[RP] Sans contrefaçon

Encore un matin, un matin pour rien... saut du lit habituel, en sursaut au chant du coq mais... au lieu de se jeter sur les volets pour profiter des premiers rayons de lumière, une étrange sensation l'emmena devant le psyché qui ornait un coin de la chambre.

Première réaction face à l'image que lui renvoyait le miroir : aller se recoucher, le reve n'est pas fini. Seulement voilà, dormait plus, l'était bel et bien réveillée, justement tiens ! bel !
Diantre ! le très haut venait de lui envoyer sa dette pour ses pêchés non confessés
L'irritation de la barbiche et des moustaches lui soutira un juron

Ah mais bordel de défection ça gratte !

refermer le bec illico, han !! et le vocabulaire qui va avec ! puis soudain une lueur d'effroi dans le regard, tirer sa chemise pour voir si le bas allait avec le haut

Et oui tout y était, s'affaler sur le lit, les bras en croix, les yeux rivés au plafond, la sanction était lourde, un esprit feminin dans le corps d'un homme.

Au secouuuuuuuuuuuuuurs !!

Bon première étape, trouver des vêtements à sa nouvelle taille, non parce que les robes à froufrou et autres deshabillés, bah c'etait du plus mauvais gout avec sa nouvelle trombine.

Enfilant une cape ample, la capuche bien rabattue sur la tete, les premières braies sur le marché feraient l'affaire ? oui bin non ! la femme à l'intérieur ne l'entendait pas de cette oreille, on ne se refait pas... tout à fait... essayage de toute l'échoppe avant de trouver les braies qui le mouleraient juste ce qu'il faut !
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Il y a des matins comme ça....


Le soleil dardait ses rayons d'une lumière encore faiblarde, annonçant l'aube et chassant la nuit.
A l'impasse de la Fée... ça roupillait sec. Toute la maisonnée dormait encore à l'exception de quelques valets qui s'activaient déjà.
Zoyah était recroquevillée au fond de sa couche, perdue sous d'épaisses couvertures colorées et la tête enfoncée dans un coussin moelleux. Seules dépassaient quelques mèches de cheveux, qui étrangement, n'avaient pas la longueur et l'ondulation habituelle. D'ailleurs, à bien y regarder, la masse terrée au fond du lit, semblait plus volumineuse que les jours précédents.

La Bobonne à moustache, Marguerite, équipée de son inséparable balai, pénétra dans la pièce pour se diriger droit vers les fenêtres. Elle posa son meilleur ami puis d'un coup sec et sans ménagement, tira sur les rideaux qui empêchaient la lumière d'irradier la pièce cossue.

Un grognement s'échappe du lit qui commence alors à s'agiter...

Baronessa, yé l'heure de vous lévé ! Vous dévé allé à la massa !

Un bougonnement venu de très loin... humm.. laissez-moi dormir je faisais un beau rêve.


Et la lusitanienne de poche de se retourner et de s'approcher du lit.

Ah, y'entend que lé baronessa allé la voix enroué … allé débout Baronessa

Et d'un geste, la servante arracha les couvertures qui couvraient le corps de sa maîtresse.

Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa hhhhh !!!!! .. plus vive que l'éclair, la vieille bobonne attrapa le balai qu'elle avait posé dans un coin de la pièce et l'abattit sur la tête de ce qu'elle pensait être sa baronne.

Olé la baronessa ?! Yé en fé quoua !! A la garde !! Ahhhhhhhh !!!!

Et la brune.. enfin le brun de se retrouver éjecté de sa couche, à quatre pattes par terre, à moitié sonné. Son premier regard fut pour les deux énormes mains un peu velues qui semblaient appartenir à son corps...

Iiiiiiiihhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!!!!!



edit : correction et mise en forme



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[Les Mures...]



- Méliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie !!!!
- Qui attaque ???? Barricadez les portes !!! Sus à l'ennemi !!!
- Dans la chambre de Maman, Mélie ! Viiiiiite !!!
- Gné ?

