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[RP] Chui là, alors ramenez vos fesses!!

Lothar.von.frayner
Il est l’infant prodigue d’une illustre famille.
Lothar Von Frayner, l’aiglon, l’implacable, huit ans révolus, qui enfin, guette les frontières Lorraines.
Mère serait rassurée, père pourrait le sermonner, mais le préféré était bien arrivé.

La route avait été exagérément longue, ponctuée de quelques échauffourées, quelques hurlements du jeune Frayner qui se complaisait à avoir tout ce à quoi il rêvait. Il voulait voir les catins en la fastueuse Parisienne, il y avait été, certes en catimini, mais tout de même. La visite n’avait pas été très concluante, mais il s’y était fait un ami en la personne du fils de la maquerelle, rompant ainsi la solitude qui rongeait ce petit être de fierté.
Il voulait monture à sa hauteur, voila qu’il montait maintenant un fier poney à la robe bringée, docile à souhait, que l’enfant adorer caresser en fin de journée.

Choyé par une nourrice très protectrice, il ignorait tout de la réalité, lui qui évoluait dans un monde de mystère, de chevalier, de princesse et de dragon. Il se savait à l’abri de tout inconfort, et avait l’audace que pouvait avoir un enfant de son âge. Multiplié par cent.

Ainsi à Toul, il cherchait à faire savoir qu’il était enfin présent en Lorraine, et recrutait crieur pour prévenir le chaland de l’arrivée de l’enfant.

« -Toi là !!
-Moi ?...Monsieur ?
-Non le pape de l’aristotélicisme !»


Moue désabusé du clochard trouvé en pleine rue pour servir le môme.

« Deux écus si tu annonce en place publique que chui en Lorraine, faut qu’ma famille me retrouve, alors pas d’sautises où j’te marave la face en te prout-proutant au visage !!! »

La menace était réelle, ainsi, plusieurs heures plus tard, l’homme, accompagné du jeune Lothar, s’écriait d’une voix de stentor.

« -OYEZ OYEZ, bons gens, l’immensité immense nommée Lothar Von Frayner, le bel, l’intelligent, le pragmatique, l’illustre, l’adoré, l’adulé, l’aimé, le plus fort que tous, le magnifiquement beau, la lumière du monde, le fils de sa mère, la fierté de son père, le plus mieux que son frère, et le plus fort que sa sœur, recherche sa Famille, les Von Frayners, si ils m’entendent, qu’ils viennent de ce pas où le beau, l’illustre, bref, Lothar, promet de mettre une main aux fesses de l’ancienne Duchesse, la simplette !!!! »

Le dialogue était de Lothar, du grand art en soit.
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By Exquiz
--Mariachis_de_beaulieu


[Toul - en partance pour Beaulieu en Argonne et pourquoi pas Hayange ? naissance d'un potentiel complot]



« -OYEZ OYEZ, bons gens, l’immensité immense nommée Lothar Von Frayner, le bel, l’intelligent, le pragmatique, l’illustre, l’adoré, l’adulé, l’aimé, le plus fort que tous, le magnifiquement beau, la lumière du monde, le fils de sa mère, la fierté de son père, le plus mieux que son frère, et le plus fort que sa sœur, recherche sa Famille, les Von Frayners, si ils m’entendent, qu’ils viennent de ce pas où le beau, l’illustre, bref, Lothar, promet de mettre une main aux fesses de l’ancienne Duchesse, la simplette !!!! »



-Mazette, Mickaël, y'é croua abouar troubé ce que beut la Baronna ,
si elle est balade, troubons lui un môme pour oublier ses maux.



- Approchons nous donc de l'enfant, tiens-toi droit, c'est un Von Frayner, puis surtout tu parles pas, avec ton accent "ibérique", ou de bledard, il risque de prendre la poudre d'escampette.


