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[RP] *** GRAND BAL MASQUE de Tréguier ***

--Coco_cinelle


Vous danseriez avec moi ?

Oh ouiiiiiiiiiii! Merci!! J'adooooooooore danser, moi!

Je tends ma main vers celle que Giefroi me tend et je l'accompagne jusque sur la piste de danse. Je me déhanche plus que de raison.
Soudain, je vois un invité avec un drôle de costume. Il a un air terrifiant, avec ce bec d'oiseau immense. Quelque chose dans sa démarche me rappelle quelqu'un mais je ne saurais dire, sur le coup. Je tiens fermement la main de mon partenaire, mais mon regard est attiré par le personnage du médecin. Qui peut-il bien être?

Trop de monde, ce soir. Je n'en ai pas vu depuis très longtemps à Tréguier. Ça brouille les pistes! Mon attention se porte à nouveau sur mon cavalier et je parle avec lui tout en piaillant. Je suis sûre de le reconnaître, lui, et je pense que la réciproque est vraie aussi.
Nous gardons notre secret en nous et nous nous amusons en riant.
--Giefroi



Giefroi sourit en faisant tournoyer Coco puis il voit son regard se diriger ailleurs. Il l'amène un peu plus contre lui pour lui murmurer :

Lequel vous intrigue le plus ?

Il continue de danser avec elle afin de ne pas éveiller les soupçons des personnes autour d'eux et en profite pour lui parler discrètement :

Je pense avoir découvert certaines personnes.

Il lui jette un regard rieur et un grand sourire se dessine autour de sa barbe

En ce qui vous concerne, j'hésite entre deux jeunes femmes.
--Devenise


[Devenise, Ondine, Leila, Gladiateur, Pouillu]

Devenise avait réussi son coup, et entendant la louve ainsi railler les hommes à gorge déployée, elle n'en fut que plus entrainée. Elle pris les mains de ses deux compagnes et elles se mirent à danser en ronde, riant aux éclats, tournant et virant au rythme de l'orchestre.

Elle apperçu soudain un splandide gladiateur qui manifestement n'en pouvait plus de voir les femmes s'amuser sans lui. Il s'approcha et engagea la conversation vers Leia qui, et Devenise en fut fière, n'entra pas dans son jeu comme il le souhaitait. Ce à quoi la piquante vénitienne rosée ajouta :

"Beau mâle, cesse de penser à chevaucher chevaux et donzelles, avec flâte nous plutôt de tes pas aguéris !"

Elle l'attira au milieu de la ronde sans lui laisser la moindre chance espérant qu'il jouerait le jeu.

"Nous avons toute la nuit pour danser, chanter, rire et nous ennivrer, les masques tomberont avec l'ivresse, pas les palabres !"

Ce soir, elle se voulait Damoiselle Protectrice de la gente féminine, et entendait bien faire subir mille peines à tout homme s'approchant pour les démasquer. Ce bal verrait triompher la subtilité des femmes face à la fragilité des hommes.
Tout en riant, Devenise s'approcha de Blondine et lui glissa à l'oreille assez discrètement pour que les autres n'entendent pas :
Je ne vois pas votre fils? N'est-il pas l'invité d'honneur de ce bal ?
Elle s'écarta un peu puis lui adressa un regard complice avant d'éclater de rire en dansant de plus belle.

C'est alors que ce qui se voulait être un gueux de premier ordre, avec toute une panoplie incluant les artifices odorants les rejoint et se pencha vers Ondine, décidément très prisée.
--Louenna



Elle et l'Arlequin se séparent. Elle est déçue , elle sait qu'elle n'a pas réussi à le bluffer. Elle avait repéré l'Arlequin depuis un moment déjà, elle était quasiment persuadée qu'il s'agissait d'une autre personne. Puis à le côtoyer de prés : ses yeux rieurs, bleus, le timbre de sa voix, son rire.. ce rire cristallin qui anéantit tout ses espoirs à l'instant où il a retenti. Elle n'avait pas voulu démordre, soutenant qu'elle savait bien qui elle avait en face d'elle mais si ce rire ne l'avait pas remis sur les rails , elle partait dans une mauvaise direction.

