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(Rp) La charité, ou l'entré au monde de Theobaldus

Theobaldus
Bonjour Je reviens sur RRs après plusieurs années d'absence et suis un peu perdu ! ^^ Ce poste n'est destiné qu'a faire du rp et rencontré d'autres rolistes, la halle de ma ville ayant l'air plutôt morte.

En espérant vous lire


Ici commence une belle histoire, celle d'un poète au verbe de son siècle, presque une image, que l'humble chroniqueur ne cessera d’embellir au fur et à mesure qu'il contera son histoire.

Et ce roman que j’espère écrire avec vous, commence par quelques vers jetés sur une place par un jeune imprudent aux traits exaltés, à l'audace amusante et à l'ambition palpable qui se plaisait alors à détourner les foules,leurs exposant sans l'ombre d'une honte, tout la misère qui entourait sa pauvre existence.


"Oyez donc bon maistres, bourgeoise de tout bord,
L'histoire misérable d'un garçons venu des mer,
Que quelque capitaines ont jetés du pont au port,
Lui prenant, honte aux avares,la bourse à la rapière.

Et le voila ce pauvre gascon criant son désespoir,
Avec un air vagabond qui en empêche certaines
Sinon de louer sa beauté ; de chanter à la gloire,
De cet esprit qui en vers dis les mots que sa bedaine,
Affolée de tant de vide, lui souffle de son perchoir.

Que n'eussiez pour cette jeune asme vide,
d’orgueil mais surement pas d’élégance,
De quoi faire disparaître les rides,
dont lui ont fait don ses errances ?

Je ne cracherai point sur quelques louis,
Mais c'est plus d'un verre et d'un repas,
Et - diable - d'une chambre pour la nuit,
Afin que je ne choit."


Et tel un saltimbanque il se donnait en spectacle, offrant ses pauvres rimes à tout ceux dont le panier était bien remplit. Theobaldus avait toute la beauté que le jeunesse apporte, et quelque lueurs d'esprit dans les yeux.
Cerdanne

« La place blanche était vide », devant elle… marchait un chien errant.

Pas l’ombre d’un sourire sur les visages apathiques qu’elle croisait…
Regard levé vers le ciel cotonneux et une ultime grimace pour cet hiver qui n’en finissait pas.

Pas vraiment un temps à faire du surplace…
Emmitouflée dans sa vieille cape, elle s’essaya au martèlement de ses bottes.
Presque comme un vrai soldat.
Faut dire que l’astuce était bonne. Elle sentait moins le froid régner sur ses petits petons.
Le bruit sourd sur le sol gelé tournoyait gentiment en écho et semblait venir de nulle part…
Tout comme les paroles qu’elle entendait et qui rivalisaient avec sa musique.

Amusée, elle releva la tête, cherchant le musicien…
Les paroles acides virevoltaient dans le vent et leurs piques volèrent jusqu’à elle…

Attentive, elle accompagna malgré tout d’un pas plus léger les derniers mots du jeune homme et salua d’un bref signe de tête la fin de l’oraison…

Sourire aux lèvres, elle se demandait si les actes suivraient la parole et attendait de voir la main tendue qui réclamerait salaire pour un si beau chant…

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Theobaldus
Mais voilà qu'un visage s'ouvre petit à petit, accordant au vagabond un sourire qui le réchauffa, dans la solitude de sa pauvreté.
Si ce jeune homme aux traits gracieux avait l'audace du verbe, celle de l'action était encore bien trop soumises à quelques peurs d'une enfance encore trop proche.

Aussi ne put-il réponde que par un sourire, d'une parfaite éloquence qui dénonçait autant sa gêne qu'il louait la grâce que représentait ce sourire. Il ne put que murmurer ce vers, tout bas :


- Au printemps cupidon fait flèche de tout bois...

Et laissa passer cette grâce dont la charité se limiterait à un sourire, et à quelques fantasmes qui illumineraient ses nuits de froid et de solitudes.
Cerdanne
Le regard est éloquent, le geste absent.
Elle lui pardonne…Pour le moment.
Après tout les vers murmurés en guise d’excuse sont charmants et l’évocation du printemps adoucit la bise glaciale.
Elle, la traitresse, hante toujours aussi insidieusement les ruelles et Cerdanne resserre machinalement sa cape sur elle.

Prononcer quelques mots de sa voix rauque et basse…
Doucement pour ne pas effrayer l’oiseau…


Le verbe est beau mais ne nourrit pas son homme par un tel temps...
A moins de le chanter plus haut comme seul un Fou sait le faire, peu de chance qu’un bout de pain vous tombe du ciel….

