Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2   >   >>

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP]Memento Mori pique et nique l'andouille !

Namaycush


[Portes de la ville de La Teste]


Surgissant du passé tel un aigle noir pourfendant les brumes matinales du printemps guyennais, l'armée se présente devant les murs de la Teste.

Tous chevauchent en silence. routiniers des chemins et des combats, depuis des mois qu'ils sont en route....

Qu'il pleuve, vente ou tambourine, la nuit, Memento se meut....

Pas rasé, émeraudes paraissant ambre sous la fatigue et la colère, il les mène, eux, pour la plupart soldats de carrière, nul besoin d'ordre, à la levée de sa destre, ils savent que camp sera planté...

Oeil inquisiteur, oeil mi-clos, il scrute murailles et jauge leur hauteur...

Galop léger en direction des portes, y plante pavillon blanc de Memento....tour complet à cheval....déjà sur les remparts quelques hoberaux de garde s'agitent.....



Bourgmestre de la Teste,

Adishatz !


La voix de l'officier claque et résonne dans le calme de l'aube naissante...

Mon nom est Namaycush, mon armée Memento Mori, gasconne et d'autant plus dangereuse que non agrémentée....n'obéissant qu'à ses convictions....

Nos doléances, que je vous prie de transmettre à qui de droit, sont de nous livrer Kazert afin que nous le pendions par l'entrebraies !

Faute de quoi, sans réponse de votre part d'ici la minuit, trois flèches de feu vers l'astre convergeront et signifieront hostilités ouvertes !

Néanmoins, seuls soldats et hommes d'armes seront visés, que le peuple soit rassuré !


A la carnasse, il rit....

Après s'en être retourné au campement....


Moussaille....fais le tour de l'enceinte de la ville et repère les endroits faibles....

Dan, il m'a semblé voir flotter les couleurs de Came, ramène moi Deubs0, il doit être accompagné d'une capitani au service de la grande prévôté si mes renseignements sont bons....invite les à dîner ce soir à la table des officiers !

Spadasse, inventaire, effectifs et appel....ensuite on aura entretien tous deux, seul à seule....


Regard flottant, émeraude chatoyante, il s'attarde sur un soldat de memento...sourit abstraitement, furtivement, personne ne le voit...

Le désormais légendaire écritoire de campagne était déjà dressé, aussi velins furent vite rédigés......





Citation:
A Enorig d'Azayes,
Quelque part en Guyennes


Duchesse de l'Aigle et de Chiny,

Je me permets de vous écrire ces quelques lignes, afin de prime de vous saluer mais aussi afin que vous sachiez que ma défunte suzeraine Diane d'Azayes vous tenait en haute estime malgré quelques prises d'opinion divergentes.

Aussi, par amitié, respect et souvenir de celle-ci, je vous considère dans le même ordre d'esprit.

Dans l'espoir de vous rencontrer prochainement, je vous prie de recevoir mes salutations les plus respectueuses.




Ainsi fait devant les portes de la Teste-de-Buch, le XVIème jour d'avril 1457.




Namaycush Salmo Salar
Commandant de Memento Mori
Baron de Hautpoul
Seigneur de Agonac, Champiré et Huisseau Le Mat




Citation:
A sa Grâce Elorane de Nasiria,
Duchesse de Guyenne,
Bordeaux

Votre Grâce,

Afin d'économiser de votre temps et du mien, je n'ai point pris peine de vous demander laissez passer pour mon armée. En effet, vous l'auriez refusé, donc me voici et je vous prie d'accepter mes hommages.

Ne manquez pas de saluer votre époux que j'ai en haute-estime malgré son grand défaut, son amitié avec mon magrétin de Duc de Gascogne.
Mais il est vrai, suis-je bête, que vous aussi faites partie de cette secte propageant la dictature du bien qui s'appelle GOLD.

Rappelez-moi à l'occasion de débarrasser le sud-ouest de ces gens.