Résumons :

elle a découvert qui était le gladiateur. Il faut dire qu'il l'avait bien aidé. Tout le monde laissait trainer ses oreilles dans ce genre de soirée. On s'épie les uns , les autres. Il lui avait donné un indice tout en voulant lui même découvrir l'identité de la danseuse. D'une pierre , deux coups. Toujours est-il qu'elle ne sait encore pas ce que cache la danseuse dans son bas du dos. Elle a l'air de tenir à réajuster son déguisement comme si elle avait peur qu'il dévoile quelque chose. Pure curiosité , elle tenait à savoir.. A surveiller.

L'arlequin, maintenant. Elle avait une petite idée mais rien ne pouvait lui permettre d'en être sûre.. A moins que le troubadour à la flute, ne lui ait fourni un indice. En tous cas, elle avait noté qu'il s'était empressé de détourner l'arlequin du personnage en bleu et blanc (aladin). Le troubadour et l'Arlequin seraient ils de très bons amis ou pourquoi pas , un couple ? S'il s'agissait bien des personnes auxquelles elle pensait, les déguisements correspondaient assez aux personnalités.

Elle se dirige vers la buffet grignoter et boire.

A la réflexion , il lui restait encore pas mal de personnes à démasquer. Elle ne cherchait personne en particulier et tout le monde. Elle regarde autour d'elle.

Trois personnes dansent entre elles au milieu de rires féminins. Elles ont l'air de bien s'amuser, ce n'est certainement pas le moment de les embêter . Puis l'une d'elle vient d'embarquer le gladiateur sur la piste.

Il y a bien le gueux (Pouillu). Aucun idée de qui il est, ni même si c'est un homme ou une femme. Il l'intrigue et l'inquiète au même temps. Peut être est-ce un vrai gueux , après tout pourquoi pas ? Tout le monde est convié et la dame qui réceptionne à l'entrée aurait bien pu croire qu'il était déguisé. Il y avait cependant une odeur assez suspect qui rodait autour. Aurait-il poussé le détail aussi loin ? Si c'est le cas, il s'agit d'une personne assez consciencieuse, qui va au bout des choses. Elle plisse son nez. Ca ne l'engageait guère à l'approcher. Elle pense qu'elle va le garder pour la fin, celui-là.

Le papillon est occupé avec l'homme masqué à la capuche noire. La coccinelle avec celui à la capuche grise. Ils sont bien proches ces deux là ! Ou un drague l'autre ou encore un couple ? Bref, les capuches avec les insectes. Il y a un rapport ou c'est une pure coincidence ? Peu importe, ils ne sont pas disponibles pour le moment.

Non loin d'elle, coté buffet, la dame à la robe bouffante (bauta) .. Elle lui sourit doucement. Serait-elle enceinte ? Ou alors plusieurs la dessous ? Il y a aussi l'homme au casque (portos) . Elle attend qu'il ait faim ou soif. Il faudra bien qu'il enlève son masque ou qu'il l'ouvre un moment donné.

Elle boit son verre de chouchen cul sec et soupire. Ca en fait du monde à visiter ! Est ce qu'elle n'attaquerait pas par l'homme ou la femme d'ailleurs, en blanc et bleu (Aladin) ? Elle prend les pans de sa robe, bien décidée et s'avance vers lui ou elle.

Une personne déguisée en médicaste (vaneck) fait son apparition. Elle se retient de rire. Il faudrait qu'il aille se mettre à coté de l'homme au casque. Plus pratique pour elle. Elle pourrait ainsi guetter le moment où ils s'alimenteront.

[Louenna et aladin]

Elle fait une révérence devant le masque bleu et blanc (aladin) et engage la conversation.

- M'adressais-je à une dame ou un messire ? Un tréglorois ou un voyageur ? Un habitué des tavernes et de notre halle peut-être ?
--Bauta


Les danseurs évoluaient sur la piste, des couples se formaient, tout le monde s'interrogaient, des femmes riaient aux éclats et aguichaient les rares hommes présents...

Tous ces déguisements étaient beaux et recherchés, certains suggestifs, d'autres couvrants, ne laissant rien deviner, ce qui en était encore plus énigmatique et dur à deviner.

Un, était proche du sien, ne laissant rien paraître... Un autre, était lui aussi, bien camouflé, un Aladin, avait-il dit... Un, encapuchonné, avec un masque, tout dans le sombre...
Tous avait rivalisé d'imagination pour leur costume... Le bal au château était une réussite.