La vindicative s'étire comme une chatte se dorant au soleil, clignant des yeux quand Mélie, suivie de Souffredoul, puis forcément des triplés, font irruption dans sa chambre. Patt remonte illico le drap sur sa poitrine et jette des regards furibonds aux empêcheurs de dormir en rond. Sauf que... Han ! Plus de seins ! Des poils beurk ! Et pis c'est quoi se truc qui tire de bon matin à mon entrej... ? Merdeuuuuuuuuuuuuuuu !!!! Dire que c'est un grand moment de solitude serait en-dessous de la vérité, une Narbonnaise avec un bâton ferré à la main, un soldat brandissant son épée et trois mouflets équipés de bric et de broc, aiguille à tricoté, épée de bois et une buche...

- Nan mais vous allez pas frapper votre patronne et votre mère ! Vous êtes des grands malades hein ! J'suis Patt, c'est moi bord... de mer... 'Fin j'veux dire punaise !
- Ben là, tout de suite, c'est pas flagrant voyez ! Vous êtes roux et avez les mêmes yeux verts certes, j'dirais que pour le caractère, y'a des chance qu'on s'y retrouve apparemment, mais d'là à dire que vous êtes Patt, va falloir des preuves hein !
- Hop hop hop ! Faudrait pas me faire prendre des vessies pour des lanternes hein ! C'est diablerie que tout ça, Patt est cachée et nous fait une farce c'est ça ? Elle vous a passé sa chambre et est allée dormir chez Mari ?

C'est alors que Floris entre complètement dans la chambre et s'approche du lit pour observer de près l'intrus.

- Suffit de lui demander un truc un peu secret, ou du moins que tout le village ne sait pas forcément.
- oui c'est une bonne idée ça. Qu'est-ce que j'attends que ma maman me fasse comme cadeau et qu'elle ne fait jamais ?
- J'veux pas dire mais tout le monde doit le savoir ce que tu veux étant donné que tu passes ton temps à chouiner...
- Tu la boucles Cantor !
- Hey !!! T'es pas prête de l'avoir ton cadeau si tu continues à parler comme une poissonnière Lucie !
- Mouarf ! Pas de doute t'es surement Maman, elle me gronde toujours quand je m'en prends à Cantor. Alors ? C'est quoi ce que je veux et que j'ai jamais ?
- Une robe couleur framboise écrasée comme les fauteuils du salon que j'avais piqués au Poneys Roses pendant la campagne...
- Hi hi...
- Bon ben c'est Maman c'est sûr !
On s'emballe pas, moi j'ai une question un peu plus difficile... Quelle est la dernière bataille que vous ayez menée et que s'est-il passé dès la première journée de combats ?
- J'ai eu une fracture ouverte à la jambe, vous m'avez récupérée avec la charrette d'alcool de poire, on a ensuite trouvé Scoldt à moitié mort et je l'ai soigné malgré mon état...
- J'suis désolé, mais y'a pas eu que ça comme blessure...
- Han c'est dégueu cette question ! Bien... J'ai un éclat de bois qui s'est fiché dans ma fesse et le chirurgien qui me la ôtée, la fait pendant que ma dague était sur son cou... C'est bon là ? Zêtes contents !!!

La tête hilare de l'estafette suffit à répondre... Mais les ennuis ne faisaient que commencer...

Heu... Bon... Faut que j'm'habille voyez... Alors Mélie, si tu pouvais me sortir des vêtements de Michel rangés dans les coffres en haut et si tout le monde pouvait sortir de ma chambre parce que là...

Évidemment ça pouffait grave et elle sentait la moutarde lui monter au nez au fur et à mesure que les blagounettes en tout genre fusaient à la volée dans la maison.

Ari va falloir que j'te parle du pays et t'as pas intérêt à être aux abonnés absents !!!
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« Tu veux vraiment savoir quel genre d'homme tu es ? Ouvre la bouche et écoute. » Julien Green

Le réveil est vaseux... L'impression d'avoir forcé la veille. Forcer sur quoi, me direz-vous ? Bah... faudrait déjà que je le sache moi-même.