Ils s'approchent doucement de l'enfant, puis prennent un air de gueux au service de la noblesse comme ils savent s'y faire, c'est comme ça qu'ils ont gagné le coeur de la baronne Zahra, et c'est un peu pour cela qui sont à son service, quoique depuis quelques mois les deux mariachis de la baronne avaient perdu 3 de leur comparse, du coup le groupe n'existait plus que dans les souvenirs des gens , et surtout ils avaient rompu leur serment de fidélité pour le fief de Beaulieu, en s'en retournant au Portugal.

- Petit ...petit on va te ramener chez toi tu vas voir !


Son co-mariachis le secoue..

- Mickael, t'as oublié que les nobliaux VF, ils aiment qu'on leur cause en "adulte", alors pas de "petit petit" c'est pas une dinde que tu beux ramener dans ton plumard , s'pèce de chien.


- Le Salut à vous messire ...euh non Son immensité immense, votre grandeur Lothar Von Frayner, nous sommes des amis de votre père , nous accepterons avec plaisir de vous raccompagner jusqu'à Hayange s'il le faut, nous vous porterons dans nos bras musclé !

Nous en profitons aussi pour vous déconseiller de toucher au fessier de sa grâce Marjolainne, nous vous proposons les miches de sa grâce Jade Von Frayner Von Strass l'actuelle duchesse, qui serait certainement mieux à votre gou
t


Entre temps son comparse reste toujours incliné, la révérence ça fait toujours classe et ça peut impressionné un jeune garçon de huis ans.
Manque plus le sucre d'orge , puis peut-être que le petit allait les suivre, la baronne voulait de la distraction, elle voulait pouponner, peut-être que sa maladie était purement imaginaire, puis qu'ils avaient la solution , le remède devant leurs mirettes.

Il se retourne vers Henrique puis lui donne un coup de coude,

- hum, je pense que si on le prend... puis qu'on l'embarque chez la Zahra,
elle sera toute joyeuse, on sera pardonné, puis si la baronnie manque de trésorerie, on aura de quoi demandé une petite rançon à Monseigneur Ludwig Von Frayner puis son épouse qui est actuellement mairesse d'Epinal
.


Ils dévisagent le porte parole de l'enfant, sourire aux lèvres,
le complot est en tête, le mioche suivra-t-il les "potentiels amis de son père", ou pas?

En attendant ils devaient se faire pardonner de leur absence à Beaulieu,
puis pour fêter leur retrouvailles avec la baronne, quoi de mieux que ce mioche de nobliaux, n'ayant aucune idée de la localisation du Vicomté , ils allaient le perdre un peu, hors de question de retourner à Epinal sur le champ, il fallait faire sortir les écus des coffres d'Hayange puis pourquoi pas Epinal pour faire briller les yeux de la Zahra et pourquoi pas faire battre son palpitant encore et encore, elle qui les avait menacé de "mort" , elle qui portait ses six roses , puis qui flirtait avec sa tombe depuis quelques mois.


- Ô l'Adoré , nous nous mettrons à vos service Monseigneur l'Immensité , nous vous présenterons moult jeunes duchesses non simplette si vous nous suivez!

Il ne faisait pas dans la dentelle,
leur promesse était digne de celle de la baronne de Beaulieu,
ne dit-on pas qui se ressemble s'assemble?
Luisa.von.frayner
Que les temps étaient moooornes pour Luisa !
Certes, elle appréciait la compagnie de ses parents ainsi que celle des quelques amis adultes qu'elle avait sur Epinal, mais à la condition que cette compagnie soit une alternative parmi tant d'autres pour s'amuser, et non la seule comme elle l'était actuellement !
Quoique, elle se distrayait parfois à écrire dans son ROSIFIAGE, et ces moments étaient plus de défoulement que de joie.

L'évidence était là : il manquait quelque chose dans la vie de Luisa von Frayner.
Un homme, certainement pas, son âge n'était pas encore à cela.
Plutôt un ami, une présence qui pourrait tenir avec elle des conversations et des activités un peu plus extravagantes et dignes de l'enfant qu'elle était que ce que lui procuraient les vieux et ennuyeux Grands.
Quoi de mieux qu'un frère pour cela ?