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Theobaldus
Mais voilà que la belle insiste, ne semblant plus si pressée de passer son chemin. Theo se frotte les mains nerveusement, le sourire jadis invitant qui se fige en une crispation palpable. Puis de prendre son courage à deux mains pour réponde à celle dont l'âge est incertains :

-" Vos louages me touchent je vous assure,
et qu'un sourire j'ai fait naître à vos devantures,
demeure pour moi le plus magnifique des dons,
sur lequel je vous rendrais grâce de pouvoir mettre un nom.

Et si l'envie vous prends de me faire savoir,
pour que ce pain tant attendu tombe enfin des cieux,
touts les rouages et toutes les subtilité des arts,
qu'il faut connaitre pour finir ses jours heureux.

Madame je vous en serai toujours reconnaissant,
Tant ma vie est à ce jours sans avenir,
Moi l'oisillon de Gascogne tout juste devenu grand
Qui serait prêt à damné le Seigneur pour vous servir."


Il rougit, légèrement, cachant légèrement son visage sous son immense cape pour qu'elle ne le voit pas.
Cerdanne
La provençale sourit devant la timidité du musicien.
Il ne doit guère être plus jeune qu’elle…
Mais s’y connaît-elle en visages, hormis ceux de la douleur.
Si ce jouvenceau a faim, il n’oublie pas de clamer le creux de son estomac avec délicatesse.

Le regard bleu se durcit et observe la pousse verte et tendre qui a surgit du sol Angevin.
Présage d’un futur rieur pour le duché indépendant.
Comment préserver le blé d’hiver…Il lui faudrait les conseils avisés d’experts….


Gascon dites-vous…
Oubliez leur accent qui traine…
Ecoutez, regardez….

L’envie de vous faire savoir n’est pas un problème
Pas plus que celui de vous conter l’Anjou..
Si je voulais résumer, il me faudrait bien plus d’un poème
pour vous faire entendre la belle histoire de notre contrée sauvée des loups...



Le froid est trop fort sur cette place.
Si vous souhaitez vous faire entendre encore, martelons donc le vide qui nous entoure ensemble.
La complainte des fous devraient finir par les faire venir.
Et laissez donc votre Seigneur au chaud.
Pas un temps à le mettre dehors celui ci.

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Theobaldus
-" Vous qui n'étiez presque plus qu'un souvenir
Voilà que vous m'offrez un aussi bon morceau,
Dont les notes peuvent se vanter de jouir,
D'autant de douceur que n'en a votre peau.

Et si la lourde tâche de me rendre savant,
A votre courage peur ne fait point,
Peut être pouvez vous en plus des évènements,
Me faire savoir quelque mots de latin ?"


Il afficha un sourire sincère, un peu malicieux qui montrait qu'il commençait de se détendre.

"Je laisserai alors où bon vous semblera,
Dieu diables ange et autres fantaisies,
Mais de grâce de ce vide délivrez moi,
Devisons où vous voulez pourvu que ce ne soit ici."


Puis sortant ses mains de sous sa cape et lui montrant le bout de ses doigts gelée.

"Bientôt il faudra qu'on me les amputassent,
Si je passe une nuit dans cette venelle encore,
Le destin dit que c'est les desseins réservés à ma classe,
J'aimerais lui prouver aujourd'hui qu'il à tord..."


L'exercice devenait plaisant, il était rare qu'on lui réponde en rime. Déjà il redoutait que le conversation ne cesse, que l'inconnue s'en retourne aux affaires de sa vie.

Cerdanne
Tout l’avantage dans le verbe est de se réchauffer à ses lettres.
Et le petit homme a plus d’un tour dans son sac.
Ventre vide mais bouche pleine.
Et les mots fleurissent comme autant d’étoiles givrées tout autour d’eux.
L’ivresse guette celui qui se laisse prendre au jeu subtil des encres.

La réalité hélas est tout autre et devant les doigts qui s’exibent, gelés, elle oppose les siens tout aussi engourdis.


Nous voilà identiques, au moins dans la douleur des mains.
Et ne vous méprenez pas, le latin n’est pas si joli qu’on le dit.
Voyez, Vos mots résonnent sur la place et tournent en vain.
Et qui les entends …Le vent, le froid et la folle que je suis.


Le vent vicieux tournoyait sans cesse autour d’eux, bousculant les silhouettes.

Si nous ne nous dépêchons pas de rejoindre un quelconque abri
Les Angevins demain nous trouverons figés, givrés.
Statue j’aime à l’être, mais uniquement lorsque je le choisis.
Je tiens à rester maitre de ma destinée.

Qu’en dites vous, Saltimbanque errant…
Moi, pour l’heure, je ne rêve que d’une bonne flambée
Choisissez...mais vite...la mort rode en ricanant..
Au pire, le vin sera mauvais, mais nous serons sauvés.