Je passe la main sur mon visage. Rien de très notable sauf que pour une fois, mes cheveux ne m'atterrissent pas directement dans les yeux. P'tain, c'est ça qu'on appelle avoir mal aux cheveux, alors ? Ou là c'est peut être mes cheveux qui ont mal ? Hein... bref...

Pourquoi je me suis réveillé déjà ? Arf, ouais... parce que j'avais envie de pisser. Depuis quand ça me réveille ça ? Depuis que ça me tiraille, té. Ca doit être le fait de vieillir, chier... Tous les jours, une nouveauté !

Han !!! C'est quoi ce bordel ? Y'a déjà quelqu'un au-dessus du pot !!! Sur les genoux de qui je me suis assise, là ? Han !!! Bel engin en plus... jolie forme matinale !!!

Euh...

....

...

..

.

Je ne vais pas pisser et je vais aller me recoucher. je suis dans un cauchemar, ça doit être ça. D'façons, j'ai les cheveux qui sont pas dans les yeux, ça, ça se peut pas...

J'vais me recoucher...

Picétou...

Passquelà...

Vraiment...

Picétou
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Bergerac, Auberge du loup noir


La soirée fut arrosée, enfin, normalement, sans trop d'excès, juste ce qu'il fallait pour se décider... oui, c'est ça, elle se souvient maintenant... la chambre, le lit pas trop grand, ultime souhait sûrement facilité par la consommation d'alcool.
Brumes de sommeil pas encore évaporées totalement, elle se serre contre "el capitan"... il semble bien petit d'un coup ! Etrange, on ne rétrécit pas au lavage ici, puis de toutes façons, ils n'ont pas pris le temps de faire leurs ablutions...
Les yeux toujours fermés, la main s'égare, rencontre une forme rebondie... puis deux. La soirée a certainement été plus arrosée qu'elle ne le pense.


Mi capitan... comme tu as la peau douce...

C'est pour mieux ...


Ca ne va plus du tout, là ! D'un bond, elle se redresse, s'assoit... ça pèse de tous les côtés, curieusement... regarde, hurle


AAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHH

Non, la faut se rendormir... c'est un cauchemar !
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[Campement des Lycans ]

Comme d'habitude, elle s'était levée à pas de loup pour ne pas réveiller Joran.
Comme d'habitude, la brune s'était étirée langoureusement, délaissant les peaux de bêtes, pour aller soulever la toile, et goûter à la saveur de ce nouveau jour.

Démarche chaloupée, de la belle à peine recouverte d'un drap de coton blanc, alors qu'elle passe près du miroir sur pied devant lequel, chaque matin, elle ne manque pas de s'arrêter.

Et là......................................



Un hurlement muet se meurt dans sa gorge, alors qu'elle regarde la barbe naissante sur ses joues. Ses mains glissent, fièvreuses , sur ses seins devenus plats..............

- Misère !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Regard en arrière , sur la couche qu'elle vient de quitter. Alors que ses mains continuent à palper ce corps qui n'est plus le sien, ces muscles et ces poils qui recouvrent son torse, ses jambes. Morbleu !!!!!!!! Joran, n'est plus Joran, mais une fille alanguie ......Pourtant cette nuit.........................Enfin, bref !

Y'à quelque chose de pourri au royaume de France pour sûr. La voici plus couillue que le plus pauvre des moutons du coin.
Au moins la mauvaise fée ne l'a pas changée en grenouille, c'est déjà ça..............

Partagée entre le rire et les larmes, la brune prend le parti d'en rire. Ne trinque t'elle pas régulièrement à l'irraison ?

Elle s'imagine déjà, déchirer le corsage de Joran avec ses dents à la façon Bara, débiter des compliments aux donzelles du coin dans le genre de Micka, et savonner le dos de Bibo au lac. Elle gagnera au bras de fer contre sa soeur puisqu'elle aura des muscles aussi puissants que ceux de Boks et surtout, surtout............

Elle ne rougira plus à la première grivoiserie venue
Elle pourra choisir une fille aux plaisirs Lycanesques
Elle pourra trousser Joran sur la première table venue, et lui mettre une rouste à l'entrainement de bâton

et surtout, surtout..............

