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[RP ouvert] D'une Saint-Valentin peu commune

Killijo_de_denere
[RP qui démarre le 14 février RP, bien sûr, et qui se terminera quand toutes les roses seront données ]

Killijo avait décidé de tenter une nouvelle expérience. Il en connaissait un rayon sur les femmes, mais il restait persuadé que le jour de la Saint Valentin, elles préfèreraient recevoir une rose de leur amoureux, mari ou soupirant plutôt que d'en offrir une. Il avait donc fait quérir Alois pour qu'il lui apporte quelques douzaines de roses de son domaine, qu'il distribuerait volontiers aux dames pour vérifier l'hypothèse d'Abraxes ou l'infirmer.

La soirée passée en taverne, il était arrivé le lendemain, rasé de près, dispo, avec ses douzaines de roses rouges et roses, la blancheur n'étant réservée qu'aux midinettes qui rêvent à un hypothétique prince charmant qui vide des pintes en attendant qu'elle soit désespérée et le supplie de l'emmener sur un canasson squelettique pour vivre dans sa chaumière et lui préparer des bons petits plats.

Il fait installer ses fleurs et s'installe tranquillement, une chope à la main, attendant la première arrivée.



Le spectacle suffira, point n'est besoin de les interpeller, à moins que...
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Chez moi
Fibinath
La brune avait vaguement suivi la discussion d'une oreille la veille en taverne. Le lendemain matin elle aperçoit le Coq avec toutes ses roses et s'approche avec un sourire amusé aux lèvres.


coucou Killiou, ca se passe bien ? T'as une chope pour moi ?


En attendant qu'il lui trouve ca, elle repère du coin de l'oeil la seule rose blanche perdue au milieu des roses roses et s'en empare. Rapidement, elle redige quelques lignes

Citation:
"Mon cher,

En ce jour de Saint Valentin recevez cette rose aussi pure que votre chasteté.
Soyez assuré de mon amitié.

Fibi"


Elle accroche le parchemin à la rose et passera la déposer à qui de droit après avoir trinqué avec son ami.
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Temary
Après l'avoir cherché Temary met enfin la main sur l'homme aux roses, son homme. Elle le regarde un instant de loin, craquant ! Non, non ne pas baver, ça fait tâche sur la chemise.

Quelques instant puis elle s'approche de lui par derrière, glisse ses mains à sa taille, lui dépose un baiser au creux du cou puis lui chuchote à l'oreille :

Bonne St Valentin mon homme !

Un instant elle reste collée à lui puis elle passe devant lui pour piquer deux roses dans le bouquet.

Une rouge, pour vous.

Un baiser sur la fleur avant qu'elle ne coupe la tige au dessus des épines pour la lui glisser à la boutonnière.

Et une rose pour un ami mais chuuut secret.

Un clin d'oeil amusée avec la pensée d'en prendre une jaune pour l'envoyer à Fanta mais ces temps ci elle se tient sage, elle n'en fera donc rien.

A plus tard mon adoré.

Un baiser de la main puis elle s'éclipse livrer en main propre la seconde fleur.
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Killijo_de_denere
Il sourit en voyant Fibi arriver. Il lui claque une bise

Ben ça se passe, tu es la première dame qui vient en chercher une. Tu en veux combien ?

Finalement, elle préfère une chope. Avec un sourire en coin, il va lui chercher une belle chopine et lui sert avec application. Elle est en train d'écrire un mot pour son Valentin, il la laisse faire et trinque avec elle à la Saint Valentin, aux amoureux, et aux roses que l'on s'offre. Il continue tranquillement à distribuer ses roses aux dames quand il sent un baiser.

Bonne saint Valentin, mon ange

Il la serre contre lui, content de la retrouver. Elle lui accroche la rose à la chemise, il la regarde tendrement, ne pas avoir un air trop béat, la réputation, l'homme à femmes qui s'est rangé pour elle, mais il ne résiste pas à l'envie de l'embrasser dans le cou.