Dans l'espoir de pouvoir partager prochainement une verrée tavernière en si gracieuse compagnie que la vôtre, n'ayez crainte je me déplace rapidement vous verrez, je vous prie de recevoir mes respectueuses salutations.

Ainsi fait devant les portes de la Teste-de-Buch, le XVIème jour d'avril 1457.




Namaycush Salmo Salar
Commandant de Memento Mori
Baron de Hautpoul
Seigneur de Agonac, Champiré et Huisseau Le Mat




Estafettes parties diligentement, pieds sur la table, sabre la première Agonac de la journée, se sert verrée.....pense dans l'attente de Spadasse....

Cinq armées et trois ordres royaux sur Memento.....la question était....simple.

Le Duc de Gascogne était-il franchement nul, ou l'em de Memento était franchement bon......

Encore, à la carnasse il rit..........


_________________











Eriadan


Eriadan était un homme de convictions. Et par dessus tout, il était un homme libre.
Il avait rencontré Namaycush par un concours de circonstances et avait vu en lui également un homme de convictions. Toutefois, ses responsabilités étaient un poids pour ses libertés, mais après tout, tout cela, il l'avait choisi librement et en cela, Eriadan l'admirait...


17 avril de l'an de Grâce 1457.
Aux portes de la cité de la Teste de Buche.



Eriadan s'éloigna de l'armée, vers l'orée de la forêt. Les soldats de Memento Mori s'affairaient à établir campement, et Eriadan se promit de les aider plus tard.
Il s'installa sur les aiguilles de pin et observa les murailles de loin.
Il ne s'était pas entretenu avec Namaycush depuis la nuit dernière...
Allaient-ils attaquer cette ville?
Après tout, Eriadan était venu pour évincer un Duc trop tyrannique à son goût, il était venu pour rétablir l'Ordre et la Justice dans un Duché instable, il étit venu rétablir l'Honneur de la Gascogne, et voilà que l'armée de Memento Mori se trouvait plus loin de Mont de Marsan que jamais...
Il s'allongea sur les aiguilles et feuilles de chêne. Romulus, son louveteau argenté lui léchouilla alors le visage. Eriadan le poussa, lui autorisant à aller chasser en forêt.
Alors que la boule d'argent disparut sous les arbres, Eriadan, le Loup du Lac, se remémora...




***Orlanda Wolback cacha le jeune Eriadan sous les planches du vieux parquet rongé par les termites. Elle lui somma de ne pas bouger et de ne pas faire de bruit.
Elle se redresse et deux hommes vêtus d'une bure noire entrèrent par la porte qu'ils viennent d'enfoncer.
Le coeur du jeune Eriadan est en train d'exploser dans sa poitrine. Il a envie de hurler, de sortir, mais il se contente de regarder la scène à travers les fentes du parquet. Sa mère ne crie pas. Elle reste digne, malgré les coups et autres violations sexuelles. Eriadan est horrifié mais admire l'honneur dont sa mère fait preuve, l'Honneur des Wolback.
Elle ne crie pas, jamais, pas même lorsque la lame transperce son poitrail.
Orlanda s'étale sur le parquet sous son fils, alors que les soldats en bure noire s'éloigne...
Le sang d'Orlanda dégouline sur le corps de son jeune fils et elle lui murmure quelques mots, des mots qui résonnent encore dans l'esprit d'Eriadan avec la même intensité que lors de ce jour où il avait 8ans...***



*** Le corps de Calicia est sur celui d'Eriadan. Le poignard de ce dernier s'enfonce peu à peu dans la chair de celle-ci. Elle se relève, elle part...
La noyade de Sadnezz. Eomund qui vient chercher Eriadan alors qu'il était en train de la veiller. Calicia...
Elle était aux portes de la ville d'Angers et réclamait un duel, sans quoi elle aurait brûler et piller la ville avec sa horde de loups sanguinaires.
L'âme d'Eriadan était meurtrie, mais il se devait d'y aller. Nayria Grimwald lui confia alors sa lame irlandaise, et c'est sans espoir qu'il alla se battre. La seule flamme qui faisait vivre son coeur était l'espoir que Sadnezz survive.
Le combat s'entama et sans qu'il ne puit se souvenir des détails du duel. Eriadan se retrouva au sol, genoux contre genoux face à Calicia. L'épée d'Eriadan transpercé dans le coeur de la femme, le sang d'Eriadan dégoulinant venant se mêler à celui de son ennemie, de sa rivale, de son amante, de son amie...
Un secret qu'il lui révèle avant qu'elle ne parte...
Une promesse qu'il se fit... Une promesse qu'il tiendrait...*