Elle pourra.........................

enfin...................... pisser debout sur le siège du nobliaud...........

Yep !!!!!!!!!!!!!!!

Parce qu'assurément, en ce matin, du premier avril de l'an de grâce 1460, la brune , la louve, la Lycane, bah, elle en a ........................

Mais bon, si un concours de fessiers féminins est organisé, elle est mal , là ...........

fais ch... ça coute la peau des c...
rha mais tais toi ! pff comme si c'était le moment de faire des folies en plus
Une jolie aumonière bien remplie, confiée au marchand qui le regarde d'un drôle d'air
Une excuse vite, vite pour cet accessoire féminin
Mais non ! j'ai pas détroussé une belle dame, troussé à la rigueur...
mais qu'est ce que je raconte ?
bref partir de là sous l'oeil méfiant du commerçant et déambuler dans les rues, tenue flambant neuve, démarche de militaire, et si on la reconnaissait sous ces nouveaux traits ?
Non impossible, toute à ses réflexions, on croise une jolie damoiselle, splendide créature, sourire et se retourner sur un fessier à la démarche féline puis ... l'engin qui frémit dans les braies un peu serrées d'un coup

Rha bord.. à c...

mais c'est donc vrai alors, un jupon affriolant qui passe et les hormones males qui s'affolent pfff me vlà bien !
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Réveil plutôt calme. Je me sens sereine, bien réveillée même. Mieux qu'il y a deux jours. Grands étirements. Les bras bien droits de chaque côté. Un beau bâillement pour accompagner tout ça.

AAAaah qu'ça fait du bien! Euh, c'est quoi cette voix? Je regarde à mes côtés: non y'a personne. Perplexe.

Je me lève doucement, c'est pas parce qu'j'suis en forme que je vais me presser. Mais je sens que quelque chose cloche. C'est pas comme d'habitude. Je baisse la tête et là c'est le drame: des baloches!

Non, non c'est pas possible... Surréaliste même. Ni une, ni deux, je suis debout devant le miroir et c'est éberluée que je découvre ce que j'y vois.

Un homme! J'suis devenue un homme!

Minichat étonné par ces hurlements se pointe dans la chambre. Feulement du gros matou et course rapide pour repartir d'où il vient.

Non c'est pas possible. Je peux pas sortir comme ça.

Je me regarde à nouveau et cette fois, je souris.

Pis pourquoi pas en fait?!

Je me tâte les muscles, le torse. Je m'examine sous toutes les coutures. Je me trouve plutôt bien.

Au moins, je suis entier.

C'est en riant que je pars me soulager. J'ai pas fini de rire je crois...
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[Dans les bois au alentours de Sarlat]

Le soleil se lève sur de fines chevilles délicate, remontant sur des jambes magnifique a califourchon de manière sensuel sur une branche d'un vieux chêne, la suite n'est pas mal non plus des hanches divine et une gorge d'est plus gorgé de chaire, il n'y a pas de doute cette demoiselle été sublime, les habit la moulé de manière exubérante d'un cuir à peine vulgaire.
Enfin le soleil finit son chemin sur un visage sublime aux yeux bleu ciel et une chevelure aussi doré que le blé du matin, réveillant la jolie miss.

Comme à son habitude Vidar se réveille dans la chaleur du soleil naissant dans les hauteur des bois mais étrangement il n'avait pas la même position, le voila avachie en avant sur la branche les deux jambes de part et d'autre de la branche ! Mais il ne peut dormir ainsi sans risqué quelque désagrément au niveaux de l'entre jambe ... désagrément qu'il ne ressentit point...

Il se redressa s’étira et sentit comme un poids sur l'avant et une agréable sensation de liberté sur le bas du pubis, les yeux à demis clos à cause de on réveil récent et du soleil magnifique il regarda vers son ventre qu'il ne vit pas... Car il était caché par... Par ...

Diantre ! Des seins !!! j'ai de la poitrine !!!

Tâtant les agréable grosseur il fit glisser sa main plus bas et ne découvrit rien d'encombrant, juste le contact agréable et familier d’attribut feminin.

