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[RP]Arrivée des "rebelles" Guyennois Ponantais.

Albi95
C'est par un beau jour d'hiver qu'une bande d'Amis arriva en Bretagne et plus précisément à Vannes.

Ils ne se connaissaient que peu mais pourtant ils avaient beaucoup de choses en commun.

En effet, la guerre les avait réunis sous une même bannière. Celle de l'Alliance, celle du Ponant.

Ils arrivèrent de la Guyenne en passant par le Poitou.

Oui ce sont des guyennois mais ceux considérés comme "rebelles".

Ceux qui ont tentés de reprendre Bordeaux la capitale lorsqu'un pair de France du nom de Koyote, lui même Guyennois, a prit le château par la force sous les ordres de la défunte Reyne Nébisa.

Ceux qui ont formés les rangs de l'armée "Veneratio Vel nex" dirigé par Garzimlebo, Duc de Blanquefort participant à la défense de Saintes, du Poitou et à la prise de Tours notamment.

Mais la Guyenne a retourné sa veste à l'alliance et de ce fait, leur avenir n'est plus là bas.

C'est alors qu'ils décidèrent de venir habité en Bretagne, terre d'accueil et de liberté, terre partageant leurs valeurs ; un projet les réunissant à nouveau...

Mes Amis, nous voici enfin en Bretagne !!! s'exclama l'un d'entre eux.

Il s'agissait d'Albi.
Physiquement, il a la particularité d'avoir sur le visage une balafre reçue lors d'un combat pour le reprise du palais de l'Ombrière.
C'est une personne solitaire, de confiance, discrète, ne cherchant ni gloire ni pouvoir. Sa devise étant de combattre l'injustice et de défendre ses valeurs.

Il les regarda tous un à un et leur fit un hochement de tête en guise de remerciement. En effet, ils avaient tous participé à la première phase de ce projet.

Une larme coula le long de sa joue...

Fanch.


Fanch faisait parti du groupe avec son neveu, ils arrivèrent à Vannes le matin même.

Ils s'y installeraient sous peu, ils n'attendaient que l'autorisation pour le faire.

Dès qu'il faisait un pas, il grinçait, et oui, le soldat avec sa lourde armure avait besoin d'un peu d'huile, enfin l'armure, pas le soldat, quoique...

Et oui mon ami, nous sommes arrivés.
Enfin nous allons pouvoir refaire notre vie, notre place n'était plus avec ces couards de Guyennois Royalistes.

Bon, je vais continuer à étudier un peu pour pouvoir t'aider sur le bateau.


Puis Fanch donna une claque dans le dos de son ami en guise de remerciement pour l'avoir embarqué dans cette formidable aventure.

_________________
Albi95
Albi était touché par l'amitié de Fanch.

Oui mon Ami.

Notre nouvelle vie recommence ici.

Tu as raison, continuons les études pour le bateau.

Les paroles de Fanch. lui rappelait le projet. Le projet de venir s'installer ici mais aussi le projet de construire un bateau et plus précisément une coque de guerre.

Peu après la guerre, nous avons travaillés d'arrache-pied pour rassembler tout le matériel nécessaire à la construction de ce bateau. Aujourd'hui, ce n'est plus qu'une question de jour pour que ce rêve devienne réalité !

Fanch.,

Avant d'aller étudié, que dirais-tu si nous allions à la rencontre des habitants.

Je ne connais personne ici.

Allons sur la place publique quand penses-tu ?

Si d'autres sont intéressés, venez avec nous.
Emmanuel12
Ayant écouté les 2 leaders de ce groupe d'expatriés, le baluchon sur l'épaule et le regard noir de tout ce qu'il avait pu enduré, Manu contemplait son nouvel horizon. Etait ce celui de la liberté? Il ne le savait point ,simplement le fait de ne pas se savoir seul, lui laissait croire en cet avenir meilleur que tout homme espère, tant les effrois de la guerre et le dur labeur de la mine avait marqué à jamais le blond.

Ce n'est jamais avec gaieté de coeur que l'on part, mais c'est toujours ainsi que la vie nous forge tel le fer dans l'âtre du forgeron. Frappé , esseulé et forgé petit à petit , l'âme de l'apatride contemplait ce qui devait être son but.

