour, pas facile lorsque l’on à que le prénom et déambuler parmi tout ce mo…

Merer de Narbonne s’il vous plait.

Son prénom, chanté, venait de devant lui, juste un peu plus loin, surélevé, sortie de la bouche d’une jeune femme qui visiblement tenait légèrement en équilibre sur une table. S’apprêtait-elle à descendre, la réponse se déhanchât devant lui.
Fallait bien commencer les hostilités et l'offensive se déroulerait certainement en une approche assez sympathique, combinée avec quelques questions existentielles dans la bonne humeur.
Le visage du Capitaine eut peine à présenter un sourire convenable à cette idée. La brune courtement vêtue s’étanchant une soif soudaine en meuglant, s’éloignait déjà hagard en direction de fûts entreposés non loin.
Le Blond n’aurait su expliquer comment elle avait réussi cet exploit, mais il est certain que l'instant suivant, la belle termina le front dans le cerclage d'une barrique.
Celle-là, ses dents du fond baignaient déjà. Ca lui jouait des tours et dans un murmure certainement audible, celui qui avançait vers elle, lâchât à lui-même avec un sourire franc devant cette situation...

Ca commence bien !
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Le jeune zieutait toujours autour de lui, le nombre de personnes réunies ne faisait qu'augmenter, il espérait que les deux arbitres avaient compter large pour les tonneaux car se mettre une cinquantaine d'ivrognes à dos pour manque de chopes n'était la chose la plus recommandable, et lui maintenant se sentait bien prêt à en vider plus d'un à lui seul !

Dans le bourdonnement du lieu, il s'intéressait déjà de loin aux fûts rapportés et détaillait les groupes de personnes, attendant d'y voir un autre carcassonnais.
Aussitôt pensé.. Il vit Rubein émergé en sa direction, le regard hésitant, Adamet lui sourit et lui fit signe de le rejoindre.

Bonjour Rubein ! J'vois bien qu'vous tenez parole, et.. dans l'état dans l'quel nous serons dans peu de temps, vous pouvez mettre le 'messer' d'côté, l'début ne d'vrait plus tarder.

En effet, c'étaient au tour des dernières arrivées, le jeune homme avait d'ailleurs reconnu une voix dans son dos, il se retourna et leva le bras pour attirer l'attention d'un grand "soiffard officiel" de la ville.

Thonolan ! Viens par là, rah faut s'préparer à tout gagner voyons !

Il tapa sur l'épaule de son ami, l'équipe se formait doucement, en retard certes mais hé, certains savaient se faire désirer.
Une nouvelle voix le fit chercher des yeux une 'pomme pomme girl', l'accent sur l'ordre, qui avait pris l'habitude de le faire se redresser quelle que soit la situation, ne laissait plus aucun doute sur elle.
Il aperçut Wena près d'eux, et non sans un large sourire enjoué vint la rejoindre en la serrant par surprise contre lui.

Jolie pomme, ne me dis pas que c'est un cri d'soutien ? Et aujourd'hui, c'est capitaine, s'il te plait..

Gardant une main dans son dos, il l'embrassa et l'attira près du nouveau groupe carcassonnais. Les rangs s'agrandissaient, bientôt arriva Michel qu'Ada salua d'un signe de tête, il fallait croire que Carca ne se laisserait sûrement pas battre facilement.
Il écouta les remarques de Kelak, tout commencera bientôt...
Au tour de sa soeur désormais de venir les retrouver, Adamet esquissa un sourire en la voyant.

J'en doutais pas, va ! J'espère qu't'es prête à leur montrer c'qu'on peut faire, et sans hoquet hein ?

Pas sûr qu'il lance des paris cette fois-ci, même s'il oublira toute précaution au bout de quelques verres.
L'équipe de soiffards était presque au complet, Aurélus lui avait assuré sa venue et celui-ci ferait bien de se dépêcher s'il ne voulait pas se faire tirer par ses douces oreilles jusqu'au concours.. Pas de nouvelles de Merg et le gong résonnait déjà.
Les chopes allaient être remplies !
Ada tenta de rassembler les carcassonnais présents, un manquait, Rubein ?
Le messer barbu était reparti en trombe près du stand, un léger doute ? Le jeune homme le rappela, le moment était à l'élaboration de stratégie !

Bien sur qu'oui Eleanore qu'j'suis là p'r boire. Même qu'Mot il m'a r'm'nné m'tonneau d'jus d'pomme qu'pique rien qu'p'r moi. C'mme ça j'risque pas d'rien boire à cause qu'j'aime pas l'bière.

Mais comme j'suis un g'til g'rçon j'en d'nn'rai 'ssi à mon 'd'versaire s'il en veut. Tiens d'illeurs c'qui mon 'dv'rsaire ?

Le gamin alla lire le panneau d'affichage avec les premier duel. Il lu, et relu le panneau plusieurs fois en s'appliquant avant de pousser un long soupir.

Oooooooooooooooooooooooooooooh non j'suis contre Arthurcano, c'd'mmage j'l'aime bien lui, et j'vais qu'même g'gner contre lui... Dit Kelak, j'peux pas ch'ger ?
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Au bout de quelques instants c'est un kelak tout plein de tache d'encre sur les doigts et le nez qui sorti d'une tente ou il s'était réfugier, dès sa sortie il fut interpellé par un barbu de carcassonne

Heu Mestre Rubein ??

Kelak regarda son parchemin

euh oui oui votre capitaine m'avait donné votre nom, vous etes bel et bien inscrits pas de souci

un habitant de la capitale arriva ensuite, à contre coeur Kelak lui répondit

Hum malheureusement pour le moment le souci principal c'est que je n'ai plus d'adversaire pour vous, donc si jamais un retardataire de l'est venait à arriver alors je pourrais vous inscrire tous les deux, sinon il vous faudra pour le moment vous contenter du rôle de mascote de l'équipe

kelak sourit

il parti ensuite affiché le programme des duels





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Eleanore scrutait les personnes à côtés d'elle, essayant de reconnaitre des têtes connues même si à vrai dire, en dehors des uzétiens, elle ne connaissait pas grand monde dans le Comté. C'est alors que retentit un joyeux "B'jour Eleanore !". Intriguée, elle se tourna dans la direction de la voix et reconnu l'gamin d'Alais, celui qui faisait de la luge à chèvre! Le sourire aux lèvres, elle s'approcha de lui.

B'jour Aeldred! Alors qu'est-ce qui t'amènes par là? Tu viens soutenir Alais?

A ce moment, elle revit la trentraine de chopes vides étalées devant lui.

Me dis pas que tu viens participer! Faut pas que t'oublies que ça sera pas du jus de pomme qui pique hein mais de l'authentique bière et peut-être même encore mieux : de la panturlà uzétienne!

Non loin de lui se trouvait le maire d'Alais.

B'jorn Motshow, alors z'avez réussi à recruter votre équipe?

A ce moment-là, un bruit étrange se fit entendre, il s'agissait d'un gong. Signifiait-il la fin des inscriptions?

J'avais couru tant que je pouvais pour arriver à l'heure à l inscriptin du fameux concours.
Un concours de levé de coude dont il me semblait qu'on en parlait davantage que les élections comtale.

Messire Kelak... reprenant mon souffle...messire...je viens pour completer l'équipe de la capitale...acceptez-moi...ne suis je pas trop en retard...

Summa s'approcha d'Actarius et lui glissa dans l'oreille, sans baisser la voix tant le Brouhaha est dense...

Je viens d'apercevoir Semrehymh, il a amené deux futs avec Lui, je suppose que c'est pour l'entraînement, mais dis moi est il inscrit au concours, il me semble ne pas avoir lu son nom ?
Si je ne me trompe pas on devrait pouvoir présenter deux équipes .
Est ce exact ?

Et, peut être devrions nous nous rapprocher de lui et de ses futs, rien que pour les protéger des envies qui pourraient naître...
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Ensemble pour Mende

Summa, Maire de Mende

Ah c'con't'nue !

B'jour Eleanore !
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Intensément motivée par les chants de Mounia, Mhayri repris en coeur en sautillant sur place.

"Pour Nîmes, pour ses habitants ! D'hier, d'aujourd'hui et de demain !

Dis, tu nous rechanteras la belle hymne de tout à l'heure, pendant les matchs ?"
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Les fruits de Nîmes, c'est bon pour c'que t'as !
Cap'taine de l'équipe des Soiffards de Nîmes.

Mounia arrivait à la traine aidant la vieille menina à marcher. Quelle idée aussi de garer la charrette si loin. Elle soupira et chercha des yeux le groupe de nimois. Elle aperçut vite son grand benêt de fils, accompagné de Mhayri, Topaze et de la jeune rouquine qui avait rejoint la charrette avec la vieille. Et tout ce beau monde entourait l'arbitre de ce match, son ami Kelak. Pressé de questions, le pauvre ne savait pas où donner de la tête. Elle le salua d'un petit geste de la main. Elle aurait bien le temps de lui taper la conversation plus tard.

Elle observa la foule présente. En voilà une belle renaissance pour le CLE!Et du monde avec ça!

Bon allez les nimois!On se regroupe!Tous!Même les supporters!

Bah oui, elle était venue supporter, elle supportait la blonde avec son gros ventre de femme enceinte. Elle avait déjà donné de la voix tout le long de la route, ce n'était pas pour s'arrêter en si bon chemin!

Bon rappelez vous!A Nimes, c'est ensemble que nous vivons, c'est ensemble que nous grandirons!Alors montrons leur que nous sommes des géants!Des nimois dans le sang et par la volonté de la boulasse!
Nous avons eu les soiffards les plus illustres de l'histoire du Languedoc: Julios, Jub, Morrigans, Polchtron!Faisons-leur honneur en cette journée!

Tout en parlant, la blonde bourgmestre s'échauffait et les esprits de ses champions avec elle. A tour de bras, elle distribua des choppes à tous, même à elle mais juste un fond hein?Elle leva alors sa choppe vers le ciel, invitation évidente à trinquer!

Pour Nimes!Pour ses habitants!D'hier, d'aujourd'hui et de demain!
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Je lui avais écrit, et je m'étais promis de le faire, c'est déguisée en " pomme pomme girl" que je déboule en gargotte. Verte la pomme, comme mes yeux.

Les émeraudes qui cherchent au milieu de la foule LE participant sur qui toute la populasse carcassonnaise a misé ses espoirs.
Celui qui vide les tonneaux des tavernes plus vite que son ombre
Celui qui plus d'une fois a perdu sa dignité en pariant sur le nombre de verres avant d'hipser
Celui qui, une fois beurré, est capable de TOUT, et surtout n'importe quoi
Celui qui a eu le COURAGE -oui il s'agit bien là de courage- de lire le panneau d'affichages de Carcassonne, celui où les gens se déchainent, en se donnant tous plus d'importance les uns que les autres, et où "miracle " les gens pensent beaucoup mais restent silencieux.
BREF, je le cherche, d'ailleurs s'il est là, il devrait réagir. Si d'autres se sentent visé, ils auraient qu'à venir vider la charette, tous les villageois se sont réunis, et y a des réserves.


GARDE A VOUS, SOLDAT !


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"Lorsque vous avez éliminé l'impossible, ce qui reste, si improbable soit-il, est nécessairement la vérité."

Ca y est, les uzétiens étaient au complet! Et fin prêt à tout écraser sur leur passage...enfin quelque chose dans le genre. Eleanore se faufila au milieu des dizaines de personne qu'elle ne connaissait pas pour rejoindre la troupe uzétienne. Elle leur adressa un sourire d'encouragement qui en fait s'adressait plus à elle-même qu'aux autres. Dans quoi s'était-elle une nouvelle fois lancée? Après la soule, vlà le concours de lever de coude et avec les même comparses.

Z'êtes prêt à tout dégommer j'espère? 'Fin, j'vous fais confiance.

Ouais bin ç'va j'vais faim j'm'gé le 2, j'l'ai r'mis v'là j'l'ai eu y'a 2 jours pas 'vant. S'non j'en ai 10 à mettre nan mais fr'ch'ment t'crois qu'j'bois mon t'nneau chaque jour p'r rien ?
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Le jeune flânait entre deux travails à travers la cité, passant devant le panneau d'affichage de la mairie, celui-ci se montrait pour une fois moins recouvert d'offres de recrutement, de rumeurs ou d'annonces plus ou moins officielles, un billet en particulier avait réussi à attirer son attention. Les lignes parcourues réveillaient maintenant un nouvel intérêt, on parlait de chopes, de concours et de boulasse, pas vraiment le genre de chose que son regard pouvait rater. La date du message avait déjà quelques jours mais rien n'était encore terminé !

Il alla faire un tour en gargote, la curiosité -et l'appel de cette boulasse- le poussant à en savoir plus, il passa en revue les villes représentées et vérifia leurs noms à plusieurs reprises. Y'avait comme un problème...
Personne n'avait même évoqué Carca ? Rien de rien ? C'pas possible... Prenant un air mi-étonné, mi-offusqué, il repartit, non comme un dératé mais presque, pour prévenir plus de monde autour de lui.
Il avait envoyé un pigeon à l'organisation de cet "inter-ville", fallait dire que son ego, aussi démesuré soit-il, de jeune soulard de comptoir carcassonnais venait de prendre un coup.
Décidé à réparer cette méprise, et pour que le mot "querelle" cesse d'être coller à la ville, ou du moins soit effacé par d'autres, comme 'repaire de la Sainte Boulasse', un exemple qui sonnait déjà mieux.

Le temps n'avait jamais été son fort, et c'était encore sur le tard qu'il trouvait les 'ivrognes' représentant Carca, mais il était toujours suffisamment remonté pour montrer à toute une masse de gens, qui le connaissait autant qu'Aristote personnellement, comment s'vidaient les tonneaux chez lui; pas'que fallait pas déconner avec ça non plus.