Mais comment est ce possible ?!

Les dieux l'avait il exhaussé en lui offrant la possibilité d'assouvir un de ses fantasmes irréalisable ? Enfin si maintenant c'est possible.

Il descendit de la branche en douceur avec un petit coté sexy qu'en tant qu'homme cela rendait beaucoup moins. Alla faire une toilette des plus longue, car il se palpa, se contempla, se... et d'autre chose qui resterons intime, bref il découvrait le fait d'avoir un corps de dame... Et pas des plus désagréable.

Une fois ces nouvelles expérience faites, il mit des vêtements permettant de stimuler les quelles que phéromones de cette ville et partit à la chasse à ... La femme.

Et oui ! qui avait dit que les Valkyries aimé les hommes ?
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Réveil tout en douceur, a demie endormie je passe la main sur la poitrine de Déli....oupsss ! des seins ont poussés cette nuit ? tout à fait éveillée je soulève le drap et là là !!!!!!

Bon sang Déli mais qu'est-ce ? où suis-je ?

Je me passe la main sur le visage, non non c'est un mauvais rêve, rhaaaaaa mes joues sont rugueuses.... Maman ce n'est pas possible ?

Hélas oui me regardant dans le miroir en étain, je dois me ranger à l'évidence

Je suis un homme, je suis un homme, quoi de plus naturel en somme ...sauf que là ce n'est pas du tout naturel !

Une petite idée coquine est en train de faire son chemin....Enfin je vais connaître les sensations qu'éprouvent un mâle dans certaines circonstances,

toute guillerette je vais rejoindre mon amoureux non amoureuse sous la couette
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Un bâillement, un petit regard entre les cils pour savoir si on était encore la nuit, ou s'il fallait se trainer dehors à l'assaut d'une nouvelle journée. Et marde, des reflets de la Charente qui jouent sur le plafond, faut se forcer...

Se frottant les yeux, il rejette les couvertures, s'asseyant sur le bord du lit, les yeux fermés encore, prenant sa tête dans les mains. Ouille ouille, il aurait pas dû sortir si tard hier soir, il avait encore mal aux cheveux. Aux cheveux ? Il fronce un peu les soucis, touchant plus attentivement ses mèches, qui semblent avoir double voir triplé de longueur. Ils lui arrivent aux omoplates ! Il ouvre les yeux soudain, tirant une mèche devant ses pupilles.

Pinaise ! Ouais, bon, il a une gamine hein, faut pas le juger.

Au miroir, vite ! Il y court, conscient que ses pectoraux d'habitude ses fermes sont soudain devenus bien pendouillants ! Et pourquoi le soldat est pas au garde à vous comme tous les matins ?! Glissade dans le virage, dérapage et chute sur popotin, étrangement rembourré. Finit de ramper au miroir, et se dresse.

Put-naise ! Ça commence à venir. J'suis bien gaulé ! Clairement... Il aurait pas hésité à s'aborder. Un petit tour sur soi, se matant bien, avec le sentiment naissant qu'il aurait été lesbienne, s'il était né femme. Plaisir un peu coupable... Ouah... Drôle de sensation que de n'avoir rien entre les jambes et de ne plus voir ses pieds ! Il tente quelques poses pour voir, ramenant ses cheveux par dessus ses épaules, comme il avait vu Lily faire si souvent, ses torturant une mèche...

Mouarf... Ben oui, elles sont raides ses mèches. J'aurais voulu des anglaises... Une femme peut rêver.

Quelques poses un peu plus osées, mettant en avant (et en arrière) ses "atouts". Quel avantage de pouvoir mater sans que personne n'ait à redire ! Pas étonnant que les femmes passaient tant de temps devant le miroir, en fait... Bon, c'est pas le tout, mais fallait sortir. Heureusement que Lily avait laissé quelques habits chez lui lors de son départ spontané. Il les ressort du placard, souriant au parfum, et riant à l'idée de les mettre. Et de les essayer devant le miroir...


Une heure ou deux plus tard...