Luisa, comme sa mère, comme son père, attendait avec impatience - et une pointe de colère - l'arrivée retardée de jour en jour du cadet. S'il était certainement une source d'épuisement considérable pour les parents von Frayner, il n'y avait pas de doute qu'il était un amusement de la même ampleur pour sa sœur, demandant toujours à admirer plus les prouesses de ses frères.
Bref, le Lothar s'était fait attendre.


Luisa, de son côté et dans son plus grand ennui, avait décidé de fuguer. Ou du moins, d'inquiéter un peu ses parents en quittant le château pour se rendre en place publique quelques heures.
D'ailleurs, elle avait une raison de le faire ! Elle avait haussé le ton avec sa mère, et son père l'avait fâchée en ayant sali sa vision de l'amitié. Alors, hein, si on n'a plus le droit de fuguer pour ça...

Bien que l'idée était des plus excitantes, la balade n'avait rien d'exceptionnelle, elle était même un peu banale.

Banale, jusqu'à ce qu'une grosse voix se fasse entendre de tous.
Ce n'était pas rare d'entendre des imbéciles - ou moins imbéciles - crier à tout va à cette endroit, le fait était même plutôt commun, mais attirait toujours l’œil de la petite demoiselle, qui se plaisait à écouter les bizarreries débitées, malgré les habituels regards sévères des ses parents.
Bizarreries qui rimaient aujourd'hui avec surprise, ou mieux, choc, ou plus simplement...


    LOOOOOOOOOOOOTHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAR !!!

Et Luisa de courir, sourcils froncés, nez et bouche plissés, témoignant de toute la colère qui pouvait l'habiter à cet instant, vers son brun de frère.

Il fallait avouer qu'elle était heureuse de le voir, mais elle prenait un trop malin plaisir à ponctuer ses paroles de petites tapes sur les mains du Lothar pour lui avouer déjà sa joie de le retrouver.


    TU *tape* AURAIS *tape* PU *tape* N'ARRIVER *tape* PLUS TÔT *tape* MÉSSANT !!! *tape*
    M'man était trop inquiète !! *triple-tape*

Arriva en Luisa la sensation d'être observée...Vous savez, celle qui se transforme bientôt en une impression d'avoir un feu dans chaque joue, et en la soudaine envie de trouver une couverture pour se cacher de tous les regards ?

Elle leva furtivement les yeux, et remarqua enfin la présence de deux bizarres, qu'elle regarda tout aussi bizarre.
Mi-curieuse, mi-inquiète, elle murmura sans discrétion à l'oreille de son frère à peine retrouve.


    C'qui...?

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--Mariachis_de_beaulieu


[ qui l'eut cru un payant une gratis ! c'est la fête chez les mariachis ou pas.... pour les avoir ramené leur fesses autant profiter de l'occaz"!]

Il y a un proverbe qui dit,
un de perdu dix de retrouver.

Pour les mariachis c'est comme ça que ça se définit:

"un de trouvé, une autre apparaît"

Petit coup d'oeil des deux gaillards pour observer la scène qui s'en suit,
une petit fille qui arrive à la même vitesse qu'eux,
mignonne tout plein, au vu de la familiarité des deux gosses, une liaison fraternelle les "lie".

Pas besoin d'avoir fait des études pour reconnaître les traits "familiaux",
quand il y en a assez pour un, il y en a assez pour les autres qu'on dira.

Alors au Mickaël de chercher les mots pour embobiner la petite aussi,
tandis que l'autre mariachis observe autour d'eux, des fois qu'il y ait des témoins gênants.

A ceux qui n'aurait pas forcément saisi la scène, les deux hommes n'ont aucune bonne inttention , ils souhaitent "enlever" le jeune paumé noble, récemment arrivé en terre lorraine.

Seul souci c"est que la jeune fille arrive en courant pis les coupe dans leur élan de "propositions vaseuses", car ils causaient de duchesses jeunes à présenter au Von Frayner qui menaçait il y a quelques minutes d'aller taper du fessier flasque ou dodu d'une duchesse sortante, pourquoi viser du simplet quand on pouvait se payer le luxe d'en avoir de bonnes... mais là n'est pas trop la question, présentement la jeune fillette est là.

