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[RP] Hymen fleuri de Sébastien de Plantagenêt et sa Griotte

Childeric
[ A L'Exterieur de Nostre Dame ]

Childeric avait reçu comme un honneur, que d'avoir été choisi pour assurer la garde de Nostre-Dame, dans ce jour faste.

Pourtant il n'était pas trop rassuré, les grosses Gargouilles semblaient tellement réaliste, qu'il ne craignait qu'elles ne se décrochent et se mettent à voleter.
C'est donc peux rassuré qu'il répondit :


" Mon Capitaine, pas de questions..."
Rehael
Le Cardinal esquissa un fin sourire à l'entrée de la future mariée, on ne peut plus resplendissante. Guilleret en ce jour ou sa famille s'agrandissait et ou il voyait son neveu, dont il se sentait responsable depuis que ce dernier était orphelin de sa mère, prendre épouse. Katou avait rejoint le paradis solaire bien trop tôt, laissant le jeune Sébastien presque seul au monde, absence que sa famille avait entrepris de combler.

Il posa son regard sur Sébastien, qui contemplait la foule, puis suivit son regard, ne tardant pas à remarquer un homme en noir dont la tenue détonnait franchement de celles du reste des invités. Il haussa un sourcil avant de plisser les yeux, puis de froncer les sourcils.

Le Lion Rouge toisa longuement l'individu. Il mit un long moment à le reconnaitre. Alors que l'évidence lui apparaissait, son sourire s'était transformé en une grimace.


Il tendit son index en direction de Iohannes von Frayner, son lointain cousin, dans la mesure ou les von Frayner étaient apparentés aux Azayes, eux même apparentés aux Plantagenêts. Le Cardinal s'exclama d'un air exagéré, presque théâtral.

Et bien, voila un bien étrange invité qui vient nous gratifier de sa présence ! Venez donc dans la lumière, afin que tout le monde puisse vous voir, mon cher Sancte!

Il appuya volontairement le nom qu'il venait de prononcer, affichant un léger sourire ironique.
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Bibiche75
[A l’Extérieur de Notre Dame]

Tout comme ses frères et soeurs, Bibiche écoutait ce que Xena, leur supérieure, leur expliquait quant à leur mission actuelle tout en les complimentant.
Encore le sourire aux lèvres à cause du fou-rire qui s'était emparée d'elle un peu plus tôt, Bibiche lui répondit lorsqu'elle leur demanda si ils avaient des questions.


Merci pour vos compliments et non, pas de questions pour le moment, mon Capitaine!
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Kad
A l'image du fantassin de première ligne qui puise dans une triple dose d'alcool la force lui donnant le courage de charger l'ennemi sans envisager une mort certaine, ce n'est pas un, ni deux, mais trois suppositoires tonifiants que se vit octroyer le chevaleresque derrière du cardinal d'Azayes. Ses médecins ayant fanatiquement milité pour qu'il recouvre la plénitude de ses moyens avant de quitter le domaine familial, il s'est résigné à quelques compromis afin de pouvoir faire acte de présence lors de la cérémonie. Fichu remède, qui s'était d'ailleurs révélé particulièrement douloureux en carrosse...

Notre-Dame, enfin. Juste le temps de retirer ses chausses, d'ouvrir son coffret le plus précieux et d'en extirper une missive Armo-vanillée, seul remède de l'Aristotélisme épargnant aux foules l'odeur insoutenable de ses petons, de frotter celle-ci contre ceux-la, et voici le cardinal dévalant le marche-pied pour s'envoler vers cette société qu'il n'avait revue depuis presque une année. Des visages familiers à la louche, sinon à la pelle, la famille, les amis, les anciens de la garde... qu'il ne manquerait pas de saluer & retrouver sitôt la collation post-office annoncée. Ainsi, l'on mariait en ce jour le vaillant Sébastien à l'une de ses anciennes suzeraines périgourdines, qu'il découvrit très en beauté !

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Cyril Kad d'Azayes
- En re-construction -
Asphodelle
Elle connaissait assez son supérieur pour savoir quand il était irrité, de la gamme des tordements de bouche en cas d'aigreur d'estomac à celui quand elle avait poussé le bouchon un peu loin Maurice...
Là, il y avait inadéquation entre le regard fier et rassasié d'heureuse satisfaction, et cette grimace soudaine qui faisait scintiller ses prunelles d'un feu qu'elle aurait retrouvé dans les flammes de l'enfer lunaire.


