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[rp ouvert] Poire et déboires il faut subir...

Pattricia
[Sarlat hors les murs... la distillerie]



Essuyant son front en sueur, la vindicative regardait, non sans une certaine fierté, les rangées de tonneaux bien alignés devant elle, un léger sourire aux lèvres et le dos un peu raide. Elle avait vraiment cru que cette année serait fichue, mais grâce aux grands froids, le retard d'un mois n'aurait pas de conséquences dramatiques. La mise en tonneau avait été faite début janvier au lieu de décembre, bien que la bâtisse protège du gel, l'hiver étant rude, la fermentation s'en trouverait ralentie. Merci Ari pour les températures glaciales, sans cela je perdais tout... Patt se tourne vers les personnes présentes, amis, poivrots notoires, vagabonds en quête de quelque embauche et leur sourit.

Je voulais vous remercier pour votre aide, pour la récolte tardive en mon absence, pour la mise en tonneau et pour m'avoir aidée ces deux derniers jours à fermer ces derniers afin que la fermentation commence. Sans vous je perdais tout ! Dès que la fermentation sera terminée, je commencerai à distiller et, n'ayez crainte, vous aurez une partie de la récolte en guise de salaire, comme promis.

La môme au loup se mord la lèvre devant certains regards de convoitise en direction des tonneaux, elle sait les Périgourdins et Angoumoisins friands de bons alcools, et les Sarladais ne sont pas les derniers à mettre tonneau en perce. Parfois, elle se demandait si l'alcool les conservait, ou si il finirait par avoir leur peau bien plus surement que les Ponantais.
Après un mot, ou une attention, à chacun des présents, avant qu'ils rentrent chez eux, la jeune femme se retourne une dernière fois vers les tonneaux prometteurs et fait claquer sa langue.


C'est pas le tout mais ça m'a donné soif tout ce travail !

Il ne lui restait presque rien des mises en bouteilles des années passées, entre certains poivrots que nous ne nommerons pas, certains "cambriolages" et la charrette qu'elle avait emportée avec elle pour les armées alliées, ses réserves étaient quasi vides. Heureusement pour elle, Mimi s'était complètement désintéressée de la distillerie depuis qu'elle avait quitté Sarlat, cela faisait une part en moins à distribuer. Patt se dirige donc vers la pièce proprette certes, mais un peu sombre qui lui sert de bureau et ouvre un coffre dûment fermé à clé. La bouteille qu'elle sort et débouche religieusement embaume soudain la pièce d'un parfum prononcé d'alcool de poire. Elle remplit un godet et pose la précieuse bouteille sur son bureau, entamant la dégustation de son eau de vie préférée... C'est bon d'être tranquille chez soi et surtout de picoler dans le calme !

Si il y avait bien une chose qui était sure, la vindicative savait toujours se réconforter après un dur effort...
_________________
Lubna
[devant la porte de la Distillerie]

Des jours et des jours des mois et des mois... Lubna avec sa grossesse puis la Naissance de sa fille n'avait pas eu encore le temps de passer à la distillerie!

Vlad' lui avait pourtant proposer d'y jeter un œil... Mais le connaissant il se serait plus jeter dans un tonneau... Pis s'était le business de lub' pas celui de son époux!

Avant de partir avec ses amis en Bearn Pat lui avait assuré qu'elle s'occuperait de tout...Qu'elle continuerait de distiller avec LA Fameuse recette que Lub lui avait transmise!

Elle était donc tranquille de se coté là... Mais Elle avait besoins d'écus donc fallait regarder ou en était les comptes ... D'après elle lub' pourrait retirer un gros magot pour l'achat de son Bateau.

Elle attacha soin cheval près du vieux chêne! Rien n'avait changer... enfin presque rien! Cela faisait tant d'années!

Il faisait froid dehors un bon verre allait la réchauffer!

Clefs? Elle n'avait plus de clefs!