Tout sûr de lui derrière des pointes de prétention, Ada se pointa à ce qui constituait sans doute l'endroit actuel de prêche de la boulasse.

Hé Bonjour à tous ! Adamet, carcassonnais d'son état, et maint'nant défenseur d'sa ville jusqu'au dernier verre. J'devrais pas être le seul à m'ramener, j'sais que y'a du retard, mais hé, on vient relever le niveau ici !

La blonde se frappa le front.

"Je savais bien que j'avais oublié quelque chose ! Mila dieu !"

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Les fruits de Nîmes, c'est bon pour c'que t'as !
Cap'taine de l'équipe des Soiffards de Nîmes.

Motshow arriva, fier de ses récompenses avec un doute à élucider:

Kelak, si je comprend bien, j'ai droit à ce jour à 15+3 =18 pts à répartir sur 3 rangés de choppes, c'est bien ca?

C'est une choppe de plus pour chaque boulasse remportée? ^^
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3 mandats de tribun de 09/1449 à 12/1449 (croissance de 22%)
1 mandat de maire 01/1460 (croissance de 47%)

Et BlaBlaBla....Summa s'impatientait, mais que c'est long, pourquoi Mende la première à avoir réuni ses "troupes" devait elle attendre les traine savates des autres villes.
Ouai, c'est vrai qu'il y a peu ces traines savates sont venues l'aider, mais comme il n'y a pas eu réel combat, ça va maintenant, qu'ils se dépêchent un peu...
Et puis ce Kelak avec ses exemples douteux

L’idée même qu'un Lodèvois sache lever son coude est difficilement envisageable, mais en plus qu'ils remportent un duel contre les Mendois, là c'est d'un autre domaine, celui de "l'hérésie" peut être....

Bon alors, il commence quand ce concours, les Mendois attendent ?
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Ensemble pour Mende

Summa, Maire de Mende

Le Languedoc a revêtis son beau manteau blanc, soie fraîche, parfois troublée par un voile cotonneux et ce petit matin du sud hivernal garde sa petite subtilité méridionale, un soleil chaleureux.
Rhaaaaaaa, ça, faut avoir fait le tour du royaume pour se rendre compte qu’ailleurs, c’est pas pareil, mais alors….
Franchement, y à pas mieux que le Languedoc, mais ça les autres contrées peuvent pas comprendre....

Bref, prenant la direction de son moulin pour mettre en blanle la machinerie, le blond pointa le bout de son nez dehors et trouva sur le seuil un pli scellé qu’il décacheta rapidement, il attendait des nouvelles mais pas aussi rapidement et fût ravi de la lecture.

Ma doué bénéguet !

Une invitation.
Une ode à l’amitié transporter par les flots imbibés de vapeur alcoolisée…
Un miracle, une bénédiction, sans doute le chemin tracé vers ce que l’on pourrait appeler l’illumination d’une divinité.
La vie, celle qui nous fait avancer, nous faisant vivre les merveilleux moments qui s’offrent à nous, avec un parfum chatoyant.

Non en fait c’est juste un mot, quelques mots d’ailleurs, couchés sur un vélin en guise d’invitation.

Signé, Arthurcano.

Merer, revenu depuis peu en Languedoc, reprenait ses petites habitudes journalières de meunier avec l’extra en tant que Capitaine au sein de la modeste Seigneurie des Cordas. Planqué à obéir aux caprices de Castelreng, il n’attirait pas le regard sur ses petites affaires. C’était aussi bien ainsi, et comme peu de monde retenait son attention, il en était que plus protégé. C’est sans compter sur sa bien aimée, sœur de ce dernier qui lui apportait tout l’amour dont il avait besoin. Une bien belle famille avec toutes les ramifications qui gravitaient autour de ce cocon, fille, fils, maitresse en tout genre et amis. Quand à la cité dans laquelle ils avaient établis leur quartiers, le blond la chérissait tout autant. C’est pourquoi, avec la motivation qui le caractérise tant, le voilà prenant le chemin de Montpellier laissant de côté son travail.

Arrivé sur place, chaque ville évoluait autour d’une tente représentant les couleurs de cette dernière et tout naturellement, Merer se faufila jusqu'à la sienne.
Reconnaissant les têtes Narbonnaises, ils s’adressa à eu avec une sincérité manifeste sur un ton ironique.

Y- à du beau monde, hein, pis des têtes que l’on connaît, des amis en somme, hein….
Soit,
les loulous,
aujourd’hui,
c’est jours de fête,
alors y à plus de copains, les petites tapes sur l’épaule pour saluer, les p’tites pichnettes pour plaisanter, terminés, les vainqueurs seront les narbonnais, et vous savez pourquoi, parce que quand tout le monde sera bourré, que tout le monde sera couché et bien nous, narbonnais, boirons encore à leur santé !!!!
On à jamais rien gagner à part l’élection de miss Narbonne, organisé à Narbonne évidement, mais là, je crois bien qu’ils sont tomber sur un os, cette fêtes, ils l’auront dans la tête pour toujours…..d’une manière ou d’une autre mais pas forcément comme ils l’espéraient.

C’était lancé, Merer venait prendre la cuite de sa vie et pas question de se débiner. Ce début d’année marquait le début d’une nouvelle vie. Certaines horreurs étaient difficilement explicables et il est certain que profiter des meilleurs moments offerts, apportait convivialité et réconfort.
Terminer les pleurnicherie, puberté mise de côté, l’homme, le beau Capitaine blond comme certaines l’aimaient à l’appelées, le grand, le ….le Merer quoi, sombrait enfin du côté de la maturité et pour se faire, rien ne valait une virée entre potes aussi déglinguer que soit pour se déchirer la caboche en se noyant dans une beuverie d’innocent……..mais totalement gratuit… alors pour le dernier jour de cette puberté largement consommée….hein, on ferme pas les yeux innocemment, et on fonce.

Sacré loustique va !!!

Hopopope, par trop vite papillon, trouver une choppe, facile, il en à toujours une dans sa besace, donc, tirage de fond d’barrique pour s’assurer qu’il n’y aura pas de dépôt de fermentation, si tu commences par te caler l’estomac avec la lie, ça va vite pesé…normal qu’une petite dégustation s’impose…
Heuuu… manque un truc aussi…fallait pas oublier, gravé quelque part sur les parois de ce crâne pourtant….mmm….ha ben si, encore un détail, c’est pas l’tout de penser à son ventre mais si l’blond s’inscrit pas, la sauterie lui passe sous l’nez.

Aller, en piste….
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Kelak nota les derniers inscrits sourit de voir Dame Azelys si confortablement installé,

Arriva le fiston de Mounia

Je vous inscris de ce pas jeune homme, si vous avez la même descente que votre mère ca promet, Nîmes tiens là un précieux allié

Bon bon dernière ligne droite et dernière récapitulation


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Top souria au dire de Kelak elle aussi ravis de le revoir il était enfin temps de donné sa stratégie a son capitaine a d'aller s'ennivré jusqu'a la mort ....

La blonde vit arriver la charette nîmoise avec un grand sourire soulagé et heureux.

"Aaaah ! Mounia ! J'avais hâte que vous arriviez enfin. Tu vas bien ? Tu as fait bonne route ?"

Elle se tourna vers Firmin, qu'elle n'avait vu que de rares fois, mais qui à cet instant lui semblait un bon gars plein de promesses : après tout, n'avait-il pas accompagné sa mère pour lui faire honneur et porter haut le flambeau des soulards nîmois ? Un bon fils, sans aucun doute.

"Bonjorn Firmin ! Alors, on entre dans la cour des grands ? Avec les encouragements de Mounia, on est bons pour tout raffler !"

Ca lui allait bien de dire ça avec un tel applomb, elle qui sortait tout juste de l'enfance !
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Les fruits de Nîmes, c'est bon pour c'que t'as !
Cap'taine de l'équipe des Soiffards de Nîmes.

Rhadia venait tout juste d'apprendre l'organisation de ce fameux lever de coude inter-villes. S'il y avait bien un jeu où elle excellait particulièrement, c'était bien celui-là. Elle en avait pour preuve le titre ô combien honorifique qu'elle possédait, celui de "seigneur de la chope d'or". C'était d'ailleurs celui dont elle était la plus fière.

C'est donc avec la plus grande excitation qu'elle s'approcha du stand afin de s'y inscrire. Elle ne laisserait certainement pas cette beuverie comtale se faire sans elle puisqu'elle maîtrisait le lever de coude depuis toujours. Trinquer, boire, invoquer Sainte Boulasse et qui plus est à l'oeil, fallait qu'elle soit devenue folle pour s'abstenir.

Se penchant discrètement sur la liste des personnes déjà inscrites, elle esquissa un sourire en coin lorsqu'elle put y lire le nom de certains de ses amis uzétiens.
Que du bon, pas un doute là-dessus...

Bien le bonjour !

Pour ceux qui ne me connaissent pas encore, je suis Rhadia et je souhaite m'inscrire à ce concours de lever de coude !

Je représenterai la ville d'Uzès aux côtés de mes amis Eleonore, Enguerand et Eldearde et certainement Sylven !

Et je peux d'ores et déjà vous dire que question lever de coude, les Uzétiens savent y faire et que nous honorons chaque jour Sainte Boulasse !

Préparez-vous à vous prendre la plus sévère de toutes les défaites !

A ces mots, elle afficha un grand sourire, certaine qu'Uzès l'emporterait.
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Cette fois Kelak était complètement submergé, ca devenait impossible de répondre à tout un chacun mais Kelak essaya tant bien que mal de le faire tout de même

Salut Top, wouaw dis donc ca faisait une éternité… je suis bien heureux de te voir

Les biterois se firent de plus en plus nombreux

Heyyyy les soulhard ca fait plaisirs de vous voir, mais ce n’est pas parce que je fais partie de l’équipe de soule que je vais vous avantager hein !!! Enfin je ne pense pas que vous en ayez besoin. Vu les 3° mi-temps qu’on a fait… Super recrutement Hispa !!! on trinquera à l'absent du jour le brave Chrego

Kelak rit de ceux ou celle qui lui apportaient des preuves de leur communion avec la boulasse

Sinon dites aux Uzetiens que contrairement au stand EPL ici ils sont plus que bienvenue ici, Uzes n’est pas reconnu pour être un nid à pourriture mais bien pour être le berceau de la célebrissime Panturlà, et au passage que les uzetiens comme les autres pense à voter LLT^^

J’offre 5 chopines à l’uzetien qui me ramène vivant je précise, le vicomte de Rochefort

Bon bon bon Trève de plaisanterie que tout le monde m’écoute attentivement.

D’expérience je sais que ce qui tue le plus une animation c’est la longueur donc vu que nous approchons des 40 participants, j’ai besoin que les capitaines de chaque équipe assure leur rôle au mieux, je demanderai donc à chacun de vous de collecter aussi rapidement que possible les stratégies de vos poulains ainsi que leurs éventuelles preuves de passage de la boulasse.

Pour le tournoi en lui-même, vu le nombre, vu la disparité du nombre de participant et vu que des carcassonnais ont enfin prouvé qu’entre deux gueguerres intestinnes ils pouvaient s’amuser aussi, je me retrouve avec 9 villes.

Donc voici comment je vois le premier round de cette guerre de la boulasse, les 5 villes de l’ouest, que je nommerai « l’ouest Fol » affronteront les 4 villes de l’est, « l’est dingue »

Ca vous permettra dans un premier temps de créer des liens forts entre voisins avant de vous déchirer au prochain tour, l’idée sera de rediviser en 2 le groupe vainqueur en nord sud probablement.

Un repechage n’est pas éxclu, imaginons que l’est mette un raclé à l’ouest, sauf que les 5 Lodèvois remportent leur duel respectif face à des mendois médusé.

Enfin nous verrons bien, il reste aussi encore quelques jours avant la clôture des inscriptions mais pour prendre de l’avance et me permettre d’ensuite envoyer les trames des duels,

Capitaines ô capitaines récoltez au plus vite les stratégies.


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Ce matin, Anna avait un sacré mal de tronche, comme si des centaines de charettes lui avaient roulés dessus....la veille elle avait commencé à s'entrainer mais ste boulasse ne lui a rien apporté..hooooo la vilaine!!!!!
Sadi n'était toujours pas arrivé, il fallait à tout pris qu'il vienne, la reputaion de Beziers est en jeu nous sommes les meilleurs!!!!!
elle decida d'aller à sa rencontre.

oups la la la ma têteeeeeee!!!!

c'est d'un pas mal assuré et zigzagant qu'elle traversa la place et d'une voix empatée entonna un cantique demandant aux bitterois de reprendre avec elle

Notre Père qui êtes aux cieux,
Que la boisson soit bien fermentée,
Que la bière ne soit pas légère,
Que les tavernes restent ouvertes toute la nuit,
Que notre volonté soit faite à l'hôtel comme au bordel!
Donne-nous aujourd'hui une bouteille de rhum, une caisse de bière et un baril d'alcool,
Pardonne-nous nos trainées de "vomissures" comme nous pardonnons à ceux qui nous les font ramasser,
Ne nous soumet pas aux tests d'ivressomètre, aux tests d'urine, aux barrages de charettes et à notre partenaire enragé,
Mais délivre-nous des nausées,
Car c'est à toi qu'appartient le pouvoir de remplir notre verre, tout en nous donnant la force de le lever et de le vider,
Donne-nous aussi plus de jours de repos, tout en étant payé car parfois la pente est dure à remonter.
Amen!!!!