- si on dit qu'on est des gens de Beaulieu, vont rien comprendre...
on dit qu'on est des amis de leur parent, vas-y , donne moi les sucres d'orge Henrique...opération "gâteau", puis confiseries.... des macarons tu en as encore?.... pfff t'as tout mangé!

imagine la Zahra, elle pourra jouer à la "poupée" avec cette jolie blonde ! de quoi oublier ses bouteilles et ses roses.


A eux d'offrir le plus beau de leur sourire, en cachant leurs quenottes détruites par des années de beuveries, pis de fumette et de bastons... mais bon quand ils se mettent à chanter on en oubli leur défaut d'esthétique, les mariachis de Zahra ne sont pas des bombes latines eh non, par contre ils chantent bien quand ils veulent.

Ils s'inclinent d'une manière synchronisée,
révérence presque impeccable, avant de se redresser et de la saluer.

- le bonjour belle princesse! Nous proposions nos humble service à , son Immensité, sa Grandiose, l'Adoré Lothar .. nous sommes des gens bien, nous vous voulons que du bien.


Petite remarque qui peut en faire tiquer plus d'un,
"celui qui dit, qui est", oui ils prétendent être bons, ils le sont,
mais pas pour tout le monde.

A l'un de tendre des confiseries, puis l'autre de se montrer bien avenant, tout en jetant un coup d'oeil autour, c'est qu'il y avait de la foule, le porte parole du Lothar avait du coffre, puis le texte récité était des plus percutant, il pouvait en éveiller des curieux dans la place touloise.

Lothar.von.frayner
La chance se présentait au tournant, certes pleine de surprise, et avec deux gueules en vrac, mais tout de même, elle se présentait, et là était l’important pour le jeune Von Frayner.

Premièrement, les deux marioles souhaitaient plus que tout aider le pauvre infant à retrouver le château parental, et de fait les parents.
Secondement, ils proposaient de tâter de la Lorraine noble pure souche est ferme, ce qui égayait d’autant plus la sympathie du mioche pour les deux gus.

Non-pas qu’il était un pervers refoulé derrière un minois enfantin à faire fondre la très froide Reyne d’arme de France, mais sa curiosité, se voyait aiguisée par d’incessants troubles sur la composition féminine, qui avait des bosses sous le bustier, mais pas dans les braies.

Alors oui, dans sa naïveté il acceptait, et oui, il ne voyait pas le piège aussi immense que le fessier Royale de France s’étendre devant lui.
Fier comme le paon, courageux comme le lion, il redresse sa bouille rendue rouge par le froid et offre aux deux italiens un sourire où manquent quelques dents de laits.

« Bien, va pour qu’vous me rameniez chez mes parents, mais on passe d’abord voir les duchesses parce-que chui pas sûr d’avoir l’autorisation de venir avec vous après. »

Mais las, voila que la sœurette tout en boucles blondes faisait une méchante arrivée. Outre molletonner son cadet –de très peu- par quelques coups bien sentis, elle se permettait de lui faire morale comme un adulte le ferait à un enfant. –Certes, un autre enfant, Lothar n’étant pas le genre de mioche se laissant impressionner par quelques remontrances. De fait, il pose un regard de jais sur Luisa, est déclare d’une voix forte et légèrement enrouée.

« Hééé, tu t’calme hein, parce-que chui un homme et que t’es une fille, et que les filles, ca se tait devant un homme. »

Néanmoins content de la voir, il se permet de tapoter gentiment son épaule, souriant au chuchotement fraternel.

« Alors eux, ce sont comme ils disent des gens biens, et ils proposent de nous faire rencontrer des duchesses biens aussi. Et surement des ducs maintenant que t’es là ? Alors tu viens avec nous ? »

Jamais, il ne s’était posé la question quant à ce que faisait sa sœur loin des parents qui pourtant ne la lâchaient jamais d’une poulaine.
Pour les deux Italiens.

