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[RP] Bécassine contre le Lapin Rose

Saltarius
RP où vous êtes bienvenus pour venir perturber Saltarius si vous le voulez, mais Bécassine est dans un monde à part, tenez-en compte !!!merci ljd Salt


Lumière verte dans une échoppe de boucher à Saumur.

- Saltariussssssssssssssssss, je m'ennuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiyyyyyyyyyyyeuuuuuuuuuu !
-Hm?


Rien de nouveau sous l'soleil dans les vieux couples.
Au début, c'est toujours : oui, mon choupignon, comme tu voudras mon étoile du matin, mon canard adoré...
après quelques mois : fous-moi la paix, j'bosse !

Or Saltarius, dit le Saint, était occupé.
Il tirait la langue en dépiautant un lapin, le blanc, celui qu'il appelait Mauviette à cause de sa couleur. Il avait incisé les attaches des membres à la peau et

- Tchak
il ôta la peau comme on enlève sa camisole au pauv' bestiau qu'il avait élu pour entamer son étude approfondie de l'usage du lapin en cuisine.

- Saltounet, mon beau ?
- Chuis occuppé
- Tu fais quoi ?
- Un livre
-Mais non, tu massacres un lapin
- Nan, chfais une étude
- Mon oeil ....
- .....
- Tu boudes ?


Voilà bien les femmes ! Elles ramènent tout à l'amouûûûûûr , chabada, chabada
- Nan, j'travaille pour la Scienceu, sérieux

La voix ... en resta sans voix
- Pour la science? Le Simplet ?


Là, l'érudit de l'université auguste d'Anjou arrachait d'une main experte les boyaux de la bête et alla les jeter au chien asthmatique qui montait la garde dans la cour.
- Tiens ... Vent d'Est, mange mon chien

Puis il découpa du lard séché depuis quelques mois dans sa resserre, découpa des oignons, jeta le tout dans une casserole avec un flacon d'Anjou.

Il s'assit devant son bureau, se versa un verre , tailla sa plume, remplit l'encrier, soupira et commença à calligraphier péniblement




De More Culinariis Cuniculis
- De la cuisine des lapins -
Saltarius de Saint Bitu
Erudit angevin

en l'an aristotélicien 1460



Il regardait son oeuvre.... 'fin le début de son oeuvre avec satisfaction.
Puis la voix importune revint l'importuner :


- Yo Salt, t'avais promis de continuer ma vie...On attend toujours la Vita Becassina 2 - le retour... T'avais promiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis. Le Premier livre est épuisé.
- Ouais, moi aussi
- Pffffff, tu t'ennuies aussi, mais t'oses pas l'avouer
- Nan, j'travaille pour la science
- tu travailles à ta panse
- meuh non....
- Tu grossis, t'es plus l'beau bandit que j'aimais
- nan, chuis plus bandit, chuis rentier
- avec la panse qui traîne à terre
- mais c'est fini oui ?
- Nan, j'mennuie....Et puis ...


Saltarius se reversa un demi flacon et le savoura

- Salty chou, tu devrais te méfier des lapins ...
- La bonne blague ! zinventez n'importe quoi pour me distraire de mon oeuvre.
- Nan, j't'assure, sont dangereux, j'ai bien failli mourir à cause d'un lapin
- ben vous zetes morte
- t'es désagréable-
- chuis comme je veux
- même qu'il était rose
- un lapin rose ! sans rire ! et vous l'avez appelé Bleuet ?
- J'l'ai pas appelé, il est venu et ...
- Oui?
- Ah.... tu vois... tu y viens...
- nan j'ai b'soin d'une histoire pour m'endormir ...
- JE te raconte mais tu l'écriras...
- allez ouais
- si tu ne tiens pas ta promesse, tu verras, c'que tu verras
- Promis, juré, j'écoute, faudra pas m'réveiller si j'dors - Et pour la Vita Becassina .. t'peux toujours courir, j'ai mon oeuvre à finir

_________________
Letiti
Bouillon, encore bouillon toujours bouillon, le maje rêvait d'un bon gros steak. Il avait aussi un projet en cours, mais avant de satisfaire les appétits de l'esprit il fallait répondre aux appétits de l'estomac.
Aussi se retrouva t il devant l'échoppe de Saltarius, le simplet boucher. Abraxes jouait les petits soldats, ses cochons devaient avoir un gout de rouille, aussi ce choix lui sembla t il logique.

Il tambourina à la porte:


Simplet!
Conseiller à la manque!
J'veux un coq! J'veux des rillettes! J'veux du jambon!
Du boudin et des saucisses!
Du paté d'tete pour nourrir ma tête

J'te paierai en...