Espérant que Pat ou Mimi soient là


Ploc Toc Ploc


Pat t'es là c'est moi! c'est Lub! C'est Lubna!
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--Jehan_le_blond


[Sors là hors des Mûres et à dix, tue le riz.]

M'ame Pattriciiiiia ? M'ame Pattriciiiia !

Jehan avait fini la phase "boutons", la phase "M'ame Mélie, vous voulez qu'on se mélange ?" et même la phase "Tout mais pas épouser Véronique."
Après un an de marine marchande, il était calmement rentré à Sarlat, plus grand, plus fort, toujours aussi blond. Grâce à ce qu'il avait appris en tant que factotum — et nous ne parlons pas de ses manières toujours aussi charmantes mais plutôt de ses capacités à lire, écrire et compter —, il était désormais à même d'aider de nombreux "artisans" à s'en sortir financièrement.


M'ame Pattriciiiia ? Pour votre examen de cohérence sur la page trois... hmm... vous avez écrit :

Citation:
+ + =


Chuis désolé d'vous dire qu'c'est pas cohérent, mais alors pas cohérent du tout. Faut au moins dix tonneaux ajoutés à Mariceleste et Lecouillu pour avoir un simple résultat nul en entrepôsage. Alors là ! Ou bien vous v's êtes planté dans la quantité de tonneaux... voire même tonneaux et bouteilles... sinon, c'est juste pas possible. Ces deux là, descendre moins de quinze fûts à eux deux, c'est de la sorcellerie, j'vous dis...

Jolies couleurs dans vot' regist' néanmoins M'ame Patt... j'sens bien que vous progresser, niveau comptabilité.


De sourire de toutes ses dents. Bah, c'est que Jehan n'avait pas vraiment changé. Il pensait plus paillasse que caillasse, pour commencer.

Pattricia
Elle manque de s'étouffer avec son élixir de vie sous la surprise. Mais pourquoi j'l'ai embaucher celui-là ! Pourquoi !!! Ça n'est pas une question, mais plutôt un cri de désespoir. Il était là, à roder sans arrêt, pas plus bruyant qu'un chat L'habitude de devoir se déplacer sur les ponts des navires sans doute... Et ce regard, limite énamouré, elle en pouvait plus ! C'était tellement bien l'époque où il avait jeté son dévolu sur Mélie, avec sa peau boutonneuse et ses multiples maladresses, il était impossible de le prendre au sérieux.Mais là... Le bougre avait changé, encore grandi, pris du muscle et pas qu'un peu et son regard n'avait plus rien d'un naïf adolescent ayant poussé trop vite. Si j'tenais la gueuse à matelot qui l'a déniaisé grrr !!! Reste calme, tu as besoin de lui, zen... La vindicative zen évidemment ça peut laisser dubitatif... La jeune femme pose son godet sur le bureau lentement, lèche les gouttes d'alcool de poire sur sa main et se retourne, sourire légèrement forcé, vers son comptable bien trop muri à son gout.

Combien de fois t'ai-je demandé Jehan de ne pas t'avancer sans te faire annoncer, combien de fois t'ai-je rappelé qu'une porte sert à ce qu'on la frappe et qu'on attende que l'on t'autorise à entrer dans une pièce, combien de fois vas-tu me faire sursauter ainsi alors que je me crois seule ????

Elle n'attend pas la réponse, elle sait que ça l'agace déjà d'avance et lui retire le livre de compte des mains pour regarder ce qu'elle y a écrit qui est si contestable.

Erf ! J'ai oublié de sauter une ligne, Mari ne prend pas de tonneaux, elle prend les bouteilles elle, Lec c'est différent, c'est pour les mineurs, alors c'est clair que la mise en bouteilles... Je sais que je ne suis pas très douée Jehan, et je te remercie de tes encouragements, mais... un petit conseil... ne te moque pas trop, je joue très bien du bâton et, même si tu es costaud, je n'en suis pas moins pleine de ressources, alors mesure tes paroles et cesse de vouloir me charmer ça me hérisse au plus haut point !