Loin de rire, loin de pleurer , mais l'envie d'aider les siens , c'était maintenant son seul objectif. De ses mains caverneuses où tant de fer , d'or et pierre de guyenne avaient laissé la marque indélébile d'un souvenir de plus en plus lointain, il s'agenouilla et prit à pleine poignée la terre, il la huma en fermant les yeux, se releva et la lança en l'air et dit à ses compagnons d'infortune:


"Mes amis nous voici donc arrivé , vers notre futur.La passé est derrière, à nous de construire notre avenir..."

Emmanuel , mineur de son état, était en communion avec la terre.C'était la seule chose qui lui importait, la terre celle qui vous nourrit, celle qui reste ,celle qui vous fait.
Les blessures du passé perduraient dans son âme, mais le fait de ne plus être seul, lui octroyait ce surplus de volonté et de caractère dont tout homme a besoin pour aller de l'avant.



Ecoutant les paroles sages de Albi, il opina du chef, et ne put s'empêcher de lui dire en souriant:

" Entièrement d'accord, allons à leur rencontre"
Adenora
[Quand une gamine va au devant de la rencontre...]

Anonyme parmi la foule bigarrée et chatoyante de la grande place, la gamine observait cette poignée d'étrangers qui semblaient découvrir Breizh les yeux emplis d'espoirs.
Sans qu'elle ne sache pourquoi, un sentiment de déjà vu la taraudait, pourtant la jeune rohannaise était au fond persuadée de ne jamais les avoir rencontrés.
Peut être leur prestance lui jouait-elle des tours, à moins que cela ne vienne tout simplement de son imagination débordante.
Esterel n'aurait manqué de lui rappeler combien il était mal élevé de dévisager les grandes personnes, les enfants aussi d'ailleurs, à cette pensée Adenora détourna son regard trop curieux. Encore aurait-il fallut que sa nourrice soit présente et ne l’ait abandonné au trépas de sa bienfaitrice guyennoise!
A croire que l'enfant ne pouvait l'oublier, pas d'avantage que ses enseignements. Et puis impossible de lui garder vraiment rancune, malgré sa disparition et son silence, ne lui avait-elle pas fait parvenir le journal intime de Mimi? L'enfant s'y était plongée, vivant par procuration les palpitantes aventures de la presque dame de Maussac et de ses amis, qui avaient tous plus ou moins un jour fait partie de Volens Nolens, Bis dat qui cito dat, ou même plus dernièrement de Veneratio vel nex.
Malicieuse, maladroite ou tout simplement plongée dans ses pensées, Adenora fonça droit sur le groupe, provoquant par là même la collision...


Ma digarezit, je suis désolée...

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Madcat
Ayant laissé sa Mairie entre les mains de ses collaborateurs, Anne-Solenn Wolback venait d'arriver à Vannes, en mission pour la prévôté.

Elle fut surprise de voir un groupe d'inconnus, qui semblaient extrêmement émus, mais dont les visages exprimaient un grand bonheur.

Soudain, un grand gaillard, dont le visage était barré d'une impressionnante cicatrice, poussa une exclamation:


Citation:
Mes Amis, nous voici enfin en Bretagne


Intriguée, Anne-Solenn s'approcha du balafré et décida de se présenter. Et puis une petite vérification ne fait jamais de mal

Demat, Messire, je suis Anne-Solenn Wolback, prévôt de Bretagne, puis-je me permettre de vous souhaiter la bienvenue? Venez-vous de loin avec vos compagnons?
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Adenora
Le prévôt était-elle instantanément tombée sous le charme de l'homme à la grande cicatrice? Un excès de zèle face à des étrangers peut-être... Toujours était-il qu'elle était apparue, comme par magie, excluant la gamine qui visiblement semblait inexistante à ses yeux.
Et tandis que la dame s'empressait de se présenter aux adultes, surement pour pouvoir réclamer ensuite leurs éventuels précieux laisser passer, non pas pour interrompre bien sûr cette rencontre qui aurait pu être des plus agréable, Adenora préféra lors s'effacer.


Degemer mat messieurs, au plaisir...

Dame.

Inclinaison de tête poli à défaut d'être amical pour cette dernière, somme toute à la mesure de la déception qu'elle venait de ressentir. L'enfant s'éloigna en allongeant, autant que sa taille le lui permettait sans frôler le ridicule, le pas.