Légère pause.. le petit bonhomme réfléchit un quart de seconde:

J'te paierai en remplissant l'tienne d'tete!
T'auras l'honneur la chanc et l'privilège d'écrire le traité du Titi:

Citation:
"un Maje Spirituel et Spiritueux
Essai de philosophie et de Majie"


Magne toi l'derche! Ca caille! Ouais j'veux aussi des cailles mais plume les plutot que d'les peler, même si ca pèle.
Par contre me confond pas avec d'la volaille meme si j'ai la chaire de poule.

_________________
Saltarius
Vlà aut' chose !
Le maire ....
Aux abris !
Va encore me demander de travailler ! Le conseiller ! Sans blague !


Citation:
Conseiller à la manque!
J'veux un coq! J'veux des rillettes! J'veux du jambon!
Du boudin et des saucisses!
Du paté d'tete pour nourrir ma tête


Saltarius entr'ouvrit la porte, l'autre, l'excité-là qui avait dévasté son manoir, trépignait...
Citation:
Ouais j'veux aussi des cailles mais plume les plutot que d'les peler, même si ca pèle.
Par contre me confond pas avec d'la volaille meme si j'ai la chaire de poule.


- Entre donc, ta femme n'est pas là ?

C'est vrai, ce qu'il avait de bien le maje, c'était sa femme ! Saltarius se perdait souvent dans la contemplation des cheveux de Maître Linon, ses yeux n'étaient pas mal non plus ...Mais qu'est-ce qu'elle lui trouvait à l'aut'là ?

Salt poussa le pseudo philosophe dans une chaire
- assieds-toi là et tiens, bois et tais-toi !
Le problème c'est que pour faire taire un Titi, il faut le noyer.
- Faut que je bosse ! tu tombes mal...En plus, Bécassine ne me lâche pas non plus....comment j'vais faire ?
Bois




- Alors, il est cuit ?
- Qui ? Mauviette ?
- Nan ! le philosophe !
- Va-t-en savoir, il peut toujours sortir de son bouillon, ce diable
- ça me rappelle Gilles
- qui ?
- Gilles.. faut que je te raconte, il avait toujours de grandes casseroles dans son chateau
- pour les lapins ?
- ouaip, 'fin si on veut...
- racoooooooooooooonte
- minute, faut que je m'apprête
- allezzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz


Faut toujours qu'elle se fasse prier la sainte !
_________________
Letiti
Le Maje entra l'oeil suspicieux.

Non ma femme n'est pas la.
J'suis la pour éviter l'bouillon, alors pour manger autre chose sans y finir me suis pointé seul!


Heureusement l'autre sait bien comment accueillir. Le sens de l'hospitalité ca se devait d'être respecté et quand on vous offrait quelque chose il convenait d'y répondre avec politesse. Aussi le maje se fit il un devoir de vider chaque chope pleine qui se présentait, tentant d'expliquer entre deux lampée son projet:


T'vois c'te histoire de pompage
slllurp
Pasque l'trou d'la tet causer par l'activité sine qua non du mouvemetn alternatif perpétuel crée un vase d'expansion creu aspirant toute connaissance
glou glou glou
'peut donc l'combler par d'choses vraiemtn improtantes
t'pas quéqu'chose a grailler avec
la logique, la philosophie et la majie par exemple
Hips
et donc recensez totues ses idées novatrice et créatrice
burp
c't'important
hips
primordial!
Hips
In-dis-pen-sa-ble!


Le maje s'était à moitié levé le doigt en l'air avant de s'écrouler ivre sur la table.
On pouvait de temps en temps l'entendre marmonner:


Nonnn pas l'bouillon...
_________________
Chalva
Une échoppe, oh oui une échoppe.
Elle a le ventre en compote, elle a la dalle comme dirait les gueux et pas qu'eux en fait d'ailleurs.

Le pain ne la satisfait guère après tant de jours de marche. Le voyage fut long et bien ennuyant surtout. Sans compter qu'elle avait croisé un charmant groupe, qui oui de prime abord semblait charmant. Sauf qu'à un moment donné, elle s'était retrouvée tête en bas, pieds en l'air, des mains sur le fion, et sur les nichons. (Appréciez la rime quand même).

Pis pouf! Ces 500 écus disparus, envolés, surtout voler quoi. Le reste du voyage a pieds, et sans de quoi trop se nourrir. Alors ouais tant d'ampoules aux petons, ça méritait bien un bon repas.
Si seulement, il pouvait être moins onéreux que sur les marchés.

C'pas le tout, mais elle en avait un peu marre de devoir salir ses pauvres mains dans les champs des paysans.


- Non d'un fromage puant! Une enseigne!


Elle s'était mise à marcher d'un pas vif. Oui surtout que dehors faisait pas chaud non plus hein.
Elle ouvre la porte avec précipitation, pour tomber sur un type écroulé sur une table marmonnant pour finalement crier un "Indispensable". Et marmonner de nouveau.


- Té encore un gueux bourré!