Elle allait en rajouter une couche, ben ouais la vindicative hein... Quand elle commence... Sauf que Ari vint au secours du blond par un son venant de la lourde porte à double-battants.

Ploc Toc Ploc

Pat t'es là c'est moi! c'est Lub ! C'est Lubna !


La môme au loup pâlit et murmure avec une voix de condamnée

Han ! Ari tu m'a trahie ! Cette fois-ci c'est la fin, Lub va me tuer...

Avec une mine de déterrée, la jeune femme quitte son bureau, ne voyant même plus Jehan, l'ayant déjà oublié, et avance vers l'échafaud -'fin la porte vous l'aurez compris-, et ouvre un des battants après avoir retiré la lourde barre qui la bloquait. S'essayant tant bien que mal à un sourire...

Ahhhh Luuub ! Quelle bonne surpriiiise !

Et de la serrer dans ses bras avant que cette dernière serre plutôt son cou entre ses mains...
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--Jehan_le_blond


[Ombres que nous sommes, si nous avons déplu, figurez-vous seulement que vous n’avez fait qu’un mauvais somme. Billy S', rappeur médiéval]

Combien de fois va-tu me faire sursauter alors que je me crois seule ?

C'est bien là, tout l'enjeu : être imprévisible, là où l'on ne l'attend pas ; être le matou, distiller ses effets. Jehan n'avait pas changé, juste progressé, alliant l'excellence à l'insolence.

Comme vous z'y aller, m'ame Patt ! J'fais rien que vous rend' service moi. Si ça vous intéresse pas que les comptes soient justes, z'avez qu'à me dire de ne plus rien toucher !

C'est ça : Mari prend pas des tonneaux. Nan, elle prend juste des murges. Pis Lec, c'est pour les mineurs forcément. Qu'est ce qu'il ne faut pas entendre ? Ils le prennent tous encore vraiment pour un minaud innocent, ou quoi ?
et, même si tu es costaud...
Hé, hé... elle a remarqué, donc. Jehan s'adosse au montant de la porte, jambe repliée, faisant semblant de feuilleter le registre, insouciant, pendant que son biceps saille un peu trop pour le poids du bouquin.
je n'en suis pas moins pleine de ressources...

Vous ne devriez pas me dire des choses comme ça, M'ame Patt, savez pas s'que ça m'fait !
alors mesure tes paroles...
Je mesure, M'ame Patt, promis, juré, craché... je mesure énor-mé-ment, s'vous saviez...
et cesse de vouloir me charmer ça me hérisse au plus haut point !

Elle est hérissée ? Parfait ! Ne reste plus au jeune homme qu'à conclure... clotûrer. Au même moment, quelqu'un frappe à la porte, puis une voix : Lubna.
Han ! M'ame Patt, s'rait pas la fondatrice de l'établissement ci-devant ? ajoute le jeune homme, en prenant un ton docte qui jure avec son air goguenard. Son sourire ne fait que s'agrandir quand Pat palit.
Aristote n'vous a pas trahie, m'est avis... l'a juste anticipé un peu l'arrivée d'la dame. On était tellement bien tous les deux dans les comptes, nan ?
Et de voir la même Patt blanchâtre lui passer sous le nez, au point de devoir se redresser pour la laisser passer.
Mais non, z'êtes pas morte... ça j'peux vous l'prouver quand vous voulez. Sentez bon, m'ame Patt, savez ? C'te ptit gorgeon qu'vous v'nez d'vous enfiler, ça vous donne un parfum canaille...
Ahhhh Luuub ! Quelle bonne surpriiiise !
Le factotum passe derrière la rouquine, toujours aussi fier et heureux de lui :
Bon, s'pas tout ça, m'ame Patt, mais j'ai encore quelques tonneaux à vous rouler... mais chuis pas loin, si v's avez b'soin de quoi-que-ce-soit, chuis vot' homme.
Et à l'adresse de Lubna, tandis qu'il sort l'air de rien :
L'bon jorn, dauna... benveguda à la distillerie la mieux gérée de tout Sarlat...
_____________________
Lubna
De l'embrasser et de la serrez...fou Pat sentait la poire à plein nez

Surprise! Hein....