Bauta s'interrogeait à savoir où était les maîtres châtelains, puis glissa comme patinant sur une surface glacée...
Tout le monde était fort occupé...
L'attente... peut-être quelqu'un l'aborderait...
--Aladin
Quelques couples sur la piste dansaient, d’autres toujours au buffet dans l’attente ou dans la recherche des différents personnages de ce bal. J’aime à découvrir les costumes, bien qu’originaux, un me rappelle une fête latine, un carnaval, la bauta est aussi bien portée par un homme ou une femme, serions nous trois avec l’arlequin à mêler les indices.

Je regardais l’homme au casque (Portos) et la personne à la cape noire (bauta).


Belle soirée, je me nomme Aladin, autant je peux dire messire devant un casque mais pour vous qui me sembler vêtu d’un costume que l’on nomme bauta, que dois je dire ?

A ce moment Louenna se présenta près de moi et d’une révérence dit :

-M'adressais-je à une dame ou un messire ? Un tréglorois ou un voyageur ? Un habitué des tavernes et de notre halle peut-être ?

Je souris et répondis

Trois questions pour trois souhaits, ma lampe n’en dira pas plus. Vous pouvez dire messire, pour la suite le temps d’une danse.

Je me tournais un instant vers la personne à la bauta en souriant.

Je reviendrais pour ma réponse, si vous voulez bien

Je virevoltais sur la piste avec Louenna, je n’avais pas trop d’indice et il me fallait poser la bonne question.

A mon tour de poser une question. Etes-vous souvent en taverne le soir ?

--Boeme



Cela ne faisait aucun doute, il l'avait reconnu, l'éclat brillant de ses deux émeraudes croisaient celui de l'arlequine qui avait deux magnifiques saphirs qui scintillaient à travers son masque, des yeux qu'il aurait reconnu d'entre mille... Il l'entraina dans une danse où il était le maître de ses pas, un bref instant, il se demanda comment il avait appris à danser, mais sa mémoire, lui faisait encore et toujours défaut ce qui le frustrait parfois ... Cependant le moment qu'il partageait, vallait bien plus que ce qu'il aurait pu imaginer... Ils dansèrent comme si ils étaient seuls au mondes, dansèrent comme si la musique ne prendrait jamais fin, instant magique et intemporel, leurs pas se suivaient naturellement, leur regard ne se quittaient plus. Ils profitaient... et c'était beau.
--Louenna
[Louenna et Aladin ]

- M'adressais-je à une dame ou un messire ? Un tréglorois ou un voyageur ? Un habitué des tavernes et de notre halle peut-être ?

Il lui sourit.

- Trois questions pour trois souhaits, ma lampe n’en dira pas plus. Vous pouvez dire messire, pour la suite le temps d’une danse.

Puis il se tourna vers la dame à la large robe , terminer sa conversation. Les aurait-elle interrompu ? Elle n'a pas le temps de s'en excuser qu'il l'entraina sur la piste. Et bien repartons pour une danse ! Ce qui ne faut pas faire pour avoir de petites indiscrétions. Néanmoins, le messire semble vouloir faire durer le plaisir ou du moins, si son impression est bonne, ce sera donnant, donnant.

- A mon tour de poser une question. Etes-vous souvent en taverne le soir ?

Elle se laisse aller aux pas de la danse et lui répond calmement et en souriant.

- oui et non. Il y a des périodes où je le suis, d'autres moins. Elle soulève un sourcil en souriant un peu plus . J'enchaine sur mon deuxième souhait ? Elle marqua une légèrement pause, le temps pour elle de changer de coté, toujours pour suivre la danse. Tréglorois ou simplement de passage ..ou bien, et cela fait partir du même voeux .. pensez-vous vous y établir ?

L'arlequin et le troubadour (boeme) semblaient se dévorer du regard durant leur danse.
--Coco_cinelle


L'encapuchonné s'approche un peu trop près de moi pour me parler. Je sens son souffle dans ma nuque. J'ai peur qu'il reconnaisse mon odeur. je méloigne un peu de lui.

Lequel vous intrigue le plus ?

Prise de panique, je ne sais quoi dire. Flûte alors! Je ne vais pas me laisser démonter comme ça! Je veux rester anonyme jusqu'au bout de la soirée, moi!
Alors, je le regarde dans les yeux, en espérant déceler le moindre indice. Pour une fois, je prends un air sérieux mais en essayant de ne pas trahir ma voix.