Certains sons ne trompent pas une oreille avertie.
C'est bien la bière, la boisson, la Boulasse que l'on célèbre ici !
Paquita qui traverse le comté pour aller rendre visite à son fillot se détourne de son chemin.
Elle s'approche une chope à la main.
Une assemblée joyeuse festoie et ce ne sont que cris et rires. Ce qui préside icelieu, c'est la joie.
Elle toussote, attend que quelques personnes s'écartent et elle s'avance.

Bien le jorn à vous. Je suis Paquita. Je viens de par là-bas.
Rapide coup de pouce derrière son dos.
Et pour ceux qui ne me connaitraient pas
Je suis tavernière de mon état.

Elle leur adresse un franc sourire et s'empresse d'ajouter

Oh ! ne vous alarmez point, je ne vous demanderai pas de participer... un silence amusé... C'est juste qu'à si noble festin du gosier, il me semble qu'il vous faut avant tout communier.

Et sans plus attendre, très concentrée, elle s'abime en une profonde prière.

Notre bière, qui êtes au frais...
Que ta choppe soit sanctifiée...
Que ta mousse soit appréciée...
Sur la table, comme au comptoir...
Donne nous ce jour d'hui,notre houblon quotidien...
Pardonne nous nos gueules de bois.....
Comme nous pardonnons aussi...
A ceux qui boivent de la tisane...
Soumets nous à la tentation...
Et délivre nous de la soif!
Vive la bière
Amère !

Elle lève haut sa chope à la santé des participants et se fond dans la foule.
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Motshow ne savait plus où donner de la tête avec toute cette foule ameutée pour célébrer la sainte boulasse de son ceour, il chercha Kelak et lui partagea bien vite un bon broc de mousse, pour se remettre de ses émotions

Heyyy Kelak, la bess, mon ami?
Bon ben on est complet pour Alais, vont venir Saliva, Abazigal, et même notre monseigneur Gragblod, qui tient bien à ce que notre houblon populaire soit béni.
Nous avons en voyage en ce moment qui vont se mordre les doigts à leur retour.
Les premiers arrivées seront les premier servis, n'est ce pas?


Motshow trinqua et siffla son broc d'une trait car il avait beaucoup parlé.
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Utilité publique:
Boulasseux depuis toujours
Boulanger de la filière BFP depuis 12/1947
3 mandats de tribun de 09/1449 à 12/1449 (croissance de 22%)
1 mandat de maire 01/1460 (croissance de 47%)

Anna vit arrivée Diamella, et alla la saluer contente de la retouver, se rememorant leurs mesaventures dans les bois

Heyyyy Diamella!!!! quelle joie de te revoir
salut Giga!!!

on va les derouiller hein!!!!!

vive Beziers!!!!! vive les biteroiiiiiiiiis !!!!!! vive sainte boulasseeeeeeeeeee

Anna etait impatience de commencer mais elle cherchait toujours Sadi
mais il fait quoi le bougre!!!!!


Sadiiiiiiiiii ramène tes fesses!!!!! où je vais te chercher!!!!!

Et a la blonde de rire de bon coeur au baiser de No...quelle lutte fratricide!!

On attendait plus que toi...Lodève était bien mal en point!

Un petit sourire taquin et un murmure..je me vengerai..plus tard
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Et comme il s'était entrainé assez copieusement pendant la présentation du programme de Languedoc Lève Toi!, Adrien Desage s'était naturellement inscrit également. Il escomptait aussi protéger sa promise de la vindicte soiffarde.

"Hem... Kelak, je suis désolé de rendre le concours sans intérêt... Tu peux m'inscrire dans l'équipe de Montpellier et ainsi nous remettre déjà la victoire.
Le réveil des vieilles légendes biterroises a sonné, mordious. Tiens aussi, je t'ai ramené du lait mon ami, pour t'éviter de t'effondrer trop vite devant moi..."

C'était un temps oublié, sans doute, que celui des soiffards de Béziers, celui de Russocarine, de Zaknafien et d'Adrien Desage, ce trio infernal qui avait asséché toutes les tavernes biterroises pendant de longs mois. Un temps où l'on chassait l'ours à dos de vache laitière, un temps où l'on portait les dames en faisant la course, un temps où le lever de coude était sport local, sous l'égide du comte LeGueux.
Adrien Desage depuis, était devenu Montpelliérain, mais la légende était toujours vivante, en sommeil.
Enfin, c'était ainsi qu'il s'immaginait la chose...
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Voilà Noëllie qui déboule comme... un boulet...

Hep ! Hep !!! Ivrogne numéro 5 présente !!!
Boit-sans-soif de Lodève nous sommes au complet !

En force, le cheveu en pétard, la lèvre retroussée... Hummm méfiance ou dégoût ! Que nenni !
Ce qui l'inquiète c'est l'après... Oui tout le monde sait les effets secondaires de la bière sur la charmante Lodèvoise.

Mais il n'y a que du beau monde ici !!! Arthur ! Lise, Evanne, ma Ruthy chérie ! Rack... Tiens Béziers est là aussi ! Bonjour Hispahan ! Il n'est pas là Xav ?

Un véritable ouragan... Et ça bisouille par ci... Et ça bisouille par là...

Dame Cebyss... Messieurs et Mesdames que je ne connais pas, je vous salue !

Elle se dirige vers l'organisateur de cette beuverie mémorable, en tortillant exagérément son joli popotin et elle lui pince le sien (oui.. en ce moment c'est son truc... méfiez vous !)

Ouuiiillllllle !
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Un sourire, un baiser et la vie est tellement plus belle !



http://monroyaumerenaissant.surinternet.com (en construction)

Lise ne savait plus où donner de la tête, des chopes partout, des prétendants au titre suprême qui affluaient de tout le Languedoc, pourtant une arrivée attira son attention et grandement même!
Une nouvelle Narbonnaise faisait son entrée et quelle Narbonnaise, Cebyss.
La blondinette la bisouilla avec un plaisir non dissimulé et fit un petit sourire taquin au vicomte.

Nous ne sommes peut être pas nombreux pour le moment, mais reconnaissez que notre équipe dispose de sérieux atouts...la qualité prime toujours sur la quantité non?

A ce que la jeune fille taquinait son colistier, mieux valait qu'elle ne s'écroule pas au premier tour ..sinon elle n'aurait pas finit d'en entendre parler....enfin, parait t-il que le danger ne doit pas effrayer et encore moins faire reculer...
Pour se donner du courage et accessoirement s'octroyer le petit bonus, Lise déposa le résultat de ses toutes dernières prières à Sainte Boulasse.

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Toujours d’aussi bonne humeur bien que se sentant parfois un peu dépassé Kelak continuait de noter les inscriptions

Heyyy cebounette, tu n’as pas honte de venir picoller à ce genre de concours, que va dire nounours ??

Kelak sourit ravi de voir son amie en ce lieu.

Il rit aux remarques d’Azelys, nota les inscriptions d’une uzetienne et d’une jolie biteroise

Non sans ressentir une certaine fierté kelak fit les comptes, 26 inscrit déjà !!! un record absolu pour une animation comtale sur les 26 derniers mois en tout cas. Et ce n’était probablement pas fini,

Ruthy dit la crevette arriva ensuite…

Héhé Rack t’as dis de venir, excellente chose, les affaires du comté ne sont pas assez prospères pour te laisser cass euh laver la vaisselle mais ce sera un plaisirs de concourir avec toi, dis un peu à No de se bouger le popotin, primo c’est bon pour ce qu’elle a, secundo ca ferait de Lodève la deuxième ville a affiché complet, on va quand même pas se laisser faire par ces buveurs de tisane.

Kelak observa encore une fois son tableau

Une idée germa dans son esprit tordu… il réarrangea son tableau… 4 villes à l’ouest, 4 ville à l’est… 13 participants de chaque coté… une idée à développer pour palier au souci lié à la disparité du nombre d’inscrit dans chaque ville.

Encore un peu tôt pour une décision définitive mais l’idée ferait son chemin dans l’esprit du gentil organisateur.





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Le garçon malgré son jeune âge tenait déjà plutôt bien à sa boulasse. Aussi, quand Motshow lui proposa de se joindre au concours du levé de coude, le garnement ne pu qu'accepter, à la seule condition qu'il dicta à Motshow ainsi :
Moi j'veux bien v'nir p'r t'der à 'voir l'm'lleur b'lasse d'langu'd'Doc, mais j'veux qu'ma bière soit r'placé par d'jus d'pomme qu'pique. 'c que l'bière c'pas bon, j'aime p'ça ! Beark !

Le morveux accompagna son geste d'une grimace de dégout des plus réussie.
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La blonde en avait plein les mirettes et ne savait plus où donner de la tête ! Des nobles et des humbles, et même la Contessa qu'on sortait !
Impressionnée, elle roula des yeux ébahis avant de se rappeler qu'elle aussi avait une mission importante à tenir. Elle s'inclina donc à qui mieux mieux avant de lancer de vive voix.

"J'ai le plaisir de vous annoncer que l'équipe des soulards Nîmois a déjà trois membres, mestra Lirok, messer Eliwood de Pherae et moi-même, ainsi qu'un soutien de choc en la personne de Mounia, notre mairesse adorée enceinte jusqu'au oreilles, qui viendra donner de la voix pour nous encourager."
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Les fruits de Nîmes, c'est bon pour c'que t'as !
Cap'taine de l'équipe des Soiffards de Nîmes.

Enguerrand, mon soiffard de compagnon, m'avait touché deux mots au sujet de cette grande beuverie comtale joyeusement organisée en gargote Languedocienne. Pour sûr, de tous les picoleurs uzétiens, j'étais de loin la moins assoiffée et ma capacité à vider les tonneaux faisait pâle figure face à celle de certains de mes camarades. Il faut dire que notre sympathique petit bourg comptait de très beaux spécimens de cuitards qui n'auraient malheureusement pas l'esprit suffisamment clair pour pouvoir se trainer jusqu'au lieu des réjouissances.
Qu'à cela ne tienne ! La réputation des fiers ivrognes d'Uzès était en jeu. Si j'étais certes piètre buveuse, mon chauvinisme lui, ne faisait pas défaut.
Je débarquai donc sur la grande place le pas assuré, la chemise assez ample pour contenir un estomac rempli de bière et la crinière soigneusement nouée afin d'éviter le cheveux traître dans la chope. Le Comté n'avait qu'à bien s'tenir.

Il y avait déjà foule. Chacun vantait ostensiblement les mérites de son patelin dans une ambiance bon enfant, au milieu des rires et des gentilles bravades. Les maîtres de la boulasse made in Languedoc étaient ainsi réunis, prêts à faire défiler les chopines. L'événement se révélait plein de promesses, plus désopilantes les unes que les autres.

Oyé braves gens, Uzès compte une nouvelle recrue, prenez garde, de lancer en bombant exagérément le torse, histoire de compenser ma taille de demi portion.

Le brunette arpentait la grand’place quand un joyeux attroupement attira son attention. Elle s’avança et aperçu l’affiche qu’elle avait déjà vu placardée à Narbonne… Concours de levée de coude… Une petite voix enivrée revint à son esprit à ce sujet… Osera… Osera pas… Cap… pas cap… Voilà des mots qu’il ne fallait pas dire à une petite brune entêtée. Elle s’approcha donc du « meneur » de la troupe, le bien nommé « pipelette » en chef… Kelak et déposa un baiser sur la joue de son ami… Osera donc…^^

Bonjour Kelak, bonjour tout le monde. Tu peux m’inscrire aux côtés de ta blondinette et de notre diacre adoré, il n’est pas dit que Narbonne se laissera battre comme ça !

Sur ces bonnes paroles, elle alla bisouiller les narbonnais et saluer les visages connus sur son passage, ainsi qu'un clin d'oeil à la "petite voix" qui l'avait titillé...

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Ah ! J'ai eu la langue trop vite pendue. Vous me donnez tort chère colistière, enfin à moitié, sourit-il en s'adressant à Lise. Bonne chance à vous aussi ! Et oui, chauvin à souhait, provocateur, mais pas là pour déclencher une guerre. Quelques Mendois étaient à présent réunis et le Vicomte s'empressa de faire amener quelques chopines, il leva la sienne à l'annonce de Kelak. A Mende !

Oui, mais... quelques choses ne jouait pas. Ils n'étaient pas encore au complet là les Mendois, d'autres les rejoindraient sans doute. Un assurément, deux, trois possiblement, quatre, cinq peut-être même. Kelak ! Tu vas un peu vite en besogne. Mende aura d'autres inscrits, pourront-ils nous rejoindre ? Faudra-t-il composer une autre équipe mendoise ?
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Kelak souriait en accueillant tous ces villegois piqué dans leur amour propre d'ivrogne, à que la susceptibilité pouvait avoir un beau pouvoir lorsqu'elle est bien utilisée, ni trop ni trop peu.

malgré l'immense plaisir de voir tant de monde, le visage de kelak s'assombrissait un peu, le stress de devoir arbitrer cela seul l'envahissait un peu, meme si il savait qu'il pourrrait compter sur 2-3 personnes pour l'aider

enfin les vannes que les uns et les autres s'envoyèrent eurent bien vite fait de dissiper l'anxiété du jeune homme.

il tenta de répondre à queques unes

Bien le bonjour Mestra Mhayri, pour le nombre je visais 5 participants par ville, cela sera confirmé quand nous y verons plus clair dans les inscritpions

il salut Dona Azelys et ne put s'empecher d'envoyer une vanne vers un habitant illustre de MP

Tiens il n'est pas venu avec vous le vendeur de tapis ?? c'est les soldes de Janvier ? il a trop de boulot

Kelak se bidona de la remarque du vicomte d'euphor concernant Narbonne il n'avait que trop raison...

il tenta encore de répondre à gauche à droite

Félicitions Mende qui est la première ville a afficher complet

pour mende Hip hip hip...