« Bon, on y va, mortecoucougnette ?!! Mwahaha...»

La classe à l’état pur, il s’aimait, l’aiglon.
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By Exquiz
--Mariachis_de_beaulieu


[Il a mordu à l'hameçon le poisson !]

Ils sont bons vendeurs les mariachis,
il y a de quoi être fier de leur prestation, de simple "troubadour" ils passent au stade
kidnappeur.

Toujours souriants les deux gaillards, s'apprêtent à être au petit soins des deux enfants ... en route pour chez Zahra qu'ils se disent.


« Bien, va pour qu’vous me rameniez chez mes parents, mais on passe d’abord voir les duchesses parce-que chui pas sûr d’avoir l’autorisation de venir avec vous après. »

Il perd pas le nord et ça ils adorent, donc petit hochement de tête toujours synchronisé des deux gus, il veut du fessier il n'en aura certainement pas le jeune VF.
A moins de tomber sur une Maria Esmeralda qui accepte de se faire passer pour une duchesse classe au "bon cul" la donzelle, à défaut ils improviseront.

Des duchesses Lorraines aux belles fesses fallait chercher là, sur le coup sont en panne d'inspiration, à Toul il y a sûrement Floche, mais ils ne savent pas quelle apparence ont ses miches , dis donc c'est que le Lothar donne de quoi réfléchir aux deux hommes.


- Vos désirs sont des ordres ô votre Immensité immense, ô l'Adoré de Lorraine , notre charrette est un peu plus loin, vous allez peut-être reconnaître les couleurs d'un fief pas très loin d'ici le "Beaulieu-en Argonne" il doit bien y avoir de la duchesse aux belles fesses ... une fois que vous aurez tâté du fessier on foncera chez vos parents promis!


Qu'ils murmurent doucement, ils ne voudraient pas choquer la jeune fille, avec leur "perverse intention".


« Hééé, tu t’calme hein, parce-que chui un homme et que t’es une fille, et que les filles, ca se tait devant un homme. »

Ils se marrent doucement, c'est que le gosse avait un côté macho là,
on le croirait bien méditerranéen.

Ils sourient à la fillette, puis l'invite aussi à suivre.


- Si vous ne voulez pas voir de ducs vous, on a des poneys ! Vous pourrez vous amuser avec tout ça, on en a un violet et un rose ! Notre dame les a coloré.



Que veut le peuple de plus que ça,
au fur et à mesure, ils inventaient des arguments assez prometteurs pour embarquer les deux.

Bientôt ils allaient retrouver la baronne avec deux cadeaux vivants, de quoi se faire pardonner.


« Bon, on y va, mortecoucougnette ?!! Mwahaha...»


- Oui comme vous le dites si poliment, allons-y , Votre immensité l'Adoré, et votre Principauté Princesse du monde adorée aussi , c'est quoi votre jolie nom boucle d'or petite et grande merveille du MONDE!


Oui fallait la jouer toute en finesse, "petite" pouvait très bien l'offusquer la jeune demoiselle, alors grande pour chatouiller son mini égo, puis l'attirait avec du poney, puis des qualificatifs comme "Princesse" et autre.

Surtout éviter de montrer les quenottes, puis les attirer doucement vers la charrette de Beaulieu qu'ils ont taxé tranquillement pour faire Nancy- Paris -Madrid- Porto les mariachis.


- ah Mickaël, tu ne debais pas parler de Beaulieu -en-Argonna ,
on aurait pu rester discret jusqu'au bout... des fois que ça tournerait mal cette histoire.


Le Henrique qui commence à baliser doucement, c'est que le rapt commençait à se concrétiser, passer de simple chanteur et sbire de Beaulieu à malfaiteur ce n'était pas simple à réaliser.

Son comparse lui répond par un haussement d'épaule, puis un clin d’œil qui se veut des plus rassurant.
Luisa.von.frayner
S'cusez-moi du RP bâclé, mais Luisa sera hors-Lorraine pour 2 jours, et donc pas de gargote, alors je réponds histoire que vous puissiez avancer sans être embêtés !