Ayé ! Il ajuste son décolleté, ramène ses mèches, et centre sa ceinture. Fine prête pour cette journée des contraires !

[Les Glycines, a l'aube....]

Comme tout les dimanches La Rouquine se levait tard, elle s'étirait de tout son long en passant les mains dans ces cheveux pour les remettre en place mais là quelques chose clochait c'est cheveux était plus cours, elle fit un bon hors du lit est sentit quelque chose entre ces jambes, là y avait vraiment quelques chose de pas normal.
Elle se planta devant le miroir pour regarder se qui n'allait pas chez elle, et se mit a crier

- AAAAAAHHHHHHH !! j'ai perdue mes cheveux, Aaaaahhhhh !!

On frappa a sa porte de chambre, c'était Mariette qui venait voir pourquoi Mari hurlait.

- Mariiii que ce passe t'il ? vous avez mal quelques part ? Mariiiiiii... répondez moi ?
- Mariette c'est un drame... entre vite et ferme bien la porte derrière toi, viteeeee !

Mariette entra dans la chambre et cria aussi tout en se précipitant vers la fenêtre et l’ouvrit

- Froissard vite... a l'assassin on a enlevée m'dame Mari viteeeeeeeeeeeeee
- Mariette crie pas, c'est moi Mari, ta patronne tu me reconnais pas, ? J'suis Mari !!
- Ou est m'dame Mari, que lui avez vous fait ? Froissard viens viteee
- Non Mariette pas Froissardje suis Mari et j'veux pas que tout le village soit au courrant que je suis devenue un homme, enfin j'crois bien que j'suis devenue un homme ...

Elle resta plantée devant le miroir quelques minute avant d'aller voir plus loin. Quand elle se décida a relever sa chemise pour vérifier et se rendre a l'évidence quelle était bien devenue un homme.

- Ohhhhh bor... de mer.., j'suis un homme, c'est pas possible ça !

Elle s'admira et passa c'est mains sur tout sont corps jusqu'a son entr ejambes et un léger sourire se dessina sur c'est lèvre et dit d'une voix roque

- Ma foi sj'suis plutôt bien bâtis, avec tout les atout d'un homme, ouai j'suis plutôt beau gosse. Mais... comment font ils pour marcher avec ça. piiouffff

Après cette découverte devant le miroir et palpations de se nouveaux corps il fallait s'habiller et là ça n'aller pas être des plus facile car Mari n'avait que des robes et autre vêtements féminin.

- Mariette faut que je m'habille et j'ai rien en vêtement d'homme tu vas aller chez Patt et lui demander des vêtement d'homme je sais quelle a gardé des affaire du pauvre Michel, alors court m'en chercher et grouilleeeeeeee.

Elle obéit et alla chez Patt pour revenir quelques minute plus tard toute boulversée

- Mariette qu'est ce qui s'passe t'es toute blanche on dirait que ta vue un famtôme. Mariette parle moi !
- C'est m'dame Patt, ça va pas chez elle aussi, elle est un homme
- Quoi.. mais c'est pas possible, que se passe t-il ? On nous a punis pour tous nos pécher, ou quoi ! Ari !! ça doit être lui, il nous a punis, j'vais l'tuer celui là, j'vais l'tuer.

Elle se tape la main sur le front

- Que j'suis bète il est dèja mort celui là grrrrrrrr. Bon aller aide moi a m'habiller Mariette, je dois aller au village voir se qui se passe.

Mari ne voulais pas que ça fille la voit ainsi. Elle se faufila hors de la maison en passant par derrière pour ne pas être vu et prit la direction du village, elle se demandait pourquoi ça lui arrivée a elle et ne comprenait rien .