Et bien tu me fais rentrer?

regard dans la pièce..
Tu n' es pas seule!
Bonsoir jeune homme

Lub regardait le jeune homme elle avait certainement du le rencontrer beaucoup plus jeune impossible de mettre un nom!

Comment vas tu?
Je suis revenu en Périgord...comme je te l'ai écris...Mais avec ma grossesse et l'accouchement j'ai reporté sans cesse ma visite!


Humm fait froid!


Si lub était là c'était surtout pour récupérer des dividendes dont elle avait fort besoins et surtout voir les livres de comptes que Pat avait promis de tenir à jour durant sa longue absence


Mais allons nous assoir! je meurrrr de soif...

Toujours devant la porte d'entrée

On va dans le bureau?
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Pattricia
Deuxième sursaut quand Jehan se faufile à nouveau et s'adresse à Lub, y'a comme une vague envie de le gifler dans l'air, mais bon, faudrait déjà qu'elle monte sur un tabouret pour être à bonne hauteur alors...
Réalisant qu'elle reste plantée là et laisse Lub dehors dans le froid, la vindicative se recule d'un coup, écrasant le pied de son comptable par inadvertance -Mouarf ! Personne ne pourra croire ça- et d'un geste ample, invite la proprio des lieux à entrer.


Désolée Lubna, je viens de terminer la mise en tonneau, bien tardive cette année en raison de mes activités au Louvre, et je suis un peu à l'Ouest. Entre te réchauffer, tu connais le chemin du bureau, inutile que je te guide.

Laissant Lub se rendre comme une grande dans le bureau, Patt referme la lourde porte avec précaution et file rejoindre son "invité", se demandant bien comment elle allait affronter cette nouvelle difficulté...

Assied-toi je t'en prie, je vais te servir un godet de la production de l'année dernière.

Joignant le geste à la parole, la môme au loup remplit et tend un verre à Lubna.

Goutte-moi ça, tu m'en diras des nouvelles !

Gagner du temps... Elle n'avait aucune idée de ce qu'elle allait bien pouvoir dire à la propriétaire des lieux quant aux comptes lamentables de la distillerie...
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Lubna

Humm excellent…

Et bien j’en ai des choses à te raconterer depuis mon départ en Béarn…Mes voyages…J’ai vue le bout du monde ! Oui il existe..Puis mon retour...Si tu savais…

Cela fait un temps fou que je n’avais point de nouvelles de toi et de nos affaires.

Tu sais… J’ai des projets tu vas devoir encore t’occuper de faire tourner la distillerie mais…Je parle je parle… et toi ? Racontes moi ! Tes activités au Louvres?


Humant l’odeur de son verre puis reprit une rasade le vidant


Qu’elle est ce beau et grand jeune homme que j’ai vue à l’entrée?

Oui même mariée Lubna ne pouvait s’empêcher de regarder les hommes..Surtout maintenant dégonflée, elle avait enfin retrouvé sa taille fine et se sentait revivre !


Dis moi te restes t’il des bouteilles de la cuvée 1457. ..Oui…Tu sais je t’avais demandée de les garder précieusement ! J’aaaadorerais en boire un verre !