Eriadan revint à ses esprits. Il observa son reflet dans la lame d'Allwing.
Zahiri de Samarcande disait qu'une promesse non tenue est une nuée sans pluie, une épée sans fil, un arbre sans fruit.
Lorsque je fais une promesse, je la tiens, quoiqu'il m'en coûte!


Eriadan se redressa alors et la cité de la Teste de Buche se refléta dans ses yeux. Sa main se serra autour de la poignée d'Allwing et il se rappella alors pourquoi.
Pourquoi s'était-il lancé dans cette folle aventure.
Pourquoi avait-il rejoint l'armée de Memento Mori.
Pourquoi combattait-il contre un Duc qui avait été élu par le Peuple...

_________________
Isadora.da.vinci
Ils ont franchis dans la nuit la frontière de Guyenne.
Décidément cela devient une habitude…
A croire que cette terre les appelle de ses vœux.
Un de ces jours il faudra qu’elle s’offre un pied à terre dans la région.
Tant qu’à faire !

L’obscurité bruissante recouvre encore les abords de la ville endormie lorsqu’ils y plantent les oriflammes de Memento. Cheval-sans-nom broute, non loin du coin de prairie où elle a posé ses fesses et ses bagages, maigres. Que fait-elle ici ? Elle a suivi frère et sœur dans une croisade d’honneur mais s’interroge, maintenant que les voilà si loin de leur objectif initial.

Avec un soupir las elle se laisse tomber à plat dos dans l’herbe printanière et plonge dans les étoiles, savourant la caresse d’une brise douce sur ses pommettes fatiguées. Elle ferme les yeux et sourit, une goutte claire vient frappée sa joue… Elle ouvre un œil interrogateur, pleuvrait-il ? Non pourtant… S’installant derechef, bras croisés sous la nuque, elle se laisse emportée vers le rêve apaisant de ses bras qui l’entourent.

Combien de temps l’illusion l’a-t-elle tenue à l’écart d’elle-même ? Lorsque l’esprit s’échappe, le corps ne souffre plus. Le réveil brutal n’en est que plus douloureux. Le réveil ?... Quel réveil ?... Qui souffre ?... Elle n’est pas blessée. Pourtant, la sensation était si précise… Son esprit embrumé par le manque de sommeil des ses dernières semaines se refuse à compléter le raisonnement. Elle s’étire, baille, le jour pointe. L’aube est rouge, éclatante, inquiétante. Elle se redresse et contemple les murs amochés qui se dressent, éclaboussés d’un vermillon criard.

Confusément la décision prend forme et devient certitude née de l’intuition qui la tira de ses rêveries. Il se bat. Elle regarde le paysage puis se tourne vers le campement qui s’éveille. Guyenne. Ce combat-là n’est plus le sien. Demain elle s’en retourne où son cœur l’attend, où est sa place.

Elle trouve son frère où il devait être et s’assoit en silence près de lui. Pose sa tête sur son épaule glisse une jambe par-dessus son genou. Les secondes s’égrènent. Ils n’ont qu’à peine échanger trois mots depuis qu’ils se sont retrouvés. La vie, la guerre, le destin… Mais certains amours étranges n’ont pas besoin de mots pour s’exprimer. Alors ils restent là, silencieux, leurs yeux fixant intensément le même point de l’horizon, lointain, invisible pour tout autres.