Fais gaffe la belle, qui sait, va peut être te voler lui aussi?
Ah ben il aura pas grand chose, pis vu son état hein! Y'a pas de raison.


Elle regarde l'autre sieur.


- Dites vous avez quoi de bon à manger et de pas trop cher?

Oui vu sa tête, on pourrait penser qu'elle avait des thunes mais non, un point c'tout.

_________________
Saltarius
On n'est jamais tranquille, v'là une cliente qui me prends pour un banal boucher!
Une étrangère sans doute
...
Tout le monde sait à Saumur que Saltarius est gentilhomme, saint, simplet, érudit, conseiller du maire,voyant, bandit, soldat ou soiffard invétéré mais que c'est un boucher qui vend pas de viande comme tout l'monde.


Citation:
Dites vous avez quoi de bon à manger et de pas trop cher?

qu'elle dit l' p'tite dame au cul nu.

- Ben rien !
Zavez pas froid aux fesses ?

Il la plante là sur le paillasson et s'en va se rassoir à sa table de travail, plante sa plume dans l'encrier et commence son premier chapitre :



De more cuniculis sine culinaria
les moeurs des lapins non cuisinés


- Eh et moi ?
- Plus tard, vous voyez bien qu'ya du monde et que si j'vous cause, on va encore me prendre pour un fou, me faire rôtir par l'Inquisition, que sais-je ?
- C'est qui cette gonze ?
- Sais pas, connais pas
- Je vais la chasser
- Ouaip, 'ssayez toujours
- Dehors la morue, sinon j'te botte le train

Rien ne se passe, la jeune demoiselle semble attendre qu'on lui parle, mais le Titi pionce dans le fauteuil et Saltarius est à son écritoire.
Il rigole

- Zêtes morte Bécassine, combien de fois dois-je vous l'dire, ya que moi qui vous vois !
- Même pas vrai ! chuis Sainte, chuis toujours jamais morte
- pitêtre mais ya que moi qui vous vois
- Même pas vrai non plus..la Calyce, elle est venue te dire qu'elle m'avait vue
- L'est complètement folle aussi celle-là
- Et toi donc ?
- Moi chuis pas fou, chuis Simple, Saint Plet
- Bon . ET ma vita Bécassina ?
- Plus tard chvous dis
- Tudieu SIMPLETTTTTT
- Aïeuuuuuuuuuuuuuu,


Saltarius se bouche les oreilles
- mes oreilles ! Vous avez une de ces voix désagréables quand vous criez
- écoute et écris
- Euh vous préférez pas attendre qu'on soit seuls
- NAn ! Marre d'attendre ton bon vouloir et qu'taie le temps et tout et tout ... vous là dans la R'naissance zavez plus le temps pour rien, c't'un monde ça ! Prends un nouveau Vélin et écris :

Vita Bécassina Due

et puis je dicte et tu notes, chte jure que si tu ne le fais pas, je viendrai totues les nuits habiter tes cauchemards et je te pourirai la vie

- c'est du joli pour une sainte
- c'est comme ça, des années maintenant que tu me fais poireauter, tu m'dois bien ça
- j'vous dois rien du tout
- tu crois ça, tu crois que tu serais aussi célèbre sans moi ? t'es qui toi ?
- moi ?

Saltarius fait un examen de conscience,- si, si, il peut le faire : qui suis-je, où vais-je ?, dans quel état j'erre ? toussa -
il regarde en lui et vois .... ben rien ou pas grand chose.
Il chope la cruche de vin, va voir son lapin qui marine

- ça va le gars de la marine ? j't'appellerai : mauviette nautique.Santé
il reverse un peu de vin dans la casserole et vide le reste d'un coup pour oublier.
Quoi ?
Ben, tout : ce rien dans lui -même, ce trop dans son échoppe, cette garce de Bécassine qui ne se laisse pas oublier ...
Il soupire , se rassied à sa table et écrit soigneusement :



Vita Bécassina - due
C'était il y a fort longtemps, vivaient alors des monstres sanguinaires, des hommes puissants, des femmes légères et des saintes sans scrupules.


-Pff, c'est nul comme commencement .... ET pis c'est toujours vrai
- Zêtes jamais contente, j'ai commencé là ...Maintenant faut raconter que je puisse continuer.


_________________
--Bcassine
Pour ceux qui ne le savant pas encore, Bécassine est une sainte, elle n'est visible que par Saltarius, elle revient ici en pnj pour simplifier et ne pas enfiler les récits enchâssés dans des récits enchâssés....Bref personne ne peut vraiment interagir avec elle


-

- Alôôôôôôôrs, ça y est tu t'décides ?

elle regarde au dessus de l'épaule de Saltarius

- Ouais, bon, à part ta sortie sur les saintes... c'est comme ça que ça commence : dans ces temps-là vivaient des monstres, et comme je te l'ai déjà raconté, j'en avais croisé deux beaux dans mon pays d'origine*.