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Theobaldus
- Je m'en voudrait d'avoir laisser,
par mes vers trop long ternir l'éclat,
que devait jadis avoir de si jolis doigts,
Vous m'en verriez bien attristé!.


Il baisse légèrement la tête, le regard fuyant. Il ressentit une légère honte de mendier ainsi à celle à qui il aurait préféré paraître plutôt prince que vagabond, afin que ses yeux altruiste et doux ait pour lui d'autres sentiments que la pitié, aussi douce fut-elle.

- Je suis tout disposé à vous suivre,
Même une piquette me serai festin,
vous avez déjà rendu mon coeur ivre,
L'esprit lui se contentera de vin.


Il ramassa les quelques piécettes qui traînaient dans sa bourse, au sol. Puis resserrant la ceinture en corde autour de sa taille, afin que sa trop longue toge tienne, il jeta un dernier regard à l'inconnue, sans rougir cette fois, un regard d'une gratitude extrême.
Namaycush
Plus loin il en était un à l’observation tapi dans l’ombre de son existence comme dans celle du poids du secret, qui légèrement lui voûtait les épaules, tapi en cochère de venelle à l’affût de l’étrange qui avait retenu son attention. Spectacle en valait la peine, figurante impromptue prenant rôle…

Sourire à la carnasse d’incisive, à bas de monture, discret comme un souffle, spectateur de premier rang, assista-t-il à la représentation… Cerdanne…Cerdanne… Sans en louper miettes.

Au moment où le troubadour improvisé ramassait piécettes sustentatoires, il s’avança sur la blanche place, mantel à col relevé, monture sombre, rennes en main, à ses côtés, cavalier d’un apocalypse incertain surgissant du passé partagé par la mémoire collective d’un Dacquois et d’une fille de Provence, ravivée par le craquement sinistre et glacial de ses bottes d’officier sur le gel. Il lança une boursette au pied de l’homme à l’apparence de bure avec sa toge…


Fils ! Il ne fait jamais bon pour un Gascon de croiser l’oiseau de Provence par temps gris. Son augure ne présage rien d’agréable. Je ricane de la mort comme je ris de la vie, je puis être la mort comme la vie ou l’envie… Eloigne toi d’elle, vite !

Regard à l’émeraude en amande fixe Cerdanne… Le trio infernal des jours cotonneux se reforme toujours. Bon vent, fille d’Harpège !

Son rire franc et sonore emplit la petite place avant qu’il ne continue son chemin, pressé par le risque inutile qu’il a pris de paraître au grand jour.
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Satinea
Satinea sortit du dispensaire, emmitouflée dans sa longue cape sombre. La bise soulevait ses cheveux cuivrés, dernière langue de flamme qui tenait tête à l'hiver.
Elle entendit au loin, une voix mélodieuse et se dirigea vers elle. Un jeune homme famélique se tenait sur la place et haranguait les passants. La jeune femme l'examina à la manière de la médicastre qu'elle était. Elle en avait vu des ces garçons, jeunes et beaux, emportés par la misère et elle ne put s'empêcher de lui dire ces mots:



Ne reste pas ici, fils du vent et de la nuit,
Rien de bon ne t'attend sous ces cieux vacillants.
Déjà, aux enfers, Maladie, Souffrance et Agonie,
Se préparent en riant pour leur nouvel amant.

N'entends-tu pas venir leur funeste cortège?
A tes oreilles pourtant, il susurre doucement
Tu attendras en vain que s'égrènent les arpèges,
C'est la mort qui viendra baiser tes lèvres de néant.


Puis elle chuchota: le dispensaire est ouvert à tous...
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Theobaldus
Alors qu'il se baissait pour ramasser trois écus une grande ombre vint noircir ce tableau pourtant si blanc. Le bruit des bottes sur la glace ne présageait rien de bon aux garçons qui avait déjà été victime de la vindicte de quelque milice communal trop zélée. Le cheval lui était un signe de malheur.

Ne souhaitant point se trahir par ses vers, il laissa l'inconnue à l'intimidante prestance dire les quelques mots qui avaient motivés qu'il trouble son chemin.
Le vagabond n'osa pas même prendre la bougette qu'on lui avait jeté, avec le mépris qui était du à son rang.

Cette mise en garde bien théâtral n'eut point pour effet d'effrayer Théo de Cerdanne, bien au contraire, voilà qu'à la reconnaissance se mêlait l'intrigue, la curiosité de connaitre un nom, une histoire, d'enfin n'être plus cet enfant perdu parmi les clan de loup, mais de rejoindre lui aussi une tribu.

Lorsque le cavalier fut parti, il se jeta sur la bourse, une expression de joie sur le visage, puis loua tout bas le Seigneur de la charité dont avait fait preuve son oiseau de mauvaise augure.