En sœur exemplaire - bien qu'à peine plus aînée que Lothar, elle considérait toujours ses frères comme les grands - Luisa considéra le jugement du cadet comme le sien.
Et bien que son envie de voir des ducs n'était que moyenne, elle n'allait pas refuser d'accompagner son frère dans quelque chose qu'il soutenait.
Oui, forcément, si Lothar le pensait, c'est que ça allait être chouette.

Un doute eut à peine le temps de s'installer dans l'esprit de la fillette, entendant la voix de ses parents la sermonner, elle-même sachant très bien comment retourner à Hayange, mais après tout, n'était-elle pas là pour leur désobéir ?

En plus de cela vint s'ajouter les milles compliments des hommes bizarres à l'égard de la "Princesse", si facilement flattée et influencée, et l'appât ultime : des poneys. Rose ! Violet !

    "Comment que z'aurais la classe dessus, avec ma nouvelle ssemise mauve...!"

La décision fut donc prise sans mal, et ce fut pleine d'entrain que Luisa annonça, accrochée au bras de son frère, ces deux mots et demi décisifs.


    Oui, z'viens !

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Lothar.von.frayner
« Luisa, c’est ca son nom, comme Louis, mais pour une fille. »

C’était clair comme histoire, et ainsi, les deux marioles avaient dans l’idée que de le mener à bon port. Crédule à souhait, il sourit quand la sœurette accepte de les accompagner. Ajoutant même à sa palabre.

« Grave que tu vas avoir la classe, Lulu, presque autant qu’moi. »

Comme le lecteur averti à put le remarquer, Lothar ne s’étouffe pas de modestie. Il s’aimait, bien plus qu’on ne pouvait l’aimer, et cela en soit, lui suffisait. En sus, il savait qu’il était presque impossible que son interlocuteur puisse ne pas l’aduler, lui, dieu vivant de huit ans qui se savait irrésistible.

Petite moue angélique, il suit donc le duo en direction de la dite charrette, ne faisant guère grand cas des couleurs qu’elle pouvait porter.

« Dites, z’êtes au service d’une noble ? Une duchesse ? Une vicomtesse ? Une baronne ? Par ce que même si elle n’est pas duchesse, tant qu’elle a de la classe et des belles fesses, chui preneur hein. Mais ca, faut le garder pour vous, par ce que mère me tuerait de m’entendre dire ca. »

Et de prendre place à l’arrière de la carriole, de saluer les quelques curieux qui zieutent avec insistance en la direction de cet étrange quatuor.

« Pis si on pouvait partir là, par ce que chui vachement pressé de rentrer à Hayange, quand même. Alors le détour faut pas qu’il soit trop long. Et par la culotte de velours d’Aristote, j’ai une de ces envies d’faire pipi !! »

Il gigotait déjà sur son siège, et n’était guère sûr de pouvoir patienter jusqu’hayange sans souiller ses braies, de fait, les deux portugais devaient faire vite.
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By Exquiz
--Mariachis_de_beaulieu


[ en cavale les mariachis, plus vite ils auront quitté le coin,
plus vite ils arriveront à destination.]


-Luisa , c'est beau comme prénom de Princesse.
ça c'est certains, son Immensité l'immense, et adoré Lothar a beaucoup de classe, et cela se voit.


Ils poursuivent dans les compliments,
tout en s'éloignant de Toul, s'enfonçant dans les routes forestières lorraine.



- Nous sommes au service d'une baronne, qui vous veut aussi du bien.
Elle a de la classe oui oui. Quant à ses fesses , nous n'avons pas le droit de les contempler, si non "couic couic les coucougnettes"


Il se met à rire niaisement, quand son comparse lui donne à nouveau un coup de coude, fallait éviter de rappeler les penchants sadiques et pervers de la baronne, puis niveau classe , elle était "légendaire ment " connue pour la "gueuse" attitude qu'elle avait gardé malgré son anoblissement.