Mais comme tout les charmes, celui-ci se doit d’être rompu.
Alors elle se relève,

- Je rentre.
- Prends soin de toi et des nôtres.
- Ti amo, mio fratello.


Et s'éloigne sans se retourner.
_________________
Elissar
[Voyage et implantation]

Durant tout le trajet, elle ne décolère pas, mâchoire crispée.
Elle ne l aurai jamais imaginé. Elle tente d oublier mais impossible, c est trop dur.
Rien à faire, la pilule ne passe pas.
Ajoutez en plus cette escapade hors du territoire gascon, alors là c est l indigestion.
Le regard en est presque haineux quand tant de questions et de douleur se mêlent.
Azur gelé.

Campement est monté devant la ville.
Pas même les coups de têtes de son étalon affamé ne lui arrachent sourire.
Elle a la tete ailleurs malgré ces efforts pour chasser toutes ces conneries de son esprit.

Voilà que le capitan se met à brailler.
Livrer Kazert ? Sinon la guerre ?
Non mais c est quoi ce plan foireux !!!!
Un coup la guerre civile en Gascogne et hop le jour d âpres, chasseurs de prime en Guyenne.
Elle ne dit mot.
Cette fois, il les tirera tout seul ses flèches de feu.

Un tour du camps pour obeir aux ordres, vérifiant moral et état de la troupe.
Les inconditionnels sont là, mais les volontaires, combien de temps supporteront ils encore ça ?
Harpie s en va déjà.
Et avec le conflit du PA contre la Guyenne, que décidera Cartel ?
Encore un flot de questions sans réponses venant s embourber dans les pensées déjà bien tracassées de la jeune femme.

Elle doit faire son rapport maintenant, un bout de vélin et voilà l affaire classée, mais non, il faut qu elle aille le voir.
C est bien se qu il a dit, il veut lui parler.
Discrètement elle le rejoint, arrivant dans son dos.

Le ton neutre, la phrase est formelle:

-Nous perdons Isadora, les autres sont présents, quand à l inventaire: nous sommes pauvre.

_________________
Sancte
Et entre pauvres, Dieu sait qu'on se comprend. Mais si Gascons séditieux manquaient de réserves, ils ne manquaient pas moins de nombreux tonnelets de Rhum pour couver bien au chaud pareille boulasse.
En témoignait la fameuse lettre reçue ce matin à l'Ombrière, dotée d'un délicieux en-tête:


Capitaine Namaycush a écrit:
A sa Grâce Elorane de Nasiria,
Duchesse de Guyenne,
Bordeaux


Ahahahah !
Au moins, on pouvait avoir la conviction que ceux-là désiraient ardemment être pris au sérieux. Un sceau est toujours joli, mais renforce davantage le ridicule du vélin lorsqu'il comporte erreur si enfantine. Confondre Elorane de Nasiria avec Elianor de Vergy, voilà qui était symptomatique du grand état de forme de nos soudards d'en face.

En tout cas, voilà qui a donné lieu à grand moment de détente au sein du conseil.
Sacré Namay, il en parviendrait presque à leur faire regretter Falco. Avaient-ils au moins l'impression en ce temps là d'avoir affaire à adversaire digne d'intérêt.

_________________


"Entrer en Guyenne, c'est sortir de la civilisation."
Amiral Sancte Iohannes
Myrtillia
[Memento-Mori / la teste beuch]

La route lui rappelait vaguement quelque chose pour l'avoir déjà empruntée, mais elle ne reconnaissait pas la Gascogne... Époux muet et froid... il fait ma guerre.

Elle regardait autour d'elle, nul ne parlait, tous scrutaient le paysage, aux a guet.

Arrivée a l'aube,
Qu'est ce qu'on fou la !! ???
Nulle réponse...

Regard vers son époux, qui ne la regarde pas. Il donne les consignes, regarde les soldats. Le cœur de l'épouse délaissée se serre ... chut il fait la guerre et elle se fait une raison... Elissar dans sa tente... seul a seule c'etait son vœux, elle se gardera de les rejoindre. Long soupir, elle s'en retourne a sa couche. Âme triste, elle repliait les missives de son fils, desseins et mots d'un fils a qui il manque sa mère.

