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[RP] Allégeances à la Duchesse Edwen - Cérémonie

Edwen
Les personnes manquantes étaient presques toutes venues, Edwen vit Bourgogne s'avancer vers elle, elle la salua respectueusement et hocha la tête à ses dires avant de lui répondre:

-Je suis prête.

Puis elle se dirigea vers le trône ducal, toujours avec Dame Arambour non loin d'elle , se récitant ce qu'elle devrait dire, dans quel ordre et surtout, comment faire.
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Programme de Votre Bourgogne (VB) : ici (cliquez)
Jehanne_elissa
Zut, zut, rezut ! Il fallait que le jour de la cérémonie d'allégeances à la Bourgogne, pour une fois que Jehanne n'était pas occupée à prier le Très Haut, Sainte Raphaelle et sa pauvre mère Marguerite, elle l'était à faire tous ses paquets pour son départ de Bourgogne. Retour en Languedoc, où elle avait bien des affaires à gérer...

Elle envoya donc le palefrenier de Malpertuis, dont on avait lavé les vêtements pour l'occasion, porter son pli solennel à la Duchesse de Bourgogne.

Il entra, timide, et chercha celle qui tenait un bâton bleu avec des lys, ou qui se trouvait non loin d'un tel bâton. On lui avait dit que ce serait elle qui recevrait le pli.


- « Dame, pardon... Voici l'allégeance de la Baronne de Malpertuis, al' n'a pu se déplacer... »

Citation:
De moi, Jehanne Elissa Raphaelle de Volpilhat, Baronne de Malpertuis en Bourgogne,

A vous, Edwen de Blanc-Combaz, Duchesse de Bourgogne,

Salut.

C'est avec bien du regret que je me vois une fois encore empêchée de me présenter en personne à la cérémonie d'allégeances du Languedoc ; et je prépare un voyage qui m'en éloignera pour encore quelques mois. Soyez pourtant assurée que mon allégeance à la Bourgogne est sincère, comme le furent mes prédécesseurs à Malpertuis.

Aussi je vous prête serment de fidélité, conseil et aide.

J'appose au bas du présent serment sceau pour lui donner pleine et entière valeur.

Malpertuis, le 26 janvier 1460,

Jehanne Elissa de Volpilhat


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Ingeburge
Hormis lorsqu'elle était partie s'amuser en Provence aux dépens des Provençaux, la duchesse d'Auxerre n'avait jamais manqué la moindre cérémonie d'allégeances et, il n'était pas dit que désormais débarrassée de la gestion directe de la marche héraldique bourguignonne – mais non pas de sa tutelle – et dispensée de serment pour cause de prestation anticipée – prévue dans la perspective de n'être peut-être pas débarrassée de –, elle serait absente lors de la cérémonie générale. Déjà, parce qu'elle était en Bourgogne et que présente sur le territoire du duché, elle mettait un point d'honneur à se déplacer chaque fois qu'elle était convoquée. Ensuite, parce qu'elle était sur le départ et qu'elle n'avait encore nulle idée de la date de son retour en Bourgogne et que côtoyer la noblesse qu'elle ne voyait plus guère pour cause de retrait prolongé du collège nobiliaire lui donnerait de quoi être comblée pour des semaines. Enfin, parce qu'il s'agissait d'une première pour le nouveau Bourgogne et parce qu'en tant qu'officier de tutelle mais aussi et surtout en tant que Roi d'Armes, elle était et serait toujours présente pour ses hérauts.