A eux de préciser aussi.


- Elle est la représentante de la chambre des nobles de Lorraine,
elle va être heureuse de vous aider à vous rendre à Hayange et surtout à toucher du fessier de duchesses, elle est coquine!


« Pis si on pouvait partir là, par ce que chui vachement pressé de rentrer à Hayange, quand même. Alors le détour faut pas qu’il soit trop long. Et par la culotte de velours d’Aristote, j’ai une de ces envies d’faire pipi !! »

- Vous voulez faire quelque chose de drôle, mon grand !
Pendant que nous roulons, vous allez faire pleurer "Popol" par la lucarne de la chariote tandis que Princesse Luisa aux boucles d'or fermera les mirettes ! Mais attention faudra bien viser!


C'était un souvenir que le gamin pourrait certainement garder de ce début de voyage, puis les gaillards ne voulaient pas perdre de temps en faisant des haltes hasardeuses, plus vite ils seront à Nancy, plus vite ils pourront faire sourire leur dame.

Mais dans l'histoire, s'ils pouvaient éviter de souiller sa charrette à la baronne, par ce qu'il a beau être un Von Frayner le petit quand il pisse ça ne doit pas être de l'eau de rose non plus.

- Mickaël , on aurait pu écrire à la baronne, il ne s'agirait pas de lui faire faire une attaque en lui révélant qu'en guise de cadeau de "retour", on lui offre deux enfants....

- Nafout, tu sais ce que vaut la tête d'un VF dans ce bas monde ?
beaucoup, beaucoup d'écus alors deux t'y penses! Elle va être aux anges la malade imaginaire y'a de quoi la soigner je te dis!


La chariote poursuit sa cavale, elle s'éloigne bien de la direction d'Hayange, pendant la route, les deux rigolos proposent friandises et promettent une grande chevauché sur poney coloré, puis causent aussi des arrières train des potentiels duchesses qu'ils "ne" présenteront certainement pas à l'enfant.
Liz_von_frayner
[Pendant ce temps, à Hayange]

La Vicomtesse était enchantée. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, dans le petit monde d’Hayange. Aurait-elle pu rêver mieux ? Il y avait-il plus belle vie ? Assurément pas ! Bon d’accord, vivre avec un von Frayner n’était pas de tout repos ! Possessif, jaloux, tyrannique, exigeant, d’une mauvaise foi si énorme qu’elle dépassait largement celle de son épouse qui pourtant, avouons-le, n’en manquait pas non plus, la vie n’était pas facile tous les jours pour la petite Vicomtesse. Et en plus, il osait la traiter de chieuse et de petite peste, elle pourtant si douce, soumise, obéissante ! (ah oui, nous vous l’avions dit, elle ne manque pas de mauvaise foi non plus).


Bref, revenons à cette belle journée hivernale et donc forcément glaciale. Les cheminées du Manoir répandaient leur douce chaleur dans les pièces principales et en particulier dans le petit boudoir où s’était installée la maîtresse de maison, toute affairée à reprendre point par point ce qu’elle avait bien l’intention d’imposer à sa petite famille, époux et enfants compris, durant les prochaines semaines.

Triant les invitations à toutes sortes de festivités, cérémonies, mariages et, plus tristement, funérailles, elle devait penser à organiser le baptême des deux cadets. Trouver l’officiant ne serait pas la chose la plus difficile, sachant qu’elle pourrait toujours compter sur son cher cousin, ami et parrain Uriel. Convaincre Luisa, enfant vive et réveillée, bavarde et dotée d’une saine curiosité, mais obéissante, ne serait qu’une étape facilement franchie, comme cela l’avait été pour l’aîné, Lorenz. Mais elle avait les pires craintes quant au petit dernier, Lothar. Tête en l’air, indépendant, l’autorité parentale semblant couler sur lui comme l’eau sur les plumes d’un canard sans l’atteindre, elle savait que sans une mise au point paternelle et non négociable, il lui serait extrêmement difficile de lui passer la robe de baptême.