"...mon cher Sancte!"

Le nom avait claqué dans l'air comme un coup de fouet. Asphodelle, mûe par un réflexe primaire, se retourne, partagée entre l'extrême étonnement de savoir un Réformé dans une maison de culte aristotélicienne romaine pure jus, de plus lors du mariage d'un membre des Saintes Armées, et la nécessité de voir son visage, afin qu'elle puisse découvrir les traits de son ennemi, de l'ennemi de ses Loups, de "ses" clercs...un frisson lui parcourt l'échine tandis que le regard incisif et tranchant, elle ne lâchera pas un pouce à sa mémoire, qui notera non seulement son image, mais également celle des gens qui, de droite ou bien de gauche, l'accompagnent, éventuellement.

Elle avait bien connu beaucoup de ceux qui, dans la bataille, lui auraient bien planté leur sica dans le ventre...ceux-là même qui faisaient qu'elle devait vouer sa vie à la protection des clercs en route, des fidèles en rassemblement, ou bien à faire que les cathédrales et églises ne finissent dans les flammes, plutôt qu'à confectionner des cookies et à planter des tulipes, faire des mômes à un gentil mari et les voir grandir.

Mais à son retour d'Orient, tandis qu'elle notait l'absence notoire dans son visuel abstrait ou littéral de Sanctus, elle avait vu que s'était dressée une autre figure emblématique du camp adverse. Et elle n'avait pas le recul nécessaire pour pouvoir poser sur son nom nombre de méfaits, taux d'implication ou coups d'estoc. Elle savait juste, qu'il n'était pas un réformé pacifique...comme elle avait peine à croire que cela existât depuis l'échec de la mise en place d'une telle Réforme il y à bien des années de cela. Et avec surprise, elle avait également appris qu'il trempait dans la politique et les titres honorifiques...surprise, car la Réforme qu'elle avait connu, avait toujours affirmé son désir de renverser un système déclaré comme inique, et son mépris de la noblesse.
Cependant, bien des choses avaient changé depuis la transformation lente du culte averroïste en Réforme aristotélicienne, à un point qu'elle lui avait ôté toute l'estime des débuts, tranchants, mais au moins, sincères!!
Depuis, Asphodelle n'éprouvait plus que mépris pour ce qu'elle avait fini par appeler "la Réforme des vendus". Si elle admettait le doute et son existence, si elle admettait ordonner aux siens d'accorder respect à leurs adversaires, et qu'elle avoue éprouver parfois de l'estime pour le caractère entier ou le niveau d'un ennemi au combat, elle ne détestait rien de plus que les compromissions, qu'elles soient faites dans son camp, comme dans l'autre...et rien de plus qu'un damné qui crachait sur l'Eglise, et s'asseyait sur ses bancs. La Peste soit de l'hypocrisie! Elle préférait encore l'éclat d'une lame de sica d'un membre du Lion : dangereuse, mais fière!! mortelle, mais droite dans sa lutte!!

Préfète en jupette ou pas, reste Préfète. En robe, en uniforme, armure ou haillons...nue et même désarmée...cette Préfète là ne s'appartient plus depuis longtemps, la vie toujours prête à être jetée pour payer en remplacement, celle d'un autre, celle d'un clerc, sans le moindre regret, sans la moindre hésitation.

Ne désirant pas se tordre le cou de façon ridicule, elle se contente de trois quarts, d'attendre l'homme affirmer son égo et le choix de vie qu'il emprunta, et qui le mettait sur sa route.

Des couleurs bien connues interpellent son regard, elle se contente alors de noter, au cas où.
Lorsqu'elle saura que Son Eminence Kad était présent et qu'elle dut se distraire de tomber dans les pommes de sa présence, elle sera de plus mauvaise humeur.
Pour l'heure, elle serre doucement le poing, la hire coincée dans sa gorge, pour tout le mal que ce "vendu" de plus souhaitait à ceux qu'elle aimait.

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Camille.
"...mon cher Sancte!"

Une autre silhouette se tourne vers la cible du doigt tendu : Sancte. L'homme qui avait tenté de s'en prendre à son amie Della en pleine grossesse, qui avait enlevé le fils de feue la Reyne Béatrice. Cet homme qui l'avait envoyée balader à travers la tente, son fils entre les bras, sans une once de retenue.

Camille se retient de rire, les bonnes résolutions et la "haine" des lieux saints est visiblement une vision bien malléable pour les rigides réformés. C'est fou ce que l'on peut en croiser aux sacrements...