Comme beaucoup elle commence a s'epuiser la blonde, chevauchant au prés de gens qu'elle ne veut pas voir... sa douce sœur, si adorable, elle qui se plait a la juger et médire a peine a t elle le dos tourné, que voulez vous la famille il n'y a que ça de vrai ... Pourquoi était elle encore la ?

Il y a quelque jour a Dax, Aelyce apres avoir longuement hesité, lui avait fait part d'une inquiétude... était elle fondée ? Qui sait. Si elle espérait que cela soit faux, pour autant cela ne l'étonnerait pas... Neanmoins cette question la tourmentait ... Elle n'osait y croire c'etait impossible.

Au camp nul valet de pied ou dame d'atour, elle défait son chignon, et brosse elle même ses long cheveux, méditation sur des futilités, souvenir d'un passé déjà bien éloigné... Elle tente de sourire vainement. Et cette même question qui revenait sans cesse... que faisaient il la et que faisait elle encore la.

Elle essuie une larme, que faisait elle la celle la, quelle en était la raison... mouvement de colère elle l'essuie d'un revers de la main... La morosité la gagne un peu plus chaque jour, elle tente de se rememorer les mots de son epoux d'il ya quelque jour ... "je t'aime". Elle se reprend... faire son devoir d'épouse, soutenir son guerrier et les troupes.

Une fois de plus elle donne une bourse pleine d'écu a la vieille adel... lui mandant de ramener assez de pain pour les troupes sans vider le marché... affamer la population n'était pas le but.

Le pain livré, elle le déposa elle même dans la tente d'Elissar sans mot dire, visage fermé, avant se s'en retourner a sa tente. Elle lance un sourire et un regard emplie de solitude et de tristesse a Mousse et sa fille en les croisant... La sur sa paillasse elle esperait que son epoux vienne la rejoindre, il lui manquait tant ...

_________________
--Une_voie_au_lointain
[i]En ce soir, dans les plaines de Guyenne une voie retantie lointaine.[/i]

Namayyyyyy revient tu nous manque!!!!!!
Namayyyyy pourquoi es tu parti?? Tu n'as meme pas participer a la fete que l'on organiser en ton honneur!!!!!

Namay, qu'est ce que je dit a tous ces gens qui se sont deplacer expret pour toi et te faire la fete autour d'un grand feu de joie??? Tu me decois Namay!!!!
Et tes amis qui sont reste!!! Tu y as pensser?? Qu'est ce que l'on en fait nous hein??? Tu veux qu'on les mette au frais pour ton retour?? Pour qu'ils participent a ta fete?????
On n'est super triste nous ici que tu sois parti sans nous dire au revoir!!!
Ces mechand de ta parts la. Franchement tu aurais pu faire un effort.

Revient je te jure qu'on te feras pas de mal!!!! on veut juste te couper la tete pour l'acchrocher en dessus du pont levis des Cadets de Gascogne!!!

Je te jure que je ferais ca sans bavure et rapidement!!!! Tu n'auras pas le temp de souffrir!!! J'ai aiguise ma lame toute la nuit pour ca!!!

Revien!!!!!!!!!! On t'attend!!!!!!!

Si tu veux revenir, envoie moi un pigeons!!!! J'en profiterait pour te reprepare la fete!!
Adresse ton pigeon a Garlan de Brall!!! tu te souvien de moi j'espere!!!!!
Enorig
Namaycush a écrit:

Citation:
A Enorig d'Azayes,
Quelque part en Guyennes


Duchesse de l'Aigle et de Chiny,

Je me permets de vous écrire ces quelques lignes, afin de prime de vous saluer mais aussi afin que vous sachiez que ma défunte suzeraine Diane d'Azayes vous tenait en haute estime malgré quelques prises d'opinion divergentes.