Je vivais en Orléans, la bourse que m'avait donnée le comte Dracullen m'avait mise à l'abri de la pauvreté. J'avais acheté un commerce de vin -
Ben ouais, j'y avais pris goût -
Les Orléanais, comme chacun sait, sont atteint d'une grave maladie,( je me suis laissé dire que ça ne s'améliorait pas) : ils sont gentils ...
'fin gentils entre eux, ils n'aiment pas les rieurs, les bons vivants, les braves brigands, les aristoté bizarres, les grandes gueules et les gens mal élevés.
- Je ne sais d'ailleurs pas pourquoi ils ont voulu te garder si longtemps, ils manquent complètement d'humour. -
Ils sont horriblement bien élevés, pas comme en Anjou !

Bref, je m'ennuyais comme un rat mort à MortLéans.

Mon commerce de vins, évidemment, devait me permettre de participer aux fêtes. Quelles fêtes!
Tout n'était que chansons courtoises, canotage sur la Loire et concours de Miss...

Bécassine soupire en levant les yeux au ciel

- les concours de Miss...Tu sais ce que c'est Saltounet ? Ca t'aurait plu chuis sûre. J'en aurais presque fini par regretter mon Clafouttis-les- Bécasses natal... Ari sait pourtant que je n'y fus point heureuse...

Bécassine se dirige vers la chambre de Salt où se trouve le bout de verre miroir qu'il avait volé à un marchand vénitien.


* voir vita becassina - le livre comtois
--Zerozerohuit


-Waw ! saluuuuuuuuuuut ma belle, bienvenue à Gien où il n'y a que des gens bien...
Tu viens pour le concours des Miss... c'est là-bas, tu vouâââ?Tu dois te présenter à Dame Geneviève de la Mortadelle... Elle te donneras un numérow...
Allez on se retrouvera plus tââârd...kisskiss...
--Gdelamortadelle


- Alors oui, heûuuuuuuuuu, je désire que tout cela soit clââââssieux, n'est-ce pas, à Gien il n'y a que des gens biens, nous allons donc élire une Miss qui aura des jambes bien

Bécassine s'avança, elle n'avait plus ses gros sabots de duchesse (ou pas ) de Bretagne) mais de jolis escarpins vernis et avait mis une jolie robe, elle avait tiré ses cheveux lavés de frais et parfumés avec une lotion parfumée à la rose, elle se jugeait très bien...Bien assez pou se mêler à la foule des Orléannais qui désiraient festoyer avec son vin.

La dame la regarda de haut en en bas
- Vouiiiii, c'est à quel sujet ?
- Ben j'voudrais m'inscrire à vot'concours !
- D'abord, Madeumoiselleu, on ne dit pas Ben...Vous ne saviez pas qu'il y avait aussi un concours de zélocution et de culture générale ?

Elle l'examina tel un maquignon ses veaux ou le Duc Edern ses sujettes

- Il ne suffit pas d'avoir des jambes interminables - même si c'est tout de même ça qui décide de tout....Montrez-moi vos jambes, pourquoi les cachez-vous ,voyons ma petite ?
- Ben...
- On ne dit pas Ben, je ne pense que vous conveniez, ma petite, passez votre chemin
- dites, attendez voir, je suis ici parce que c'est le seul endroit où l'on s'amuse dans ce biau duché

Allez savoir pour quoi, elle se sentait comme obligée de reprendre son accent de Clafouttis-les-Bécasses dans cet univers clââââssieux.
- Mais que faites-vous encore ici, ma chêêêêre ? Personne ne vous retient

Bécassine sentait la moutarde lui monter au nez
- Moi je ne sais pas ce qui me retient de te coller une baffe, Madame de Sainte Morue, c'est moi qui fournit le vin de ta sôôôôterie, vieille bique et tu vas me laisser entrer dans ton concours sans traîner, sinon vous boirez tous de l'eau et tant pis pour ma clientèle,j'irai régaler ailleurs ! Nanmého.
Chalva
Ben tiens, voilà que le bonhomme sort, la toise, la nomme de cul nue, lui répond qu'il n'a rien pour elle et disparait de nouveau.

- Ah ben tiens! Dés qu'on parle de pas trop cher, y a plus personne!

Elle hausse les épaules, regarde en biais la salle, l'ivrogne, et pousse un soupir.
Rien que de songer à repartir dans le grand froid, ça ne l’enchantait guère. Pas le choix la pauvre Lucette!

Un peu de courage et elle repousse la porte, cette fois ci pour sortir de l'endroit, exprimant un au revoir, par simple politesse, car elle avait des principes contrairement à cet homme, et hop, elle se retrouva à marcher dans les ruelles fraîches de la cité.

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