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[RP] L'affaire du collier

Alfred
A tous ceux qui veulent participer au RP, il vaudrait mieux envoyer un MP à Dante.tommaso ou Alfred.


[La vie est un collier de peurs.]

Du haut de ses 21ans, Alfred manquait d’exercice pour perdre du poids, son miroir était un maître pour lui, à son plus jeune âge, il imaginait ce miroir parler et lui dire tout ce qu’il devait faire dans la vie, était-ce un doué d’imagination et qui avait peur de sa réalité, nul ne sait, juste que c’était un gamin de 8 ans qui ne voyait presque pas son père, qui lui était toujours sans retour après une sortie, il ne revenait que lorsque le petit était endormi.

Une heure passée, un jour, des mois, des années. Alfred était devenu le reflet de sa réalité, il avait oublié son miroir dans sa chambre d’enfance, un miroir qu’il pouvait vendre aux enchères si seulement celui-ci coutait une fortune. Sa situation de Bourgeois ne bougeait d’un cran, comme sa position vis-à-vis de la reforme, encore que beaucoup ignorait ce que c’était vraiment, ce n’est qu’une autre condition des hommes aisés et une frontière pour ceux qui sont patriciens, il se demandait si la noblesse noire existait encore…

« Un chant ne suffit pas pour apaiser les cœurs, car nous faisons face à la réalité », Certainement que sa mère manquait cruellement de vérité et de vécus pour oser affirmer que la musique était l’origine de certains, car en écoutant et croyant que le monde est beau pour cette belle mélodie, notre audace envenime notre sort, car chaque action de l’homme est une éternité, en temps parlant…

Alfred en réfléchissant sur la religieuse se demandait s’il ne devait pas sortir de temps en temps, écouter les plaintes des gens, parcourir les frontières à cheval, respirer l’air pure du Limousin et rentrer le soir quand il n’ya plus rien à prévoir, quand le vent atteint le bout de l’autre horizon, quand la froidure pénètre la peau et quand le ciel est beau…

Top là, la reforme, il ne manquait plus que ça, voila une belle guerre, plutôt qu’une guerre reforma liste, on attendait plus que des indépendantistes – Mais de quoi se plaignent-ils ? Ils ne mangent pas assez ? Il devrait constater qu’Alfred est beau et grand, qu’il ne manque pas de toupet quand il le faut, surtout quand il s’agit d’indépendance, sans oublier que le rêve pour Alfred s’il était régnant d’une province, e serait de donner à celle-ci sa liberté vis-à vis de la couronne en place.

Tout ce qui arrive quand on n’est pas prêt, c’est de notre faute – Et dire qu’Alfred avait été prévenu lorsque sa cousine agonisait, si seulement il était venu, lui au moins avec son don d’orateur pouvait prétendre retirer sa sœur des griffes de la mort, le voila tout seul, il marche, repensant au souvenir…

En route vers l'aventure
Alfred voulait changer sa vie et se dit qu’il avait un mercier marchant à Paris. Il prit son carrosse et s’en alla en tout hâte, presqu’aucun moment pour lui dire au revoir…


-Messire Casaviecchi, c’est vôtre voisin le plus proche, A bientôt !
« Non, non Ser Darmaguis, je reviens »
En descendant pour voir, un homme assez sombre arrivait avec empressement et lui remit en main propre, car il ne pouvait plus le remettre en main, cet homme avait subtilisé un bijou, d’une beauté rare, un collier serti de diamant.

« Mon…..Monsieur ! Attendez ! »
L’homme était assez loin et derrière à dix minutes, une foule suivait les traces de l’homme qui lui remit le bijou, comme par coïncidence, Alfred se rendait chez le vendeur Dante pour savoir combien valait la precieuse, le célèbre pour sa fabrication de bijoux de guerre, sûr qu’il devait être riche avec la guerre qui fut un moment tapageuse.

C’est ainsi qu’il s’arrêta et descendit de son véhicule pour voir ce qu’offrait la ville comme vues et demanda à un passant.