C'est pourquoi, peu après l'ouverture des portes de la salle du trône du Palais des ducs de Bourgogne, Montjoie fit son apparition dans la salle en question, enveloppée en ses voiles noirs et, voyant que la cérémonie, pour cause de duchesse dans le trône et de héraut à son pupitre, sur le point de débuter. Peu désireuse de déranger l'événement, elle longea l'un des murs pour arriver jusqu'à son but : le carré héraldique. De là, elle adressa un léger salut à la régnante et là, elle avisa la Demesquine, prête à tenir son office, nouveau signe de tête. Mais quelque chose n'allait pas. Les sourcils, de fait, se froncèrent légèrement. Dans un souffle :

— Je croyais que vous aviez compris que je serai présente, Bourgogne. Je ne puis néanmoins m'asseoir nulle part.
Parce que non, elle ne prendrait pas place parmi l'assistance. Et ce n'était pas la seule chose qui n'allait pas :
— La cotte d'armes héraldique est faite pour être portée.
Et oui.
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Arambour
Edwen fin prête sur son trône, la Démesquine allait annoncer le premier noble lorsque.... Ô Mon Dieu... une voix des plus connue se fit entendre à son oreille -elle n'avait pas fait attention au signe de tête précédent ces chuchotements, la cause : concentration extrême-. C'est alors qu'elle tourna lentement la tête pour découvrir donc le visage de la Duchesse d'Auxerre. Salut de circonstance et grimace retenue tout autant de circonstance. Oui, elle savait qu'elle viendrait, mais non, elle n'avait pas prévu qu'il faudrait lui réserver un fauteuil à côté du sien. Soit, le problème allait être réglé prestement après un enfilage pour le moins détestable de l'affreux tabard héraldique. Theudbald, ça lui allait bien à Theudbald, mais à elle... La cérémonie avait tout intérêt à se terminer rapidement, pour qu'elle puisse le retirer tout aussi rapidement.

Un fauteuil fut donc apporté par l'un des valets qui peuplaient la salle du trône après un geste de main de la Démesquine. Ce même fauteuil qui fut déposé non loin de celui de Bourgogne, dans le tip-top-génial-trop-bien carré héraldique. Elle se sentit presque obligée d'ajouter un :


-Je vous en pries, Montjoie.

Tout le monde semblait avoir trouvé sa place dorénavant, il ne restait plus qu'à donner le premier nom. Pourtant, une dernière chose survint : une lettre portée par un homme aux armes de Malpertuis. Un signe de tête de remerciement de la Manille, une lettre déposée dans un coin de son pupitre, et :

-Nobles bourguignons, j'annonce la Cérémonie d'Allégeances à Sa Grâce Edwen de Blanc-Combaz, onzième Duchesse de Bourgogne, ouverte. Que Sa Grâce Eusaias de Blanc-Combaz, pour la Vicomté de Digoine, s'avance.
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Jusoor
Retenue pour de sombres raisons à Macon, Jusoor avait loué un cheval et les services d'un jeune Maconnais pour se rendre au Chateau des Ducs de Dijon. Contre quelques écus, il avait pour simple consigne de remettre le pli qu'elle lui avait confié, au héraut en charge de la cérémonie. D'un pas hésitant celui-ci se dirigea vers la personne qui annonça l'ouverture de la cérémonie et attendit qu'elle finisse de s'exprimer pour lui remettre le vélin.

Citation:
Par la grâce d'Aristote,
Nous, Jusoor de Blanc-Combaz, humble Baronne d'Uchon en Bourgogne, Dame de la Guiche,

à Vous, Edwen de Blanc-Combaz, Duchesse de Bourgogne par la grâce des urnes,

Salut.

Par la présente, nous vous reconnaissons comme suzeraine, Edwen de Blanc-Combaz, Duchesse de Bourgogne.

Nous vous faisons promesse de respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium), par la qualité que vous confère votre règne, tout autant que celle de soeur.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Edwen de Blanc-Combaz, Duchesse de Bourgogne , notre suzeraine, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer.

Nous Jusoor de Blanc-Combaz, Baronne d'Uchon, Dame de la Guiche, a écrit et ratifié,

le 27 ème jour de janvier 1460
Qu'il en soit ainsi et heureusement.