Aussi, par amitié, respect et souvenir de celle-ci, je vous considère dans le même ordre d'esprit.

Dans l'espoir de vous rencontrer prochainement, je vous prie de recevoir mes salutations les plus respectueuses.




Ainsi fait devant les portes de la Teste-de-Buch, le XVIème jour d'avril 1457.




Namaycush Salmo Salar
Commandant de Memento Mori
Baron de Hautpoul
Seigneur de Agonac, Champiré et Huisseau Le Mat






Elle avait reçu le vélin en main propre d'un homme qui avait filé dès remis... Surprise dans son jardin qu'elle admirait pour ses premières fleurs de début de printemps, elle le lut rapidement et pâlit...

....Diane.... Encore...

Elle sourit doucement.

Chère nièce qu'elle adorait et à qui elle passait toutes ses folies. un soupir passa ses lèvres. Même dans la mort elle faisait encore parler d'elle et encore dans des conditions telles que celles-là.

Elle prit la plume et répondit à Namay:


Citation:
A Namaycush
Vassal de feu ma nièce Diane


Je ne sais pour quelle raison ma nièce vous a accordé cette vassalité mais je la connaissais pour avoir ses convictions à elle et ne pas essayer de la faire changer. Je l'adorais mais ne partageais pas comme vous le savez toutes ses amitiés. Mais j'ai entendu votre requête et par la présente y répondrais.

J'espère que nulle folie ne vous prendra en Guyenne au point de venir me voir. Il y a un endroit ou nous pouvons nous voir aisément, il s'agit de la chambre des nobles du Périgord. Je vous accorderais volontiers un entretien à cet endroit si vous désirez vous présenter plus à moi. J'aurais ainsi le plaisir de voir le vassal de ma nièce. Mais de grâce n'entamez aucune folie autre en allant plus avant dans notre Duché.

Je n'ai rien contre vous hormis le fait que votre conduite n'est pas celle que j'attends de voir d'un noble aussi nobles puissent être vos intentions en Gascogne ainsi que vous avez pu en témoigner en chambre des nobles du Périgord. La Guyenne ne peut servir ni de refuge, ni de terrain pour des exactions, elle n'a que trop souffert déjà pour souffrir encore et encore. Soyez compatissant pour elle et ses habitants.

Qu'Aristote vous ait en sa sainte garde.

Enorig d'Azayes
Duchesse de l'Aigle et de Chiny
Baronne d'Ancerville
Dame de Beynac



Elle cacheta la missive et la fit envoyer par son garde avec un mantel orné de ses armoiries. Ainsi vêtu elle savait qu'il ne risquait rien. Namay connaissait ses armes et le Cartel aussi depuis Bordeaux....

HRP/ bien sur ces missives sont privées n'est-ce pas et donc ne sont connues de personnes.
_________________
Mahy06
Namay,

Pas de visage pour moi, juste un nom.
Je suis l'un des Commanditaires du Maître des Cadets de Gascogne. C'est grâce un peu à moi que les Cadets de Gascogne vivent.



Maintenant écoute bien, tu as fuis la Gascogne pour venir chez nous te cacher avec tes amis.

Tu compte faire pareil chez nous? Menacer les Guyannais ?
Fou le camps cloporte fou le camps et jusqu'en Bretagne si tu le peux.
Car dans aucun Duché ou Comté Royal tu ne seras chez toi.

Je t'avertit je connais tous de toi Grâce au Maître Merlin de Bayonne et j'en ferrai part à notre Ost pour lui faire comprendre que tu ne peux plus combattre suite à tes désertions.

Part, c'est un conseil d'un guyanais de souche.



Et Rappèle toi il y aura toujours un Cadet derrière chaqu'arbres que tu passeras en France


le villageois leva son bâtton en direction de ce bandit, tel qu'il avait affaire à un diable.
Deubs0
Reveil au matin, apres une bonne nuit dans un lit d'une auberge, la ville s'agite et les bruits courent...