Temary a écrit:
Et une rose pour un ami mais chuuut secret.


Son naturel possessif le fait un peu grimacer, mais il n'en dit rien, il a aussi des amies avec qui il passe du temps, et elle ne lui demande rien.

Temary a écrit:
A plus tard mon adoré.


Il lui sourit et la regarde marcher en appréciant sa rose et la belle qui lui a offerte. Sa distribution continue. S'il y a besoin, il enverra les valets en chercher d'autres.
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Chez moi
Marzina
La surprise, la surprise ce jour-là, de retourner chez elle et de trouver à sa porte, cette jolie rose écarlate. Il avait choisi la Saint Valentin pour déclamer ses sentiments, et la blonde ne savait pas trop comment y réagir. Parcourant les rues d'Angers perdue dans ses pensées, elle aperçut cet homme qu'elle avait déjà croisé en taverne, et qui se trouvait maintenant derrière un amas de roses rouges et roses. Elle s'approcha, légèrement curieuse, et se pencha pour humer une rose.

"Ce sont des roses que les femmes devraient distribuer si je comprends bien, messire Killijo?"

Sourire amusé alors qu'elle observe les roses.

"On peut en prendre plusieurs?"

Gourmande.

"Il m'en faudrait deux rouges et une rose..."

Et voilà qu'elle se met à écrire ses petits mots, sortant de sa besace son habituelle plume de paon, qu'elle avait failli offrir et puis qu'elle avait récupéré. Hop, premier petit morceau de parchemin.

Citation:
A celle à qui j'ai dit oui devant le Très Haut,

Ma blonde -j'allais faire une allusion sur tes kilos en trop, mais je me suis dit que ca ne ferait pas raccord avec le thème du jour. Ma blonde adorée donc, j'espère que tes monstres ont arrêté de baver allégrement sur ta robe, je dois t'avouer que c'est juste absolument dégoutant, c'est mon rôle de filleule que de te prévenir.
Une rose rouge pour toi, belle blonde, parce que je n'ai jamais su t'oublier depuis que je t'ai rencontré, et que tu m'as dessiné pour la première fois une tenue. Je n'oublierais pas non plus ce jour un peu fou, où deux blondes enceintes ont pleuré dans les bras l'une de l'autre la lâcheté des pères de leur future progéniture.

Tu es peut-être mariée, et je suis peut-être en fugue en Anjou, mais je ne t'oublie pas,
Rappelle à mon neveu quelle chance il a, et s'il regarde un peu trop une autre blonde que toi, mets-lui une bonne gifle pour moi.

A galon,
Zina


Sur le pli, elle écrit avec de belles lettres rondes "A Sa Magnificence Marie de Montfort, Château de Nantes, Bretagne". Hop, on replonge la plume dans l'encre, une lettre un peu plus courte cette fois.

Citation:
Ma c'harantez,

L'absence et la Normandie ont creusé entre nous un fossé qui semble se creuser un peu plus, tandis que tu te rapproches de la Guyenne et que je m'éprends de l'Anjou.
Je me dis toujours que celui qui tire les ficelles de notre destin était un peu cruel le jour où il a attaché ta vie à la mienne, et nous a fait rencontrer. L'officier royal mainois et la princesse bretonne, comment a-t-on pu y croire un jour?
Et pourtant, je ne désespère pas, un jour...mais pas demain, j'ai poney.
Je porte toujours ta bague de fiançailles, si elle n'est plus à mon annulaire, elle repose maintenant près de mon cœur.

Da garout a ran,
Zina


Elle écrit sur la lettre "Ailvin Wolback, Quelque part en Guyenne". Hop, nouvelle lettre, pour la rose...rose.

Citation:
Sale enflure d'Ours bougon,

J'ai bien reçu ta rose.
Essaierais-tu de m'acheter?
Dans ce cas, préfère les bijoux, ou les diamants, voire les robes.
J'ai apprécié le petit mot qui était joint, tu fais toujours preuve d'autant d'éloquence...