Eusaias
Et à l'homme au faciès de rapace de se lever de son siège afin de se présenter devant sa parente et duchesse de Bourgogne. Sa voix rauque de vieux de vieux capitaine perça le silence :

Nous Eusaias Blanc Combaz, Duc de Bouillon, Comte du Lavedan, Vicomte de Digoine et de Bapaume, Baron de Desvre, Seigneur de Herlies et de Seuiri, pourfendeur d'incapables jurons à la couronne de Bourgogne, et à la tête qui l'a supporte, que les ennemis de la Bourgogne devront prendre garde car mon épée est au service de notre duché. Contre les opportunistes, les manipulateurs et tout autre tracas, je me montrerai "père sifflard" et je conseillerai donc notre parente et duchesse. Pour ma fidélité, la Bourgogne l'a acquise dès mon premier de vie en cette terre, même si j'en fais encore ce jour le serment.
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Saxaltesse
La Vicomtesse était toujours souffrante, elle fit parvenir au Chateau un vélin d'allégeance



Par la grâce d'Aristote,
nous,Saxaltesse, humble Vicomtesse de Ligny le Chatel en Bourgogne, ainsi que mon Epoux Saxotenor

à vous, Edwen de Blanc-Combaz, Duchesse de Bourgogne par la grâce des urnes,

salut.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Edwen de Blanc-Combaz, Duchesse de Bourgogne par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais, aide (auxilium) ,conseil (consilium)et respect (obsequium)…

Que si un conflit venait vous opposer vous, Edwen de Blanc-Combaz,Duchesse de Bourgogne , notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

nous Saxaltesse, humble Vicomtesse de Ligny le Chatel en Bourgogne, ainsi que mon Epoux Saxotenor ,a écrit et ratifié,

Date en l'enceinte de Ligny le 27 Janvier 1460

Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.




*** je viens de voir que ce Rp avait commencé... Heureusement que je suis passée par le forum... Merci, avant étaient fait des courrier IG également..
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Olivier1er
Comme a son habitude, le Baron fit son entrée dans la salle du trone. Non qu'il voulut etre discret, ni exuberant, mais fidele a lui meme. Sans en faire de trop, juste pour se faire remarqué.

Il s'avanca, saluat tous ceux qui était present avec chaleur empreint du respect dut a leur rang. Bien entendu il baisa la main de Montjoie par pur plaisir de la sentir humaine et de verifier si la calotte glaciere fondait..

Ensuite il s'installa dans une des chaires prevu pour la noblesse. Et il attendrait qu'on l'appela pour accomplir son devoir.

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Baron de Chatillon en Bazoys
Seigneur de Dennevy
Vaxilart
Le duc fut pris hors garde et fut forcé de se laisser étreindre par sa petite fillotte. À cet élan d’affection, il fut bien forcé de répondre par quelques petites tapes dans le dos – pas trop bas – se voulant affectueuse, mais comme à son habitude réservée. Il se disait que sa méfiance devait être due à l’âge, mais cela ne l’empêchait pas moins de croire que ses nombreuses absences savaient plaire à ses descendants… Au moins, il était fier, très fier, des accomplissements de ceux-ci. Et donc, tant pis pour l’orgueil, ils avaient su voler sans lui.

Il se laissa amener par Della, remerciant la grâce qu’elle lui faisait de ne point le questionner sur les causes de ses absences; la fierté l’aurait sans doute empêché d’avouer que les balades en coche ne lui était plus de tout repos.

Cela dit, il se permit de détourner légèrement sa fillote de son trajet afin de saluer le fidèle Wolfar.

-Baron, c’est un honneur et un immense plaisir encore une fois de vous croiser icelieu. Sachez que vous êtes probablement ce qui me manque le plus de ces soirées bourguignonnes et de ces multiples rencontres politiques auxquels nous avons pris part.
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Uruk
    Sortie bimensuelle oblige, c'est les allégeances. Une fois tout les deux mois on se fait beau, propre et presque gentillet pour l'occasion, le tout pour cinq minute de lumière et un retour dans une obscurité que l'on apprécie tant. Tout du moins, on en arrivait presque à une exception ce jour, car il était de coutume de quitter Beaune ou Bourbon-Lancy en tant que maladif seigneur pour laisser promesses et quelques germes nauséabond à la ducale suzeraine de Bourgogne. Mais les temps changent et le Prince était sans doute au plus haut de sa forme depuis des mois et il n'espérait que voir cet état de grâce durer encore un peu. Il prit donc la route, le beau teint rougeâtre, un sourire presque affiché, un vrai plaisir de côtoyer cette noblesse dont il avait plaisir à s'écarter.