D’ailleurs, avant de parler baptême, il s’agirait d’abord de faire réintégrer le domicile des von Frayner au petit monstre qui n’en faisait qu’à sa tête et qui préférait largement courir les bois et les champs plutôt que de se plier aux douce contraintes de la vie familiale. Heureusement que Lorenz semblait avoir enfin trouvé sa voie en Bourgogne et que Luisa promettait de devenir une charmante jeune fille, studieuse et respectueuse.

Puis, quelques parchemins s’en allèrent en rejoindre d’autres dans un coffret , l’encrier fut refermé et la plume rangée, l’heure du goûter approchait. Longeant tout d’abord d’un pas rapide le long couloir, elle tapota rapidement contre la porte de la chambre de Luisa.


*Luisa, le goûter n’attendra pas ou plutôt je ne t’attendrai pas pour le dévorer à ta place si tu ne me rejoins pas* . Elle attendit une seconde, puis ne recevant pas la réponse habituelle, poussa la porte sur la chambre. Vide ! Haussant les épaules, la vicomtesse pris la direction de la pièce réservée aux repas familiaux. Vide ! Ah ! Les cuisines ! Luisa devait être aux cuisines, son petit nez humant les bonnes odeurs sortant des marmites. La porte des cuisines s’ouvrit à la volée. Vide !
Elle apostropha une domestique, qui hocha la tête négativement pour toute réponse à la question évidente :
*Savez-vous où se cache ma fille ?* Avec une inquiétude grandissante, elle parcouru le reste du couloir presque en courant et entra brusquement dans le grand bureau dans lequel elle espérait trouver sa fille, menton appuyée sur ses mains, à écouter presque religieusement l’une ou l’autre leçon de son père. Vide !

C’est alors qu’un vent de panique souffla sur la demeure familiale. Luisa ! Luisa n’était nulle part ! Luisa avait disparu !!

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Luisa.von.frayner
Ils étaient bien gentils, les deux étrangers au service de la Baronne, mais qu'est-ce qu'ils étaient bizarres...!
Il parlaient bien mal, déjà, mais ça, Luisa connaissait déjà, elle en avait rencontré d'autres, en taverne, le soir, dans les rues. Cependant, jamais on n'avait parlé devant elle aussi ouvertement de...fessiers ! Et qui plus est, de fessiers de Duchesses, et de fessiers à tâter !
Et bien que la petite demoiselle n'était pas spécialement prude, il fallait avouer que cette simple idée suffisait à la faire rougir autant qu'un coquelicot.

Elle recherchait du réconfort auprès de son frère, s'attendant à ce qu'il soit choqué comme elle, mais au contraire, il semblait trouver cela tout à fait normal.
De quoi embarrasser plus encore la petite Luisa !
Etait-ce donc de cela que parlaient les hommes entre eux en secret alors que les femmes parlaient de bel amour et de mariage ?


    Lothar ... !


La tentative de soutien fut un échec, son frère étant trop occupé à se plaindre d'envie pressante, et Luisa se contenta de s'enfoncer à sa place pour vivre seule cette réflexion gênante. Que faisait-elle là, encadrée d'hommes incongrus ? Son frère, lui, ne s'en souciait pas, alors elle fit son mieux pour ne pas laisser paraître son embarras.

Ceci aurait suffit à choquer Luisa pour plusieurs jours, mais il eut fallu pousser le vice plus loin encore, et la rougeur des jeunes joues avec.
Bien que la formulation ne paraissait pas si claire que cela, la petite demoiselle compris sans peine ce à quoi "faire pleurer Popol" faisait allusion, et se pressa comme l'avait prédit le duo, de plaquer ses mains contre ses yeux.
Comment pouvait-elle réagir à tant de surprises, tant d'embarras et de grossièreté ?

Il n'y avait pas grand chose à faire, alors...Elle ne fit rien de plus qu'espérer de tout son coeur arriver au plus vite à la maison et ainsi retrouver les bras et paroles réconfortants de ses parents.

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