Regard par la fenetre, et voit les troupes s'agiter, au loin l'etendard d'une armee...Il ne l'avait jamais vu et pourtant il le reconnu immediatement...Mais que diable pouvait il fichtre ici??...

Mise en tenue rapide et part preparer les affaires... Descend dans la rue et entend les paroles repetes de Namay par la populace...

Voit une vielle connaissance Danjam venir le querir, accolade au viel ami qu'il n'avait pas vu depuis si longtemps avant de refuser la requete du Capitaine,...explication breve a son ami avant de lui remettre un pli a destination de Namay...



Citation:

Mes salutations Baron Namaycush Salmo Salar,

Il y a bien longtemps que je ne t'ai point vu capitaine, mais ce n'est point ce soir que nous festoyerons ensemble, esperons qu'un prochain jour viendra rapidement. Cependant comme tu te dois te douter, je me rends en Gascogne repondre a l'appel de ce cretin d'illustre.
Je peste que tu n'es point reussir a le defaire meme si je comprends qu'il est dur de le trouver sur un champs de bataille tant il prefere envoyer la populace a sa place.
Je ne sais que signifie ta presence a la Teste, j'avoue ne jamais avoir pense te voir ici. Neanmoins sache que si tu devais revenir en Gascogne ces prochains jours, je serai force de faire mon devoir de baron en mes terres. Les armes de Came seront uniquement voue a la defense des civils qui non nul lieu d'etre mene a ce conflit, jamais je n'enverrai mes troupes jouer au chat et a la souris, mais tel sera leurs ordres.

En esperant ne jamais devoir vous croiser sur un terrain de bataille, et avoir des moment splus propices pour festoyer

Louis Philippe Von Wittelsbach, dict Deubs le Discret,
Vicom de Frejus, Baron de Came



un dernier salut a son ami Danjam, puis s'en retourne rejoindre la compagnie d'Arianrod, prendre la route vers Mimizan
_________________
Louis Philippe Von Wittelsbach, pleure son epouse la douce Lysamaelle
Vicom de Frejus, Baron de Came
Myrtillia
Post supprimé à la demande de l'auteur du topic parce que vous faites agir son perso sans son accord.

J'ai conservé le texte si vous souhaitez le retrouver merci de m'envoyer un MP

Inferno

_________________
--Hunginn


Bien loin des péripéties de Namaycush dict "Le Débraillé", résistance s'organisait activement, déjà bien échauffée par le tocsin Périgourdin et la connaissance au moins superficielle des troubles fratricides qui entachaient la superbe des territoires situés au delà de la frontière Sud.

A ces troubles Guyenne aurait pu apporter contribution, si seulement Gascogne était prête à assumer le poids de ses erreurs passées et si Périgord ne l'avait pas choisie comme champ d'exercice pour une démonstration de puissance.

Mis en difficulté en Gascogne, Namay et ses écornifleurs pensaient trouver en Guyenne terrain favorable aux exactions qui lui étaient rendues malaisées en Gascogne. Mobiliser une armée pour demander la tête de Kazert ... Avait-on déjà vu demande aussi ridicule ? Kazert ! Ahahah ! Munier2, passait encore. Aurait-on pu faire passer cette demande pour un amour inconditionnel envers la science. Mais Kazert ... Un noble des plus banals. Quel sens peut-on y trouver ? Quelle gloire peut-il promettre à ses hommes en exigeant de la Guyenne la remise de tels bibelots ?

Armées passent sur le sol de ce Duché, traînant avec eux fantaisie et sentiment d'impunité. Mais Guyenne a changé en même temps que son conseil. Cette fois, ces factions là y resteront, et de leurs gesticulations pantomimes Guyenne ramassera à la petite cuillère l'arrogance de cette illusion fatale, gisante dans une mare de sang au beau milieu des rouges moignons des amputations orchestrées sur les hommes ayant remis leur destin à un incapable n'arrivant même pas à tenir en bride sa propre épouse.