    [...]

    Un temps plus tard, environ une bonne journée de route et une minutieuse escale du côté de son appartement dijonnais, il en était arrivé au palais des ducs bourguignons. Évidemment et comme c'était son habitude, il n'était pas le premier, peux être aura t-il la même chance que précédemment de n'être le dernier ? Il le verrait bien par la suite. Devant lui ça discutait, mieux ça prêtait déjà allégeances, il était donc arrivé juste à temps, c'est à dire assez tôt pour ne pas avoir manqué son devoir et assez tard pour devoir se farcir les salutations d'usages dans ce genre de cérémonies. De léger signes de têtes à droite et à gauche feront l'affaire en attendant d'être appelé à la bar... euh au devant du trône.

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Wolfar
Alors que le Baron patientait, comme le reste de la noblesse, il jeta un oeil à gauche et à droite histoire de voir qui serait là et qui ferait envoyer une lettre au héraut. Il vit alors le Duc de Saint-Frageau se diriger vers lui. Voilà un long moment que Wolfar ne l'avait vu. Il s'avanca vers lui.

Baron, c’est un honneur et un immense plaisir encore une fois de vous croiser icelieu. Sachez que vous êtes probablement ce qui me manque le plus de ces soirées bourguignonnes et de ces multiples rencontres politiques auxquels nous avons pris part.

Il baissa légèrement la tete en signe de respect.

Tout l'honneur est pour moi mon Suzerain. Vous vous faites trop rare mais je vous promets de vous rendre visite un de ces jours. Mais peut etre vous verai je avant à Cudot pour l'annoblissement de messire Lunkos.
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--Riccardo.


Quelle galère pour qu'on le laisse rentrer dans la salle du Trône!
Ces empotés de gardes ne l'avaient pas cru quand il s'était présenté comme
:

" Lé foutour Baron di Pourigord para la voulonté dé la Mififique Douchésse Charoulaissa , Angélyque dé la Mirandoule".

De trop longues minutes s'étaient écoulées, déjà il avait pu entendre quelques conversations étouffées provenir de l'intérieur. Sa patronne lui avait expréssement dit de ne plus revenir au château tant qu'il n'avait pas délivré la précieuse missive, et qu'en outre, il aurait une augmentation pour cela.

Dieu merci un bruit suspect avait attiré l'attention des gardes qui le bloquaient. Prenant son courage en main, le splendide valet et meilleur masseur du royaume, balança sa nouvelle cape rose par dessus son épaule dans un geste qui se voulait gracieux et s'avança en avant. Il entra enfin dans la salle où tronait la duchesse et agita la missive au dessus de sa tête
.

Passagé! Passagé!
Correo dé la gruesa Charolaaaiaiiiiiiiiise! La Mififique douchesse Angelyqua et fouture reina dé Fraaaaaaance!
Passagé! Passagé!

Correo para la duchesssssaaaa Edwenaaaaa! Correo! Correo para la augmentaciòn!!
Estoy Riccardo, el Magnifico valeto dé la Mirandoula!


Citation:


à Vous, Sa Grâce Edwen de Blanc Combaz, Duchesse de Bourgogne

Salutations.

Par la présente, Nous, Angelyque de la Mirandole reconnaissons comme suzeraine, Edwen de Blanc Combaz, Duchesse de Bourgogne par la grâce des urnes.

Que nous devons, Nous, Angelyque de la Mirandole, pour notre Duché du Charolais et notre Baronnie de Cruzy le Chastel,respect, aide et conseil à l'éternelle Bourgogne, à ses terres, à sa Couronne et à celle qui la porte, vous, la duchesse Edwen.