A tiens Actarius peux tu déjà collecter les stratégies des tes villageois

Kelak se tut et commenca à retranscire tout cela

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Motshow fit retentir son rire d'humilité, mi gaillard, mi étouffé, Il toussota, finit sa choppe, en servit une nouvelle à Lise et à lui même et trinqua

A mais point de blessure ne m'a jamais été provoqué par notre bonne boulasse.
Je ne me soigne que elle. Ce jour, je me réveille, et paniqué pensant que le soleil ne s'était pas levé, je constate bien vite que je me suis endormi sous une barque.
Que dire, aurai je oublier de m'en être recouvert?
Où le très haut m'aurai t'il encore récompensé?
Peu m'importe à vrai dire, l'important étant de ne pas comprendre par faute de troubles digestifs et de ses conséquences cérébrales.

Il trinqua à nouveau et finit d'un trait sa choppe
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Boulanger de la filière BFP depuis 12/1947
3 mandats de tribun de 09/1449 à 12/1449 (croissance de 22%)
1 mandat de maire 01/1460 (croissance de 47%)

Marieline s'approchant parlotte à sa fillotte... Et qui avoue s'échauffait ...

Et bien dis donc c'est comme ça qu'on s'occupe de la Douane, un verre un étranger, un verre un étranghipser... Ca doit être beau les chiffres...

Nous en reparlerons de cette manière de compter ...

Il hésitait entre se mettre à rire ou garder son sérieux mais le premier choix l'emporta...

Bon plutôt que je ne continue de dire des anneries... Lise, dis moi c'est bien beau de préparer le concours mais Marieline a raison faut s'entrainer avant... Tu sais si ton ... euh si Klakounet a préparé quelques tasses pour se requinquer ?

Parce qu'avec ce froid, cela pourrait nous réchauffer un peu...
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Roy mendois lui aussi arriva et cria :


Vive Mende! vive la sainte boulasse...hips... et bonne chance à tous!!


Sur ce il retourna s'entrainer...

Hé hé...les fossiles arrivaient, un barbu Lodévois et un vicomte gentillement provocateur...n'empêche qu'il piquait sacrement l'égo de la donzelle!
Que répondre devant l'évidence....allez un brin de mauvaise foi , qu'a cela ne tienne!
Et a la blonde de s'incliner outrageusement, amicalement.. bas...

Ah! Narbonne et sa plage, que de fûts, de merveilleuses nuitées passées a boire au diapason des flots de la grande bleue.

La blonde fit un sourire mutin au vicomte

D'où venez vous au fait? Mende???? Je n'en ai encore jamais entendu parlé..
Mais quoi qu'il en soit...pour le sport, pour l'amitié et la boulasse, je vous souhaite bonne chance!

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Et ce ne fut pas un Vicomte perdu par hasard qui débarqua pour en découdre dans cette compétition interville de lever de coude. Ce ne fut pas un Mendois isolé qu'on aurait lâché en pleine nature. Non, ce fut bel et bien une troupe mendoise qui arriva. Actarius, lui, ouvrait simplement la marche. Il était suivi de Marieline, la fière recrue de charme, de Coco, la cheffe de la milice mendoise non moins charmante, de Roy le redoutable et l'intrépide et non dépourvu de charme, mais là le Vicomte avait disons un regard plus neutre, puisque, avouons-le sans détour, il préférait les femmes et de Jan l'intarissable flamand, le gouffre à bière, le puits sans fond. Et donc l'Actarius, l'Euphorique Pair de France, qui avait réussi l'incroyable exploit de vider les trois quarts des tavernes de Mende en une nuit. Il avait pris une telle dérouillée dans sa quête de boulasse, qu'il avait dû lancer l'opération "tisanes pour Acta" dans l'espoir d'apaiser un peu son organisme qu'il ne pouvait nourrir depuis plusieurs jours.

A Paris, on le disait tempétueux, franc, râleur. En Languedoc, certains se souvenaient peut-être de sa réputation d'emporté, de passionné, de mauvaise fois et de Mendois jusqu'au bout des ongles de pied, que sa richesse lui permettait de faire entretenir - un des avantages de cette noblesse tant décriée. Bref, il avait toutes les qualités d'un emmerdeur patenté, d'un provocateur sans vergogne, d'un mauvais perdant aussi et il ne tarda pas à faire entendre que Mende était là.

Bonjour à toutes et tous et enchanté pour ceux que je connaîtrais pas. Mes parents m'ont baptisé Actarius, je suis Mendois et je viens vous mettre une déculotée avec mes compatriotes. J'ai entendu que Lodève allait gagner, que Nìmes, Montpellier, Uzès, voire Béziers avaient leur chance. Grogne bleu ! Il n'y en a que pour le sud du Languedoc dans ce comté. C'est oublier un peu vite qu'il y a une ville tout au nord, qu'on y rit, qu'on y boit sans doute plus que dans toutes vos villes réunies. Je mets au défi quiconque de nous battre. La bravade était lancée sur un ton provocateur, mais enjoué, on n'était après tout pas là pour faire la guerre, mais pour partager des chopines, se rencontrer et pourquoi pas gagner. Kelak mon ami, rajoute Mende à ta liste, tu peux y inscrire les noms de Marieline, Coco..., Roy, Jan_van_der_dorp et Actarius. Puis, encore plus provocateur. Il venait d'arriver, il n'avait donc pas entendu ni encore aperçu Lise. Il paraît que Narbonne ne disputera pas ce concours, ça ne m'étonne pas. Ils n'ont jamais su boire, il ne pense qu'à aller à la plage là-bas. Et paf! Puis, se tournant vers ses compatriotes, il murmura. Bon maintenant, il va falloir assurer.
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Une gouaille reconnaissable entre toute, un aplomb très Alaisien..un sourire sincère!

Mot!! Toi ici! Je me demandais si tu aurai la force de venir jusque nous...
J'espère que tu es plus en forme pour ce tournoi que pour notre petit....défi

Un petit clin d'oeil taquin de la blondinette.

Une chope entre amis avant qu'encore une fois tu ne t'inclines?
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Motshow arriva tel un troupeau de vache affolé dans un couloir d’hôpital, commença par s'assoir face au tonneau, histoire de se réhydrater un peu, pour compenser tant d’efforts. Poussa une bonne éructation boulasseuse et se présenta:

Ahhhhh, pas trop mauvaise cette mousse, ca ira.
Je suis Motshow du boulassoire d'Alais, collectionneur hors compétition de dons du très haut, en remerciement de mon grand dévouement boulasseux quotidiens.

Puis je néanmoins être accepté dans cette compétition?
Je tacherai de venir bourré pour vous donner un peu de chance
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Boulasseux depuis toujours
Boulanger de la filière BFP depuis 12/1947
3 mandats de tribun de 09/1449 à 12/1449 (croissance de 22%)
1 mandat de maire 01/1460 (croissance de 47%)

Une jeune femme déboule.

"Hey oh! Moi j'suis à Nimes mais j'veux participer pour Montpellier! C'est qui le chef d'équipe et est ce que c'est possible si on n'est pas sur le lieu?? J'voudrai bien voir çà Lodève gagner tiens! Z'avez d'lachance que je sois pas à Montpellier sinon des poivrots moi j'en connais plein! Et le secret du renard j'le connais aussi! "


La jeune femme rit.

Ballade matinale sur la gargote Languedocienne pour le jeune Enguerrand. Découverte de l'inconnu, si l'on veut, mais surtout une certaine curiosité du fait de l'agitation qui semblait agiter la place publique. Ce qui était amusant, c'était le décalage entre l'animation des villes et celles de la place. Quand les villes étaient calmes, la place s'animait. Quand cette dernière semblait morte, c'est que les villageois restaient en leurs murs, fêtant sans cesse quelque chose. En tous les cas, c'était ainsi à Uzès.

Un crieur retint l'attention du jeune paysan. Une histoire d'animation et de bière. Sourire aux lèvre, il s'approcha, intéressé par toute occasion de boire à l'oeil. Un concours de lever de coude entre villes?

Oula, j'vais aller prévenir les copaings, ça risque de rameuter du monde...

Hé, l'crieur! Inscrits déjà Uzès, on r'vient bien vite avec des barriques et des buveurs. Sortez vos meilleurs crus, on exige d'la qualité chez nous!

"AHA !"

Sur cette entrée triomphante, la blonde s'avança.

"Je croyais que ça ne commencerait jamais ! Figurez-vous que j'ai déjà lancé les recrutements à Nîmes, moi ! J'ai cru que vous aviez pris la CLE des champs, devant la défaite annoncée des Lodévois."

Sourire malicieux et regard pétillant de bonne humeur, la Saurèla s'approcha des boissons et en hûma le parfum.
"Mmh... Pas mal ! Ca ne vaut pas les tonneaux qu'on trouve par chez nous, mais ça ira.
Comment allez-vous, Messer Kelak ?"

Petit coup d'oeil aux chopines, à nouveau, avec un sourire d'envie.
"On peut s'échauffer ?"
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Les fruits de Nîmes, c'est bon pour c'que t'as !
Cap'taine de l'équipe des Soiffards de Nîmes.

La Rouge suivit des yeux la chopine lorsque le Chapeauté la vida d'une traite et salua ce geste d'un rire de gorge. Elle n'osait pas applaudir mais l'aurait fait volontiers si son accès à la bière n'en eut été compromis.

"Vous la trouvez mauvaise ? Moi j'lui trouve un bon goût d'liberté. J'vous parie qu'celle qu'ils vont tirer pour l'concours al'aura pas aussi bon goût !"

Elle accepta l'offrande en retour avec un sourire appréciateur et dégusta la bière, cette fois avec moins d'empressement : puisqu'elle ne serait pas dénoncée, plus rien ne pressait !
Les yeux mi-clos, elle but le breuvage à longues goulées avec une telle gourmandise que quelques gouttes s'échappèrent du coin de ses lèvres pour rouler jusque sur son menton.

Lorsqu'elle les rouvrit, elle croisa le regard du brun sur elle et haussa un sourcil amusé en constatant qu'il la détaillait.

Son vêtement avait surement dû connaître des jours meilleurs, mais elle avait trouvé le moyen de tricher avec une ample chemise d'homme, en la ceintrant d'une corde à sa taille, ce qui avait le double effet d'avantager sa poitrine et ses hanches et d'affiner sa taille. Ses jambes étaient couvertes jusqu'à mi-mollet d'une paire de braies élimées, qui lui remontaient au genoux et galbaient ses cuisses dans la position où elle se tenait actuellement. La Rousse n'était pas à proprement parler une femme maigre, mais elle n'était pas forte non plus. Ses mouvements et son allure laissaient plus à penser à un chat joueur qu'à une paysanne bien en chair ou une miséreuse affamée.

Elle laissa s'écouler quelques secondes, laissant le temps à Mordric de l'observer, mais également de savoir qu'elle l'y autorisait, avant de reprendre.

"Et pourquoi qu'vous voulez vous faire bien voir ?"

Son nez se mit à remuer légèrement tandis qu'elle adoptait une moue de dépit : voilà qui venait sérieusement écorner l'estime qu'elle commençait à lui porter. Mais peut-être avait-il une bonne raison ?
Aaaah, ces manies qu'ont les gens de se compliquer la vie !

Elle avait repris sa dégustation de bière et s'interrompit lorsqu'il parla, interloquée. Pour ne pas qu'on se mêle de ses affaires ?
Mais la suite du discours lui arracha un grognement approbateur suivit d'un sourire complice : lui aussi était un prédateur.

"V'z'avez l'art de vous compliquer la vie. Si vous voulez pas qu'on s'mêle de vos histoires, suffit qu'on v'z'y voit pas. Personne surveille Alissandre, parce qu'elle existe pas."

Elle porte à nouveau la chope à ses lèvres. Mauvaise surprise : elle est vide. Petit grondement déçu, avant de se resservir, puis de tendre la chope à son comparse.

"Par contre, va v'z'en falloir d'la belle réputation pour goûter la couche d'une grande dame. Et grande ou pas, où y trouve l'même apertrach* ! Une femme, c't'une femme."

Elle haussa les épaules avec nonchalance.
Visiblement, la Rousse ne considérait pas ses yeux noisettes, ses lèvres charnues et son corps délié comme un avantage quelconque, tout juste comme une enveloppe corporelle avec laquelle elle s'entendait naturellement bien. Elle avait le chic pour remettre toute l'humanité sur le même pied.
A son tour, elle le toisa de haut en bas, le détaillant sans faux semblants.

La Rousse ne bouda pas son plaisir et observa la bête avec un intérêt nettement moins neutre qu'elle ne voulait le laisser paraître.

Lorsqu'il s'exprima sur l'intérêt potentiel des dames de la haute, la jeune femme lui lança un regard pénétrant, comme si elle cherchait à mesurer ses motivations. Mais déjà, le brun s'était relevé et prenait congé sur une déclaration tellement saugrenue qu'elle éclata d'un rire très peu discret. Son équipe ? Elle n'avait pas d'équipe. Sa loyauté était bien trop chère à gagner. Tout au plus avait-elle trouvé un moyen de transport pratique jusqu'à la destination qu'elle s'était choisie, voilà tout.

Elle le laissa partir sans ajouter un mot, terminant sa chopine dans l'intimité retrouvée de sa cachette. Un léger hoquet vint ponctuer sa dégustation.

Coco qui déambulait au milieu de tous les candidats, n'avait pas encore aperçu son adversaire, le sieur Rackam de la Lergue.
Où se cachait il ?
Coco alla rejoindre Marieline pour s'échauffer avec elle, entre Mendoise, en attendant qu'il montre le bout de son nez.
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hou lala ... ça s'agite de tout côtés ! La "crevette" a repéré sur le tableau le nom de son adversaire ... mais comment le trouver parmi tout ces inconnus ... Roy de Mende ... bah elle est bien avancée avec ça ! Au grands maux les grands remèdes ... elle interpelle les gens ...