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Icie
Elle sursauta tant elle était peu habituée à un ton sec de la part de Son Eminence Reahel.

"Venez donc dans la lumière, afin que tout le monde puisse vous voir, mon cher Sancte! "

Son regard suivit le doigt. Elle reconnu qu'il fallait un oeil perçant pour apercevoir la silhouette noire . Voilà un evenement qui meritait que l on s y attarde. Sans doute avait il fallu de bonnes raisons au sieur Sancte pour deroger aux principes de la Réforme pour entrer en Notre Dame.
Elle doutait que ce soit le besoin de retrouver le chemin de la vrai foi. La famille? L'amitié?
Icie observa les visages des mariés pour deceler un indice. La foule échangeait des regards, murmurait.

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Paix à nos amis disparus! Trop nombreux hélas........
Childeric
Ni une ni deux, Childeric prît un parchemin, et à l'aide de son fusain et de sa sanguine, prît tout son temps pour faire un joli dessin.

Reproduisant trait pour trait le visage du Sicaire, il mît religieusement son dessin, dans une peau de chèvre, et le rangea.

Pendent qu'il y était, il croqua rapidement la jolie toilette de la damoiselle devant lui. ( Discrètement..)
{Mouchette}
Le vert c'est moi. Les autres couleurs c'est vous. Merci de rectifier... Je ne vais quand même pas le dire à tous les joueurs qui postent ici non?
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Xena07
xena avait repérer une tête connue de la garde mais pas une t^te qu'on aimer voir quand on été garde épiscopale.

Afin de ne pas troubler la céremonie xena fit signe au Lieutenant childeric de la suivre à l'interieur.

Puis, s'arreta devant le reste du groupe:

Veillez à ce qu'aucun débordements est lieu icilieu, à l'exterieur. Si il y a un souci venez me chercher à l'interieur. Le lieutenant childeric et moi n'en avons pas pour longtemps mais on ne sait jamais!

Lieutenant, on y va?


Nous allons juste faire un tour à l'intérieur , j'y suis déjà aller tout à l'heure mais notre chér ami sancte me rend grincheuse !
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Zoyah
A l'occasion d'une conversation, Cerise avait appris à Zoyah qu'elle était une comtesse un peu « chipie ». La baronne était alors toute disposée à la croire mais loin de s'imaginer qu'elle lui en donnerait la preuve le jour de son mariage. Elle l'avait fait mentir...
Oui, mentir puisqu'au moment où Zoyah informait son voisin inconnu de l'absence embarrassante de la mariée, cette dernière faisait son entrée et passait devant eux, pour aller se planter devant l'autel et réciter le crédo comme si de rien n'était.
Quelle coquine cette Cerise.
Confuse de chez confuse, la délicate jeune femme à la chevelure de jais se mordit la lèvre inférieure qu'elle avait bien charnue ce qui conféra à son visage un air enfantin tout à fait adorable. Mine faussement puérile qu'elle chassa d'un discret mouvement de la tête avant de croiser à nouveau le regard insistant du blond. Elle lui dédia un sourire fin et réservé avant de rabattre ses prunelles azurées sur la mariée. La future épousée s'était faite attendre, mais cela en valait le coup. Elle était radieuse dans cette jolie robe garance confectionnée avec talent qui soulignait à merveille sa taille gracile. Le voile blanc, surtout, était d'un goût exquis selon l'opinion de la Baronne.
La cérémonie allait pouvoir suivre son court et la jeune dame se concentra sur le couple vers qui tous les regards étaient braqués.
Tous ?
Que nenni, l'officiant semblait foudroyer du regard une silhouette qui, de là où se trouvait la brunette, avait tout l'air d'une ombre. Un nom claqua aussi sèchement qu'une porte malmenée par le mistral.  « Sancte »...
Aussi, la brune ne trouva rien de mieux que de faire comme les autres et d'observer celui qui venait d'être pris à parti.

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Robiin.descharmilles
Robiin qui était derrière toute l assemblé.. Oui oui au fond de la cathédral..il discuté avec un voisin qui aimé pas trop cette endrois..mais hum au moment il fut arrêté car ces les seul quio discuté..tout le monde ce retourner vers la porte..ou sur eux ? enfin les regard. était vague..il ce tais et tourna la tête..une silhouette..un nom sancte..son nom lui était pas inconnue..mais hum ou était ce nom dans sa mémoire..le jeune charmilles réfléchis
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Sebastien
Tout se passe bien, du monde, du beau, des proches, des amis et puis la présence de sa douce et magnifique promise !
Gardant son regard rivé sur Cerise, Sébastien ne peut cacher un sourire radieux, le cœur battant à tout rompre.
D'ici quelques heures, ou quelques minutes il sera uni à jamais à sa Chipie.