Tous les invités m'intriguent, Sieur Giefroi. Et vous plus que qui d'autre. habitez-vous Tréguier depuis longtemps?

Tout en dansant, je l'entraine vers les autres danseurs. Je veux qu'il pense à autre chose qu'à essayer de le récouvrir. Malheureusement pour moi, il rajoute.


Je pense avoir découvert certaines personnes. En ce qui vous concerne, j'hésite entre deux jeunes femmes.

Deux? hihihi Je reprends mon air léger de la soirée. Et puis, est-ce si important d'être découverte ou pas? Nous sommes tous là pour nous amuser, après tout!

Deux... Z'hésitez entre qui et qui, si je peux me permettre, Sieur Giefroi?

J'attrape une autre main et je nous fais entrer dans la ronde. Je sautille au son de la musique entrainante, tout en le regardant fixement.
--Giefroi


Giefroi est entraîné malgré lui dans la ronde et tente tant bien que mal de suivre le mouvement avec sa longue cape. Lors d'un tour sur lui-même, il laisse apparaitre un peu de sa barbe. Il remet sa capuche rapidement.

J'habite Treguier depuis fort longtemps.

Il continue de danser puis soudain il serre la main de Coco Cinelle pour l'air de rien, savoir si elle porte une alliance ou une bague de fiançailles. Il la regarde et lui fait un grand sourire

Si je vous le disais, ça perdrait de sa magie.

Il la fixe et lui murmure en se penchant vers elle:

Et moi ? Je suis reconnu ?
--Aladin
Aladin était bien décidé à jouer de la lampe en cette soirée. Le tout avec les oreilles du génie pour glaner des informations sans oublier une simple évidence pour lui.
Louenna semblait bien avoir compris le petit jeu d’Aladin, tout en dansant et suivant le pas de danse elle soulève un sourcil l’air de rien.


J'enchaine sur mon deuxième souhait ?............... Tréglorois ou simplement de passage ..ou bien, et cela fait partir du même voeux .. pensez-vous vous y établir ?

Aladin fit un tour sur lui-même puis fit apparaitre la lampe.

Tréglorieux Dame et pour toujours je le souhaite, chuttttt lampe je garde mes souhaits pour plus tard.

Un petit sourire et la lampe disparait pour laisser place à la danse.

Votre taverne du soir pourrait être Loarwenn ?

La question se voulait précise et guettait son regard qui donne souvent l’expression de la réponse.

--.ondine.


[ONDINE, DEVENISE ET POUILLU]

Danser, les trois grâces s'en donnaient à coeur joie.
La musique riait des accords stridents, et l'alcool aidant, les corps et les langues se déliaient.
C'était beau à voir : oui, une vraie réussite ce bal.

Puis soudain, celle qui l'avait emporté dans sa ronde s'arrêta pour lui glisser tout bas à l'oreille
: Je ne vois pas votre fils? N'est-il pas l'invité d'honneur de ce bal ?

Ondine resta de glace. Non que d'avoir été reconnu la bouleversa. Non. Mais cette voix, la voix de Devenise lui procura tout à coup un frisson inexpliqué. Devenise s'écartait déjà d'elle, éclatant de rire d'avoir su démasquer celle qui était la moins masquée, sans doute, que la louve n'avait pas encore reprit ses esprits.

Ondine avait-elle deviné l'identité de cette jeune femme ? Son corps l'avait fait pour elle sans pour autant qu'elle puisse mettre un nom sur cette voix, sur cette silhouette. Mais quelque chose en elle savait.

Et il lui fallait entendre encore cette voix, sentir encore son souffle contre son oreille. Alors, Ondine fit signe à Devenise de s'approcher. Oui, encore plus près. Et d'une voix faussement sincère répondit :
"Avec tout ce bruit, je n'ai pas compris un seul mot. Vous disiez ?

A cet instant, un pauvre hère l'interpella. Déguisement plus vraie que nature ?
Noz'vat. Il serait pas à vous ce château ?Ondine lui sourit et lui répond sur le ton de la confidence :
Si on vous le demande, dites que vous n'en savez rien ...
--Devenise


[Ondine - Devenise - Pouillu]

Devenise avait compris qui était Ondine au premier regard, non pas à son déguisement qui de toute façon ne cachait que le visage et point le personnage, mais à sa gestuelle, et sa prestance. Les quelques mots glissés à son oreille était simplement pour le lui faire savoir. Ondine se pencha pour lui répondre. Devenise dut s'efforcer de ne pas reculer, ce qui la trahirait. Elle se mit sur la pointe des pieds pour entendre la réponse, mais celle-ci n'était en rien ce qu'elle attendait :
"Avec tout ce bruit, je n'ai pas compris un seul mot. Vous disiez ?"