Excusez moi , vous seriez pas Roy de Mende ?

Roy de Mende vous connaissez ?

Pffff ....

Autant chercher une aiguille dans une botte de foin ! puis c'est bien la première fois qu'elle cherche un homme !

Vous auriez pas vu Roy de Mende ?

Oh et puis crotte ! Elle prend place à l'une des tables et attend ... il a qu'à la chercher lui ! ah beh tient elle a une idée ! Elle farfouille dans sa besace ... enfin dans une belle besace en cuir qu'elle a trouvée abandonnée ... parfait y a de quoi écrire ! Elle s'applique , bricole un peu et quelques instant après se passe une pancarte autour du cou avec écrit en grand

Si avec ça il l'a trouve pas !

Gigagil parcourt la foule, saluant les visages connus.
Il est surpris mais heureux de voir autant de Languedociens réunis pour s'amuser et surtout rencontrer leurs voisins des autres villes.
Par contre il n'a pas encore vu son adversaire et pire, il ne le connait pas !

Je cherche Le Firmin

olla , il y a des Nimois par ici ?
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http://gigagil.over-blog.com/

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[Arthurcano de Narbonede vs Aeldred de Alais]

Arthur lui avait ébouriffé les cheveux, et le morveux détestait qu'on lui ébouriffe les cheveux. D'une main il essaya de replaquer les tifs sur sa tête. Mais c'était peine perdue déjà...

Bon alors prêt le jeune ?

Un grognement de bouderie tout enfantine répondit à la question. Mais déjà l'arbitre donnait le signal du départ.

Le duel allait donc commencer, et le gamin boudait, euh non regardait ses choppes méticuleusement. Mais qu'était donc cette mousse sur son jus d'pomme qu'pique ?

Pendant ce temps, son adversaire buvait choppes sur choppes.

Hips alors jeunot on ne sait pas lever le coude ?

Le morveux n'était pas lui-même et ne s'apercevait pas de ce qui se passait face à lui. Il grogna derechef et se leva d'un bond jusqu'à la table de son chef d'équipe.

Moooooooooooooooot ils m'ont mis d'la bière ! J'veux d'jus d'pomme qu'pique !

Son ami s’arrangea prestement pour lui faire changer ses choppes pour sa boisson favorite. Le gamin pu donc retourner à sa place pour enfin commencer le duel.

Mais... mais... c'est là que le garçon vit qu'Arthur avait profité de ce temps pour avaler déjà 7 choppes !

Hey c'pas d'jeu ça ! T'rait pu m'ttendre qu'même ! 'fin bon c'pas grave. T'veux d'jus d'pomme qu'pique ? ou t'pr'fère ta bière ? c'que moi j'peux t'en d'nner s'tu veux.

Mais déjà le tournoi continuait, et la deuxième manche commençait. Le petit, avec tout son retard, et son goût pour le cidre, engloutit sans frémir et sans prendre une pause pas moins de 9 choppes d'une seule traite ! Face à ce "prodige", décontenancé, ou bien déjà moins enclin à la boisson, allez savoir, son adversaire n'avait lui ingurgité que 3 malheureuses choppes...

Bin 'lors ? t'bois d'jà plus ? t'pas très joueur qu'même.

Finalement, son retard du départ faisait bien les choses, si le morveux ingurgitait toutes ses choppes restant, il gagnait, il lui restait 7 choppes, et seules 6 malheureuses choppes restaient à son adversaire.

Prenant son temps, le garnement se mit en devoir de les terminer. Il avait pas tant fini l'une d'elle, qu'il la repoussait avec les autres bues, en choisissait une nouvelle, et commençait à s'en régaler. Dire qu'il ne voyait pas flou serait un mensonge. Mais toute choppe achetée ou offerte avait toujours été bue par ses soins, et celles ci avaient en plus le goût de la victoire qui s'ajoutait à celui délicat des pommes, des bulles et de l'alcool.

Ainsi, arriva la dernière chopine de cidre. Arthurcano avait quand à lui bien entamé sa réserve et semblait attendre de voir si le gamin terminerait ou non avant de se décider à terminer les siennes. La main du morveux saisi l'anse de la choppe. Celle ci s'éleva dans les airs jusqu'à la bouche qui s’apprêtait à recevoir le subtil liquide. C'est dans un long déglutissement que ce dernier passa de la bouche à l'estomac déjà bien rempli du garçon.

Gagnant, ivre, mais heureux, le gamin salua son adversaire de son rire effronté. Puis, il commanda d'autres verres, rien que pour le plaisir de les partager avec Arthur. Mais, la tête lui tournait déjà, et il serait bon qu'il trouve un coin ou se reposer un peu avant le prochain duel...
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Coco qui attendait toujours son adversaire, repéra une brunette qui cherchait " Roy de Mende "
Cela n'était pas vraiment pour lui plaire qu'une donzelle cherche après son Roy.
Coco la jaugea de loin avec son affiche

Hum, mignonne en plus, Coco espérait que cela ne déstabiliserait pas trop Roy.
La Mendoise fronça les sourcils lorsqu'elle vit Roy arriver, mieux valait ne pas trop s'éloigner...
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Tournoi comtal de levé de coudes sans représentants du Puy..impensable!
Le malheur et la dévastation s'étaient abattus sur cette magnifique ville, mais la grande culture boulasseuse des ponots ne devaient pas pour autant être oubliée!
Et ce grand rassemblement d'ivrognes en était une merveilleuse occasion.

Surnommée, Le Puy sans fond, et pas pour ses talents de brodeuse, la jeune fille se sentit tout de suite à l'aise dans cette gigantesque taverne improvisée, des cris, des godets qui se vidaient plus vite les uns que les autres...le décor était planté.
Seul ombre au tableau, la composition des équipes..pffff 2 participantes pour le Puy, qu'a cela ne tienne, les ponotes n'en seraient pas moins redoutables!

L' écluseuse chercha Morphée, sa compatriote du regard, saluant de ci de là, les personnes encore en état de la remarquer , attrappa une chopine bien vite descendue et se mit à la recherche de son adversaire.
Elle était prête à en découdre et surtout à piccoler, si un jour elle avait senti la terre trembler, son coude lui, ne l'avait encore jamais fait!

Je cherche Sadirien de Béziers! Où est ce qu'il se cache??

Roy tourna la tête et vit sa Coco a la table d'à côté. Lui non plus n'aimait pas voir sa belle attablée avec un autre homme. Cependant, c'était un jeu entre villes du languedoc afin d'unir, semble-t-il, le comté et tous ses habitants.

Il sourit a sa belle et lui souhaita bonne chance.

Il souhaita la même chose à son adversaire et regarde Ruthy de nouveau.

A vous damoiselle.

Coco sursauta lorsqu'elle entendit une voix l'appeler derrière elle.

Elle leva les yeux vers un grand barbu.

Bonsoir Messire, alors c'est vous mon adversaire ... Ravie de vous connaitre.

Laissant Roy faire le joli-coeur, Coco sourit à son adversaire qui venait de s'installer.
Elle s'assit en face de lui et contempla les choppes alignées.
Coco avala sa salive nerveusement, ça ne rigolait plus maintenant.
Elle prit une choppe et la vida lentement, sans quitter le barbu des yeux.

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Elle chercha partout des yeux ne voyant toujours pas Merguez elle entendit le gong retentir trop tard les inscriptions étaient finies et le concours allait commencer elle était déçue de pas le voir et soupira.
Elle se tourna vers Thonolan et dit:

Je suis heureuse de vous voir parmi nous au concours cela va nous permettre de nous soutenir mutuellement.

elle lui sourit puis, chercha son concourant mais ne sait pas à quoi il ressemblait elle décida donc de faire comme Thonolan et hurla le nom de son adversaire.

QUELQU'UN S'APPELLE SYLVEN D'UZES?

Elle entendit que son adversaire lui réponde.
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Trois jours de soulerie intense, trois jours de mal de tete insoutenable et seulement 5 petits ecus sous un rocher placé devant sa porte

27-01-2012 04:15 : Vous avez trouvé 5 écus sous un rocher !

Elle titubait, elle ne pouvait plus parler tant les hic et les hips se bousculaient à la sortie de sa bouche, son estomac avait des spasmes incontrolables.

Tiens toi droite!!! faut voir contre qui tu va relever le défi!!

Elle avança zigzaguant, essayant de suivre une ligne droite imaginaire

Tant bien que mal...surtout plus mal que bien, elle pu enfin lire le noms des duelistes

Elle lut et relu, les lignes étaient floues, elle suivait du doigt et presqu'en bas du parchemin

Topaze80 de Nimes

80 ? c'est son âge? ou il a un sacré vecu en descende de chopines ou alors il est affaibli, marche avec une canne et il sera vite mis hors circuit

Et je le reconnais comment moi Topaze!!!!

TOPAZE !!!!! TOPAZEEEEEEEEEE est demandé de toute urgence devant le panneau d'affichage TOOOOOOPAZEEEEEEEEEE !!!!!!!

Vous avez déjà vu une pomme grogner ? non? J'suis donc la première ?
Abandonnera... Bien sûr que non elle n'abandonnera pas, elle te bouffera des yeux, finira par tomber sous ton charme, et ...

Oui elle abandonn'ra...

Quand elle me verra grogner, non mais oh !
Tenant fermement la main du capitaine d'un soir, je slalome entre les tables mordillant ma lèvre inférieure d'envie en lorgnant sur les chopes, me ravise plusieurs fois avant d'en piquer une au passage.
Je sais, c'est mal, mais j'ai bien fait attention, je l'ai piqué à l'équipe adverse, l'pauvr' homme sera peut être accusé de tricherie et ...

Pas b'soin de ça pour gagner, je le sais aussi mais... Et la chope est reposée, saleté de conscience !

Une petite grimace aux cris du Soldat en plein dans son élément, j'aurais du m'inscrire, j'aurais du !!
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"Lorsque vous avez éliminé l'impossible, ce qui reste, si improbable soit-il, est nécessairement la vérité."

Il monta sur un fut et agita le fanion. Cela aurait le mérite de regrouper les Mendois, du moins l'espérait 'il. Cela indiquerait aussi aux adversaires qui cherchaient les Mendois où ils sont.

Les Mendois sont là oh he oh hey oh hey Les mendois sont là.

Il avait aperçu les deux tourtereaux qui semblaient avoir trouvé leurs adversaires respectifs.

Marieline était attablé et sirotait déjà. Sans doute s'échauffait-elle le gosier.

Summa était arrivé près de la Charette.

Sem avait pris le temps d'aller voir le panneau d'affichage des tirages des différents matchs. Confient dans l'équipe, cela ferait deux villes de moins dans la compétition en un seul tour.

Adriendesage était donc son adversaire.IL faudrait se méfier, le bougre avait la sagesse du grand age avec lui, et assurèrent l'expérience et le foie qui va avec.

D'un geste il fendit le dessus du tonneau avec sa hache, puis y trempa une chope.



Allez les Mendois, allez allez

Et voilà tout le monde était en place ou presque, plus que jamais la bière coulait à flot, comme dirait le barde...

Voici venu le temps des cathédrales...

euh non l'heure des combats sans merci, des duels sans pitié

Kelak qui y prenait gout frappa une fois encore sur le gong



le travail de Lise et Kelak allait commencer, il ne consisterait pas uniquement à finir les chopes des adversaires hors de combat, il faudrait aussi suivre de près tout ces duels histoires de savoir qui poursuivrait le tournoi et qui prendrait la route de la gloire...

Boulassiens, boulassiennes que le spectacle commence

entona joyeusement Kelak
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Hispahan (Béziers) - Mhayri (Nîmes)

[C'pas l'homme qui prend la bière... c'est la femme, nondidjou !]
(Tintintin !)*

La Nîmoise avait beau être blonde, elle était loin d'être idiote. En laissant trainer ses oreilles pour trouver son adversaire, elle avait fini par apprendre qu'il s'agissait d'une habitante de Béziers dont la descente n'avait rien à envier aux meilleurs buveurs du Languedoc.

La pression montait donc tandis qu'elle s'installa face à son adversaire. Elle lui sourit cordialement, tentant de la jauger et de mesurer ses chances de victoires.
Pas le temps de s'appesantir, déjà le gong sonnait : c'était l'heure de la bataille !

"Santat !" fit-elle en levant sa première chopine, dans un esprit fort sportif.

Mais alors qu'elle s'échauffait doucement en sirotant sa bière comme d'habitude, en taverne, son adversaire elle se les enfilait par deux ou trois !
Le temps qu'elle finisse sa chope, Hispahan en avait déjà ingurgité six.
Le temps de poser sa chope et de se frotter les yeux pour être sûre qu'elle voyait bien ce qu'elle voyait, et le score de son adversaire s'élevait déjà à huit.

La Nîmoise gromella quelque chose entre ses lèvres avant de demander qu'on lui apporte non pas une, mais huit chopes. Là, ca y est, elle était bien remontée, la Saurèla.
Relevant ses manches, elle se mit en devoir de non plus boire, mais littéralement éponger les chopines qu'on lui présentait. Peut-être son entrain fit-il forte impression car déjà son adversaire venait de diviser grandement sa cadence.
Mhayri en enfilait deux quand son adversaire peinait à en boire une. La tendance était inversée. Ainsi, la blonde nîmoise parvint à en boire sept contre trois pour son adversaire.

Les applaudissements et les encouragements lui vinrent de plus en plus diffus. Le monde commençait à prendre des contours féériques tandis qu'il lui venait une soudaine envie de rire et d'embrasser tout le monde. D'ailleurs, la brave femme qui lui apporta la tournée suivante failli y passer, et s'esquiva en levant les mains en l'air comme pour prendre le ciel à témoin de ce baiser presque volé. Mais Dieu, où allait-on ?!