Va donc crever à l'autre bout du royaume, je m'en fiche, tu n'es qu'un vieil ours revêche!
Epouse donc Chimerâle, elle aussi c'est une petite vieille, vous serez assortis!

Marzina.


Elle écrit "Lemerco, Chateau de Dol, Bretagne". Sourire amusé, voilà qui est fait. Une Saint Valentin comme les autres, en fait. Elle jette un oeil dans sa besace et relève un petit nez mutin, demande à Killijo:

"Vous pensez qu'au lieu des roses, on peut envoyer des trucs plus...volumineux? Voire même...vivants?"
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Killijo_de_denere
Marzina a écrit:
"Ce sont des roses que les femmes devraient distribuer si je comprends bien, messire Killijo?"


Bonjour damoiselle, bien sûr, servez-vous.

Il la laisse sentir les roses en les rapprochant. Une autre dame qui veut offrir une rose à son valentin, finalement, il s'est trompé sur les traditions.

Marzina a écrit:
"On peut en prendre plusieurs?"


Il la regarde avec un sourire entendu.

"Plusieurs Valentins ? Chanceuse..."

Il admire la plume de paon pendant qu'elle écrit, et continue à distribuer des roses aux dames qui passent. Certaines lui adressent même un magnifique sourire, si bien qu'il ne leur propose point de les donner à leur valentin.

Marzina a écrit:
"Vous pensez qu'au lieu des roses, on peut envoyer des trucs plus...volumineux? Voire même...vivants?"


Il lui sourit. Il se rappelle qu'à son procès, elle doit venir témoigner à la demande de l'accusation. Il pourrait donc lui rendre ce service, en échange d'un gentil témoignage en sa faveur, car de toute manière, il est innocent de tout ce dont on l'accuse, mais une autre témoin qui assure qu'il est accusé à tord l'aiderait. Il pourrait l'inviter à dîner aussi, mais ça poserait des problèmes, Temary pas contente, tout ça. Ca donnerait une belle réconciliation, hum, bon tout ça ! Mais il se contente de lui dire

Oui, je pourrais envoyer un valet ou deux, si vous le souhaitez. Pour vous rendre service, et vous, vous pourriez me rendre la pareille quand je vous le demanderais.

Lourd sous-entendu qu'elle ne peut rater... Voyons voir si elle a besoin de livraisons particulières.
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Chez moi
Marzina
Elle adresse quelques sourires amusés au jeune homme dont elle avait déjà pu admirer les manières policées en taverne. Il avait de la ressource, l'angevin, pour trouver une idée pareille pour égayer les jours froids d'hiver. Et il avait surtout beaucoup d'humour! La proposition qu'il lui fit déclencha un rire franc. Affichant un sourire mutin, elle fit remarquer:

"Une des caractéristiques amusantes du peuple angevin, c'est leur capacité semble-t-il innée qui les pousse à négocier chaque chose qu'il leur est possible de marchander..."

Mais elle est joueuse, très, c'est bien pour ça qu'elle a toujours ce maudit sonnet en poche, sonnet qui a été un véritable casse tête à rédiger. Sourire en coin, et elle répond à l'angevin:

"Je trouve votre proposition aussi amusante qu'acceptable. A vrai dire, j'ai effectivement un colis d'un genre particulier à faire livrer..."

Elle sort de sa besace et dépose sur la table un petit coffret de bois d'où sortent quelques petits cris étouffés.

"Je n'avais pas pensé l'offrir à la Saint Valentin, plutôt à mon arrivée à vrai dire, et puis je n'en ai pas pris le temps. Mais l'occasion est fort belle, c'est assez divertissant, mais je n'ai pas envie de le livrer moi-même, le cadeau perdrait de son charme..."

La main fine et blanche caresse pensivement le coffret.