Alors qu'il est persuadé que son oncle Cardinal va continuer d'officier en lisant quelques passages du Dogme,
A la grande surprise générale et loin d'être agréable pour notre jeune marié, Le Lion rouge au regard de rapace, repère une ombre parmi la foule et le pointe du doigt (c'est pô bien du tout de faire ça !).

"Venez donc dans la lumière, afin que tout le monde puisse vous voir, mon cher Sancte! "

Et là, c'est le drame !

Qu'imaginez de pire en cet instant pour son propre mariage, mise à part le "NON" de sa promise lors de la question fatidique ?

Le sourire de Sébastien s'efface. Heureusement il est dos aux invités et peut leur cacher son état de frustration.
Son regard se fait plus "noir" et avec le maximum de retenu sans compter la plus habile des discrétions,
Le marié souffle ces quelques mots vers Rehael, la voix camouflée bien que désappointée, la mâchoire serrée :

Je vous en prie mon Oncle.. ne gâchez poinct mon Mariage et reprenez-le en cours.. pour l'Amour du Très Haut !

Son regard se fait non pas suppliant mais plutôt insistant.
Ce jour doit resté graver dans les mémoires, non pas pour un duel Cardinal-Réformé au sein de la plus prestigieuse Cathédrale de France,
Mais par l'union de deux êtres qui s'aiment et qui veulent bâtir leur propre famille, fruit de leur amour inconditionnel.

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Icie
Placée sur le côté, Icie vit, au regard noir de Sebastien et à voir ses levres remuées, que l'incident l'embarrassait. La comtesse soupira.
Ce couple respirait le bonheur d'être enfin unis. Peu importe qui viendrait à troubler cette cérémonie.
Elle toussota en regardant Son Eminence Rehael et fut tenter de s'approprier des pensées d'un autre temps.

"Celui qui emprisonne sa conduite selon une éthique, emprisonne son oiseau chanteur dans une cage. Le chant le plus libre ne passe pas à travers barreaux et grillages"*

Elle réprima un sourire triste et s'attacha à detailler la robe de la mariée. Fort jolie d'ailleurs.



(* reference : Khalil Gibran " Le Prophète")
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Paix à nos amis disparus! Trop nombreux hélas........
Altaiir
Plutôt pensif alors que son regard parcourait l'autel en quête d'une robe somptueuse, sa voisine lui offrit satisfaction de savoir qu'il n'était point réellement en retard, la gratifiant d'un sourire mutin. Beaucoup de monde semblait s'être déplacé pour l'occasion, et de loin malgré que la dame fut de dos, la silhouette lui rappelait étrangement une dernière douleur par un amas de soucis, une déchirure qui semblait nécessaire mais avec du recul, une décision prise trop à la hâte et qui laisse des regrets.
C'est donc machinalement que ses doigts senestres se replièrent sur l'annulaire dextre pour en frotter machinalement le contour laissé vide, avant de sortir de ses démons à la vue de la mariée enfin.

Malgré l'émoi de tous les bancs à cette arrivée tant attendu de la Cerise, le ligurien ne put rater au coin de ses lanternes grises le trouble régnant chez sa voisine, plutôt baronne à la vue de sa couronne... Son timbre résonna alors juste assez pour souffler une douce tirade :


Quelque chose ne va pas baronne ? Vous semblez soucieuse...

Et au même instant, un brouhaha provenant du fond se fit entendre, juste assez pour attirer la curiosité du vicomte déchu vers... Tiens une personne familière. Visiblement les lieux saints attiraient les chats de mauvaise augure, ce qui était étrange vu que ceux ci n'aimaient point l'eau, en somme prier hors église.
Intérieurement, le brun souhaitait que cela reste sans incidence. Connaissant son amie à unir, il savait plutôt bien qu'elle avait eu sa dose de malheurs, et qu'il fallait absolument éviter que le plus beau jour de sa vie terrestre ne se retrouve entachée de pleurs et déceptions.

Alors, faisant mine que rien ne s'était passée, il revint sur la compagnie plus plaisante à ses côtés pour écouter sa réponse.

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