Devenise compris le véritable sens de sa question. On avait des doutes sur elle. Des doutes, oui, mais pas de certitude. Une seule stratégie s'imposait, et elle était résolue à ce que nul ne découvre qui elle était. Craignant d'être découverte, en resta un moment sa bouger, prenant garde à ce qu'Ondine reste prêt de son oreille et ne s'approche pas de son visage, pensant que ses yeux l'avait trahie. Essayant d'imaginer rapidement une fuite non révélatrice, elle apperçu soudain quelqu'un qui arrivait par le côté. Elle fit mine de se redresser pour lui répondre, en prenant toujours garde à éviter son regard.
Arriva alors son sauveur. Un gueux, le seul d'ailleurs, lui offrait une magnifique occasion de s'éclipser. Devenise l'observa rapidement, à la recherche de quelqu'un indice tout comme d'un prétexte pour de se faire la belle. Elle nota alors que son propre verre était vide, bin que ce e fut pas le premier... D'une voix de jouvencelle, elle s'exclama juste avant que son héro n'arrive :


Aaahh Malheur ! Mon verre est vide ! C'est intolarable !

Elle laissa alors Ondine avec le "Pauvre malgré lui" et s'envola vers la table des victuailles. Elle cherchait surtout un beau mâle avec qui frailler, le gladiateur ayant étrangment disparu au beau milieu d'une dance.

En s'éloignant, elle eut une brève pensée. "Si seullement elle n'était pas elle..." Se demandant si le prétexte du verre vide était si bien trouvé vu que de toute façon, elle ne pouvait pas boire, et s'arrangeait depuis le début de la soirée à échanger les verres qu'elle se servait contre des verres vides au moment où personne ne regardait, pour donner le change. Quelle idée de posrter un masque qui vous empêche de boire !? Puis, s'assurant et profitant que nul ne la regardait, elle s'évanouit dans quelque coin sombre, caché par une des nombreuses et élégantes colonnes qui jonchaient la salle de bal. L'heure était à la discrétion, le temps de trouver une nouvelle proie
--.ondine.


[ONDINE, DEVENISE ET POUILLU]

Devenise pensait-elle vraiment échapper à la louve ?
Si jusqu'ici cette dernière avait des doutes, la fuite soudaine de cette jeune femme finir de la convaincre qu'elle touchait du doigt la vérité.

Ondine, malgré une attitude des plus cordiale avec le pauvre paysan, n'avait pas manqué de remarquer du coin de l'oeil dans quel sombre espace Devenise s'était réfugiée.
S'excusant auprès de Pouillu d'un mouvement gracieux de la tête, elle dirigea ses pas vers l'ombre d'une colonne derrière laquelle un tissu rose dépassait.

D'une voix charmante,

Si vous tenez tellement à me fuir, laissez-moi vous montrer meilleure cachette ...

Amusée et intriguée, Ondine plongea son regard dans les onyx sombres qui se tournèrent alors vers elle.
--Devenise

Devenise entendit des pas s'approcher. Son stratagème avait-il fonctionné ? Ils sont seuls, nul ne les voit, et nul ne pourrait les reconnaître s'ils les voyait.

Si vous tenez tellement à me fuir, laissez-moi vous montrer meilleure cachette ...

Cette voix, elle ne se retourna que pour le plaisir de redécouvrir la Louve, perchée tout près d'elle, dont elle devine le sourire qu'arbore ses lèvres. Devenise se tourne vers elle et prend sa main dans la sienne, les yeux pétillants.

Vous fuir ? Ne comprenez-vous pas que vous êtes précisément où je vous voulais ? A l'abris des regards et des oreilles. Nous pouvons parler librement ici.

Devenise, voyant qu'Ondine cherchait son regard, approche son visage du sien, et plonge son regard dans le sien, sans aucune retenue, laissant opéreer la magie de cette soirée où nul n'est personne, sans crainte ni obligation. Nul doute que la louve la reconnâîtrait ainsi, mais pour cette femme seulement, elle voulait rester elle même en toutes circonstances.
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