Et enfin se tournant a nouveau vers l'inconnue, qui semblait rester coi devant la verve de l'incongru :

- Bien que pour vous ce drôle de sire,
N'a point usez d'un douce description,
Nous ne pouvons qu'en coeur applaudir,
La charité qu'il à joint à son accusation.

Car voilà que les rôles s'échangent,
si ma pauvreté d'alors vous à touchez,
Permettez que je jouisse de ma chance,
Et que je vous invite à dîner.


Il rougit, encore et encore.
Un léger sourire, il attache la bourse à sa ceinture en corde. Puis se tournant vers Satinea :

Dame vos obscures apocalypses me font peur,
pourquoi louez Dieu chaque jours si son éternité,
des même souffrance que la vie se voit être affublée ?

[b]Peut être pourriez vous venir avec nous,
Faire oraison de vin autant que de vers ?
Et m'en dire un peu plus sur ce dispensaire,
Où vous me dites être le bienvenu ?
Cerdanne
Le sourire est toujours aussi fugace mais il éclaire un instant le bleu du regard. La Provençale, déjà se demande quel établissement leur ferait crédit... Les mains regagnèrent le noir de la cape et les doigts cherchèrent le peu de piécettes qui se cachaient au fond de sa poche. Pas ce soir qu’elle fera festin. Le sourire s’accentua un peu. L’adversité ça réchauffe toujours un peu..

Va pour une sombre piquette jeune troubadour
Qu’elle adoucisse ou pas votre ventre affamé
Nous aurons, je l’espère les doigts moins gourds
Et nos esprits enfin réchauffés….


Figée dans son manteau de misère, les bottes avaient repris une cadence de vaillants soldats et frappaient de bon cœur le sol gelé.

Une pièce, une…Une...Silhouette ?
Une…

La Gascogne en plein Anjou…
De plein fouet, la mémoire en marche…

La place blanche devient rouge dans les prunelles embuées de la brune.

Elle le regarde s’avancer.
Aspirée par les vagues d’une mise à mort enfouie au plus loin de sa mémoire.…
Grimace sous les mots qui l’éraflent comme autant de serres…

Les regards se croisent et la chaleur furieuse éclate.
Une main déjà s’écarte de la laine et le pointe d’un doigt accusateur.
La mort ne sera pas médiatrice, la vie ne sera pas le témoin.

Le rire puissant résonne et balaie les gémissements de la bise...
Les doigts de la brune balayent l’air et danse vers le ciel… la musique tourbillonne encore un peu et l’entraine..

Son rire éclate, joyeux, furieux devant l’audace du Gascon…


Addissatz Capitaine…

Le vent seul aura le dernier mot, le dernier rire…
La main se pose sur le bras du troubadour…


Un mécène…La bourse là…Un vrai trésor..
La moindre des choses serait de l’inviter.
Le verre de l’adieu, le verre du condamné…
Chacun y a droit ici avant d’embrasser la mort…

Après l’ivresse, vous pourrez éventuellement allez vous faire câliner par nos soigneuses.
Expertes, croyez-moi en rapetassage de corps et de cœur écorchés….

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Satinea
Satinea vit la peur dans le regard du jeune homme.

Les images funestes, l'évocation de la camarde,
N'avaient d'autres fonctions que de vous mettre en garde.
En restant sur cette place, au milieu des tourmentes,
Vous risquez en effet une fin effrayante.

J'ai voulu qu'à Angers le dispensaire soit un lieu,
Ouvert à tous, nobles, paysans ou nécessiteux.
Si ce soir, les étoiles n'ont pour vous aucun attrait,
Longez le bâtiment près de l'église, poussez la porte et entrez.


Puis la jeune femme se détourna, laissant le poète avec sa muse et disparut dans les tourbillons de neige.
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Theobaldus
- Merci à vous brave messagère,
Gagez que je vienne en ce lieu saint,
et ô combien utile qu'est le dispensaire.
J'en retiens dont le chemin en mon sein,
Il désigna sa tête du doigt.
Et compte y prendre bien tôt une litière.

Puis, lorsque la messagère, de bonne augure cette fois, s'en retourna à ces occupations, il posa à nouveau un regard indolent sur celle dont le nom lui était encore inconnu.

-Où dépenser ces écus fringuant ? jetant et rattrapant la bourse dans sa main.
Sanglier chevreuil, et cerf,
Et pourquoi pas un peu de faisans,
Agrémenté de quelques bières ?
Si d'une taverne vous avez vent,
Ou tels met de roi l'ont sert,
Faisons route dés maintenant
Quittons ce glacial enfer,
Qui de paradis office fit un instants,
et dont vous fûtes l’officière.


Un sourire aux lèvres, l'eau qui monte à la bouche.
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