"Mercè ! Je vous aime !" lança-t-elle à la ronde.
"Toi aussi, je t'aime" fit la blonde, un peu plus qu'émechée, à son voisin de table.

Mhayri regarda les chopines avec un sourire béat, n'essayant même plus de les compter. Elle était lancée, cette fois, et était parvenue à un état de grâce où l'enchaînement des mouvements "j'attrape, je plie, je vide, je déplie, je pose" était devenu presqu'instinctif.
Son adversaire tenta bien une remontée, mais une fois encore, Mhayri en buvait deux quand Hispahan n'en avalait plus qu'une. Le démarrage en trombe avait été trompeur, et lorsque la nîmoise déposa sa seizième chopine (soit la huitième de la troisième manche, que la boulasse soit louée !), son adversaire n'en avait pu boire que quatre.

La Nîmoise tenta bien de se redresser pour réclamer à boire, mais le monde décida à ce moment précis d'entrer dans une folle gigue qui la cloua pour un bon moment à sa chaise. N'ayant d'autre choix, la blonde en prit son parti et se mit à chanter d'une voix à peine fausse quelques chansons paillardes bien dignes de faire rougir un marin.

Dans ce cafarnaeum, elle n'entendit même pas lorsqu'on annonça sa victoire.


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Les fruits de Nîmes, c'est bon pour c'que t'as !
Cap'taine de l'équipe des Soiffards de Nîmes.

A peine arriver qu'on criait déjà son nom à gorge déployée. Il se faufila entre les tables et se posa près de son adversaire puis lui lança un regard désintéressé.

Quand vous voulez messire!

Et il s'installa tranquillement en attendant que son adversaire ouvre les hostilités.

[Ayena de Montpellier VS Marieline de Mende ]

Sa concurrente était une femme un chouya exubérante. Ne se laissant pas déstabiliser, Ayena resta muette un bon moment, pour finir par rire dans un mouvement irrépressible, sans doute du en grande partie à la boisson, mais plus encore à ce que racontait Marieline. En effet, cette dernière, qui s'enfilait choppe sur choppe sans un instant de trêve commença à délirer. Et alors qu'Ayena avait remporté la première manche avec fierté, lançant par la même occasion des regards vers les autres Montpellierains pour leur montrer que leur Cap' était vraiment trop forte, l'adversaire se mettait à rugir.

- Que je veux ! J'suis capitaine, si je tiens pas la route un minimum, je ne vaux plus rien !

Mais... Le délire continue et Ayena en reste bouche bée, oubliant de boire sa dernière chope... Lorsqu'elle s'en rend compte, elle tente de rattraper son retard mais... Renverse par inadvertance le si doux liquide brun. Deuxième manche remportée par Marieline.
Bon, rien n'est perdu. Égalité. Mais là, Ayena est en proie à la stupéfaction : cette femme, en face d'elle, ne tient pas du tout l'alcool ! Elle divague, arrange la foule... Et déstabilise totalement la Demoiselle qui en oublie de boire assez. Ou alors, elle a perdu le compte, hypothèse fort probable. Quoiqu'il en soit, d'Alquines perd aussi la troisième manche.
Elle jette alors un regard désolée à Marieline qui est partie pour dormir un long moment et souffle, désolée :

- Et dire que j'suis encore sobre, moi ! Faudrait que je prenne des cours de calcul...
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Héraldique

[Sylven d'Uzès contre Ange11 de Carcassonne]

On cria son nom au beau milieu de la foule. Faut dire qu'il y avait du monde et que retrouver son adversaire du jour dans tout ce foutoir était loin d'être évident.

Se mettant sur la pointe des pieds? Sylven tendit le bras le plus haut possible pour que la voix l'aperçoive. De là où il était il ne pouvait encore distinguer le visage de celle qui allait partager ce grand moment de beuverie.
Finalement, il la retrouva après avoir écrasé une bonne dizaine de pieds, bousculé quelques badauds encombrants, martyrisé quelques côtes avec le pommeau de son épée et ... après avoir pas mal râlé, mais ça, c'était pas vraiment nouveau.

La jeune dame qui allait l'affronter avait une chevelure flamboyante pour le moins surprenante. Il n'avait jamais vu de cheveux aussi rouge et se demanda tout net si ce n'était pas là un mauvais présage.
Qu'importe. Il la salua courtoisement avant de lui proposer une des tables prévues pour les duels.

Là, il retrouva le sourire aussitôt. La vue des chopes alignées débordant de mousse onctueuse et ourlées de fines goutelettes d'eau attestant de leur fraicheur lui mit instinctivement l'eau à la bouche. Mais il se rappela alors ce qu'il s'était promis d'adopter comme technique. Eh oui, il ne suffisait pas de savoir boire, il fallait aussi ruser et pour l'heure il avait décidé de tenter le tout pour le tout. Boire l'ensemble de ses chopes sur les deux derniers tours.

Confortablement installé à la table il se fendit d'un large sourire et lui désignant toutes ces merveilles remplies de nectar ambré, il lui dit.

A vous l'honneur chère Dame ou Damoiselle.

Il la laissa ainsi boire à sa guise, ce qu'elle ne manqua pas faire, et de fort belle manière d'ailleurs. Il se prit même à douter de ses capacités à reprendre ce retard volontairement concédé.
Mais le deuxième tour arriva et il s'empara prestement du premier récipient pour enchaîner au plus vite. Il avait par bonheur grand soif, ne s'étant accordé dans la matinée que quelques chopes histoire de ne pas perdre totalement l'entrainement.

Et hop, 8 chopes pour ce tour ci, c'était suffisant pour l'emporter. Mais il avait délibérément perdu le premier laissant son adversaire s'alcooliser tranquillement. Tout dépendait désormais de ce dernier et ultime tour.

La scrutant du coin de l'oeil il attendait le signal pour s'emparer à nouveau d'une chope. La jeune femme affichait un sourire qui paraissait assuré, mais en y regardant de plus près Sylven pouvait déceler une petite faille à la lueur de ses yeux. "C'est le moment de porter le coup de grâce mon gars" .. se dit il pour s'encourager.

Une , deux, trois, quatre chopes, puis une cinquième sans faiblir alors que la jeune femme semblait ne plus pouvoir avaler la moindre goutte. C'était bon signe mais il fallait confirmer et tenir jusqu'au bout. La sixième parut tout à coup plus forte, mais il ne lâcha pas prise, vidant sa septième et dernière chope sans même esquisser une grimace.

Tout en la reposant sur la table avec la satisfaction du devoir accompli, il repensa à ces moments mémorables en taverne, rivalisant avec sa belle et douce Rhadia dans des joutes épiques où la seule arme était le "tchin" que faisaient les chopes en se heurtant l'une à l'autre. Adversaire redoutable s'il en est que sa merveilleuse compagne, il n'aurait d'ailleurs pas aimé être à la place de son adversaire.

Il salua néanmoins celle qui lui faisait face, avec tous les honneurs dus à sa belle prestation, avant de lui déclarer.

Je ne vous propose pas d'aller trinquer à ma victoire ... quoique, si le coeur vous en dit, ce sera avec plaisir.
Mais si d'aventure vous passez par Uzès, n'hésitez pas, nous arroserons ça avec grand plaisir.

Sur quoi, il se leva et s'enquit de trouver la table où se trouvait sa belle. Etrangement, il sentit comme une certaine lourdeur dans ses déplacements. Mais cela ne l'inquiéta pas plus que les imperceptibles pertes d'équilibre dont il était sujet. Ce n'est que lorsqu'il se rendit compte qu'il tenait grande conversation avec le cheval du livreur de fûts, qu'il comprit qu'il était finalement ivre.
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Elle voit un messire bousculé la foule puis arriva jusqu'à elle, elle le salue poliment et laissa Thonolan puis suivi son adversaire a une table.

Elle regarda son adversaire qui ne but aucune choppe dès le départ était-ce une stratégie elle ne savait point mais elle avait si soif qu'elle but ses huit choppes d'une traite, puis vient le deuxième tour elle bue six choppes de plus mais son adversaire avala deux choppes de plus qu'elle, arrivé au troisième tour elle ne pu qu'en avaler deux et son adversaire avala sept choppes de plus, elle fut déçue d'avoir perdue son premier duel elle se dit tant pis la prochaine fois elle fera surement mieux.

Je vous remercie mais je n'irai pas jusqu'à Uzès mais merci de votre proposition et bonne chance pour la suite.

Elle se leva et alla rejoindre les autres un peu déçue de sa défaite.
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Rackam de Lodeve / Coco... de Mende

Il faut toujours se méfier des femmes ... surtout quand elles ont l'air douces et fragiles ... pour cela il n' y avait qu'a regarder la table d'a coté ...

Mais les choses sérieuses commençaient .... une ..deux ...trois ....

c'est qu'elle tiens le coup la petite rousse ... quatre ...cinq ...six ..... a quand même ...

le barbu s'enfile sa septième chope et emporte la première manche .....

mais ou elle mets tout ça ? ..... l'est pas bien épaisse pourtant ....

Le barbu regarde son adversaire du jour, a cette rousseur exactement la même couleur que Lola de Valence qui faisait les beaux jours de la "Porte Rouge" célèbre " maison" de Lodève ... tout a ses souvenirs le barbu se déconcentre jusqu'a ce que l'arbitre annonce :

deuxieme manche COCO de Mende ....

Arfff pas le moment de faiblir ..... une plantureuse a moustache viens refaire les niveaux ....

coup d'oeil a la table a coté ... a voir le sourire narquois de la " crevette" sur qu'elle l' a enfumé le Roy, mais je le comprends c'est qu'elle est plus rusée que le goupil et plus filou qu'un marchand oriental ....

allez on attaque ... une ..deux ... six ... a cette rousseur ... je vais quand même pas lui faire de peine ..déjà qu'il va falloir qu'elle console son ami ...

MATCH NUL .....

Bravo Dame Coco, vous fûtes un valeureux adversaire ....

Il la salue du feutre ... sans trébucher, mais sans trop se pencher non plus .... c'est que le temps ce gâte .... et d'abord ou sont les latrines ? bon un grand arbre fera l'affaire ........

Saliva d'Alais contre Jefflebarde de Narbonne

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Le gong retentissait enfin quand la jeune soldate d’Alais pointa son nez en trompette devant la carrure impressionnante du Jeff.
Elle se présenta à lui et souhaita bonne chance à qui sera le meilleur.
Jeff avait croisé un chat noir en chemin ; cet idiot de greffier avait surgit juste avant qu’il entre dans la place où avait lieu le concours.
Encore heureux que ce ne fut pas un lapin sinon la pauvre bestiole aurait finie embrochée, prête à passer sur le grill;
Namého ! Un marin a horreur des lapins, sauf dans son assiette !

Bonjour petite Saliva, que le meilleur gagne !

Pendant la première partie de l’épreuve, la drolesse lui faisait du gringue dit donc ; lui opinait du chef, du couvre-chef même, qu’il n’avait point daigner à retirer.
Elle le dévisageait, et pas seulement où c’est génant_ si vous voyez ce que je dire…
Finissant tranquilou sa septième chopes, Jeff la vit carrément porter son regard entre ses jambes, là même ou sa virilité s’exprimait sans un mot…Canédiu_ pensa Jeff, à quoi joue-t-elle, se dit-il…

Et vlan, le temps de se le dire, la drolesse se siffla une chopine de mieux que le bon jeffou.

Arf !

Enfin, il ria aux éclats alors qu’une amie qui passait par là se fit passer pour sa femme.

Ce n’est point ma femme Saliva ; je ne suis pas marié ! Uni à la plus belle sirène du comté oui, mais pas marié. Statilia sera ma femme quand je l'épouserai et j'y compte bien lui dire bientôt dailleur

Saliva, surprise par mon amie, n’eût pas le temps de s’en remettre que Jeff passa la seconde en engloutissant la première des sept pêchers mignons qu’on aligna devant lui pour la deuxième épreuve.
Il se retînt, par galanterie de lâcher le gros rôt qui s’annonçait et d’un air satisfait, harangua son adversaire : Une seule chope eu raison de Saliva ce coup-ci.

Alors petite, que dis-tu de ça ?

Surement vexée de s’être piéger elle aussi, Saliva inventa un stratagème, dont seul un marin pouvait tomber dedans.

On vole votre navire ! Lui cria-t-elle. Jeff se retourna, faillit aller de voir de près ce qu’il en était.
Mais, après avoir fait cinq pas, il se souvînt qu’il était venu à cheval.
Il rebroussa chemin. Trop tard, à son tour Saliva venait d’engloutir la tournée entière de bière et même plus.
Jeff perdait la troisième manche, celle qui sonnait la faim pour lui (oui, âpres une quinzaine de bière, Jeff a toujours faim et il éponge le liquide bu par tout ce qui peut passer à portée de bouche. Manche qui sonnait la fin et sa défaite par la même occasion.
Dans cette troisième manche, Jeff ne pu boire autant que la jeunette ; géné qu'il fut par l'idée d'un poil de chat sur sa langue.
Jeff implora le ciel :

Misère de misère ! Que va devenir le monde avec des drôlesses qui n’ont pas froid aux coudes !

Puis félicita malgré tout Saliva pour sa victoire :

Bravo donaila ! Tu iras loin toi !
Mais sans ce fichu lapin, non satané chat noir, ton compte était écrit d'avance.

Nan, laisse, trop long à expliquer...
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Le_Firmin de Nimes VS Gigagil de Béziers

Gigagil cherche toujours son homme,
où diantre est il donc ?
Lassé d'attendre Giga se présente à la buvette et se sert une tite chopine,
il rigole avec Kelak, regarde passer les Damoiselles, sourit béatement ...
et sans s'en rendre compte les chopes se suivent.