Chaque chose a une fin, et cette fois, rebelles Gascons arrivent en bout de course, braies à hauteur des chevilles et chef rentré entre les épaules. Freux austères lorgnent désormais vers le sud-ouest en direction des casques vides. Hunginn en première ligne, entouré d'Heidrun et de Draugar. Une Trinité pour le moins sinistre, mais parée à se repaître des obscures palpitations que lui offrait incessamment le coeur de l'Histoire.
Sonrisa
Le capitaine apperçoit une jeune fille le long de la route, qui regarde passer l’armée. Namay stoppe son cheval et revient vers celle-ci.
- Tu ressembles étrangement a une jeune fille que j’ai bien connu en Gascogne !

Sonrisa, lève fièrement la tête et lui réponds :
- Oui je suis une Otchaottipi, et cette jeune fille était ma sœur !
Zhuyanzhang


Mahy06 a écrit:
Namay,

Pas de visage pour moi, juste un nom.
Je suis l'un des Commanditaires du Maître des Cadets de Gascogne. C'est grâce un peu à moi que les Cadets de Gascogne vivent.



Maintenant écoute bien, tu as fuis la Gascogne pour venir chez nous te cacher avec tes amis.

Tu compte faire pareil chez nous? Menacer les Guyannais ?
Fou le camps cloporte fou le camps et jusqu'en Bretagne si tu le peux.
Car dans aucun Duché ou Comté Royal tu ne seras chez toi.

Je t'avertit je connais tous de toi Grâce au Maître Merlin de Bayonne et j'en ferrai part à notre Ost pour lui faire comprendre que tu ne peux plus combattre suite à tes désertions.

Part, c'est un conseil d'un guyanais de souche.



Et Rappèle toi il y aura toujours un Cadet derrière chaqu'arbres que tu passeras en France


[i]le villageois leva son bâtton en direction de ce bandit, tel qu'il avait affaire à un diable.



Ayant assisté a ce bleuglement, imcoprenhensible, Zhu se mit a rire, décidément les cadets ou ex cadets étaient fort en gueule , pire que des chiens qui aboient de loin, et quand on leur met un coup de pied au derriére ils rentrent la queue entre les jambes dans leurs niches!


Regardant le gueulard , Zhu ne put s empecher de lui dire ceci[/i]




Couche sale bête, allez oust!!!!!!!

Décidément va falloir faire quelques choses avec ses cadets, sont la pour mettre le bazard oui faut erradiquer ce genres d individus, de plus mécréants tes informations sont un peu erronées comme toi!




Se retournant vers Namay , Zhu lui dit


Tu te rend compte, on va être bucheron maintenant, bah faut y voir le bon côte des choses, vois tu, car aprés l arbres y aura le cadet, et la côté pratique on débite pour le cercueil...............[/i]

_________________
Memento Mori

"Forces et honneurs"




















Feliantine
Ainsi, en avait decidé le Ciel. Menthé etait repudiée. Et de loin, Persephone avait assisté au depart de la furie. Elle avait tenté un coup d'eclat, vite etouffé dans l'oeuf. On ne peut rien contre ce que decident les Cieux. Hades avait choisi, et Persephone resterait pres de lui. Elle savait ce qui allait se passer maintenant. La furie de Menthé la poursuivrait, longtemps, longtemps. Persephone serait trainée dans la boue. Mais Persephone etait fille de Demeter, et Demeter, veillerait à ce que le destin de sa fille s'accomplisse. Dans quelques temps, Menthé serait pietinée pour sa langue de vipere, elle serait pietinée, et changée en plante, en menthe. Mais elle ne serait plus que ça, quelques feuilles dessechées servant à aromatiser le thé.

Persephone entendait encore les cris de la blonde Menthé. Qui ne les entendait pas d'ailleur, meme le roi Levan avait du bondir dans son lit à entendre les sirenes de la voix suraigue de l'excitée. Et lui aussi connaissait l'histoire, tout comme bon nombre. Et il laisserait Hades et Persephone attendre le moment où Menthé se dessecherait...

_________________
See the RP information <<   1, 2   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)