"Et puis je n'ai pas envie de voir cet homme, question d'honneur dirons-nous. Voilà pourquoi votre proposition m'intéresse, et je suis prête à y répondre favorablement, mais à une condition...Que ce ne soit pas un valet mais vous, qui le lui donnez. J'ai envie de connaitre la réaction du destinataire."

Petit rire amusé.

"Si vous acceptez, je serais donc votre obligée. Avez-vous une idée de ce que vous souhaiteriez me demander?"
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Killijo_de_denere
Marzina a écrit:
"Une des caractéristiques amusantes du peuple angevin, c'est leur capacité semble-t-il innée qui les pousse à négocier chaque chose qu'il leur est possible de marchander..."


Il lui sourit galamment.

J'ai été maire pas mal de temps, damoiselle, cela laisse des traces. Les négociations étaient âpres, mais chaque parti repartait toujours heureux. Aujourd'hui, je vous offre des roses à distribuer à vos amoureux, je crois que l'effort est déjà important, non ? J'aurais pu les garder pour les distribuer moi-même à des damoiselles que je côtoie.

Marzina a écrit:
"Je trouve votre proposition aussi amusante qu'acceptable. A vrai dire, j'ai effectivement un colis d'un genre particulier à faire livrer..."


Il regarde le coffret qu'elle tient avec curiosité. Que va-t-elle lui inventer ? Il écoute pour en connaître le contenu..

"Que ce ne soit pas un valet mais vous, qui le lui donnez. J'ai envie de connaitre la réaction du destinataire."

Il la regarde en haussant un sourcil, l'air un peu pincé. Lui demander à lui, seigneur des Rosiers, viticulteur et pêcheur d'aller jouer le valet pour elle ? Il lui faudrait bien plus qu'un petit service pour qu'il l'accepte. Surtout venant d'une jeune dame qu'il ne connaît point. Même s'il a besoin d'un témoignage favorable envers sa personne, car il ne sait point ce que Fibi a pu promettre au juge pour sa peine - le souvenir du duel de la confession lui a donné quelque leçon - il ne s'abaissera point à jouer le valet pour elle, question de fierté de coq... Angevin. Il réfléchit avant de lui répondre.

Citation:
"Si vous acceptez, je serais donc votre obligée. Avez-vous une idée de ce que vous souhaiteriez me demander?"


Ne rien demander, si elle sait qu'il a besoin d'un service, elle mettra la barre encore plus haut. Déjà que l'idée de jouer le valet le révulse, mais elle pourrait avoir beaucoup d'imagination pour un autre service. Après tout, il ne sait point réellement dans quel camps elle se trouve. Si elle joue la carte de la solidarité féminine, il y perdra à coup sûr. Il préfère répondre.

J'ai pour habitude de pratiquer les services mutuels. J'ai aidé lors de mes prises de responsabilités au sein du duché ou de la ville, et j'attendais un retour lorsque je le demandais. Je n'ai donc point d'idée immédiate précise de ce que je pourrais vous demander. Sourire enjôleur. Procès procès, montrer à Fibi qu'il peut aussi avoir des femmes de son côté... Il lui prend délicatement la boîte des mains pour la soupeser, ce doit être une petite chose sans grande dangerosité pour être dans un si petit coffre. Quelle est donc cette personne à qui je devrais livrer ce message ?
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Chez moi
Marzina
Malgré le sourire qu'il lui avait rendu, ses paroles laissaient penser à la demoiselle qu'il n'avait pas aimé qu'elle souligne les habitudes commerciales des angevins. Ça n'avait pourtant rien d'insultant lorsqu'elle l'avait dit, c'était juste quelque chose qui l'amusait.

"Certes certes, les roses sont un geste louable de votre part, mais je ne doute pas que vous espériez par ce geste récupérer quelques roses...en plus de votre générosité d'âme, cela va de soi!"