Ahh ohhh *hips* ohou il est le Mirfin, heuu Minrfi , nan zut FIRMIN ?

Alorreuhh firmin, faut pas rot prainer *hips* trop trainer, je prends de l'avance !

Giga fait signe à Kelak de lui mettre quelques chopines de coté et montre la cathédrale.

Mon bon Kelak, chi tu vois Firmin, dis lu*hips* de m'attendre,
j'en ai pas pour longtemps hé,
juste le temps d'aller promener le chien,
sinon ça va déborder !
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http://gigagil.over-blog.com/

Motshow, toujours un peu éméché, laissa le sir Aurelus prendre un peu d'avance en le scrutant attentivement enfilant ses 5 choppes, à la volé.
Motshow n'en pouvait plus, l'oeil perçant de son adversaire, et la ton satisfait de cette première victoire, fit remonter une bulle de jus de mirabelle du fin fond de son estomac, et prononçant son score, un son mélangé d'éructation et d'un zéro se fit retentir dans la cohue de ce festival de boulasse

Zéro..... oups, *hips*, pardonnez moi messir, zéro pour Alais, félicitation, vous marquez le point.

Motshow demanda alors à Lise de bien vouloir disposer les 2° rangés du match.
Sachant combien il allait se faire le plaisir à les ingurgiter, il pris ses fameuses pailles de maïs et les effila une a une dans les choppes, prit une grande aspiration, souffla profondément, et entrepris enfin de soulager sa patience qui commençait à devenir un supplice.
En un instant, les 7 choppes furent consommées.

Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh, ca fait du bien par où ca passe.
Santat messir Aurelus, grand bien vous fasse.

Motshow pris alors la mesure de son ventre et entendit un long gargouillis se propager dans ses intestins.



Lise, ma belle, voudrais tu bien nous mettre nos 3° rangés, je te pris, tu serais bien aimable, je te le rendrai au centuple. Pour ma part, je prendrai volontiers un peu de jus de pomme pour finir, je viens de découvrir une place dans mon vantribus que je ne connaissait point encore, j'aimerai le découvrir par le biais de notre doux jus locale qui pique. Vous me suivez Mestre Aurelus?

Les 2 compères, déjà pas mal éméché laissèrent Lise faire son oeuvre, et l'invitèrent joyeusement à partager 1 ou 2 choppes de constance boulasseuse.
Ils passèrent ainsi le reste de la soirée à finir le reste de la table, a rire, à chanter, et bras dessus, bras dessous, tentèrent de danser choppes en main bien sûr

Et pien, mon pon Auuuuurreeeeluuuussss, j'suis grandement content de te connaitre. *hips*. J'aurai passé une *hips* * blurp* , partoonn, excellente soirée en ta compagnie, caaaaaa faiittt pieennn plaisiir.
On remet ca quand tu veeeeeuuuxxx, hhhiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Motshow vida sa 9° choppe d'un trait, et retomba de tout son poid sur un banc ami lui offrant miraculeusement son assise.

OHhhh, bonseeeeer messiiiir le banc, * blurp*, vous êtes mon amiiiiiiii

Cet aveux affectif fut les dernières paroles du boulanger Alaisiens.
Il s’allongea de tout son long sur ce qui deviendra dans son rève, un beau canoë boulasseux , et caressant langoureusement son appui, s'éteignit progressivement[i]
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Utilité publique:
Boulasseux depuis toujours
Boulanger de la filière BFP depuis 12/1947
3 mandats de tribun de 09/1449 à 12/1449 (croissance de 22%)
1 mandat de maire 01/1460 (croissance de 47%)

Des cadavres, des ivrognes..bon soit, c' était ce qu'on leur demandait a ces fiers Languedociens..mais une douce voix parvint aux oreilles de l'indéflectible arbitre..

Ah Mot...la blondinette souria et se fit un point d'honneur d'aller les servir! Ne pas défier son comparse Alaisien resterait sans nul doute une grande frustration dans son existence!
La donzelle servit le jus de pomme qui pique aux duellistes, non sans oublier de s'en servir un bon godet, et solennement lança la fin des hostilités, en murmurant doucement a l'oreille de Motshow" Que Sainte Boulasse soit avec toi!"
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La blonde vit une bière apparaître comme par enchantement, escortée par un homme au sourire rendu flou par les seize bières qui dansaient dans l'estomac de la Saurèla et qui menaçaient à tout moment de la submerger.

Réduite au silence, il lui fallut deux bonnes minutes pour réaliser qu'on venait de lui apporter la bière qu'elle n'avait pu réclamer. Elle tendit donc la main, et se lança dans une opération périlleuse de pèche à la chope. Quand votre main est en totale désynchronisation avec votre cerveau, croyez-le ou non, c'est pas simple.

Lorsqu'au bout de maints efforts, elle parvint enfin à rejoindre la chope posée à quinze centimètres devant elle, elle se redressa pour adresser un sourire victorieux à... la place vide à côté d'elle, car son propriétaire était occupé à repeindre un tonneau.
Charmant.

La blonde fut prise de violentes nausées et s'enfuit brusquement en sens inverse, à la recherche d'un bosquet pas trop fréquenté.

Le tout sans lâcher sa précieuse chope, bien entendu !

Elle revint quelques minutes plus tard, nettement plus fraiche. Et pour cause puisqu'elle avait profité de son escapade pour se "rafraîchir" un peu, c'est-à-dire s'asperger copieusement d'eau - pourvu que ce soit vraiment de l'eau qu'il y avait dans cette bassine... mais l'odeur avait l'air d'indiquer que oui - au point que le haut de son vêtement en était tout rafraichi aussi.

Partiellement débarrassée de sa gueule de bois, elle se réinstalla à sa place avec un soupire de soulagement, puis observa son voisin en aussi piteux état qu'elle. Dans un fou rire irrésistible, elle attrapa une chope qui trainait là et la lui tendit.

"A la vostra santat !"*


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Les fruits de Nîmes, c'est bon pour c'que t'as !
Cap'taine de l'équipe des Soiffards de Nîmes.

Summa en était resté le cul par terre tant la féline l'avait surpris, quelle descente !
Il ne parlait ni de ses lignes parfaites, ni du vallon qui sépare ses deux charmantes collines plantées sur sa poitrine, ni du galbe enchanteur de ses jambes, non Summa n'en revenait pas de la descente vertigineuse du gosier de la belle.

Sans être le champion de Mende en la matière, la ville recelait de bien meilleur leveurs de coude que lui, il n'avait quand même pas la réputation d'un buveur de tisane.

Là, cependant force lui était de reconnaître que la "coquine" cachait bien son jeu et surtout l'avait bien eu...

Gent..Hips Gente ...hips Dame Azelys
Je m'étais très bien préparé à ce duel, mais voilà hips...je ne comprends pas...hips ! pardon ! hips !

Summa de mauvaise foi

Gente Dame Azelys, non je ne comprends pas ce qui s'est passé.
En toute logique, c'est vous qui devriez être la gisant les fesses sur le sol, je suis trop bon à ce genre d'exercice, pour être humilié de la sorte !

J'ignore le pourquoi, le comment, trop d'attente avant le début du concours sans doute, autre chose surement...
Premiers inscrits, premiers à avoir présenté une équipe complète, Mende méritait mieux que ça.
Jamais dernier pour goûter au doux breuvages servis dans les Tavernes Mendoises, moi le Maire de cette adorable ville, je ne pouvais, je ne devais pas perdre, jamais je ne me le serais imaginé...
Et cette histoire de bonus, un joueur pétri de "savoir jouer" ne devrait pas l'utiliser, question de principe....
Et puis je trouve que c'est encouragé les ivrognes au détriment de ceux qui travaille au lieu d'aller boire.

N'empêche qu'il avait bel et bien perdu et Summa devait l'admettre

Gente Dame Azelys, je reconnais ma défaite dans ce duel, je vous prie d'accepter mes félicitations...

Puis la tête lui faisant très mal, Summa songea préférable d'aller s'asseoir appuyé contre le fût de Sem et au milieu des Mendois
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Ensemble pour Mende

Summa, Maire de Mende

Mounia avait tenu à prévenir son fils contre Gigagil. Déjà bien entamé par la bière descendue sur la route, Firmin avait seulement retenu qu'il risquait d'être redoutable. Il avait donc pris le parti de le laisser un peu poireauter. Comme prévu, il le trouva à la buvette déjà bien amoché.

Firmin se présenta.

Mestre Gigagil c'est un honneur d'être votre adversaire!Ma mère, Mounia Land autrefois Desmarais, m'a prévenu que vous étiez redoutable en ce qui concerne la bière mais tant pis, je prend le risque!

Firmin, du haut de ses 17 ans, n'avait pas l'habitu
de de la peur ou même de la crainte. Il fit donc signe pour qu'on leur apporte leurs 15 choppes chacun.

Ils s'installèrent en face à face. Firmin respira calmement et attendit le top.
Au premier tour, il avala 5 choppes coup sur coup tandis que son adversaire trainassait. La tête lui tournait un peu mais sa jeunesse était de son côté. Il souria, nargant son adversaire.

Le deuxième tour sonna. Firmin fit de son mieux et avala à nouveau 6 choppes cul sec! Il sentait la nausée monter et respira un grand coup avant de compter le nombre de choppes bues par son adversaire. 7? Par Aristote, sa mère avait dit vrai!Le vieux était bon.

Le dernier tour arrivait. Il fallait que Firmin gagne pour l'honneur de Nimes!Il l'avait promis à sa mère! Et hop 4 choppes dans le gosier! Mais vl'a que l'autre s'en enfile 6!

Firmin est malade...Et en plus il a perdu cette manche.
"Ne jamais montrer sa défaite et encore moins sa déception"

Mestre Gigagil, je vous félicite!Votre tactique était bien meilleure que la mienne visiblement.

Bon sang, ce que la tête lui tournait...

La Rousse étouffa son fou rire dans sa chope.
L'arrivée du vieux schnok était le clou du spectacle, le coup de théatre inattendu qu'elle avait attendu.

Voilà l'arrivée de l'Eglise ! La bien pensante, la condamnante, l'irritante, l'indolante, l'insultante, l'impuissante Eglise dans toute sa splendeur. Le vieux détonnait puissamment au milieu de toute cette gaité et de tous ces gens ivres qui titubaient ou braillaient leur joie de vivre.

Et elle hésita : laisser libre cours à son envie presqu'irrésistible de répondre au vieux crouton ou laisser filer pour ne pas sortir de l'ombre ? Cruel dilemne, en vérité...
Rha, non, pas tant que ça finalement.

Elle se leva, s'épousseta tranquillement, et prit la parole de sa voix encore plus rauque que d'habitude, grâce à la quinzaine de bières qu'elle avait tranquillement sirotées depuis le début des festivités.

"J'trouve qu'vous avez une notion toute particulière d'l'amour de vot' prochain, vous. Insultes, menaces, condamnation... J'croyais qu'vous deviez prêcher la bonne parole et donner envie d'vous suivre, pas qu'vous deviez donner aux gens une raison d'plus de boire et d'vous fuir !
Ou c'est-y qu'vous avez fini tout l'vin d'messe et qu'vous êtes jaloux ? Y en a assez pour vous z'aut', si c'est c'qu'vous voulez, mon brave.

Et j'vous signale en passant qu'avec toute la bière qu'y z'y boivent ici, vos copains des abbayes doivent chanter nos louanges, à c't'heure.
Puis s'il pleut, au moins, ça nous f'ra un bain gratuit, offert par l'Très Haut. Que demander d'plus ?"

Elle baissa la voix, comme sur le ton de la confidence.

"V'savez, je s'rais vous, j'irais pas énerver une bande de Languedociens ivres... Enfin, c'vous qui voyez, hein...

Et dites, c'est la nouvelle mode, les peaux de bêtes chez les prêtres ? J'connaissais pas."

Sur quoi elle fit une profonde et ironique révérence, avec un dernier grognement moqueur, avant de se rasseoir contre un arbre. Elle était assez contente d'elle : son discours, quoique profondément ironique, n'était à ses yeux pas assez explicitement provocateur pour lui créer des ennuis. En principe.
Mais les principes et l'Eglise...
Elle sourit, intensément amusée : elle en avait vu de pires !

Merguez arrive trés éssouflé,

Je suis désolé pour le retard, je fait partie de l'equipe de Carcasonne, et comme je ne peu affronté d'autre adversaire je viens soutenirs mon équipe.

Se met a Chanté

Supportaire de Carcasonne,
C'est le moment de chanté,
Encouragons l'equipe aimer,
Avec nous elle va gagner...

Supportaire de Carcasonne,
C'est le moment de chanté,
Encouragons l'equipe aimer,
Avec nous elle va gagner...



Aller ma petite ange aller, ma petite ange aller moi je crois en toi et je sais que tu va gagner.
Aller ma petite ange aller , ma petite ange aller tu represente nos couleurs et tu dois t'imposer...[/b]
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La puissance n'est rien sans la maitrise

merguez23

Tout comme Lise, Kelak patrouillait entre les tables afin de vérifier que les défis se déroulaient convenablement, lui aussi était un peu triste de ne pas pouvoir défendre ses couleurs, mais en passant près de la crevette, il se rendit compte que Lodève était fièrement défendu, il fut malgré tout preuve de retenue en félicitant ruthy pour sa victoire,

il salua gigagil avant que celui-ci ne disparaissent pour se soulager

Une grosse moitié des duels étaient terminés, déjà lentement mais surement une victoire se dessinait, Kelak notait tout consciencieusement afin de pouvoir au plus vite poursuivre vers la demi finale.

Tout perdu dans ses pensées, il fut apostrophé par un vieillard bien peu sympathique.