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Emmanuel12
Voyant la gamine partir, emmanuel était resté coi devant pareille audace.Aurait il eu le courage de celle ci ? Venir au devant d'étrangers comme eux, ne devait pas être chose aisée. Et l'intervention de la prévôte des lieux avaient eu tendance à la faire fuir. Pour le blond vagabond, cette gamine, c'était l'incarnation de la bretagne telle qu'il l'a perçu, sauvage au possible et si proche et si curieuse à la fois.

Elle se méritait certainement, et il était très compliqué pour le profane de saisir tout les moindres recoins et détails de celle ci . Etant d'un naturel, assez timide, notre héros , prit sur lui et alla au contact de l'enfant. Et chercha à lui murmurer quelque mots dans un français dés plus hésitants pour essayer de la rassurer:


"Excuse moi , mais tu pourrais m'expliquer les mots degemer mat...je suis pas expert dans la chose"


Puis espérant que celle ci le lui expliquerait, il se tut et salua comme il se devait, la prévôte bretonne. Après tout , être accueilli de la sorte était déjà un honneur que bien peu de monde pouvait s'offrir. Se sentant bien plus en confiance, le blond remua ses guêtres pour sortir la poussière , puis essaya de se rendre le plus présentable possible afin de ne pas trop dépareiller.
Adenora
Et sa taille ne lui permettait pas une bien grande foulée...
Arrêtée dans son élan par la voix plutôt timide mais amicale dans son dos, l'enfant se retourna n'ayant plus le coeur à sa puérile réaction, bien proche d'une banale fuite qui lui sembla d'ailleurs trop indigne.


Excuse moi , mais tu pourrais m'expliquer les mots degemer mat...je suis pas expert dans la chose

Le sourire de la blondinette s'étira avant qu'elle ne lui réponde avec douceur.

Bienvenue. Enfin, je veux dire que c'est le sens de ces quelques mots en breton.
Adenora eo ma anv... Je me nomme Adenora.

L'enfant laissa s'échapper son rire, cascadant à mesure qu'elle s'apercevait de sa maladresse.

Oh rassurez-vous, ma nourrice était guyennoise, et je ne serais pas capable de tenir conversation en breton.

Un rohannais m'a dit un jour que prononcer quelques mots de breton lui permettait de faire l'intéressant auprès des femmes... A croire que cela est transposable pour une gamine auprès d'étrangers!
Vous êtes françois?

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Albi95
Albi écouta les paroles de son Ami Emmanuel. Il ne le connaissait que depuis peu mail il sentait en lui des qualités indéniables. Il espérait en découvrir d'ici peu...

Emmanuel, oui notre avenir est ici et à nous de faire qu'il soit le plus radieux possible.

Je suis persuadé qu'il y a des gens très bien ici !


C'est alors qu'une jeune gamine s'approcha d'eux.
Elles les bouscula. C'était comme si notre présence l'avait perturbé.
Albi n'arrivait pas à lui définir d'age. Peut-être, 6 peut-être 7 voir 10, 12 ans.


Citation:
Ma digarezit, je suis désolée...


Il regarda son visage Angélique et fut surpris. Comme si... Non il ne pouvait la connaitre! Mais pourtant...

Tout d'un coup, il entendit parlé.


Citation:
Demat, Messire, je suis Anne-Solenn Wolback, prévôt de Bretagne, puis-je me permettre de vous souhaiter la bienvenue? Venez-vous de loin avec vos compagnons?


Un frisson le fit tremblé, lui le balafré. Son regard se porta vers cette Dame qui était d'une beauté malgré l'uniforme porté.
Il n'eut pas le temps de lui répondre que soudain la jeune demoiselle s'exclama :


Citation:
Degemer mat messieurs, au plaisir...

Dame


Il n'eut pas le temps de répondre que son Ami Emmanuel prit la parole tout en se rapprochant de la jeune Damoiselle qui s'éloignait du groupe.

Il finit par lui parler.


Jeune Damoiselle, ne vous sauvez pas. Laissez-moi vous saluer...Attendez...


Puis il se tourna vers la prévôt voyant qu'Emmanuel avait semble t-il réussi à retenir la jeune Damoiselle.

Bonjour Dame prévôt. Mes sincères respects.

Je m'appelle Albi.

Je viens de Guyenne accompagné d'amis.