La bretonne est joueuse, même si elle tente de calmer ce coté là dernièrement. Elle qui est princesse et trempe souvent dans les pires complots avec des gens de toute espèce, chose qu'en théorie elle ne devrait pas faire, ne saurait comprendre ce qui se passe dans la tête de l'angevin. C'est pourquoi elle lui lance un regard interrogateur, ne comprenant pas où se situe le problème, plus y'a de fous plus on rit non?

"Peu importe si vous ne savez pas encore ce que vous allez demander, je vous l'ai dit, je serais votre obligée pour un service de même valeur."

Après tout, ca ne pourra pas être pire que les dernières négociations qu'elle avait entamé, lui la connait moins.
Elle s'inquiète alors qu'il prend la boite et la soupèse, se penchant déjà légèrement, les mains en avant, pour pouvoir récupérer la boite au cas où, boite d'où sortent des petits pépiements alors qu'il la bouge.

"Diwall!* Vous allez lui casser une patte!"

Certes, il parait qu'ils sont encore mieux unijambistes, mais quand même, elle ne satisfera pas ce caprice là! Hop, elle repousse les boucles blondes derrière ses épaules, et met ses deux mains à plat sur la table, y prenant appui.

"Vous n'aurez pas de mal à trouver le destinataire, je pense que vous le connaissez. Le paquet doit être déposé à cette enf...cet angevin dont le bureau se trouve dans la grande bâtisse de pierre là bas. Le bureau le plus grand, avec un trône."

Et elle montre la direction du château ducal.

"Oui oui, je parle bien du Fou qui est duc ici. Le cadeau n'est pas dangereux. Comme vous avez pu le constater, il est vivant. Il n'a pas de griffes, il n'a pas de dents, il est végétarien. Vous n'aurez pas à subir des foudres quelconques, car j'ose espérer que ça aura l'heur de plaire au destinataire."

Les yeux noirs fixent le regard de celui qui lui fait face, tandis qu'une voix décidée s'enquiert:

"Marché conclu, ou pas?"

Après tout, il ne s'agit que d'un paquet à livrer, elle pourra toujours trouver quelqu'un d'autre pour le faire...

*attention, en breton
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Seraza
Elle, qui ne devait être que de passage dans ce Duché, allait rester quelques jours de plus finalement. Le fait était qu'elle avait retrouvé un ami ici et du coup, elle préférait rentrer en sa compagnie pour ne point se faire faucher en cours de route. Puisqu'elle était là, autant faire un tour sur la place angevine.

La belle blonde, audacieuse à ses heures, mis sa chasuble sur son dos et sortit de son hôtel pour se balader et voir s'il y avait des merveilles ici aussi.
Du haut de sa colline, le château dominait la vallée. La belle Sera ne se lassait de le regarder, de contempler chacune des pierres de cet édifice si majestueux et imposant. Les maisons étaient serrées les unes autres et elles avaient une drôle d'architecture. Des poutres de bois en forme de croisillons et hautes comme si les toits allaient piquer le cul du ciel.
Puis, sur la place, se tenant debout comme un piquet, un jeune messire était posté comme s'il attendait....Mais il attendait quoi au juste avec ces roses à la main?
Ni une, ni deux, Sera se dirigea vers lui avec une pointe de curiosité.

Bonjour messire. Sourire aux lèvres par politesse. Excusez-moi de vous importuner mais......vous avez de belles fleurs dans vos bras. Puis les comptant. Arf....Si vous comptez les offrir à votre dulcinée, prenez-en une de plus. Le voyant quelque peu interloqué. Ben vous avez un nombre pair de roses et cela porte malheur à la personne à qui vous les offrez. Puis, lui offrant un beau sourire quelque peu narquois. 'Fin, je dis ça, je dis rien hein.

Rahhh, celle-là! Toujours à se mêler de tout. Pourtant, on lui avait dit, la curiosité est un vilain défaut.
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A trop s'y frotter on pourrait se piquer!!
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