Très rapidement une magnifique rouquine répondit au vieil homme, curieux kelak s’était occupé des inscriptions, si il avait inscris une telle donzelle il n’aurait pas manqué de lui poser tout un tas de question plus ou moins indiscrète pour en apprendre plus sur elle.

Était il possible que certains profite de l’événement uniquement pour boire à l’œil… il faudrait surveiller cela de plus près… enfin pour l’heure répondre à l’affreux

Hé Ho vieillard à défaut d’être joli tu pourrais être polis… Madame Parcimonie s’est fait la mâle du coup on a du se rabattre sur madame exagération pour trinquer avec…

quand aux vertus... tout ça, nous communions avec la sainte boulasse il n’y a rien de mal, d’ailleurs de nombreux éclésiastiques du comté et non des moindres nous accompagne…

et les buchers c'est une exclusivité Lodévoise d'abord !!


Kelak se tut et tenta de retrouver la rouquine clandestine, mais il l'avait déjà perdu de vue
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[Eldearde d'Uzès VS Micheldecarcassonne de Carcassonne (comme son nom l'indique...)]

Deos sait que je ne suis guère orgueilleuse. Componction et humilité, voila les vertus d'une jeune paysanne digne de ce nom. Toute arrogance est faute, toute prétention faiblesse. Pourtant l'audace de ce regard ne pouvait être tout bonnement ignoré : mon adversaire, provoquant, appelait à la confrontation. Ce fut donc avec honneur, et non vanité, que je relevai le menton, hautaine au possible, et que je pris place face à lui, avec toute la superbe que peut déployer une simple gueuse. Le concurrent dédaigneux semblait bien propre sur lui et, ô joie, n'aligna qu'une quinzaine de chopines sur la table de bois séparant les deux buveurs que nous étions : l'messér n'était donc pas un élu de la Sainte Boulasse, j'avais toutes mes chances.

Et d'me provoquer, l'insolent, l'inconscient.
Il était temps d'exhiber le savoir faire uzétien en matière de rafle de chopes. Retroussant les manches de ma large chemisette, je me saisis de ma première pinte et la levai à bout de bras dans un geste ostentatoire de victoire avant l'heure.
Huit.
Huit bocks dans l'pif, et ce sans laisser échapper un seul rot fort malvenu. L'élégance féminine mariée à l'efficacité languedocienne, un vrai travail de professionnelle. Cependant, l'effronté n'avait point encore avalé goutte et me lorgnait abruptement tout en commentant ma performance de sa voix hâbleuse. Vision passablement horripilante, d'autant plus lorsque brouillée par les vapeurs d'alcool.
Bien, l'piròl voulait jouer.

Mon verre [était] plein d'un vin trembleur comme une flamme* et il n'était point temps de faiblir. Défiant toute raison - qui n'avait certes pas sa place dans cette beuverie mémorable - je sifflai alors un nombre tout aussi important de chopines qu'au premier tour de notre défi. Bêtise ou courage ? Le résultat fut le même : un monstrueux haut le cœur, une main blanche soudain plaquée sur les lèvres et un irréparable forfait au dernier tour. La nausée m'épargna la rancœur : je saluai mon irrévérencieux rival d'un sourire sincère bien qu'un peu pâle et rejoignis mes compagnons de village chercher un peu d'une sobre tendresse.

Match nul, comme dirait l'autre.

La Rousse sursauta à peine, prise à défaut en pleines rêveries : un effet secondaire de son ivresse, qui émoussait sans doute un peu ses réflexes.

Repoussant d'un doigt le bord du chapeau, elle leva la tête avec un sourire moqueur pour tomber nez à nez avec un Chapeauté déchapeauté demi-trempé (triple salto carpé : 10 points !). Captivée, son sourire se figea quelques secondes avant de s'élargir, cette fois appréciateur. Les longs cheveux humides du brun dégoutaient doucement sur ses vêtements, et lui donnait un air encore plus sauvage qui n'était certes pas sans lui plaire.

La Rousse se redressa un peu pour guetter de l'autre côté de la charette, espérant que sa cachette ne soit pas éventée. D'un geste, elle lui intima de se baisser à son niveau et de se faire discret.
"T'vas m'faire repérer !"

Puis, glissant un nouveau regard sur le brun, nettement moins mordant que ses paroles, elle ajouta.
"T'vas continuer dans c't'état ? Faudra m'travailler l'endurance, meu polit*."

La Rousse eut un petit rire de gorge discret, laissant son regard parcourir de haut en bas le dé-Chapeauté.

"T'vois donc pas qu'mon endurance surpasse la tienne ?
Et pour c'qui est d'mes aut' capacités..."

Sourire carnassier, tandis qu'elle se redressait légèrement, à peine, juste pour le surplomber un peu et lui offrir une plongée inédite dans le col de sa chemise alors qu'elle se penchait vers lui, sous l'ombre du couvre-chef. Elle s'arrête à quelques centimètres de son visage, juste assez pour que leurs souffles alcoolisés se mêlent.

"On verra l'jour où tu s'ras en mesure d'les apprécier pleinement, meu gat*.
Certaines choses s'méritent."

Un nouveau rire; leurs nez se frôlèrent alors qu'elle lui rendait son chapeau et se relevait.
Elle-même avait dû se raisonner pour ne pas céder à l'impulsion, ici et maintenant, chose pas si aisée dans son état d'ébriété fort avancé. Mais son orgueil - et les relents de vomis dans l'haleine du re-Chapeauté - l'en avait dissuadée. Pour le moment.

Un jeune homme de bonne allure se présente enfin devant Gigagil.

Effectivement, le fils de Mounia ne peut avoir que fière tenue et franc sourire.
Giga le salue donc courtoisement.

Bonjorn Mestre Lefirmin, enchanté de vous connaître.
et bien puisque vous êtes prêt, buvons !

Puissamment échauffé par son attente Gigagil laisse Lefirmin descendre à toute vitesse une belle quantité de chopes,
il faut reconnaître que le gamin a un gosier en pente raide !

Mais Giga reprend son souffle tranquillement et lui concède le premier tour,
il se connait et sait bien qu'après son petit échauffement, il va pouvoir enfiler des demis douzaines de chopines sans faiblir.

Et effectivement, comme dit son Maître Entraineur de Soule, le Capitaine Chrego : Pour la Boulasse comme pour la Soulasse, ce qui compte c'est un bon entrainement à la buvette !

Le jeune homme faiblit en effet mais fait front.

Giga s'incline et félicite son adversaire.

Merci à vous Mestre Lefirmin, je dois reconnaître que votre premier tour m'a fait pâlir,
j'ai bien cru avoir soudain trop de retard sur vous.
Mais ce fut un plaisir de vous rencontrer et je vous prie de transmettre mes amitiés à votre mère,
j'aurai grand plaisir à vous revoir bientôt en sa compagnie.

Souriant et ravalant quelques *hips* tenaces Gigagil va voir les autres duels et encourager ses amis.
Il rencontre bien vite Sadi, assez déçu par sa défaite.

Oh mon ami, n'aies pas regret de t'incliner face à une Ponote, car c'est au Puy que j'ai perfectionné mon jeté de chopes, sans les Tokai, Richard, Bouzimir, Kamharley, Millshakeur ou Carnegie et autres bois-sans-soif, je tomberais encore après quelques chopes !

De toute façon, ce n'est que le premier match, j'espère bien qu'on en aura d'autres mordiou,
il y a encore foultitude de tonneaux à vider !

Poursuivant sa promenade Gigagil rencontre Mordric fort occupé à bailler galanteries aux donzelles.

Hé bien alors mon cher voyageur, vous rattrapez votre retard en connaissances languedociennes ?
Je vois avec joie que vous prenez plaisir à être de retour dans notre belle Province,
comment se passe vos duels ?
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Puisque la femme de dédaignait pas à commencé malgré la courtoisie et le départ annoncer, Rubein faisait signe d’amener les chopes au liquides enivrent. L’arbitre de circonstance ne trainait pas à la tâche et ramenait les quinze récipients à chacun, arme meurtrière qui allait faire des défunts.

Sur le qui-vive, prêt à bravé la soif inépuisable qu’il pensait pouvoir avoir, le barbu guettait le gong de départ qui retentit sans plus attendre !
Lancent sa main et capturait de ce peu rapidement une chope, bouche ouverte et lèvres accueillante, il se gavât de bière pour la première qu’il jaugea fini en peu de temps. Rubein ne se donna que peu de temps pour réitérer le geste avant de jeter un regard sur son adversaire qui semblait sereine dans l’habitude et les actes. Sa jeunesse et sa fougue, lui faisait croire qu’il devait accélérer le mouvement et enquillât la deuxième, un peu de liquide divin coulait le long de sa barbe qui ne semblait pas être habitué à cette souillure alcoolisée.

Rubien écarquillait les yeux quand il regarda les chopes vides de sa voisine d’en face qui en comptait déjà une de plus à son actif…
Un rot surgit, non contrôlé, son manque de savoir faire à ce fait ce montrait par une rougeur non dissimulable sur ses pommettes, et une pensé lui vint à l’esprit :

° Elle est rapide et tranquille la diablesse ! °

La troisième fut plus dure à engorgée, les remontés mousseuses due aux gorgée et flots ininterrompu de celle-ci. Le regard fixe sur la femme d’en face, charmante aux attribues non négligeable auquel aucun homme ne pourrait résister brouillait son esprit avec l’aide de l’alcool qui coulait dans son sang donc en lui.

Un sourire presque risiblement grotesque s’affichait sur son visage, savait-il encore ce qu’il faisait…

A la quatrième, comme un supplice déjà atteint d’un bourreau un peu trop presser de sa besogne qui lui est propre. Le temps ne lui permettait pas de vaciller malgré, bon gré que son corps en exprimait le désire avant de compter comme il pouvait les chopes vides adverses et de pensé presque à haute voix :

- Quoi cinq !

Doudiou, elle savait y faire la bougresse, pourtant elle commençait à donné des signes d’ivresse, mais elle tenait… Dans un effort à vouloir défendre l’honneur de sa ville, le brun s’accrochait d’une main à la table pendant que l’autre tenait la cinquième puis sixième chope, enchainait une à une tel un paysan et sa faux face à son champ et dans un regard fier, il la toisa avant de constater qu’elle tenait sa huitième chopes…
La douleur et un rire jaune eut raison de lui avait élan puis deux, avant de rendre sur le coté l’excès que son corps ne pu accepter… Le gong retentit…

Il avait perdu la première manche, et dans un élan de courage, il eut fait l’effort, non sans mal de lâcher quelques mots :

- Bien « hips » joué !

Fiévreux du rendu, il appréhendait la suite…

Après un temps assez court, le second coup de gong attendu et craint pour sa part, ne se fut pas attendre trop longtemps, un sourire presque débile de la femme mais sûrement ravit d’avoir ravir la première tournée au barbu était palpable.

L’alcool n’aide pas, il disait avant de prendre la première chope du second tour :

- Bordel, une gorge profonde ! « Hips » ! C’est le mari qui doit être comblé !

Mais il avait été présomptueux sur ça capacité à encaisser, et le second tour fut bouclé à sa troisième chope, s’accrochant à la table comme il pouvait, la renverse était là. Et dans un mouvement non contrôlé, il se laissait chavirer du banc de bois qui accueillait son séant.
Et sans même pouvoir faire quoi que ce soit, il tomba dos dans le vomit fraîchement rendu, il y a peu…

Elle finissait sa septième chope et le second coup annonçait la fin du second round.

L’homme qui avait et contrôlait la table vint voir le jeune coq pour s’enquérir de son état, mais le sourire aux lèvres et dans un élan de courage, il fin un signe comme quoi tout allait bien en murmurant quelques dires inaudibles :

- Ça ira, je tiens à finir la chose avant quel ne me finisse ! « hips »
Un rire presque groupé de la partie de foule qui suivait la partie en cour fut comme un élan de courage pour lui. Et dans un grand courage refit face à la démone qui savait qu’elle avait gagné le droit de continuer, le barbu fier s’écria :

- Je veux faire la troisième ! « Hips »

Il lui restait six chopes à finir, il était vaincu et la femme finissait sa dernière chope pendant que Rubein luttait pour ne serait-ce que l’amour et l’honneur de sa ville sa dernière. Impossible pour lui de tenir la dernière gorgée qui était comme devenu un poison. L’homme neutre était contant de lui annoncer sa victoire sur le dernier round, mais pour lui tout était vague, trouble, dans un effort il se leva et salua la femme bien plus tenace que lui :

- Vous êtes admirableeessssss ! « hips »

Dans un mouvement à peine contrôlé, il essayait de marché où ? Lui-même ne le savait pas…

Dans un grand plat, tel un plongeon dans un lac, il relâcha tout capacité à ce tenir debout et s’effondrer tel une loque humaine et de marmonné :

- Carcassonne, c’ptaine… Désolé…

C’est avec la bave aux lèvres qu’il se laissait aller vers les songes avec une poignée du marchant de sable.
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Il s'était relevé, et son sourire féroce était devenu le miroir du sien. Deux animaux de proie, deux chasseurs face à face... La Rousse savoura cet instant rare, gardant le silence pour demeurer maîtresse de cet échange.

Et il recula. Surprise, elle écarquilla légèrement les yeux avant de comprendre ses intentions.

"Cours ma belle..."
Non ... non, il n'allait tout de même pas...
"Mestre Kelak ! Je crois avoir trouvé une voleuse ! Venez vite !
- Merdàs *!" lança-t-elle, stupéfaite.

Avec un dernier regard brulant de promesses de revanches, un sourire aux lèvres, la Féline s'enfuit en courant, vive et agile, zigzagant entre les bosquets, les ivrognes et les tonneaux pour finalement disparaître dans un dernier éclair rougeoyant.