Je suis très heureux de pouvoir enfin vous rencontrer !


Puis il s'inclina et se mit à genoux devant la Dame.
Fanch.


Le guerrier avait ouvert la visière de son casque, comme pour mieux apprécier le spectacle de cette nouvelle ville, cette nouvelle vie.

Son neveu toujours à ses côtés mais incapable d'aligner deux mots depuis la rencontre de sa tête avec une masse d'armes, son casque avait alors explosé, les médicastres l'avait sauvé mais le pauvre était devenu complètement idiot et dépendant de son oncle.

Regarde Hailé, nous sommes arrivé à Vannes, ton père à vécu ici quelques temps.
Cette ville est belle, il y a un port qui nous permettra de construire le bateau.
Nous y serons bien.


Il lui parlait mais pourtant, il savait que ce dernier ne comprenait pas tout.

Fanch sourit à Manu, il avait suivi la belle Jess jusqu'ici.
Même si Fanch avait été un peu brutal avec lui, ce dernier, n'avait pas eu peur de dire qu'il suivrait la belle au bout du monde.
Ca le rendait heureux, il pensait qu'enfin son amie allait trouver un homme pour elle.
Enfin il l'espérait.

Une petite fille se cogna dans l'armure du soldat.
Elle baragouina quelque chose d’incompréhensible pour ce dernier.
Ma digarezit, je suis désolée...

Puis une autre Dame s'adressa à eux pour leur souhaiter la bienvenue.Le prévôt.
Fanch eu un petit moment de doute, puis se souvint qu'Albi avait fait tout le nécessaire pour préparer leur arrivée.
Il lui adressa un saigne de tête poli pour la saluer.

Puis son attention se reporta sur la gamine qui prononça encore des mots étranges.
Degemer mat messieurs, au plaisir...

Il vit Manu dire quelque chose faiblement à la gamine.
Fanch ne pu s'empêcher de mettre les pieds dans le plat et de beugler sur son compagnon de voyage.

Hé Manu, ramène donc la gamine ici s'il te plait, j'ai rien compris à ses paroles.

Voyant que la petite avait commencé à répondre à Manu mais Fanch était trop loin pour tout saisir, il laissa la prévôt parler avec Albi et se rapprocha de la fillette.

Alors fillette, c'est quoi les mots que t'utilise?
Tu t'es pas fait mal au moins en tapant dans mon armure?


En prononçant ses paroles, Fanch comprit, le Breton, la Bretagne ben oui sombre idiot, ca devait être ça.
Bon, tanpis, le soldat avait encore parlé plus vite qu'il n'avait réfléchi mais bon, il attendrait la traduction de l'enfant pour savoir si cette dernière leur souhait la bienvenue ou si au contraire, elle les insultait en demandant de quitter son pays.

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Emmanuel12
Entendant fanch, lui parler avec son aplomb d'homme de guerre.Manu obtempéra.
Son ami avait la particularité d'avoir le regard affûté.Chose normale car en temps de guerre, il valait mieux voir en premier qu'en second, pour ne pas se retrouver occis. Sa faconde et son verbe haut tenaient vraisemblablement du fait que dans le fracas des armes, il eusse fallu se faire entendre pour encourager les siens et prévenir de son appartenance. La résonance dû à sa "boîte de conserve" que certains nomment armure en rajoutait à sa stature

Manu s’exécuta, et d'un ton conciliant avec un sourire appelant à le suivre s'accroupit pour se mettre à la fillette et se mit à lui dire :


" François? Disons que l'on est sans pays pour le moment .On aimerait vois tu devenir comme vous..Mais si tu veux bien ,suis moi et je vais te montrer l'ensemble de notre troupe."

La regardant, le blond repensait à ses années de jeunesse , où l'insouciance était de mise, et où les dunes de l'Atlantique étaient sa deuxième maison.
Car de Guyenne à la Bretagne, les 2 pays étaient liés par cette grande bleue et le mineur qu'il était devenu se sentait paradoxalement déjà réconforté et chez lui.
Adenora
Tandis qu’une conversation timidement mais sûrement s’engageait, l’enfant remarqua le balafré, qui avait tenté lui aussi de la retenir par quelques mots engageants, pliant genoux face à la prévôt…
Pouah! Un amoureux devant sa dulcinée passe encore, les sentiments égarent les grands qui font tout un tas de trucs étranges sous leur emprise, mais était-ce devant la femme ou sa fonction qu’il s’aplatissait ainsi ?
L’homme en armure lui s’était rapproché, non sans avoir préalablement lancé d’une voix de stentor au ton péremptoire ordre de la ramener.