Une bouteille 1457 pour le plaisir...Les livres de comptes pouvait bien t'attendre un peu!
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Pattricia
Patt avait inconsciemment laissé la place du « patron », derrière le grand bureau, à Lub et s’était assise sur un accoudoir d’un fauteuil « invité ». Quand elle lui parle du bout du monde, la vindicative sourit sachant, par feu son frère qui était venu d’Extrême-Orient, que le bout du monde n’existait pas et était une invention des adeptes de Christo pour empêcher leurs ouailles d’échapper à leur contrôle et de rencontrer, voire d’adopter, de nouvelles cultures. Mais la rousse avait pour habitude de respecter les croyances profondes de chacun, c’est donc entre deux gorgées de poire, qu’elle continue d’écouter Lub lui narrer les dernières années passées.

Je sais que je ne donne pas souvent de nouvelles, mais je me laisse facilement envahir par ce qui m’entoure, les soucis des uns et des autres, les besoins du Comté, des mairies, des amis… Et, depuis que j’ai quitté les forces armées du P.A., que j’ai intégré la Garde Royale, je suis encore plus éloignée des us et coutumes qui renforcent les amitiés à distance. Mais cette guerre m’aura permis de retrouver du monde que j’avais perdu de vue depuis des années, ou ceux qui vivent éloignés du P.A. désormais. Même si ce fut l’horreur, comme toute guerre, justifiée ou non, cette dernière aura eu quelques points positifs dans ma vie personnelle… Les routes que choisit le destin sont étranges parfois…

Quand son amie lui parle de projets qui feraient qu’elle devrait encore s’occuper de la distillerie pendant quelques temps, la môme au loup se détend, se disant qu’elle va peut-être rattraper la misère de sa comptabilité inexistante et rendre les livres de comptes plus « gracieux » aux yeux de la patronne. Donne-moi juste le temps de la mise en bouteille et de la vente et tu n’y verras que du feu, encore jusqu’à l’été s’il te plait… Mais là où elle est surprise, c’est quand Lub lui parle d’un beau jeune homme à l’entrée, mais... quelle belle occasion d’occulter la question qui suit et la met plutôt mal à l’aise. De quoi elle me parle, la cuvée 1457 ? Heu… Pfiou ! J’me rappelle pas, sans doute vidée par les mineurs de Sarlat ou ma Rouquine… Puis tout haut

Un beau jeune homme ? Heu… Je vois pas… Un client ? Me dis pas que j’ai fermé la porte au nez d’un client par ce froid !!!

La rousse se lève d’un coup, pose son verre, sort en trombe de la pièce et file à toute vitesse en direction de la porte barricadée de la distillerie. Après avoir enlevé la barre, la jeune femme ouvre et sort pour regarder alentours, frissonnant de froid au contact de la bise hivernale, et rentre en haussant les épaules, pour refermer le tout et se mettre au chaud dans le bureau.

Erf ! Ben voilà ! Par ma distraction j’ai surement loupé une commande intéressante !!!

Patt s’empresse de remettre une buche dans la cheminée et reste un peu devant histoire de chasser les frissons qui l’assaillent.

Il ressemblait à quoi ce type que tu as vu ? J’ai peut-être une chance de rattraper le coup si je devine qui ça peut être…
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Lubna
Il ressemblait a quoi?
beau brun, grand costaud

a croquer..

ben bien l’impression qu il te connaissait !
t'as pas entendu même qu il m'a dit bonjour... et dit que la distillerie était la mieux gérée de Sarlat

Non un client ? Un client qui me connaitrait? Il m'a même appelé par mon prénom!
l'amant de Pat? Non... quoique!

oui bref sarlat n'etait pas le royaume juste un ptit village et a sa connaissance y avait pas d autres distillerie...

Mais mais... tu me fais languir sort donc une bouteille cuvée 1457


son verre fini.. lub pensait a son voyage et lui fallait des écus... regard à droite à gauche... Elle n'osait encore poser la question fatidique! Non Lub n’aimait pas parler d'argent ...Mais il le fallait

Allez va nous chercher LA bouteille je vais te raconter mon voyage en bateau... si tu savais ...quand j'ai passé le détroit de Gibraltar...


Oui elle avait vu un grand trou noir...le bout du monde comme l'appelez les marins et les pirates...
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