« Bonjour monsieur, connaissez-vous ou l’on peut trouver Dante ? »
-Il est à deux rues d’ici
Puis Alfred se rendit chez Dante.
« Il ya quelqu’un ? »
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Dante.tommaso
Installé à son bureau, Dante s’était plongé dans des comptes d’apothicaires, entre ce que les ventes lui avaient rapporté jusque là, les voyages depuis la Serenissima et les achats pour l’échoppe… le genre de grand moment de solitude où l’on aimerait se trouver ailleurs… loin ailleurs… Pas qu’il n’aimait pas faire ses comptes le Vénitien mais lui c’était la liberté, les voyages, à la limite les magouilles qui l’intéressaient vraiment… Mais rester enfermé dans un bureau à gratter ses papiers…

Soupir à fendre l’âme, au bout d’une petite demi-heure, Dante jeta sa plume, ferma ses livres de comptes, rangea les quelques courriers qu’il avait reçu du Mario, qui s’occupait de ses affaires à Venise avant de retomber sur une missive de sa mère qu’il lut attentivement pour la centième fois. Elle l’implorait de rentrer au pays, qu’ils avaient à parler tous les deux, qu’elle s’en voulait de ce qu’il s’était passé lors de leur dernière entrevue… De rage, Dante froissa la missive et la balança au travers de la pièce en marmonnant entre ses dents. Ce genre de situation avait le don de lui mettre les nerfs à vif. Certes tout ne se réglerait pas en un jour mais il avait d’autres chats à fouetter que de se préoccuper des états d’âme de sa génitrice. Un commerce florissant, des rencontres peu banales et surtout elle n’en faisait plus partie… Rangé dans un foutu tiroir de sa mémoire au même titre que les Pendragon.

Il en était là dans ses réflexions lorsqu’il entendit la porte de l’échoppe s’ouvrir puis un appel. Fronçant les sourcils il se demanda où Lupino avait bien pu disparaitre puis finalement, il recula sa chaise pour se redresser et entrer dans la boutique par la petite ouverture du mur du fond.


- Buongiorno messer*… Effectivement il y a quelqu’un… que puis-je pour vous êtes agréable ?

Dante avisa le bonhomme de la tête au pied histoire de se faire une première impression. Même s’il ne jugeait personne il aimait savoir à qui il avait à faire et là, la mise était bien précieuse ce qui fit sourire le Vénitien. Rare était les clients masculins qui osaient pénétrer dans son échoppe et pourtant, les armes qu’il y vendait tout comme les armures n’avaient pas de destinataires précis. Mais à croire que les hommes craignaient d’être vu de par chez lui… Mais cela arrangeait l’Italien finalement, lui qui appréciait la gente féminine, il était servi.




*Bonjour messire


[Bonjour, Bonjour,
Merci de traduire le moindre mot qui ne soit pas Français (cf les Règles d'or du coin des aRPenteurs).
Bon jeu, bon RP,
Modo Mahelya]

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Envie d'un rp ? Envoi d'un mp !
Tchitcherine


Le jeune Konstantine était à la porte et essayant de lorgner ce que faisait le vendeur, bien qu'il vit Alfred. Un freluquet qui ne s’inquiétait pas de sa famille italienne, sa grande soeur la vicomtesse ou de sa mère adoptive Marjolainne.


- Je voudrais entrer monsieur, ma mère la grande duchesse m'envoie.


Le jeunot n'avait que huit ans et ne savait quoi dire, puis se rapprochait du sieur qui demandait s'il y avait quelque en insistant...


- Ma mère m'envoie, monsieur...


Sans trop insister, il s'accrocha au pantalon du sieur en ajoutant.

Je suis venu acheter des bijoux de ma mère, c'est une surprise, je dois remettre ces bijoux à ma mère.
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Alfred
Deux italiens, une affaire, un collier dans un monde ou le client est au trône. Pour un humaniste, on se demanderait comment il a fait pour en arriver et qu'est qu'il a pu sacrifier pour tenir ce rôle dominant qui demande beaucoup en matière d’émotion, quitte à bien tenir le rôle pour être acclamer : Vive le Roi !

Alfred s’interrogea et se demanda l’objet de sa visite chez Dante, ah oui, il devait voir les prix de certains articles, comme il avait un article volé et se volait la face par une belle excuse, devait en profiter pour savoir à combien pouvait revenir ce collier de diamants.Alfred vit un jeune garçon qui lui accrocha.


Oh le jeune ! Qu’est-ce que tu cherches ?


En écoutant le jeune homme…


C’est toi qui t’en charge ? Bon, suit moi !

S’adressant à Dante :

Je voudrais savoir ce que vous avez derrière votre comptoir. Je m’intéresse à tout ce qui est or, bijoux et marchandise de haute classe en ornement du corps. J’aimerais que vous me présentiez ce que vous avez et me dites tout, si les bijoux ont déjà été vendus ou encore l’origine de ces joyaux.
Puis scruta d’un regard l’endroit où il était, espérant voir ce qu’il cherche.
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