Que si un conflit venait opposer la Bourgogne à un tiers, nous jurons que nous prendrons cause pour la Bourgogne, et pour nulle autre.

Que nous soyions frappée par le Très Haut si un jour nous faillissons à notre serment.

Que cela soit su.

Fait à Dijon, le vingt sept janvier de l'an mil quatre cent soixante.







Edwen
La cérémonie avait commencée, les quelques bruits de fonds se faisaient de plus en plus rares, le premier à venir Bouillon. Plutôt rassurant pour une première fois, enfin, deuxième fois pour être précise.

Il n'y aurait nul baiser, il savait que la Duchesse n'aimait pas ça, aussi, elle salua Bouillon , écouta ses paroles avant de prononcer:


Eusaias Blanc Combaz, Duc de Bouillon, Comte du Lavedan, Vicomte de Digoine et de Bapaume, Baron de Desvre, Seigneur de Herlies et de Seuiri, en échange de votre serment que nous savons sincère, Nous, Edwen de Blanc Combaz, en notre qualité de Duchesse de Bourgogne , vous promettons protection, justice, et subsistance .

Rapide? certe mais quand on n'était pas habitué...Puis elle lui fit l'accolade Vassalique , le regardant , regard interrogatif , avait-elle bien fait? Puis elle se tourna vers Bourgogne, qui serait lui suivant?
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Programme de Votre Bourgogne (VB) : ici (cliquez)
Arambour
Sa pluma courra sur le vélin, un premier nom pouvait être rayé et pas des moindres. Le Duc de Bouillon était l'un de ceux qui prenait une immense place sur le vélin du nobiliaire bourguignon. Bourgogne avait pris soin de noter l'ordre d'arriver des nobles dans la salle afin de ne pas créer d'impairs le jour de sa première cérémonie d'allégeances, ça ferait désordre. Le regardant donc furtivement, elle appela un nouveau vassal de Bourgogne à se présenter par devant la Duchesse.

-Que la Baronne Della de la Mirandole d'Amahir-Euphor s'avance pour la baronnie de Seignelay, ainsi que pour les terres du Nivernais, de Chastellux, de Chablis & de Laignes, appartenant à Charlemagne Von Frayner. Ce dernier étant sous tutelle de la Baronne jusqu'à sa majorité.
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Della
Si Eusaias l'avait superbement ignorée, ce qui l'avait très fortement contrariée, au moins BonPapa était venu s'asseoir près d'elle, ce qui avait eu pour effet de lui rendre son sourire et sa bonne humeur. D'ailleurs, elle lui serrait bien fort la main, de peur qu'il ne décide de changer de place. Tiens, elle était un peu froide, la main de BonPapa...était-ce signe d'une santé déclinante ?

Mais voici que déjà le Rapace se levait et récitait les paroles sans cesse les mêmes.

Puis, après que la Duchesse eut renvoyé son parent, Dame Arambour l'appela.
Un regard sur BonPapa : "Je reviens, t'en vas pas" et voici que la Baronne se lève...toute belle, dans sa jolie robe dessinée sur un modèle de feue la BienAimée Béatrice et cousue avec soin par sa couturière personnelle, la dévouée Clarinha.



Elle s'avança jusque devant la Duchesse qu'elle salua d'une révérence bien comme il fallait.
Et se relevant alors :

Nous, Della de la Mirandole d'Amahir-Euphor, Baronne de Seignelay et de Montpipeau, Dame de Railly et de Bréméan, Tutrice légale de son Altesse le Prince Charlemagne Henri Lévan Von Frayner-Castelmaure, jurons à la Bourgogne, par devant sa Duchesse Edwen de Blanc-Combaz, fidélité, aide et service armé et conseil pour les terres du Nivernais, de Chastellux, de Chablis et de Laignes pour le Prince Charlemagne et celles de Seignelay, pour nous. Puisse le Très Haut bénir la Bourgogne.
Regard bleu posé sur la Duchesse, en attente de sa réponse.
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