Hé Manu, ramène donc la gamine ici s'il te plait, j'ai rien compris à ses paroles.

Et le dit Manu concentré sur le choix de ses mots avait entreprit de la convaincre plutôt que de la contraindre.

François? Disons que l'on est sans pays pour le moment .On aimerait vois tu devenir comme vous..Mais si tu veux bien ,suis moi et je vais te montrer l'ensemble de notre troupe.

Adenora tendit alors la main à celui qui s'était accroupi pour lui parler en égal ou pour ne pas l’effaroucher, afin de l'aider à se relever.

Restez vous même, c'est votre singularité qui peut faire de vous, un jour, des bretons.
Al liested, ur binvidigezh. La diversité, une richesse.
Tous différends mais unis, enfin, peut être n'est-ce là qu'une utopie.


Alors fillette, c'est quoi les mots que t'utilise?
Tu t'es pas fait mal au moins en tapant dans mon armure?


Désignant du geste le compagnon de son vis à vis, elle poursuivit à leur attention.

Votre heuu... chef, doit penser que l'on est jamais mieux servi que par soi-même...
Pourtant je vous aurais suivi plus surement que si vous aviez tenté la manière forte, je suis plutôt habile à l'esquive.


Une lueur amusée, dansa dans les grands yeux verts qui dévoraient son petit visage, adoucitssant certainement son air un peu mutin tandis qu'elle relevait le menton.

N'ai-je point endommager votre armure au moins?

Et de rire de nouveau, sans moquerie aucune, joyeuse tout simplement.

Convenez qu'il serait tout aussi farfelu de penser qu'une bousculade puisse ébranler quiconque, même une gamine, que d'abimer pareille cuirasse, non?

Oh, et puis... Ma digarezit, n'a d'autre sens qu'un simple excusez-moi. Je dois être un peu maladroite.


Espiègle et joueuse telle que l'on s'y attend de la part d'une petite tête blonde, incisive et parfois plus mature, trop peut être, mais ainsi la vie l'avait déjà façonné, bien loin de l'insouciance de sa propre jeunesse que nostalgiquement Emmanuel cherchait un peu en elle.

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Fanch.


Fanch rit aux paroles de la gamine, décidemment, il était maladroit avec les femmes, même avec les fillettes.
En fait il était maladroit avec les gens tout court.

Mais bon, la petite essayait de les mettre à l'aise.

Elle avait l'air toute gentille, il se détendit donc et lui sourit en enlevant son casque.

Non effectivement, cette armure en a vu d'autre.
J'avais peur que tu te sois pris un petit bout de métal qui dépassait ou autre, me voilà rassuré.
Alors oui d'accord, il n'y a pas de soucis, il va falloir que j'apprenne cette langue si je veux pleinement m'intégrer en ce beau Duché et cette magnifique ville.
En tout cas fillette, merci de ton accueil, c'est fort aimable.
Et j'espère ne pas t'avoir fait peur en parlant comme ça, je suis un peu, comment dire, brusque des fois.


Puis il se remis à rire et resta avec Manu et la petite à discuter quelques instants.

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Madcat
Anne-Solenn observait la gamine et les nouveaux venus et s'amusait des mimiques de la jeune effrontée, quand la voix grave du grand balafré la fit sursauter.

Citation:
Bonjour Dame prévôt. Mes sincères respects.
Je m'appelle Albi.
Je viens de Guyenne accompagné d'amis.
Je suis très heureux de pouvoir enfin vous rencontrer !


Le voyant mettre un genou à terre, la jeune femme lui fit signe de se lever et s'exclama avec un plaisir non feint:

vous êtes Albi, ce même Albi qui m'a écrit tous les jours pendant son voyage depuis la Guyenne? Je suis ravie de faire votre connaissance, votre entreprise m'a intéressée dès le premier jour où j'ai entendu parler de vous.

Et vous êtes tous là!! Bienvenue en Breizh, puisse la vie vous être plus clémente qu'en Guyenne!!

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