Une envie de pipi subite comme ça, en plein dans la rue, normalement la jeune femme se retiendrait la journée s'il le fallait mais là y'avait comme un truc qui lui disait "grouille"
hein ? que ? quoi ? mais qui me parle ?
c'est moi pardi !
et de baisser la tete sur la forme rebondie des braies
ah oui ? ça parle en plus ?
ouais ! je t'explique c'est moi qu'ai les commandes mon grand !
mignonne et autre envie de pisser je gère compris ?
ah pis c'est pas fini, si tu dois te battre ce sont les copines qui m'accompagnent qui te disent si ça marche ?
hein ?
bah si t'es con ou quoi ? ah bin non pas con.... plus aujourd'hui du moins
ne dit on pas d'un courageux qu'il a des couilles ?
et ouais ! allez trouve moi un arbre !
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Réveil tout doux le matin après une pêche qui, dans la nuit, lui avait soudain semblé plus facile... comme si ses bras avaient été plus vigoureux, plus musclés.

Célénia (nio?) s'étira doucement dans son lit en une auberge de Sarlat, comme tous les matins elle se frotta doucement les yeux, passa sa main dans ses cheveux et .......... se leva d'un bond:

"mes cheveux? mais... mais...? ils sont tombés? "

Et là, à travers la douce lueur du matin filtrant par les volets, dans un rapide regard vers le sol pour voir où elle mettait les pieds... elle réalisa ce qui s'était passé dans la nuit...

Elle crut à une mauvaise blague... se mira dans le miroir de la coiffeuse et compris que la journée allait être spéciale.
Célénio se hâta de se préparer avec les vêtements que Célénia mettait quand elle combattait, se demandant s'il était le seul à être dans un état...si ça n'était pas le cas, l'inversion des rôles allait peut être être bénéfique à quelques personnes, qui sait?

Il était temps de reprendre ses esprits faute de la maîtrise de son corps. Zoyah se redressa en se frottant la tête devant les visages menaçants de sa mesnie parce que bien évidemment les cris avaient ameutés presque tout le personnel.
Arborant sa trogne des mauvais jours car un réveil pareil, il y avait de quoi vous mettre de sale humeur pour au moins une semaine, mine qui prit une tournure franchement plus agressive qu'à l'accoutumée. C'est l'effet barbe de trois jours certainement...

Le premier qui me tape... je le griffe et je le mord !!!... les mains viennent se poser sur la bouche.. oh misère, ma voix... c'est horriiiiiblle.

…....

N'osant plus déclore les lèvres, le monsieur-madame Z commença une vague introspection de lui-même tout en gardant un œil sur le personnel horrifié, tassé dans le fond de la pièce. L'un brandissant un balais, l'autre un éventail trouvé sur une table et encore un autre une poêle.

Z portait toujours sa fine batiste de dentelle blanche sauf que les manches lui arrivaient presque au coude et qu'au lieu de toucher le sol, elle lui battait les genoux. A son cou, la médaille d'Aristote pendait toujours, ainsi qu'un autre vestige de son passé. Elle les extirpa et les montra à ses gens... voyez.. c'est moi...dépité.

Vous les avez volé sur la baronne.. mécréant ! Assassin !! On va appeler la milice !!

Oh.. misère... très bref moment de réflexion... bande de courges panés ! Bien évidemment, je me suis... ahem... j'ai tordu le cou à la baronne juste pour enfiler ses petites affaires et me coucher dans son lit ?!!... attente, visiblement ça surchauffe sous le capot, poursuivons donc.

Posez-moi des questions... Z'allez voir... les bras venant se croiser sur la poitrine désespérément plate et un tantinet velue.

Z avait réussi à semer le doute dans l'esprit des domestiques,ils commencèrent à chuchoter entre eux mais ne baissèrent pas leurs armes.
Gaucelme s'avança.. .

Bien, Môssieur... combien la baronne a d'enfant, leur âge et qui est leur père ?

Ah ah ah.. trop facile... je n'ai qu'un enfant, Fabian, il a trois ans et son père se nommait Ashlaan... alors convaincu ?

Non...

humpf

Quelles sont les origines de la Baronne ?

Encore facile... je suis née à Châteauroux, d'une mère berrichonne et d'un père à moitié tzigane et russe. Alors c'est bon où vous voulez aussi que je vous parle de Thomas de Clerel, de mon amie Ealaena ?

Ohhhh mandieu.. Baronne mais qu'est-ce qui vous arriiiivve ???

Bonne question...


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